La filière nucléaire à base de réacteurs à sels fondus n’avait pas été évoquée dans le billet ci-dessus car elle ne constitue pas à notre connaissance une solution directement utilisable malgré tout l’intérêt qu’elle représente, comme c’est rappelé dans un vif échange :
😀
Pour que ça soit validé faudrait un proto Français ?
La France à acheté les techno des UShttps://t.co/M2Q8WxIFsD
C'est vrai que les défis de l'EPR ça fonctionne 😀
Franchement
Tu me fais penser aux dirigeants d'Airbus qui ont voulu un A380 au lieu d'une aile volante / ONERA
— bonob0h (@bonob0h) March 5, 2019
À la lumière des éléments factuels évoqués – des chercheurs et un documentaire – de nombreuses questions restent en suspend. Cependant, remettent-elles en question la nécessité de sortir du nucléaire ? Jusqu’à preuve du contraire, cela ne semble pas le cas. Et cette filière restera sans doute la victime collatérale du nucléaire militaire et des conflits entre le CEA et le CNRS en France… À moins qu’il soit enfin démontré qu’elle puisse d’abord et avant tout résoudre le problème des déchets nucléaires, ce qui nécessiterait une instance impartiale de recherche.
Références :
– Alvin Weinberg https://fr.wikipedia.org/wiki/Alvin_Weinberg.
– Documentaire https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/meuse/bure/3-raisons-regarder-documentaire-reves-fondus-lundi-apres-soir-3-1613211.html
– Réacteurs nucléaires à sels fondus dont thorium https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9acteur_nucl%C3%A9aire_%C3%A0_sels_fondus