Agriculteurs En Colère : Cette fois c'est TROP ! 😠 (FNSEA, Blocage, Manif, Révolution) - 23 janv. 2024 / Canard Réfractaire
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00:00 Introduction
00:27 Les actions
03:12 Critique FNSEA
13:16 Consigne
Cause commune avec le mouvement des agriculteurs - 25.01.2024 / Melenchon.fr
La mobilisation actuelle des agriculteurs me vaut des questions posées en mode privé par de nombreux amis dans l’expectative.
Il est frappant de voir de quel soutien bénéficie le mouvement dans l’opinion. Mais la récupération de la parole publique sur les chaines d’info, pour réclamer « moins de normes » en agriculture crée du doute chez mes interlocuteurs. Car souvent, ils expriment à leur manière la demande inverse, par exemple contre la diffusion de l’empoisonnement par le glyphosate et les autres pesticides. Sans oublier la dernière décision de l’Union européenne « libérant » de toute contrainte la propagation des OGM. Bref l’opinion générale a bien intégré les exigences écologiques qui s’imposent de façon vitale à notre époque. Mais à mon avis c’est justement sur ce point que se trouve actuellement l’opportunité politique la plus grande avec le mouvement paysan contrairement à la crainte qui peut s’exprimer.
Commençons par le plus simple. Les agriculteurs demandent à être payés suffisamment pour vivre dignement de leur travail. Comment le monde salarial pourrait-il contester une telle revendication ? Ne formule-t-il pas exactement la même pour lui ? Plus de 8 français sur 10 partagent ce ras-le-bol d’un monde où tout augmente, de l’essence à l’électricité, sauf les salaires. Le mouvement actuel contribue donc directement à la diffusion de l’exigence du juste partage qui est à la racine de la pensée insoumise en économie.
Il faut bien comprendre qu’une telle aspiration ne se résume pas à une question de survie. Elle touche plus profond. C’est l’exigence de reprendre le contrôle sur son existence. La misère, l’impasse économique sont vécues à juste titre comme des confiscation de soi, des soumissions à des contraintes injustes imposées de force. Ici est en jeu un fondamental des processus de révolutions citoyennes partout dans le monde. Le mouvement des gilets jaunes avait la même racine : reprendre le contrôle de son existence. Revendication moderne s’il en est.
Mais cela n’est pas la seule conjonction à observer. Il y a des raisons très profondes de soutenir et même de prendre appui sur le mouvement paysan pour porter et faire avancer très loin des objectifs généraux de grande portée en matière d’idéal de société. Nous sommes dans l’ère des mouvements opposés aux aspects fondamentaux du libéralisme. Au-delà des apparences il faut savoir le discerner pour construire du futur collectiviste. Le libre-échange, la « concurrence libre et non faussée », le marché en tout et pour tout sont ici mis en cause de plein fouet avec les mots simples de la vie quotidienne d’un double point de vue autant écologique que social. Les deux dimensions fusionnent en un processus unique dans cette mobilisation au-delà des mots, des postures, des modes d’action.
Les campagnes se vident à force de maltraitances sociales contre la partie la plus menacée du monde agricole soumis délibérément à la concurrence sauvage du marché mondial pour ses productions. La population totale des agriculteurs a été réduite à quatre cent mille personnes, 1,5 % de la population active…. Ce nombre s’interprète mieux par comparaison du nombre des autres catégories de population, quand on est dans un pays qui compte par exemple trois millions d’étudiants. Le retour à une agriculture vivrière, produisant les fruits et légumes dont nous avons besoin (pour ne citer que cela), est une urgence. La relocalisation de ces productions de fruits et légumes est le moyen essentiel d’une politique d’exigence sanitaire. Mais aussi une question de souveraineté et de sécurité des approvisionnements. Car en période de risque de guerre généralisée et de coupure des chaînes d’approvisionnement mondialisées (on l’a vu pendant l’épidémie de Covid-19) notre sécurité collective passe aussi par notre souveraineté alimentaire. Cela nécessite une classe agricole assez expérimentée et nombreuse pour être capable de porter cette bifurcation de la production. Liquider le monde paysan actuel comme le font les politiques européennes néolibérales est un contre sens.
Pourtant la politique néolibérale en cours y conduit directement. Le lobby agro-industriel n’y voit que des avantages. La libre disposition d’espaces arables immenses dédiés aux productions vers le marché mondial et complètement intégrée au commerce et la finance mondiale est la « révolution verte » dont le lobby agroalimentaire a besoin. L’Union européenne y travaille sans trêve. Ce n’est donc pas un hasard si le mouvement paysan est en cours sur tout le territoire de l’Union. Les gouvernements français ont laissé faire comme ils l’ont déjà fait pour l’industrie. Parce que cela coïncide avec les intérêts de la finance qui domine tous les secteurs d’activité aujourd’hui.
L’Union européenne aggrave volontairement la situation. Elle prépare une catastrophe supplémentaire avec l’adhésion prévue de l’Ukraine à l’Union européenne. Nous y sommes déjà opposés pour protéger les salariés de nos pays. En effet ils seraient soumis à une compétition salariale insupportable quand on sait que le SMIC ukrainien est de moins de 150 euros mensuels. Il en irait de même aussi brutalement dans l’agriculture. Les coûts de production sont déjà trois à cinq fois moindre qu’ici. On a déjà une assez ample expérience des résultats de ce contraste. Le miel de là-bas sort à 3,50 euros, contre 6 euros en France. On consomme donc davantage de miel importé que de miel des terroirs locaux. L’apiculture en déroute vide la population active des zones qu’elle anime. Depuis l’ouverture du marché à leur volaille, la consommation de celle-ci a été multipliée par cinq en France, au détriment des productions locales. Avec le système actuel de la politique agricole commune l’Ukraine absorberait une énorme part des subventions agricoles européennes pourtant financées d’abord par la France.
Le fléau de la politique libérale européenne rapproche donc de fait dans un combat commun possible, salariés des villes et des champs. Une convergence tout à fait décisive est possible entre les deux non seulement dans la situation présente mais dans des revendications communes sur le fond du projet de société. Le libéralisme n’a aucune réponse positive possible face à la demande des agriculteurs. Au contraire. La logique du libre-échange promet de nouvelles concurrences, et donc de nouvelles baisses des rémunérations.
À l’inverse, seule la politique de désobéissance européenne prônée par les Insoumis ouvre une issue. Dommage que les partis de centre gauche de la NUPES y aient renoncé et brisé l’union pour cela. Ils l’avaient pourtant adoptée dans le programme partagé de l’Union populaire. Il faut comprendre l’ampleur de cette idée. Elle crée un contexte. Cela commence déjà par le changement des objectifs de production agricole. Pour nous la production vivrière doit avoir la priorité. Je viens de le rappeler. Mais cet objectif ne peut pas être dissocié des mesures qui l’accompagnent nécessairement. Je parle ici de la « clause de sauvegarde sanitaire » mise en avant dans nos rangs par Aurélie Trouvé députée insoumise ingénieure agronome. La relocalisation de l’agriculture vivrière est le premier moyen dont nous disposons pour pratiquer une politique intense de prévention sanitaire contre la marée de pesticides, et des autres raisons de dégradation de la santé des populations. Aucune marchandise agricole ne pourrait être vendue en France si elle n’est pas conforme aux normes sanitaires que fixerait notre pays.
Ainsi, on voit que la lutte « contre les normes » portée par l’agrobusiness libéral serait le contraire de ce qu’il faut faire. Sans norme sanitaire, pas de protectionnisme sanitaire possible. Et surtout ce protectionnisme sanitaire ne pourrait plus s’adosser sur les normes et règles internationales qui le rendent possible et légal. Les agriculteurs se tireraient une balle dans le pied s’ils suivaient les revendications des libéraux en agriculture. Cela les conduirait au contraire de leurs objectifs. Et ils se couperaient de surcroit du monde des familles qui ne veulent plus subir la loi des consommations actuellement imposées par l’agroalimentaire. Le principal dirigeant du syndicalisme agricole dominant étant lui-même un dirigeant de l’agroalimentaire, il illustre certes l’évolution constante depuis des années des élites dirigeantes du monde agricole. Sur ce point, dans une autre profession, on parlerait de conflit d’intérêts. Car l’agro-alimentaire a une responsabilité non négligeable dans la détresse actuelle des agriculteurs. Cette industrie a augmenté de plus de 50 % ses marges de profit. Elle porte la responsabilité quasi-totale de l’inflation sans cause du prix de l’alimentation. Et cela se paie sans discussion possible à un bout de la chaîne sur le dos des producteurs, et à l’autre bout sur celui des consommateurs.
Ce lien qui unit la politique agricole des Insoumis et les revendications du monde paysan, a été magnifiquement établi par la proposition de loi défendue par Manuel Bompard, député insoumis des Bouches-du-Rhône et coordinateur de notre Mouvement. Il avait fait adopter avec le groupe parlementaire insoumis à la majorité de l’Assemblée nationale deux mesures directement impliquées dans le dénouement possible de la crise actuelle. C’est le blocage des marges de profit de l’agroalimentaire, d’une part, et la fixation de prix planchers pour les produits agricoles, d’autre part. La majorité obtenue sur ce plan en novembre au cours de notre niche parlementaire était un événement dont nous avons beaucoup parlé à l’époque. Comme on le sait pour finir, il a manqué six voix pour le vote final de cette loi. Les macronistes et LR avaient remobilisé leurs députés pour voter contre nous. Mais l’absence des leaders de la « gauche d’avant », comme Fabien Roussel du PCF, par exemple, avait permis à cette manœuvre d’aboutir.
Dans la lutte actuelle la Confédération paysanne joue un rôle positif ou elle cherche à faire le lien entre les revendications écologiques et sociales. On voit alors comment une bataille de cause commune est possible unifiant la population. A l’inverse du corporatisme affiché par le syndicat dominant qui ne tient aucun compte des demandes de la société dans son ensemble en réclamant l’abolition des normes anti-pesticides ou des restrictions des gaspillages de l’eau, ou l’extension des zones d’épandage de produits contestés par exemple. Mais si l’on met de côté ces demandes qui ne font nullement l’unanimité, on peut dire que du point de vue des objectifs comme du point de vue des moyens gouvernementaux pour régler les problèmes, il peut n’y avoir aucune contradiction entre les revendications du mouvement social agricole actuel et notre programme écologique et social. La question d’actualité posée au gouvernement par Mathilde Hignet député insoumise en a fait la démonstration. Dans ces conditions, le moment est donc bien celui où faire cause commune avec le mouvement des agriculteurs et construire une convergence citoyenne.
Ensuite, le mouvement agricole a permis de faire une démonstration politique de masse. On se souvient des accusations « d’écoterrorisme » contre les militants et la tentative de dissolution des « Soulèvements de la terre » à propos des bassines ! Ici, rien de semblable. Le gouvernement, les médias, les chroniqueurs ne pipent mot. Donc le mouvement des agriculteurs a fait reculer les appels à la violence policière et judiciaire habituels du pouvoir macroniste comme on les avait constatés face aux Gilets jaunes et aux révoltes urbaines. Tout le monde voit des autoroutes bloquées, un bâtiment public explosé, des voies de chemin de fer comme l’accès à une centrale nucléaire bloqués, des arbres coupés. Ni les médias ni les responsables politiques « n’appellent au calme ». Ainsi la raison et le droit à la dignité des gens commencent à être prioritaires dans la parole publique pour régler une crise. Ou bien faudrait croire que les donneurs de leçons de morale d’hier, leurs leçons, la classe médiatique qui les a relayés sans limite et qui se tait à présent, est faite de manipulateurs sans vergogne. Faisons le pari de croire à leur bonne foi et à leur compréhension désormais de la vigoureuse stratégie de la conflictualité portée par les agriculteurs. D’ailleurs le pouvoir macroniste recommande publiquement « la plus extrême modération » à la police. Comment ne pas approuver cette consigne. Personne ne doit être abattu pour « refus d’obtempérer ». Pas d’œil crevé non plus, pas de comparution immédiate, pas de recommandations pour condamner à de la prison ferme. Comme je l’avais fait avec mes camarades à l’époque des révoltes urbaines, il faut faire triompher d’abord la justice sociale si l’on veut retrouver la concorde civile.
Nous allons voir à présent comment le Waouuuu super Premier ministre va faire face au problème grâce à son jeune âge et ses talents de communicants déjà mille fois célébrés par les médias enamourés. Macron ferait bien de se préparer à trouver une idée de « grand débat » supplémentaire ou des « chèques survie agricole » selon son inépuisable habitude des pratiques cosmétiques. Mais ce temps-là est passé, je crois bien. Et je m’en réjouis. Le pays regarde et réfléchit. Il finira par comprendre ce que veut dire le libéralisme, la concurrence « libre et non faussée », le libre échange sans règles sanitaires, l’élargissement sans fin de l’Union européenne et la financiarisation de l’agriculture : le chaos. Un ordre nouveau est à construire et il peut faire un avenir en commun pour notre pays.
Connue / https://twitter.com/JLMelenchon/status/1750483102814629917
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Jean-Luc Mélenchon @JLMelenchon
La CGT voit juste. La convergence est possible et nécessaire avec la lutte des agriculteurs. Un front écologique et social peut s'exprimer. Voir ma note de blog.
12:37 PM · 25 janv. 2024 · 97,4 k vues
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On parle de violences conjugales. On parle de délits, de crimes. Et le Rassemblement national propose quoi ? Que les femmes frappées se tournent vers un médiateur social parce que... "la police n'est pas là pour régler les problèmes de voisinages" !
Jacques Terracher, membre de la CLI de Civaux, le 18/01/24
L'association Générations futures publie mardi un rapport sur les pesticides dans l'air.
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Connu / TG le 21/01/24 à 16:09
Actualités
70% des femmes estiment ne pas avoir reçu le même traitement que leurs frères dans la vie de famille, près de la moitié des 25-34 ans pense que c’est également le cas à l’école et 92% des vidéos pour enfants contiennent des stéréotypes genrés : ces trois chiffres issus du 6ème rapport annuel sur l’état du sexisme en France sont révélateurs des causes du sexisme persistant et des inégalités ancrées dans la société. Famille, école et numérique sont les trois incubateurs qui inoculent le sexisme aux enfants dès le plus jeune âge. Il faut donc le combattre là où il nait. C’est une des principales conclusions du rapport.
Les parents, sans s’en rendre compte, n’élèvent pas les filles et les garçons de la même manière. Deux tiers des femmes estiment avoir été éduquées différemment. Seulement 3% des hommes ont reçu des poupées et 4% des femmes des jouets voiture dans leur enfance. L’école reproduit ces schémas, avec des conséquences directes sur l’orientation : 74% des femmes n’ont jamais envisagé de carrière dans les domaines scientifiques ou techniques. L’éducation à l’égalité prévue par la loi n’est toujours pas prodiguée : deux tiers des personnes interrogées n’ont jamais suivi de séance d’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle. En ligne, 75% des femmes affirment ne pas être traitées à égalité (ce que corroborent nos études des contenus les plus vus sur Instagram notamment, où 68% des vidéos véhiculent des stéréotypes assignant les femmes à la maternité). Plus grave encore, les vidéos pornographiques diffusent des contenus misogynes d’une rare violence que 64% des hommes de 25-34 ans disent imiter dans leurs relations sexuelles.
Voilà pourquoi le sexisme reste prégnant, s’aggravant même d’une année sur l’autre dans certaines catégories de population. Chez les jeunes adultes masculins, mais aussi parfois chez les femmes, on observe un retour aux valeurs traditionnelles : l’idée « qu’il est normal que les femmes s’arrêtent de travailler pour s’occuper de leurs enfants » gagne 7 points (34 %) chez les intéressées. La « résistance » masculine se fait également sentir par rapport aux évolutions de la société : 37% (+3 points) des hommes considèrent que le féminisme menace leur place. Plus d’un homme sur 5 de 25-34 ans considère normal d’avoir un salaire supérieur à sa collègue à poste égal. 70% des hommes pensent encore qu’un homme doit avoir la responsabilité financière de sa famille pour être respecté dans la société. Plus de la moitié de la population trouve encore normal ou positif qu’une femme cuisine tous les jours pour toute la famille.
Ce sexisme ambiant a bien sûr des conséquences fortes sur le ressenti des femmes : 9 femmes sur 10 déclarent avoir personnellement subi une situation sexiste. Les violences sexistes et sexuelles ne reculent pas : 37% des femmes déclarent toujours avoir vécu une situation de non-consentement, un chiffre qui grimpe à plus de 50% chez les 25-34 ans. Chez les hommes, les réflexes masculinistes persévèrent : un quart des 25-34 ans pense qu’il faut parfois être violent pour se faire respecter.
Paradoxalement, la population est de plus en plus consciente et tolère de moins en moins les violences sexistes et sexuelles. Le rapport montre bien le décalage entre cette prise de conscience et le maintien des stéréotypes qui continuent de forger les mentalités et les comportements. Il faut donc agir en adoptant un plan d’urgence comme le demande l’opinion publique : éduquer, réguler, sanctionner.
« Faisons du sexisme de l’histoire ancienne ! » : c’est le message porté par la nouvelle campagne de sensibilisation du HCE, réalisée par l’agence BETC, dans le cadre de la première journée nationale officielle de lutte contre le sexisme du 25 janvier. A retrouver sur tous vos écrans et ondes radio et sur la chaine YouTube du HCE : https://youtu.be/t9VGOb0zju4
« Je remercie France Télévisions, TF1, Radio France et RTL pour la diffusion gracieuse de notre spot de campagne. L’engagement de ces médias à large audience permettra de mieux encore sensibiliser l’opinion et les pouvoirs publics à la nécessité de lutte contre le sexisme. » - Sylvie Pierre-Brossolette, présidente du HCE.
Contact presse : Camille Yildiz, camille.yildiz@pm.gouv.fr, 06 09 14 43 06
Connu / mel
Sujet : [Diversite] 6ème état des lieux du sexisme en France - rapport du Haut Conseil à l'Égalité entre les femmes et les hommes
Date : Mon, 22 Jan 2024 10:34:17 +0100
De : FCT
« Jeunes des bourgs » et « jeunes des tours » piégés dans un même ascenseur social grippé / Emilie Denetre Publié le 19/01/2024 à 15h45 - Courrier des Maires
Sujets relatifs :
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Plusieurs études et sondages récents pointent les difficultés d’orientation, entre autres embûches sur le chemin de l’accès à l’emploi, rencontrées par toute une partie des jeunes Français. Coût des études et des frais annexes trop élevé, manque de projection dans l’avenir, mobilités entravées par la concentration urbaine de l’enseignement supérieur : les freins culturels comme financiers sont aujourd'hui connus, et partagés aussi bien par les jeunes issus de milieux modestes habitant les quartiers Politique de la ville comme ceux ayant grandi dans des villages ruraux. Si une grande partie de la réponse appartient à l’État, les collectivités ont aussi leur rôle à jouer pour changer la donne.
Seuls 7% des enfants issus de familles d’origine sociale à dominante ouvrière exerceront une profession intellectuelle supérieure… contre 81% de ceux nés dans une famille majoritairement composée de cadres et CSP+. « L’ascenseur social s’est arrêté dans les années 2000, et il n’a pas redémarré depuis » tance Antoine Dulin, qui s’appuie sur les chiffres d’un rapport que « France Stratégie », l’organe de prospective de Matignon, a consacré à la mobilité sociale des jeunes. « La reproduction sociale reste marquée dans la société[…]
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19 990 Signatures (20 517 au 21/1/24)
Lancée le 2 janvier 2024
Adressée à Jean-Benoit Albertini (Préfet de la région Normandie)
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RTE a lancé en novembre 2023 une concertation pour la "Transition énergétique des boucles de Seine" pour préparer l’implantation prochaine d’une ligne à Très Haute Tension qui pourrait traverser la Presqu’île de Brotonne.
https://www.rte-france.com/projets/nos-projets/transition-energetique-boucles-seine
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En signant cette pétition, vous affirmez au Commissaire Enquêteur votre rejet du projet dans sa version Brotonne.
connue / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?snGnrA
Le panorama de La Mailleraye-sur-Seine, dans les Boucles de la Seine. • © Stéphane L'Hôte / France Télévisions
Dans le parc naturel des Boucles de la Seine, 33 kilomètres de lignes à très haute tension pourraient bientôt voir le jour. Encore en concertation, le projet fait réagir les riverains, qui ont lancé une pétition pour s'opposer aux tracés proposés.
=> signer pétition https://www.change.org/p/sauver-la-for%C3%AAt-de-brotonne-et-les-marais-de-norville-d-un-saccage-rte
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Isabelle Delisle réside à Vatteville-la-Rue (Seine-Maritime), proche de la future installation électrique. "Je ne suis pas opposée au fait qu'il y ait besoin d'infrastructures électriques. Mais on va saccager toute la forêt, là", relève-t-elle. ... détruire inutilement des espaces très préservés, parfois classés Natura 2000, alors qu'il y a d'autres solutions
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Un collectif de 25 habitants du secteur s'est ainsi constitué, coordonné énergiquement par Jean-Pierre Hergibo, pour contester le projet
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le tracé qui passe par Norville et la forêt de Brotonne nous met devant un paradoxe : comment parler de transition énergétique d'un côté, et de l'autre, raser une partie de la forêt ? Le deuxième tracé va aussi poser des problèmes, car il va impacter les joyaux que sont les villages de Vieux-Port et d'Aizier, portant une atteinte évidente au paysage."
"Le dernier tracé est celui qui a indéniablement le plus d'avis favorables", souligne le riverain, "car il reprend une ligne existante", le long de l'autoroute. "Nous souhaitons que le tracé passant par la presqu'île soit rayé des options pour des raisons liées aux paysages, à la forêt, aux prairies humides, aux écosystèmes. C'est aussi le plus long, le plus coûteux et le plus dommageable pour le patrimoine naturel et bâti."
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Propriétaire du château d'Etelan, qui surplombe la dernière boucle de la Seine et bénéficie d'une vue imprenable sur le fleuve, Marc Boudier s'oppose lui aussi au projet
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aussi, de nombreux élus des villages concernés par les tracés : les maires de Vatteville-la-Rue, Norville ou encore Aizier ont ainsi fait part de leur opposition. Le conseil municipal de Norville a voté une délibération pour contester cette implantation.
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Du côté de RTE, l'heure est à l'apaisement. Directeur du projet, Benoît Facq assure que rien n'est totalement défini pour le moment : "on en est au début du projet", rappelle-t-il.
"Le besoin d'acheminer davantage d'électricité dans le territoire de l'Eure et de la Seine-Maritime a été validé par le ministère de la Transition écologique. Aujourd'hui, nous avons une aire d'étude, un périmètre qui comprend 44 communes, dans lequel nous devrons insérer nos futurs ouvrages. Et nous avons trois propositions, mais elles sont toujours soumises à la concertation." ... ligne de 400 000 volts, le plus haut niveau de tension, qui doit transporter 3 000 mégawatts, c'est colossal", explique Benoît Facq. "Cette puissance est à transporter sur une distance de 25 km. Aujourd'hui, la seule possibilité technique envisageable, c'est l'aérien
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Si rien n'aboutit, le militant se dit prêt à prendre contact avec des organisations plus radicales, "rompues aux combats de terrain", comme Les Soulèvements de la Terre. "On veut qu'il y ait un consensus, que l'on marche tous ensemble, et que RTE comprenne qu'ils ont des opposants aux trousses et qu'on ne lâchera rien !", conclut-il.
Pour aller plus loin : énergie ; environnement ; polémique ; société
Billet de blog 19 janvier 2024
... au vu et au su du comportement humain et politique totalement inacceptable à mon endroit de son secrétaire national, Fabien Roussel.
Comme on le sait peut-être, mon gendre s’appelle Salah Hamouri. Franco-palestinien, il a subi, outre une multitude d’humiliations perverses, pas moins de 10 ans de prison dans les geôles israéliennes. Finalement Israël l’a expulsé le 18 décembre 2022.
Cette expulsion a été savamment préparée.
Début 2022, j’apprends fortuitement que dans un Mémoire du ministère de l’Intérieur déposé au Conseil d’Etat figure curieusement la photo de Salah Hamouri. Il est écrit, de la main du ministère, cette phrase : « Membre du FPLP ». Cette organisation est considérée comme « terroriste » non seulement en Israël mais au sein de l’Union européenne.
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Liens étroits avec les exploitations céréalières, export à l’international via le port de La Rochelle... Des documents exclusifs sur les mégabassines des Deux-Sèvres montrent que ...
colloque
Les samedi 13 et dimanche 14 janvier, l’Institut La Boétie organisait la première édition de ses « Journées économiques : pour une économie au service des besoins ».
La crise du Covid-19 a fait apparaître au grand jour le désastre que représente la destruction et la délocalisation de l’appareil industriel français ayant cours depuis des décennies. Le pays a mis en jeu son indépendance pour entrer dans la course au dumping social et environnemental généralisé. Si un relatif consensus rassemble aujourd’hui les décideurs autour de la nécessité d’une réindustrialisation, les modalités concrètes et les objectifs diffèrent fortement. Quelles filières faut-il investir pour réduire notre empreinte carbone et développer notre autonomie industrielle ? La question des outils se pose également : incitations aux entreprises, mise en concurrence internationale ou protectionnisme écologique ?
date 14 janvier 2024 14h00
lieu Campus Condorcet, Place du Front Populaire, Aubervilliers
intervenants
- Nadine Levratto, directrice du laboratoire EconomiX de l’université Paris Nanterre et économiste spécialiste de l’industrie et de l’innovation
- Matthias Tavel, député LFI-NUPES, membre de la Commission des Affaires économiques
- Christian Saint-Etienne, économiste et professeur émérite au Conservatoire national des arts et métiers
Animée par : Hervé Nathan (Alternatives Économiques)
ENVIRONNEMENT
Les huîtres contaminées, reflet de l'inaction climatique
Une gastro pour le Nouvel An ? Pointez du doigt l'absence d'adaptation à la crise climatique. Les pluies intenses de cet automne ont fait déborder les égouts et ont diffusé le norovirus jusqu'aux bassins d'élevage des huîtres. L'insuffisance des infrastructures est pointée du doigt alors que ces épisodes deviennent plus fréquents.
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norovirus, virus responsable d’épidémies de gastro-entérites. Le bassin d'Arcachon ... certaines zones du Calvados, de la Manche, de la Vendée et de la baie du Mont Saint-Michel, dernier lieu en date.
Dans ces lieux, le réseau d'assainissement ne suffit plus. Le tout-à-l’égout, saturé par les pluies diluviennes de l'automne, a débordé à de nombreux endroits. Or l'eau sale, qui transporte virus et bactéries, a ruisselé jusqu’aux bassins d’élevage et contaminé les coquillages. Les huîtres, qui peuvent filtrer 10 litres d’eau par heure, sont des vrais réservoirs à maladies et sont devenues impropres à la consommation.
Les pluies intenses seront plus fréquentes
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Le cumul de pluie a été une fois et demie à trois fois plus élevé que la moyenne dans une grande partie de l’hexagone.
L’Association de défense des eaux du bassin d’Arcachon (ADEBA) a porté plainte contre le Syndicat intercommunal chargé de l’assainissement (SIBA) pour plusieurs manquements ... déjà été détectée en 2021
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La préfecture de Bretagne ... a suspendu en 2022 les permis de construire dans plusieurs villes à cause de réseaux de traitement des eaux usées insuffisants ... nos biens communs que sont les rivières, les estuaires et les eaux littorales
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Pour les ostréiculteurs, le risque de contamination des huîtres s’ajoute à d’autres impacts de la crise climatique. Le virus OsHV-1 tue de plus en plus de coquillages en France, poussé par la hausse des températures de l’eau l’hiver et l’automne. Le vibrio, une bactérie mangeuse de chair, pourrait aussi toucher l'ostréiculture française. L'acidification des océans, autre conséquence du changement climatique, affaiblit aussi les huîtres. Difficile de s'adapter à cette avalanche de risques. Alors que les ostréiculteurs modifient déjà leurs calendriers ou envisagent des déménagements, il est urgent d'aller plus loin et donner un coup de neuf aux réseaux d’assainissement.
8 janvier 2024
Le but de cette journée est de permettre la rencontre entre spécialistes sur la question climatique, agriculteurs et la société civile. Nous voulons permettre aux uns et aux autres de comprendre les enjeux qui s’imposent à nous tous pour voir comment chacun peut y répondre.
L’eau est un sujet de tension dans de nombreux territoires, il est nécessaire de prendre le temps d’un échange réel pour comprendre les enjeux à relever.
La matinée sera un moment de présentation, l’après-midi sera un moment de débat avec quelques témoignages.
DISPONIBILITÉ - STOCKAGE - USAGES
Interventions de :
- Jean-François Berthoumieu, climatologue, Président de Eau & Climat
- Jean-Louis Durand, directeur de recherche à l'INRAE Poitiers
- Julien Le Guet, porte-parole de Bassines Non Merci
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702 signatures (1 548 au 22/01/24)
Destinataire(s) : Les préfet.es, les ministres de l'agriculture, de la transition écologique, de la santé, les député.es et sénateurs.trices, le.la Président.e de la République.
Un peu partout notre eau de boisson n’est plus potable, mais consommable ! Face à une pollution quasi-généralisée au Chlorothalonil (et autres molécules de pesticides), il est impératif d’actionner dès maintenant tous les leviers réglementaires pour restaurer une eau potable, et de tout faire pour que cela ne se reproduise pas.
Pourquoi faut-il agir maintenant ?
Septembre 2023 : Dans le département de la Vienne, les deux distributeurs d’eau, « Eaux de Vienne » et « Grand Poitiers », décèlent et quantifient dans l’eau du robinet la présence d’un métabolite (un résidu après épandage) du Chlorothalonil (le Chlorothalonil-R471811). Sa concentration dépasse les normes sanitaires de l’eau potable (1).
Le Chlorothalonil a des effets sur la santé humaine très inquiétants
...
Le fongicide Chorothalonil, imprudemment autorisé par l’État, a été épandu sur les terres agricoles durant trente ans avant d’être interdit en Europe en 2019, avec usage autorisé en France jusqu’en 2020. Les concentrations de ce métabolite ne devraient pas baisser dans les années à venir, mais au contraire augmenter compte tenu de la lenteur d’infiltration des eaux de pluie vers les nappes.
De plus, d’autres métabolites du Chlorothalonil, non recherchés, pourraient aggraver la situation. Les deux tiers de la France et d’autres pays sont touchés. La Suisse, par exemple, a recherché et trouvé 8 métabolites du Chlorothalonil !
...
nous demandons :
➡️ Que l’État prenne ses responsabilités : il a donné, contre tout principe de précaution, une autorisation de mise sur le marché de ces substances. Il doit organiser une action curative immédiate, concrètement :
L’Agence de l’Eau Loire Bretagne et l’État doivent fournir aux deux producteurs publics d’eau potable de la Vienne les moyens techniques et financiers pour dépolluer sans alourdir la facture d’eau de nos concitoyens.
➡️ Que le préfet de la Vienne prenne ses responsabilités de manière préventive : Il a les moyens règlementaires de limiter les risques qu’un autre pesticide reproduise demain la situation actuelle, concrètement :
- Il peut restreindre ou interdire l’usage des produits phytosanitaires en cas de risque exceptionnel et justifié (en application de l’article 5 de l’arrêté du 4 mai 2017 relatif à l’utilisation de ces produits)
- Il peut interdire les pesticides dans les périmètres de protection de ces captages s’ils sont déjà définis.
- Il peut réviser tous ses arrêtés de DUP (Demande d’Utilité Publique) et en prendre de nouveaux pour les captages qui en sont dépourvus afin de prescrire des périmètres de protection correspondant aux zones vulnérables aux pollutions diffuses et interdire les pesticides dans ces zones.
➡️ Que les législateurs – nos député.es et sénateurs-rices – renforcent et simplifient la prévention des pollutions par nitrates et pesticides en inscrivant dans la loi : - L’obligation pour les préfets de définir pour tous les captages d’eau potable les Aires d’Alimentation de Captage (AAC) et d’y prescrire la cartographie de leurs zones vulnérables.
- L’obligation d’interdire les pesticides dans les zones vulnérables des AAC et d’y limiter les apports en azote.
➡️ Que le gouvernement accompagne techniquement et financièrement l’ensemble de la filière agricole dans des pratiques agricoles soucieuses de la santé de tous et respectueuses de l’environnement dans les aires d’alimentation et de captage.
Nous proposons que les producteurs d’eau, en difficulté pour fournir une eau potable :
- Organisent, en coopération avec les agriculteurs, un programme d’actions volontaires agroécologiques pour chaque captage en limite ou en dépassement des normes de qualité.
- Qu’en cas d’échec patent au bout de deux programmes, ils demandent au préfet le classement de l’Aire d’Alimentation en « Zone Soumise à Contraintes Environnementales » (ZSCE). Ainsi, l’État pourra alors interdire les pesticides dans les secteurs vulnérables de ces aires.
Toutes ces mesures sont urgentes, notre santé à tous est en jeu. Le financement d’usines de dépollution risque de faire exploser le prix de l’eau, c’est pourquoi il est essentiel de la protéger par une agriculture durable sans intrants chimiques.
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Groupe local Greenpeace Poitiers
Vienne Nature [France Nature Environnement]
Comment elle sera remise : Par courrier.
Relayée par la presse locale : https://www.lanouvellerepublique.fr/poitiers/pesticides-dans-l-eau-potable-vienne-nature-lance-une-petition-avec-greenpeace
Sources :
(1) Agence régionale de Santé Nouvelle Aquitaine. Arrêté 2023/ARS/DD86-PSPSE du 11 septembre 2023
(2) ANSES Saisine N°2021-SA-0252 du 26 janvier 2022
(3) Code de l’Environnement, Article L210-1.
RELAYÉE PAR
- http://www.poitou-charentes-nature.asso.fr/pour-une-eau-potable-et-sans-pesticides/
- https://www.lanouvellerepublique.fr/poitiers/pesticides-dans-l-eau-potable-vienne-nature-lance-une-petition-avec-greenpeace
- https://www.centre-presse.fr/article-884603-pesticides-dans-l-apos-eau-potable-vienne-nature-lance-une-petition-avec-greenpeace.html
792 Signatures (11 766 au 20/01/2024)
En 2023, les tarifs de l’électricité ont augmenté successivement de 15% puis de 10%. Cela représente une hausse moyenne d’environ 425 euros dans l’année.
Mais ce n'est pas tout : en 2024, la facture d'électricité doit de nouveau augmenter. Une hausse de 10% (environ 200 euros dans l’année) est prévue le 1er février car le gouvernement a pris la décision de réintroduire une taxe sur l’électricité.
Ça suffit !
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Connue / https://lafranceinsoumise.fr/2024/01/15/tarifs-de-lelectricite-la-france-insoumise-lance-une-petition-pour-lannulation-de-laugmentation-de-10/
Le soissonnais se soulève pour préserver le vivant ! - paru dans lundimatin#411, le 15 janvier 2024
Sur le plateau de Soissons, dans l’Aisne, l’entreprise danoise Rockwell?? souhaite installer une usine de laine de roche. Au programme : 950 tonnes de polluants toxiques et 22 000 tonnes de CO2 à l’année et en bonus, 200 poids lourds en rotation au quotidien. Étonnement, les riverains se mobilisent pour empêcher que ce projet n’aboutisse. Le comité des Soulèvements de la Terre de Laon, nous a transmis un point d’étape quant à cette mobilisation locale. On y apprend notamment que le terrain sur lequel souhaite s’installer le géant danois se nomme : Le bras de fer !
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Lutter contre Rockwool, c’est aussi être l’eau qui se défend !
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la Terre qui se défend !
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préserver le vivant !
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[1] C’est fou mais sur les cartes le terrain de Rockwool sur le plateau de Courmelles se nomme : Le bras de fer !
[2] A l’heure actuelle, les travaux consistent a installer la base de vie et le cloturage du site.
[3] https://stoprockwool.wordpress.com/2023/12/10/la-publicite-mensongere-de-rockwool/
[4] https://reporterre.net/Rockwool-Comment-l-Etat-peut-il-soutenir-des-multinationales-financant-Poutine
[5] Les cailloux utilisés c’est du basalte.
[6] https://stoprockwool.wordpress.com/2023/05/15/synthese-du-projet-rockwool-a-soissons/
[7] https://stoprockwool.wordpress.com/2022/11/10/rockwool-dans-le-top-10-des-industries-francaises-les-plus-polluantes/#comments
[8] https://stoprockwool.wordpress.com/2023/11/23/dossier-de-presse-de-novembre-2023/
[9] La commune de Courmelles
[10] Le village contre la multinationale, Arnaud Svreck et David Breger, Seuil, novembre 2022.
[11] https://reporterre.net/Les-enquetes-d-utilite-publique-sont-faites-pour-etre-inutiles
[12] Voir dossier de presse, stop rock wool, novembre 2023.
[13] https://stoprockwool.wordpress.com/2023/08/30/rockwool-et-la-secheresse/
[14] Aisne nouvelle du 11 novembre 2023.
[15] Préservons le vivant, Manifeste d’agriculteurs du Soissonnais, opposés à la construction d’une usine de laine minérale Rockwool sur les hauteurs de Soissons.
Connu / TG le 15/01/24 à 15:17
Polluants éternels : après un an et demi d’analyses sur les PFAS, l’ARS passe en "phase active" / France 3 Auvergne-Rhône-Alpes
Bilan, après plus d’un an de recherches, de la contamination aux substances per- et polyfluoroalkylées dans l’eau potable. Sans surprise, toute la vallée du Rhône est concernée, mais l’Agence régionale de santé est enfin...
Connu / TG le 15/01/24 à 19:21