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Conférence de Presse du 4-avril 2023 à Orange.
Cet évènement précède la réunion de synthèse de la Commission Nationale du Débat Public (CNDP) qui se tient entre le 1er-février et le 9-avril 2023, relatif à la concertation préalable au projet d'extension de l'usine d'enrichissement d'uranium Georges Besse 2. Un projet porté par ORANO-Tricastin (ex-AREVA).
1,3 à 1,7 milliards d'€ d'investissement sont en jeu alors que des passifs environnementaux, sanitaires et sociaux sont laissés en souffrance, ignorés ou enterrés.
Dans les 46 premières minutes, les représentants associatifs et/ou politiques et un citoyen assidu aux réunions publiques proposées par la CNDP s'expriment dans le but de :
1) Réagir à l'invitation de la CNDP à participer à un semblant de concertation ;
2) Appeler à réunir les conditions d'un débat démocratique ;
3) Faire la lumière sur les responsabilités d'ORANO, et en particulier sur le dossier Solérieux.
Puis viennent les réponses aux questions des journalistes et l'intervention de deux garants du débat public à la CNDP.
Ceci n'est qu'une proposition d'amorce de débat démocratique, riche de nos différences et de nos points de vue respectifs, une invitation à créer de vrais évènements démocratiques qui a pour origine un point sur une carte, Solérieux, l'une des 13 installations de stockage de déchets conventionnels ayant reçu des déchets radioactifs, recensées en France par l'ANDRA.
Sommaire :
00:00 Introduction par Sylvie Guénassia, Les Amis de la Terre Drôme
03:08 Déterrer l’impensable : le passif de Solérieux est-il soldé ? par Michaël Gabriele, Les Amis de la Terre Drôme
08:13 Pollution de la nappe phréatique aux perchloréthylène et trichloréthylène à Pierrelatte (Georges Besse 1) : où en est-on du procès intenté à Orano (ex-Areva) ?
par Dominique Hennion-Rolland, Arrêt du Nucléaire Drôme-Ardèche et Europe Ecologie Les Verts (EELV) Drôme
13:34 Usages de l’eau et discussion autour des chiffres : choisir entre produire de l’électricité ou boire et se nourrir ?
par Dominique Malvaud, Arrêt du Nucléaire Drôme-Ardèche et Nouveau Parti Anticapitaliste Drôme
18:25 Réunir les conditions d’un vrai débat démocratique : et si l’on tirait les leçon de la convention citoyenne pour le climat ?
par Hélène Lacheret, La France Insoumise (LFI) Drôme
24:22 Concertation préalable au projet d’extension Orano Georges Besse 2 : une drôle d’expérience démocratique !
par Christophe Lefèbvre, citoyen assidu au réunions publiques proposées par la CNDP
31:47 Et la santé et la sécurité des travailleurs du nucléaire dans tout ça ?
par Gilles Reynaud, Président de « Ma Zone Contrôlée » et LFI Drôme
35:35 puis 44:53 Quelles pourraient être les Perspectives d'emploi et de reconversion dans la vallée du Rhône, la plus nucléarisée d'Europe ?
par Serge Marolleau, porte-parole d’EELV Vaucluse
41:23 Conclusion par Michaël Gabriele, Les Amis de la Terre Drôme
46:36 Questions / Réponses avec la Presse et avec la participation de deux des garants du débat public pour la CNDP, MM. Etienne Ballan et Denis Cuvillier.
Connu / TG le 11/05/23 à 16:52
Tr.: ... COHV composés organiques H? volatiles ... pollution de la nappe ... >17:00 TERMINER ACT
dijoncter.info (https://dijoncter.info/des-projets-photovoltaiques-a-la-place-des-espaces-naturels-agricoles-et-4644)
Projets photovoltaïques à la place des espaces naturels, agricoles et forestiers ? Non, cent fois non, et on vous dit pourquoi
Jura nature environnement, en sa qualité d’association d’intérêt général, recense tous les projets ...
Connu / TG le 06/05/23 à 12:13
199 ont signé
Noé PETIT a lancé cette pétition
Déboisement de 42 hectares de bois prévu à Semblançay (37 360) près de Tours pour l'installation d'une centrale photovoltaïque.
Un projet hypocrite, bien plus "financier" que "écologique" ! Pourquoi ?
Sous couvert de développer les énergies renouvelables et donc servir l’intérêt général dans le sens de la transition énergétique, le groupement forestier à l'origine du projet, cherche surtout à rentabiliser ses terres en y déployant d'autres activités plus lucratives... Ne nous y méprenons pas, si le déploiement du photovoltaïque est une bonne chose, artificialiser des terres, déboiser des parcelles de foret n'a rien d’écologique !
Le non-sens de raser des bois pour y installer du photovoltaïque nous montre que ce projet à surtout était réfléchie pour sa rentabilité et non dans l'optique de la transition écologique !
Un tel déboisement n’est pas acceptable à l’heure du dérèglement climatique !
Nous devons dénoncer et empêcher ce projet écocidaire à Semblancay !
Connu / TG le 27/04/23 à 23:52
240 signatures
Auteur(s) : COCIP (Collectif de Citoyens Indignés par le Projet d'incinérateur)
Destinataire(s) : Mme Le Préfet d'Angoulême, Mr Le Maire d'Angoulême et Président du Grand Angoulême, Mme La Sénatrice, Mr Le Député de la circonscription d'Angoulême
La pétition
NON au projet de MEGA INCINÉRATEUR à Angoulême au milieu des habitants :
- LA POLLUTION & IMPACT SANITAIRE :
- risque de pollution majeure dont les dioxines et métaux lourds sous le vent d'ouest qui porte vers l'agglomération d'Angoulême
- pollution sonore et nouvelles émissions de C02 et particules fines dues au trafic de milliers de camions qui feront les allers-retours sur un réseau routier inadapté déjà saturé
- INCINÉRATEUR "GÉANT" :
- le double des besoins charentais : prévus 120 000 tonnes de déchets ménagers par an pour prendre en charge ceux d'autres territoires (une partie du Libournais et de la Haute Saintonge)
- en contradiction par rapport à la politique de réduction drastique des déchets
- LOCALISATION :
- sur le site de l'ancienne poudrerie, dépollué pendant 16 ans. Pourquoi recréer de nouvelles pollutions (risques de cancers) ?
- le long de la Flow Vélo, voie touristique et de loisirs
- en zone inondable
- au milieu des habitants, proche des écoles et des équipements de plein air, en bordure du fleuve Charente
- une seule industrie à proximité susceptible d'utiliser l'énergie produite
Calitom, initiateur du projet, ne prend en compte que l'aspect industriel sans se soucier des aspects sanitaires et sociaux.
Qu'en est-il de la voie verte et du tourisme ?
Qu'en est-il de la santé des populations concernées ?
La CGT Culture affirme dans un communiqué que les personnels du Mobilier national en grève contre la réforme ...
Connu / TG le 22/03/23 à 22:46
Environnement, Autoroute Castres-Toulouse, Haute-Garonne
À l’appel du collectif « La voie est libre », des centaines de personnes ont dit leur opposition à l’A69 entre Toulouse et Castres, de dimanche après-midi.
Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées, dimanche après-midi, à l’entrée du village de Vendine, dans l’ouest de la Haute-Garonne, pour dire « Non », à l’A69 entre Castres et Toulouse, et « Oui » à l’actuelle RN126. Le choix de cette entrée de village est symbolique puisque le projet autoroutier prévoit d’abattre la magnifique allée, composée de 28 platanes centenaires, qui conduit au cœur de Vendine.
" Il faut arrêter de goudronner"
...
saccager des arbres et 400 hectares de terres agricoles vont être sacrifiés ... Si nous étions si enclavés que cela, comment expliquer l’expansion des Laboratoires Fabre? ... pour Gilbert Hebrard, ancien maire pendant 44 ans de Vendine, qui supporte très mal qu’on massacre son village ...
Connu / TG le 19/03/23 à 20:00
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La Chine est devenue l'usine du monde, le Brésil doit-il devenir la ferme usine du monde ?
En direct de l'Assemblée nationale, des députés de tous les groupes parlementaires, de droite, de gauche et de la majorité présidentielle, la Fondation Nicolas Hulot, Interbev, l'Institut Veblen et la FNSEA demandent à Emmanuel Macron de s'opposer fermement, au nom de la France, à la ratification du traité de libre-échange liant l'Union européenne et les pays du Mercosur.
490 signatures (5 355 au 7/5/23)
Destinataire(s) : Pierre Dartout préfet de région Nouvelle Aquitaine
Campagne lancée par Joëlle L.
Notre association de protection de l'eau et de l'environnement (APIEEE), située dans les Deux-Sèvres, vient de se voir retirer des subventions pour avoir "participé à l'organisation de la manifestation de Sainte-Soline", (ce qui est faux) et avoir "montré notre soutien" au mouvement contre les méga bassines (ce qui est vrai).
C'est particulièrement injuste car la subvention retirée est une subvention Fonjep (Jeunesse et Education Populaire) qui nous est accordée pour faire des animations nature auprès des enfants ou d'autres publics, du territoire, ce que nous faisons avec zèle : une centaine d'animations et plus de 1500 personnes sensibilisées en 2022.
La subvention retirée représente environ 25% de notre budget ce qui met en cause l'emploi de notre salarié et notre survie. De plus, la préfecture vient de nous signaler notre éviction des comités de gestion de l'eau auxquels nous participions jusqu'à présent et faisions entendre une voix déjà minoritaire en faveur de l'eau potable et des milieux aquatiques.
Nous attendons que la préfecture retire cette sanction financière disproportionnée pour des faits qui ne sont même pas avérés. Et qu'elle nous rétablisse dans notre rôle de représentation au sein des instances de gestion de l'eau.
...
35.040 signatures
Auteur(s) :
Association ASPECT (Association de Sauvegarde de Protection de l'Environnement de Coussay-les-Bois et sa région Thermale)
Suivre cet auteur
Destinataire(s) :
Monsieur le Préfet de la Vienne Jean-Marie GIRIER, Monsieur le Sous-préfet de Châtellerault Christophe PECATE, l'ensemble des autorités environnementales (DDT, DREAL) et judiciaires (Tribunal administratif de Poitiers, Cour d'Appel de Bordeaux)
La pétition
Alors que partout sur la planète, on s'alarme des conséquences du dérèglement climatique et qu'il est nécessaire de baisser les émissions de carbone, un projet industriel d'élevage intensif, fort émetteur de CO2 et à risque futur et certain de pollution des eaux démarre à Coussay-les-Bois dans la Vienne.
Depuis 8 ans, nous luttons contre ce projet d'un autre temps grâce au soutien constant de la population et des élus des 47 communes environnantes.
...
politique hors-sol en stoppant les travaux de cette prochaine usine d'engraissement intensif.
Pour sauver le bien vital qu'est la ressource en eau d'un territoire, pour préserver l'image d'une région thermale et pour en finir avec cette politique agricole qui néglige la qualité.
Pour lutter contre la maltraitance animale, pour préserver l'indispensable biodiversité et enfin pour réduire les risques sanitaires, signons massivement cette pétition :
Pas une ferme-usine de plus !
Association ASPECT : http://asso-aspect.over-blog.com/
Facebook : @associationASPECT
Twitter : @Asso_aspect
Collectif contre la ferme-usine de Coussay-les-Bois (15 structures): https://www.collectifcoussay.fr/
Connue / https://twitter.com/nickcharles6050/status/1600595172789784589
"
Nick @nickcharles6050 7 déc. 2022
Nature et environnement - Signez la pétition : Non au démarrage des travaux de la Ferme-usine des 1200 taurillons à Coussay-les-Bois
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La réponse de Bassines non merci à une éventuelle interdiction des manifestations par la préfecture des Deux-Sèvres, ... Notre réponse aux menaces de la préfecture des Deux-Sèvres d'interdire les manifestations du 25 mars contre les #mégabassines à Sainte-Soline et/ou Mauzé sur le mignon ...
Connu / TG le 10/03/23 à 20:10
6781 ont interpelé leur député
Lundi 6 mars 23h, les députés de la Commission des Affaires économiques ont adopté à la va-vite deux amendements conduisant à fusionner l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) et l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN). En séparant la recherche et l’expertise qui incombait à l’IRSN de la décision administrative prise par l’ASN, ce dispositif institutionnel limitait les pressions du contrôlé, EDF, sur le contrôleur, l’IRSN.
Cette décision irréfléchie, prise dans le cadre d’un projet de loi de relance du nucléaire cherche à diminuer les exigences en matière de sécurité afin d’accélérer la construction des centrales atomiques programmées par le Gouvernement.
La dualité de l’IRSN et de l’ASN est un système qui a fait ses preuves au cours du temps. Une nouvelle fissure a été découverte à la centrale nucléaire de Penly le mardi 7 mars. Celle-ci serait de 1500mm de large et de 23mm de profondeur, bien plus grande que les micros-fissures découvertes détectées sur d’autres réacteurs plus tôt. C’est à partir de cette expertise que l’ASN a sommé EDF de « réviser sa stratégie de contrôle » car cette fissure affecte la fonction de sûreté liée au refroidissement du réacteur.
...
Nous appelons les députés à revenir sur la décision de fusionner l’IRSN et l’ASN, qui risquerait de causer un affaiblissement de l’expertise, ce qui mettrait en péril la robustesse, l’indépendance et la transparence nécessaires à la prise de décisions solides en matière de sûreté et de sécurité. Dès lundi 13 mars, les députés auront à voter définitivement cette fusion en séance plénière.
Sans une mobilisation citoyenne d’ampleur, les députés vont fragiliser notre système de sûreté nucléaire au détour d’une loi de relance du nucléaire.
Opinions Tribunes
OPINION. Il y a un mois, le Parlement a adopté la loi sur les énergies renouvelables censée accélérer leur déploiement : une loi sans aucune ambition, un « deux poids deux mesures » flagrant avec le projet de loi d’accélération du nucléaire soumis à l’Assemblée nationale.
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Le choix de massifier la production électronucléaire fait largement l'impasse sur l'amont et l'aval du nucléaire : l'approvisionnement en uranium et la gestion des déchets. Contrairement à la fable entretenue sur la « souveraineté » que nous procurerait l'atome, il faut redire que l'uranium ne pousse pas dans nos jardins. Les 7.000 tonnes consommées en France chaque année viennent du Niger, du Canada, du Kazakhstan et d'Ouzbékistan. Quant à l'uranium soi-disant « recyclé », il nous revient... de Russie. La situation est aussi extrêmement critique concernant les déchets, puisque les capacités actuelles d'entreposage et de stockage atteignent leurs limites, obligeant à de dangereux paris sur un avenir qui se compte en centaines, voire en centaines de milliers d'années à travers le projet d'enfouissement à Bure.
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une débauche d'argent, sans doute public, de plus de 100 milliards d'euros... au bas mot. Sans aucune démonstration, aujourd'hui, que les technologies retenues sont opérationnelles, fiables, encore moins performantes
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Le Président de l'ASN, de plus, le rappelait l'année dernière :
« Un accident nucléaire est toujours possible et ceux qui prétendraient le contraire prennent une grande responsabilité. ».
Un rappel opportun à la veille du funeste « anniversaire » de la catastrophe de Fukushima.
Le nucléaire est hors de prix, risqué et dépassé. Il n'est en rien garant de notre souveraineté, et il léguera un héritage empoisonné à nos enfants. Sa vulnérabilité face aux aléas naturels s'est dévoilée au Japon en 2011, et les conséquences du dérèglement climatique exacerbent encore les risques.
Au demeurant, c'est aussi une chimère face à l'urgence climatique. Il ne suffira pas de le marteler « décarboné » pour tordre le réel. C'est en 2030 que nous devrons avoir réduit nos émissions de GES de 55%, et en 2050 que nous devrons atteindre la neutralité carbone. Or, dans le calendrier de développement proposé, aucun nouveau réacteur ne sera opérationnel avant 15 ans ! Que penser de responsables politiques qui sont prêts à nous faire perdre un temps que nous n'avons déjà plus ? Les énergies renouvelables permettent déjà à certains pays d'Europe de couvrir l'essentiel de leur demande en électricité.
Nous ne pouvons pas faire l'économie d'un grand débat
...
c'est aujourd'hui que nous devons planifier la sortie du nucléaire. Des scénarios très sérieux existent (RTE, Ademe, Negawatt) pour un mix énergétique 100% renouvelables ; le rôle des parlementaires devrait être, à cette heure, de tracer le chemin pour y arriver.
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Signataires : Mathilde Panot, présidente du groupe LFI-Nupes à l'Assemblée nationale ; Christophe Bex, Aymeric Caron, Maxime Laisney, Aurelié Trouvé, Anne Stambach-Terrenoir, chefs de file LFI-Nupes sur le PJL relatif à l'accélération construction de nouvelles installations nucléaires et fonctionnement des installations existantes.
Connu / https://twitter.com/LaTribune/status/1633851206534672387
6143 personnes ont signé
Le gouvernement s’entête chaque jour un peu plus dans l’absurdité de vouloir construire au moins 6 nouveaux réacteurs nucléaires EPR dans la décennie qui arrive.
🤔 Problème : il faut trouver 51 milliards d’€
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trouver l’argent nécessaire en le ponctionnant sur le livret A des français 😡
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vous seriez prêts à retirer vos fonds du livret A
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Connu / TG le 06/03/23 à 14:43
3015 personnes ont décidé que 32 862 960 € ne financeront pas la relance du nucléaire si le gouvernement se sert de l’épargne du livret A.
Le gouvernement s’entête chaque jour un peu plus dans l’absurdité de vouloir construire au moins 6 nouveaux réacteurs nucléaires EPR dans la décennie qui arrive.
🤔 Problème : il faut trouver au moins 50 milliards d’€ pour les financer (au minimum, donc sans doute beaucoup plus dans un secteur coutumier des explosions de budget). Mais qui pourrait bien prêter de l’argent pour des projets pharaoniques dont le retour sur expérience des têtes de série est complètement désastreux ? (explosion du coût, des délais, malfaçons multiples sur des structures essentielles du réacteur, la liste est longue).
💡Eurêka : en ce début février 2023 la presse a relayé une information sur un projet du gouvernement qui consisterait à trouver l’argent nécessaire en le ponctionnant sur le livret A des français 😡. Ce livret d’épargne possédé par 55 millions de personnes et qui représente plus de 375 milliards d’économies est à la base sensé financer des programmes de construction de logements sociaux.
Ce changement de cap possible de l’utilisation de nos économies vers des projets qui sont loin de faire l’unanimité est scandaleux. Un déni de démocratie de plus qui consisterait à faire encore payer aux français un avenir qu’ils n’ont pas choisi. Si cette proposition est encore au stade de projet pour l’exécutif, c’est la Caisse des Dépôts qui devrait trancher si cette demande est légitime.
...
La Quadrature du Net @laquadrature
Demain, débute en commission des lois la discussion générale sur la loi JO ! Ce n'est que le début de la bataille, alors venez à nos sessions collectives d'appel ce jeudi 2 mars à Paris et Marseille pour pour exiger le rejet de l'art 7 et l'interdiction de la VSA.
#NONArticle7
Image
3:05 PM · 28 févr. 2023 · 17,4 k vues 150 Retweets 7 Tweets cités 204 J'aime
- À Marseille, cela se passera à la Mi-Hantée, 88 rue d'Alger à partir de 16h et la session d'appels sera suivie d'un atelier de contribution artistique autour de la loi JO pour sensibiliser et informer sur le sujet.
#Technopolice #PJLJO - À Paris, ce sera dans nos locaux au 115 rue de Ménilmontant de 14h à 18h. Et sinon, vous pouvez aussi appeler depuis chez vous et dès maintenant. Les contacts des parlementaires et les arguments phares pour les convaincre sont sur notre page de campagne !
laquadrature.net
Loi J.O. : refusons la surveillance biométrique
Courant mars, l'Assemblée nationale va se prononcer sur le projet de loi relatif aux Jeux olympiques et paralympiques, déjà adopté par le Sénat. En son sein, l'article 7 vise à autoriser la vidéosu... - VSA ??
klorydryk @klorydryk · 16h Vidéo-Surveillance Automatisée ou Algorithmique-VSA
Des fonds marins labourés,
Des espèces marines et des écosystèmes fantastiques menacés,
Le dérèglement du climat encore aggravé…
… c’est la menace qui plane sur nos écosystèmes si l’exploitation minière en eaux profondes est autorisée. Plus de 600 scientifiques et de nombreux États se sont déclarés contre, dont la France. Pourtant, Etats miniers et industriels sont sur les dents : ils vont tout faire pour obtenir un code minier international qui leur donne le droit de débuter l’exploitation commerciale des fonds marins à l’été 2023.
... exhorter le gouvernement à porter la protection des fonds marins dans toutes les instances internationales où se jouent les négociations.
Connu / TG le 23/02/23 à 12:11
340 signatures
Soutenez Catherine F. en signant cette pétition.
Destinataire(s) : Mesdames et Messieurs les députés et sénateurs
Campagne lancée par FNE Normandie, Stop EPR, Sortir du Nucléaire, ATTAC Dieppe, Enercoop Normandie
Vous allez prochainement vous positionner sur le futur énergétique de la France dans le cadre de la révision de la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) début 2023, et donc sur la relance ou non de la filière nucléaire française.
Les raisons de refuser l’implantation de ces EPR2 sur notre territoire et partout ailleurs sont nombreuses :
⚠️ Le nucléaire est hors délai, impuissant et fragile face au dérèglement climatique : au moins 15 ans à 20 ans pour construire un réacteur alors que nous devons agir dès maintenant.
...
⚠️ Ne misons pas sur une énergie dont l’approvisionnement en uranium nous fait dépendre de pays comme la Russie à qui on continue d’acheter de l’uranium enrichi en temps de guerre en Ukraine.
...
nous exigeons :
✔️ L’abandon du projet EPR2 : ni à Penly ni ailleurs,
✔️ Le respect de la Convention d’Aarhus, pour que le public puisse exercer une RÉELLE influence sur les décisions en matière d’environnement,
✔️ Une vraie indépendance énergétique grâce à l’abandon des énergies fissiles et fossiles remplacées par de la sobriété, de l’efficacité énergétique et des renouvelables pour favoriser une transition énergétique respectueuse de notre environnement et inséparable de la justice sociale.
Connue / https://actionpopulaire.fr/messages/3f011e4b-1ac9-4bca-803b-ffa6896ef2dd/
Pour s’opposer à la « bétonisation d’un espace végétalisé de trois hectares » concerné par la construction du projet immobilier Venise ...
Connu / TG le 15/02/23 à 15:34
261 861 ont signé
Intersyndicale RETRAITES a lancé cette pétition
Le gouvernement a annoncé le report de l’âge de la retraite à 64 ans avec un allongement accéléré de la durée de cotisation.
Cette mesure est injustifiée : le rapport du Conseil d’orientation des retraites (COR) l'indique clairement, le système de retraites n’est pas en danger. Il n’y a aucune urgence financière.
...
Catherine Couturier a été agressée pour la quatrième fois. Cette fois-ci, les murs sont affichés, la porte a été murée et des inscriptions d’extrême droite ont été taguées de toute part autour. L’une d’elles dit clairement « ferme-là ». Les voyous d’extrême droite s’adressent […]
⚠️ La permanence de la députée insoumise de la Creuse Catherine Couturier a été agressée pour la quatrième fois https://www.lamontagne.fr/gueret-23000/actualites/les-syndicats-fdsea-et-ja-de-la-creuse-murent-la-permanence-de-la-deputee-catherine-couturier-on-veut-des-excuses-publiques_14237373/. Il est temps que paix et sûreté soient clairement garanties par l’État républicain. Sinon une escalade est à redouter.
...
ils annoncent leur but : la faire taire. Ce type de menace en direction d’un parlementaire est puni sévèrement par la loi. Comme on le sait, depuis l’antiquité puis depuis les États généraux de 1789, la personne d’un parlementaire est « sacrée », inviolable, in-menaçable. Il y a donc de lourdes amendes (jusqu’à quinze mille euros) et de la prison ferme prévue pour ceux qui tentent d’obtenir un vote ou une action d’un député sous la menace. Ce n’est donc pas une affaire personnelle que celle-ci. C’est alors au procureur de la République de se saisir pour que la démonstration soit faite que la liberté d’expression d’un parlementaire est une cause d’intérêt général en République. Des relevés d’identité ont été faits. La procureure peut donc se saisir sans erreur.
...
ce sont ses propos tenus dans l’hémicycle qui lui valent la vindicte de l’extrême droite « paysanne ». Elle a déjà été attaquée pour la même intervention dans le débat sur les énergies renouvelables et la méthanisation. L’ancien député LREM de la circonscription s’est aussitôt indigné et exprimé par tweet et vidéo contre elle
https://twitter.com/moreaujb23/status/1605322211963072512
...
Cette nuit a eu lieu une première opération de collage contre la permanence. Ce matin, le murement de la porte sous les yeux des policiers présents. Mais sans réaction… « pour ne pas attiser » ! On en est là. Des policiers regardent murer une permanence parlementaire sans rien faire. N’est-il pas urgent de voir l’État affirmer son existence en Creuse ? Surtout pour défendre les bases élémentaires de la démocratie républicaine quand elle est mise en cause comme ici de façon ouverte et délibérée contre la liberté de parole d’une députée.
Il est urgent que la macronie condamne ces comportements et que son ancien député, monsieur Jean-Baptiste Moreau, le fasse lui aussi pour distinguer son droit à polémique de la méthode de l’agression physique. Il est urgent que le garde des Sceaux donne des instructions générales pour réprimer les actes qui mettent en cause la sécurité et la liberté des parlementaires. Il est temps que les voix républicaines s’expriment venant de tous bords. Il est temps que paix et sûreté soient clairement garanties par l’État républicain. Sinon une escalade est à redouter et il est prouvé qu’une telle pâte, quand elle sort du tube, n’y revient plus ensuite. La défense de Catherine Couturier, députée de la Creuse, est un avant-poste et peut être la dernière station avant le royaume de la violence d’extrême droite banalisée et donc autorisée.