Le terme « biocombustibles » désigne les combustibles solides, d’origine végétale (ou animale, de manière plus marginale), utilisés soit pour de la production de chaleur seule, soit pour une production combinée de chaleur et d’électricité.
Ces biocombustibles peuvent être les co-produits ou sous-produits d’activités forestières, agricoles ou industrielles ou être issu de filières ayant uniquement comme objectif la fourniture d'énergie.
Les biocombustibles retenus dans la Base Carbone ® sont les suivants :
■Le bois bûche
■Les granulés de bois (ou pellets)
■Les plaquettes forestières
■Les écorces, sciures, chutes
■Les broyats de cagettes ou de palettes
■La paille
■La bagasse
Sources :
[130] Etude ADEME – Bio Intelligence Service / « bilan environnemental du chauffage domestique » / 2005
[131] Etude ADEME – Bio Intelligence Service / « bilan environnemental du chauffage collectif (réseau de chaleur) et industriel » / 2005
[132] Note ADEME / « Bilan énergie et effet de serre des filières céréales » / 2006
[133] DGEMP, pages concernant la biomasse du site de l'Observatoire de l'Energie
[943] MEEM - MLHD - Référentiel Bâtiment « Energie-Carbone » - Label E+/C-
Connu / https://discord.com/channels/756164133186961578/756570847338168350/773225544539045949
@LeMediaTV Niveau 1 :
LA LUTTE DEVIENT NATIONALE CONTRE BIOCOOP
"On est solidaire parce qu'on a déjà vu les conditions de travail se dégrader dans nos magasins qui vont vers une gestion clairement capitaliste, et ca, c'est pas un problème local, c'est un problème national." #Biocoop #Bio
On est solidaire parce qu'on a déjà vu les conditions de travail se dégrader dans nos magasins qui vont vers une gestion capitaliste, c'est pas un problème local, c'est un problème national.
6:30 PM · 22 sept. 2020
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Les engrais synthétiques, les pesticides chimiques et les hybrides de céréales à haut rendement promettaient de réduire la faim, de subvenir aux besoins des populations croissantes et de stimuler la prospérité économique. Entre 1960 et 2015, la production agricole a été multipliée par trois, ce qui a permis d'offrir une abondance de produits à bas prix et d'éviter les pénuries alimentaires mondiales.
Mais tout ne s'est pas passé comme prévu. Des décennies d'agriculture industrielle ont fait payer un lourd tribut à l'environnement et ont suscité de graves inquiétudes quant à l'avenir de la production alimentaire. "Une agriculture efficace n'est pas seulement une question de production", affirme James Lomax, directeur de programme au Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE). "C'est aussi une question de durabilité environnementale, de santé publique et d'intégration économique".
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Ça n'est pas forcément l'affaire du siècle
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Les coûts externalisés, tels que les fonds nécessaires pour purifier l'eau potable contaminée ou pour traiter les maladies liées à une mauvaise nutrition, ne sont pas pris en compte par l'industrie, ce qui signifie que les communautés et les contribuables pourraient payer la note sans même s'en rendre compte. -
Elle peut faciliter la propagation de virus entre les animaux et les êtres humains
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Elle est liée aux maladies zoonotiques
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Elle favorise la résistance aux antimicrobiens
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L'utilisation de pesticides peut avoir des effets néfastes sur la santé
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Elle entraîne la contamination de l'eau et des sols et met en danger la santé des êtres humains.
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Elle favorise l'obésité et certaines maladies chroniques.
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Elle entraîne une utilisation inefficace des terres.
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Elle enracine l'inégalité
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Elle est fondamentalement en contradiction avec la santé environnementale
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Pour plus d'informations, contacter James Lomax : james.lomax@un.org
Thèmes Biosécurité Changement climatique Agriculture Health Industry Natural Resources Pollution
Le monde politique comme les éditorialistes ont beaucoup glosé sur le coup d’arrêt qu’aurait représenté l’épidémie de covid-19 pour le monde de l’économie. Les nécessités sanitaires seraient venues suspendre la bonne marche économique ; la santé d’un côté, la production et le profit de l’autre. Dans cet article, l’économiste et philosophe Jacques Fradin démontre qu’il n’en est rien, que biopolitique et capitalisme, loin de s’opposer, ont de tous temps marchés main dans la main ; aujourd’hui plus que jamais. [NDLR : Un post-scriptum à propos du récent discours d’Emmanuel Macron à propos de l’Europe a été ajouté à cet article le 23 juillet.]
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Connu / https://framasphere.org/posts/9894116
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Ours Noir - il y a environ une heure
Le confinement […] n’est que la nécessité, passagère, du maintien de la bonne santé ou de « la vie » médicalisée pour la perpétuation, future, de la bonne économie.
.#Politique #Économie #Santé_Publique #Santé-Publique #SantéPublique #Épidémie #Covid-19 #Confinement #Biopolitique #Contrainte #Néolibéralisme #Jacques_Fradin #JacquesFradin #JacquesFradin #Fradin #Lundimatin #lundiam #France #France2020 #2020 #fr
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36 minutes
Derrière le biorégionalisme se cache une volonté de repenser les territoires en fonction de leur écosystème pour valoriser les interactions naturelles à l'échelle du local. Mathias Rollot a contribué à introduire cette philosophie de l'espace en France et s'exprime au micro d'Elodie Font dans "Chacun sa route".
Peut-être utopique mais surtout engagé, le biorégionalisme cherche à privilégier les frontières naturelles afin de renforcer des liens harmonieux entre nature et culture © Getty / Kirill Rudenko
Un architecte en balade dans les territoires
Mathias Rollot est titulaire d'un doctorat en architecture et exerce comme maître de conférences à l'Ecole Nationale Supérieure d'Architecture de Nancy où il défend l'idée d'une architecture biorégionale.
Son rapport à l'architecture est enrichi de notions philosophiques : habiter et habitabilité sont au cœur de sa pratique et de sa pensée.
Après avoir fait ses gammes dans divers cabinets d'architecture, il débute en parallèle une activité d'essayiste pour diffuser la théorie de "biorégionalisme" dont il recense dans une bibliothèque virtuelle les divers textes ayant trait à ce sujet.
Le biorégionalisme : une utopie architecturale et territoriale ?
Années 1970. Californie. San Francisco. Plutôt que dans un laboratoire, c'est dans la tête de quelques étranges penseur.euse.s qu'émerge la notion de "biorégionalisme". Peter Berg et Judith Goldhaft fondent alors la "Planet Drum Foundation".
Peut-être utopique mais surtout engagé, le biorégionalisme cherche à privilégier les frontières naturelles au détriment des frontières administratives afin de renforcer des liens harmonieux entre nature et culture.
On change ainsi d'échelle : du global au local, l'être humain n'est plus consommateur.rice mais usager de son territoire. Le respect s'insuffle dans les pratiques.
Antispéciste, antinationaliste, antiraciste et anticapitaliste, le biorégionalisme propose de relocaliser les activités économiques, de renforcer l'autonomie en termes d'énergie et d'alimentation et d'instaurer des démocraties participatives.
En somme, pour Mathias Rollot Le biorégionalisme se pense autant de manière locale qu’interlocale. La vie se noue dans un entrelacement d’échelles. La biorégion est définie par des critères à la fois naturels et culturels. Pour l’identifier, on peut se demander quelles relations humains et non-humains ont-ils nouées à cet endroit, de manière durable et saine ? (Nicolas Celnik, « Biorégions, et au milieu coule une frontière », Libération, 26.02.20)
Retrouvez la chronique de Coralie Schaud de "Libération" : La pollution des avions
Les invités
- Mathias Rollot, Architecte, Docteur en architecture et Maître de conférences à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Nancy
Les références
- La recherche architecturale. Repères, outils, analyses écrit par Mathias Rollot(Editions de l'Espérou)
- Les territoires du vivant. Un manifeste biorégionaliste écrit par Mathias Rollot(Editions François Bourin)
L'équipe Elodie Font, Productrice Clément Nouguier, Réalisateur Céline Dubois, Attachée de production
disponible jusqu'au 24.05.20 - découverte - 103 min - tous publics
A l'heure du changement climatique et de la chute de la biodiversité, nombreux sont les agriculteurs qui opèrent une métamorphose. Ils traversent des crises graves : le prix des denrées qu'ils produisent ne cesse de baisser, et parfois leurs productions se raréfient. Beaucoup d'entre eux, tenus par des investissements qu'ils n'arrivent plus à rembourser, jettent l'éponge. Pour sauver leur métier, beaucoup réfléchissent à changer leurs pratiques. «Pièce à conviction» est parti à la rencontre des ces agriculteurs et agricultrices qui s'essayent à de nouvelles méthodes de culture : une révolution dans ce monde réputé conservateur.
TERMINER >18:36 ACT
Olivier Tesquet @oliviertesquet · 2 avr.
Dans le cas du sida comme dans celui du coronavirus, nous sommes dans un intense moment foucaldien, face au biopouvoir dans toute sa nudité. C'est d'ailleurs le constat lucide posé par Yuval Noah Harari quand il parle de "surveillance sous la peau".
Yuval Noah Harari: the world after coronavirus | Free to read
This storm will pass. But the choices we make now could change our lives for years to come
ft.com
Ndlr : notion utilisée ? ACT
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2è Assises nationales de la biodiversité 2012.
Catégorie Science et technologie 277 commentaires
Guillaume LANGEVIN il y a 4 ans
Mais pourquoi ne met-on pas ce type fabuleux à la tête du ministère de l'agriculture ?
Transcription : Claude Bourguignon, ingénieur agronome et Docteur Es-science Microbiologie ... a fondé avec Lidia un laboratoire de microbiologie des sols ... équilibre agro-sylvo-pastoral au 19è siècle, ont arrêté les famines en europe, ils avaient inconsciement réinjecté l'arbre, c'était sous forme de haie, mais l'arbre est indispensable. ...
Delphine Batho a retweeté
France Culture @franceculture · 10h
Glenn Albrecht, philosophe de l’environnement : "La 3ème Guerre mondiale, la guerre des émotions, sera une guerre entre les créateurs de Terre et ses destructeurs. Ceux qui affirment la vie et ceux qui la nient. Les mauvaises émotions mènent à la maladie, la dysbiosie, à la mort"
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Agriculteur au Pays Basque, Félix Noblia expérimente une agriculture ambitieuse, celle de la conservation des sols en bio, depuis deux ans. Discussion avec ce paysan-chercheur sur cette révolution en cours.
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malgré l’apport d’engrais minéraux, certaines plantes ne poussaient plus sur mes parcelles. Je me suis alors progressivement intéressé à mes sols au gré de rencontres et de discussions avec des collègues agriculteurs, comme Frédéric Thomas, ou des chercheurs comme Lucien Séguy. J’ai alors compris l’importance de restaurer la vie biologique des sols pour construire des systèmes agronomiques durablement productifs.
... abandonner le labour notamment parce que j’avais des terrains très en pente et donc fortement sensibles à l’érosion ... ne pas travailler le sol et réussir la gestion de ces « mauvaises herbes ». La réalité est qu’il y a encore eu très peu de recherche et d’expérimentations sur la conciliation entre l’agriculture biologique et l’agriculture de conservation. Il est en effet très compliqué pour les agriculteurs d’assumer économiquement les risques associés à l’expérimentation de l’agriculture biologique de conservation des sols, qui est une technique incroyablement complexe
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En agriculture de conservation bio, il faut que le sol soit au maximum occupé par des plantes que l’on a choisies, sinon ce seront d’autres, indésirables, qui prendront la place. On va par exemple compter sur le paillage, c’est-à-dire la couverture du sol par les résidus de plantes. Ce paillage va jouer un effet écran et empêcher la germination des graines de plantes indésirées présentes dans le sol. Autre technique : le « relay-cropping ». Cela consiste à insérer dans une culture, avant même sa récolte, celle qui lui succèdera. ... semer des cultures en association, par exemple un blé et un trèfle ... présence d’un élevage grâce auquel je suis sûr de valoriser économiquement ma récolte
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le glyphosate rentre essentiellement dans notre alimentation non pas par les agriculteurs, qui, faut-il le rappeler, ne l’épandent jamais sur les cultures récoltées en France, mais par l’importation d’OGM. Ces OGM, venus notamment d’Amérique du Sud, vont ensuite nourrir une grande partie du bétail français ... utilisé avec parcimonie dans des systèmes d’agriculture de conservation des sols contribue à la construction d’un système d’avenir qui permettra de s’en passer un jour. Il est plus important de basculer la ferme France en agriculture de conservation des sols qu’en système « zéro-glypho » ... on pourrait multiplier son prix par dix et utiliser l’argent ainsi récolté pour la recherche et le développement d’alternatives.
... comment pourrait-on accompagner ... ?
lever les freins matériels et psychologiques ... aider massivement les exploitations à investir dans le matériel adapté ... travailler sur la sélection de plantes de couverture des sols qui sont capables de séquestrer de grandes quantités de carbone afin de les stocker durablement dans le sol et non dans l’atmosphère ... orienter davantage les élevages vers le pâturage ... inciter les consommateurs à manger moins de viande, mais de meilleure qualité à des prix plus élevés ... développer considérablement les réseaux de partages d’informations entre agriculteurs ...
Aller plus loin
- Frédéric Thomas : « Pour la première fois dans l’humanité, on peut produire de manière conséquente en régénérant les sols » https://grainesdemane.fr/frederic-thomas-pour-la-premiere-fois-dans-lhumanite-on-peut-produire-de-maniere-consequente-en-regenerant-les-sols/
- Sarah Singla : « Développons des sols fertiles en remplaçant le métal par le végétal » https://grainesdemane.fr/sarah-singla/
- « Agriculture du vivant » : il se passe quelque chose ! https://grainesdemane.fr/agriculture-du-vivant-il-se-passe-quelque-chose/
Auteur Mathieu Marguerie
Ingénieur agronome spécialisé en productions végétales, je m’intéresse à la diversité de l’agriculture sous toutes ses formes. Je travaille actuellement au développement de l’agriculture biologique.
Pour défendre des zones sauvages ou agricoles, des citoyens créent des ZAD pour occuper ces terres ou des collectifs pour les racheter. Ici, tout un village s'est mis à racheter des terres de façon collective.
Habitants de Trémargat membres de la SAGA (Société Autogérée d'activités)• Crédits : Inès Léraud
A Trémargat, dans les Côtes-d’Armor, un village où les quelque deux cents habitants sont âgés en moyenne de trente ans, la mairie a initié en 2013 une SCI (Société Civile Immobilière) pour acquérir les terres dans et autour de la commune.
La terre va appartenir aux habitants et ils pourront donc la gérer de façon collective. Ça a un sens idéologique assez fort.
Les producteurs locaux peuvent ainsi continuer leurs activités, souvent de l’agriculture biologique, et écouler leur production localement.
Nous distribuons tous nos légumes dans les alentours : l’épicerie et les restaurants du village les achètent et les enfants les mangent dans la cantine du village voisin.
Habitants de Trémargat membres de la SAGA (Société Autogérée d'activités)
Habitants de Trémargat membres de la SAGA (Société Autogérée d'activités)• Crédits : Inès Léraud
Merci à Bruno Jégou, Alain le Flohic et Claude, Baptiste Gilbert et Anne-Marie, Marilia Petite et Pauline. Ainsi qu’Éric Hamon, conseiller municipal.
En savoir plus
Lien vers le site de l'association "Terre de liens" https://terredeliens.org/-un-mouvement-trois-piliers-.html
Lien vers un article du site Reporterre Les zadistes veulent acheter les terres de Notre-Dame-des-Landes https://reporterre.net/Les-zadistes-veulent-acheter-les-terres-de-Notre-Dame-des-Landes
Transcription : ... un squatt a permis de proposer un projet pour valoriser un local d'entreprise abandonnée, aux habitants. Ça a permis à chacun d'incuber ses idées et des réaliser ses projets réparation de voiture, etc
L’Institut de l’agriculture et de l’alimentation biologiques (Itab) est en crise, au moment même où la bio est reconnue comme une voie d’avenir pour l’agriculture. Les auteurs de cette tribune craignent que cet affaiblissement « laisse la place à une privatisation de la recherche appliquée en agriculture biologique, alors que ce sont des enjeux d’intérêt public qu’elle doit résoudre ».
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Le conseil d’administration a connu des départs et évictions qui interrogent quant à sa capacité à représenter désormais la diversité de l’agriculture biologique : actuellement n’y siègent plus ni les chambres d’agriculture, ni la FNSEA, ni la Confédération paysanne, ni Nature et Progrès.
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En presque quarante ans, l’institut a agrégé des compétences pointues et produit des travaux de recherche appliquée originaux. Son approche transversale, multi-filières, couvrant l’amont et l’aval, lui permet d’avoir, sur les questions clés de l’agriculture biologique, une vision large et systémique, valorisant la combinaison de leviers et laissant une large place aux rôles et savoirs des acteurs. Ses activités s’appuient sur les compétences de partenaires multiples, acteurs de la recherche et du développement et praticiens, agriculteurs en tête. L’Itab est unanimement reconnu, aux niveaux national, européen et international, comme l’organisme coordonnant la recherche-expérimentation en agriculture biologique en France, et est régulièrement sollicité pour accompagner le ministère de l’Agriculture comme d’autres institutions publiques.
... du collagène avec les méduses ... apporte pureté, grâce à l'ancienneté (avant division homme, poissons, etc) ... biologie marine ...
Alternative
Pacte pour la Transition @PacteTransition · 8h
Dans nos communes on peut favoriser une agriculture locale, bio et rémunératrice pour les agriculteurs
🥕 @reseaucocagne, @miramap2, @FAIRequitable et @LGA_resilience ont rédigé la fiche technique de la mesure 5 du Pacte pour la Transition et te donnent les clés pour y arriver !
Vie pratique - conso
(AFP) - Sandwiches baptisés Bakounine, Rosa Luxemburg ou Zapata, "tarifs de crise" pour les clients nécessiteux et salaires identiques pour les employés: à "La conquête du pain", boulangerie autogérée de Montreuil (Seine-Saint-Denis), le pain prend une saveur militante.
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créée en 2010 par deux amis, un membre de la Fédération anarchiste et un militant de la mouvance autonome et antifasciste. "On voulait confronter nos idées politiques à la réalité d'un outil de production, et on avait envie de montrer que c'est possible"
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Le pain est vendu à deux prix: tarif classique et "tarif de crise". La baguette peut se payer 1 euro ou 0,75 euro, le pain complet 2,70 euros ou 2,30 euros... ... Sur le modèle du "café suspendu" napolitain (un client achète un café et en paie un d'avance qui sera offert à une personne ne pouvant se le payer), la boulangerie pratique la "baguette suspendue", à disposition des nécessiteux.
Ici, tous les pains sont bio, mais pas les viennoiseries. "Avec du beurre bio, on serait obligé de vendre plus cher", justifie Rachid.
Connu / https://rapportsdeforce.fr/ici-et-maintenant/a-montreuil-des-anarchistes-revolutionnent-la-boulangerie-02241973 -> https://www.youtube.com/watch?v=mf122_mPI_U
&
Voir aussi https://www.youtube.com/watch?v=_3EVLTXsmAI de Journal des Bonnes Nouvelles - La Conquête du Pain - •13 mai 2016 / Mouvement Commun
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il y a 7 ans|2.1K vues - bio.construction
Émission sur France 5 "On n'est pas que des cobayes !" du 09/09/2012
Plus d'informations également ici :
http://www.lemoniteur.fr/199-materiaux/article/a-suivre/697943-l-incendie-qui-autorise-a-construire-en-paille-des-erp-sur-deux-etages
ndlr : excellente intervention à l'assemblée nationale