Rendez-vous d'actualités
La gestion de l'eau au cœur de la mission parlementaire menée par René Pilato député LFI de la Charente
Mercredi 24 mai 2023 à 7:45 - Mis à jour le mercredi 24 mai 2023 à 10:58
Par France Bleu La Rochelle
L'été approche et le risque de sécheresse est toujours aussi élevé en Charente. Et dans ce contexte toujours tendu, malgré des pluies importantes en avril, le député charentais René Pilato mène une mission parlementaire sur la gestion de l'eau pour les activités économiques en France.
René Pilato, député LFI de la 1ère circonscription de la Charente © Radio France - Pierre Marsat
Il a bien plu ces dernières semaines dans un département comme la Charente, davantage même en ce printemps qu'en temps normal, mais ce ne sera pas suffisant. Les nappes phréatiques comme dans 68% des départements français restent très basses. La seule bonne nouvelle, relative, c'est que ces pluies ont rechargé les lacs de Haute-Charente qui assurent le niveau estival du fleuve Charente.
Et c'est sur fond de crise de l'eau que René Pilato, député LFI de la première circonscription de la Charente, mène avec son collègue député du parti présidentiel Renaissance dans la Nièvre Patrice Perrot une mission d'information sur l'eau pour les activités économiques. 4 thématiques sont retenues : l'énergie, l'agriculture, l'industrie et le tourisme.
Le rapport de la mission parlementaire sur la gestion de l'eau sera rendu au mois de juin 2023.
Connu / TG le 24/05/23 à 16:10
René Pilato, député charentais, est co-rapporteur avec Patrice Perrot, député de ...
Connu / TG le 24/05/23 à 07:09
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➡️ Pour faire un don : https://avecruffin.fr/don
➡️ Le texte de Robert Debré : https://francoisruffin.fr/debre
On vit une drôle d’époque.
Alcatel, Lafarge, Technip, Alstom… avec ses pairs, Macron a bradé nos fleurons. Et le fossoyeur se présente maintenant en Sauveur !
Openlux, Luxleaks, CumEx files, Panama Papers… Attal et Le Maire ont gentiment enterré les affaires. Et prétendent aujourd’hui priver de droits civiques les fraudeurs du fisc !
De tout ça, il faut s’en moquer, en rigoler. Mais, surtout, y voir un symptôme de quelque chose de profond : leurs idées sont mortes, ils nous ouvrent la porte.
Tr.: ... Debré, père de la ??? française ... prévention santé ... épidémiologie ... santé publique ... hôpital ouvert, médecine préventive ... 27:00 j'ai besoin d'étoffer mon équipe ... mes idées, j'en ai trop ! J'ai un plafond... étape de développement passe par du recrutement, des locaux ... des sous.
Ndlr : texte de r.debré absent, url inexistante ACT
Tweet épinglé François Ruffin @Francois_Ruffin · 4 mai
Alors, levez les barrières ! Et qui, derrière les barreaux ? Qui affrontera un procès ? Borne, Macron, Kohler, Le Maire ? Ce sont eux qui ont organisé ce pillage géant.
4:58 - 520 - 3657 - 8617 - 408,7k
Nucléaire
Ils ont mis une heure et demie, le 4 mai, pour parvenir à un texte commun sur le projet de loi (https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/dossiers/DLR5L16N46622) visant à accélérer les procédures de construction de nouveaux réacteurs. Les parlementaires sont arrivés en commission mixte paritaire (CMP) avec une convergence de vues sur « une écrasante majorité des dispositions », selon le président de la commission des Affaires économiques de l’Assemblée, Guillaume Kasbarian. Le principal point de blocage a porté sur l’artificialisation des sols engendrée par la construction de nouveaux réacteurs. Les sénateurs plaidaient pour les sortir des objectifs de « zéro artificialisation nette » (ZAN) des collectivités, en en faisant même une ligne rouge. Les nouveaux réacteurs ne seront donc pas comptés aux niveaux local et régional, mais le seront dans une enveloppe nationale, une loi devant en fixer le cadre avant le 1ᵉʳ janvier 2024. Comme prévu (https://www.contexte.com/actualite/energie/le-gouvernement-et-la-majorite-presidentielle-abandonnent-pour-lheure-la-reforme-de-la-surete_167652.html), (https://www.contexte.com/actualite/energie/le-gouvernement-et-la-majorite-presidentielle-abandonnent-pour-lheure-la-reforme-de-la-surete_167652.html) la fusion de l’ASN et de l’IRSN est écartée, à ce stade. Mais l’article 11 bis, introduit contre l’avis du gouvernement à l’Assemblée et disposant que le système de sécurité repose sur une organisation duale ASN-IRSN, est remplacé par un article permettant à l’ASN de recruter du personnel privé, et plus seulement public. L’objectif de réduction du nucléaire à 50 % et le plafond de 63,2 GW de capacité nucléaire installée sont bien supprimés (https://www.contexte.com/actualite/energie/le-gouvernement-ne-veut-ni-plafond-ni-plancher-sur-la-part-du-nucleaire-dans-le-mix-electrique-mais-se-defend-de-faire-de-la-programmation_164779.html), (https://www.contexte.com/actualite/energie/le-gouvernement-ne-veut-ni-plafond-ni-plancher-sur-la-part-du-nucleaire-dans-le-mix-electrique-mais-se-defend-de-faire-de-la-programmation_164779.html) et la programmation pluriannuelle de l’énergie doit être mise en conformité dans les six mois, par une procédure simplifiée (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000039369400). (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000039369400) Par ailleurs, les parlementaires ont durci les peines sanctionnant les intrusions sur des sites nucléaires : une personne morale étant jugée coupable de ce délit pourra se voir interdire de toucher des aides publiques. Le Sénat votera les conclusions de la CMP le 9 mai, et l’Assemblée le 16 mai. La France insoumise devrait saisir le Conseil constitutionnel, confie à Contexte le député LFI Maxime Laisney.
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Cet été, péage gratuit ! Les sociétés d'autoroutes se sont assez gavées, 33 milliards sur le dos des Français.
Alors, levez les barrières ! Et qui, derrière les barreaux ? Qui affrontera un procès ? Borne, Macron, Kohler, Le Maire ? Ce sont eux qui ont organisé ce pillage géant.
Tr.: ... Benjamin Lucas, député écologiste NUPES Yvelines ...
En tant que présidente j'introduisais, en Commission du Développement Durable et de l’Aménagement du Territoire, le rapport de la Mission d’information « sur l’adaptation au changement climatique de la politique forestière et la restauration des milieux forestiers »
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"la préservation de la forêt et son exploitation raisonnée font partie d’un combat plus vaste contre le dérèglement climatique. Il s’agit ni plus ni moins que de maintenir la vie sur terre. Jamais une cause n’a porté une telle urgence dans l’histoire de l’humanité."
📹 Retrouvez l'intégralité de mon intervention dans la vidéo ci-dessous ⤵️
🗂️ Le rapport est consultable sur le lien ⤵️
https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/dossiers/adaptation_changement_climatique_politique_forestiere
Connu / TG le 03/05/23 à 21:00
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Ruffin François, Député de la Somme
« Tous les surprofits ont été repris. » C’est Emmanuel Macron qui déclare ça, dans Le Parisien. Eh, oh, les « factcheckers », vous roupillez ? Y a une démission collective ? Vous avez fermé boutique ?
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Pourquoi prendre le contre-pied de la vérité ? Pourquoi réécrire l’histoire, de façon aussi grotesque ?
Parce que, lui le sait : c’est plus que son talon d’Achille, c’est une béance, une plaie ouverte, ce sentiment d’injustice. Et pas seulement pour lui, pour son image, d’un évident « président de ses amis les riches », mais pour la France : le pays en est miné.
Pourquoi nous, nous devrions payer ?
Pourquoi nous accepterions des efforts, des sacrifices, si les « gros » en haut n’en font pas ?
...
plus que jamais, nous avons besoin de justice : le défi climatique réclame, à tout le pays, et à vrai dire à tous les pays, des changements gigantesques. Ils ne seront pas acceptés, car pas acceptables, si une partie de nos concitoyens y échappent, s’ils ne participent pas à l’effort commun : tous, alors, toutes, voudront y échapper, demanderont une « dérogation », grugeront dans leur coin.
La justice, sociale, fiscale, environnementale, est impérative pour l’unité de la Nation. Sans cela, nous n’affronterons rien ensemble.
Voilà qui me rappelle un échange avec Pablo Servigne, à propos de son livre (à lire absolument) L’Entraide, l’autre loi de la jungle
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Nous vivons ce temps, sans sanction, où les tricheurs, loin d’être punis, sont célébrés, récompensés. D’où le dégoût qui se répand dans les cœurs. D’où les refus de participer au « pot commun », par son argent, ou par son temps.
Contre les égoïsmes, il faut des sanctions.
Pour surmonter, ensemble, de formidables défis.
Pour refaire société.
Où alors, le chacun pour soi l’emportera. Qui mènera à la défaite de tous.
LES DÉCODEURS Agriculture & Alimentation - Temps de Lecture 5 min.
L’irrigation du maïs représente-t-elle un quart de l’eau douce consommée en France ?
La députée Aurélie Trouvé (LFI) a provoqué de vives réactions en affirmant que le maïs irrigué consommait 25 % de l’eau douce. Si le chiffre exact est difficile à estimer, l’ordre de grandeur est correct.
Photo Un champ de maïs dévasté en raison de la sécheresse, près de Lyon (Auvergne-Rhône-Alpes), le 24 août 2022. OLIVIER CHASSIGNOLE / AFP
Interrogée, le 14 avril, sur la question du partage de l’eau lors de l’émission « Extra local », sur Public Sénat, la députée La France insoumise (LFI) de la Seine-Saint-Denis Aurélie Trouvé, ingénieure agronome de formation, a critiqué la culture du maïs, en déplorant que « 25 % de l’eau consommée en France est consommée par la culture du maïs ».
Le raisonnement de Mme Trouvé est relativement simple : l’agriculture représente 57 % de la consommation de l’eau en France, et « la moitié des surfaces irriguées le sont pour le maïs ». Ce qui équivaut à un quart de la consommation totale.
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environ 90 % de l’eau consommée par l’agriculture l’est pour l’irrigation. Le reste (10 %), sert à l’abreuvage du bétail et au nettoyage des installations. Le poids réel de l’irrigation dans la consommation de l’eau en France a donc été, en 2019, d’environ 54 %.
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Si les 25 % cités par Aurélie Trouvé relèvent d’un calcul rapide, l’ordre de grandeur est le bon. Le chiffre réel se situe probablement entre 20 % et 24 %, même s’il est difficile de le déterminer avec précision. Et comme l’analyse Marc Dufumier, agronome et professeur honoraire à AgroParisTech, contacté par Le Monde : « Ce n’est pas tant le chiffrage global du litrage qui importe que la question de l’origine de l’eau : est-ce de l’eau de pluie ou est-ce qu’on a été la puiser ? »
Les besoins en eau du maïs concentrés en saison sèche
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Le réchauffement climatique et l’augmentation de la fréquence des sécheresses en France risquent d’aggraver la situation en engendrant des conflits d’usage autour de l’eau douce dans ces territoires si cette irrigation se poursuit au même niveau. La moyenne des ressources en eau douce a déjà décliné de 14 % entre 1990 et 2018, et cette baisse risque de se poursuivre. L’augmentation des températures va favoriser l’évaporation, notamment pendant la saison de recharge des nappes phréatiques qui s’étale de septembre à février, ce qui risque de l’écourter significativement.
De nouvelles projections climatiques parues à l’automne 2022 montrent que le réchauffement pourrait atteindre + 3,8 °C d’ici à la fin du XXIe siècle. « Il est certain qu’un tel réchauffement va entraîner des canicules plus fréquentes, longues et sévères, un assèchement important des sols et une forte baisse des ressources en eau », notait alors Julien Boé, directeur de recherche (CNRS) au Centre européen de recherche et de formation avancée en calcul scientifique, et l’un des auteurs de l’étude.
Lire la synthèse : Article réservé à nos abonnés En France, le réchauffement climatique s’annonce pire que prévu, selon de nouvelles projections
Connu / TG le 24/04/23 à 16:57
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François Ruffin était l'invité, hier soir, de BFM dans une émission spéciale Face aux Français !
Ndlr : François, EXCELLENT ++
SOPHIE BINET & FRANÇOIS RUFFIN | LA GAUCHE ET LE TRAVAIL - Sortie le 10 sept. 2022 / Le Vent Se Lève
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À l'occasion de la sortie du dernier livre de François Ruffin, « Je vous écris du front de la Somme », aux Liens qui libèrent, Fakir, Le Vent se lève et le SNJ-CGT organisaient une conférence autour du rapport de la gauche et du travail. François Ruffin, député de la Somme, débattait avec Sophie Binet, secrétaire générale de l’Ugict-CGT. La conférence était animée par Laëtitia Riss, rédactrice en chef du Vent Se Lève.
➜ Découvrez la captation de cette conférence, donnée le 7 septembre 2022 à la Bourse du Travail à Paris.
▶️ SOMMAIRE
00:00 : Introduction d'Emmanuel Vire du SNJ-CGT
02:51 : Introduction de Laëtitia Riss
06:24 : François Ruffin - Bilan de la période électorale
19:42 : Sophie Binet - Le travail dans le débat
31:46 : Laëtitia Riss - Comment réunir les travailleurs ?
32:56 : François Ruffin - Rapport capital-travail, le travailleur et l'universel
44:03 : Sophie Binet - Précarisation, morcèlement du salariat et de l'entreprise
55:45 : Laëtitia Riss - Quels autres enjeux de la revalorisation des salaires ?
57:22 : François Ruffin - La droit du travail et le droit au repos
01:01:17 : Sophie Binet - Les rapports de force du travail
01:09:11 : François Ruffin - Vivre et être fier de son travail
01:17:25 : Laëtitia Riss - Comment mieux vivre grâce à son travail ?
01:18:44 : François Ruffin - L'écologie et le travail
01:25:01 : Sophie Binet - Management, féminisme, écologie
01:33:54 : Fin
Connu / TG le 12/04/23 à 03:55
Face à une loi anciennement proposée par le Front National, loi qui ne fera qu'empirer la situation du non logement ou du mal logement, le député LFI-Nupes François
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Connu / TG le 05/04/23 à 05:36
Retraites Entretien
Violence, place des syndicats, rôle du Président… Le député insoumis de la Somme livre son analyse sur la bataille des retraites, qui a rouvert à ses yeux, en plus d’une crise sociale, une profonde crise démocratique. Il pense qu’elle peut néanmoins être un tremplin pour la gauche.
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La seule question qui vaille, d’après moi, aujourd’hui, c’est : comment fait-on bouger des pans encore endormis du pays ? C’est le nombre qui fera plier Macron.
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Le diagnostic, d’abord : nous avons des classes populaires en convalescence ... À un malade, tu ne dis pas : « Lève-toi et viens battre le record du saut en longueur, on va faire la révolution ! » Non, juste un pas, ce sera déjà ça. Et ensuite viendra un second pas. Et enfin, on pourra relever le nez vers un horizon…
Moi, mon but, aujourd’hui, c’est que les gens prennent confiance et conscience de leur propre force. « Vous comptez. Vous êtes importants. Vous pouvez faire bouger le pays. On parle de vous. Ils ont peur. » Alors qu’on leur a dit être, et qu’ils se sentent tous les jours, des « gens qui ne sont rien », qui ne comptent pas. Domine alors l’immense fatalisme du « c’est comme ça ». Voilà l’ennemi. Voilà la véritable bataille. C’est ça qui doit basculer, dans les têtes : « On peut gagner. »
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c’est la jonction qu’il nous faut, des profs et des prolos en gros. Et pour la première fois, la jeunesse était là, qui apporte une énergie
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Nous sommes entrés dans le conflit sur un motif social : « Non aux deux années de plus ! », nous en sommes à une crise démocratique : « Comment se fait-il qu’un homme peut décider tout seul là-haut ? ». C’est le même scénario que pour les gilets jaunes : on entre par le prix du gasoil, on en sort avec le désir d’un « référendum d’initiative citoyenne » (RIC). Même chose pour la Révolution française : ça commence par « qui paie les impôts ? » et ça conduit aux états généraux, à l’Assemblée nationale, à la fin de la monarchie absolue. Aujourd’hui, c’est la crise démocratique qui amène la jeunesse dans la rue.
... inscrire le RIC dans la Constitution, c’est déjà un mot d’ordre populaire, de bon sens, un pas que les gens ont envie de faire ensemble vers notre horizon. ... croissance, concurrence, mondialisation, n’attirent plus les gens, ces mots les inquiètent, les dégoûtent. Dès lors, poursuit Gramsci, « la classe dominante ne parvient plus à diriger, seulement à dominer, et à dominer par la force de coercition ».
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les syndicats sont parvenus à saisir le bon tempo pour réveiller les gens, pour faire bouger dans les profondeurs des régions ... ils ont laissé à leur base, aux intersyndicales dans les départements, de la latitude, de la souplesse, sur les modes d’action ... c’est aussi grâce aux syndicats que la loi n’avait pas de majorité dans l’Assemblée. Ce sont eux qui ont démarché les députés macronistes ou les députés Les Républicains, et qui, par un lobbying citoyen, les ont convaincus. Ce sont eux qui ont contraint le gouvernement au 49-3.
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les compléter. Il y a des pans de la société où les syndicats ne savent pas faire, sont absents, et ce n’est pas leur boulot. Les quartiers populaires, par exemple, ou la jeunesse, ou les artisans, ou les isolés, c’est à d’autres, à nous, de ramener ça, et nous ne sommes pas au bout
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il fallait empêcher que l’article 7, repoussant l’âge de départ à 64 ans, soit voté ... il nous faut incarner un débouché politique ... « Je suis social et démocrate. » Je veux le partage des richesses et je veux que le peuple décide
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Mai 68 se traduit pour moi en mai 1981, les grèves de 1995 donnent Jospin, le mouvement de 2010 contre les retraites Sarkozy amène Hollande… Quand on énonce ces trois cas, on voit bien pourquoi le débouché politique ne met pas en appétit. À chaque fois ce furent des déceptions ou des trahisons ... plus le mouvement est fort, plus il affilie les gens à des idées progressistes, plus on place la question sociale au cœur des débats, mieux c’est pour nous. La pente, la pente de l’indifférence, la pente du ressentiment, elle ne coule pas dans notre sens, elle va vers le Rassemblement national
...
sortir de la parenthèse libérale, ouverte en 1983, et en y ajoutant la crise climatique. Tout est à transformer : l’industrie, le logement, les déplacements… Voilà nos vrais défis. Et j’en veux surtout à Macron pour cet immense gâchis : on devrait se rassembler, se retrousser les manches pour affronter tout ça, avec énergie, avec envie, et à la place, lui fait quoi ? Des contre-réformes à la noix. Et c’est avec ça qu’il prétend « laisser une trace dans l’histoire » ! Quel rigolo ! C’est d’un ridicule.
Auditions sur le droit à l'eau organisées le lundi 19 septembre à l'Assemblée nationale
par Gabriel Amard, député du Rhône
Connu / TG le 26/03/23 à 19:22
Le gouvernement Borne sauvé à 9 voix près à l'Assemblée Nationale ce lundi soir. La motion de censure est donc rejetée
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Connu / TG le 20/03/23 à 21:14
[...] Nous affirmons au contraire qu’il est urgent de planifier démocratiquement une sortie raisonnée et maîtrisée du nucléaire, pensée avec ses salariés. »
Notre député Maxime Laisney intervenait au nom du groupe sur le projet de loi relatif à l'accélération du nucléaire du gouvernement.
...
Connu / TG le 13/03/23 à 19:31
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C'est en luttant contre le traité constitutionnel Européen en 2005 qu'il fait ses débuts en politique avant de participer à la création du parti de gauche en 2008. A 36 ans, Manuel Bompard est coordinateur de LFI. Comment est il perçu au sein du mouvement ? Quel est l'avenir de la Nupes ?
Avec Manuel Bompard Coordinateur de la France insoumise
Après l'Assemblée Nationale, c'est au Sénat d'examiner la réforme des retraites. Au Palais du Luxembourg, la France Insoumise n'est pas représentée. Mais les autres forces de gauche sont là. Elles promettent un débat jusqu'au bout du texte, sans obstruction et sans division.
La stratégie de LFI sur la réforme des retraites discutable à l'AN...
Ce débat à l'Assemblée a laissé des traces. A elle seule, la France insoumise avait déposé plus de 12 000 amendements. Selon Manuel Bompard, "Notre volonté, c'est effectivement de faire en sorte que le gouvernement ne puisse pas utiliser une forme de légitimité parlementaire à opposer à la légitimité populaire pour dire vous voyez, c'est trop tard, maintenant, ça ne sert plus à rien de manifester puisque le texte a été adopté à l'Assemblée nationale et donc nous avons mené cette bataille d'opposition avec les outils qui sont à notre disposition et les outils qui sont à notre disposition c'est notamment la possibilité de déposer des amendements." (...)
...
L'avenir de la Nupes
La manière de fonctionner du parti a des conséquences sur sa relation avec ses partenaires de gauche et l'avenir de la Nupes est soulevée. Le coordinateur de LFI lui est favorable à un acte II de la Nupes.
Connu / TG le 04/03/23 à 14:43
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Face au chaos du marché, nous avons le devoir d'être ensemble pour que résonne à nouveau le mot bonheur. Ils font pitié. Mais nous, malgré les petitesses et les bassesses, nous devons être à la hauteur des millions de Français qui tiennent à bout de bras notre pays debout.
Tr.: ... des ateliers de réparation de portables dans chaque quartier ... réforme des retraites ... le 7 mars, sur les ronds-points ... les syndicats nous ouvrent le chemin de l'unité. Il nous faut un débouché politique ... devoir d'apparaître comme une solution : rassurer ...