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Conseillers Départementaux du canton de Charente-Bonnieure
Les permanences se déroulent au rythme d’une par trimestre à la mairie où les dates et horaires sont disponibles.
Fabrice POINT : 06 27 67 83 20 fpoint@elu.lacharente.fr
Sandrine PRECIGOUT : 06 27 67 83 26 sprecigout@elu.lacharente.fr
Conseillers Départementaux du canton de Charente-Vienne
Philippe BOUTY : 06 30 94 18 52 pbouty@elu.lacharente.fr
Jeanine DUREPAIRE : 06 27 67 73 69 jdurepaire@elu.lacharente.fr
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CONCILIATEUR DE JUSTICE POUR LE CANTON DE CHARENTE-BONNIEURE : M. Roger BUSSIERE
- Champagne-Mouton (salle de La Mairie) : le 3e mardi de chaque mois à partir de 14h30 - Tél : 05 45 31 80 48 .
- Chasseneuil (salle des associations) : le 2e et le 4e vendredi de chaque mois à partir de 10 h - Tél : 05 45 39 60 71.
MSAP – MAISON DE SERVICES AU PUBLIC MAIRIE DE CONFOLENS :
Place Henri Coursaget - 16500 CONFOLENS
Ouverte au public du lundi au jeudi de 9h à 12h et de 14h à 16h Sans rendez-vous ou avec rendez-vous pour les cas particuliers en téléphonant au 05 45 84 94 56 – msap@mairie-confolens.fr
Compétences : Informations administratives et juridiques générales. Renseigner, informer et orienter vers le bon interlocuteur.
MSAP – MAISON DE SERVICES AU PUBLIC Bureau de POSTE de SAINT-CLAUD :
Ordinateur et imprimante sont à votre disposition pour vos démarches administratives. Ouvert au public du mardi au vendredi de 9h à 12h et de 13h30 à 16h, le samedi 9h - 12h.
Contact : msap.saint-claud@laposte.fr
POINT D’ACCÈS – SOUS-PRÉFECTURE :
1 rue Antoine Babaud Lacroze - 16500 CONFOLENS Tél. : 05 17 20 34 04
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Médiathèque Contacts
Marie-Christineà Roumazièresau 05 4571 74 61 et/ou mediatheque@terresdehautecharente.fr - Nathalie à Genouillac au 05 45 85 38 45 mediatheque.genouillac@terresdehautecharente.fr
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Dispositif de chèques APTIC.
Le CSCS de Haute-Charente fait partie des structures labellisées APTIC dans le cadre du plan départemental d’accès au numérique. Ce dispositif s’adresse aux bénéficiaires du RSA ; celui-ci se voit remettre un chéquier de 10 pass numériques par son travailleur social référent pour lui permettre de s’initier à l’informatique. Au CSCS de Haute-Charente, un 1er rendez-vous avec l’animateur référent numérique (ARN) Céline KABA FAUROT permettra d’engager la formation selon le niveau et les besoins de la personne.
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Croix Rouge Française - Unité Locale Nord est Charente
Croix Rouge Française - Siège Les Carmes - 16110 La Rochefoucauld en Angoumois Tél. 05 45 70 41 35 Email : ul.nordest-charente@croix-rouge.fr Permanences : mardi et jeudi de 9h à 12h
Présidente : L. GARNIER - Tél. 06 84 29 72 20
Lieux des activités
Chabanais - 3 rue Nationale - Ruth DENNEHY
Chasseneuil - 16 rue Bir Hakeim - Nicole LOUMEAU
Confolens - Cour des Recollets - Claire WILSON
La Rochefoucauld - Cloître des Carmes- Marie BLIN
Roumazières - rue du Clos Beau- Monique LABARUSSIAS
Ruffec - 15 rue du Chenais - Lucette COITEUX
Secourisme Directeur : C. LECHARTRE Tél. 05 45 70 41 35 - 06 83 91 12 16
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Billet d’humeur des élus de la liste de Jean-Marc CAPOÏA
... 44,57% des voix exprimées. ... 6 sièges obtenus ... nous siégeons dans toutes les commissions, à hauteur de 20% des membres* ... Jean-Marc CAPOÏA, Michel BLANCHIER, Josiane PEREIRA, Patrick VIROULAUD, Sandrine JUDDE et Amandine CLAUZEL.
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4 286 ont signé
Rédacteurs LARECHERCHE a lancé cette pétition adressée à Lecteurs et abonnés, chercheurs et curieux de science et à 1 autre
Les éditeurs du magazine La Recherche – le groupe de presse de Claude Perdriel – ont décidé, en pleine période de confinement, de fusionner le mensuel La Recherche avec le mensuel Sciences et Avenir. Présenté en Comité social et économique (CSE) le 30 avril 2020, le projet prévoit la création d’un mensuel scientifique unique, baptisé Sciences et Avenir - La Recherche, la fusion des deux sites web, ainsi que la publication d’un trimestriel La Recherche - Les Essentiels du XXIe siècle. Ce qui impliquerait la fusion des deux rédactions au sein d’un « pôle sciences ». Nous, l’ensemble de la rédaction du magazine La Recherche, nous opposons à ce projet, qui conduirait à la disparition d’un mensuel scientifique qui fête cette année ses 50 ans.
Selon la direction, ce projet permettra de maintenir l’identité de Sciences et Avenir et celle de La Recherche. À nos yeux, c’est précisément le contraire qui se profile. Si ce projet répond à une logique, celle-ci est purement économique et en aucun cas éditoriale. Certes, le groupe Perdriel dans son ensemble connaît actuellement des difficultés, mais il nous semble, particulièrement dans la période actuelle, que le domaine scientifique ne devrait pas servir de variable d’ajustement. Outre son titre improbable (Sciences et Avenir - La Recherche), la création de ce journal hybride brouillerait deux identités fort différentes.
Critique des médias ; Discriminations ; Répression
Dans les médias français, le vaste mouvement américain de dénonciation des violences policières racistes suite au meurtre de George Floyd par un policier fait l’objet d’un traitement qui peut étonner. On est surpris d’entendre des affirmations et des termes (“tué par un policier”, “violences policières”, “une police rongée par le racisme”) qui ne seraient pas prononcés, ou avec mille prudences et conditionnels, dans des situations françaises pourtant similaires.
On se rappelle aussi de la manière dont les médias français, tout en fustigeant les dégradations lors des manifestations de Gilets Jaunes, avaient d’emblée considéré comme évident que, dans les manifestations pro-démocratie à Hong-Kong, casser du mobilier urbain était, sinon légitime, du moins compréhensible.
Mais il y a pire encore que ce deux poids, deux mesures : dans les talk-shows sur les chaînes d’info en continu, on est carrément dans le déni total. Les intervenants commentent la mort de George Floyd, ou les événements américains en général, de la même façon qu’ils commentent les bavures meurtrières en France : “il n’y a pas de violences policières à proprement parler”, “c’est un fait divers tragique”, “la victime avait une santé fragile”, “elle avait commis des actes de délinquance”, “le racisme, s’il y en a, concerne des cas isolés, juste quelques pommes pourries dans le panier”.
Dans tous les cas on refuse de faire l'analogie avec ce qu’on a pu voir, qu’on voit encore en France (comme dans l’affaire Chouviat), sur les violences policières en général, sur les violences policières racistes en particulier.
Donc : deux pays occidentaux, deux hommes noirs d’origine populaire [George Floyd et Adama Traoré], deux institutions en charge du maintien de l’ordre, deux disparus et une même stratégie d’asphyxie. Pourtant : mettre en relation les deux drames ne vient pas à l’esprit de la presque totalité des commentateurs médiatiques et politiques hexagonaux, si prompts à dénoncer, main sur le cœur comprise, les exactions policières nord-américaines. « La France n’est pas les États-Unis » (Joseph Andras et Kaoutar Harchi, dans une tribune pour Regards)
Ce rapprochement était explicitement fait par les participants à la manifestation devant le Tribunal de Grande Instance de Paris, à l’appel du comité Vérité et justice pour Adama :
Rassemblement historique et massif pour dire stop à l'impunité policière
Une marée humaine a convergé ce mardi vers le tribunal de grande instance de Paris, à l’appel du comité vérité et justice pour…
En effet, pourquoi ne pas affirmer qu'il y a aussi dans la police française des problèmes de violence et de racisme, qui ne se réduisent pas à des cas isolés ?
Lors du mouvement des Gilets Jaunes, la mobilisation avait fini par imposer le thème des violences policières dans des médias mainstream qui rechignaient à mettre en avant des images que manifestants et usagers des réseaux sociaux connaissaient pourtant depuis des mois.
Mais l’élément déterminant qui a fait progresser la conscience de l'existence de violences policières dans l’opinion publique, c’est l’exposition à ces violences de sphères des plus en plus larges de la population. Car en 4 ou 5 ans, à l'occasion de mouvements sociaux, nombreux sont ceux - étudiants, retraités, militants écologistes, Gilets Jaunes - qui ont expérimenté ce que connaissent bien les habitants des quartiers populaires issus de l'immigration : les humiliations, les provocations, l'arrestation arbitraire, voire le passage à tabac. En effet on a vu se développer ces dernières années en manifestation de nouvelles pratiques de maintien de l'ordre : contacts physiques avec les manifestants, arrestations ciblées, enfermement dans des nasses, recours à des unités mobiles non formées au maintien de l'ordre (les BAC), utilisation massive d'armes mutilantes. Ces pratiques ont ceci de particulier qu'elles ont d'abord été développées et testées sur des populations considérées par l'Etat comme subalternes : jeunes de banlieues, supporters de foot, ZADistes (voir cet article du site Désarmons-les). David Dufresne le résume ainsi :
Une partie de la population française découvre aujourd'hui ce qui était à l'œuvre dans certains quartiers populaires, c'est-à-dire une police cow-boy, une police en toute impunité. C'est le fruit de politiques du ministère de l'Intérieur qui, depuis le début des années 2000, a mélangé complaisamment CRS, gendarmes mobiles, BAC dans les quartiers pour les "sécuriser". Cela entraîne un transfert d'habitudes, d'armement, de techniques, de vision du monde, et on en arrive là. (sur France Info, novembre 2019)
Dans le cas des Gilets Jaunes, les violences policières ont non seulement joué un rôle structurant dans le mouvement, façonné son identité et renforcé sa détermination, mais aussi fondé des rapprochements avec des luttes pourtant assez éloignées a priori (comme la jonction avec le comité Vérité et justice pour Adama). Partout les hommes en bleu viennent briser les luttes : cheminots, gilets jaunes, soignants, écologistes, collectifs de sans-papiers, etc. Divers mouvements sociaux se découvrent donc une adversité commune : la violence d'un Etat au service du capital et son bras armé, la police.
Les violences policières semblent agir comme un catalyseur de la convergence des luttes, réalisant par le bas ce que les partis de gauche n’ont pas réussi à faire : rapprocher les catégories les plus précaires du prolétariat (travailleurs ubérisés, sans-papiers), le mouvement syndical traditionnel, les nouveaux mouvements écologistes, et les franges basses des classes moyennes précarisées elles aussi, qui tous affrontent une même violence de classe, sous des visages différents : racisme ou xénophobie, antisyndicalisme, mépris de classe, sexisme.
On a vu, sur les Champs-Elysées, des "gilets jaunes" applaudir des black blocs. Pas en décembre, mais en mars. Ça montre une évolution. Ça veut dire qu'ils étaient prêts à discuter de l'utilité ou non d'utiliser la violence comme un geste politique, ce qui n'était pas du tout envisageable au début du mouvement, en novembre 2018. Il y a donc des prémices de convergence. Durant l'occupation du centre commercial Italie 2, où je suis allé début octobre, il y avait vraiment une convergence entre certains "Gilets Jaunes", le comité Adama Traoré, Extinction Rebellion et des anars. Evidemment, la grande crainte, d'un point de vue policier et du pouvoir, c'est la convergence. Et j'ai le sentiment que peu à peu, il y a des points de contact. (David Dufresne)
D’où, peut-être, l’empressement de Christophe Castaner à lâcher du lest dès les premières manifestations s’inspirant du soulèvement américain. Car le contexte social, économique et politique est particulièrement tendu pour un exécutif qui souffre d'une absence totale de légitimité, tout comme son projet néolibéral.
Pourtant, après la crise sanitaire, le capitalisme compte bien reprendre son cours momentanément interrompu, et va chercher à reconstituer ses forces en exigeant du corps social des efforts drastiques. Les autorités anticipent dès lors une résistance sociale. Le débat sur les violences policières tombe mal : il affaiblit la légitimité de la police, sur laquelle se repose un pouvoir fragilisé ; il fédère des luttes, là où l'Etat préfèrerait affronter des colères éparpillées. Le gouvernement a donc intérêt à ne pas laisser la question des violences policières s’installer dans le débat public.
Les grands médias jouent parfaitement le jeu, en niant le problème, ou en en proposant un cadrage faux ou superficiel :
D'abord en effrayant l'opinion publique avec l'idée de collusions secrètes, proches de l'entreprise terroriste, en tout cas participant d'un piège identitaire, tel ce journaliste sur LCI, qui laisse entendre sans rire que le slogan "Black lives matter" est problématique car focalisé sur les noirs (“ce n’est pas toutes les victimes").
Ensuite, en relayant cette rhétorique qui consiste à se débarrasser d'un problème en décrétant qu'il n'existe pas. “Il ne peut y avoir ni racisme, ni violences policières puisque nous sommes en République, et que la République ne tolère ni racisme ni violences.” Les bras nous en tombent face à cet argument de l’universel décrété. Frédéric Lordon confiait déjà son agacement face à un sophisme similaire :
De Lallement, Morvan (ex-DGPN), Jullien (directrice IGPN) à Macron et Philippe (mais sans passer par Castaner dont le grelot ne rend du son qu’agité au Macumba), c’est la même idée obstinée, le même entêtement buté, dernier rempart justificateur à quoi il faut impérativement tout accrocher pour que tout ne sombre pas dans l’indignité pure. « L’État détient le monopole de la violence légitime ». Il s’ensuit 1) que toute autre violence est illégitime et 2) que la violence d’État n’est jamais illégitime — puisqu’elle est légitime. On en est là de la « réflexion »… Alors il ne peut pas y avoir de « violence policière », puisque la police est l’État et que la violence d’État est légitime. Voilà le fond de casserole incrusté, qui sert de pensée à ces individus. On peine pourtant à croire que quiconque puisse voir un argument sérieux dans une pure pétition de principe, démonstration entièrement circulaire qui présuppose ce à quoi elle veut aboutir. (janvier 2020)
Enfin, en se contentant, sur la question des discriminations et du racisme, soit d’une négation des faits (alors que certains ne font plus débat), soit en se limitant à une interprétation seulement morale et individualisée : il y a des policiers racistes, il n’y a pas de problème structurel, pas de climat d'impunité généralisée entretenu par le laxisme de l'institution. Affirmation dont la pertinence se mesure à l’intensité de nos rires (jaunes) lorsqu’un officiel indique que “l’IGPN a été saisie”.
Même si on n’attend pas de médias généralistes qu’ils nous renseignent sur la subtilité des débats universitaires, on est en droit d’attendre qu’ils nous éclairent sur ces nouveaux termes, scientifiques ou militants, qui sont mis en circulation (“racisme systémique”, “racisme institutionnel”, “racisés”, etc.).
On aimerait bien également, concernant les violences policières en général, que les grands médias tordent le cou à cette idée que “les policiers sont plus sanctionnés que les autres fonctionnaires”. En effet si les policiers sont très contrôlés et/ou sanctionnés pour des manquements inaperçus du public (par exemple : irrespect pour la hiérarchie, vols de matériel administratif, mais aussi violences dans la vie privée), ils ne sont que très peu sanctionnés pour les usages abusifs de la force en service (ce qui est le plus perçu par le public). On lira sur ce sujet les travaux du sociologue Cédric Moreau de Bellaing.
Malgré cette complaisance médiatique, il semble que la société française, elle, commence à s'apercevoir qu'il y a un problème avec sa police. C’est aussi ce que suggère la chute de la cote de confiance de la police, sans doute liée aux violences lors du mouvement des Gilets Jaunes. On adhère de moins en moins au discours de l'État, de la police, de la droite et de l'extrême droite cherchant à isoler des segments de la population pour les désigner comme ceux sur qui peut s’exercer légitimement la violence : “casseurs” versus “manifestants pacifiques”, journalistes "militants" versus "vrais" journalistes, “ultra-gauche”, “ultra-jaunes”, etc. (Sur la construction médiatico-policière de l’ennemi intérieur, voir cet entretien avec Mathieu Rigouste.)
Tout se passe comme si l'opinion publique acceptait de moins en moins l'idée que lorsqu'il y a usage abusif de la force policière, ses victimes l’ont forcément, d'une manière ou d'une autre, mérité.
Voir aussi https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?X7YIsA
En ce début février 2020, nous avons fait le choix de cesser définitivement notre activité d’économie circulaire portant sur la collecte innovante d’emballages. Après plus de 3 ans, nous n’avons pas su rendre notre entreprise pérenne et surtout, nous avons perdu beaucoup d’intérêt pour notre projet.
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retour d’expérience critique ... faire part au grand public des conclusions que nous avons tirées quant à la durabilité de notre modèle de société, notamment en ce qui concerne le recyclage et l’idée de croissance verte. Enfin, nous vous donnerons notre vision actualisée de ce que devrait être un avenir souhaitable et du changement de mentalité que cela implique pour y parvenir de bon cœur.
1) La naissance du projet, son développement, sa mort
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nous commencions à peser dans le start-up game ... s’associer à notre image écolo OUI, notre service NON ! ... nous avons complètement oublié que pour vendre quelque chose il faut répondre au besoin propre à un individu ou une entreprise et qu’un besoin « sociétal » comme l’écologie ne suffit pas. ... la majorité des structures n'étaient prêtes à payer pour un service de collecte que si elles en étaient contraintes par un marché réglementaire. ... nous avons également perdu confiance dans le secteur tout entier du recyclage et dans cette idée de croissance « verte ». La Boucle Verte mourut.
2) Les réalités de la filière emballages et du recyclage
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ce secteur, en très lente évolution, ne répondra pas aux enjeux de la crise écologique et qu’il promeut malgré lui la production d’objets peu durables et donc le gaspillage de ressources. Comme se plaisent à le répéter bon nombre d’associations « le meilleur déchet est celui qu’on ne produit pas » et dans un monde idéal, le seul déchet que nous devrions produire est celui d’origine naturelle, celui qui peut retourner à la terre n’importe où pour l’enrichir. La vision de La Boucle Verte était de créer des modèles d’économie circulaire qui fonctionnent comme la nature, mais quelle arrogance ! Lorsqu’une feuille tombe d’un arbre, elle ne part pas en camion au centre de tri. Et lorsqu’un animal meurt dans un bois, il n’est pas incinéré. La vraie économie circulaire, ce n’est pas celle qui tente d’imiter la nature, c’est celle qui tente d’en faire partie.
3) L’illusion de la croissance verte
Mais ne soyons pas trop durs avec le secteur du tri et du recyclage ... ce que cette recherche constante d’innovation a apporté, c’est une complexification extrême de notre société, rendant au passage le travail de nos dirigeants infernal. Et dans un même temps, ces innovations technologiques successives ont eu un autre effet néfaste, nous pousser à consommer. ... Par exemple, internet ... entre 2000 et 2020, notre consommation de papier est restée quasiment la même et à côté de cela, l’ère du numérique a créé une infinité de nouveaux besoins et de nouvelles pratiques générant des consommations faramineuses d’énergie, la création de milliards de terminaux composés de métaux rares, et la fabrication d’infrastructures climatisées pour héberger des serveurs. ... n’est pas à jeter à la poubelle ... tous contents d’aller chez le médecin du 21ème siècle. ... grands défis à base de Green Tech, de Green Finance et de Green Energy… Le problème, c’est que la logique fondamentale reste inchangée : complexifier le système, corriger inlassablement les dégâts causés par les innovations précédentes et se trouver une excuse pour continuer de consommer autant qu’avant voire plus ! Pire encore, ces initiatives ont même un effet inverse délétère dans la mesure où elles ralentissent la transition en laissant penser aux gens qu’un avenir durable sans concessions et sans modification de nos comportements est possible ... depuis 50 ans, la croissance du PIB a été parfaitement couplée à la consommation d’énergie (notamment fossile). ... Le problème de la croissance en math, c’est qu’elle suit une courbe exponentielle ... Nous sommes en 2020, et malgré une économie tertiarisée depuis longtemps, nous n’avons toujours pas perçu de découplage entre croissance du PIB et consommation d’énergie ... incapacité à produire et stocker de l’énergie proprement rend donc notre fameuse voiture électrique aussi nuisible que la voiture thermique ... dans un monde limité où PIB et consommations de ressources sont liées, nous devrons décroître, de gré ou de force. ... maintenant nous avons atteint les limites alors il faut changer de modèle ...
4) Une décroissance choisie et non subie
... en gros diviser par 3 notre consommation d’ici 2050 ... train de vie qu’avaient nos grands-parents quand ils étaient jeunes ... privilégier des axes assez simples comme l’intérêt pour la société et l’impact sur l’environnement. ... pour parvenir à nos objectifs dans la joie et la bonne humeur, tout se résume en quelques mots : il faut simplement changer de culture, changer d’idéal de vie ... tuer l’américain qui sommeille en nous et réveiller le poète ... On se désintoxique de ce monde consumériste et on apprend à créer de nouveaux plaisirs, de nouvelles tendances ... des moutons ... encore aujourd’hui sur cette planète, il y’a des tribus de gens avec des plumes plantées dans le derrière qui chassent à la sarbacane ... Homos Sapiens (Hommes Sages parait-il) sommes très malins mais aussi très bêtes ... drastiquement réduire notre consommation et aller acheter des carottes bio en vélo le samedi matin ne suffira pas. Il faut arrêter de prendre la voiture tous les jours, ne plus prendre l’avion et arrêter d’acheter des engins téléguidés ... transition écologique, une fête, une volonté commune de changer de vie ... apprécier la beauté de la nature au pied de notre porte ... retournons vivre dans les villages au lieu de s’agglutiner en ville et redevenons des paysans, ce sera bien plus dépaysant ! ... les gens stylés sont des artisans, des artistes ou des agriculteurs ... des milliers de petites mains qui travaillent la terre, qui produisent de la vraie nourriture, qui comprennent la nature, qui vivent de petites récoltes mieux valorisées et en circuits courts ... en relocalisant les productions au plus près ... préférant les produits durables à l’obsolescence programmée, en favorisant le réemploi plutôt que le recyclage, et en préférant les bonnes vieilles astuces de grand-mères aux artifices technologiques ... C’est difficile de construire quelque chose pendant longtemps, de dépenser beaucoup d’énergie pour finalement devoir repartir à zéro. Et pourtant c’est bel et bien ce que nous devons faire collectivement et dès maintenant. Bien que tragique, cette crise du Coronavirus est une chance inouïe ... saisissons cette chance et ne reprenons pas tout comme avant le 11 mai.
Un grand merci à ... nos compères toulousains Les Alchimistes Occiterra et En boîte le plat ... nous allons profiter de cette période pour prendre un peu de repos à la campagne ... nous reviendrons ... peut-être à base de low tech ou d’agriculture ...
Ndlr : remarquables de lucidité, courage. Ils vivent EXACTEMENT ce que j'ai vécu :-) MERCI D'AVOIR ÉCRIT POUR MOI AUSSI :-) => informer, valoriser, partager etc : Dire à Cyril Dion que l'HISTOIRE est RACONTÉE et BIEN BIEN. Reste à PARTAGER LA BONNE PAROLE ! ACT
Un regret : le concept de décroissance me semble trop vague et ne pas prendre en compte les besoins de croissance de nombreux secteurs centrés sur les communs notamment et comme l'isolation des bâtiments
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Huitième épisode de notre tour de l’actualité bi-hebdomadaire, enregistré et diffusé ce vendredi 22 mai 2020. Une émission habituellement diffusée les lundis et les vendredis.
Au sommaire :
- Le déconfinement des colères est enfin là en France, et de la solidarité envers les soignants se manifeste dans les rues. Les manifestations se multiplient devant les hôpitaux.
- Les solutions ou des non-solutions d’Emmanuel Macron face au malaise de l’hôpital public. Le grand plan d'investissement se fait attendre.
- Le fichage de salariés à la RATP, et ce qu’il nous dit sur l’atmosphère détestable qui règne dans les entreprises publiques de transports en commun.
- Enfin faut-il laisser mourir la presse française qui est dans le coma après le confinement et ses conséquences ? Altice, le groupe de Patrick Drahi se sépare de Libération et Nextradio annonce un plan de départs volontaires.
.#Déconfinement #Crise #Média
Catégorie Actualités et politique 1 375 commentaires
Connu / https://twitter.com/bellaciao34/status/1264152626087825410
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Le Média a retweeté Bellaciao @bellaciao34 · 5h
Encore une bonne émission de @LeMediaTV avec Théo @kouamouo qui a trouvé la bonne formule
Pouce levé #ActuDéconfinée 1 - 14 - 24
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C’était sur LCI ce 11 mai. Le monsieur s’appelle Dominique Reynié, il est présenté par LCI comme le « directeur de le Fondapol ». Ça fait sérieux. En réalité c’est une fondation liée au parti « Les Républicains ». Monsieur Reynié est lui-même une tête de liste LR aux dernières élections régionales. Cela ne sera pas dit. Il se trouve en face d’une chroniqueuse : Roselyne Bachelot, ancienne ministre de Sarkozy, à quoi bon le rappeler ? Elle opine vigoureusement des yeux et du bonnet tandis qu’il parle. Monsieur Reynié assène : « Ni Melenchon ni le Pen ne peuvent dissimuler qu’ils n’ont jamais fait de propositions au cours de cette crise. Qu’ils n’ont jamais été capables de laisser penser qu’ils avaient la moindre idée de ce qu’il fallait faire ». le live-tweet de LCI et de la Fondapol s’empressent aussitôt de diffuser cette forte sentence.
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Évidemment, c’est le contraire en ce qui nous concerne. La France insoumise a proposé un plan de onze mesures d’urgences sanitaires, 50 amendements sur chaque texte de lois urgence sanitaire, un plan de déconfinement, une commission d’enquête, un guide des droits des travailleurs en période de confinement et un plan sur la condition étudiante dans le contexte, sept projets de lois et un projet de résolution sur la dette. Sans oublier près d’une dizaine de tribunes signées ou co-signées.
Dominique Reynié ment-il ? Je ne crois pas. Mon hypothèse est que Dominique Reynié ne sait rien de tout ça au moment où il parle. Comme beaucoup de ses congénères experts de plateau, il ne suit pas l’actualité. Il la commente sans être lui-même informé ni chercher à l’être.
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comment comprendre le silence de la journaliste qui officie à ce moment-là ? On est censé être en recherche de la vérité et de l’objectivité. Ici on est confronté à une « expertise ». Au lieu de cela, on entend proférer un pur mensonge. Pourquoi ce silence sur le plateau ? Pourquoi ? Parce que LCI penche à droite ? Possible. Et alors ? On peut être de droite et préférer la vérité à la propagande ! LCI pourrait préférer une bonne critique bien sévère de nos propositions. Pourquoi rien n’est-il dit ? Parce que la rédaction non plus ne sait rien. Elle ne travaille pas non plus. Elle ne suit pas les dépêches qui ont rendu compte de nos activités. Elle ne s’intéresse pas à la politique. Le plateau déploie un spectacle.
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Conclusion : dans cette scène, Dominique Reynié est le nom de la déchéance intellectuelle du système médiatique de spectacle. Un expert qui ne l’est pas et qui récite de la propagande face à une chroniqueuse ancienne ministre qui fait le spectacle avec une journaliste qui ne sait pas de quoi il est question. Pourquoi le système s’accommode-t-il de telles pitreries en lieu d’information ? Parce que son but n’est pas d’aider à penser mais au contraire d’empêcher les gens de le faire. C’est d’ailleurs pourquoi il a tant recours à des « experts ». Ceux-ci sont censés fournir une vérité à caractère scientifique. Ecoutez Reynié attentivement. Voyez le sens de son propos : la situation ne permet rien d’autre que ce que fait le gouvernement. Il donc vain de critiquer (cela va de soi), puisqu’il n’y a d’ailleurs aucune contre-proposition même chez les opposants les plus prêts à tout. Penser est superflu. Obéir est indispensable. Signé Dominique Reynié, Roselyne Bachelot, et LCI.
Connu / https://twitter.com/JLMelenchon/status/1259841990226849799
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... Fondapol @Fondapol · 23h @DominiqueReynie sur @LCI: "Ni Mélenchon ni Le Pen ne peuvent dissimuler qu'ils n'ont jamais fait de propositions au cours de cette crise. Qu'ils n'ont jamais été capables de laisser penser qu'ils avaient la moindre idée de ce qu'il fallait faire."
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Et si la communication et le recyclage s’entraidaient ?
Nous avons conçu Can’ivor, un collecteur de canettes véritable support média.
Une solution de communication unique et efficace. Des revenus publicitaires qui financent la collecte et le recyclage.
Le concept
La quasi-totalité des canettes de boissons consommées en hors foyer finissent enfouies ou incinérées, par manque de tri sélectif et car les professionnels de la restauration n’ont pas de services adaptés à leurs besoins.
La Boucle Verte fournit un collecteur de canettes et un service de collecte entièrement gratuit à ces restaurants. C’est notre concept de média, unique en son genre, qui permet de financer ce service.
Nous sommes un média à impact positif et inscrit dans une logique d’économie circulaire : les collecteurs de canettes sont fabriqués à partir de bidons d’huiles recyclés, la collecte en centre ville est effectuée à vélo et chaque canette collectée permet de reverser 0,01€ aux Restos du Cœur.
Notre ambition
L’objet global de La Boucle Verte est de créer des concepts d’économie circulaire rentables et duplicables. Ces deux conditions sont à nos yeux essentielles pour accélérer la transition écologique tout en maximisant notre impact.
Plus largement, nous souhaitons créer des modèles ingénieux pour repenser la ville comme la nature et que les déchets des uns deviennent les ressources des autres. Créer de tels modèles peut s’avérer complexe et imparfait. Par exemple, l’un de nos objectifs est de ne plus utiliser de sacs poubelles (ce sont les principaux déchets que nous produisons actuellement). Cela implique de repenser nos circuits logistiques en utilisant des bacs consignés lavables.
Nos distinctions
Prix-Moovjee-2018 La Boucle Verte
Lauréat du prix Moovjee 2018 (Mention community entrepreneur)
Prix Coup de Coeur des ANEDD 2019
Prix_Agilt_2017_La-boucle_verte
Lauréat du prix AGIL'T Climat remis par Toulouse Métropole
Ils parlent de nous
UN ACTEUR DE L’ÉCONOMIE CIRCULAIRE
La Boucle Verte est une Start up Toulousaine créée en 2017. Son ambition est de créer des modèles d’économie circulaire en ville.
Sur BFM https://www.youtube.com/watch?v=VGWO_x0s-gI
L'équipe
Thibaud, Guillaume et Charles
Nous voulons permettre aux gens d'agir
Nous sommes à une période où les mentalités changent, où les gens ont pris conscience des enjeux climatiques et environnementaux. Des progrès ont déjà été faits dans de nombreux domaines pour limiter les impacts de l'activité humaine. Cependant, faute de rentabilité économique directe, le secteur du recyclage peine à se développer aussi vite qu'il le devrait. Avec l'épuisement des ressources naturelles et les pollutions engendrées par l'enfouissement et l'incinération des déchets, il est pourtant crucial de trouver des solutions pour mieux recycler. Mais cela implique d'améliorer le tri sélectif. Notre souhait est de donner au gens les moyens d'agir, de rendre le tri sélectif plus accessible tout en apportant une valeur ajoutée à nos clients et partenaires. C'est aussi de faire prendre conscience aux nouvelles générations qu'il n'y pas de déchets mais uniquement des matières premières réutilisables.
Connue / https://laboucleverte.fr/arret-dactivite/ -> https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?ukEPog & cf mpt ACT
(jeunes courageux et lucides capables d'assumer leur échec et de le surmonter de manière positive en partageant leur expérience ++)
À propos
Nous sommes une maison d'édition et un média 100% indépendants qui s'autofinancent en totale autonomie. Notre portée est humaniste, écologiste et surtout antiraciste.
Nous nous finançons grâce à la vente de nos livres.
Notre politique est simple: 0 pub, 0 investisseur et 0 prêt bancaire pour une information 100% citoyenne.
Propriété et édition du site
La Relève et La Peste
93 rue Aristide Briand92 300 Levallois-Perret - France - SASU Au capital de 1 000 € - inscrit au RCS de Nanterre sous le numéro - 809 999 170 000 16
Directeur de la publication : Jérémie Carroy, président de LA RELÈVE ET LA PESTE. Email de contact: lareleveetlapeste@gmail.com
Réalisé par Pykto Web Agency
Hébergement https://www.ovh.com
Objectifs du site
- Offrir un espace de mutualisation aux enseignants documentalistes en mettant à disposition les fichiers - séquences pédagogiques, modes opératoires, dépouillement de périodiques, bibliographies... - articles et brèves proposés par l’ensemble de la communauté.
- Proposer des articles liés à à la pédagogie de la culture de l’information, à la culture numérique, à l’éducation aux médias et aux TICE. Assurer une veille dans ces domaines.
Qui sommes-nous ? vendredi 31 mai 2013 (actualisé le 22 juin 2017)
Les auteurs - Édith Boulo ; - Ghislain Chasme ; - Jacqueline Valladon ; - Nicole Boubée, actuellement en simple accompagnement amical ; - Marion Carbillet ; - Sophie Bocquet ; - Jean-Pierre Hennuyer ; - Hélène Mulot
L’histoire du site
Doc pour Docs est la reprise du site du même nom, créé en 1998 par Alain Gurly, professeur documentaliste, à présent heureux retraité.
Dès avril 2002, quatre professeurs documentalistes Edith Boulo, Ghislain Chasme, Nicole Boubée et Jacqueline Valladon ont travaillé de concert avec Alain, sur leur temps libre, à la reprise de Doc pour docs.
En décembre 2012, Marion Carbillet qui tenait le blog « Mes docs de doc », a rejoint l’équipe.
En février 2014, c’est au tour de Sophie Bocquet.
En mars 2015, Jean-Pierre Hennuyer intègre l’équipe.
Puis en juillet 2015, c’est Hélène Mulot.
Site Internet : Equipe de Doc pour docs
Hébergeur assurant le stockage direct et permanent : OVH
Webmestre : Edith Boulo
Ce site utilise : SPIP + le plugin SPIPr + le plugin ScolaSPIP développé par la Dane de l'académie de Versailles
Qui sommes-nous
- quotidien d’idées
- quotidien d’auteurs. Conçu par des journalistes, il est écrit par des chercheurs, des écrivains, des intellectuels, des artistes et… des journalistes.
- AOC entend prendre de la hauteur. Tenter de remettre un peu de verticalité dans un espace public désormais destructuré et horizontalisé en publiant des textes qui visent autant que possible à (re)faire autorité et à structurer le débat.
- publie, du lundi au vendredi, trois articles par jour : une Analyse, une Opinion et une Critique.
- publie le samedi un grand entretien d’idées ou de parcours biographique selon les cas.
- publie le dimanche un texte littéraire inédit.
- journal quotidien en ligne accessible uniquement par abonnement.
- quotidien imprimable facilement, pour ceux qui préfèrent le papier.
Auteurs : Hartmut Rosa, Bertrand Leclair, Amélie Petit, Yves Citton, Dork Zabunyan
Rédaction : redaction@aoc.media
Service abonnement : contact@aoc.media
L’équipe d’AOC
Sylvain Bourmeau, directeur
Producteur de l’émission « La Suite dans les idées » sur France Culture, il est également professeur associé à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales. Depuis la fin des années 80, il a eu le bonheur de prendre part au lancement de trois réussites médiatiques durables : la revue de science politique Politix, l’hebdomadaire Les Inrockuptibles (dont il fut le directeur adjoint de la rédaction entre 1994 et 2008) et le quotidien en ligne Mediapart (dont il a fait partie du petit groupe de journalistes fondateurs entre 2008-2011). Il fut, par ailleurs, directeur adjoint de la rédaction de Libération.
Raphaël Bourgois, rédacteur en chef
Producteur de l’émission « Avis critique » sur France Culture, chaîne où il fut tour à tour collaborateur de la matinale, créateur et présentateur du « Journal de la culture » (2009-2011) puis producteur adjoint de « La Grande Table » (2011-2016).
Cécile Moscovitz, secrétaire générale
Hélène Fromen, conseil stratégie
Ysé Sorel, stagiaire fondatrice
Florence Loève, stagiaire fondatrice
Lectrices fondatrices et lecteurs fondateurs
Rima Abdul-Malak Éditions Actes Sud Dominique Adrian Anne Aghion Michel Agier Julie Alazard ...
Nos soutiens
- Ministère de la culture - Bourse d’émergence
- Fondation Jean Michalski pour l'écriture et la littérature
Édité par la société AOC, société par actions simplifiée au capital social de 87,60 euros, immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés de Paris sous le numéro unique d’identification n° 830 438 628 et dont le siège social est situé au 25, rue Saint-Sébastien, 75011 Paris.
Numéro ISSN (International Standard Serial Number) : 2647-6509
Numéro de Commission paritaire des publications et agences de presse (CPPAP) : 0320 Y 93613
Numéro TVA intracommunautaire : FR 03 830 438 628
Téléphone : 01.48.05.60.87.
Pour nous contacter : contact@aoc.media
Directeur de la publication : Sylvain BOURMEAU, Président d’AOC.
Hébergeur du site internet : WP SERVEUR 7, rue de la Cité-Foulc — 30000 Nîmes
Hébergeur de la web-app : NFRANCE 9, rue Ritay — 31000 Toulouse
Thot - Cursus @thot · 16h
S'approprier les concepts de #médiatisation et de #médiation afin d'optimiser son cours à distance par @MSBudel
http://ow.ly/bAKZ30qqv53 Réf à Daniel Peraya @plienad
au @tecfa - cursus.edu
0 - 2 - 7
AJ+ est un média par internet lancé en 2014 faisant partie du groupe d'Al Jazeera Media Network diffusé en quatre langues : anglais, espagnol, arabe et français. Il s'agit d'un service courtes vidéos sous-titrées s'affranchissant des médias traditionnels comme la télévision ou les journaux. Il se diffuse via les réseaux sociaux, comme YouTube, Facebook ou Twitter, ...
LE GRAND TÉLÉTHON DE LA GRÈVE - #KOLLEKTHON
Publié il y a 1 jour • 20 vues
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Lives le Media
Par lemediatv
Pour soutenir les grévistes en lutte contre la réforme des retraites et son monde, rendez-vous ce soir pour un direct organisé par une grande coalition de médias non alignés : Le Média, Sud Radio, Basta !, Le Vent se Lève, Radio Parleur, Le Monde Moderne et Regards.
Retrouvez nos plateaux thématiques (« Grevilla », « Violence et dérive autoritaire du pouvoir », « Si Macron passe la réforme, que fait on ? » …) à partir de 18h et exceptionnellement jusqu’à minuit.
De nombreux invités nous rejoindront : Ludivine Bantigny, Olivier Besancenot, François Boulo, Bernard Friot, Anasse Kazib, Alexandre Langlois, Mathilde Larrère, Jérôme Rodrigues … et bien d’autres !
Contribuez d’ores et déjà à la cagnotte à destination des caisses de grève spécialement ouverte pour ce grand #KOLLEKTHON !
➡ https://caissesdegreve.fr/kollekthon/
Accès rapide aux plateaux :
00:6:00 - 00:29:00 : "Histoire de la grève" présenté par Radio Parleur avec Gabriel Rosenman et Romain Altmann
00:50:00 - 01:44:00 : "Grévilla" présenté par Radio Parleur avec Olivier Besancenot, Mathilde Larrère, Anasse Kazib, Meriem Ghenim
01:47:00 - 02:43:00 : "La France privatisée et à la découpe" présenté par Didier Maisto et Denis Robert avec Olivier Marleix, François Hommeril, Cathy Le Gac et Agathe
02:48:00 - 04:12:00 : "Violence et dérive autoritaire du pouvoir" présenté par Alexis Poulin avec Alexandre Langlois, Romaric Godin, Cristina Semblano, Jérôme Rodrigues, Olivier Tesquet, Taha Bouhafs et Caroline Mecary
04:13:20 - 04:19:00 : Réactions des politiques à l'Assemblée nationale
04:22:00 - 05:05:30 : "La crise médiatique" présenté par Le Vent Se Lève avec Bernard Friot, Cole Strangler et Hélène Franco
05:13:00 - 06:18:00 : "Si Macron passe la réforme, que fait-on ?" présenté par Denis Robert avec François Boulo, Noam Anouar, Ludivine Bantigny et Philippe Pascot
06:18:00 - 06:24:00 : Conclusion de la soirée
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#Kollekthon
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ConfidentialitéPublique
Publié originellement 17 février 2020
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu LangueInconnu
Étiquettes gouvernement ; grève ; kollekthon ; réforme retraites
Durée6 h 24 min 21634 sec
Aussi à https://www.youtube.com/watch?v=XN1-01pRvNw
"
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Retrouvez nos plateaux thématiques (« Grevilla », « Violence et dérive autoritaire du pouvoir », « Si Macron passe la réforme, que fait on ? » …) à partir de 18h et exceptionnellement jusqu’à minuit.
De nombreux invités nous rejoindront : Ludivine Bantigny, Olivier Besancenot, François Boulo, Bernard Friot, Anasse Kazib, Alexandre Langlois, Mathilde Larrère, Jérôme Rodrigues, Olivier Marlex LR Eure-et-loire, François Hommeril pdt CFE-CGC, Cathy le Gac sud santé, … et bien d’autres !
Contribuez d’ores et déjà à la cagnotte à destination des caisses de grève spécialement ouverte pour ce grand #KOLLEKTHON !
➡ https://caissesdegreve.fr/kollekthon/
Catégorie Actualités et politique 3 commentaires
Transcription : ... Fr Boulo sans blocage des carburants, on n'arrivera à rien ... prendre le pouvoir aux présidentielles
Le Média @LeMediaTV
GOUVERNEMENT ET MÉDIAS : COMPLICES POUR NIER LES VIOLENCES POLICIÈRES
"On a forcé les médias à mettre en avant le sujet des violences policières. Eux ça fait des mois qu’ils freinent. Le travail des confrères, à part quelques uns, il est nul." #ViolencesPolicières #Médias
GOUVERNEMENT ET MÉDIAS : COMPLICES POUR NIER LES VIOLENCES POLICIÈRES
Le gouvernement reconnaît les violences policières ? Non, les médias l'ont poussé à le faire. Les médias ont-ils mis en avant ce sujet par eux-mêmes ? Non, nous les avons poussés à le faire.
8:00 AM · 22 janv. 2020·Twitter Media Studio
529 Retweets 657 J'aime
46 885 vues - 3,5 k - 59 - 264 k abonnés
Alors que les journalistes de terrain sont visés directement par la police dans les manifestations, que les chiens de garde se relaient sur les chaînes tout-info pour mieux promouvoir la réforme, et que les salariés de Radio France sont en grève depuis près 40 jours pour protéger ce qu’il reste du service public de l’information, la question se pose : peut-on encore informer et s’informer en France ? Pour y répondre, nous recevrons Pauline Perrenot (journaliste et membre d’ACRIMED), Brice Ivanovic (journaliste et membre du collectif Reporters en Colère), et Bertrand Durand (technicien à Radio France, CGT).
Nous reviendrons aussi en images sur la mobilisation d’aujourd’hui, à Paris et dans de nombreuses villes de France, avec encore une fois une convergence entre gilets jaunes et cortèges syndicaux. Enfin nous reviendrons sur la mort de Cédric Chouviat, tué par la police.
Catégorie Actualités et politique 312 commentaires
Ndlr : le site le média est relancé avec peertube et volonté sortir des gafam tester ACT
Média indépendant, de sensibilité libertaire, faisant une place de choix aux mouvements sociaux, aux aspirations égalitaires, coopératives ou autogestionnaires.
Rapports de force propose un traitement journalistique des informations intéressant celles et ceux qui initient, participent ou rencontrent ces petits moments d’émancipation que sont les luttes sociales. L’actualité politique, économique ou internationale trouve naturellement sa place aux côtés de reportages au plus près des manifestations, des piquets de grève ou des expérimentations sociales égalitaires.
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N° Siret : 840 339 659 00012
Directeur de la publication : Stéphane Ortega
Hébergé par OVH
Le changement, il faut l’accompagner si on veut le réussir: nous vous aidons à construire et mettre en œuvre votre projet numérique de territoire, nous vous accompagnons par des DLA, nous animons vos réseaux d’acteurs.
Pour que le numérique ne soit pas une injonction mais une opportunité, nous assurons la montée en compétences de vos équipes. Sous forme de workshop, d’ateliers de créativité ou de formations référencées.
Nos méthodes sont documentées, nos livrables comme nos données sont ouverts, nos formations sont éprouvées et améliorées, nos outils sont opensource et nos développements sont standardisés : quand vous engagez un chantier avec nous, vous gagnez en solidité, en autonomie et en agilité.
Laury-Anne Cholez @Laury_anne · 4 nov.
.#GILETS_JAUNES parmi les thématiques débattues : comment retrouver le lien avec la population ? Pas facile face à la répression qui frappe aveuglément le mouvement. Et face à une couverture médiatique qu'ils et elles estiment mensongère. #ADA4
55 minutes
Les sujets autour de l'écologie et du réchauffement climatique ont pour réputation d'avoir peu de succès dans les médias. Pour quelles raisons les médias ont tardé à rendre visibles les sujets environnementaux ?
L'invitée du jour : Anne-Sophie Novel, journaliste en environnement, elle est l’auteure du documentaire Les Médias, le monde et moi (co-réalisé avec Flo Laval) et auteure de Les médias, le monde et nous (Actes Sud, 2019). La journaliste questionne la relation qu'ont longtemps entretenu les médias avec les sujets autour de l'écologie. Les sujets sur l'environnement ont mis un certains temps à percer dans la sphère médiatique. Comment peut-on expliquer cette latence et quels ont été les éléments déclencheurs qui ont permis un traitement plus visible de ces sujets ? La journaliste revient ainsi sur le pacte entre journaliste et lecteur qui est à repenser.
Médiologie
Par Kévin Boucaud-Victoire
Publié le 21/10/2019 à 12:00
La revue "Médium", fondée en 2005 par Régis Debray, arrête sa version papier pour continuer sur le site de Marianne. La rubrique "Le Carnet des Médiologues" est désormais accessible sur marianne.net, et sera alimentée par des billets et analyses chaque semaine.
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