#GénétiquementModifié #Myocardites #BénéficeRisques 9 836 commentaires
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Une technologie inconnue de la plupart des gens est utilisée depuis quelques mois pour vacciner... des milliards de personnes. Cela suscite des questions légitimes, des rumeurs, des élucubrations, et au final des doutes qui ne sont pas signe de bêtise. Avons-nous, oui ou non, assez de recul sur les vaccins à ARNm ?
Le script de cette vidéo est entièrement disponible, avec toutes les SOURCES, à cette adresse : https://menace-theoriste.fr/pas-assez-de-recul-pour-se-fier-aux-vaccins-arnm/
00:00 Intro et générique
01:00 18 000 morts du vaccin ?!
4:37 Un génocide ??
6:21 Les Bénéfices
11:33 Les Risques
12:00 Génocide (bis)
13:40 Modification de l'ADN ?
16:50 Risque de Myocardite (là c'est sérieux)
18:01 Contrôlés par la 5G (Boutry)
19:40 Génocide (encore)
21:04 Manquons-nous de Recul ? Les faits.
24:55 Le cas Maxime Beltra
25:42 C'est quoi avoir du recul ? (chloroquine ivermectine...)
27:50 Risque Zéro
29:10 Bilan
Tr : voir le script dont :
Thomas C. Durand, Dr en biologie – Vulgarisateur scientifique.
Directeur de la rédaction de l’Association pour la Science et la Transmission de l’Esprit Critique.
L’ASTEC est une association loi 1901 sans aucun lien d’intérêt avec aucune industrie ni entreprise. C’est VOUS qui la financez via des plateformes comme Hello Asso, Tipeee ou Utip.
...
Jean-Jacques Crèvecœur est un gourou bien connu des gens qui travaillent sur les dérives sectaires ... pas de graphène dans les vaccins en réalité
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On a besoin de vaccins efficaces parce que malgré le travail acharnés des professionnels de santé, malgré les mesures barrières et deux confinements, l’année 2020 a enregistré en France une surmortalité confirmée par une publication officielle de l’INSEE (2020 : Une hausse des décès inédite depuis 70 ans https://www.insee.fr/fr/statistiques/5347349). Aujourd’hui, je pense que ceux qui ont dit en 2020 que c’était une grippette, qui étaient sûrs que ça allait passer, qu’il n‘y avait pas de deuxième vague et qui ont encouragé tout le monde a refuser les mesures de précaution comme le masque, ne sont pas des gens fiables. Parce que les faits leur ont donné tort ! Ils devraient se taire, ou en tout cas on devrait cesser de les écouter.
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les vaccins à ARN on n’a pas assez de recul ... Christian Schaller ... es prédictions de monsieur Schaller ne se vérifient pas
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il s’avère que ces vaccins sont super efficaces ... Ce n’est pas une modification génétique, et madame Henrion Caude le sait, puisque le génome est dans le noyaux tandis que l’ARN, qui appartient au transcriptome n’est pas dans le noyau.
Si vous avez peur que l’ARN viral contenu dans le vaccin modifie votre ADN, j’ai une très mauvaise nouvelle. Dans l’hypothèse où, évitant le vaccin, vous êtes infecté par le virus et que votre système immunitaire n’est pas efficace immédiatement, le virus va se multiplier et votre corps contiendra beaucoup plus de matériel génétique viral que le corps d’une personne vaccinée. ... chacun d’entre nous a, dans chaque cellule de son corps, 8% de son génome qui provient d’anciens virus qui se sont logés dans nos chromosomes ... étude qui a cherché à voir si l’ARN du virus de notre chère pandémie avait des chances de s’intégrer dans le génome humain… Et les chercheurs répondent NON ... Christian Tal Schaller
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risque de myocardite ... vraie question ... pharmacovigilance a montré une incidence inattendue de myocardite chez les vaccinés, surtout chez les hommes jeunes ... nombre de cas très réduit et aucun décès rapporté ... également lorsque l’on est infecté par le virus. Une étude vient de montrer qu’elles sont alors 6 fois plus fréquentes que les myocardites vaccinales
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Contrôlé par la 5G ?
Richard Boutry délire sur la 5G, Bill Gates, les démons et un génocide. AUCUN FONDEMENT
3. On manque de recul
... 225 ans de recul sur le principe de vaccination ... presque jamais vu d’effets secondaires liés à un vaccin au-delà de 2 mois après l’injection ... L’ARN messager est connu depuis 1961 ... cette molécule fait partie des ingrédients qui composent un virus ... La composition des vaccins est connue, elle est publiée en libre accès (source). Vous pouvez allez vérifier si on y trouve du mercure, de l’aluminium ou du graphène. Spoiler : non.
Les recherches sur les vaccins à ARN ont commencé dans les années 1980. Une publication de 1993 par une équipe de l’APHP montre une technique très proche des vaccins actuels utilisée alors contre le virus de la grippe (source). ... En 2018 la revue Nature nous expliquait à quel point cette technologie était déjà bien avancée. Autrement dit : On a du recul !
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Plus de quatre milliards de doses de vaccin ont été administrées depuis décembre 2020 (source). Il y a des rapports faisant état de dizaines de milliers d’accidents de santé survenus après l’injection, mais ces rapports ne sont pas des enquêtes, ce sont des alertes. Et les problèmes relevés ne sont pas forcément liés au vaccin. Aux Etats-Unis ou 164 Millions de personnes sont pleinement vaccinés, on compte un total de 3 morts que les experts peuvent lier directement au vaccin de chez Janssen, il s’agit de trois thromboses (source).
En France, le 22 juillet 2021 on en était à 23 018 cas d’effets indésirables analysés. La grande majorité sont des syndromes pseudo-grippaux (fièvre élevée, courbatures, céphalées). [Mise à jour 05/08 :] Le rapport de l’ANSM fait état de 13 décès liés à la vaccination ; En rapport avec le vaccin Vaxzevria de chez Astrazeneca, il s’agit de 13 thromboses, médiane d’âge 62 ans (source).
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On manquait de recul sur le protocole Raoult, à base de chloroquine dont les effets cardiaques connus combinés aux effets cardiaques du covid qu’on découvrait, représentaient un risque potentiel. Il a fallu attendre quelques mois pour que des études bien faites nous apportent une réponse sur le rapport bénéfice-risque de ce traitement. Et maintenant qu’on a le recul, il faut accepter le verdict de la science : La chloroquine n’est pas efficace contre le covid19 et son utilisation fait plus de mal que de bien aux malades (1ère source ; 2ème source).
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Bilan
... il reste des incertitudes, mais on peut dire en toute confiance la chose suivante : À moins d’avoir une allergie connue au Polyéthylène Glycol il n’existe pas une seule situation où il préférable pour vous d’être en contact avec le virus plutôt que d’être vacciné.
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vous améliorez vos chances de rester en bonne santé en vous faisant vacciner. Et en plus, vous devenez acteur de la couverture vaccinale qui protège tous ceux que leur santé n’autorise pas à être vaccinés ou qui ont reçu le vaccin mais qui n’ont pas développé pour autant une immunité efficace.
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Merci à Muriel Leal pour son aide dans la collecte d’informations pour préparer cet article. Merci également pour leur aide à Pac Abenakis, le collectif Covid 19 Fédération et à ComplotistDeleter.
Pourlascience @PourlaScience · 3h
Avec l’apparition des variants, dont le Delta, de nombreuses questions surgissent quant aux vaccins. Éléments de réponse.
Avec l’apparition des variants, dont le Delta, de nombreuses questions surgissent quant aux vaccins. Éléments de réponse
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Rumble — 18/08/21 Dr. Astrid Stuckelberger est scientifique, chercheuse et enseignante à la Faculté de médecine de l'Université de Genève et de Lausanne. Experte internationale dans différents domaines liés à la santé et à la santé publique
Connue / mel du Mon, 23 Aug 2021 18:42:12 +0200 (CEST)
Tr: Autres participants : Christine Cotton, Isabelle ??, Tal Schaller, Lebedko Vladislas?, Devilleger?, Natacha Werup, Dr Trotta,
ÉDITION SPÉCIALE TOULON Richard Boutry donne la parole au docteur Stuckelberger, la lance en se référant à une étude relayée par LCI (qui selon lui prend un mauvais tournant) : le vaccin ne protègerait pas contre le variant delta ...
DAS : la CDC et Bounty? ont admis qu'on n'a jamais isolé le covid. Donc le covid n'existe pas en terme scientifique. 2è chose : le vaccin est le réinfectant. C'est le vaccin qui est le delta. Et donc c'est ce delta qui infecte les proches. Maintenant, moi, j'ai une autre théorie, c'est que le graphène se transmet à d'autres et j'ai des preuves clinique, enfin des cas cliniques, on commence par les cas. Comme personne a le droit de faire des recherches, on fait des cas cliniques, et ce graphène, je viens d'avoir un docteur de belgique qui m'a rapporté un cas de graphène dans le sang d'une femme qui vit avec une personne vaccinée et que c'est un ami, il se touchent la main. et que elle a eu les symptômes de cette personne, du covid, en fait de cette réinfection toxique
RB : ce sont les non vaccinés qui devraient se protéger des vaccinés, c'est le monde à l'envers.
DAS : on le connait en épidémiologie car les vaccins polyo et d'autres vaccins, je crois la dingue, ils réinfectaient en vaccinant les personnes avec la polyo, ce qui est normal puisqu'on prend des virus pour créer des anticorps. Et si on dose mal, c'est le cauchemard des virologues, ça réinfecte la personne qui redevient contagieuse. On l'a déjà vu avec la polyomélite, ça recrée des épidémies alors qu'on a ... cas typique des réinfections par le vaccin grave et toxique, et qui font décéder les gens ... On est dans des essais thérapeutiques ! Je rigole car c'est tellement gros, on est dans une recherche expérimentale mondiale alors qu'on devrait être dans un cas clinique, randomisé de 30 personnes, ensuite de 60, etc. Et là, on pourrait bien analyser chaque cas et stopper tout de suit ...e la recherche dès que ya un décès, dès qu'on voit ces symptôme à travers ... dès qu'on a un cas, je suis très intéressée ... ça a été accepté par la CDC que ça réinfecte ...
3:19 terminer ACT
Ndlr : on dirait que c'est un média, lequel ? ACT
Qu'est-ce que la CDC ?
R.Boutry démonté à https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?jnm2tA
Les conclusions du rapport du GIEC – plus précisément de son Groupe de travail 1 – sont on le sait effrayantes tant elles décrivent un monde pris dans la catastrophe environnementale en cours. Cet article de Daniel Tanuro les analyse précisément et ouvre des perspectives radicales, anticapitalistes, seules à même d’empêcher le désastre.
...
solution miracle : l’augmentation de la part des « technologies bas carbone » (nom de code pour le nucléaire, notamment les « microcentrales) et, surtout, le déploiement des dites « technologies à émissions négatives » (TEN – ou CDR, pour Carbon Dioxyde Removal), censées refroidir le climat en retirant de l’atmosphère d’énormes quantités de CO2 à stocker sous terre. C’est l’hypothèse dite du « dépassement temporaire du seuil de dangerosité » de 1,5°C.
Sur le nucléaire, inutile de s’étendre après Fukushima. Quant aux « technologies à émissions négatives », elles n’existent pour la plupart qu’au stade du prototype ou de la démonstration, et leurs effets sociaux et écologiques promettent d’être redoutables (on y revient plus loin). Qu’à cela ne tienne : on veut nous faire croire qu’elles sauveront le système productiviste/consumériste et que le marché libre se chargera de les déployer. En vérité, ce scénario de science-fiction ne vise pas avant tout à sauver la planète ; il vise avant tout à sauver la vache sacrée de la croissance capitaliste et à protéger les profits des plus grands responsables du gâchis : les multinationales du pétrole, du charbon, du gaz et de l’agrobusiness.
Le GIEC entre science et idéologie
...
le résumé du GT1 cautionne l’idée que les technologies à émissions négatives pourraient ne pas être déployées uniquement pour capter les « émissions résiduelles » des secteurs où la décarbonisation est techniquement difficile (l’aviation par exemple) : elles pourraient aussi être mise en œuvre à une échelle massive, pour compenser le fait que le capitalisme mondial, pour des raisons qui ne sont pas « techniques » mais de profit, refuse de renoncer aux combustibles fossiles. Le texte continue d’ailleurs en vantant les avantages de ce déploiement massif comme moyen d’arriver à des émissions nettes négatives dans la seconde moitié du siècle :
« Le CDR conduisant à des émissions négatives nettes mondiales réduirait la concentration de CO2 atmosphérique et inverserait l’acidification de la surface des océans (degré de confiance élevé). »
Le résumé formule une réserve, mais elle est sibylline :
« Les technologies CDR peuvent avoir des effets potentiellement étendus sur les cycles biogéochimiques et le climat, ce qui peut soit affaiblir soit renforcer le potentiel de ces méthodes pour éliminer le CO2 et réduire le réchauffement, et peut également influencer la disponibilité et la qualité de l’eau, la production alimentaire et la biodiversité (degré de confiance élevé). »
En clair, il n’est pas certain que les TEN soient si efficaces que cela, certains « effets » pourraient « affaiblir (leur) potentiel pour éliminer le CO2 ». La dernière partie de cette phrase fait allusion aux impacts sociaux et écologiques : la bioénergie avec capture et séquestration du carbone (la plus mature des TEN à l’heure actuelle) ne pourrait réduire significativement la concentration atmosphérique en CO2 que si une superficie égale à plus d’un quart des terres en culture permanente aujourd’hui servait à produire de la biomasse énergétique – au détriment des réserves en eau, de la biodiversité, et/ou de l’alimentation de la population mondiale1.
Ainsi, d’un côté le GT1 du GIEC se base sur les lois physiques du système climatique pour nous dire que nous sommes au bord du gouffre, sur le point de basculer irréversiblement dans un cataclysme inimaginable ; de l’autre, il objective et banalise la fuite en avant politico-technologique par laquelle le capitalisme tente, une fois de plus, de reporter devant lui l’antagonisme irréconciliable entre sa logique d’accumulation illimitée du profit et la finitude de la planète. « Jamais un rapport du GIEC n’aura laissé sourdre à ce point l’angoisse suscitée par l’analyse scientifique des faits à l’aune des lois incontournables de la physique », écrivions-nous au début de cet article. Jamais non plus un tel rapport n’aura illustré aussi clairement qu’une analyse scientifique qui considère la nature comme un mécanisme et les lois du profit comme des lois physiques n’est pas vraiment scientifique mais scientiste, c’est-à-dire, partiellement au moins, idéologique.
...
lire le rapport du GT1 du GIEC en ayant à l’esprit qu’il est à la fois la meilleure et la pire des choses ... diagnostic rigoureux ... La pire, parce qu’il sème à la fois la peur et l’impuissance ... Son idéologie scientiste noie l’esprit critique dans le flot des « données ». Elle détourne ainsi le regard des causes systémiques, avec deux conséquences : 1°) l’attention se focalise sur les « changements des comportements » et autres gestes individuels – pleins de bonne volonté mais pathétiquement insuffisants ; 2°) au lieu d’aider à combler le fossé entre conscience écologique et conscience sociale, le scientisme l’entretient.
Écologiser le social et socialiser l’écologie est la seule stratégie qui peut arrêter la catastrophe et faire renaître l’espérance d’une meilleure vie. Une vie du prendre soin des personnes et des écosystèmes, maintenant et dans une vision de long terme. Une vie sobre, joyeuse et chargée de sens. Une vie que les scénarios du GIEC ne modélisent jamais, où la production de valeurs d’usage pour la satisfaction des besoins réels, démocratiquement déterminés dans le respect de la nature, remplace la production de marchandises pour le profit d’une minorité.
Article écrit pour le site de la Gauche anticapitaliste (Belgique)
Photo: G. Blevins, Reuters
Connu / https://twitter.com/SRContretemps/status/1425104122932563975
Ndlr : tant que le GIEC et l'IPBES N'AURONT Pas fusionné dans une approche holistique et holomidale on aura des pb ? ACT
Tatiana Ventôse @TatianaVentose
Mégaphone COVID LONG : DES CHERCHEURS ONT TROUVÉ LA CAUSE (ET LE TRAITEMENT)Feu
C’est pas une blague.
La meilleure nouvelle que j’ai lue ce mois-ci.
Du coup je profite de la rechute qui m’affecte en ce moment pour vous partager ça.
Revers de main avec index pointant vers le basFIL A DEROULER Revers de main avec index pointant vers le bas
#apresj20 #covidlong #longcovid
6:55 PM · 20 juil. 2021·921 Retweets 198 Tweets cités 1 697 J'aime
...
La publication dans Frontiers in Immunology
Immune-Based Prediction of COVID-19 Severity and Chronicity Decoded Using Machine Learning
Expression of CCR5 and its cognate ligands have been implicated in COVID-19 pathogenesis, consequently therapeutics directed against CCR5 are being investigated. Here, we explored the role of CCR5...
frontiersin.org
7:36 PM · 20 juil. 2021·49 Retweets 5 Tweets cités 122 J'aime
Le site du Dr Patterson sur le covid long :
https://covidlonghaulers.com
By the way, thank you so much @brucep13
for the amazing work you've done for us longhaulers, we owe you and IcellDx big time! Much gratitude and many thanks from across the Atlantic!
Traduire le Tweet
7:41 PM · 20 juil. 2021·
·20 juil.
Et aussi en complément :
- l’asso française des covid longs @apresj20
-
@ecsdmed
qui ouvre aussi sa bouche pour nous sur les réseaux sociaux.
Voilou ! Bonne soirée et prenez soin de vous Biceps en flexionCœur rouge
Ndlr : confirmé ? crédible ? ACT
#Passemoilesjumelles #Paju - 447 841 vues - 9,5 k - 161 - 195 k abonnés - 677 commentaires
Nos personnages hors du commun: https://cutt.ly/ltQ4Xkh
Chercheur atypique, l’ingénieur forestier Ernst Zürcher mêle science et spiritualité pour percer les liens mystérieux qui unissent l’arbre et l’homme. Dans son approche du monde végétal il accorde autant de crédit aux croyances ancestrales qu’aux lois de la physique. « De nombreux savoirs traditionnels sont aujourd’hui vérifiés par la science » estime-t-il. « La dimension énergétique des arbres, leur appartenance aux cycles astronomiques et terrestres, tout s’explique».
"L'appel aux arbres" un reportage de Steven Artels
Image : Patrice Cologne
Son : Raphaël Crohas
Montage : Brigitte Duc
Illustration sonore : Stéphane Kirscher
Mixage :Pierre Bader
Etalonnage : Nadine Podiwka
Passe-moi les jumelles:
Toutes les vidéos: http://rts.ch/play/tv/emission/passe-moi-les-jumelles%3Fid%3D394095
Site: http://rts.ch
Connue / https://wegreen.fr/post/192485
Editorial
Médecins, scientifiques, enseignants et chercheurs, nous nous sommes tous impliqués, chacun à notre manière, dans l’information et la prévention contre le COVID-19 depuis le début de la pandémie.
Ce qui nous rassemble est notre confiance dans la science et dans la démocratie. Nous pensons que les décisions doivent être fondées sur des données scientifiques solides, que celles-ci doivent être expliquées à la population et débattues avant d’être arbitrées politiquement. Nous ne sortirons du COVID qu’avec une population éclairée, où chaque individu deviendra un acteur de la lutte contre la diffusion du virus.
...
Membres du collectif :
- Eric Billy – chercheur en immuno-oncologie – Strasbourg
- Dr Matthieu Calafiore – médecin généraliste – maître de conférence des universités – directeur du département de médecine générale de la faculté de Lille
- Dr Franck Clarot – médecin légiste – radiologue – vice-président de la Fédération Nationale des Médecins Radiologues (76)
- Dr Corinne Depagne – pneumologue – Lyon
- Dr Jonathan Favre – ancien chef de clinique de médecine générale à Lille – co-fondateur du collectif Stop-Postillons
- Pr Germain Forestier – Data scientist – professeur des universités en informatique – Directeur du département d’informatique de l’Institut IRIMAS, Université de Haute-Alsace – professeur associé à l’université de Melbourne
- Pr Guillaume Gorincour – radiologue – vice-président du Conseil départemental de l’Ordre national des médecins (13)
- Stéphane Korsia-Meffre – vétérinaire & rédacteur médical – Auxerre
- Dr Christian Lehmann – médecin généraliste – écrivain
- Dr Jérôme Marty – médecin généraliste – président de l’Union Française pour une Médecine Libre (UFMLS)
- Dr François-Xavier Moronval – médecin urgentiste – Epinal
- Dr Michaël Rochoy – ancien chef de clinique de médecine générale à Lille – co-fondateur du collectif Stop-Postillons, chercheur associé à l’ULR2694
- Dr Hélène Rossinot – médecin spécialiste de santé publique – écrivain – Nancy
- Barbara Serrano – consultante indépendante et Maîtresse de conférences associée à l’Université de Versailles Saint-Quentin
- David Simard – docteur en philosophie, spécialisé en philosophie de la médecine et de la santé, chercheur associé au laboratoire LIS (EA4395) – Faculté de santé de l’Université Paris Est – Créteil
- Dr Florian Zores – Cardiologue – Strasbourg
- Pr Mahmoud Zureik – professeur d’épidémiologie et de santé publique à l’Université de Versailles Saint-Quentin
Anciens membres / membres honoraires :
- Pr Thierry Baubet – psychiatre – chef de service psychiatrie addictologie – Hôpital Avicenne – Bobigny
- Dr Bruno Rocher – psychiatre addictologue – médecin responsable de l’espace Barbara – CHU Nantes
Le collectif réunit aussi d’autres bénévoles qui apportent compétences et expertise dans des domaines aussi variés que l’ingénierie mécanique, l’énergie et la qualité environnementale des bâtiments, le nettoyage industriel, la certification et les normes, la physique, la communication, la santé publique et globalement le monde de l’entreprise tertiaire et de l’enseignement.
C’est aussi à l’occasion de ce premier projet AERATION/VENTILATION https://ducotedelascience.org/category/prevention/prevention-aeration/ dont vous voyez la matérialisation sur ce site, que le collectif a décidé de se doter d’une identité qui rassemble : « du Côté de la Science ».
Connu / https://twitter.com/LehmannDrC/status/1415316933667401729
"
Ch. Marquestaut a aimé Christian Lehmann @LehmannDrC · 6h
Je reçois énormément de demandes de renseignement sur la vaccination de gens qui sont hésitants, et pas forcément rassurés par la nouvelle donne sanitaire. En attendant une réponse, vous avez cette ressource:
FAQ Vaccin COVID19 - Vos questions et nos réponses - Du Côté de la Science
Des réponses aux questions fréquemment posées à propos des vaccins.
ducotedelascience.org
9 - 227 - 324
"
Ndlr : semble sérieux et compétent. Rien sur les contre-indications, pas de possibilité de contacter le collectif. Vérifier ACT
disponible jusqu'au 18.07.21 - voyage - 90 min - 2018 - réalisé par Marina Boyenval
tous publics - Vidéo sous-titré
Pour maîtriser l'eau, les hommes ont fait preuve d'une imagination sans limite en créant des prouesses technologiques. Barrages géants, canaux interminables ou polders toujours plus grands, tous ces aménagements offrent des paysages spectaculaires. Mais leurs mise en oeuvre a parfois été synonyme de cauchemar pour les ouvriers qui les ont construits. C'est le cas notamment du canal de Panama qui a offert des conditions climatiques infernales et des épidémies meurtrières. L'apparition des barrages hydroélectriques n'a pas été sans conséquences non plus sur les populations et les écosystèmes. Du canal de Panama à Venise au barrage d'Itaïpu, aux polders de Hollande, cette enquête scientifique permet de comprendre comment des défis techniques hors-norme ont changé le paysage mondial.
@laydgeur Les premiers travaux scientifiques d’analyse de la vague de chaleur historique de fin juin au Canada et aux USA ont été publiés, et les conclusions sont… Visage rougissantVisage rougissant
#Thread Image 12:47 PM · 9 juil. 2021 - 638 Retweets 51 Tweets cités 933 J'aime
- Les températures maximales observées dans la région étaient "virtuellement impossibles" sans le changement climatique actuel dû aux activités humaines.
- Les températures observées étaient tellement extrêmes que même dans le climat actuel réchauffé de +1,2°C, cet événement se produirait 1 fois tous les 1000 ans. (la quantification précise de la probabilité est très difficile vu la rareté du
- Il y a deux causes qui expliqueraient cet événement :
1- l’anomalie statistique "vraiment pas de chance", ou bien 2- des interactions inconnues du système climatique qui augmenteraient de beaucoup la probabilité.
Ce 2ème point est une hypothèse et nécessite des recherches. - Sans le changement climatique actuel (donc avec le climat d’avant la révolution industrielle), la probabilité d’avoir ce phénomène serait plus de 150 fois plus rare.
Soit statistiquement seulement 2 fois depuis l’apparition d’Homo Sapiens.
D’où le "virtuellement impossible".
Maintenant projetons-nous dans un futur avec une planète réchauffée de +2°C, que nous atteindrons au rythme actuel "au plus tôt en 2040".
- Donc dans un monde à +2°C, cet événement, qui a actuellement une fréquence d’apparition de 1 fois tous les 1000 ans, se produirait tous les 5 à 10 ans… Tête qui explose
Maintenant je vais juste traduire aussi fidèlement que possible le reste de la conclusion, et je vous laisserai méditer là dessus.
« Nos résultats constituent un avertissement fort : le réchauffement rapide du climat nous entraîne sur un territoire inconnu, avec des conséquences importantes sur la santé, le bien-être et les moyens de subsistance. »
« L'adaptation et l'atténuation sont nécessaires de toute urgence pour préparer les sociétés à un avenir très différent. Les mesures d'adaptation doivent être beaucoup plus ambitieuses et tenir compte de l'augmentation du risque de vagues de chaleur dans le monde entier »
« Les décès dus aux chaleurs extrêmes peuvent être réduits de façon spectaculaire grâce des préparations adéquates. Les plans d'action contre la chaleur qui intègrent des systèmes d'alerte précoce en cas de canicule peuvent renforcer la résilience des villes et des populations. »
« Des plans à plus long terme sont nécessaires pour modifier nos environnements artificialisés afin qu'ils soient mieux adaptés au climat plus chaud que nous connaissons déjà aujourd'hui et au réchauffement supplémentaire que nous attendons à l'avenir. »
« Enfin, les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre devraient tenir compte des risques croissants associés à des conditions climatiques sans précédent si le réchauffement devait se poursuivre. »
#Fin
Source : https://worldweatherattribution.org/wp-content/uploads/NW-US-extreme-heat-2021-scientific-report-WWA.pdf
Durée de lecture : 6 minutes - Clés : Agriculture Alimentation Alternatives
... consommer moins de produits carnés et mieux agencer culture et élevage.
...
Les engrais de synthèse ont permis l’avènement d’un modèle agricole intensif « largement déséquilibré », selon Gilles Billen, directeur de recherche émérite au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et coauteur de cette étude
...
trois leviers
- changement global de régime alimentaire
- reconnecter la culture et l’élevage ... en finir avec l’importation de soja pour l’alimentation des animaux, l’un des principaux moteurs de la déforestation en Amérique latine.
- généraliser les rotations des cultures (que pratiquent déjà les agriculteurs bio) afin d’enrichir les terres de manière naturelle
... dix milliards d’êtres humains pourraient être nourris sans engrais de synthèse en 2050, à condition que leurs régimes soient composés de moins de 40 % de protéines animales. ... recyclage des excreta humains ...
16 109 vues - 696 - 15 - 145 k abonnés
Je n'invite pas, surtout, à "freiner la science", mais à définir par la règle commune, démocratiquement ce qu'on fait de la technologie, quelles sont ses fins. On ne peut plus simplement continuer "d'accélérer", "aller plus vite", "aller de l'avant" sans se demander : où veut-on aller ensemble ?
300 commentaires
Gilles Pialoux : "Depuis janvier, les décisions politiques n’ont aucune cohérence scientifique"
24 minutes
Chef du service des maladies infectieuses et tropicales de l'hôpital Tenon (Paris) et membre de la cellule de crise de l'AP-HP, alerte sur la pression actuelle dans les établissements de la capitale.
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“à l'échelle de [son] hôpital, les mesures de freinage n'ont quasiment aucun effet. Regardez les Alpes-Maritimes ! L'effet était très mineur et ça repart !” Pour lui, les mesures de freinage, “c'est du 'en même temps'”.
...
Gilles Pialoux critique “l’absence de transparence sur les conséquences” de la stratégie sanitaire. “Il n’y a pas eu de débat citoyen, avec la représentation nationale, sur le fait que les choix politiques assumaient qu’on allait déplacer des malades, déprogrammer à hauteur de 80%. J’ai trouvé ce chiffre inhumain ! Pour l’instant il ne se fait pas, mais on sait très bien qu’on peut déprogrammer 80% des interventions en 48h, pour récupérer le personnel et récupérer les espaces.”
Dans les hôpitaux, “on est fatigués d’être fatigués”, ajoute l’infectiologue. “Sincèrement, on a l’impression qu’on ne doit compter que sur nous même.”
Éviter une “situation à la Lombarde”
“C’est un piège qui se referme sur l’exécutif”, regrette Gilles Pialoux, à propos de “l’acceptabilité” des mesures. “On a pris tellement de retard que toute mesure [de confinement] sera plus dure et plus durable.” Et si cette troisième vague “n’a pas été dans une forme exponentielle comme le premier pic”, on a déjà “dépassé la deuxième vague”, qui fut elle-même “plus mortelle, plus morbide, plus insupportable même si elle n’est pas montée si haut que la première vague”.
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De nombreux médecins, dont les directeurs de cellules de crise, ont alerté ce week-end sur la situation sanitaire et demandé au gouvernement de prendre ses responsabilités. Mais “on n’abandonnera pas les personnes qui viennent à l’hôpital”, rassure Gilles Pialoux. “Mais l’offre de soin sera dégradée.” Si on “laisse monter” la vague, “ce sera une situation à la Lombarde”, estime-t-il. “Où les familles comprendront que les patients mourront sur les brancards… Et c’est ça que l’on veut éviter.”
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“La vaccination est la porte de sortie”, ajoute-t-il. “Le problème c’est qu’elle s’est éloignée, probablement par une incompétence européenne dans la commande et par des événements imprévisibles, le poids de ces variants, et puis ce problème de doses caricatural sur le terrain.”
...
Gilles Pialoux juge aussi le système à l'école “totalement déconnant”. Selon lui, les mesures ne sont pas adaptables. “On dit qu'on va dépister les enfants, vous savez combien d'enfants ont été dépistés lundi ? 0,03% des enfants du primaire, parce que les tests ne sont pas là. On a des décisions politiques et la faisablitié qui est déconnectée”, dénonce le chef de service des maladies infectieuses de l’Hôpital Tenon.
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Gilles Pialloux se félicite toutefois du nouveau protocole sanitaire dans les écoles consistant à fermer une classe pour chaque enfant malade. “C'est une très bonne mesure”, assure-t-il, même s'il estime que “ce protocole sanitaire doit réellement être amplifié” notamment face au “problème des cantines (...) voie de circulation” du virus.
PLUS: pollution ; science ; plastique ; ocean ; pollution plastique : natation
Matthieu Balu, Journaliste sciences video au HuffPost.
Il a nagé 500 kilomètres dans le "continent de plastique" et fait une découverte inquiétante
Benoit Lecomte a pu voir un type de pollution particulièrement insidieux.
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les solutions déjà mises en place pour nettoyer cette véritable poubelle marine sont incapables de filtrer les fameux microplastiques...mais notre nageur de l’extrême a ouvert les yeux sur un problème largement aussi nocif.
“Le plastique a cette propriété d’être comme une éponge, pour les produits chimiques par exemple”, explique-t-il. Or la nature, reprenant toujours ses droits, finit tôt ou tard par coloniser le moindre déchet flottant dans la mer, l’utilisant comme un récif. Les composants qui accompagnent le plastique imprègnent alors les coquillages et les poissons qui l’habitent.
Ces derniers vont alors les transmettre à toute la chaîne alimentaire, en haut de laquelle trône l’être humain. La faune marine, déjà victime du déversement de produits chimiques dans l’océan, subit ainsi une conséquence supplémentaire de l’omniprésence du plastique dans la mer...et avec eux, tout le règne animal, homme compris.
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Tr.: ... si on mange du poisson, ne manger que les plus petits car la concentration des polluants augmente avec la taille et la position dans la chaîne alimentaire ...
Plusieurs études montrent que des liens existent entre la pollution atmosphérique, la transmission et la sévérité du Covid-19. La hausse des contaminations pourrait être liée à des pics de concentration en particules fines.
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une étude https://err.ersjournals.com/content/30/159/200242 parue en février dans l’European Respiratory Review, et qui répertorie différents travaux sur le sujet. Marianne fait le point avec Thomas Bourdrel, radiologue, membre du collectif Air santé Climat et co-auteur de la récente étude. ... Un pic de pollution, même court, de quelques jours voire quelques heures, entraîne une baisse transitoire des défenses immunitaires, notamment au niveau du système respiratoire. Cela a été démontré en laboratoire, chez l’animal et chez l’homme.
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Le virus a, en quelque sorte, une meilleure porte d’entrée. Les mécanismes de défenses immunitaires sont altérés, on sécrète moins de protéines protectrices… La pollution crée aussi une inflammation du système respiratoire : les muqueuses deviennent plus perméables au virus, elles le “laissent entrer”. Plus encore, il y a bien une corrélation entre les pics de pollution et l’augmentation des contaminations. Mais le lien de causalité est complexe à établir : les zones où les concentrations en particules fines sont les plus élevées sont aussi bien souvent les plus densément peuplées, ce qui a un effet sur les contaminations. On ne peut donc pas clairement prouver grâce à des études épidémiologiques qu’il y a un lien entre les deux. Attention, il ne faut pas pour autant tomber dans la psychose : même si la pollution a un impact, ce n’est pas le facteur prédominant sur la transmission.
Est-ce que les particules fines peuvent aussi avoir un impact sur le risque de développer une forme grave de la maladie ?
À long terme, la pollution atmosphérique augmente le risque de développer certaines maladies respiratoires et cardiovasculaires, ou encore un diabète. On parle d’une exposition pendant plus de dix ou quinze ans à des polluants très petits, émis entre autres par le trafic routier et les combustibles, à l’instar du chauffage au bois. Or ces pathologies sont également des facteurs de comorbidités du Covid-19, qui accroissent le risque de forme sévère et de décès. Ces particules fines rendent ainsi l’organisme moins “solide”, plus vulnérable face à des pathologies, notamment respiratoires : le Covid-19 est en une. Ainsi, on peut dire qu’être exposé longtemps à ces mauvaises conditions atmosphériques rend plus susceptible de développer une forme grave du Covid.
Une étude scientifique montre que la circulation du grand courant océanique atlantique ralentit. S’il se poursuit, ce phénomène causé par le changement climatique aura des conséquences néfastes.
Le Gulf Stream qui s’arrête : c’est le scénario du film Le jour d’après, sorti en 2004 ... Une étude parue le 25 février dans Nature Geoscience https://www.nature.com/articles/s41561-021-00699-z.epdf indique que ces courants seraient déjà en train de ralentir, ayant atteint leur plus bas niveau depuis au moins un millénaire.
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Les océans ne sont pas des masses d’eau inertes. Ils sont brassés en permanence par des courants marins, qui lient les océans entre eux. Ce mouvement continu de grande échelle, appelée circulation thermohaline ou MOC (meridional overturning circulation), joue un rôle très important dans la régulation du système climatique. « L’océan transfère d’énormes quantités d’eau, de carbone et de chaleur de la surface vers les profondeurs, grâce à la circulation thermohaline. Elle joue donc vraiment le rôle de thermostat au niveau du climat mondial », explique à Reporterre Jean-Baptiste Sallée, chercheur au laboratoire LOCEAN de l’université Paris Sorbonne https://www.locean-ipsl.upmc.fr/index.php?lang=fr.
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La différence de densité entre les eaux de surface et les eaux profondes est le moteur de la circulation thermohaline. Plus les eaux de surface sont denses, plus elles peuvent plonger et alimenter la circulation thermohaline. Les eaux profondes ont une masse volumique d’environ 1.050 kg/m3 contre 1.029 pour les eaux de surface près des pôles et 1.020 pour les eaux tropicales. Or, le réchauffement global va provoquer la diminution de la densité des eaux de surface des océans. ... aussi moins denses du fait de leur dilatation thermique. De surcroît, la fonte des glaciers et des banquises et la modification du régime des précipitations aux hautes latitudes injecteront de grandes quantités d’eau douce dans les eaux de surface des océans. Cette addition d’eau douce rendra l’eau moins salée, et donc moins dense.
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conséquences d'une diminution de l’Amoc ... « Dans la région du Sahel, baisse importante des précipitations, avec des répercussions humaines importantes dans cette région très peuplée », dit à Reporterre Didier Swingedouw, chercheur CNRS à l’université de Bordeaux.
« En Europe du Nord, augmentation de la fréquence des tempêtes et une augmentation du niveau des mers en Amérique du Nord et en Europe. Elle produira aussi une baisse importante de la production biologique marine », dit de son côté Jean-Baptiste Sallée. « Il est aussi possible qu’en Europe, le contraste entre les saisons soit plus marqué, avec des hivers plus rigoureux et des étés très chauds », ajoute Didier Swingedouw.
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quantifier l’amplitude de cette baisse et son horizon temporel.
Compléments d’info :
. Un article expliquant la circulation océanique
. Un fil de discussion (en anglais) d’un des auteurs de l’article paru dans Nature Geoscience
circulation_thermohaline_atlantique-Amoc-gulf_stream
2 commentaires 3 recommandés
Jamais sans doute dans notre pays le mensonge d’état n’aura été à ce point instauré en art de gouverner. En écho à ces pratiques destructrices, les réseaux sociaux en rajoutent une couche et se déchaînent…
Compteurs Linky, fermeture de la centrale de Fessenheim, Covid 19, 5G … autant de sujets qui dans leur diversité ont donné lieu à de multiples échanges et controverses incontrôlées … c’est à dire sans établir un « rapport de vérité » entre les discours et « la réalité », comme si ce rapport était hors sujet ….
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L’analyse de Serge Leclaire (en 1971) ne me semble pas avoir pas pris une ride : << Le réel ne peut se saisir : il se donne en se dérobant comme angoisse ou comme jouissance. L'ordre des choses (ce qu'on appelle : la réalité) s'établit en masquant le réel, que les différents discours s'emploient à contenir …>> ((1))
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Pour donner un simple exemple, l’existence de la théorie de la gravitation est nécessaire pour « voir » la réalité de la chute des corps … Sans cette théorie, on verra une pomme tomber de l’arbre. Et l’on pourra en déduire n’importe quoi tant qu’on n’aura pas construit une théorie pour en parler précisément …
En 2011, une erreur moins évidente avait prévalu dans quelques journaux qui avaient annoncé (en première page et en gros titres) une expérience (réalisée au CERN) qui aurait « démontré » une faille dans la théorie de la Relativité : << Les physiciens n'en croyaient pas leurs instruments, mais ils pensent bien avoir mesuré une particule dépassant la vitesse de la lumière, pourtant considérée comme une «limite infranchissable» dans la théorie de la relativité d'Einstein….>> ((2))
L’erreur de cette annonce résidait sans doute dans la représentation de ce qu’est une expérience. Une expérience en tant que telle ne dit rien, elle est partie intégrante de la théorie en vertu de laquelle elle a été imaginée, elle se borne donc à produire un matériau que l’on peut décrire comme un élément de « théorie-réalisée ». Ce matériau n’est pas accessible directement mais seulement par la médiation de la théorie et de l’expérimentation construite en cohérence avec cette théorie.
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Cette ère de post-vérité qui s’institue doit nous inquiéter au plus haut niveau.
En effet, << comment résister à l’autonomie pure du discours qui se détache de ses conditions de validation ou de vérification. L’acte même de vérification est rendu caduc par l’indifférence au vrai. >> ((3)).
Il s’agit là d’une vraie menace contre la démocratie.
La solution passe par l’insoumission !
((1)) Démasquer le réel. Serge Leclaire
https://www.seuil.com/ouvrage/demasquer-le-reel-serge-leclaire/9782020027601
#cigarette #complot #5g - 1 051 473 vues - 19 k - 655 - 1,78 M d’abonnés
Comment, des ravages du tabac au déni du changement climatique, on instrumentalise la science pour démentir... la science. Une vertigineuse investigation dans les trous noirs de la recherche et de l'information.
Pourquoi a-t-il fallu des décennies pour admettre officiellement que le tabac était dangereux pour la santé ? Comment expliquer qu'une part importante de la population croie toujours que les activités humaines sont sans conséquence sur le changement climatique ? Les pesticides néonicotinoïdes sont-ils vraiment responsables de la surmortalité des abeilles ? Pourquoi la reconnaissance du bisphénol A comme perturbateur endocrinien n'a-t-elle motivé que de timides interdictions ? Au travers de ces "cas d'école" qui, des laboratoires aux réseaux sociaux, résultent tous de batailles planifiées à coups de millions de dollars et d’euros, cette enquête à cheval entre l'Europe et les États-Unis dévoile les contours d'une offensive méconnue, pourtant lancée dès les années 1950, quand la recherche révèle que le tabac constitue un facteur de cancer et d'accidents cardiovasculaires. Pour contrer une vérité dérangeante, car susceptible d'entraîner une réglementation accrue au prix de lourdes pertes financières, l'industrie imagine alors en secret une forme particulière de désinformation, qui se généralise aujourd'hui : susciter, en finançant, entre autres, abondamment des études scientifiques concurrentes, un épais nuage de doute qui alimente les controverses et égare les opinions publiques.
Agnotologie
Cette instrumentalisation de la science à des fins mensongères a généré une nouvelle discipline de la recherche : l'agnotologie, littéralement, science de la "production d'ignorance". Outre quelques-uns de ses représentants reconnus, dont l'historienne américaine des sciences Naomi Oreskes, cette investigation donne la parole à des acteurs de premier plan du combat entre "bonne" et "mauvaise" science, dont les passionnants "découvreurs" des méfaits du bisphénol A. Elle expose ainsi les mécanismes cachés qui contribuent à retarder, parfois de plusieurs décennies, des décisions vitales, comme le trucage des protocoles, voire la fabrication ad hoc de rats transgéniques pour garantir les résultats souhaités. Elle explique enfin, au plus près de la recherche, pourquoi nos sociétés dites "de l'information" s'accommodent si bien de l'inertie collective qui, dans le doute, favorise le business as usual et la consommation sans frein.
La fabrique de l'ignorance
Reportage de Franck Cuvelier et Pascal Vasselin (France, 2020, 1h37mn)
3 102 commentaires
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Recherches/stratégie de diversion ! ... noyer le poisson ... manipulatioin de la science ... création du doute ...
Clôture des candidatures : mardi 16 février 2021 à midi (heure de Paris)
Le CNRS, à travers la Mission pour les initiatives transverses et interdisciplinaires, lance un appel à projets dans le cadre de l’Action conjointe CNRS-IRD
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Notre société moderne consomme les ressources de la terre sans limite posant à court terme le problème de la durabilité de cette approche ... inclure des aspects socio-économiques et politiques ... L’interdisciplinarité, la prise de risque, la rupture et le caractère exploratoire sont les critères clefs pris en compte dans la sélection des projets.
Pour le dépôt de candidature à l’AAP : https://survey.cnrs.fr/index.php/592843?lang=fr
informations : Jean-Christophe AVARRE (IRD) et Martina KNOOP (CNRS) responsables scientifiques
... possibilité d’échanges sur une plateforme pour permettre la constitution de nouveaux consortia ... https://survey.cnrs.fr/index.php/563385?lang=fr
Ndlr : le porteur de projet doit être impérativement un chercheur d'un laboratoire CNRS ou IRD.
Explorer les possibilités de coopération ACT
Ecole doctorale n°396
ECONOMIE, ORGANISATION ET SOCIETE Spécialité SCIENCES DE GESTION
COMPOSITION DU JURY :
M. Franck AGGERI, Professeur, Ecole des Mines, PSL, CNRS, Président
Mme Sophie BRETESCHÉ, Professeur, IMT Atlantique, Membre du jury
M. Olivier CHANTON, Chercheur, co-encadrant, IRSN, Membre du jury
M. David DEMORTAIN, Chargé de recherche, IFRIS, Université Paris-Est Marne-la-Vallée, Rapporteur
M. Benoit JOURNÉ, Professeur, Université de Nantes, Rapporteur
M. Emmanuel MARTINAIS, Chargé de recherche, ENTPE, Membre du jury
Mme Frédérique PALLEZ, Professeur, Ecole des Mines, PSL, CNRS, Membre du jury
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3. La sûreté nucléaire en France : un cas peu étudié mais particulièrement fécond
Dans ce travail de thèse, nous avons choisi de traiter du cas de la « sûreté nucléaire », entendue, dans sa définition institutionnelle, comme « l'ensemble des dispositions techniques et des mesures d'organisation relatives à la conception, à la construction, au fonctionnement, à l'arrêt et au démantèlement des installations nucléaires de base ainsi qu'au transport des substances radioactives, prises en vue de prévenir les accidents ou d'en limiter les effets » 5. La sûreté nucléaire est donc un problème de politique publique, faisant l’objet d’un traitement par des organismes publics, notamment l’IRSN et l’ASN que nous avons présentés succinctement ci-dessus.
On observe que la sûreté nucléaire française constitue un cas empirique relativement peu analysé. ...
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Suite à cette courte introduction, nous tenterons alors de répondre à la problématique suivante :
Comment se constituent et évoluent les régimes de régulation de la sûreté nucléaire en France ?
Nous allons maintenant développer notre propos, en proposant une démarche théorique, basée sur le concept de « régime de régulation des risques » (Hood et al., 2001) et un de ses composants, les instruments de régulation des risques.
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suivant les auteurs, les disciplines ou les focales retenues, les dispositifs de prise en charge du risque, qui marient des aspects techniques, juridiques, institutionnels, politiques, sont appelés gouvernance des risques, gouvernement des risques ou encore régulation des risques. En sciences politiques et sociologie ... Le terme de régulation est néanmoins assez polysémique. Il existe par exemple une école française de la régulation, inspirée de la pensée marxiste dont les travaux visent à analyser les mécanismes de reproduction du système capitaliste. En sociologie, Jean Daniel Reynaud (Reynaud, 1997), dans la continuité des travaux fondateurs de la sociologie des organisations (Crozier & Friedberg, 1977) a théorisé la « régulation sociale », c’est-à-dire les mécanismes par lesquels les règles sont produites et
renouvelées dans les organisations et plus généralement dans la société. Il convient également de mentionner que le terme anglais de « regulation » correspond en français à celui de « réglementation », ce qui pointe vers les approches juridiques.
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Définitions : ... RFS : Règle fondamentale de sûreté
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Page 325 - Chap. 5 - Chapitre 5. L’inondation du Blayais déclencheur d’un travail de régulation autour du risque d’inondation (1999-2016)
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Page 449 - Chap.6 - L’illustration d’une régulation par la souplesse : l’opérationnalisation de la RFS sur le site du Blayais (1974-1999)
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Connue / https://twitter.com/Mangeon4/status/1343128877649031168
" ... lire le chapitre 6 (et 5 en complément mais après la lecture du 6) ... 10:37 AM · 27 déc. 2020·2 Retweets 2 Tweets cités 14 J'aime "