Police, laïcité : Macron, ce pompier pyromane
C’est le projet de loi qui doit éradiquer l’islamisme. Annoncé le 18 février par le président Macron à Mulhouse, maintes fois remanié dans sa forme et son titre, il s’appelle désormais projet de loi “confortant le respect des principes républicains”, ce texte comporte une cinquantaine d’articles.
Pêle-mêle, on y trouve l’instauration de deux nouveaux délits, la pression séparatiste et l’incitation à la haine en ligne, une charte, encore, qui sera imposée aux associations si elles veulent bénéficier de subventions, l’obligation pour les agents des transports ou de la Sécurité sociale de se soumettre au principe de neutralité des fonctionnaires, l’interdiction des certificats de virginité sans oublier la lutte contre les mariages forcés.
La loi qui prétend conforter les principes républicains, le Beauvau de la police et le démantèlement d’EDF, on en parle tout de suite dans le numéro 98 du P’tit coup de bourbon.
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"J’ai décidé de quitter la police nationale. Une institution que j’avais choisie par vocation pour pouvoir aider, protéger, servir. Faire appliquer la loi au plus juste, secourir les victimes, également pourchasser, punir les méchants. Aujourd'hui, je ne me reconnais plus dans les missions qui sont les nôtres. Je crois que je ne suis pas le seul puisqu’aujourd’hui il ne se passe pas une journée, à l’ère du 2.0, à l’ère des médias, des chaînes d’info en continu, sans que les activités de la police ne fassent polémique."
Le constat est terrible pour Noam Anouar, après plus de 10 ans passés dans la police, il décide d'en claquer la porte. Déjà suspendu il y a quelques mois, sa position de lanceur d'alerte et de représentant syndical dénonçant les abus, sa position n'était plus tenable au sein de l'institution policière. Il a décidé de venir au Média annoncer son départ et mettre en garde contre "l'incapacité de la police à affronter ses démons" et le fossé qui en découle avec la population, qui ne laisse rien présager de bon. #Police #Violence #Vigi
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Vie privée : Publique
Publié originellement 26 novembre 2020
CatégorieActualité & Politique
LicenceInconnu LangueFrançais
Étiquettes : france ; gouvernement ; macron ; police ; politique
Durée14 min 54 sec 1 Commentaire
Publié il y a 4 jours • 83 vues Avatar de la chaîneAvatar du compte Le Média Par lemediatv
"J’ai décidé de quitter la police nationale. Une institution que j’avais choisie par vocation pour pouvoir aider, protéger, servir. Faire appliquer la loi au plus juste, secourir les victimes, également pourchasser, punir les méchants. Aujourd'hui, je ne me reconnais plus dans les missions qui sont les nôtres. Je crois que je ne suis pas le seul puisqu’aujourd’hui il ne se passe pas une journée, à l’ère du 2.0, à l’ère des médias, des chaînes d’info en continu, sans que les activités de la police ne fassent polémique."
Le constat est terrible pour Noam Anouar, après plus de 10 ans passés dans la police, il décide d'en claquer la porte. Déjà suspendu il y a quelques mois, sa position de lanceur d'alerte et de représentant syndical dénonçant les abus, sa position n'était plus tenable au sein de l'institution policière. Il a décidé de venir au Média annoncer son départ et mettre en garde contre "l'incapacité de la police à affronter ses démons" et le fossé qui en découle avec la population, qui ne laisse rien présager de bon. #Police #Violence #Vigi
Vie privéePublique Publié originellement02 décembre 2020
CatégorieActualité & Politique
LicenceInconnu LangueFrançais
Étiquettes : Actualité ; France ; Justice ; Police ; Violence
Durée6 min 22 sec
Natacha Polony reçoit le secrétaire général du syndicat Alternative Police CFDT. Violences policières, loi Sécurité globale, inquiétude et défiance des citoyens envers leur Police : comment en est-on arrivé là ?
Thèmes abordés : Police ; Violence policière ; Sécurité ; Loi de Sécurité globale ; France
Auteur Natacha POLONY
Connue / https://twitter.com/Marianne_TVoff/status/1335137595874025472
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Le dimanche 29 novembre, j'étais l'invité de Ronald Guintrange pour parler de l'agression du producteur de musique Michel Zecler. J'ai expliqué l'utilité vitale de pouvoir filmer l'action des policiers, notamment dans le cas concerné. Car sinon, tout se serait résumé à une parole contre une autre, à celle des policiers contre celle de Michel Zecler.
J'ai dit tout le problème qu'il y avait lorsque le pays des droits de l'homme était condamné par l'ONU pour mise en cause des droits de l'homme. J'ai appelé les policiers droits, honnêtes et justes à sortir du rang quand des actes comme ceux-ci étaient commis et j'ai dit qu'il fallait une police respectable pour qu'elle soit respectée.
SOMMAIRE
00:00 : Introduction
00:43 : Début de l'émission
07:45 : Première intervention : échange avec un policier
12:30 : Suite de l'émission
16:22 : Deuxième intervention : échange sur la loi sécurité globale
19:29 : Fin de l'émission et conclusion
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Marianne @MarianneleMag · 27 nov.
Producteur passé à tabac à Paris : la préfecture de police dans l’œil du cyclone.
Jusqu’où remonteront les enquêtes sur les violences policières en cours ? Provoqueront-elles la grande remise à plat que réclament certains depuis des mois, notamment à Paris ? La maison police est...
marianne.net - 8 - 14 -26
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En direct, Alexandre Langlois, secrétaire général du syndicat Vigi Police, nous explique les raisons de sa démission, vendredi 27 novembre, de la Police nationale. A partager largement !
Retrouvez aussi tous nos articles sur les violences policières ici : https://www.humanite.fr/mot-cle/violences-policieres
et sur la loi de sécurité globale : https://www.humanite.fr/etiquettes/loi-securite-globale
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Le samedi 28 novembre 2020, Jean-Luc Mélenchon était place de la République pour la marche des libertés contre la loi sécurité globale. Il a dénoncé les violences policières et a appelé à entièrement refonder la police pour retisser le lien de confiance entre la police et la population. Pour cela, il a notamment proposé la dissolution de la BAC et de l'IGPN.
Le président du groupe « La France insoumise » à l'Assemblée nationale a également demandé la démission du préfet Lallement dont les méthodes violentes sont régulièrement mises en cause dans les débordements policiers. Il a expliqué que les nassages devaient être arrêtés car ils provoquent régulièrement du désordre et des situations de tension où les manifestants peuvent être blessés.
Jean-Luc Mélenchon a demandé à ce qu'Emmanuel Macron retire la loi « Sécurité globale » dont l'ensemble des mesures créent une véritable « cage électronique » de surveillance généralisée de la population.
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Il y a quelque chose de pourri au sein de la police de France. On le savait déjà, mais ces derniers jours les scandales se multiplient comme jamais. Violences spectaculaires (et filmées) contre des journalistes et des réfugiés alors que la très controversée loi Sécurité globale est en cours d’adoption… Et puis ces images terribles révélées par nos confrères de Loopsider où l’on voit Michel Zecler, un producteur de musique, et des jeunes artistes dont un mineur, se faire tabasser et gazer avec une violence inouïe. La coupe était déjà pleine. Elle déborde.
Noam Anouar, policier, syndicaliste à VIGI, nous parle des manœuvres de certains syndicats de police pour faire de la diversion autour de “l’affaire Michel”. Ce lanceur d’alerte, qui a par le passé tiré la sonnette au sujet des violences contre les Gilets jaunes, du racisme au sein de l’institution policière ou de l’islamisme radical, évoque plus globalement le malaise au sein de l’institution. Une institution qu’il a décidé de quitter, comme son collègue et camarade de syndicat Alexandre Langlois. Il explique au Média pourquoi il ne peut plus s’épanouir professionnellement, en tant qu’agent de la force publique, dans la France de 2020.
.#Michel #ViolencesPolicières #Police 833 commentaires
Sécurité globale, les quartiers en première ligne face à l'impunité policière
La mobilisation contre le projet de loi “Sécurité globale” continue. Après des rassemblements dans toute la France samedi dernier, une nouvelle manifestation est prévue ce samedi à Paris pour protester contre ce projet de loi liberticide.
La contestation s’est notamment cristallisée autour de l’article 24, qui limite fortement la possibilité de filmer les forces de l’ordre en action. Il a provoqué une mobilisation inédite de la profession de journaliste. Les syndicats du secteur, les sociétés de journalistes, mais aussi plusieurs associations et ONG se sont soulevés.
Qui est visé par cette loi ? Tout le monde. Les journalistes, les citoyens. Le droit d’informer, la liberté d’expression. Mais les premières victimes de ce projet de loi seront les habitants des quartiers populaires. Car c’est bien contre eux que s’exercent en premier lieu les violences policières. Pour de nombreux habitants, filmer les dérives des policiers reste la dernière arme pour éviter le pire. Entre le renforcement des prérogatives de la police municipale et cette limitation du contrôle de l’action des forces de l’ordre, les quartiers populaires sont en première ligne.
Avec Inès Seddiki, fondatrice de l'association Ghett'up, Fatou Dieng, soeur de Lamine Dieng, collectif Vies volées et Pierre Lumbroso, avocat de la famille de Shaoyao Liu.
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Le 18 novembre 2020, Adrien Quatennens était l'invité de David Delos sur France info pour "Votre Instant Politique". #VIPol #NousSommesPour #JLM2022 #StopLoiSecuriteGlobale #Covid19 - 531 commentaires
SÉCURITÉ GLOBALE : LA LOI QUI VA DÉTRUIRE NOS LIBERTÉS - •Sortie le 13 nov. 2020 / Le Média
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La proposition de loi de sécurité globale, surnommée par l'opposition la loi "de surveillance globale" fait grand bruit dans les médias ces derniers jours. De nombreux journalistes et défenseurs des libertés fondamentales dénoncent une loi dangereuse, liberticide et une procédure d'adoption anti démocratique.
Le Monde, Libération, et même le Figaro, les journalistes se mobilisent, mais aussi les réalisateurs tels que Ken Loach et de nombreux professionnels de l'image. Ils dénoncent une menace pour la liberté d'informer. Amnesty international de son côté s'est lancée dans une campagne pour que cette proposition de loi soit supprimée.
Pourquoi cette loi est-elle si dangereuse, et comment se mobiliser pour qu'elle ne puisse pas rentrer en vigueur ?
Salomé Saqué revient sur les différents articles controversés de cette proposition de loi, avec le journaliste Taha Bouhafs, l’auteur de la vidéo de l’affaire Benalla, connu pour son engagement contre les violences policières. A ses côtés, Arthur Messaud, juriste à la Quadrature du net, apporte lui un éclairage technique sur les dangers de surveillance généralisée. Certains articles de la proposition de loi visent en effet à rendre légale l'utilisation de drônes par la police dans le cadre de manifestations, ou encore de répondre à l'une des demandes de longue date des policiers : leur donner accès aux images filmées par les caméras mobiles.
Les deux invités partent de ce constat commun : il s'agit selon eux d'une loi écrite par les syndicats de police, qui pose un risque majeur de dérive autoritaire.
.#PPLSécuritéGlobale #Police #Libertés
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Tr : ... manifestation mardi devant le parlement ...
LCP-LA CHAINE PARLEMENTAIRE-ASSEMBLÉE NATIONALE - UGO BERNALICIS INVITÉ DE "ÇA VOUS REGARDE" - POLICE DANS LES CITÉS : LA PAIX IMPOSSIBLE - •15 oct. 2020 / Ugo Bernalicis
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Mardi 13 octobre, Ugo Bernalicis était l'invité de Myriam Encaoua sur LCP, dans l'émission "Ça vous regarde" pour débattre des questions des conditions de travail des policiers et de violences policières face à François Bersani (SGP Police), Thibault de Montbrial (avocat) et Guillaume Gouffier-Cha (député LREM).
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Le 14 septembre 2020, la France insoumise organisait un colloque sur la sécurité (https://youtu.be/Yiv5Oi3vKNs). Jean-Luc Mélenchon concluait cette journée de travaux.
Le président du groupe « La France insoumise » à l'Assemblée nationale a dénoncé l'inflation de lois sécuritaire dont l'efficacité n'est jamais évaluée. Il a ainsi rappelé qu'il y avait eu au cours des 30 dernières années 16 lois sur le terrorisme, 21 sur l'immigration et 32 sur la délinquance sans que jamais le bilan en soit donné. Il a expliqué que ces lois diminuaient les libertés publiques sans améliorer la sécurité.
Face à l'ambiance politico-médiatique qui place l'insécurité au centre de l'actualité, Jean-Luc Mélenchon a réfuté l'utilisation du mot « ensauvagement » et a rappelé son origine. Il a aussi expliqué que les statistiques pouvaient être manipulées pour leur faire dire une chose ou une autre. Il a appelé à traiter enfin les questions de sécurité par la raison, en analysant ce qui fonctionnait et ce qui ne fonctionnait pas. Il a ainsi parlé longuement de l'inefficacité de la politique répressive en matière de lutte contre la consommation de cannabis et a expliqué qu'il fallait réfléchir à sa légalisation pour d'une part libérer des forces de police pour lutter contre le trafic et le crime organisé et d'autre part lutter plus efficacement contre la consommation ou la consommation excessive de cette drogue.
Le porte-parole des insoumis a également déployé ses propositions pour la sécurité autour du triptyque « prévention, répression, réparation ». Dénonçant le bilan ridicule de Darmanin incapable d'arrêter une bande de Tchétchènes armées ou poursuivant un groupe de rap à Grenoble, Jean-Luc Mélenchon a quant à lui appelé à refonder la police. Il a ainsi proposé de reconstruire le lien entre la police et la population via l'utilisation d'une garde nationale, à redévelopper la formation des policiers, à dissoudre l'IGPN, à refondre le code de déontologie. Il a, enfin, expliqué qu'en République, l'ordre public n'était pas possible sans ordre social.
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Audition de Cédric Mas, Président de l'Institut Action Résilience
Député présent : Ugo BERNALICIS
Clés : Amérique du Nord ; Discriminations ; Répression ; Violences policières.
Des deux côtés de l'Atlantique, des mobilisations contre les crimes policiers s'organisent. Aux États-Unis, la mort de George Floyd, assassiné par un policier blanc le 25 Mai 2020 à Minneapolis, déclenche une série de manifestations dans tous le pays. Interpellé par quatre policiers, George Floyd est plaqué au sol sur le ventre et répète "I can't breathe" (je ne peux pas respirer). Filmé par des passants, la vidéo fait le tour des réseaux sociaux et provoque la colère des riverains de Minneapolis qui dès le lendemain manifestent et réclament "justice". Très vite, le mouvement gagne le reste du pays à l'image de la mobilisation Black lives matter. Un mot d'ordre en particulier surgit : "Defund the police", ce qui signifie littéralement "couper les finances de la police". Il s'agit d'exiger une réduction des budgets de la police pour réorienter les fonds vers des programmes sociaux, culturels et de santé. Certains demandent même l'abolition des forces de l'ordre. En France, la mort de George Floyd rappelle celles de plusieurs victimes tuées aussi par plaquage ventral. George Floyd décède des mêmes techniques d'interpellation policière qui ont tué Lamine Dieng, Adama Traoré ou Cédric Chouviat, dont les proches se sont organisés en collectif pour obtenir l'interdiction de ces méthodes d'intervention. En écho aux événements américains, le comité Adama qui regroupe la famille d'Adama Traoré, appelle à un rassemblement dès le 2 Juin devant le palais de justice porte de Clichy à Paris. Des manifestations se poursuivent depuis et une marche est prévu le 18 juillet à Beaumont-sur-Oise pour les quatre ans de la mort d'Adama Traoré.
Les mobilisations contre les violences policières aux États-Unis et en France sont-elles pour autant semblables? Pour en parler, Le Média a contacté Gwenola Ricordeau, spécialiste en justice criminelle à la California State University at Chico. Cette criminologue s'est également rendu à la CHAZ (Capitol Hill Autonomous Zone) dans le centre-ville de Seattle. Ce quartier est devenu durant quelques semaines une zone sans police, après l'évacuation du commissariat situé en son centre. Transformé par les militants locaux en sanctuaire en hommage aux victimes des violences policières, ce lieu est devenu un symbole du mouvement Defund the Police. Lorsque cet entretien fut tourné, la CHAZ était encore entre les mains du mouvement social américain. Gwenola Ricordeau raconte les dernières heures de la CHAZ, dont la police de Seattle a repris possession après l'enregistrement de l'interview, le 1er Juillet 2020.
Clés : Justice ; Répression ; Travail
Au sommaire :
- Les manifs sauvages de la police, dont une des principales revendications est tout simplement “le droit d’étrangler” les interpellés. Alors même qu’une policière vient de porter plainte contre un de ses collègues qui lui avait fait subir une clé d’étranglement pour s’exercer. Et quelques jours après les révélations de Mediapart sur les derniers mots de Cédric Chouviat : “J’étouffe”.
- Devinez quoi ? On a vu Apolline de Malherbe de BFM TV émue. Émue parce qu’il y a un mouvement de grève suite à un gros plan de départs au sein du groupe NextRadio TV, son employeur. La grève en cours au sein du groupe NextRadio TV, dont fait partie la chaîne tout-info BFM, estampillée média de l’anti-grève. Une grève suivie par 90% des journalistes, mais pas par les stars de l’antenne, qui se contentent d’exprimer leur “émotion”. Alors que les destructions d’emplois prévues toucheront surtout les précaires - pigistes et intermittents.
- Les incessants scandales sans conséquences pratiques (affaire Köhler, affaire Fillon, évasion fiscale au sein des EHPAD jouissant de fonds publics, cadeaux de la Banque centrale européenne au groupe LVMH, persécution d’un conseiller Pôle Emploi pour avoir fait son boulot) qui nous pousse à nous poser une question : qu’est-ce que la République et qui l’incarne vraiment ?
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Mardi 23 juin, Ugo Bernalicis était l'invité d'Audrey&Co sur LCI pour débattre de la réorganisation du trafic aérien, du travail le dimanche, de la mort de Cédric Chouviat et des violences dans la police, face à Jean-Michel Aphatie et Coralie Dubost, députée LREM.
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UN AN APRÈS, TOUJOURS PAS DE JUSTICE POUR STEVE - •22 juin 2020 / Par Théophile Kouamouo - Le Média
Quinzième épisode de notre tour de l’actualité bihebdomadaire, enregistré et diffusé le lundi 22 juin 2020.
Au sommaire :
L’an I de la mort de Steve Maïa Caniço, décédé à Nantes un 21 juin, ou plutôt dans la nuit du 21 au 22 juin 2019, pour être sorti de chez lui à l’occasion de la fête de la musique.
La police et son rapport particulier aux marges et aux minorités, qui n’est pas sans poser des problèmes politiques de fond.
François Ruffin, qui essaie, dans une interview à Mediapart, de politiser justement le malaise démocratique que pose désormais nombre de comportements policiers en France.
La convention citoyenne pour le climat, mise en place par l’exécutif Macron comme pour “répondre au mouvement des gilets jaunes”, ses préconisations et les réactions très révélatrices de certains milieux, notamment au regard de leur rapport à la citoyenneté et à la démocratie.
Et comment ne pas oublier ce cher Patrick Balkany, condamné à de la prison ferme pour corruption - ce qui est assez rare en France pour être signalé ? Libéré pour des raisons de santé en février dernier, on l’a vu se trémousser sans gêne à la Fête de la musique.
.#Steve #Fêtedelamusique #Conventionpourleclimat
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Le 17 juin 2020, Adrien Quatennens était l'invité de Léa Salamé et Nicolas Demorand pour le grand entretien sur #FranceInter #Le79inter