17 254 vues - 3,4 k - 36
Dans ce 94e numéro de la Revue de la semaine, Jean-Luc Mélenchon revient sur son déplacement à Belfort pour soutenir les salariés de General Electric (ex-Alstom). Il revient sur l'histoire de cette entreprise et sur la manière dont les pouvoirs publics l'ont petit à petit abandonnée alors qu'elle est cruciale pour faire la transition écologique.
Jean-Luc Mélenchon parle ensuite de deux sujets. D'abord de la pollution de l'air résultant de l'utilisation de bateaux de croisière, notamment à Marseille. Ensuite du rapport intitulé «Mers et océans : quelle stratégie pour la France ?» qu'il a réalisé avec le député Joachim Son-Forget.
SOMMAIRE
LES LIENS
12 646 vues - 1,8 k - 24
Ce samedi 22 juin à 14h a lieu à Belfort (RDV à la Maison du Peuple) une marche de soutien aux salariés de l'usine de General Electric (ex Alstom) menacée d'un plan social qui supprimerait 800 emplois sur le site. Dans cette vidéo, Jean-Luc Mélenchon appelle à participer à cette manifestation à laquelle il se rendra aux côtés de la députée européenne Anne-Sophie Pelletier, de la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann et de la conseillère régionale Émilie Marche. Il dresse aussi ici le bilan de l'abandon de ce fleuron industriel par l'État, notamment sous l'action d'Emmanuel Macron.
➡️ Retrouvez le dossier «Alstom : neuf ans d’avertissements et de luttes» : https://melenchon.fr/2014/12/19/alstom-plus-de-quatre-ans-davertissements-et-de-luttes/
Catégorie Actualités et politique 194 commentaires
calendula lys il y a 7 heures
Quel bonheur de nous appeler à la mobilisation cher JLM hâte de revoir nos idées en mouvements hé oui aimer son pays c'est se battre pour que son industrie ne soit pas dépecée ENTRE AUTRE .... remontons en selle notre gloire n'est pas de ne jamais TOMBER mais de TJR NOUS RELEVER #FI
250 vues - 6 - 2
En Coulisses - General Electric : nouvelle bombe sociale pour le gouvernement ?
Nous vous emmènerons à Belfort où les salariés de General Electric hésitent entre la colère, l’incompréhension et la résignation. 1044 postes vont y être supprimés par le géant de l’énergie pour être rapatriés sur le sol américain. Nous avons passé plusieurs jours à Belfort côté salariés mais aussi côté gouvernement dans les pas du ministre Bruno Le Maire. Reportage en coulisses.
Catégorie Actualités et politique 1 commentaire
Usine General Eletric à Belfort
28 mai 2019 dans Actualités, Communiqués de presse, Le groupe
Communiqué de presse du groupe parlementaire LFI.
La direction de General Electric a annoncé la suppression d’un quart des effectifs d’Alstom. 1050 emplois vont être supprimés. Cette décision est une catastrophe économique et sociale. Qu’elle soit rendue publique après l’élection européenne montre toute la duplicité de ceux qui l’ont prise.
Emmanuel Macron porte l’entière responsabilité de ce désastre, lui qui, encore ministre de l’Économie, avait autorisé la vente de ce fleuron à General Electric. Les nombreuses voix qui s’y opposaient avaient prévu cette issue. Les récents succès d’Alstom Transport, alors même que la fusion avec Siemens, voulue par le gouvernement, a été empêchée, montrent combien tous les arguments en faveur de cette vente à la découpe étaient mensongers.
Le groupe étasunien, lui, n’aura respecté aucun des engagements qu’il avait pris comme acheteur.
Dans ce dossier, l’intérêt national a été marchandé. L’oligarchie a bradé un fleuron et s’est grassement servie au passage.
Il est temps que l’État reprenne la main sur cette entreprise pour protéger les emplois ainsi que les technologies indispensables à notre souveraineté et à la planification écologique. Des sanctions doivent être prises contre General Electric. Elles devront être suffisamment lourdes pour dissuader toute autre entreprise étrangère de braver ainsi la puissance publique.
Un gilet jaune de 35 ans a été mis en examen ce jeudi à Belfort pour s'en être pris sur les réseaux sociaux aux forces de l'ordre. Après la perquisition à son domicile, ses deux enfants ont été placés. Les policiers ont découvert qu'ils vivaient dans des conditions "à la limite de l'insalubrité".
L'homme de 35 ans est un gilet jaune, présenté par son entourage comme un "street medic", un soigneur de rue (Photo d'archives) © Radio France - Mélanie Kuszelewicz
...
Ses deux enfants placés
Sur les réseaux sociaux, son entourage crie à l'injustice : les deux enfants, mineurs, du militant ont fait l'objet d'un placement provisoire. L'homme de 35 ans est présenté comme un prisonnier politique, à qui on a arraché ses enfants.
Dans un message diffusé plus d'une centaine de fois sur Facebook, il est rappelé qu'il est un "street medic", un soigneur de rue, un gilet jaune habillé en blanc avec une croix rouge, présent pour soigner les blessés lors des manifestations. Selon ces témoignages, c'est quelqu'un de "très diplomate", un "médiateur" qu'on a voulu faire taire en plaçant dans un foyer ses deux petites filles.
Ses enfants élevés dans des conditions déplorables affirme le substitut du procureur
...
ndlr :