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Catégorie Éducation 327 commentaires
FMR il y a 1 an
Vous n'avez jamais pensé à vous rapprocher d'un éditeur de jeux vidéos, éventuellement en passant par L'INRA pour vous seconder dans cette démarche ? Quand je vous écoute dans cette vidéo, j'ai l'impression d'avoir un SIM City version PERMACULTURE. Ca serait très didactique et une excellente sensibilisation pour les plus jeunes. S'il est proche d'un simulateur, il pourrait devenir un logiciel de type Serious Gaming, c'est à dire pour l'apprentissage.
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Croq' Nature il y a 4 ans
L'intelligence humaine au service de la vie. quelle belle note d'espoir.
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jipe4509 il y a 2 ans
Je crois bien que c'est la première vidéo véritablement intéressante sur la permaculture. Merci pour ces explications claires et passionnantes. Ça donne vraiment envie de se lancer dans un projet similaire.
Description
Jean-Francois Noubel:
"We name holomidal collective intelligence the new form of collective intelligence that emerges thanks to the Internet. Local and global, decentralized and distributed, agile, polymorphic, based on leadership, individuation, open source, integral wealth and mutualist economy, this young form of collective intelligence still lives through its infancy phase. However we can already see its huge impact on humanity where more and more people in civil society self-organize in order to address societal issues that pyramidal collective intelligence cannot address and even provokes.
Socialware and communityware serve as the keystone on which collectives can rely on, in order to self-organize and scale up, locally and remotely.
Holomidal collective intelligence will soon build advanced forms of Holopticism and augmented holopticism." (http://cir.institute/holomidal-collective-intelligence/)
Category: Intelligence
This page was last modified on 25 May 2015, at 09:36.
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Soutenue par les gouvernements successifs, la sortie du nucléaire est engagée en Allemagne depuis le début des années 2000, et doit se conclure en 2022, date prévue de l’arrêt de la dernière centrale. La fermeture de ces centrales nucléaires entraîne-t-elle une hausse des émissions de CO2 du secteur électrique allemand en favorisant un retour au charbon ?
En quelques mots
Depuis 35 ans, les émissions de CO2 du secteur électrique allemand sont globalement en diminution. Ces 10 dernières années, elles ont baissé de 20 % alors même que la production nucléaire allemande a chuté de 55 % depuis 2006 et que les exportations d’électricité ont considérablement augmenté.
La hausse de l’utilisation du charbon constatée entre 2009 et 2013 en Allemagne est souvent associée – à tort – à la diminution de la production nucléaire. Ce recours au charbon est en réalité venu compenser une baisse de l’approvisionnement en gaz naturel fossile, devenu moins compétitif sur cette période.
La stabilisation de la consommation d’électricité allemande depuis plus de 10 ans ainsi que l’essor des énergies renouvelables électriques – éolien et photovoltaïque en tête – contribuent favorablement à la transition énergétique de l’Allemagne ainsi qu’à la réduction de ses émissions de gaz à effet de serre.
Les efforts doivent désormais être poursuivis et amplifiés, aussi bien dans l’installation d’énergies renouvelables que dans la sobriété et l’efficacité énergétique, pour que l’Allemagne puisse rester sur la trajectoire ambitieuse de réduction de ses émissions qu’elle s’est fixée.
Clés: Allemagne energiewende nucléaire charbon CO₂
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Pourquoi l'homme est-il aujourd'hui considéré comme le principal responsable du changement climatique en marche ? Quel est exactement son impact sur les processus naturels qui régissent la planète ? Hausse des températures, élévation du niveau de la mer, acidification des océans… quelles conséquences auront concrètement ces évolutions sur notre environnement ? Explications et enjeux en moins de quatre minutes.
Catégorie
Actualités et politiquehttps://www.lemonde.fr/climat/article/2018/10/08/ce-qu-il-faut-retenir-du-rapport-du-giec-sur-la-hausse-globale-des-temperatures_5366333_1652612.html
Source :
À propos de l’association
Reporterre est le quotidien de l’écologie en ligne. Tous les jours, il publie des articles pour parler d’écologie dans toutes ses dimensions : agriculture, alimentation, transport, climat, alternatives…
Résumé du projet
Dans son idée que l’information doit être accessible à toutes et tous, Reporterre a lancé, en 2015, le projet “Écologie et quartiers populaires” (intitulé dans un premier temps “Climat et quartiers populaires”). En articulant reportages, ateliers médias et rencontres publiques, l’idée en est de donner la parole aux habitants des quartiers populaires, pour qu’ils disent quel regard ils portent sur le dérèglement climatique et sur les questions écologiques. L’objectif à moyen et long terme est de multiplier les reportages, les ateliers médias et les rencontres dans ces quartiers, en prêtant une attention particulière aux initiatives portées par les jeunes, dans la lignée de ce que, par exemple, Reporterre a fait à Villetaneuse, en Seine-Saint-Denis, où des jeunes condamnés à des travaux d’intérêt général reprennent leur vie en main dans une ferme. En résumé, “Écologie et quartiers populaires” accompagne des personnes de quartiers sensibles dans la réalisation d’objets journalistiques diffusés par Reporterre.
Lieu
Toute la France, et particulièrement Paris et la région Ile-de-France, l’Aisne, les Bouches- du-Rhône, et l’Occitanie.
Montant demandé
12 000 €
Utilisation prévue de ce montant
L’organisation d’ateliers par les journalistes de Reporterre, aide à la rédaction d’objets journalistiques, édition et publication des articles, frais de déplacement.
200 personnes ont soutenu ce projet
esnault@reporterre.net
Organisme : Reporterre
60 rue des Vignoles, 75020 Paris
www.reporterre.net
Transcription :
...
poursuivre en 2018 le projet notamment sur "les quartiers populaires en milieu rural" ++
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La Justice restaurative (réparatrice ou restauratrice) traite des conflits de nature à engendrer des répercussions graves (d’ordre personnel, familial et plus largement social) sur les personnes qui en sont les victimes ou les auteurs, leur entourage et leurs communautés d'appartenance. Elle a pour finalité de donner la possibilité à l’ensemble de ces personnes de prendre une part active dans la recherche et la mise en œuvre des solutions susceptibles de leur permettre de reprendre le cours de leur vie (restauration).
Plus d'informations sur www.justicerestaurative.org
Catégorie
Organisations à but non lucratif
Robert Cario président
page 12
Une bonne nouvelle maquillée en catastrophe
Chômage, le mythe des emplois vacants
A écouter de nombreux discours sur les emplois vacants ou non pourvus, la France serait assise sur d’immenses gisements de travail salarié. De tels propos alimentent une proposition politique : renforcer le contrôle des chômeurs pour que l’aiguillon de la contrainte les tire de l’apathie. Pourtant, les chiffres mis en avant ne signifient pas ce que l’on cherche à leur faire dire, bien au contraire.
...
La France comprend un nombre d’emplois vacants bien inférieur à la moyenne européenne ; seules l’Italie, la Pologne et la Lettonie affichent un taux moindre (3). Une hausse des emplois vacants constituerait une bonne nouvelle, pour les chômeurs mais aussi pour les salariés. Car la diminution du chômage leur permettrait de retrouver une position de force pour négocier des hausses de salaire.
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00999001057028 - Médiathèque L'Alpha - Adulte - LIV - ECOLOGIE
=>
- lire
- i (trouver le lien chez l'éditeur ou critiques)
- valoriser ?
ACT
00999001049496 - Médiathèque L'Alpha - Adulte - LIV - CLIMAT
=>
- lire
- i (trouver le lien chez l'éditeur ou critiques)
- valoriser ?
ACT
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Albert Meslay, le réchauffement Climatique.
Issue du DVD "L'Albertmondialiste" (2015, Tacet, L'autre Distribution)
Albert Meslay est Albertmondialiste. L’humoriste défend, avec véhémence et conviction, un courant de pensée qui grossit et qui s’intéresse à une période qui va du Big-Bang à la fin du monde. Du début de l’écriture, « Les premiers écrits ressemblaient à des emails gravés dans la pierre et à consulter sur place » à la fin du monde, « Le jour de l’apocalypse, en un instant, les fortunes des nantis seront anéanties et les dettes des pauvres, annulées : on aura une fin du monde de gauche ! ». Albert Meslay a son avis sur tout -l’emploi, les poissons, la fin du pétrole, la mort, le réchauffement de la planète, sans oublier les dangers du cyclisme et de la retraite, la croissance des inégalités ou la littérature érotique celte -, même sur des sujets qu’il ne connaît pas. « Le droit de se tromper est un privilège qui ne doit pas être réservé qu’aux experts »
www.tacet.fr - www.albertmeslay.com
connue / https://twitter.com/JMJancovici/status/1028979198428364801
On connait Cédric Villani pour sa médaille Fields et sa passion de la médiation, un peu moins pour son rôle à Wikimédia France. Partage des connaissances, accès libre aux données scientifiques : il s’exprime.
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Comment les scientifiques peuvent-ils trouver leur place dans l’aspiration des citoyens à partager les connaissances ?
Les scientifiques aujourd’hui endossent nettement plus volontiers ce rôle de transmission de connaissances. Il y a des formations, des institutions, des lieux de médiation… On trouve désormais dans chaque pays quelques spécialistes de médiation scientifique qui sont eux-mêmes des scientifiques ayant appris à travailler avec les médias et parler directement avec le grand public. De plus en plus, les scientifiques cherchent à prendre leur place dans cet écosystème sans laisser la main à des professionnels de la médiation. C’est une communauté assez soudée car les chercheurs qui font de la médiation à haute dose se retrouvent avec les mêmes problématiques.
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ndlr :
- il oppose le professionnel de la médiation au scientifique => questionnement : est-il le seul dans ce cas ou est-ce largement partagé dans le monde de la médiation scientifique ?
- la médiation est-elle limitée pour lui au 'travail avec les médias" ?
- connu par https://framablog.org/2017/06/10/les-rencontres-mondiales-du-logiciel-libre-se-mettent-au-vert/
Les travailleurs sociaux ont des missions utiles face au réchauffement de la planète. Ils peuvent non seulement promouvoir le développement durable, mais aussi aider les victimes des catastrophes climatiques. A l'occasion de la Cop21, des universitaires anglo-saxons étaient à Paris pour les inviter à prendre place dans le combat environnemental.
Lire la suite => s'abonner à http://www.editions-legislatives.fr/ ACT
Derrick Jensen (né le 19 décembre 1960) est un écrivain et activiste écologique américain, partisan du sabotage environnemental, vivant en Californie. Il a publié plusieurs livres très critiques à l’égard de la société contemporaine et de ses valeurs culturelles, parmi lesquels The Culture of Make Believe (2002) Endgame Vol1&2 (2006) et A Language Older Than Words (2000). Il est un des membres fondateurs de Deep Green Resistance. Plus de renseignements sur l’organisation Deep Green Resistance et leurs analyses dans cet excellent documentaire qu’est END:CIV, disponible en version originale sous-titrée français en cliquant ici. Article source: https://orionmagazine.org/article/forget-shorter-showers/
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Nous pouvons suivre l’exemple d’activistes courageux qui ont vécu aux époques difficiles que j’ai mentionnées — l’Allemagne nazie, la Russie tsariste, les États-Unis d’avant la Guerre de Sécession — qui ont fait bien plus qu’exhiber une certaine forme de pureté morale ; ils se sont activement opposés aux injustices qui les entouraient. Nous pouvons suivre l’exemple de ceux qui nous rappellent que le rôle d’un activiste n’est pas de naviguer dans les méandres des systèmes d’oppression avec autant d’intégrité que possible, mais bien d’affronter et de faire tomber ces systèmes.
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Deep Green Resistance France - Le Partage
Une vidéo créée à partir d'un texte de Derrick Jensen, à lire ici en français:
http://partage-le.com/2015/03/oubliez-les-douches-courtes-derrick-jensen/
Catégorie People et blogs 59 commentaires
Extraits du texte :
"
Qui aurait été assez insensé pour croire que le recyclage aurait pu arrêter Hitler, que le compostage aurait pu mettre fin à l’esclavage ou nous faire passer aux journées de huit heures, que couper du bois et aller chercher de l’eau au puits aurait pu sortir le peuple russe des prisons du tsar, que danser nus autour d’un feu aurait pu nous aider à instaurer la loi sur le droit de vote de 1957 ou les lois des droits civiques de 1964 ? Alors pourquoi, maintenant que la planète entière est en jeu, tant de gens se retranchent-ils derrière ces « solutions » tout à fait personnelles ?
Une partie du problème vient de ce que nous avons été victimes d’une campagne de désorientation systématique. La culture de la consommation et la mentalité capitaliste nous ont appris à prendre nos actes de consommation personnelle (ou d’illumination) pour une résistance politique organisée. « Une vérité qui dérange » a participé à exposer le problème du réchauffement climatique. Mais avez-vous remarqué que toutes les solutions présentées ont à voir avec la consommation personnelle – changer nos ampoules, gonfler nos pneus, utiliser deux fois moins nos voitures – et n’ont rien à voir avec le rôle des entreprises, ou l’arrêt de la croissance économique qui détruit la planète ? Même si chaque individu aux États-Unis faisait tout ce que le film propose, les émissions de carbone ne baisseraient que de 22%. Le consensus scientifique stipule pourtant que ces émissions doivent être réduites d’au moins 75%.
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Le changement personnel n’est pas égal au changement social.
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Si nous choisissons la solution « alternative » qui consiste à vivre plus simplement et donc à causer moins de dommages, mais qui ne consiste pas à empêcher l’économie industrielle de tuer la planète, nous pouvons penser, à court terme, que nous gagnons, parce que nous nous sentons purs et que nous n’avons pas eu à abandonner notre empathie (juste assez pour justifier le fait de ne pas empêcher ces horreurs) mais, encore une fois, nous sommes perdants, puisque la civilisation industrielle détruit toujours la planète, ce qui signifie que tout le monde est perdant.
La troisième option, agir délibérément pour stopper l’économie industrielle, est très effrayante pour un certain nombre de raisons, notamment, mais pas seulement, parce que nous perdrions ces luxes (comme l’électricité) auxquels nous sommes habitués, ou parce que ceux qui sont au pouvoir pourraient essayer de nous tuer si nous entravions sérieusement leur capacité d’exploiter le monde — rien de tout ça ne change le fait que cela vaut toujours mieux qu’une planète morte.
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Le second problème – et il est important, lui aussi – c’est que cela incite à injustement blâmer l’individu (et particulièrement les individus les moins puissants) au lieu de ceux qui exercent effectivement le pouvoir dans ce système et pour ce système. Kirkpatrick Sale, encore : « Le sentiment de culpabilité individualiste du tout-ce-que-tu-pourrais-faire-pour-sauver-la-planète est un mythe. Nous, en tant qu’individus, ne créons pas les crises, et nous ne pouvons pas les résoudre. »
Le troisième problème c’est que cela implique une redéfinition capitaliste de ce que nous sommes, de citoyens à consommateurs. En acceptant cette redéfinition, nous restreignons nos possibilités de résistance à consommer ou ne pas consommer. Les citoyens ont un panel bien plus large de possibilités de résistance, comme voter ou ne pas voter, se présenter aux élections, distribuer des tracts d’information, boycotter, organiser, faire pression, protester et, quand un gouvernement en arrive à détruire la vie, la liberté, et la poursuite du bonheur, nous avons le droit de l’altérer ou de l’abolir.
Le quatrième problème, c’est que l’aboutissement de cette logique de vie simple en tant qu’acte politique est un suicide. Si chaque action interne à l’économie industrielle est destructrice, et si nous voulons mettre un terme à cette destruction, et si nous ne voulons (ou ne pouvons) pas remettre en question (plus ou moins détruire) toute l’infrastructure morale, économique et physique qui fait que chaque action interne à l’économie industrielle est destructrice, alors nous en viendrons aisément à croire que nous causerions beaucoup moins de dégâts si nous étions morts.
La bonne nouvelle, c’est qu’il y a d’autres options. Nous pouvons suivre l’exemple d’activistes courageux qui ont vécu aux époques difficiles que j’ai mentionnées — l’Allemagne nazie, la Russie tsariste, les États-Unis d’avant la Guerre de Sécession — qui ont fait bien plus qu’exhiber une certaine forme de pureté morale ; ils se sont activement opposés aux injustices qui les entouraient. Nous pouvons suivre l’exemple de ceux qui nous rappellent que le rôle d’un activiste n’est pas de naviguer dans les méandres des systèmes d’oppression avec autant d’intégrité que possible, mais bien d’affronter et de faire tomber ces systèmes.
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Derrick Jensen (né le 19 décembre 1960) est un écrivain et activiste écologique américain, partisan du sabotage environnemental, vivant en Californie.
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Il est un des membres fondateurs de Deep Green Resistance résistance verte profonde)
L’écosophie ou deep ecology (ndlr :écologie profonde) est, dans une large mesure, l’œuvre d’un seul homme : Arne Naess (1912-2009). Figure philosophique majeure en Norvège, Arne Naess est l’auteur d’une œuvre volumineuse qui lui aura valu une reconnaissance internationale et un certain nombre de distinctions honorifiques en tant qu’intellectuel, pacifiste, résistant de la Seconde Guerre mondiale et militant de la cause écologique. L’élaboration de la deep ecology constitue la dernière étape d’une longue vie de labeur, au cours de laquelle le philosophe se sera consacré successivement à l’empirisme sémantique, à la philosophie des sciences, à la logique et à la philosophie de la communication, à l’étude de la doctrine des sceptiques grecs, de la pensée de Baruch Spinoza, de Gandhi.
Après la 21, il y a eu la 22, puis la COP 23 en novembre 2017. Les discours s'embellissent mais les actions significatives manquent toujours, à commencer pour la transition énergétique.
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tout choix de changement de société doit être global et radical, dans le sens où il faut s'attaquer à la racine de la question.
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Que cette lutte passe par le gel des fossiles en laissant 80 % des réserves dans le sol , la transition énergétique comme avec l'exemple du scénario Négawatt ou la transformation du droit comme avec la reconnaissance du crime d'écocide , les sciences ne peuvent tomber dans leurs travers technocratiques d'écran de fumée et doivent jouer leur rôle de piliers dans les débats et les choix d'un changement radical de modèle de société. Cessons de nous complaire dans l'espoir vain de changer sans changer, sinon il n'y aura plus de générations futures à sauver.
Conte médiateur – L'armure de paroles
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Clés : changements climatiques, choix de société, Climat, COP21, Écologie, réchauffement climatique, Environnement et politique, GIEC, science engagée,
Le Collectif Paysages de l’après-pétrole formé en mai 2013, constitué en association en 2015, compte s’engager prioritairement dans la réflexion et le suivi de démarches paysagères concernant :
- un développement urbain soucieux des territoires et du bien vivre
- l’économie et les innovations énergétiques
- la mise en œuvre de l’agroécologie
Activités : MÉTHODE D’ACCOMPAGNEMENT DES TERRITOIRES
Le Collectif PAP a l’ambition de fabriquer des outils d’accompagnement et d’animation à destination des collectivités et des habitants, sur le croisement entre les transitions énergétique, écologique, sociétale… et les paysages. L’objectif est de trouver les meilleurs solutions et de rendre désirables et acceptables les transitions, via l’approche paysagère qui permet d’être plus efficace et de fédérer.
Comité de pilotage initial constitué par : Régis Ambroise (ingénieur agronome et urbaniste, expert auprès du conseil de l’Europe pour la Convention du Paysage), Laurence Ermisse (indépendante, experte en développement durable territorial), Sébastien Giorgis (architecte DPLG, paysagiste FFP, urbaniste SFU, paysagiste conseil de l’État), Yves Gorgeu (fondateur du réseau Paysage et urbanisme durable de Mairie-conseils), Xavier Guillot (École nationale supérieure d’architecture de Saint-Étienne, coordonnateur scientifique du réseau Espace Rural et Projet Spatial), Mathilde Kempf et Armelle Lagadec (architectes DPLG, urbanistes OPQU), Odile Marcel (philosophe, présidente de la Compagnie du Paysage), Vincent Piveteau (directeur de l’École nationale supérieure de Paysage de Versailles), Baptiste Sanson (ingénieur agronome, directeur du Centre Ecodéveloppement de Villarceaux) et Jean-Pierre Thibault (inspecteur général de l’administration et du développement durable).
contact@paysages-apres-petrole.org
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les informer de plpdlA ACT
Les exemples les plus récents, tels que booking.com ou UberPop incitent à une inutile inflation législative. A tort, certains déduisent que ce serait développé un vide juridique. Cela relève du mythe. En réalité, le risque est plutôt celui d’un cumul de législations, même nationales . Les textes existants suffisent à résoudre les litiges, en tous cas mieux que ceux votés dans l’urgence (ainsi, la transposition de la Directive 2000-31 sur le Commerce électronique qui se trouve en France rattachée par la LCEN n° 2004-575 du 21 juin 2004 au droit de la Presse ). Il suffit d’appliquer le principe communautaire de « neutralité technologique » qui consiste à retenir les mêmes règles quelle que soit la technologie utilisée, donc sur Internet les mêmes que dans le monde « réel »...
Nous nous sommes retrouvés
Pour une Éducation Populaire renouvelée
« Des envies, des volontés et des expériences existent,
regroupons-nous pour agir et peser »