07h16
Montagne d’or, le mauvais exemple guinéen
Par Philippe Reltien, Cellule investigation de Radio France
clés :
écologie nature Amazonie
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Ils prétendent défendre la cause animale, mais sont-ils tous sincères ? Les vegans attaquent les boucheries au nom de la libération des animaux… Les chasseurs, eux, se proclament "premiers écologistes de France" dans leur dernière campagne de pub. En Australie, on éradique des milliers de chats au nom de la préservation des espèces ! Complément d'enquête" se penche sur les nouveaux "défenseurs" de la cause animale...
Le site de l'émission : https://www.francetvinfo.fr/replay-ma...
Notre Twitter : https://twitter.com/Cdenquete
Catégorie
Actualités et politique
Musique utilisée dans cette vidéo
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Titre
Leave My Kitten Alone
Artiste
The Detroit Cobras
Album
Tied & True
Concédé sous licence à YouTube par
[Merlin] Bloodshot Records, [Merlin] Beggars (au nom de Rough Trade); BMG Rights Management, Exploration Group (Music Publishing) et 1 sociétés de gestion des droits musicaux
Titre
The Heart Harmonicon
Artiste
Colleen
Album
The Golden Morning Breaks
Concédé sous licence
Transcription :
végan / anti-spécisme (ne pas faire de différence entre l'homme et l'animal sic)
chaussures en matières synthétiques sic
...
il faut de l'action directe pour libérer les animaux
...
singularité des animaux, altérité pour les animaux
...
24:00 À la ferme de Paris, Emmanuelle POUYDEBAT directrice de recherche au CNRS, animaux sont intelligents chacun à leur manière, chaque individu, chaque espèce, a sa propre intelligence, de même pour la conscience
...
un juge en argentine a décidé de libérer une chimpanzée, même droit que l'homme
...
on ne peut plus considérer l'animal comme un objet en droit.
La souffrance animale n'est plus tolérable dans la science
...
chasse au chat sauvage en australie qui détruit la faune endogène, le chat est supprimé humainement selon le trappeur, par urgence écologique
...
Aurélien Barraud
...indigènes que nous avons si longtemps méprisé... l'espèce humaine est LE super prédateur... étiolement de la vie sur terre... /végan ne les soutient pas, mais gênant /construction du ressenti de violence ex Nelson Mandela avant la mort donnée, les animaux n'ont pas de vie = crime contre la vie
la valeur d'une vie ne dépend pas de la proximité à l'homme, mais la considérer pour elle-même ... inde /réduction à l'absurde ... la vie est en train de disparaître, on est donc tellement loin de l'inde... /chasse
58:25
...
ndlr :
conclusion : ne pas faire de différence entre l'homme et l'animal n'est pas considérer l'homme comme étant rattaché à la branche animale du vivant... Tous les animaux sont-ils égaux en droits ? Ont-ils les mêmes capacités ? N'est-ce pas la même logique que pour l'égalité républicaine ?
Préférer des matière synthétiques au cuir, n'est-ce pas rester dans la culture fossile, c'est-à-dire être contre-productifs du combat zéro fossiles ?
questionner, contribuer à organiser, animer des débats, informer ACT
Chargé de développement à l’association PiNG, Nantes
...
Pourquoi est-ce nécessaire de s’approprier les technologies ?
6
Notre vision du monde passe de plus en plus par le prisme du numérique, notre monde se transforme petit à petit en données binaires avec lesquelles nous sommes invités à interagir.
7
La théorie de l’information de Claude Shannon [1]
[1] http://centenaire-shannon.cnrs.fr/
met en avant la « discrétisation » du vivant, une forme de simplification par la transformation de l’analogique en tranches de 0 et de 1, qui induit une transformation de notre paysage intellectuel et imaginaire. La suprématie d’une vision scientiste [2]
[2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Scientisme
, la représentation du monde à travers la science et la technique ainsi que l’efficacité de la preuve par l’expérience et la technique (en) « marche » s’imposent comme vision du monde au détriment d’une approche sensible et plus proche du fonctionnement de la nature. D’un point de vue logique, la question de la possibilité de s’approprier les techniques est première par rapport à celle de la nécessité. Il faut de la médiation. Ainsi la technique sans médiation n’est qu’un aspect du grand « bluff technologique [3]
[3] Charbonneau B., Ellul J., 1999, « Directives pour un...
», une sorte de culture technique industrielle-consumériste-marketing qui formate les usages et peut (doit) être combattue par une culture technique critique.
...
À qui profitent les lieux de… « médiation » ?
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Dans quelle mesure, à travers les lieux de médiation, sommes-nous des agents de promotion de ces objets techniques et méthodes ? De façon presque involontaire, nous sommes des facteurs de validation de ces progrès techniques, et ce malgré une posture critique. À travers les arts numériques notamment, nous sommes amenés à utiliser les « dernières technologies » et à en faire ainsi la promotion.
Nous sommes également parfois, contre notre volonté, complètement parties prenantes dans « l’écosystème » créatif et innovant : les labs (fablab, medialab, hacklab, etc.) comme avant-garde de l’innovation (avec, par exemple, la récupération des hackatons [5]
[5] Marathons informatiques pratiqués par des développeurs...
par les démarches entrepreneuriales), nous sommes parfois défricheurs de futurs terrains fertiles mais dont les légumes et les fruits seront récoltés par des start-up à la pointe de l’intégration capitaliste de ces dynamiques créatives et de partage.
...
L’association PiNG
...
Nous défendons, au-delà de l’usage des logiciels libres, une culture libre pour des raisons éthiques et pratiques et pour concilier le fond à la forme : si nous voulons ouvrir le capot des technologies (logiciel), encore faut-il avoir accès au moteur (code source). Cette démarche à présent appliquée au matériel électronique ou au design d’objet croise des problématiques politiques et économiques fortes (propriété industrielle, brevets, corps, etc.).
...
Les lieux de médiation sont donc des lieux de tension, de conflit entre des injonctions à l’innovation industrielle et des appels à un mouvement d’une culture critique. Ces lieux ne peuvent éviter (même placés sous le signe de la culture libre) d’être intégrés, à un degré ou à un autre, à l’économie de l’attention [6]
[6] Citton Y., 2014, Pour une écologie de l’attention,...
. Dans le modèle du double-sided market (ou marché à double face, façon Google), ils figurent sur le premier côté, parmi toutes sortes de têtes de gondole. Le conflit des attentions croise et renforce le conflit des cultures techniques.
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Cela ne signifie pas que les lieux de médiation soient condamnés à être instrumentalisés. Le seul fait d’ouvrir la question de la culture technique constitue un début de résistance (voire de sagesse).
Comment et où produire des éléments de médiation vecteurs de transformation sociale ?
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Tout en prenant en compte les éléments évoqués précédemment, il convient de faire œuvre de médiation pour aussi tenter de développer un esprit critique et distancié face à ces évolutions sociétales technologiques.
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Si l’on ne veut pas connaître le même échec que la décentralisation culturelle (fonds régionaux d’art contemporain [FRAC], scènes nationales dont le public s’est finalement cantonné à quelques catégories socioprofessionnelles, etc.), il convient de renouveler, de réinventer nos modes d’intervention, d’animation et de médiation.
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Pour cela, il est nécessaire d’appréhender au plus près les évolutions des pratiques, notamment chez les jeunes, afin de situer un point de départ pertinent pour cet échange de connaissances, de savoirs, de savoir-faire et de savoir penser. Le principe du « lieu de médiation » pose question : le « lieu » constitue une base arrière, socle au développement structurel d’un projet afin, notamment, de développer des formes d’intervention salariées ou bénévoles et d’assurer ainsi une certaine stabilité au projet. Néanmoins, il constitue également un facteur de conservatisme : une certaine inertie face à de potentielles évolutions dans les modes d’intervention, au cœur des « formes de vie [7]
[7] Agamben G., [1993] 2002, « Forme-de-vie », Moyens sans...
».
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Il pourrait s’agir d’articuler des modes d’intervention « hors les murs » et « dans les appareils » des gens à partir de cette base, d’un lieu physique, et donc de penser cette action de médiation pour développer le sens critique, le libre arbitre, l’autonomie face aux technologies, au plus près des usagers. Il pourrait s’agir de « s’intercaler » dans la vie numérique des gens afin de se donner plus de sens et de distance : on peut ainsi imaginer des moyens d’intervention mobiles qui se déplacent sur un territoire au gré des besoins. Il pourrait également s’agir de développer des applications qui contribuent à ces souhaits et qui s’intercalent dans le processus informationnel quotidien afin de mieux le gérer, voire le contrôler.
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En considérant le stade d’avancée de « l’économie de l’attention [8]
[8] Citton Y., 2014, op cit.
», il faut réussir à détourner, à capter une partie de cette attention pour créer des zones d’échange et de médiation. Pour ce faire, des démarches ludiques peuvent être déployées tout en tentant d’esquiver les travers de la « gamification » de nos existences, c’est-à-dire l’usage excessif de dispositifs propres aux jeux vidéo pour jouer avec nos quotidiens. Le hack, le canular, l’humour peuvent également être des leviers pour grignoter des bribes d’attention et opérer parfois des changements d’échelle.
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La palette des outils au service de la médiation critique vis-à-vis du numérique peut et doit donc s’étendre et se diversifier pour atteindre ses objectifs dans un monde qui glisse pour l’instant de façon inexorable vers une emprise hégémonique de ces entités numériques sur nos quotidiens.
Comment objectiver nos limites ?
...lister sous forme d’items les points à mettre en relation.
dehors/dedans - prévisible/désiré - transparence/alternative - économie/emploi - éducation/populaire - transmission/savoirs - institution/autonomie - Il s’agit de « s’auto-instituer [9] [9] Castoriadis C., 2003, « L’imaginaire radical », Revue... » - subjectif/objectif - limites/pluralité : si tout a lieu, il y a un point où nos démarches s’arrêtent. Nos limites sont, ici, plurielles : limite de territoire, limite d’échelle, limite d’action. Quelle alliance privilégier pour dépasser une fonction d’éclaireur ? Profiter d’une forme d’organisation prônant une pluralité radicale.
...
conclusion
...
se référer aux nombreux écrits sur « l’associationnisme » de Jean-Louis Laville qui décrit parfaitement cette irruption asynchrone, ces formes d’économie et de pratiques populaires.
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Cette recherche inductive, qui dessine des réponses à partir d’expériences vécues comme un pendule entre émancipation et transformation sociale, produit des connaissances situées, durables et soutenables, imagine une citoyenneté sociale dans un environnement numérique.
...
Une connaissance fiable de l'espace est une condition indispensable pour y agir efficacement, et seule l’expérience sensible donne, sans y suffire, accès à la connaissance du réel. Toutes les modalités sensorielles contribuent à donner sens à cette construction mentale, mais les informations visuelles sont dominantes lorsque celles-ci sont disponibles. Cette construction d'une image mentale de l'espace visuel est comme l'assemblage d'un puzzle dont chaque pièce doit être informative, correctement positionnée et orientée. Ceci requiert l’actualisation constante de la connaissance de la position dans l’espace, et de la direction du regard au moment de l'acquisition des images.
Sensible aux accélérations angulaires et linéaires, le système vestibulaire agit comme une base inertielle qui encode une trace du déplacement du sujet dans un référentiel allocentrique**, stabilise et caractérise la direction du regard. L’inversion de la fonction de cette base permet d’en évaluer la qualité par celle des images acquises, leur stabilité, leur orientation correcte, et leur localisation spatiale.
Cliniquement, les pertes d'efficacité de la base inertielle, donc des labyrinthes ou de leurs connexions, prennent la forme de dérives des yeux, et de la représentation mentale de l’espace avec conflits intersensoriels. La première est à l’origine de nystagmus, oscillopsies, désalignements oculaires verticaux, déviations latérales des yeux à la fermeture des paupières, ou trajectoire convexe des saccades oculaires verticales. La seconde crée vertiges, illusions de translation, erreur de l’intégration des trajets, perceptions « insensées » de soi dans l’espace.
Toute fragilisation de nos rapports avec l'espace est génératrice d'anxiété probablement en raison de son caractère vital et induit progressivement des comportements d'évitement par anticipation, qui peuvent considérablement dégrader la vie sociale et professionnelle.
Cette sémiologie s’avère quelquefois plus sensible que l'imagerie médicale la plus pointue actuellement disponible. Des outils récents d’explorations fonctionnelles permettent d'étendre le spectre des fréquences testées aux mouvements rapides de la tête qui surviennent lors de la marche ou d'activités de la vie journalière, mais identifier les altérations perceptives du « soi dans l’espace » relève toujours pour le médecin d’une écoute rationnelle et de compétences transdisciplinaires.
Conférence présentée à l'Académie Royale de Médecine de Paris le 17 juin 2014 par Ch. Van Nechel
lire le texte complet...
http://www.academie-medecine.fr/articles-du-bulletin/publication/?idpublication=100335
ndlr: dans le cadre de l'otoneurologie ORL
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La Justice restaurative (réparatrice ou restauratrice) traite des conflits de nature à engendrer des répercussions graves (d’ordre personnel, familial et plus largement social) sur les personnes qui en sont les victimes ou les auteurs, leur entourage et leurs communautés d'appartenance. Elle a pour finalité de donner la possibilité à l’ensemble de ces personnes de prendre une part active dans la recherche et la mise en œuvre des solutions susceptibles de leur permettre de reprendre le cours de leur vie (restauration).
Plus d'informations sur www.justicerestaurative.org
Catégorie
Organisations à but non lucratif
Robert Cario président
Médiateur agréé FNCM et MEDIATION-NET
Développeur en médiation "certifié"
Sa découverte de la médiation et de ses enjeux date de 1998, à la lecture d’une analyse publiée en 1996 par Yves Chamussy, un des pionniers de la médiation d’entreprise. Ce dernier décrit de quelle façon les nouveaux modes de relations et d’organisation dans l’entreprise modifient le rapport des salariés avec leur travail et nécessitent un nouveau mode de management social.
...
intervient en posture médiation dans plus d’une dizaine de pays en guerre lors de ses missions humanitaires d’urgence.
...
A Diplôme Universitaire en Médiation (DUM) de l’Université du Luxembourg, enrichi d’une attestation de formation à la médiation dispensée par la Haute Autorité de lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité (HALDE).
...
le Groupe MEDIATION s’est positionné activement dans la démarche de la norme 26000 en déclinant la médiation dans la Responsabilité Sociétale des Organisations (RSE / RSO), dès 2011, avec pour objectif : "La qualité de la relation concerne autant le client interne (collaborateur) qu’externe".
...
Expert en conflictualité, Philippe intervient pour initier des enquêtes à la demande du CHSCT ou de la Direction (RPS, harcèlement, souffrance au travail ...)
Style et Témoignages
La réussite d’une médiation se joue dès le départ au niveau de sa préparation. Philippe investit beaucoup de temps et d’énergie dans les entretiens préalables à la médiation.
Chacune des parties en conflit doit être en parfaite confiance et sérénité sur la médiation et son fonctionnement.
...
Philippe est reconnu pour sa capacité à accompagner les parties dans la recherche créative mais réaliste de solutions possibles.
Témoignages recueillis :
« Je ne pensais vraiment pas qu’on trouverait une issue et pourtant, nous y sommes arrivés » (en matière de harcèlement),
« Les entretiens individuels m’ont beaucoup aidé à surmonter mes stress avant la médiation » (en matière de relations managériales devenues invivables pour le service concerné),
« La médiation a échoué mais nous avons rétabli notre communication. On a trouvé une solution quinze jours plus tard » (en matière de gouvernance d’un Comité de Direction),
« Résoudre un conflit complexe en 6 mois, à l'issu de 18 assignations échelonnées sur 7 ans, je n'y ai vraiment cru que lorsque la Conseillère à la Cour d'Appel a homologué notre accord (médiation judiciaire),
« La co-médiation est vraiment un atout quand les deux médiateurs se complètent bien » (exemple : en matière de médiation commerciale entre l’Outre-mer et la métropole).
Philippe Lemoult favorise le gain de temps tant dans l’intérêt des parties que pour celui de la personne morale, entreprise ou organisation. D’où un rythme soutenu sans être précipité, adapté aux parties concernées, enrichi par la co-médiation. La gestion du temps en médiation représente pour lui un des facteurs clés de réussite.
ndlr :
- rechercher la référence "analyse publiée en 1996 par Yves Chamussy, un des pionniers de la médiation d’entreprise" ACT
- Même si rien n'est dit sur ses "fondements de la médiation", il fait partie des personnes que je respecte parmi mes concurrents qui œuvrent dans le champ socio-économique/socio-professionnel/entreprise/organisations.
- que signifie pour lui Développeur en médiation ? Comment a-t-il eu son "certificat" ? S'appuie-t-il sur des travaux de recherche ayant croisé ces deux notions ? ACT
- donc pour lui, la médiation serait d'abord une posture (posture médiation) ? ACT
- comment concilie-t-il le fait d'être un "Expert en conflictualité" donc que l'on consulte POUR son expertise (le quoi d'un conflit, les jeux de pouvoir manipulatoires, les stratégies, les tactiques, etc) avec celui d'être médiateur, c'est-à-dire un tiers sensé ne pas prendre parti ? En effet, donner un conseil en tant qu'expert, n'est-ce pas déjà prendre parti car faire un choix donc décider, donc d'avoir le pouvoir ? Dans ces conditions, le risque n'est-il pas de vouloir résoudre un conflit à la place des parties prenantes de la médiation, alors que le médiateur est sensé accompagner le processus des parties entre elles à rechercher leurs propres solutions, ce qui rend le médiateur bien plus disponible pour l'essence d'une médiation soit "accueillir, écouter, accompagner" ? Et quand il informe, c'est sur des éléments précis s'appuyant sur des informations qualifiées de manière impartiale en amont, mais en aucun cas dérouler un raisonnement complexe d'experts ce qui prive les parties prenantes de leur propre expertise ou créativité à aller chercher l'expertise, ce qui n'est pas le même métier ? N'est-ce pas confirmé par sa collaboratrice avocate Sophie Gallais http://www.mediation-net.com/rubrique/mediateurs?nid=234&idfiche=234 par exemple ? ACT
- Je me retrouve quand même dans pas mal d'éléments (PRÉCISER). Ma principale surprise est qu'il ne convoque pas des notions comme "indépendance, impartialité, neutralité, empathie, lucidité, etc" => le questionner ACT
EVENEMENT
Le Groupe Médiation-NET vient de réaliser une vidéo de présentation en mode "Motion design".
Initié en février, ce projet a mobilisé une équipe élargie à plus de 60 professionnels pour sa validation finale.
Cette vidéo d'une minute et 45 secondes promeut la bonne et saine gestion des conflits par le réseau d'experts
en conflictualité de Médiation-NET.
Pour accéder à la vidéo et la diffuser : https://youtu.be/d5Rc0Knr0lA
Voir l'analyse de la vidéo à
https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?yuwYag
CHÔMAGE : LA FIN DU MODÈLE FRANÇAIS ?
magazines d'actu | 64min | tous publics
La réforme de l'assurance-chômage est l’un des dossiers chauds de l’exécutif en cette rentrée. Alors que se sont achevées cette semaine les rencontres bilatérales entre le gouvernement et les partenaires sociaux, la ministre du Travail Muriel Pénicaud a confié que le gouvernement « n'avait aucun tabou », y compris sur la dégressivité des allocations. Cette idée de dégressivité a été avancée récemment, pour les cadres, par le député LREM Aurélien Taché. Mais le gouvernement pourrait même aller plus loin : « Ce n’est pas forcément un sujet de ‘cadres’, a glissé la ministre. On est un des rares pays d'Europe qui indemnise les demandeurs d'emploi deux ans, trois ans pour les séniors, sans dégressivité ».
Supprimé par le PS en France en 2001, l’intérêt de ce système dégressif fait débat. La CFE-CGC s'est insurgée contre cette mesure, de même que FO et la CGT. Quand dans l’opinion, selon un récent sondage Elabe, si 67 % des Français accueilleraient favorablement un tel dispositif pour les seuls cadres, ils seraient moins nombreux à soutenir une dégressivité qui s'appliquerait à tous (55 %). Et ils seraient partagés sur l'effet d'une telle mesure, 54 % considérant qu'elle accélérerait le retour à l'emploi, 46 % pensant le contraire.
Dégressivité du montant versé, réduction de la durée d'indemnisation ou limitation dans le temps des règles de cumul allocations/revenus du travail : dans un entretien au Monde publié ce vendredi, Muriel Pénicaud a rappelé qu’elle n’est « attachée à aucune piste en particulier » pour rééquilibrer les comptes de l’assurance-chômage, tout en précisant que « la réduction de la dette de l’assurance-chômage est une condition de viabilité de l’Unédic ».
Ce faisant, la ministre du Travail n'a fait que raviver les craintes des partenaires sociaux qu'au-delà des objectifs politiques affichés - lutte contre la précarité et meilleur retour à l'emploi - ce soit le prisme budgétaire qui domine. Selon eux, l'exécutif viserait une fourchette de 800 millions à 1 milliard d'euros d'économies supplémentaires par an dans les dépenses de l'Unédic. « Une fois de plus, on prend le problème à l'envers », a affirmé Jean-Michel Pottier pour la CPME. « Nous sommes d'accord pour négocier », a déclaré pour sa part Laurent Berger, le numéro un de la CFDT, mais pas question « de faire moins sur l'indemnisation des demandeurs d'emploi que ce qui est fait aujourd'hui ». « Si la logique est purement budgétaire, ce sera ‘niet’ », a-t-il ajouté.
Les partenaires sociaux doivent retrouver la ministre du Travail le 17 septembre pour débuter la phase de concertation. Alors quelles sont les principaux axes de cette réforme ? Qu’est-ce que la dégressivité de l’allocation chômage ? Comment fonctionnent les systèmes d’assurance chômage en Europe ? Rendre les indemnités dégressives serait-il efficace en termes de retour à l'emploi ? Enfin pourquoi certains secteurs n'arrivent pas à recruter malgré de nombreuses offres ?
Invités :
- Bernard Vivier, directeur de l’Institut Supérieur du Travail
- Fanny Guinochet, journaliste spécialiste des questions économiques et sociales à L’Opinion
- Mathieu Plane, économiste à l'OFCE, directeur adjoint au Département Analyse et Prévision
- Robin Rivaton, économiste, membre du conseil scientifique de la Fondapol.
Transcription :
...
Magali Pontal, assistante maternelle à mi-temps, conflit entre patronnat et syndicats de salariés, ... c'est très "Bercy" plus que "ministre du travail" ... La permittence sera réformée : enchaînement de contrats de travail très courts et de périodes de chômage ... malus pour les cdd bonus pour les cdi ? ... besoins de plus de flexibilité du travail (fondapol) ... si les chômeurs sont plus contrôlés, il faut que les entreprises acceptent le bonus/malus ... en espagne (16,1% de chômeurs), diminution au bout de six mois ex xavier martinez rodriguez webmarketing, 35 ans à Atocha, il l'ignorait 175€/semaine ... la vraie réponse est dans l'aide, la formation, l'accompagnement ... mais il faut faire des économies que dans deux ans le système d'assurance chômage ne perde plus d'argent ... crée des files d'attente car prend le travail des moins qualifiés, ce n'est donc pas la bonne solution ...
difficile d'isoler les résultats quand on a bougé plusieurs paramètres ... assurance là en cas de coup dur dans une période difficile ... /baisser l'indemnité des cadres c'est pas la mission de l'assurance chômage ... ensemble de mesures, coûteuse pour les entreprises, pour les salariés, les retraités (csg) ... le marché de l'emploi est spécifique rester universel ?
ya 5 millions de chômeurs en france, >100 000 à 180 000 emplois à pourvoir dans l'hôtellerie/restauration alain fontaine resto le mesturet paris, recruter des migrants, demandeurs d'asile ? Pour aurélien taché lrem ... mieux intégrer les réfugiés ... étude pôle emploi 3,9 millions d'offres ont abouti 5% des offres n'ont pas abouti /manque d'attractivité ou autre ... miser sur la formation mais salaires doivent correspondre aux qualifications ... en centre ville, effet de coût des loyers où ya ces emplois -> effets de rétention pas assez pris en compte. 2è point aides matérielles tickets cantines, etc, non mesurées, facteur explicatif
ya pas que l'argent, ya la formation, la grande distrib a créé des écoles /métiers de bouche, la promotion sociale ex rachat du bar, dynamique collective
fanny g : /droit refus emploi : théoriquement oui, mais le ctrl 1500 contrôleurs augmente, plan pauvreté passer au crible le mille feuilles des aides sociales, compliqué, trouver les bons arbitrages,
/prime d'activité coûte cher car marche bien a des freins, le tx de recours a augmenté
Q : 1- licencié à 57 ans n'a pas retrouvé un travail, être au chômage n'est pas un cadeau
/seniors, très difficile, pbt de dérogation, patienter jusqu'à la retraite
/rapport cese évolue car différent dans autres pays, le regard s'améliore
tendance fatale, <<retour à l'emploi = trappe,
2- que des mesures pour les derniers de cordée (Anna)
/peur risque, jeu politique pas si évident
/cadres cotisent plus que reçoivent ! mais ont indemnités de chômage élevés >6k€ quelques 100 personnes ! et 20000 à >4k€
3- chasser le chômeur professionnel
certains optimisent mais pas énorme 50% non indemnisés ! et peu ont 2 ans d'indemnités !
/pauvreté /chômeur tx >>élevé
4-plafonner les allocations ?
assurance mais cotisations transférées vers la csg payé /retraités aussi
Café Techno ☕ du SPN : Economie collaborative, économie traditionnelle : le temps de la réconciliation ?
Date : Jeudi 27 septembre 2018 de 8h30 à 10h00
Lieu : au Moulin de l’Abbaye (135 route de Bordeaux – 16000 Angoulême)
Inscriptions
Intervenant : Christopher Leguy
Depuis l’émergence d’une nouvelle économie dite « collaborative », beaucoup ont tendance à l’opposer à sa grande sœur, l’économie traditionnelle. Force est de constater qu’aujourd’hui, de nouveaux modèles de synergies sont en train de se dessiner entre les startups de ce domaine et les entreprises « traditionnelles ».
Avec l’expérience d’un long travail d’identification et d’agrégation de l’offre collaborative, la startup SoUse partagera son retour d’expérience et dressera un état des lieux des opportunités à venir entre économie traditionnelle et collaborative.
L’intervenant
Christopher est Chief Product Officer de la startup SoUse. Il est également consultant / PMO de l’agence 4h04 et accompagne les entreprises dans leurs stratégies numériques et leur digitalisation.
Le moteur de recherche de l’économie collaborative
Basée à Niort depuis 2016, la jeune pousse locale a développé le premier moteur de recherche dédié aux pratiques de consommation alternatives. Avec plus de 10 millions d’offres à travers le monde, SoUse offre aux utilisateurs un champ de recherche allant de la simple location de voiture au dîner chez l’habitant en passant par les plateformes de services à la personne.
Une histoire des derniers mois et de ses conflits :
ce qui a été perdu, ce qui a été arraché, ce qui est encore possible.
paru dans lundimatin#152, le 26 juillet 2018
lundimatin {papier}
1 min 25 avr. 17
La Maison de la grève de Rennes nous a transmis ce texte qui retrace, d’un point de vue situé ce qui s’est passé à la zad, depuis l’abandon de l’aéroport. « Il nous a semblé utile d’écrire ce texte étant donné l’absence de récit clair, même subjectif sur le sujet. »
...
Essayons donc d’être clairs :
— Ce que la Zad n’est plus : une zone de non-droit et un refuge absolu ; la réponse à toutes nos questions ; l’épicentre des luttes autonomes et écologiques ; le fantasme de l’unité et de la force insurrectionnelle ;
— Ce que la Zad est encore : une zone d’expérimentation et d’existence hors-normes ; un espace de rencontres et de transmission de savoirs, une puissance matérielle, un lieu chargé d’une histoire vivante
— Ce que la Zad peut devenir : un soutien et une arme pour les luttes alentours ; un symbole de victoire possible ; un espace de désertion active ; une base arrière ; une piste d’envol.
S’il y a confusion, c’est aussi parce que c’est en nous que se mélangent et s’affrontent les deux tendances décrites plus haut. Il nous faut donc reconnaître ce qui a été perdu, et tout faire pour que de telles friches s’ouvrent ailleurs, mais aussi comprendre ce qui est encore possible, et tout faire que ce possible advienne. Un territoire autonome, ce n’est pas un territoire hors du monde, désir utopique. Les terres de la Zad ne seront pas arrachées parce que nous arriverions à les soustraire à toute influence du monde extérieur : mais parce que, plongées dans ce monde et dans ses contradictions, elles parviendraient à s’extraire de certaines de ses logiques pour en imposer d’autres.
Des terres véritablement arrachées, cela voudrait dire :
1) arrachées à la propriété privée. Pour cela, il faut être capable d’imaginer des structures administratives et juridiques nouvelles, capables de retourner le droit contre lui-même.
2) arrachées à l’économie, et en particulier à l’agro-industrie. Pour cela, il faudrait approfondir l’organisation qui permet déjà à une partie des productions de la zone de nourrir la grève au lieu du marché.
3) arrachées à la gestion étatique, concernant l’habitat et les forêts surtout, pour que tous ceux qui veulent déserter puissent venir y trouver là quelques manières de faire. Pour cela, il faudra batailler ferme avec les bureaucrates.
Ces possibilités restent suspendues à notre ténacité : les conventions ne courent que jusqu’en décembre. Un premier revers, déjà, a été essuyé avec la promesse de vente du territoire au département de Loire-Atlantique, fervent promoteur du projet d’aéroport, qui sera un adversaire bien plus hostile encore que l’État.
Une première tentative, déjà, de faire de la Zad un espace de rencontre révolutionnaire sera faite cet été avec la tenue d’un camp à la fin du mois d’août.
La question de partir ou rester s’est posée, se pose et se posera encore.
Il fallait avoir le courage de rester,
Il fallait avoir le courage de mener les négociations, de prendre le risque de gagner ou de perdre avec ce que la victoire implique de salissant, avec ce que la défaite implique d’amertume et de doute.
La défaite serait d’être acculés à défendre ses acquis, son bout de terrain et de gras au nom d’un idéal révolutionnaire. Si ce moment arrive, il nous faudra ce même courage pour partir.
La victoire sera de faire de ces terres une machine de guerre communiste. [7]
Maison de la Grève,
désertion et sécession since 2010
...
Machine de guerre communiste
Communiste : qui partage les armes, les idéaux et la nourriture
ndlr : belle analyse, lumineuse, nécessite confrontations pour briller ?
ACT
guides de poche de l'enseignant
Un projet pour...
00999000773575 - Médiathèque L'Alpha - Adulte - LIV - 371.5 - DIS
->
SOMMAIRE
déjouer la logique du conflit
- recadrage
- la technique de confusion
- l'effet miroir
- l'interprétation décalée
- la prescription du symptôme
- la riposte approbative
- les détours tactiques
Quelques phrases "picorées" :
- Être cultivé, c'est avoir construit un ensemble de connaissances et de compétences qui nous permettent d'analyser et de comprendre le monde qui nous entoure... mais aussi d'agir sur lui !
- démarche ouverte ... état d'esprit ...
- noblesse de la résistance de l'élève envers le prof => maîtriser quelques stratégies d'influence ... certaine tolérance /exubérance juvénile ... dialogue ... éthique (pas dévaloriser ni mépris ni vexations)... ménager une issue... levier du paradoxe, la non contradiction... recadrage... écoute, observation, sagacité, débrouillardise, créativité...
fiche de lecture :
- faire l'apprentissage du pouvoir éthique et faire l'éloge de la complexité maîtrisée, de la subtilité me semblent résumer ce que je tire de ce livre
- valoriser pour l'enseignement en général, notamment pour les professeurs de collège et de lycée, notamment ceux qui débutent
- question : tous ces éléments ne se retrouvent-ils pas dans la situation actuelle de plpdla de médiation auto-instituée face à des citoyens non éduqués sur l'anthropocène ? => questionner les psychologues
ACT
00999000856461 - Médiathèque L'Alpha - Adulte - LIV - 658.4 - CON
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ACT
Près d’un millier de personnes ont participé à la marche blanche organisée hier à Grenoble, en hommage à Adrien Perez. Le jeune homme de 26 ans a été tué d’un coup de couteau en plein cœur le 29 juillet dernier, après s’être interposé lors d’une rixe à la sortie d’une boîte de nuit. Derrière une grande banderole clamant "Justice pour Adrien. Nous ne t’oublierons jamais" et ballons blancs à la main, le cortège a défilé pendant une heure et demi dans les rues grenobloises, où Adrien Perez a grandi. Ce rassemblement était également l’occasion pour les proches de la victime et les habitants d’exprimer le sentiment d’insécurité qui règne à Grenoble. "On a beau dire "ça suffit", "plus jamais ça" et organiser des marches blanches après chaque drame, rien ne change et la liste des victimes s’allonge", a déploré le père d’Adrien Perez. Hier soir, une nouvelle scène de violence a éclaté dans la ville : un homme a été gravement blessé lors d’une fusillade, mais son pronostic vital n’est pas engagé.
Problèmes d’insécurité, manque de moyens et de mobilisation de la part de l’Etat : la liste des revendications est longue pour les maires de banlieues. Face aux difficultés rencontrées au quotidien, les élus et les associations ont tiré la sonnette d’alarme il y a plusieurs mois déjà. En mai dernier, le maire de Sevran Stéphane Gatignon a décidé de démissionner, dénonçant le "mépris de l’Etat pour les banlieues". Alors que le rapport de Jean-Louis Borloo cristallisait les espoirs et les attentes, le gouvernement a finalement proposé des mesures bien moins ambitieuses. Avec Emmanuel Macron, il n’y aura donc pas de grand "plan banlieues", mais "une nouvelle méthode". Sera-t-elle suffisante pour convaincre des élus qui se sentent abandonnés ?
Face à la violence et aux affrontements à répétition dans les quartiers, il existe une brigade spécialisée : le Groupe de Soutien des Quartiers (GSQ). Depuis 2010, les forces de l’ordre patrouillent dans des endroits ciblés pour surveiller les bandes d’individus violents et intervenir en cas de rixe. Rivalités territoriales, amoureuses, trafic de stupéfiants ou autres affaires : les conflits ont plusieurs sources et peuvent dégénérer très vite. En établissant un suivi de ces groupes et une meilleure coopération entre les commissariats locaux, la police mise sur la prévention pour éviter de nouveaux drames.
Comment expliquer la "culture de la violence" à Grenoble ? Comment en finir avec l’insécurité dans les quartiers ? Quelles mesures concrètes le gouvernement Macron a-t-il pris en faveur des banlieues ?
Invités :
- Yves THREARD - Directeur adjoint de la rédaction du Figaro
- Damien DELSENY - Rédacteur en chef adjoint au Parisien, en charge du service police / justice
- Xavier LEMOINE - Maire de Montfermeil (Seine-Saint-Denis)
- Evelyne SIRE-MARIN - Magistrate, Présidente de chambre à la cour d’appel de Versailles
Ndlr : faire offre de service avec AMS+MDH+CHDEB+ZADpartout ACT
« Le rôle clé de l'avocat quand il recommande la médiation »
La médiation est-elle utile en temps de crise ?
Oui, elle permet de rechercher une justice apaisée, de récréer le lien entre les parties et de performer la gestion des conflits dans les entreprises : c'est moins onéreux que de provisionner le risque judiciaire sur des années et plus rapide qu'un contentieux judiciaire. Une enquête récente montre que les grandes entreprises françaises ont intégré les modes alternatifs de règlement des litiges, dont la médiation, comme un enjeu stratégique pour une meilleure performance globale.
Comment se familiariser avec l'outil ?
Dès juillet, en s'inscrivant aux modules proposés, pratiques, ludiques et en continu sur les 3 jours de Campus 2013. Ils permettent, sur 2h, de se former intelligemment via des jeux de rôles et cas pratiques, par petits groupes. Puis, en août, en participant à la 1ère université d'été de l'Ecole de la médiation du barreau de Paris, sur la médiation commerciale internationale. Les 25h d'enseignement sont prises en compte sur les 130 heures annuelles de formation proposée par l'Ecole, 55 heures étant comptabilisées en cas de formation suivie dans une association agréée par notre barreau. A l'automne, en participant aux ateliers sur « Le rôle de l'avocat » et « La médiation et les entreprises ».
Pourquoi cette Ecole pilote ?
Pour faire croître la prescription de la médiation et expliquer à l'avocat son rôle clé de conseil et d'accompagnateur quand il recommande la médiation à ses clients, alors qu'il s'en croit souvent exclu ! Notamment, préparer les réunions, les clients, la stratégie, les aspects financiers, y compris ses propres honoraires. L'avocat, sélectionné à l'entrée, obtient la qualification médiation barreau de Paris à la sortie de l'Ecole, à mentionner sur son papier-en-tête, et peut devenir médiateur agréé.
ndlr : grande confusion et mélange des genres que tout cela... par le bâtonnier de l'ordre des avocats ? creuser ACT
La médiation préalable obligatoire, prévue pour désengorger les tribunaux, va être expérimentée par des centres de gestion volontaires. Les collectivités intéressées doivent délibérer vite, les conventions étant à signer avant le 1er septembre 2018.
Une quarantaine de CDG (centres de gestion) vont tester, jusqu’en novembre 2020, la MPO pour des désaccords opposant les employeurs territoriaux et les agents. Le décret du 16 février 2018 liste les thèmes concernés. Si une collectivité décide d’adhérer à la MPO, il faut impérativement saisir le médiateur avant d’aller devant un juge. Cependant, il n’y a pas d’obligation à trouver une solution de médiation ! Avec ce dispositif, le législateur souhaite désengorger les tribunaux en réglant des affaires en précontentieux.
Aider à l’émergence d’une solution
« Dans les cas de conflits relevant d’une méconnaissance du droit, un juge est indispensable. Toutefois, en majorité, ils découlent de problèmes managériaux, or un juge n’est pas un manager. La médiation a donc toute sa place à côté du droit pour traiter ce qui n’a pas à être réglé par les tribunaux mais qui l’est faute de mieux », résume Jean-Laurent Nguyen Khac, directeur général du CIG de la grande couronne d’Ile-de-France (1 100 collectivités affiliées, 100 000 agents) et président de l’ANDCDG.
Devenir médiateur requiert une certaine posture. Une formation d’une dizaine de jours a donc été instaurée par la Fédération nationale des CDG et l’ANDCDG ...
ndlr : quels risques de conflits d'intérêts si le médiateur est recruté et formé par un centre de gestion ? ACT
Event Time 14:00 - 18:00
Event Start Date 11 July 2018
Atelier sur la Sociocratie : Introduction interactif aux modes de fonctionnement de la sociocratie. La sociocratie est une stratégie de prise de décisions et de résolution des conflits, horizontale et basé sur le consentement (pas consensus !). La première étape est de créer ensembles une vision commune et une culture de la coopération. L’outil permets que nos décisions évoluent avec nous!
En même temps la Sociocratie créé de la compréhension et de la confiance. Le cœur de cet outil clarifie les besoins généraux et de soutien entre les membres du groupe afin de réaliser leur vision commune d’une manière attentif ET efficace.
Le processus structuré, discipliné et basé sur l’information concrète aide a des groupe d’activistes, des projets collectifs, des entreprises et associations de travailler concentré sur leurs sujets.
– VISION -> MISSION -> AIM
– Créer les rôles (Facilitation / Organisation de réunion / Archivage et Documentation)
– Créer des accords sur notre culture de coopération
– Les cercles et double-liens: Base d’une réunion sociocratic
– Faire des Propositions
– ÉLECTION SANS CANDIDAT
– Journal de bord – élaboration des décisions
ndlr : y a-t-il médiation dans la sociocratie ? => apprendre et approfondir pour recherche ACT
La médiation généraliste
La médiation est un acte volontaire posé par des personnes soucieuses de trouver une solution au conflit qui les oppose.
La médiation en entreprise
Que ce soit pour des conflits internes ou externes, pour des problèmes de démotivation, de productivité, de climat, la médiation est un outil.
Mes ressources humaines
Chacun d'entre-eux m'a donné sa part de réfléxion, d'enseignement, d'encouragement, de compréhension, de créativité.
Adresse
12 rue de Peusec
16400 Puymoyen
Charente - France
Téléphone
05 45 94 49 03
Email
saby.michel@gmail.com
article remarquable écrit par un historien, Stéphane Trayaud (université de Limoges) sur l'activité de médiation des notaires au XVIIIe siècle. La médiation a une histoire et nous espérons que les historiens s’empareront de ce champ de recherche comme l’ont fait Anne Bozon, (Université Paris 8) en analysant la fonction de médiation du clergé catholique dans « Les curés médiateurs sociaux : genèse et diffusion d’un modèle dans la France du XVIIe siècle », Revue d’Histoire de l’Église de France, 2011, t. 97, n°238, p. 35-56 et Christian Grosse (université de Lausanne) pour les consistoires dans « Pour bien de paix”. La régulation des conflits par les consistoires en Suisse romande (XVIe-XVIIe siècles) », in Jean-Luc Chabot, Stéphane Gal, Christophe Tournu (éds.), Figures de la médiation et lien social, Paris, L’Harmattan, 2006, pp. 85-107
A noter que Christian Grosse a présenté son travail sur la régulation des conflits dans le « séminaire médiation » du Groupe d’Etude Médiation (http://25images.ish-lyon.cnrs.fr/Portails/mediation/fr)
Thème : Médiation
Les médiatrices du Centre de recherche et de médiation, à Toulouse, aident des couples en cours de séparation à apaiser leurs désaccords et trouver les solutions pour l’avenir. Un travail qui cherche à éviter les conséquences majeures et douloureuses, notamment pour les enfants, d’un conflit conjugal qui perdure.
Impartiales et empathiques
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Jocelyne Dahan, l’une des pionnières de la médiation familiale en France et directrice du C.ER.ME. (CERME)