Clés : Coronavirus ; Gouvernement
L’école et les enseignants sont-ils les grands sacrifiés de la crise sanitaire ? Depuis le 18 septembre dernier, nous sommes passés en état d’alerte maximale. Les bars, les salles de sport sont priés de fermer. Les rassemblements de plus de 10 personnes sont interdits. Les facs doivent réduire de 50 % leurs capacités d’accueil. Samedi prochain, un couvre-feu sera instauré dans huit grandes communes de France. Pourtant dans les écoles, rien ne change. Pire. Olivier Véran et Jean-Michel Blanquer ont décidé, le 22 septembre, d’alléger le protocole sanitaire dans les établissements scolaires. Une décision jugée catastrophique par les enseignants.
Pourtant, la situation n’est pas au mieux. Malgré les propos « rassurants » de Jean-Michel Blanquer, la carte interactive mise en place par les stylos rouges indique plus de 4 000 cas répartis dans pas loin de 3 000 établissements. Selon la dernière étude de Santé Public France, les écoles, collèges et lycées sont le deuxième plus gros foyer de contamination dans le pays, parmi les clusters recensés.
Devant la gravité de la situation, plusieurs collectifs d’enseignants, les Stylos Rouges en première ligne, ont décidé de porter plainte contre les deux ministres pour « mise en danger de la vie d’autrui ».
Julien a retweeté Vincent Glad @vincentglad · 10 oct.
Cluster #COVID19 dans une crèche en Pologne. 8 enfants de 1 à 2 ans infectés par un adulte. Parmi ceux-ci, 5 ont transmis le virus à des membres de leurs familles (parents, enfants et grand-parents).
Citer le Tweet Dr. Ali Nouri @AliNouriPhD · 10 oct.
CDC REPORT: Children 1–2 years old might be effective SARS-CoV-2 spreaders.
Infected nursery worker
Flèche vers la droite
cluster of 29 infections. Including 8 children who transmitted virus to family members. Contact between workers & children’s family was strict, so children appear to be vector
Ages in circles; symptomatic in red; lines depict family connections
20 - 112 - 116
16162 signataires
.#TouchePasAmonLac : NON à la contamination Nucléaire du « Lac du Der » et de la Seine !
Un projet de Laverie et stockage de matériaux issus de l'industrie nucléaire est en train de voir le jour juste en amont du lac du Der, à 2h de Paris. Ce lac est une retenue d'eau permettant de contenir le débit de la marne et éviter à Paris de subir une nouvelle crue centenale.
Construit en 1974 après avoir englouti 3 villages, la Nature y a finalement repris ses droits . Des millions de visiteurs viennent chaque année profier de ce spectacle et des grandes migrations. Stoppons ce projet écocide qui porte un risque de contamination du Lac, de la Marne et de la Seine !
Rousselet Yannick @plutonyck · 16 juil.
asn.fr - 0 - 2 - 2
Tribune - Temps de Lecture 2 min.
Les deux avocats Jean-Paul Teissonnière et Sylvie Topaloff dénoncent, dans une tribune au « Monde », l’archaïsme de la loi sur les accidents du travail de 1898 qui ne permet pas aujourd’hui de régler la dette à l’égard des victimes contaminées au travail.
Il y a plus d’un siècle à propos du débat sur la loi portant réparation des accidents du travail, le professeur Louis Josserand (1868-1941) rappelait l’impossible neutralité du droit.
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la mort, le 26 mars, d’Aïcha Issadounène, 52 ans, caissière au supermarché Carrefour de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) depuis trente ans, laisse ses proches dans une immense détresse. Un des effets de cette pandémie aura été que nous nous mettions à regarder avec reconnaissance et considération ces travailleurs autrefois invisibles. Au travers d’une juste indemnisation de ses enfants nous dirons que nous ne les abandonnons pas sur le bord du chemin une fois la crise surmontée.
Le Covid-19 est en train de produire un gigantesque accident du travail dont les conséquences en l’état actuel du droit échapperont à toute forme de régulation efficace.
Lire aussi : Coronavirus : pas de virus au bureau ni sur le bureau !
Accident du travail ? Mais comment démontrer la date de la contamination qui est une des clefs de la reconnaissance ?
Maladie professionnelle ? Mais la plupart n’atteindront pas le taux d’incapacité minimal de 25 % sans lequel la reconnaissance est impossible !
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BlacK DooM il y a environ 2 jours #santé #écologie #sécurité #nucléaire https://www.lanceurdalerte.info/2020/01/25/tricastin-du-tritium-releve-dans-leau-de-la-centrale-nucleaire/
2 Julien Delalande yasuki_baba@pluspora.com
1 jaune_lola@diaspora-fr.org - il y a environ 22 heures
communiqué #CRIIRAD du 23 01(résumé par mes soins) -> https://diaspora-fr.org/posts/a37d46a0218601389fde0ee40d837481
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Dans un communiqué du 22 janvier 2020, EDF a révélé l’existence de nouvelles fuites de tritium dans la #nappe-phréatique. en cause «une tuyauterie défaillante ». L’entreprise ne précise pas s’il s’agit d’une tuyauterie usée par la corrosion, ce qui poserait d’autres questions quant à l’état général de la centrale. Ni pourquoi il n’y avait pas de dispositif de rétention sous ces tuyauteries? Dans tous les cas, cet évènement montre l’incapacité d’EDF à prévenir des fuites de substances radioactives dans l #environnement.
EDF a attendu 11 semaines avant de rendre l’information publique. Le niveau de contamination annoncé, 5300 Bq/l ,est plus de 2000 fois supérieur au niveau «normal» que l’on mesure en France dans les nappes non contaminées. En France, le rejet direct de substances radioactives dans les eaux souterraines est interdit…
EDF indique: «les valeurs en tritium relevées dans la nappe phréatique à l’extérieur de la centrale sont conformes aux valeurs habituellement observées» ce qui ne signifie pas qu’il n’y a pas de pollution, mais qu’elle est devenue chronique. (D’autre part, impossible de vérifier cette affirmation, en effet, les résultats de surveillance du tritium dans les eaux souterraines mis en ligne par EDF sont tous antérieurs au 30 octobre 2019.)
Les eaux contaminées par le tritium ont été pompées puis rejetées dans le canal de Donzère-Mondragon. Cela permet à EDF de transformer une fuite incontrôlée en un rejet «légal» puisqu’EDF dispose d’autorisations de rejets de tritium dans ce canal.
Ce type de fuite arrive malheureusement régulièrement sur le site du Tricastin… #eau #eau-potable #pollution #contamination #radioactivité
3 Jimmy Plusdeböhr - il y a environ 8 jours
A savoir : Tricastin a engagé ses travaux post-40-ans
Phil - il y a environ 8 jours
Au sujet des travaux et peut-être de la “nouvelle fuite de tritium” :
Depuis pas si longtemps que cela apparaît une question sur la délivrance de travaux à des sous-traitants (plus exactement la question est de plus en plus mise en évidence par le personnel des centrales)
C’est un fait que la démarche en elle-même (confier à des sous-traitants) représentait un cumule de pbs prévisibles et que l’origine de cette démarche était étroitement liée au principe d’une gestion d’activité par la dose (ce qui pourrait s’entendre) ou d’économie.
L’inconvénient ou la question, est que la perte de contrôle de l’efficacité de ces (ses) travaux ou maintenance, coupe le lien de confiance, entre le personnel et la (sa) centrale (qui petit à petit commence à douter de l’appareil de production). On parle là d’un lien organique, d’un pan de culture d’entreprise indispensable.
La confiance totale du personnel doit rester intact pour que sa réaction soit en concordance avec ce qui est attendu (ce qui est vrai dans toutes filières engageant la sûreté). Là, la condition première n’est plus vraie depuis quelques années.
jaune_lola@diaspora-fr.org
jaune_lola@diaspora-fr.org - il y a environ 8 jours
@Phil tout à fait !
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Sciences - Médecine et santé - 52 min
Disponible du 08/06/2019 au 14/06/2019
Prochaine diffusion le jeudi 20 juin à 06:15
Incroyable mais vrai ! Certaines plantes stockent de telles quantités de métaux lourds qu’elles permettent de décontaminer les sols. D'autres, on peut extraire des matières premières telles que le cuivre, le zinc ou le nickel. Tour du monde des possibilités offertes par les plantes "hyperaccumulatrices".
À ce stade, les scientifiques ont découvert plus de 500 espèces "hyperaccumulatrices" et nul ne sait combien la terre en compte au total. À quoi peuvent donc servir ces plantes miracles ? Comment fonctionne le phénomène de la phytoremédiation ? Pourra-t-on dans les années à venir dépolluer les terrils ou les déchetteries grâce à ces végétaux aux vertus particulières ? Et sera-t-il un jour possible de concilier protection de l’environnement et exploitation des ressources du sous-sol ? Longtemps sous-estimé, le potentiel de ces végétaux est encore loin d’avoir livré tous ses secrets. Le documentaire de Till Krause et Klaus Uhrig livre une étude approfondie de ce phénomène, grâce aux éclairages de scientifiques en Europe et en Océanie, et à la visite de plusieurs sites qui emploient déjà cette technique, comme l'une des plus grandes réserves de nickel, en Nouvelle-Calédonie, ou des mines de plomb à l'arrêt, en Angleterre.
Réalisation : Till Krause Klaus Uhrig
Pays : Allemagne
Année : 2016