Un lieu pour changer le monde
Impliquez-vous pour la justice climatique et sociale.
Contribuez au financement participatif de la base,
l'accélérateur de la mobilisation situé au coeur de Paris !
ENSEMBLE, NOUS SOMMES UNE FORCE IMMENSE
Pour ouvrir le 1er mars, nous avons besoin de réaliser des travaux, d'aménager les espaces, de collecter du mobilier et d'acheter du matériel à mutualiser entre organisations. Construisons ensemble la base ! En savoir plus
LA BASE, C'EST POUR QUOI ?
Base d'Action Sociale et Ecologique
Pour catalyser les énergies, fédérer les initiatives, transformer les envies en action, il faut qu’elles puissent se rencontrer, se fertiliser. La base est le lieu d’accélération de la mobilisation pour la justice climatique et sociale.
LA BASE, C'EST QUI ?
Un collectif ouvert est à l'origine de ce lieu mais sa réalisation dépend de chacun·e d'entre nous.
la base sera à nous tou·t·e·s ou ne sera pas.
la base a été imaginée par huit organisations regroupées pour passer à l'étape supérieure, celle de la mobilisation permanente.
https://alternatiba.eu/paris/
https://www.facebook.com/ActionClimatParis/
http://www.leconsulat.org/
https://lemouvement.ong/
http://mouvementutopia.org/site/
http://www.naturerights.com/blog/
https://notreaffaireatous.org/
https://www.youtube.com/channel/UCr_3nQ4eRCwm_XUDpf62MAg
LA BASE, C'EST QUOI ?
Nous, acteurs et actrices de la mobilisation citoyenne, dans notre diversité, avons besoin de lieux de rencontres, d'échanges et de travail pour remporter nos combats.
Sur 700 m², grande salle, bar, bureaux, espace de coworking, lieu de stockage seront les lieux d'organisations de formations, d'ateliers, de conférences, de soirées... et de bien d'autres événements.
ET L'ARGENT DANS TOUT CA ?
Pour que la base puisse voir le jour, elle a besoin de vous. Un financement participatif est en cours pour cet incroyable accélérateur au service de l’engagement citoyen, ouvert à tou.te.s.
Contact : labase.paris@gmail.com
Le Projet Éditorial
Périphéries se veut « agent » d’une certaine égalité médiatique, faisant valoir le droit, pour ces territoires, à la complexité.
En permettant l’expression de réalités banales et rares à la fois, Périphéries transforme l’image des quartiers. L’émission bouscule les perceptions et les représentations des auditeurs et documente le vivre-ensemble via des entrées géographiques et thématiques utiles à quiconque cherche des réponses à la question sociale.
Une fois par semaine un nouvel objet sonore vous sera proposé.
Le Podcast : une photographie sonore sur le modèle de ce qu’a été Périphéries pendant 12 ans sur France Inter.
Le débat : une fois par mois une question abordée avec des specialiste, des habitants, des chercheurs, des témoins enregistré en public.
Le Long format : des entretiens au long cours ou des approche plus documentaires.
Le participatif : une émission co écrite, co- construite avec des habitants d’un quartier, des scolaires à travers des ateliers d’écriture.
Emparez vous de cet outil : participez via le formulaire pour suggérer des idées, des sujets des envies et proposer des améliorations
Merci !
Le mot de Stéphane Paoli, parrain de l’émission
« Périphéries : combien de définitions péjoratives faudra-t-il encore compter qui installent, au mieux, les périphéries comme des limites éloignées, en économies les pays en voie de développement, au pire car la définition devient alors chirurgicale, comme un système spatial où deux lieux sont en relation dissymétrique, les centres dominant les périphéries.
Un verbe et tout est dit : dominer.
Au nom de quoi, pourquoi, avec quels effets et quelle image projetée de ce que devrait être la cité en démocratie ? Ils ne sont pas nombreux ceux qui posent la question. Encore moins nombreux les médias prêts à accepter que la question soit posée.
Édouard Zambeaux l’a fait en démontrant que les périphéries valent, à tous égards, les centres par le talent, la créativité, la dynamique. Les grands médias n’ont pas voulu l’entendre. c’est pourtant dans les périphéries que s’élabore aussi le récit des temps futurs.
Je choisis d’accompagner Édouard Zambeaux parce que la périphérie c’est la peau.
Et que je crois aux révolutions coperniciennes. »
Stéphane Paoli
ndlr : émission bannie de France inter, après LATAC :-(