modèle d'ordinateur basique mais répondant néanmoins à la plupart de nos besoins quotidiens. Le tout, pour un prix n’excédant pas 30 euros ... l'impact sur l'environnement, notamment à cause de l'extraction des minerais nécessaires à leur construction qui, le plus souvent, sont très peu recyclés en fin de vie.
... la plupart de nos besoins quotidiens :
- Traitement bureautique classique (écriture de document, création de diaporamas, etc )
- Navigation sur internet (réseaux sociaux, envoi de mails, etc)
- Une utilisation multimédia basique (regarder/retoucher faiblement des photos, regarder des films, etc)
... le Raspberry Pi, dans sa version la plus simple le Raspberry Pi Zero W. Pour les autres composants de l'ordinateur (écran, clavier, souris) nous utiliserons du matériel de récupération.
... MicroSD 64GB avec Raspbian gravé dessus (si vous n’avez pas encore préparé votre carte SD, vous pouvez aller faire un tour sur le tutoriel pour Windows, et celui pour Linux http://raspbian-france.fr/creation-carte-sd-raspberry-raspbian-sous-gnulinux/)
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KIWIX Hotspot vous permet de transformer un mini-ordinateur bon marché comme le Raspberry Pi en un relais pour distribuer du contenu gratuit, sans connexion internet, via un réseau local.
Laids, inutiles, ruineux, toxiques pour l'environnement, les oreilles, les neurones et la dignité humaine, les produits dits "high-tech" sont de plus en plus souvent critiqués. D'où le louable projet de les remplacer par les mêmes en durables, sobres, inoffensifs… Le "low-tech" est-il une alternative plausible aux déviances de la vie moderne ?
Publié début mai, le rapport du « Giec de la diversité » (IPBES) a fait grand bruit*. De belles âmes ont poussé un cri de détresse : environ 1 million d'espèces animales et végétales sont menacées d'extinction, beaucoup d'autres pourraient à leur tour disparaître à plus ou moins long terme. Bon élève écologique, d'autant plus réceptif aux injonctions à la sobriété qu'il est soucieux de sa santé et de son tour de taille, le bobo des villes a déjà commencé à consommer plus local et plus bio, manger moins de viande et rouler à trottinette. Mais la cohérence n'est pas son fort. Sa consommation de produits high-tech a, en parallèle, explosé, trahissant son engouement infantile pour des jouets toujours plus connectés, énergivores, polluants et peu recyclables.
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Dans The New Yorker, Tom Vanderbilt (@tomvanderbilt) expose https://www.newyorker.com/science/elements/reverse-innovation-could-save-lives-why-isnt-western-medicine-embracing-it un problème éthique intéressant à propos d’innovation dans le domaine de la santé. Il raconte comment certains dispositifs médicaux faits de bric et de broc et utilisés dans des pays en voie de développement pourraient sauver des vies aux Etats-Unis mais ne trouvent pas leur marché pour des raisons culturelles.
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Thomas Burke raconte comment un appareil simple et customisé, le « ballon de tamponnement intra utérin » peut sauver énormément de vies pour « moins cher qu’un café ». L’appareil est composé d’une seringue, de quelques tubes et d’un préservatif lubrifié qui, gonflé à l’eau, peut stopper les saignements. La méthode de conception est frugale : on utilise le matériel à disposition, on bricole « façon McGyver », pour reprendre l’image qu’emploie Burke. La véritable innovation est d’avoir rassemblé le tout sous forme de kit dont les pièces se changent facilement. Autre innovation aussi importante qu’essentielle : le guide d’utilisation est adapté à une personne analphabète. Ce procédé a été déployé dans des dizaines de pays, du Pérou à la Zambie, et sauve la vie les patientes dans plus de neuf cas sur dix.
Ce ballon ne fait pas figure d’exception. Tom Vanderbilt nous donne plusieurs autres exemples, comme un appareil d’aide respiratoire pour les nourrissons « low-cost » conçu avec une canette de Coca, ou encore l’utilisation de kétamine (plutôt connue comme pour être une drogue récréative) afin d’anesthésier un patient à moindre coûts (en Ethopie, on compte dix-neuf anesthésistes pour dix-huit millions d’habitants). Et, fait intéressant : il se trouve que certaines de ces solutions peuvent être utilisées dans des pays développés. C’est le cas de l’ORT (Oral rehydration therapy), une solution inventée en 1968 par des chercheurs au Bangladesh pour traiter les diarrhée mortelles chez les nourrissons. Grâce à ce procédé, le nombre de morts chuta drastiquement. Pourtant, la technique ne commence à être employée qu’en 1992 aux Etats-Unis, on lui préférait jusqu’alors des solutions plus « scientifiques », impliquant l’administration d’un fluide par intraveineuse et une hospitalisation. L’ORT est un cas typique de ce qu’on appelle une « reverse innovation » : une technologie ou une solution née dans un contexte de ressources restreintes dans un pays en voie de développement qui est ensuite adopté dans des pays plus développés en matière de santé. Si les Etats-Unis ont mis du temps à adopter cette technique plus simple et moins coûteuse, c’est qu’ils étaient victime d’un biais culturel : « comment pourrions-nous apprendre quelque chose d’un pays où nous exportons notre savoir ? »
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L’innovation de Burke montre que des solutions existent pourtant, et pourraient se diffuser plus facilement, en suivant des schémas d’innovation plus proches du terrain (et en cela, plus proches de ce mouvement qu’on appelle les « technologies appropriées » http://www.ekopedia.fr/wiki/Technologie_appropri%C3%A9e en phase avec le contexte social dans lequel elles émergent, et peu coûteuses en terme matériel et énergétique.
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occasion de réapprendre à considérer les technique, inventions, innovations, comme suivant des voies sociotechniques multiples qui ne vont pas nécessairement dans le sens de plus de centralisation et de technologies de pointe. Qui les utilise, comment et selon quel degré d’urgence sont des facteurs qui ne sont pas moins importants que la performance, surtout si celle-ci est associée à un coût élevé qui limite l’usage à une élite. Enfin, l’article raconte comment un scientifique occidental est venu apporter son savoir-faire pour aider un pays africain, rappelons que le continent n’a pas attendu l’homme blanc pour innover et se saisir des technologies selon d’autres schèmes culturels. http://maisouvaleweb.fr/video-comment-lafrique-questionne-t-elle-notre-innovation/
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Philippe Bihouix est ingénieur spécialiste des métaux. Il a reçu le 1er prix du Livre de l’écologie politique de la Fondation de l’écologie politique pour 'L’âge des low techs' (2014). Il est aussi co-auteur de 'Quel futur pour les métaux ?' (2010).
Il est venu présenter les problèmes liés à l’économie circulaire telle qu’elle est présentée aujourd’hui aux Ateliers du Shift du 11 décembre 2014.
Voici le support PowerPoint qu’il a utilisé : http://bit.ly/1Fh8dqz
« Les métaux, ressources minérales naturelles non renouvelables, sont à la base de notre civilisation industrielle. Leur raréfaction est un des défis majeurs du XXIème siècle. Notre modèle actuel de développement, qui repose sur la croissance économique et un accroissement continu du prélèvement des ressources, se heurte à la finitude de la planète.
Au regard des enjeux techniques, économiques, sociaux et environnementaux de la raréfaction des métaux, les discours sur l'abondance, la croissance verte et les technologies salvatrices relèvent malheureusement du mythe. Plus consommatrices de ressources rares, plus difficiles à recycler, trop complexes, les nouvelles technologies tant vantées nous conduisent dans l’impasse. L’économie circulaire n’apporte que des réponses partielles.
Une approche low tech – s’appuyer sur des technologies plus sobres, basiques, robustes, peut-être moins performantes mais mieux recyclables – pourrait rendre notre civilisation techniquement soutenable. Comment la mettre en œuvre concrètement dans les différents secteurs économiques ? » – Philippe Bihouix
The Shift Project : http://theshiftproject.org/fr
Catégorie Science et technologie 22 commentaires
Patrick Leclercq il y a 3 ans
37:36 Le grand programme de rénovation thermique du bâtiment c'est d'enfiler un pull. J'ai très bien vécu l'hiver dernier avec damart et bonnet d'intérieur dans un appart qui descendait à 13-14°C (on va quand même remettre de la laine de roche dans les combles !)
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Vazquez Ramon il y a 2 ans
Et pendant ce temps-là Google travaille sur la voiture volante !!!
On va dans le mur avec notre grosse bagnole et on pense que notre voiture bardée d'électronique, de capteurs, d'air bags et de confort climatisé va nous protéger du choc.
Et on ne parle pas de la montagne de dettes mondiale qui va finir par exploser (ou imploser)
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micha74000 il y a 3 ans
Toutes les personnes qui attendent, réclament la croissance devraient être mieux informés de tout cela. Quant à ceux qui la promettent, ce sont des fous ! Bref, l'avenir ne parait pas très réjouissant, surtout pour la jeunesse !
Merci pour ces précieuses informations.
Le Projet
... objectif de développer une solution plug-and-play, open source, durable, low-tech, frugale et adaptable qui vous permette de créer votre propre énergie renouvelable et de participer à la transition énergétique, individuellement et collectivement.
Qui sommes nous ?
Présentation du fondateur
Gaël est ingénieur et a fait presque toute sa carrière dans l'industrie énergétique. Au fil des ans il s’est trouvé confronté aux limites des gros projets industriels, qui se traduisent par des coûts humains et environnementaux très élevés. Profondément marqué par ce constat et la nécessité de questionner notre rapport à l'énergie, Gaël a commencé à réfléchir aux moyens de produire de l'énergie en milieu urbain.
Il décide de lancer Skavenji fin 2016 à Nice, et de rassembler des partenaires pour mettre au point un boîtier qui permette à chacun.e de participer à la transition énergétique, en expérimentant, en apprenant et en produisant sa propre énergie renouvelable chez soi.
Présentation de l’entreprise
SKAVENJI est une petite startup niçoise en émergence qui a pour mission de démocratiser l’autoconsommation énergétique.
Elle se propose en effet de permettre à n'importe qui de produire et consommer directement de petites quantités d’électricité, aussi simplement et librement que l’on cultive son propre potager.
Elle est depuis début 2017 accompagnée par l'Incubateur Paca Est et hébergée au CEEI – Nice Côte d’Azur, et partenariat avec l’INRIA à Sophia-antipolis.
SKAVENJI appartient par ailleurs au Mouvement des Entrepreneurs Sociaux (Mouves), ainsi qu'à l'association Nice Start(s)Up et reste membre du Coworking Les Satellites à Nice.
Mentions légales
SAS Skavenji 61 avenue Simone Veil 06200 Nice
Société au capital de 10 000 euros
Immatriculée au RCI de Nice sous le numéro 823206883
Numéro de TVA intracommunautaire : FR 79 823206883
Responsable de rédaction et de publication : Gaël Desperries
mail : contact@skavenji.fr
Hébergeur : ONLINE SAS BP 438 75366 PARIS CEDEX 08
Connu par :
https://www.open-elearning.com/magano/magano-education/monumentuss/
Depuis
http://www.lafabriqueecologique.fr/notelowtech
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Cette note est actuellement ouverte au débat collaboratif. Ceci signifie que chacun(e) peut contribuer à son amélioration en faisant des commentaires et surtout en proposant des amendements précis, soit ci-dessous ou par email à l'adresse contact@lafabriqueecologique.fr. À l'issue de cette période collaborative, le groupe de travail qui a rédigé le document initial se réunira une dernière fois pour retenir les amendements jugés pertinents. Leurs auteurs seront dans ce cas sollicités pour que leur nom figure, s'ils le souhaitent, dans la fiche de présentation de la note en tant que contributeur. La version définitive sera ensuite publiée.
Note : tous les commentaires sont soumis à modération avant d’être publiés.
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Signataires
- Philippe Bihouix, Président du groupe de travail, ingénieur et essayiste, administrateur de l’Institut Momentum
- Emeline Baume de Brosses, Conseillère déléguée à l'Economie circulaire et la Prévention des déchets, Métropole de Lyon
- Geneviève Besse, Politiste
- Fabrice Bonnifet, Directeur Développement Durable & Qualité, Sécurité, Environnement du Groupe Bouygues
- Marc Darras, Président du Groupement professionnel Centraliens « Ingénieur et Développement Durable »
- Thomas Désaunay, Administrateur de La Fabrique Ecologique
- Jean-Marc Gancille, Co-fondateur de Darwin
- Amandine Garnier, Chargée de développement, Low-tech Lab
- Thierry Groussin, Créateur de perspectives, ingénierie de formation
- Thomas Guillermou, Entrepreneur, délégué national « Planète » au Centre des Jeunes Dirigeants d’Entreprise
- Arthur Keller, Spécialiste des vulnérabilités des sociétés industrielles et des stratégies de résilience, administrateur du Comité Adrastia
- Catherine Lapierre, Economiste, ingénieure
- Sandrine Roudaut, Editrice, prospective, conférence, auteure « L’utopie mode d’emploi », « Les suspendu(e)s »
- Agnès Sinaï, Journaliste et enseignante à Sciences Po, fondatrice de l'Institut Momentum
- Mathilde Soyer, Sociologue, chercheure associée au LEESU, Ecole Nationale des Ponts et Chaussées
- Bruno Tassin, Directeur de recherche à l’école des ponts ParisTech, co-resonsable scientifique du Labex Futurs-Urbains
- Arnaud Vanhove, Etudiant HEC Paris au sein du master « Sustainability and Social Innovation »
- Dominique Viel, Présidente du groupe de travail Prévention des déchets du Ministère de l’Ecologie
Conformément aux règles de la Fabrique Ecologique, seuls les signataires de la note sont engagés par son contenu. Leurs déclarations d’intérêts sont disponibles sur demande écrite adressée à l’association.
Membres du groupe de travail
• Guillaume Duval, Journaliste
• Laurence Medioni, Directrice communication et RSE, Ubitransport.
Relecture
Cette note a été discutée par le comité de lecture de La Fabrique Ecologique, composé de Nicolas Blanc, Guillaume Duval, Marianne Greenwood, Géraud Guibert, Catherine Husson-Traoré, Joël Roman, Guillaume Sainteny et Lucile Schmid.
Elle sera relue et fera l’objet de suggestions de la part des personnalités suivantes :
• Michel Gioria, Directeur régional de l’Ademe Ile-de-France
• Olivier Rey, Philosophe
Elle a enfin été validée par le Conseil d’administration de La Fabrique Ecologique.
ndlr :
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Le mythe du recyclage à l’infini est un leurre en l’état de nos processus industriels, alerte Philippe Bihouix, ingénieur, qui, dans son livre "L’Âge des low tech", plaide pour les «basses technologies». Ou comment «revenir à l’âge des Visiteurs, mais avec le dentiste».
Catégorie Actualités et politique 5 commentaires
1 995 vues - 23 - 2 - Heck Lennon - Ajoutée le 6 janv. 2017
"Les technologies vertes sont présentées comme les fers de lance d'une économie plus respectueuse de l'environnement, en particulier pour l'indispensable transition énergétique.
Mais quelles promesses peuvent-elles tenir ? Quelle sont les ressources nécessaires à leur développement et quelles sont les problématiques de gestion qui en découlent?
Permettront-elles de s'affranchir des problématiques des technologies actuelles (finitude des ressources, problèmes de recyclage, géopolitique...), ou faut-il privilégier, à l'inverse,les low techs (basses technologies) dans l'optique d'un monde durable?
La conférence permettra de mieux comprendre ces problématiques en apportant les éclairages de :
Philippe Bihouix est ingénieur, spécialiste des ressources non renouvelables, auteur de "L'âge des Low Techs" et coauteur de "Quel futur pour les métaux ?"
Florian Fizaine est chercheur en économie de l'énergie et des ressources naturelles, auteur de "Les métaux rares, opportunité ou menace. Enjeux et perspectives associés à la transition énergétique" ".
www.facebook.com/events/216889012096427/
Catégorie People et blogs 3 commentaires
Transcription :
...
l'extraction et le traitement des métaux va nécessiter de plus en plus d'énergie ... le recyclage ne palliera pas ... /substitution des ressources minérales intraminérale basculer vers les métaux abondants aluminium et cuivre ; remplacer les ressources épuisables par des renouvelables rendement baisse, donc non ; trouver un capital technique pour remplacer les ressources naturelles = logique intellectuelle, pas réaliste ; changer de produits est risqué donc basculer du cuivre à l'alu n'est pas évident
/bien et services toujours plus de valeur avec moins de matières = fable
dématérialisation de l'économie effective mais par /métaux et /matériaux de construction on en utilise de plus en plus ça ne s'est jamais produit
/sous-production métaux rares doper les technologies tellures, cadmium, etc
ex photovoltaïque couches minces -> contrainte d'offres
/géopolitique les métaux seront les ressources stratégiques réserves : plus l'opep ; la chine est la grande gagnante />>réserves
/vitesse d'extraction folle now ne pourra pas durer
préconise sobriété et efficacité énergétique plutôt que les enr
éviter la géoingénierie apprentis-sorciers
autres : vision systémique des modèles d'épuisement des ressources ne pas avoir une vision partielle des choses, de l'interdisciplinaire ++
Ph Bihouix >43:17
60 aine de métaux donc plus complexe, aussi ressources minérales non métalliques ex baryum pour forer, phosphore /agriculture, sio2 silicium aluminium pb énergétique, dimension technique,
...
remettre en cause le cahier des charges fonctionnel, moins d'électrique, accepter l'intermittence, le rapport au travail, reterritorialiser la production, innover vers l'innovation de ressources, organisationnelle ex consigne au format standard, chaine de valeur, nano-argent dans les chaussettes usage dispersif irrécupérable, humour ++
Questions :
/perspectives biologiques diatomées pb systémique autour ex biocarburants génération 3, plein d'innovations, va assez vite et de manière systémique ?
/réduction facteur 4 voire plus pb financier de l'économie capitalisme basée /croissance du pib -> >>souci >>déflation pb sociaux, politiques
/croissance : besoin /gérer les dettes /le crack ou l'inflation /l'emploi nddl ou la consommation privilégier le travail humain par la fiscalité ex agriculture sur petites exploitations polyculture élevage /refermer le cycle du phosphore écon post-croissance de pleine activité
lien entre croissance et conso de ress ; /bien-être de la population ya pas de lien ! revenir sur la croissance ++ fin de la croissance ++ ya des alternatives
Q : /lien entre chercheurs et politiques ? /lobbies attirées /croissance 2types de rech la corporate ou académique ya d'autres relais comme ong, mais n'a pas l'impression qu'on en prenne le chemin
Q /écoconstruction l'encourager comment ? responsabilité élargie des producteurs économie de la fonctionnalité ya des contre-exemples comme les télécom /concurrence effrénée /règles comptables d'amortissement passer à 6 ans plutôt que 3 ;
Q /agréablement surpris /conclusion politique ++ /docu de di caprio la tech va tout résoudre : non le techno-solutionnisme a des limites pari pascalien, les politiques se reposent trop sur la technique se réapproprier les sciences humaines psy, etc >>+de contraintes que énergie+ressources le japon ne s'est pas écroulé plus d'escalateur, de clim etc on jette 25% de nourriture, on en a >>sous le pied y compris en acceptabilité sociale => aspect culturel /terres agricoles artificialisées 1kg de nourriture -> 1kg de terre arable perdue ! => un autre rapport à l'emploi c'est politique, sociétal
Q /progrès comment conseiller sans faire peur ? et garder le positif du progrès ? /histoire croissance est une parenthèse ya des solutions sans croissance faire mieux avec moins changer mode de pensée /on ne parle plus que d'innovation becon disait "que rien de ce qui a été acquis ne se perde" ++ /du sympathique => imaginer, partager
Q /vivant va nous remettre à la raison />>perte biodiversité => libérer la parole ++ /effondrement 2 attitudes : percevoir et modifier à temps ou non, on peut faire partie de la 1ère
ndlr :
- le phosphore, un des éléments stratégique de l'agriculture future... symbole de l'impasse de l'agriculture productiviste et de la future VICTOIRE PAR KO d'une alliance entre botanique+biologie+agronomie+agroécologie/agroforesterie+approche permaculturelle
- est-ce que libérer la parole est de la médiation ? ACT
- 01/2016... bientôt trois ans de perdus ! alors que TOUT (ou presque, enfin l'essentiel) est déjà dit dans cette conférence... Qu'avons-nous fait ? Que faisons-nous ? Que ferons-nous ? ENSEMBLE...