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Intervenants : Béatrice Joyeux-Prunel, Alexandre Cadain et Grégory Chatonsky
Cette première séance de l’année servira d’introduction au thème qui sera abordé en 2017-2019 : l’imagination artificielle.
L’imagination artificielle (ImA) est un concept relativement nouveau dont on retrouve la trace dès les années 60 dans des textes cybernétiques sur la créativité assistée par ordinateur (Kaufmann, A. L’imagination artificielle RAIRO — Operations Research — Recherche Opérationnelle, Tome 3 [1969] no. V3, p. 5-24) et au début des années 90 (Lévy, P. [1991]. L’idéographie dynamique : vers une imagination artificielle ? La Découverte.). Mais ce sont sans doute les premières expositions d’art cybernétique qui mettent en œuvre au plus proche cette question, en particulier Cybernetic Serendipity en 1969.
Pendant l’été 2015, Google popularise la production d’images automatisées avec Deep Dream et remet sur le devant de la scène, aux côtés de Facebook, IBM, Microsoft et tant d’autres, les réseaux récursifs de neurones qui ont été inventés dans les années 80. Depuis lors les publications se succèdent et la machine semble étendre son champ de production à des domaines traditionnellement considérés comme spécifiquement humains.
Il s’agira non seulement de prendre connaissance des avancées concrètes de l’ImA, mais aussi, à travers des interventions provenant de plusieurs disciplines, de la constituer conceptuellement de façon rigoureuse. Notre approche de l’ImA sera donc restreinte à l’apprentissage profond et ne devra pas s’entendre de tous dispositifs « créatifs » ayant une part technologique plus ou moins grande.
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connue /
https://twitter.com/elieallouche/status/1047422310444150784
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François BOCQUET a retweeté
Elie Allouche
@elieallouche
3 hil y a 3 heures
Qu’est-ce que l’imagination artificielle ? https://youtu.be/t6Uh5d9-hnY via @ENS_ULM cc #gtnum @ClaudioCimelli @fbocquet
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« Dans tous les domaines, ce sont les frontières qui sont fertiles »
A l’occasion de la venue du porte-parole de Jean-Luc Mélenchon, Alexis Corbière, dans le Jura, des insoumis jurassiens ont proposé de rapprocher deux mondes qui, habituellement sont caricaturalement opposés, celui des « petits patrons », entendez des chefs de petites entreprises, et celui des militants de La France insoumise.
Côté France insoumise : Alexis Corbière, Gabriel Amard, Alexis David, Attale Mottet, Valentin Morel
Côté entrepreneurs : un chef d’entreprise de 3 salariés, un consultant en innovation dans tous les types d’entreprises.
Pourquoi une telle rencontre ?
Un petit groupe d’insoumis jurassiens estimait qu’au fil des discours publics des porte-paroles de la France insoumise la voix des « petits patrons » étaient insuffisamment portée et souvent assimilée à tort à celle des grands patrons, entendez les entreprises du CAC 40, celles qui appartiennent à « La caste ». Il n’a pas fallu attendre bien longtemps pour qu’un des entrepreneurs avance « le MEDEF ne représente pas le patronat français… », la discussion était lancée !
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Selon le consultant, le potentiel de création d’emplois lié à la créativité est immense. Contrairement aux idées reçues, « la créativité, ça se travaille » : « Il faut l’enseigner à l’école, multiplier les diplômes universitaires de créativité, former les élus à la créativité, permettre aux salariés d’apporter leur voix dans les choix économiques de l’entreprise. A tous les salariés et sans cloisonnement entre eux ». Et, proposition ultime avancée sous forme de boutade et un poil de provocation, mais dont on sent qu’elle est prononcée avec une certaine amertume pleine de lucidité « il faut supprimer les CCI ! ».
ndlr : ajouter ce lien au billet sur l'entreprise et lfi ACT
Pour changer le système et construire un monde meilleur, il faut commencer par se transformer soi-même
351 #Bioethique #Développement Durable #Ecologie #Économie circulaire #ethique
Une économie durable ne signifie pas grand chose si nous sommes toujours animés d'un désir de consommation incessante et embourbés dans le malheur et l'aliénation.
Par Navi Radjou
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Pour transformer notre nature intérieure, il ne suffit pas de changer notre état d'esprit; nous devons changer notre conscience. Nous devons sortir de notre mode d'existence inconscient et devenir plus conscients de la façon dont nous produisons, consommons, travaillons, et vivons. Alors seulement, nous serons capables de construire collectivement ce que j'appelle une bioéconomie consciente.
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Pour devenir conscients, nous devons débloquer nos quatre chakras supérieurs, afin que nous puissions puiser dans les énergies constructives de compassion, d'ingéniosité, de sagesse et d'unité (« je suis un(e) avec tout le monde et la nature ») pour transcender notre instinct de survie et les désirs égoïstes et co-créer avec les autres une bioéconomie inclusive, saine et bienveillante.
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Nous devons réaliser consciemment que nous sommes la nature et que la nature est nous. Notre perspective et nos actions doivent incarner cette conscience intégrale que la nature et nous sommes essentiellement Un.
En particulier, les sociétés axées sur le profit, qui entretiennent depuis longtemps une relation antagoniste “business vs. nature” (l'entreprise contre la nature) avec l’environnement, doivent apprendre à penser, sentir et agir comme la nature. Les entreprises doivent évoluer vers ce que j'appelle « business as nature » (l’entreprise comme la nature).
Plus précisément, les entreprises doivent désapprendre leurs instincts égoïstes et compétitifs et faire preuve de générosité et de coopération, deux qualités inspirantes que Suzanne Simard, professeure d'écologie forestière à l'Université de la Colombie-Britannique, a découvertes dans la nature.
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Cet article a originellement été publié sur Fast Company. ... Navi Radjou est co-auteur de L’Innovation Frugale : Comment Faire Mieux Avec Moins et Donner Du Sens A L’Intelligence : Comment Les Leaders Eclairés Réconcilient Business Et Sagesse, tous deux publiés par Diateino. Il va auto-publier son prochain livre, La Société Consciente, en 2019.
Janvier 2017
Création de Fission Liquide
Résumé
Ce texte porte sur l‘utilité pour des étudiants en musique, en composition et en ingénierie du son de s’intéresser aux techniques de traitement du signal. Nous exposons les questions et les idées concernant les principaux obstacles à cet apprentissage et présentons des outils logiciels appropriés pour y remédier. Les caractéristiques des langages de programmation, telles que la gestion de la complexité et de la simplicité, les capacités d'abstraction, la visualisation et le développement itératif sont examinées du point de vue de l'enseignant et de l'apprenant. En outre, nous proposons des synergies entre apprentissage, programmation créative et codage en direct.
Index
Index de mots-clés : traitement du signal, Langages de programmation, programmation créative.
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Ce qui rend Lisp particulièrement intéressant pour l’informatique interactive est la boucle lecture-évaluation-sortie (REPL pour read-eval-print-loop). REPL est un mode d’interaction entre le programmeur et l’ordinateur, où l’ordinateur Lit une expression, l’Evalue, Imprime les résultats et retourne au début de la Boucle. Peter Deutch a implémenté un REPL pour Lisp dès 1964 (Deutch & Berkeley, 1964).
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Son but, le développement de l’informatique musicale, de ses relations avec les autres disciplines artistiques et scientifiques, de ses liens internationaux. Elle pilote notamment l’organisation de Journées d’Informatique Musicale JIM et participe au comité de pilotage de Sound & Music Computing SMC.
L’AFIM est ouverte, à titre individuel, à tous ceux et toutes celles qui développent une activité de recherche, de création, d’analyse et de pédagogie musicales liées à l’informatique et aux technologies nouvelles.
Renseignements et contact
Marie-Pierre PUYBARET
Atelier «LES TOILES FILANTES»
21 bis rue des Tilleuls
22130 Saint-Lormel
Tél : 06 85 68 52 03
Email : puybaret@free.fr
Depuis quelque temps, le design a la cote auprès d’un nombre croissant d’administrations et de gouvernements. Feu de paille ou changement de fond ? En quoi cette discipline peut-elle redonner de l’oxygène à l’action publique ? L’association La 27e Région, laboratoire de transformation publique qui réfléchit à l’innovation dans les territoires, fait le point sur la définition du design de services publics, ses applications, ses avantages et ses risques.
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démarche globale de conception, un ensemble de méthodes créatives, et une façon différente d’aborder les projets, au croisement des arts, des techniques et des sciences humaines ou de la nature. Il vise à répondre à des besoins, à résoudre des problèmes, à proposer des solutions différentes, le tout dans le but d’améliorer notre qualité de vie. Le design utilise le dessin et la maquette pour réfléchir, communiquer, donner une forme matérielle à une pensée. Là où le discours crée des images mentales, le dessin et la maquette, indissociables, offrent de les visualiser.