Lors d'une conférence Ingénieurs et Scientifiques de France/Enviscope,com sur les textiles techniques et intelligents,à l'INSA de Lyon, Christine Browaeys, spécialiste des textiles techniques a présenté un panorama des innovations dans ce secteur, où les implications environnementales sont fortes.
aleo fabrique ses panneaux solaires en Allemagne depuis 2001.
Nous sommes en mission : nous voulons que vous ayez confiance dans l’énergie solaire photovoltaïque. Nous voulons vivre dans un monde durable. Nous voulons combattre le changement climatique. Nous voulons commencer dès aujourd'hui. Et nous voulons vous montrer comment vous pouvez faire partie intégrante de la solution. Rejoignez nous pour changer le monde.
aleo est une filiale du groupe SAS
2014 a été une étape cruciale dans l’histoire d’aleo, car nous avons uni nos forces avec Sino American Silicon Products Ltd. En tant que troisième plus grand fabricant mondial de wafers pour l’industrie électronique, SAS fabrique les composants des ordinateurs, téléphones, appareils photos, voitures, objets connectés…que vous utilisez au quotidien.
Le dossier de la revue Urbanisme montre l’implication des grandes société dans les grandes villes pour promouvoir toujours plus de technologie. Mais Emmanuel Eveno et Jean-Michel Mestres insistent aussi sur le rôle des habitants, ce qui nous remplit d’aise… Nous avons mis en évidence dans le texte qui suit ce paragraphe qui parle des gens et non pas uniquement des ordinateurs, des capteurs, des caméras qui trufferaient la ville intelligente.
Fondée en décembre 2014 par Jean-Luc Fessard, journaliste spécialiste du développement durable (L’Hôtellerie Restauration), avec le soutien de François Pasteau, Chef de l’Epi Dupin (Paris 6ème), l’association « Bon pour le climat » propose des actions concrètes et positives pour changer nos pratiques alimentaires afin de préserver la planète et son climat.
Partant du constat que notre alimentation représente 30% des gaz à effet de serre que nous émettons, notre action vise à réduire cet impact de moitié en accordant une place plus restreinte à la viande et en misant sur la réalisation d’une cuisine « responsable » respectant trois critères : la saison, le local, le végétal.
Notre objectif est de promouvoir une restauration bas carbone en mobilisant les Chefs et les établissements du secteur de l’Hôtellerie Restauration pour qu’ils proposent des plats « Bon pour le climat ».
Pour se faire, nous mettons à leur disposition un éco-calculateur (basé sur les chiffres de l’ADEME), conçu par Shafik Asal, fondateur d’Eco2initiaitive, afin qu’ils puissent calculer le poids carbone de leurs plats, de l’ajuster si nécessaire et de le valoriser auprès de leurs clients.
Enfin, chacun d’entre nous ayant un rôle à jouer au quotidien, nous impliquons aussi bien les Chefs et ceux en devenir à travers des écoles hôtelières, les producteurs et les consommateurs à s’engager dans ces nouveaux défis, à nos côtés.
Les adhérents ont élu, mardi, les dix membres qui constituent le bureau de l’association. Photo E. D.
L’assemblée générale de la Société de protection des paysages de l’île d’Oléron (SPPIO) s’est tenue mardi soir à la mairie du Château..
Ils étaient plus d’une cinquantaine à être venus assister à la 42e assemblée générale de la SPPIO mardi dans la salle des mariages de la mairie du Château.
À l’ordre du jour : un bilan des actions menées durant l’année par l’association et le vote des adhérents pour l’élection du bureau.
Pas de grande surprise, le conseil d’administration présidé par Monique Vidalenc a été élu à l’unanimité, et il n’y a pas eu d’oppositions faites contre les actions engagées.
La liste de ces dernières est d’ailleurs plutôt conséquente.
Halte aux mobil-home
La réunion s’est ouverte en évoquant le souhait de l’association que l’écotaxe soit adoptée dans l’île. La présidente a tenu à lister les projets environnementaux qui ont pu être réalisés grâce à cette taxe sur la voisine, Ré. La SPPIO est également revenue sur la volonté de l’association des propriétaires de terrains de loisirs d’Oléron (APTLO) de créer des hameaux sur les lieux où les terrains à camper sont déjà présents ou sur de nouveaux sites (voir « Sud Ouest » du vendredi 18 juillet). Monique Vidalenc a précisé que l’association « tentera d’empêcher de miter le terrain oléronais pour implanter des mobil-home partout ».
La présidente a cependant tenu à féliciter des journalistes du « Point » pour un article peu élogieux sur le rond-point de la vigne à Saint-Pierre. Elle a également confié « avoir eu une petite satisfaction en voyant que la Poste sur ses planches de timbres sur les îles avait choisi deux paysages oléronais contre un sur l’île de Ré ».
La soirée s’est conclue par un pot entre le bureau, les adhérents insulaires ou habitants secondaires.