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Vendredi 18 janvier à 17h30, suivez en direct les voeux de Jean-Luc Mélenchon à Marseille. Participez avec le hashtag #VoeuxJLM.
Élections européennes - 26 mai 2019
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Fred Pole
il y a 9 heures
Merci à la FI, merci Monsieur Mélenchon. Non ce n'est pas trop long. D'ailleurs, je peux écouter vos discours et vos interviews pendant 2heures, alors qu'une minute de Macron m'est insupportable.
Comme quoi, la relativité du temps ne concerne pas que les scientifiques. 95
Veronique Le Roy il y a 9 heures
La F.I. et JLM sont les seuls et les plus qualifiés à faire barrage à la folie destructrice de Macron et un rempart à la montée du fascisme qui sévit en Europe.
.#VoeuxJLM 57
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Les candidates et candidats franciliens de la France insoumise aux élections européennes de 2019 ont donné une conférence de presse pour se présenter.
Pour en savoir plus sur elles et eux : https://lafranceinsoumise.fr/actualit...
À cause d'un problème technique, nous n'avons pas pu diffuser cette conférence de presse en direct.
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Le jeudi 23 août 2018 aux AmFis d'été de la France insoumise à Marseille se tenait l'atelier «Travail détaché, pourquoi en sortir ?».
Cet atelier était animé par :
- Hadrien Toucel, co-animateur du livret Emploi
- Marina Mesure, syndicaliste BTP, en charge des travailleurs détachés
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3 commentaires
Olivier Emery
il y a 4 mois (modifié)
Très intéressant. Dommage qu'il ait manqué un micro pour entendre une partie des premières remarques et questions du public
Transcription :
... phénomène massif officiellement de 50000 personnes dont 50% pte déclarées ! dans le BTP, pas de cadres, de pologne, allemagne, fr, portugal, mais aussi français ! (un fr inscrit en intérim à l'étranger ex luxembourg, payé au smic du lux + élevé mais pas de cotisations, pour des missions en fr !!!)
dumping social donc organisé, liquidation de la sécurité sociale, logique de pays limitrophes.
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Le 10 décembre 2018, l'Assemblée nationale débattait du projet d'accord sur le Brexit, c'est à dire la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne. Jean-Luc Mélenchon a dénoncé un accord qui pourrait, à terme, être le pire accord de libre-échange que signerait la France. Il a aussi évoqué les sujets qui restent en suspens, notamment sur les questions militaires. Le président du groupe «La France insoumise» a également proposé de nouveau que se tienne une conférence européenne des frontières alors que le Brexit rétablirait, précisément, une frontière entre l'Irlande du Nord et l'Irlande. Enfin, Jean-Luc Mélenchon a dénoncé l'Europe de la compétition voulue par le gouvernement CDU-CSU de l'Allemagne, qui menace l'idée européenne et la paix.
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- Vie politique - Lien permanent
Toute force politique qui présente des candidat.e.s aux élections connaît bien la difficulté du choix provoquant souvent des claquages de portes.
Dans les partis traditionnels, cela se règle en général à coup de négociations entre les diverses tendances existantes, chacune essayant d'imposer ses candidat.e.s avec parfois des statuts qui prévoient une répartition à la proportionnelle, voire une instance nationale de négociation, la commission des candidatures, à partir de candidatures proposées à un échelon local.
La France Insoumise, n'étant pas structurée en parti avec tendances constituées, devait inventer un mode de désignation spécifique. La tâche a été confiée à un comité électoral majoritairement tiré au sort avec appel public à candidater sur la plateforme et sans présidence ni tête du comité comme j'ai pu le lire ici ou là. Chacun.e siège à égalité. Si le tirage au sort avait été truandé nous n'aurions pas eu la surprise de voir un de nos membres tiré au sort se répandre dans la presse contre le comité et contre la FI.
Nous avons privilégié le consensus, ce qui nous a amené à tenir beaucoup plus de réunions (12 souvent tout le week-end) que ce que nous avions prévu afin de ne pas trancher au forcing.
Pour la France Insoumise, un appel à candidater a été lancé nationalement par l'intermédiaire de la plateforme. Il a abouti à 637 candidatures. Nous pouvons donc dire que nous n'avons pas manqué de candidatures que ce soit pour les femmes ou pour les hommes.
Il nous fallait définir des critères pour choisir les 79 candidat.e.s. Alors oui il y a un désaccord avec Djordje Kuzmanovic pour qui cela aurait dû être "Le soutien des militants, la compétence et l’ancienneté – trois critères simples de légitimité – ont d’emblée été écartés".
Nous avons effectivement refusé de lancer les Insoumis.e.s dans des compétitions de soutien aux candidat.e.s. Vous imaginez l'ambiance que cela aurait créé ? Et les Insoumis.e.s auraient été les premiers à protester et à juste titre que cela revenait à un résultat connu d'avance : les plus visibles, les plus connus sont celles et ceux qui obtiennent le plus de soutien.
On ne peut pas non plus exiger le renouvellement, se réclamer du dégagisme et prôner une sélection à l'ancienneté. Outre qu'avoir des années de militantisme n'a jamais garanti de faire un bon élu. Enfin pour la compétence, il peut y avoir 36 définitions différentes avec le risque de faire une sélection par les diplômes aboutissant à ne sélectionner que des CSP+. Avec de tels critères combien de nos député.e.s actuels auraient été retenu.e.s comme candidat.es ?
Alors oui le comité n'a pas voulu de cette vision élitiste qui ne pouvait aboutir qu'à désigner des candidat.e.s provenant de partis politiques.
Tous les candidat.e.s ont signé une charte qui précisait notamment « Faire campagne sur la base du programme national « L’avenir en commun » et défendre son programme européen ». A partir de là, le comité n'avait pas à rechercher quelle nuance pouvait défendre l'un ou l'autre. Toutes et tous se sont engagés à défendre le même programme. Le comité électoral a-t-il éliminé « les figures aux convictions républicaines et souverainistes » ? D'abord c'est absurde car dans ce cas aucun des deux n'auraient été retenus sur la liste dès le début. Ensuite c'est totalement insultant vis à vis des autres candidat.e.s car cela revient à insinuer qu'ils et elles n'ont pas de convictions républicaines. Mais c'est aussi nier le fait que le programme de la FI revendique la souveraineté populaire.
Le comité n'a donc relégué personne en position dite non éligible en fonction de nuances politiques qui existeraient entre les membres de la FI. Cette vision, qui voudrait qu'on fasse des quotas en fonction de supposés différends politiques, revient de fait au fonctionnement des partis traditionnels où les chefs de tendances se répartissent les places pour leurs affidés.
Djordje Kuzmanovic et François Cocq, qui avaient tous deux fait connaître leur souhait d'être élus, sont convaincus de détenir la juste ligne politique de la FI et d'en être les garants contre d'autres qui essaieraient de la faire dévier, de la dénaturer. Deux justiciers politiques ? C'est peut-être un peu présomptueux ?
Une campagne se mène collectivement. Je ne connais aucune force politique qui accepte de partir en campagne avec une partie de ses candidat.e.s qui médie sur une autre partie de son mouvement. Nous l'avions dit à tous les deux, une fois candidat et la campagne démarrée, ce qui est le cas, il n'était plus possible de continuer à taper à bras raccourcis. Il y a déjà bien assez de monde hors FI qui se charge de nous invectiver avec vigueur La décision n'a donc rien d'une sanction politique sur le fond. Souverain sur la constitution de la liste jusqu'au vote final, le comité a pris ses responsabilités en constatant qu'aucun des deux n'acceptaient le fonctionnement collectif
Ensuite nous avons choisi de mettre en œuvre le non cumul de mandats pour les candidat.e.s potentiellement éligibles. C'est scandaleux nous dit-on, car cela n'a pas été appliqué au moment des législatives. Outre qu'il faut bien commencer à un moment, le fait d'être candidat.e dans une élection au scrutin uninominal avec une inconnue totale quant au résultat puisque la FI n'avait pas de député sortant, n'a rien à voir avec une position sur une liste donnant l'assurance d'être élu.e. Ainsi l'exemple de Eric Coquerel, conseiller régional d'Ile-de-France au moment de son élection en tant que député est souvent avancé. Mais il n'avait aucune certitude d'être élu (19% au 1er tour), se présentant dans une circonscription historiquement PS et avec un candidat PCF en face. Or nous étions bien incapables de savoir qui passerait devant aux législatives même si nous étions convaincus qu'il y avait une attente politique plus favorable pour la FI que pour le PCF.
Deux candidat.e.s conseillère et conseiller régionaux avaient postulé pour être éligibles :
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Liem Hoang Ngoc, conseiller régional d'Occitanie a été candidat aux législatives dans la meilleure circonscription de Haute-Garonne mais n'a pas été élu
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Corinne Morel Darleux, conseillère régionale Auvergne Rhônes-Alpes.
La 8ème place dans leur genre (femme/homme) leur avait été proposée. Ils ont tous les deux considéré que ce n'était pas à la hauteur de ce qu'ils représentent.
Au final, si nous prenons les personnes qui se sont retirées avec fracas, Liem Hoang Ngoc, Sarah Soihili, François Cocq, Djordje Kuzmanovic, plus Corinne Morel Darleux qui a annoncé quitter la FI, tous les 5 voulaient être dans les 10 premiers. Mais à un moment il faut bien faire un choix. Ces 5 personnes, si elles étaient sûres d'être élues, auraient-elles les mêmes critiques publiques contre la France Insoumise ? Je ne le crois pas.
D'autres aussi auraient bien voulu être dans ces 10 premières places, mais bien que déçu.e.s ne se comportent pas de la même façon et au contraire mènent une campagne très active et très collective. Merci de tout cœur à elles et eux qui font passer l'intérêt collectif avant leur déception personnelle.
...
Défendre l'idée que la FI doit rassembler le peuple et qu'elle doit se projeter dans sa capacité à gagner la majorité dans ce pays aurait été contradictoire avec le fait de présenter une liste totalement FI, repliée sur elle-même. Il ne s'agit pas de minimiser la qualité des Insoumis et Insoumises qui avaient candidaté. Il s'agit de construire un collectif tourné vers un objectif commun, porter notre projet au niveau européen dans le cadre de Maintenant le Peuple le 26 mai 2019 et de nous projeter dans les échéances suivantes.
dans A la Une - Européennes 2019, Anne-Sophie Pelletier, Gabriel Amard, Isabelle Michaud, Jean-Marie Brom, Laurence Lyonnais
Nous, les membres du comité électoral de la France insoumise, déplorons les nouvelles attaques dans la presse contre notre travail de la part d’un candidat déçu. Nous tenons donc à rappeler :
1) Que notre mouvement, lors de son assemblée représentative d’avril, s’est doté d’une procédure innovante pour élaborer la liste de nos candidates et candidats aux élections européennes. Un comité électoral de 32 membres, dont 18 tiré·e·s au sort et 14 représentant·e·s des différents espaces du mouvement, a été établi. A l’issue d’un appel à candidatures sur la plate-forme de la France insoumise, nous avons examiné l’ensemble des 637 candidatures. Après un premier travail de sélection, nous avons auditionné par téléphone près de 100 candidates et candidats pour élaborer une première liste des candidat·e·s de la France insoumise qui a été validé par 88% des insoumises et insoumis en juillet dernier. Nous avons, depuis le mois de septembre, engagé la deuxième partie de notre travail que nous soumettrons à nouveau au vote des insoumis·es lors de notre Convention nationale.
2) Que l’ensemble des attaques publiques qui ont été lancées contre notre travail, et qui ont été abondamment commentées dans la presse, sont le fait de 5 candidat·e·s sur 637 qui ont d’abord signalé qu’ils n’étaient pas satisfaits de la position qui leur a été confiée par notre comité, avant de, pour certains d’entre eux, faire valoir des désaccords politiques avec le programme ou la stratégie adoptée.
3) Nous rappelons que notre travail était de proposer la liste la plus cohérente et la plus efficace. Nous avons donc indiqué lors des auditions que nous avions eu avec les candidat·e·s que le respect de nos engagements programmatiques et la cohérence de nos prises de positions publiques étaient deux règles incontournables pour mener une campagne électorale. Nous déplorons le fait que plusieurs d’entre eux, après avoir accepté ces principes, y compris après que nous les interrogions sur leurs déclarations, aient finalement décidé de leur tourner le dos définitivement. Nous dénonçons la mauvaise foi de celles et ceux qui cherchent à donner des explications politiques à des décisions justifiées avant tout par des frustrations personnelles ; ou qui critiquent maintenant des problèmes de méthode pour habiller des divergences politiques qu’ils entendaient continuer à défendre publiquement tout en restant candidats.
4) Fidèles à nos engagements, nous commençons ce jour à publier la liste de nos candidat·e·s avant que la liste définitive soit soumise au vote lors de notre séance de clôture de la Convention des 8 et 9 décembre. C’est bien l’ensemble de notre comité électoral qui est fier du travail accompli et très heureux de vous présenter une liste belle de sa diversité de parcours de vie, d’engagements associatifs, syndicaux et politique et à l’image de la société dans toute sa diversité sociale.
Ce document programmatique pour les élections européennes vous est proposé par l’espace du programme de La France insoumise, coordonné par Charlotte Girard et Boris Bilia.
Ce document s’appuie sur une version initiale rédigée par Matthias Tavel et validée par l’Assemblée Représentative de la France insoumise du samedi 7 avril et soumise à contributions sur la plate-forme. Cette phase de contribution, ouverte entre le 12 avril et le 20 mai a donné lieu à 421 contributions. Ces contributions ont été recensées dans 6 synthèses (une pour l’introduction et les remarques générales et une pour chacune des 5 parties thématiques du texte) réalisées par six équipes de 4 à 6 insoumis qui se sont déclarés volontaires lors de l’Assemblée représentative. Ces synthèses ont ensuite été ouvertes aux remarques entre le 7 et le 14 juin dernier.
Sur la base de cette version initiale, de ces six synthèses, des contributions des livrets thématiques et des groupes politiques, et des remarques formulées par les insoumis·es, une nouvelle version de ce document programmatique finalisée par Sophie Rauszer et Hadrien Toucel a été soumise à contribution du 8 au 20 novembre derniers sur la plateforme. Après étude des plus de 200 contributions qui ont été faites et un nouveau travail de synthèse, voici la version finale du texte programmatique pour les élections européennes. Le vote est ouvert jusqu’au 3 décembre.
source :
Vote sur le texte programmatique « L’Avenir en commun, en Europe aussi ! »
https://lafranceinsoumise.fr/2018/11/28/vote-sur-le-texte-programmatique-lavenir-en-commun-en-europe-aussi/
Emmanuel Maurel et Marie-Noëlle Lienemann. (ZAKARIA ABDELKAFI / XAVIER LEOTY AFP)
Emmanuel Maurel annonce dans "le Monde" son départ du PS, avec Marie-Noëlle Lienemann et de nombreux cadres de l’aile gauche. Une page se tourne.
Sur le même sujet
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Au PS, Maurel tenté par Mélenchon : "Les ruptures, parfois ça fait du bien"
Il ne connaît pas assez la gauche pour avoir saisi la scène à laquelle il vient d'assister. Lorsque Emmanuel Macron croise Jean-Luc Mélenchon sur une terrasse du Vieux-Port, à Marseille, le 8 septembre, à minuit et demi, il claque la bise à celle qui l’accompagne et qui laisse les deux hommes poursuivre devant les caméras. Marie-Noëlle Lienemann glisse au chef de l’Etat : "No comment." Macron s’est fait présenter l’homme qui était avec les deux anciens ministres et a laissé entendre à Bernard Pignerol qu’il le connaissait grâce à Bertrand Delanoë. Haut fonctionnaire, l’ami de Mélenchon a en effet travaillé pour l’ancien maire de Paris. En partant, le président demande à un proche :
""Mais pourquoi Lienemann était-elle là ?""
Mélenchon - Lienemann - Pignerol : si ces trois-là finissaient la soirée ensemble, c’est parce qu’ils se connaissent depuis trente ans, qu’ils ont été des piliers de la Gauche socialiste, la mythique aile gauche du PS sous Lionel Jospin puis François Hollande. Et ce week-end-là, à Marseille, ils peaufinaient la nouvelle scission du Parti socialiste. La sénatrice de Paris et son complice, l’eurodéputé Emmanuel Maurel, réunissaient dans la cité phocéenne leur club, Nos causes communes, et l’Insoumis y était venu leur déclarer sa flamme :
""Que finisse cette longue solitude pour moi d’avoir été séparé de ma famille intellectuelle et affective. […] Mes amis, vous nous manquiez.""
La longue solitude de Jean-Luc Mélenchon vient donc de finir. Emmanuel Maurel, Marie-Noëlle Lienemann et leurs amis quittent le PS. Ils créent un parti, "une maison de la gauche républicaine", dit Emmanuel Maurel dans une interview au "Monde" ce vendredi 12 octobre. Le député européen sera candidat sur la liste de La France insoumise. Une page se tourne. Le PS perd les figures historiques de son aile gauche, ceux qui pendant de si longues années ont essayé d’ancrer ce parti dans l’antilibéralisme.
"Je n'y crois plus, c'est fini"
"Je n’y crois plus, c’est fini", confie Emmanuel Maurel, qui a "beaucoup réfléchi" avant de quitter ce parti auquel il a été si attaché. Mardi soir, il a bu un dernier verre avec le premier secrétaire Olivier Faure. Mercredi, il a passé une dernière tête au siège historique du PS. Et lui qui est si heureux de sa nouvelle aventure a été un peu triste :
""Je suis passé à Solférino, c’est la dernière journée, il y a des gravats, des cartons, des sacs-poubelle...""
Adieu Solférino. Adieu le PS. Maurel et Lienemann ont trop avalé de couleuvres. Le quinquennat Hollande a achevé de les détourner de ce parti qui, même quand il est très à gauche dans l’opposition, penche à droite dans l’exercice du pouvoir. Ils préfèrent voguer vers d’autres horizons, se rapprocher de l’Insoumis.
Une bande de potes se reconstitue. Lienemann et Mélenchon se connaissent par cœur, ils ont tellement milité ensemble. Maurel et Mélenchon se connaissent aussi depuis des années et se sont toujours appréciés. Maurel était un copain d’enfance de François Delapierre, le regretté fils spirituel de Mélenchon. Et Maurel aime les livres, connaît l’histoire, réfléchit.
""Emmanuel est le dernier d’une longue tradition : c’est un intellectuel socialiste, vraiment intellectuel et vraiment socialiste, lisant, pensant, avec une sensibilité esthétique. Il y a sans cesse eu chez lui une disponibilité intellectuelle, une affection à mon égard, qui m’a toujours poussé à avoir une relation affectueuse avec lui", reconnaît Jean-Luc Mélenchon."
Eux qui étaient assis à deux rangs d’écart au Parlement européen ont toujours aimé se confronter intellectuellement. Ils vont pouvoir poursuivre leurs discussions… et construire ensemble avec leurs amis un bout de l’histoire de la gauche. Emmanuel Maurel a toujours été invité aux Amphis d’été des Insoumis. Fin août, impressionné par la force militante qu’il y voyait et alors qu’il commençait à réfléchir à quitter le PS, l’eurodéputé s’enthousiasmait :
""Il y a du monde, ils débattent, ils sont heureux. On dirait la Gauche socialiste.""
Il y a bien un côté reconstitution de ligue dissoute.
Cécile Amar
Journaliste
[VERSION LONGUE] Leïla Chaibi - Europe insoumise saison 1
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La France insoumise
Ajoutée le 14 oct. 2018
Exceptionnellement, nous avons réalisé une version longue de l'entretien avec Leïla Chaibi, candidate de la France insoumise aux élections européennes. La version courte est disponible ici : https://youtu.be/KSt08uBTP20
Pour en savoir plus sur elle : https://lafranceinsoumise.fr/actualit...
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16 commentaires
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Philippe Wagner
Philippe Wagner
il y a 2 jours
Beaucoup de lucidité au service du cœur et de la raison pour l'avancée vers l'avenir en commun... super nickel :-)
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Danièle PECLY
Danièle PECLY
il y a 2 jours
Demeure ce que tu es le plus longtemps possible car tu as beaucoup d'atouts pour convaincre car ta volonté est remplie d'éléments positifs pour avancer
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didier peauger
didier peauger
il y a 2 jours
De nouvelles tétes jeunes et intelligentes merçi aux insoumis