Billet de blog 19 janvier 2024
... au vu et au su du comportement humain et politique totalement inacceptable à mon endroit de son secrétaire national, Fabien Roussel.
Comme on le sait peut-être, mon gendre s’appelle Salah Hamouri. Franco-palestinien, il a subi, outre une multitude d’humiliations perverses, pas moins de 10 ans de prison dans les geôles israéliennes. Finalement Israël l’a expulsé le 18 décembre 2022.
Cette expulsion a été savamment préparée.
Début 2022, j’apprends fortuitement que dans un Mémoire du ministère de l’Intérieur déposé au Conseil d’Etat figure curieusement la photo de Salah Hamouri. Il est écrit, de la main du ministère, cette phrase : « Membre du FPLP ». Cette organisation est considérée comme « terroriste » non seulement en Israël mais au sein de l’Union européenne.
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colloque
Les samedi 13 et dimanche 14 janvier, l’Institut La Boétie organisait la première édition de ses « Journées économiques : pour une économie au service des besoins ».
La crise du Covid-19 a fait apparaître au grand jour le désastre que représente la destruction et la délocalisation de l’appareil industriel français ayant cours depuis des décennies. Le pays a mis en jeu son indépendance pour entrer dans la course au dumping social et environnemental généralisé. Si un relatif consensus rassemble aujourd’hui les décideurs autour de la nécessité d’une réindustrialisation, les modalités concrètes et les objectifs diffèrent fortement. Quelles filières faut-il investir pour réduire notre empreinte carbone et développer notre autonomie industrielle ? La question des outils se pose également : incitations aux entreprises, mise en concurrence internationale ou protectionnisme écologique ?
date 14 janvier 2024 14h00
lieu Campus Condorcet, Place du Front Populaire, Aubervilliers
intervenants
- Nadine Levratto, directrice du laboratoire EconomiX de l’université Paris Nanterre et économiste spécialiste de l’industrie et de l’innovation
- Matthias Tavel, député LFI-NUPES, membre de la Commission des Affaires économiques
- Christian Saint-Etienne, économiste et professeur émérite au Conservatoire national des arts et métiers
Animée par : Hervé Nathan (Alternatives Économiques)
702 signatures (1 548 au 22/01/24, 5 971 au 29/03/24)
Destinataire(s) : Les préfet.es, les ministres de l'agriculture, de la transition écologique, de la santé, les député.es et sénateurs.trices, le.la Président.e de la République.
Un peu partout notre eau de boisson n’est plus potable, mais consommable ! Face à une pollution quasi-généralisée au Chlorothalonil (et autres molécules de pesticides), il est impératif d’actionner dès maintenant tous les leviers réglementaires pour restaurer une eau potable, et de tout faire pour que cela ne se reproduise pas.
Pourquoi faut-il agir maintenant ?
Septembre 2023 : Dans le département de la Vienne, les deux distributeurs d’eau, « Eaux de Vienne » et « Grand Poitiers », décèlent et quantifient dans l’eau du robinet la présence d’un métabolite (un résidu après épandage) du Chlorothalonil (le Chlorothalonil-R471811). Sa concentration dépasse les normes sanitaires de l’eau potable (1).
Le Chlorothalonil a des effets sur la santé humaine très inquiétants
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Le fongicide Chorothalonil, imprudemment autorisé par l’État, a été épandu sur les terres agricoles durant trente ans avant d’être interdit en Europe en 2019, avec usage autorisé en France jusqu’en 2020. Les concentrations de ce métabolite ne devraient pas baisser dans les années à venir, mais au contraire augmenter compte tenu de la lenteur d’infiltration des eaux de pluie vers les nappes.
De plus, d’autres métabolites du Chlorothalonil, non recherchés, pourraient aggraver la situation. Les deux tiers de la France et d’autres pays sont touchés. La Suisse, par exemple, a recherché et trouvé 8 métabolites du Chlorothalonil !
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nous demandons :
➡️ Que l’État prenne ses responsabilités : il a donné, contre tout principe de précaution, une autorisation de mise sur le marché de ces substances. Il doit organiser une action curative immédiate, concrètement :
L’Agence de l’Eau Loire Bretagne et l’État doivent fournir aux deux producteurs publics d’eau potable de la Vienne les moyens techniques et financiers pour dépolluer sans alourdir la facture d’eau de nos concitoyens.
➡️ Que le préfet de la Vienne prenne ses responsabilités de manière préventive : Il a les moyens règlementaires de limiter les risques qu’un autre pesticide reproduise demain la situation actuelle, concrètement :
- Il peut restreindre ou interdire l’usage des produits phytosanitaires en cas de risque exceptionnel et justifié (en application de l’article 5 de l’arrêté du 4 mai 2017 relatif à l’utilisation de ces produits)
- Il peut interdire les pesticides dans les périmètres de protection de ces captages s’ils sont déjà définis.
- Il peut réviser tous ses arrêtés de DUP (Demande d’Utilité Publique) et en prendre de nouveaux pour les captages qui en sont dépourvus afin de prescrire des périmètres de protection correspondant aux zones vulnérables aux pollutions diffuses et interdire les pesticides dans ces zones.
➡️ Que les législateurs – nos député.es et sénateurs-rices – renforcent et simplifient la prévention des pollutions par nitrates et pesticides en inscrivant dans la loi : - L’obligation pour les préfets de définir pour tous les captages d’eau potable les Aires d’Alimentation de Captage (AAC) et d’y prescrire la cartographie de leurs zones vulnérables.
- L’obligation d’interdire les pesticides dans les zones vulnérables des AAC et d’y limiter les apports en azote.
➡️ Que le gouvernement accompagne techniquement et financièrement l’ensemble de la filière agricole dans des pratiques agricoles soucieuses de la santé de tous et respectueuses de l’environnement dans les aires d’alimentation et de captage.
Nous proposons que les producteurs d’eau, en difficulté pour fournir une eau potable :
- Organisent, en coopération avec les agriculteurs, un programme d’actions volontaires agroécologiques pour chaque captage en limite ou en dépassement des normes de qualité.
- Qu’en cas d’échec patent au bout de deux programmes, ils demandent au préfet le classement de l’Aire d’Alimentation en « Zone Soumise à Contraintes Environnementales » (ZSCE). Ainsi, l’État pourra alors interdire les pesticides dans les secteurs vulnérables de ces aires.
Toutes ces mesures sont urgentes, notre santé à tous est en jeu. Le financement d’usines de dépollution risque de faire exploser le prix de l’eau, c’est pourquoi il est essentiel de la protéger par une agriculture durable sans intrants chimiques.
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Groupe local Greenpeace Poitiers
Vienne Nature [France Nature Environnement]
Comment elle sera remise : Par courrier.
Relayée par la presse locale : https://www.lanouvellerepublique.fr/poitiers/pesticides-dans-l-eau-potable-vienne-nature-lance-une-petition-avec-greenpeace
Sources :
(1) Agence régionale de Santé Nouvelle Aquitaine. Arrêté 2023/ARS/DD86-PSPSE du 11 septembre 2023
(2) ANSES Saisine N°2021-SA-0252 du 26 janvier 2022
(3) Code de l’Environnement, Article L210-1.
RELAYÉE PAR
- http://www.poitou-charentes-nature.asso.fr/pour-une-eau-potable-et-sans-pesticides/
- https://www.lanouvellerepublique.fr/poitiers/pesticides-dans-l-eau-potable-vienne-nature-lance-une-petition-avec-greenpeace
- https://www.centre-presse.fr/article-884603-pesticides-dans-l-apos-eau-potable-vienne-nature-lance-une-petition-avec-greenpeace.html
Actualités
L’urgence écologique et climatique est incompatible avec toute « pause réglementaire » souhaitée par Macron. Il nous faut au contraire franchir plusieurs marches pour être à la hauteur de la situation .
Nous n’avons plus le temps des petits pas .
Voici notre contre projet ...
Connu / TG le 19/07/23 à 23:02
792 Signatures (11 766 au 20/01/2024)
En 2023, les tarifs de l’électricité ont augmenté successivement de 15% puis de 10%. Cela représente une hausse moyenne d’environ 425 euros dans l’année.
Mais ce n'est pas tout : en 2024, la facture d'électricité doit de nouveau augmenter. Une hausse de 10% (environ 200 euros dans l’année) est prévue le 1er février car le gouvernement a pris la décision de réintroduire une taxe sur l’électricité.
Ça suffit !
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Connue / https://lafranceinsoumise.fr/2024/01/15/tarifs-de-lelectricite-la-france-insoumise-lance-une-petition-pour-lannulation-de-laugmentation-de-10/
Le « réarmement civique » prôné par le chef de l’État est un « appel au sacrifice du peuple », alerte le chercheur Thierry Ribault. Il prépare la jeunesse à une « inéluctable » mobilisation nationale. C’est un faisceau d’indices, d’événements et d’éléments de langage qui montrent que nous changeons radicalement d’époque. Le dernier discours d’Emmanuel Macron sur « la régénération » et « le réarmement civique » en est une illustration. On prépare les esprits à un endurcissement de la société et à un monde en guerre, (...)
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Connu / TG le 12/01/24 à 22:24
Société de contrôle (2) : la CAF défend son programme de chasse aux pauvres
Notre enquête sur les algorithmes de contrôle social n’en est encore qu’à son début, mais elle a déjà produit quelques effets : après notre analyse de son algorithme de notation des allocataires, la Caisse nationale d’allocations familiales (CNAF) est bien obligée de se justifier publiquement au sujet de ses pratiques discriminatoires.
La réponse du directeur de la CNAF, entre déni et diversion, relève de la communication de crise. Mais les faits que nous constatons dans l’analyse de l’algorithme lui-même restent irréfutables. Et derrière l’autosatisfaction de l’institution, saluée aussi par les députés de la majorité présidentielle pour son efficacité dans la chasse aux pauvres, on voit un jeu de dupes : loin d’une rentabilité réelle, et à rebours de la « fraternité » républicaine de la société avec ses membres les plus précaires, le contrôle systématique par algorithme sert l’idéologie d’une efficacité gestionnaire où le recours aux outils numériques habille de modernité des choix politiques et sociaux inégalitaires. Analyse du discours de la CNAF et réponse point par point dans notre article !
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20 décembre 2023 en salle / 1h 31min / Drame
De Benoit Cohen
Par Benoit Cohen, Eléonore Pourriat
Avec Fanny Ardant, Nawid Elham, Elisabeth Margoni
Synopsis
France, la soixantaine, vit seule dans son appartement bourgeois de l’est parisien. Lorsqu’elle entend parler à la radio d’une association qui met en contact des personnes réfugiées sans logement et celles ayant la possibilité de les accueillir, elle décroche son téléphone pour se porter volontaire. Quelques jours plus tard, Reza, jeune afghan d’à peine vingt ans, débarque dans sa vie. Ces deux êtres, qui n’ont rien en commun, vont devoir apprendre à vivre ensemble…
Connu / TG le 30/10/23 à 10:29
"
site internet qui contient les résultats d'une étude que j'ai faite pour le compte de France Gaz Liquides. ... consiste à modéliser la consommations actuelles (par énergie et par usage) du secteur résidentiel pour les communes non connectées au réseau de gaz puis à modéliser deux scénarios d'électrification des usages de chaleur et de cuisson (remplacement fioul et GPL), en fonction de la performance des systèmes de chauffage utilisés. Les résultats de conso actuelle sont présentés dans l'onglet "mix énergétique actuel" tandis que les résultats des scénarios d'électrification (en énergie annuelle et en puissance de pointe) sont inclus dans l'onglet "coût des solutions de décarbonation". Les résultats sont accessibles aux échelles région, département et commune. Si vous voulez les résultats d'une commune particulière, il faut entrer son nom directement dans la barre de recherche (uniquement disponible pour les communes non connectées au réseau de gaz).
"
a indiqué dans une interview à la Tribune Dimanche la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher, à quelques semaines de la présentation du projet de loi relatif à la souveraineté énergétique.
Depuis le discours de Belfort de février 2022, dans lequel Emmanuel Macron avait acté la relance du nucléaire, le gouvernement porte un programme de six nouveaux réacteurs EPR et huit en option. Le chef de l'Etat avait déjà ouvert la porte en décembre à une annonce sur ces huit réacteurs supplémentaires "dans les prochains mois".
La ministre enfonce ainsi le clou, près d'un mois après cette sortie: "Il faut du nucléaire au-delà des six premiers EPR puisque le parc historique ne sera pas éternel", a-t-elle déclaré à l'hebdomadaire, selon lequel le texte qui sera présenté en Conseil des ministres acte ces huit réacteurs mais ne donne pas d'objectifs précis de développement des énergies renouvelables d'ici à 2030.
La rédaction du texte "reste neutre technologiquement", a assuré Mme Pannier-Runacher, selon qui, pour faire passer en France de plus de 60% à 40% en 2035 la part des énergies fossiles dans le mix énergétique, "il s'agit d'engager, après 2026, +des constructions supplémentaires représentant 13 gigawatts+".
... "rompt avec la précédente loi de programmation, qui réduisait à 50% la part du nucléaire dans le mix électrique d'ici à 2025"
... deux volet consacrés à la "régulation des prix" et à la "protection des consommateurs", qui prévoient notamment l'obligation pour les fournisseurs de "transmettre un échéancier mensuel et une estimation annuelle à chaque changement de contrat", ainsi que des sanctions plus rapides pour "les fournisseurs voyous".
Par ailleurs, la ministre a indiqué que la question des infrastructures de recyclage des combustibles nucléaires serait au menu du prochain Conseil de politique nucléaire (CPN), prévu en janvier, n'excluant pas de "construire de nouvelles capacités".
Connu / http://phplist.amisdelaterremp.fr/lists/?m=16862&uid=5b2727fbbd0a8039239380e41efb8d71&p=view&pi=ViewBrowserPlugin
Connu / TG le 07/01/24 à 14:28
BULLETIN NATIONAL DE SITUATION HYDROLOGIQUE - 12 décembre 2023 - Les chiffres-clés du BSH
Un rapport à la normale des précipitations excédentaire de 50 % en moyenne sur la France
Novembre 2023 au 5éme rang des mois de novembre les plus arrosés sur la période 1959-2023
La recharge a débuté avec de fortes remontées des niveaux : 48% des nappes sont au-dessus des normales
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Connu / TG le 06/01/24 à 13:13
Agrivoltaïsme - L’État précise les installations solaires exclues de l’artificialisation
Un arrêté interministériel définit les caractéristiques techniques des installations photovoltaïques non soumises au calcul relatif à l’artificialisation des espaces naturels et agricoles.
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Pour ne pas relever du calcul relatif à l'artificialisation, les installations photovoltaïques occupant des terrains agricoles doivent garantir le maintien d'une activité agricole ou pastorale significative. © Laurine Mongenier/GFA
Un nouvel arrêté publié au Journal officiel le 31 décembre 2023, et applicable depuis le 1er janvier 2024, vient définir les caractéristiques techniques des installations photovoltaïques exemptées de prise en compte dans le calcul de la consommation d’espaces naturels, agricoles et forestiers (Enaf).
Un décret sur l’agrivoltaïsme qui divise (15/12/2023)
Il énonce en premier lieu que les installations photovoltaïques occupant un espace naturel ou agricole ne sont pas comptabilisées dès lors que leurs modalités permettent de garantir leur réversibilité, le maintien du couvert végétal correspondant à la nature du sol et, le cas échéant, des habitats naturels préexistants, ainsi que de la perméabilité du sol au niveau des voies d’accès. De plus, sur les espaces à vocation agricole, les installations doivent garantir le maintien d’une activité agricole ou pastorale significative sur le terrain.
Des conditions à remplir
Pour ne pas relever du calcul de la consommation d’Enaf, les installations photovoltaïques doivent également répondre aux caractéristiques techniques et critères d’implantation suivants :
- La hauteur des panneaux solaires est au minimum de 1,10 mètre au point le plus bas ;
- L’espacement entre deux rangées de panneaux distinctes, du bord des panneaux d’une rangée au bord des panneaux de la rangée suivante, est au moins égal à deux mètres ;
- L’ancrage au sol est réalisé à l’aide de pieux en bois ou en métal, sans exclure la possibilité de scellements « béton » inférieurs à un mètre carré sur des espaces très localisés et justifiée par les caractéristiques géotechniques du sol ou des conditions climatiques extrêmes. Pour des installations de type trackers, la surface du socle béton ne doit pas dépasser 0,3 m²/kWc ;
- Les clôtures autour de l’installation sont composées de grillages non occultant ou de clôtures à claire-voie, sans base linéaire maçonnée ;
- Les voies d’accès aux panneaux internes à l’installation et aux autres plateformes techniques ne doivent pas comporter de revêtement ou présentent un revêtement drainant ou perméable.
Selon l’arrêté, les porteurs de projets dont l’implantation est prévue dans un espace naturel ou agricole ont pour obligation de renseigner une base de données mise à disposition par les services de l’État. Les informations et données à déclarer comprennent notamment les données relatives aux caractéristiques techniques des installations, permettant de vérifier les valeurs et les seuils d’exemption (hauteur des panneaux, type d’usage actuel du terrain d’implantation, nature et/ou couverture du sol, type d’ancrage au sol, type d’activité agricole…).
La mise à jour de ces données est requise tous les trois ans à compter du premier enregistrement et pendant toute la durée de l’exploitation, dans le cas où au moins une des données aurait fait l’objet d’une modification dans cette période.
Sur le même thème
- L’agrivoltaïsme débarque dans Farming Simulator
Les mod et map offerts par GLHD donnent la possibilité de concevoir sa propre ferme agrivoltaïque dans Farming Simulator. (Capture d’écran Farming Simulator 2023, droits réservés Giants Software GmbH) - « Le décret sur l’agrivoltaïsme va trop loin »
Christian Huyghe est directeur scientifique de l'agriculture à l'Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae). - La FNO signe un nouveau partenariat pour développer l’agrivoltaïsme
ERG Développement France et la Fédération nationale ovine ont signé un partenariat d'une durée de trois ans pour développer l'agrivoltaïsme.
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To support the Sweet Dream association, which produces documentaries on NVC, we advise you to subscribe to this channel, you will be informed of our productions.
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https://www.helloasso.com/associations/sweet-dream/formulaires/1/widget
Pour soutenir l'association Sweet Dream, qui produit des documentaires sur la CNV, nous vous conseillons de vous abonnez à cette chaine, vous serez informés de nos productions.
Si nos films et projets correspondent à vos valeurs, vous pouvez nous aider en faisant un don. merci d'avance pour votre soutien.
"Words that liberate" takes place in jail, in Portland and Seattle. Inmates discover Nonviolent Communication. They find appeasement and reconnect with their humanity. We will see the positive effects of this approach on their behavior and their community.
« Ces mots qui libèrent » nous emmène en prison, à Portland et à Seattle. Des détenus découvrent la
Communication Nonviolente. Ils retrouvent leur humanité et se pacifient intérieurement. Nous
pourrons observer les effets positifs de cette approche sur leur comportement et leur communauté.
Tr.: ... former les détenus à la CNV et par ou avec la méditation ... Rosenberg décédé en 2015 ...
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?obl5hA
L'usine souterraine de la STEP de Montézic / Image : Révolution Énergétique - HL.
L’énergéticien national souhaite réaliser une extension de la station de transfert d’énergie par pompage-turbinage (STEP) de Montézic dans l’Aveyron. Un projet à 500 millions d’euros qu’EDF se dit prêt à démarrer dès le feu de vert de l’État.
...
La France dispose de 6 STEP sur son territoire, pour une puissance installée d’environ 5 GW. Érigées pour la plupart durant les années 1970 et 1980
...
une seconde usine souterraine composée de 2 groupes pompe-turbines serait creusée dans le prolongement de la caverne actuelle, qui accueille 4 groupes de 230 MW chacun.
Si le projet augmentera de 430 MW (soit + 47 %) la puissance du site, de quoi alimenter de 300 000 personnes selon EDF, sa capacité de stockage restera inchangée. Aucune extension du réservoir supérieur n’est prévue. De 40 heures aujourd’hui, son autonomie à pleine puissance sera donc réduite
...
La mise en concurrence des centrales hydroélectriques verrouille les projets
...
Découvrir la Constitution de 1793 | conférence AMFIS 2023 - Sortie le 22 déc. 2023 / La France insoumise
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(Re)Découvrez la conférence "Découvrir la Constitution de 1793" , tournée aux Amfis 2023, avec :
- Jean-Marc Schiappa, historien, co-animateur du département d’histoire de l’Institut La Boétieà ??
Tr.: ... Condorcet, intellectuel fourvoyé en politique, écrit un texte de constitution : affaiblir le pouvoir législatif, prééminence du peuple souverain, le législatif est donc supérieur à l'exécutif. Créer 7 ministres élus par les modérés, surpuissants. Ce n'est pas notre conception. Ils ne sont que des délégués. Procureur général syndic, avancée de la révolution : élu par le peuple. Supprimé, anticipe les préfets du bonapartisme. On vote sans arrêt. Seuls les gens aisés pouvaient perdre leur temps à le faire. Un vote sans débat n'est pas une démocratie ... Manière d'exclure le peuple. Haute cour chargée de punir les députés, c'est baffouer les parlementaires. On ne peut être jugé que par les siens. INVIOLABILITÉ PARLEMENTAIRE ... Robespierre donne le la programmatique. Débats rapides. Une constitution ne peut pas tout imaginer. Sur la constitution, prééminence du législatif ... 124 articles. Simple, compréhensible par tous ... laconisme ... Le constitutionaliste expulse le peuple ... La citoyenneté n'est pas la nationalité. Seul le chef de famille vote, la famille, atome de la société, pas l'individu. Déclaration des droits de l'homme et du citoyen commence par le bonheur commun ... ici et maintenant ... la constitution de 1958 ne dit pas où elle veut aller ... l'insurection est un devoir commun DANS DES CIRCONSTANCES DONNÉES ... Le moyen n'est pas la fin. Face aux forces réactionnaires, être très prudents. Sur la propriété, Robespierre voulait aller plus loin, mis en minorité ... unifier paysans et bourgeois ... la propriété n'est plus sacrée, définie politiquement, on peut l'éliminer ... la loi suprême est le salut du peuple ... QUESTIONS ... N'a pas été appliquée ... gouvernement révolutionnaire car il fallait sauver sa peau ... PANCARTES AUX FRONTIÈRES : BIENVENUE AU PAYS DE LA LIBERTÉ ... le bonheur commun ... Babeuf pour abolir la propriété ... Rousseau "tout tenait à la politique" ... Robespierre "pourvoir aux droits de l'hommes et à la liberté" A DÉFINI POLITIQUEMENT LA PROPRIÉTÉ ... LE MANDAT :
1H08 ...
Rendons à Anticor son agrément pour combattre la corruption ! - Lancée le 29 juin 2023 / Lancée par Victoire BEAUGENCY
Signatures : 24 278
Nous nous adressons à vous aujourd'hui en tant que voix collective préoccupée par la santé de notre démocratie et l'intégrité de nos institutions. L'association citoyenne Anticor, pilier de la lutte contre la corruption en France, a récemment vu sa demande d'agrément refusée par le gouvernement, une décision qui menace gravement son rôle essentiel et son efficacité dans la lutte contre la corruption et en faveur de l'intérêt général.
L'agrément permet à Anticor d'intervenir dans des dossiers de lutte contre de la corruption présumée. Sans cet arme citoyenne, l'association ne peut plus se constituer partie civile alors que cette démarche est fondamentale puisqu'elle permet de contourner la décision d’un procureur, dont la carrière dépend du gouvernement, de classer sans suite une affaire politico-financière sensible.
Anticor, depuis sa création en 2002, a été un acteur clé dans la révélation et la poursuite de nombreuses affaires de corruption qui auraient pu rester dans l'ombre. De l'affaire des sondages de l'Élysée aux concessions autoroutières, en passant par l'affaire Dupond-Moretti, Anticor a démontré une persévérance et une intégrité sans faille dans sa mission de veiller à l'application de la loi et à la moralité publique.
Le refus de renouveler l'agrément d'Anticor pose non seulement un sérieux problème en termes de lutte contre la corruption, mais soulève également de profondes inquiétudes quant à l'engagement du gouvernement en faveur de la transparence et de l'éthique. En effet, ce refus intervient dans un contexte où l'association n'a reçu aucun reproche de la part du gouvernement et où la Première Ministre, Elisabeth Borne, avait publiquement reconnu la conformité d'Anticor aux critères d'octroi de l'agrément.
Cette pétition a plusieurs objectifs :
- Exiger le renouvellement de l'agrément d'Anticor : nous demandons au gouvernement de reconsidérer sa décision et de renouveler l'agrément d'Anticor, reconnaissant ainsi son rôle indispensable dans la lutte contre la corruption ;
- Assurer une transparence et une équité dans le processus d'attribution des agréments : le processus de décision doit être transparent et équitable, libre de toute influence politique, afin d'assurer l'indépendance des organismes de lutte contre la corruption. Nous demandons à ce que l'agrément soit octroyé par une autorité administrative indépendante ;
- Sensibiliser et mobiliser : nous souhaitons alerter l'opinion publique et les responsables politiques sur l'importance cruciale de soutenir des associations comme Anticor, qui jouent un rôle de garde-fou dans notre société.
La lutte contre la corruption est fondamentale pour assurer l'égalité devant la loi, la confiance des citoyens envers leurs représentants, et pour préserver l'intégrité de notre système politique. Il est impératif que des organisations comme Anticor soient soutenues dans leur mission.
En soutenant Anticor, forte de ses 7300 adhérents, impliquée dans 161 procédures judiciaires, fonctionnant sans aucune subvention publique et appuyéepar 85 groupes locaux, vous soutenez une association indépendante qui agit en faveur de l'intérêt général.
...
On parle d'Anticor dans la presse :
- https://www.francetvinfo.fr/politique/gouvernement-d-elisabeth-borne/anticor-l-association-anticorruption-denonce-le-refus-implicite-de-sa-demande-de-renouvellement-d-agrement_6268371.html
- https://www.lemonde.fr/societe/article/2023/12/27/anticor-le-gouvernement-n-a-pas-renouvele-l-agrement-de-l-association-de-lutte-contre-la-corruption_6207886_3224.html
- https://www.lefigaro.fr/actualite-france/l-association-anticor-perd-son-agrement-20231227
- https://www.la-croix.com/france/anticor-l-association-anticorruption-perd-son-agrement-20231227
- https://www.mediapart.fr/journal/fil-dactualites/271223/l-agrement-de-l-association-anticorruption-anticor-non-renouvele
102 k abonnés - 80+ - 700 vues - 11 commentaires #NUPES #logement #Politique #franceinsoumise #Amfis2023 #Amfis #Melenchon #NUPES #France
(Re)Découvrez l'atelier "Droit au logement : passons à l'action !", tournée aux Amfis 2023, avec :
- William Martinet, député LFI-NUPES
- Diangou Traoré, militante des quartiers populaire et co-animatrice du pôle Auto-organisation et luttes
- Delphine Bouet, Collectif tous·tes un toit (TUT) Lorient
- Fatouma Camara, Alliance Citoyenne Seine-Saint-Denis
Tr.: ... Indice de référence des loyers (IRL) ... augmentation des loyers ... a eu plus de conséquences que la suppression de l'ISF ! ... passoires thermiques et bouilloires énergétiques ... changement en faveur des propriétaires ... rénovation thermique des logements ...
Connu /* TG le 18/10/23 à 23:21
François Ruffin ©Maxppp - Olivier Corsan
8h20 - Baddou - L'hour
Le député LFI de la Somme François Ruffin est l'invité du Grand Entretien.
Avec François Ruffin Député LFI de la Somme
Alors que le débat se focalise contre la loi immigration : "Normalement, Emmanuel Macron était là pour faire barrage et à la place, et il sert de marche pied, il ouvre la porte tout grande aux idées de l’extrême droite", estime le député LFI : "c’est à ça que j’ai assisté à l’Assemblée Nationale, c’est une défaite pour la République".
Pour François Ruffin, cette loi manque ostensiblement sa cible : "Quand se met en oeuvre la préférence nationale, quand ce sont des vies déjà dures qui sont frappées…Là, on n’est pas 'méchant avec les méchants', là on est méchants avec tout le monde, on fait des lois pour pourrir la vie de gens qui ne demandent qu'à travailler, c’est séparer les étrangers de la République".
Publicité
"Le pouvoir d'achat s'améliorerait, parce qu'on priverait d'APL ces familles ? L'hôpital irait mieux parce qu'on empêcherait de soigner comme il faut les étrangers ? On devrait avoir un président de la République qui doit être le gardien de ces valeurs, et qui, à la place, les brade pour de petits calculs cyniques. Je vois le chemin sur lequel il nous entraîne, la pente sur laquelle on glisse".
La pente glissante de l'extrême-droite
Pour François Ruffin, la menace de l'extrême-droite est plus que jamais présente avec la bascule politique qu'a constitué le vote de cette loi immigration : "On voit dans les sondages Marine Le Pen qui avance, qui chemine tranquillement vers l’Élysée, y compris chez les diplômés, les installés, on se dit 'c'est son tour' et on s’y accoutume, avec une forme d’abandon, de mollesse, de lâcheté". Pour autant, le député estime qu'"il n’y a pas de fatalité" : "L’histoire reste ce que les hommes et les femmes en font, il faut se réveiller maintenant (...)"
L'union de la gauche, condition "nécessaire mais pas suffisante"
Pour autant, faire barrage nécessiterait désormais une union de la gauche : "Il faut arrêter les conneries : si non veut arrêter cette pente, il faut que les chefs de partis cessent l’étalage de leurs rancoeurs sur Twitter" estime François Ruffin qui rappelle que "l'union de la gauche, c’est une condition nécessaire mais pas suffisante". Mais déjà ça passe par "enterrer les haches de guerre". "On a une sorte de responsabilité", reconnait-il aussi face au passage de cette loi , "il faut qu'on sorte du ton d'acrimonie, de rancoeur, pour aller vers quelque chose qui respire la joie".
Il faut surtout traiter les difficultés des Français, analyse le député qui avance que la suppression des lits en milieu hospitalier "va deux fois plus vite" qu'avant la crise Covid": "Refaire le coup d’utiliser Marine Le Pen et son père comme des repoussoirs, ça ne suffit pas ; Il faut résoudre la question de l’hôpital : est-ce la faute des étrangers que l’hôpital va mal? Non, c’est la faute d’Emmanuel Macron : c’est lui le problème de la France".
Alors que 32 régions de gauche ont annoncé qu'elles n'appliqueront certaines mesures de la loi sur l'immigration, l'élu LFI rappelle que "Emmanuel Macron qui passe à la télé reconnait que des pans entiers de la loi" ne sont pas constitutionnels : "Ce qu’il faut ce n’est pas avoir des terres de résistance, des bastions qui se refusent, c’est se demander comment on fait pour gagner le pays, le faire respirer".
Des "soucis de ton" pour LFI
Alors que son parti, La France Insoumise, est sous le coup des attaques, François Ruffin reconnait que "les Français, il faut les rassurer (...) aujourd’hui il y a des soucis de ton, des invectives . Simplement, on attire pas parce qu’on n’est pas uni". Alors que la priorité serait d'offrir les "garanties que demain sera meilleur". Il reste choqué par les propos présidentiels, après l'interview donné cette semaine à la télévision : "Les 'salaires ont plutôt suivis', selon Emmanuel Macron, ce sont des mots prononcé sous les dorures de la République. En vérité, c’est plutôt - 5% de consommation en moins dans les produits alimentaires des supermarchés".
"Ce sont les classes moyennes inférieures qui décrochent, une famille sur 2 avec enfants a réduit ses portions dans son assiette, alors que + 13% de dividendes pour les grandes entreprises : les 2/3 vont au 0,1% les plus riches, cette injustice là, le Président de la République ne l’affronte pas", rappelle François Ruffin.
Quand un auditeur demande le départ de Jean-Luc Mélenchon de la tête de LFI, l'élu répond se défend de toute polémique : "Si la gauche, ça avait été Francois Hollande et son fils spirituel Macron, la gauche serait dans la tombe".
"La France est un pays riche, un gâteau qui est énorme (...) On nous amuse, mais le phénomène Macron, c’est le mouvement massif du gavage" martèle François Ruffin qui dit vouloir, lui, "descendre le plafond et relever le plancher".
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L'équipe Marion L'Hour Production ; Ali Baddou Production
Les artisans du bâtiment qui craignent une "catastophe" après la réforme de MaPrimeRenov' et le succès très relatif du fameux bonus réparation : le réel se rebiffe parfois face à l'ambition environnementale.
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Hier, les artisans du bâtiment et une floppée d’entreprises ayant pignon sur rue ont écrit à Elisabeth Borne pour l’adjurer de (au minimum) décaler une énième réforme de MaPrimeRenov’ prévue le 1er janvier.
MaPrimeRenov', c’est le dispositif d’aides publiques à la rénovation des logements. La nouvelle réforme (énième réforme) augmente considérablement ces aides (jusqu’à 63.000 euros pour un ménage modeste !), mais interdit de seulement, par exemple, isoler ses combles ou ses murs, ou seulement mettre des double-vitrages ou seulement d’installer une pompe à chaleur. En exagérant un tantinet, c’est tout ou rien.
Les artisans disent qu’on court (je cite leur mot) à la catastrophe : les formalités et les travaux sont trop lourds et les Français vont laisser tomber c’est trop cher même avec les aides. En plus, c’est incohérent de conseiller à des gens qui ont acheté des chaudières à gaz récentes de les jeter à la casse.
Bref, le mieux est l’ennemi du bien et personne ne croit possible l’objectif de multiplier par 3 en 2024 le nombre de rénovations.
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