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L’histoire retiendra-t-elle que l’épidémie de COVID-19 a été un moment-clé dans un processus de basculement autoritaire de la société française ? De fait, ces dernière semaines, l’attention de l’opinion publique française a surtout été captée sur la crise sanitaire, et sur la sordide comptabilité des morts. Certes, les images de violences policières “radicales” continuaient de se propager sur les réseaux sociaux en plein confinement.
Mais ce n’était manifestement que la face émergée de l’iceberg. C’est en tout cas ce que pense Raphael Kempf. Raphael Kempf est avocat au barreau de Paris, spécialisé en droit pénal, auteur du livre “Ennemis d’état” paru aux Editions La Fabrique. Il est aussi auteur d’un article intitulé Et le gouvernement décida de confiner les libertés, paru dans la dernière édition du Monde Diplomatique. Pour lui, le choix du gouvernement, qui a été celui d’installer un état d’urgence, comme après des attentats terroristes, ne s’imposait pas. Et ce choix a accouché de nombreuses violations de nos droits fondamentaux. Il pointe notamment la prolongation administrative de la détention provisoire pour les prévenus.
Pendant le confinement, explique Raphaël Kempf, la police a été mise en situation de fabriquer la loi et d’exercer la justice. Un confinement qui est en train d’être progressivement levé, alors que l’état d’urgence sanitaire demeure. Pour éviter une seconde vague, le gouvernement a mis en place des dispositifs de traçage du virus, comme l’application StopCovid et les bridages sanitaires. Pour Raphaël Kempf, ces dispositifs sont de vraies menaces pour les libertés publiques.
.#Liberté #Surveillance #Justice
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herve glandu il y a 5 heures
"Quand un peuple ne défend plus ses libertés ni ses droits, il est mûr pour l'esclavage." Jean-Jacques Rousseau.
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Nous voulons jeter un œil aux agissements)s de ces industriels, tel Bigard, qui s’enrichissent toujours plus sans jamais garantir un prix d’achat aux agriculteurs français. Nous souhaitons obtenir et analyser les comptes de Bernard Arnault, spécialiste de la délocalisation d’entreprises rentables. Pour cela, nous avons besoin de votre soutien, car ces procédures juridiques sont très codifiées et ont un coût, celui des honoraires d’avocats et des huissiers de justice. Sans compter notre temps et notre investissement.
Le Média va engager des procédures de grande ampleur notamment contre :
- Le Groupe Arnault, propriété de Bernard Arnault, deuxième fortune mondiale, produits de luxe.
- Lagardère SA, propriété d’Arnaud Largardère, holding.
- LM holding, propriété d’Arnaud Lagardère.
- La holding de la famille Hermès, H51.
- Webedia, propriété du milliardaire Marc Ladreit de Lacharrière.
- Fimalac communications, propriété du milliardaire Marc Ladreit de Lacharrière.
- Les Mutuelles de Bretagne anciennement dirigées par Richard Ferrand, président de l’Assemblée nationale.
- Le Club Med.
- British Steele Saint Saulve, Ascoval, aciérie dans le Nord de la France.
- CFEB Sisley, propriété de la famille d’Ornano, commerce de produits de beauté.
Si vous souhaitez que ces sociétés et leurs possédants rendent des comptes, merci de contribuer à l’adresse suivante : https://soutenez.lemediatv.fr
.#Justice #Enquête #ÉvasionFiscale
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La France insoumise Compte certifié @FranceInsoumise 3 mars
Le projet de loi #Justice va éloigner le justiciable du juge et créer des déserts juridiques au nom de l’austérité.
Une avocate explique pourquoi l’ensemble des professionnels de la justice se mobilisent contre la réforme de Nicole Belloubet.
Loopsider
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Ndlr :
- privilégie les mard médiation etc et éloigne le justiciable du juge