Connu / wegreen.fr/ ... pedagogiques-accidents-majeurs ... / centrale du Bugey
... « Contexte » s’est procuré un rapport confidentiel du gouvernement qui fait état de doutes sérieux sur la conception, la faisabilité, le coût et les délais de ce qui doit constituer la nouvelle vague de centrales nucléaires françaises. Bercy et EDF ne font aucun commentaire.
https://www.contexte.com/article/energie/info-contexte-nucleaire-pas-encore-lances-les-futurs-epr-deja-en-retard-et-plus-chers_140631.html
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doc pdf à blob:https://www.contexte.com/04a65466-9b9e-4dfc-9149-ab87890b715b
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Y parvenir suppose de pousser la durée d’exploitation de 14 réacteurs nucléaires qui, en 2050, auront plus de 50 ans pour certains et même plus de 60 ans pour d’autres. Compte tenu de l’âge du parc nucléaire français (plus de 60 ans en moyenne, pour une durée de vie initialement prévue de 40 ans), il serait également indispensable de construire trois nouvelles paires de réacteurs de 1650 à 1700 mégawatts, la même puissance que celle des réacteurs EPR vendus par EDF à la Chine, Taishan.
Mais il s’agirait, cette fois, d’EPR de nouvelle génération, les EPR2 (la première devant être construite en Normandie, à Penly). Et c’est là que les informations publiées par « Contexte » révèlent que la route s’annonce déjà cahoteuse. Notre confrère s’est effet procuré un document très détaillé de 12 pages, présenté comme...
Il vous reste 80% de cet article à lire.
Connu / https://twitter.com/dorfman_p/status/1454379852333715456
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Rousselet Yannick a retweeté Dr Paul Dorfman @dorfman_p · 12h
C’est une véritable bombe que vient de publier le site d’information « Contexte » à propos de la nouvelle génération de centrales nucléaires d’EDF. Ces EPR2 qu’Emmanuel Macron s’apprête à commander... - 0 - 5 - 3"
Ndlr : couplage au réseau au plus tôt du 1er EPR2 à l'horizon 2040 (page 9) : confirme que ce serait bien trop tard :-( et donc disqualifie le nucléaire comme moyen de décarboner l'énergie en France :-(
La "messe" était déjà dite avec le scénario négaWatt, là c'est le coup de grâce porté à la filière ingénierie nucléaire française ACT
Connu / mel [insoumis-energie] Inondation des centrales nucléaires en bord du Wed, 20 Oct 2021 14:45:18 +0200
guide très complet établi par les ingénieurs de l'ASN selon mel [insoumis-energie] Inondation des centrales nucléaires en bord du Wed, 20 Oct 2021 14:45:18 +0200
Ndlr : date ? ACT
Planning des arrêts programmés pour rechargement et maintenance des tranches nucléaires
Les conclusions du rapport du GIEC – plus précisément de son Groupe de travail 1 – sont on le sait effrayantes tant elles décrivent un monde pris dans la catastrophe environnementale en cours. Cet article de Daniel Tanuro les analyse précisément et ouvre des perspectives radicales, anticapitalistes, seules à même d’empêcher le désastre.
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solution miracle : l’augmentation de la part des « technologies bas carbone » (nom de code pour le nucléaire, notamment les « microcentrales) et, surtout, le déploiement des dites « technologies à émissions négatives » (TEN – ou CDR, pour Carbon Dioxyde Removal), censées refroidir le climat en retirant de l’atmosphère d’énormes quantités de CO2 à stocker sous terre. C’est l’hypothèse dite du « dépassement temporaire du seuil de dangerosité » de 1,5°C.
Sur le nucléaire, inutile de s’étendre après Fukushima. Quant aux « technologies à émissions négatives », elles n’existent pour la plupart qu’au stade du prototype ou de la démonstration, et leurs effets sociaux et écologiques promettent d’être redoutables (on y revient plus loin). Qu’à cela ne tienne : on veut nous faire croire qu’elles sauveront le système productiviste/consumériste et que le marché libre se chargera de les déployer. En vérité, ce scénario de science-fiction ne vise pas avant tout à sauver la planète ; il vise avant tout à sauver la vache sacrée de la croissance capitaliste et à protéger les profits des plus grands responsables du gâchis : les multinationales du pétrole, du charbon, du gaz et de l’agrobusiness.
Le GIEC entre science et idéologie
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le résumé du GT1 cautionne l’idée que les technologies à émissions négatives pourraient ne pas être déployées uniquement pour capter les « émissions résiduelles » des secteurs où la décarbonisation est techniquement difficile (l’aviation par exemple) : elles pourraient aussi être mise en œuvre à une échelle massive, pour compenser le fait que le capitalisme mondial, pour des raisons qui ne sont pas « techniques » mais de profit, refuse de renoncer aux combustibles fossiles. Le texte continue d’ailleurs en vantant les avantages de ce déploiement massif comme moyen d’arriver à des émissions nettes négatives dans la seconde moitié du siècle :
« Le CDR conduisant à des émissions négatives nettes mondiales réduirait la concentration de CO2 atmosphérique et inverserait l’acidification de la surface des océans (degré de confiance élevé). »
Le résumé formule une réserve, mais elle est sibylline :
« Les technologies CDR peuvent avoir des effets potentiellement étendus sur les cycles biogéochimiques et le climat, ce qui peut soit affaiblir soit renforcer le potentiel de ces méthodes pour éliminer le CO2 et réduire le réchauffement, et peut également influencer la disponibilité et la qualité de l’eau, la production alimentaire et la biodiversité (degré de confiance élevé). »
En clair, il n’est pas certain que les TEN soient si efficaces que cela, certains « effets » pourraient « affaiblir (leur) potentiel pour éliminer le CO2 ». La dernière partie de cette phrase fait allusion aux impacts sociaux et écologiques : la bioénergie avec capture et séquestration du carbone (la plus mature des TEN à l’heure actuelle) ne pourrait réduire significativement la concentration atmosphérique en CO2 que si une superficie égale à plus d’un quart des terres en culture permanente aujourd’hui servait à produire de la biomasse énergétique – au détriment des réserves en eau, de la biodiversité, et/ou de l’alimentation de la population mondiale1.
Ainsi, d’un côté le GT1 du GIEC se base sur les lois physiques du système climatique pour nous dire que nous sommes au bord du gouffre, sur le point de basculer irréversiblement dans un cataclysme inimaginable ; de l’autre, il objective et banalise la fuite en avant politico-technologique par laquelle le capitalisme tente, une fois de plus, de reporter devant lui l’antagonisme irréconciliable entre sa logique d’accumulation illimitée du profit et la finitude de la planète. « Jamais un rapport du GIEC n’aura laissé sourdre à ce point l’angoisse suscitée par l’analyse scientifique des faits à l’aune des lois incontournables de la physique », écrivions-nous au début de cet article. Jamais non plus un tel rapport n’aura illustré aussi clairement qu’une analyse scientifique qui considère la nature comme un mécanisme et les lois du profit comme des lois physiques n’est pas vraiment scientifique mais scientiste, c’est-à-dire, partiellement au moins, idéologique.
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lire le rapport du GT1 du GIEC en ayant à l’esprit qu’il est à la fois la meilleure et la pire des choses ... diagnostic rigoureux ... La pire, parce qu’il sème à la fois la peur et l’impuissance ... Son idéologie scientiste noie l’esprit critique dans le flot des « données ». Elle détourne ainsi le regard des causes systémiques, avec deux conséquences : 1°) l’attention se focalise sur les « changements des comportements » et autres gestes individuels – pleins de bonne volonté mais pathétiquement insuffisants ; 2°) au lieu d’aider à combler le fossé entre conscience écologique et conscience sociale, le scientisme l’entretient.
Écologiser le social et socialiser l’écologie est la seule stratégie qui peut arrêter la catastrophe et faire renaître l’espérance d’une meilleure vie. Une vie du prendre soin des personnes et des écosystèmes, maintenant et dans une vision de long terme. Une vie sobre, joyeuse et chargée de sens. Une vie que les scénarios du GIEC ne modélisent jamais, où la production de valeurs d’usage pour la satisfaction des besoins réels, démocratiquement déterminés dans le respect de la nature, remplace la production de marchandises pour le profit d’une minorité.
Article écrit pour le site de la Gauche anticapitaliste (Belgique)
Photo: G. Blevins, Reuters
Connu / https://twitter.com/SRContretemps/status/1425104122932563975
Ndlr : tant que le GIEC et l'IPBES N'AURONT Pas fusionné dans une approche holistique et holomidale on aura des pb ? ACT
Plusieurs réacteurs nucléaires français touchés, EDF poursuit les analyses
Dans une discrète note d’information publiée le 13 juillet 2021, EDF annonce que des phénomènes de "corrosion atypique" ont été observés sur le combustible de 3 réacteurs nucléaire français, à Chooz, à Civaux et à Cattenom. L’industriel qui n’explique ni les enjeux ni les raisons de ces dégradations, poursuit ses investigations.
Corrosion atypique des gaines de quelques crayons de certains assemblages annonce l’industriel spécialiste de l’atome le 13 juillet 2021. Mais ne livre pas d’éléments précis quant à l’ampleur du phénomène, ses raisons ou ses conséquences, avérées ou potentielles.
Des "traces blanchâtres" et des "particules de couleur blanche" ont été observées sur des assemblages de combustible d’abord à Chooz (Grand Est), puis à Civaux (Nouvelle Aquitaine) et enfin à Cattenom (Grand Est) nous dit EDF. Ces dégradations seraient dues à une oxydation, plus importante qu’attendue, de la surface des crayons qui composent les assemblages de combustible. Et seraient présentes sur des lots de fabrication de crayons présentant des similitudes. Sur quels critères ces similitudes ? Ça non plus, EDF ne le dit pas mais poursuit ses investigations. Car si le phénomène est lié aux caractéristiques des gaines des combustibles et à leur fabrication, d’autres réacteurs nucléaires peuvent être concernés.
Quelles conséquences de ces dégradations des assemblages de combustible et de la gaine des crayons ? EDF précise dans son communiqué du 13 juillet avoir réalisé une étude d’impact du phénomène sur la sûreté des réacteurs. Mais ne dit pas un mot sur ses conclusions. Fin juin 2021, l’Autorité de sûreté nucléaire a informé le média Montel d’une concentration anormale de gaz à Chooz 2 et Cattenom 3, ce qui a permis de repérer les problèmes de corrosion des gaines combustible. Mais l’Autorité a refusé de dire quand cette forte concentration avait été détectée. On ne sait donc pas depuis quand dure le problème, mais on sait que ces altérations des gaines de combustible peuvent provoquer une augmentation de gaz rares radioactifs dans le circuit primaire.
Ce qui n’est pas sans rappeler le phénomène signalé à Taishan 1, sur le réacteur EPR chinois qui a rejeté en juin 2021 des gaz radioactifs rares en raison, là aussi, de dégradations des assemblages de combustibles. Les mêmes peut être ?
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les lots de fabrications des crayons semblent être le point commun à ces phénomènes de "corrosion atypique" qui ronge les crayons au point de provoquer leur rupture.
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Le faible facteur de charge du nucléaire français
Adresse URL : http://energieetenvironnement.com/2021/07/13/le-faible-facteur-de-charge-du-nucleaire-francais/
Publié : 13 juillet 2021 à 16 h 37 min / Philippe Gauthier
Le facteur de charge des réacteurs nucléaires français est sensiblement plus bas que celui de la plupart des autres pays ayant recours à la puissance de l’atome. Le tableau ci-dessous résume les données des pays dont le facteur de charge est public. Le cas français est difficile à expliquer. Les hypothèses les plus souvent avancées sont fragiles et de plus, le facteur de charge est en déclin rapide.
Nucléaire / Poitiers
Le groupe local s’est joint à une mobilisation nationale, qui avait pour but de dénoncer les risques liés à la prolongation de la durée de fonctionnement des centrales nucléaires au-delà…
Greenpeace France @greenpeacefr · 26 juin
[MOBILISATION] Tricastin, Cruas, Chinon, Gravelines, St-Laurent, Dampierre et le Blayais. Leur point commun ? Leurs réacteurs ont pour la plupart dépassés les 40 ans de fonctionnement. Désormais, les conséquences de leur vieillissement sont imprévisibles
Thread à dérouler Flèche vers le bas GIF via Poitiers
Citer le Tweet Greenpeace France @greenpeacefr · 23 juin Image
Le parc nucléaire Drapeau de la France a vieilli. D'ici 2025, ⅔ des réacteurs auront atteint l’âge de 40 ans, soit la durée de fonctionnement maximale pour laquelle ils ont été prévus et conçus. Voici 5 raisons de ne pas prolonger leur durée de vie Flèche vers la droite avec pointe vers le bas
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4 - 29 - 37
Signée par 42 255 pers.
Destinataire(s) : Madame Barbara Pompili (Ministre de la Transition écologique et solidaire) et Monsieur Bernard Doroszczuk (Président de l’Autorité de Sûreté Nucléaire)
Tricastin est une centrale nucléaire à haut risque. Ensemble, exigeons du gouvernement et de l'Autorité de sûrété nucléaire une date de fermeture du réacteur n°1 de la centrale de Tricastin.
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après cet avis générique, un avis spécifique sera rendu réacteur par réacteur. Pour le réacteur N°1 de Tricastin, il sera rendu avant fin 2022 après une nouvelle enquête publique.
Le réacteur n°1 de Tricastin présente de graves déficits en matière de sûreté au regard des exigences françaises et internationales appliquées à l’heure actuelle et les conséquences d'un accident seraient considérables, mettant en péril les riverains, l'environnement et l'économie locale.
Au vu des défauts de sa cuve, des incertitudes et des risques, le réacteur n°1 de Tricastin ne doit pas recevoir l’autorisation de fonctionner au-delà de la quatrième visite décennale.
Rousselet Yannick a retweeté
Yves Marignac @YvesMarignac 20 juin
“EPR”, le mot de la semaine ce matin sur @franceinter
Un grand plaisir d’échanger avec Patricia Martin pour évoquer les problèmes à #Taishan et leurs implications
Un incident au sein de la centrale de Taishan au sud de la Chine, dans un circuit du réacteur de l'EPR, a créé un émoi international. Entretien avec Yves Marignac, chef du pôle "Energies nucléaire et...
franceinter.fr
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Areva devra débourser 600 millions d’euros supplémentaires pour terminer l’EPR d’Olkiluoto, en Finlande, en chantier depuis 2005.
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Issue de l’ancien groupe Areva, dont les activités principales ont par ailleurs donné naissance à Orano et Framatome (filiale d’EDF), Areva SA est une structure publique dont le but essentiel est d’achever ce chantier finlandais.
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fin mars, le réacteur a été chargé en combustible nucléaire et la production d’électricité doit commencer en octobre lors du raccordement au réseau électrique finlandais.
La mise en service commerciale est elle prévue pour février 2022. Avec une puissance de 1 650 mégawatts, l’EPR doit fournir près de 15 % de l’électricité finlandaise.
Clés : Areva Économie Entreprises Nucléaire Environnement Actualité en continu
Trente-cinq ans après l’accident nucléaire en Ukraine, des experts ont détecté un regain de radioactivité au cœur de la centrale en ruines de Tchernobyl. Ils s’y attendaient. On décrypte ce phénomène.
Clés : Nucléaire Monde Europe Environnement Énergie Ukraine
La nouvelle arche de confinement terminée en 2019 a rendu l’ancien sarcophage plus étanche. Les infiltrations d’eau, qui posaient problème ailleurs dans la centrale, manqueraient au corium. Il s’assèche et monte en température. En fusion, il peut percer le béton et engendrer une explosion.
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Faut-il s’alarmer ?
La situation est "préoccupante, mais pas alarmante", selon la plupart des observateurs. "Le phénomène est lent", indique le chercheur ukrainien Maxim Saveliev.
Cela laisse du temps pour trouver des solutions techniques afin de réduire la menace, comme l’injection de bore, une substance chimique qui absorbe les neutrons. Encore faut-il réussir à atteindre cette salle, jusqu’ici inaccessible. Tchernobyl est "un problème stabilisé, pas un problème résolu", rappelle le professeur Neil Hyatt, un expert nucléaire de l’Université de Sheffield.
Connu / https://twitter.com/LMarchand2/status/1394578768375726081
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Laurent Marchand @LMarchand2 · 12h
@ChristelleOF #Nucléaire #Monde via @ouestfrance
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Durée de lecture : 10 minutes - Clés : Nucléaire ; Énergie
Les industriels du nucléaire espèrent sauver leur filière avec un nouveau concept, les SMR, des réacteurs de petite taille. En France, EDF vante la puissance de son modèle. Pourtant, plusieurs études pointent le gouffre financier et l’aberration écologique que constitue cette technologie.
... petit réacteur de 170 mégawatts électriques (MWe) à eau pressurisée
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« Ce réacteur sera petit et compact, explique un porte-parole d’EDF à Reporterre. Il sera équipé de générateurs de vapeur à plaques, inspirés de la technologie des sous-marins, qui prennent beaucoup moins de place. Pressuriseur et générateurs de vapeur seront imbriqués dans la cuve. » Le tout tiendra dans une enceinte de confinement plongée dans un cube d’eau de vingt-cinq mètres par vingt-cinq — la moitié d’une piscine olympique —, présenté comme un dispositif de sûreté passive. Autre particularité, les différentes parties du réacteur seront fabriquées en usine et transportées jusqu’au site en camion ou en bateau. « L’idée est de réduire les assemblages sur site, ce qui permet d’éviter les rework [1] », poursuit EDF.
Répandre le nucléaire
EDF et ses partenaires, le Commissariat à l’énergie atomique (CEA), Naval Group, industriel français de construction navale de défense, et la société TechnicAtome, prévoient de livrer un premier dossier d’options de sûreté à l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) d’ici 2022 et de finaliser le design et les spécificités techniques de ce nouveau réacteur d’ici 2026. Objectif, « être prêt pour la décennie 2030, au moment où le marché va décoller
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EDF veut y croire. « Le SMR français, avec ses 170 MWe, est plus puissant que les autres, ce qui le rend plus compétitif », explique-t-on dans le groupe. Même si le coût du kilowatt-heure installé devrait s’établir à quelque 4 000 euros, ce qui signifie que l’électricité produite sera plus chère que celle issue de l’EPR de Flamanville.
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ils ne pourront être compétitifs qu’à condition d’être produits en très grandes séries dans des usines, ce qui permettrait des économies dites « d’apprentissage » [2].
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La réalisation d’un marché mondial nécessitera en tout état de cause des niveaux plus élevés d’harmonisation réglementaire et de consolidation du marché », admet l’OCDE dans son dernier rapport https://www.oecd-nea.org/jcms/pl_57979/small-modular-reactors-challenges-and-opportunities ...
Un succès commercial tout sauf acquis
Dans son article « Petits réacteurs nucléaires modulaires et avancés : une confrontation avec la réalité » (en anglais) paru en mars 2021, M. V. Ramana, physicien au laboratoire de recherches sur l’énergie nucléaire de l’université Princeton, démonte cette possibilité.
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Le consultant en énergie Mycle Schneider, qui coordonne chaque année le World Nuclear Industry Status Report https://www.worldnuclearreport.org/-The-Annual-Reports-.html, s’est également penché sur le cas de ces petits réacteurs modulaires. Son panorama de la situation n’est guère plus engageant. « Quand on fait le bilan des SMR en regardant quelles sont les réalisations, les durées de construction et les coûts, il est catastrophique ... Il qualifie de « fumisterie » l’argument selon lequel les SMR seraient un outil de plus dans la lutte contre le changement climatique ... On nous parle d’urgence climatique et on essaie de nous vendre des technologies qui ne seraient pas commercialisées avant 2040 ! C’est une arnaque intellectuelle. Ceci, alors que le solaire photovoltaïque disponible aujourd’hui vient de battre le record de 0,9 centime d’euros le kWh en Arabie saoudite et 1,1 centime au Portugal, en Europe, soit environ le quart des coûts de fonctionnement des réacteurs nucléaires en service dans le monde. »
Notes
[1] C’est à dire devoir refaire certaines tâches, comme des soudures par exemple.
[2] Des économies réalisées grâce à une meilleure expérience, en partant du principe que plus un ouvrier est expérimenté dans une tache, plus il sera rapide et compétent pour l’accomplir de manière répétée.
Précisions
Source : Émilie Massemin pour Reporterre
Photos : .Chapo : Le schéma du petit réacteur modulaire Nuward. © Nuward Consortium/CEA .Piscine mutualisée © CEA .Akademik Lomonosov - CC BY-SA 4.0 Elena Dider/Wikimedia Commons
Connu / https://www.franceinter.fr/emissions/la-chronique-de-la-terre-au-carre/la-chronique-de-la-terre-au-carre-04-mai-2021 qui confirme le scepticisme. DÉNONCER cette "arnaque intellectuelle" ACT
Symposium international sur le démantèlement des centrales nucléaires
L'expérience suisse en matière de démantèlement de réacteurs commerciaux a commencé en 2020 avec la centrale nucléaire de Mühleberg. L’expérience en matière de gestion des déchets radioactifs est au stade exploratoire concernant le lieu de dépôt définitif. Afin de préparer au mieux cette importante étape, Noé21 (ONG genevoise reconnue d'utilité publique)
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le programme complet + inscription https://d52403b6-2253-4d67-b1bb-391f1f50a68d.filesusr.com/ugd/b1c958_896160b031004d72ae968ea14dd026b9.pdf
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extraits :
DÉMANTÈLEMENTS À L'INTERNATIONAL Joseph Boucau – Directeur global Démantèlement et gestion des déchets à Westinghouse Electric Company [à confirmer]
GESTION DES DÉCHETS Marcos Buser – Géologue, ancien membre de la Commission
fédérale de sécurité nucléaire ; Walter Wildi – Géologue, professeur honoraire à l’Université de Genève, ancien Président de la Commission pour la sécurité des installations nucléaires
GOUVERNANCE DU DÉMANTÈLEMENT Table ronde sur le défi de la gestion sur la longue
FINANCEMENT DU DÉMANTÈLEMENT Ben Wealer – Économiste, chercheur associé en économie du nucléaire au Berlin Institute of Technology
TABLE RONDE DE CLÔTURE La comparaison internationale, un outil d'amélioration ?
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Connu / https://wegreen.fr/post/191652
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Thibault Faraüs a partagé un post dans le groupe Nucléaire & Renouvelables
Il y a 4 heures - Public
L'ONG écolo et antinucléaire suisse Noé21 ... La Suisse a voté l'interdiction de construction de nouveaux réacteurs nucléaires en 2017, il s'agit maintenant de penser concrètement la sortie du nucléaire ! ... sera également diffusé sur YouTube, avec traduction simultanée allemand-français
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Ndlr : Inscrit et suivie en partie, vidéos diffusées ? ACTR
Greenpeace Poitiers @86Greenpeace
Commémoration de l'accident #Nucléaire de #Tchernobyl
C'est aussi à POITIERS !
Lundi 26 avril 16h30 devant la préfecture.
Lecture « La Supplication » de #SvetlanaAlexievitch
« l ‘Appel Mondial du 26 Avril 2021 aux femmes du monde entier ! »
#marche
http://www.sortirdunucleaire75.org/actions/2021/2021_actions.html
Image noir et blanc avec filtre jaune de la centrale de Tchernobyl. Légende : TCHERNOBYL POLLUTIONS RADIOACTIVES DEPUIS 35 ANS
ALT 2:36 AM · 26 avr. 2021·Twitter Web App
2 min
Plus de détails grâce à @web86info
Marche commémorative de l’accident nucléaire de Tchernobyl
https://web86.info/events/event/marche-commemorative-de-laccident-nucleaire-de-tchernobyl/
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... À noter : Les Amis de la Terre déposeront une gerbe de fleurs "
80 min Disponible du 14/04/2021 au 19/07/2021 - Prochaine diffusion le mercredi 21 avril à 23:20
Et si une catastrophe nucléaire en France rayait le Luxembourg de la carte ? Un docu-fiction redoutablement efficace pour rappeler la menace de l’atome.
Depuis plusieurs années, le Luxembourg réclame à la France l’arrêt de la centrale lorraine de Cattenom, que 35 kilomètres séparent de sa capitale et dont il estime le système de sécurité défaillant. Mais Paris et EDF restent pour l’instant sourds à cette demande, la centrale, mise en service en 1986 pour une durée alors fixée à trente ans, produisant une part importante de l’énergie française. Ce différend a inspiré au réalisateur Julien Becker la matière de ce docu-fiction en forme de thriller d’anticipation. Qu’adviendrait-il si un accident à Cattenom déclenchait un jour une catastrophe de l’ampleur de celles de Tchernobyl ou de Fukushima ? Elle pourrait rayer de la carte du jour au lendemain le Luxembourg tout entier, avec ses 2 600 kilomètres carrés et ses quelque 600 000 habitants, ainsi que la langue, la culture et l'économie de ce pays crucial pour l’Europe. Contrainte d’évacuer, la population devrait alors abandonner le Grand-Duché au PIB impressionnant, siège de la Cour de justice de l’Union européenne. C'est l’hypothèse de ce scénario fictif, mais très documenté, qui, au-delà de la tragédie environnementale et de ses conséquences sanitaires, décrypte en détail, grâce à de nombreux témoignages d’experts, les répercussions économiques, politiques et culturelles d’un tel désastre.
Suite à des reproches de censure émis à l'encontre de ce film, vous trouverez en fin de page les liens vers les mises au point de la Chaîne ARTE, du pôle producteur Norddeutscher Rundfunk et du producteur et co-réalisateur Julien Becker.
Réalisation : Julien Becker Myriam T. - Pays : Luxembourg France - Année : 2021
En savoir plus
- Mise au point de la Chaîne ARTE https://www.arte.tv/fr/articles/mise-au-point-de-la-chaine-arte
- Mise au point du Norddeutscher Rundfunk https://www.arte.tv/fr/articles/mise-au-point-du-norddeutscher-rundfunk
- Mise au point de Julien Becker, producteur Skill Lab et co-réalisateur https://www.arte.tv/fr/articles/mise-au-point-de-julien-becker-producteur-skill-lab-et-co-realisateur
La tranche nucléaire russe Kola 1 pourra fonctionner jusqu’en 2033.
L’autorité de sûreté nucléaire russe Rostechnadsor a prolongé le permis d’exploitation de la tranche nucléaire Kola 1 de 15 ans, soit jusqu’au 6 juillet 2033. La tranche du type VVER-440/V230 avait été mise en service commercial en décembre 1973 et avait fêté tout récemment ses 45 ans de fonctionnement. La prolongation d’exploitation qui vient d’être accordée lui permettra de rester connectée au réseau 60 ans.
Quatre tranches nucléaires du type VVER-440 MW sont en exploitation sur le site de Kola, à environ 200 km au sud de Mourmansk ... fournissent ~60% de l’électricité de la région ... deuxième tranche nucléaire la plus vieille de Russie, juste après Novovoronej 4 (VVER-440/V179), mise en service commercial neuf mois plus tôt: le 24 mars 1973.
Source: Rosenergoatom
M.B./C.B. d’après un communiqué de presse de Rosatom du 9 juillet 2018
Articles sur le même thème:
10.01.2020 - Quatre nouvelles prolongations d’exploitation en Russie https://www.nuklearforum.ch/fr/actualites/e-bulletin/quatre-nouvelles-prolongations-dexploitation-en-russie
29.10.2014 - Russie: prolongation de la durée d’exploitation de Kola 4 https://www.nuklearforum.ch/fr/actualites/e-bulletin/russie-prolongation-de-la-duree-dexploitation-de-kola-4
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?bA3YFw
Connu / https://wegreen.fr/post/190607
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Francois Catzeflis a partagé un post dans le groupe Nucléaire & Renouvelables - Il y a 4 heures Public
saviez-vous que .... en 2019 les 4 réacteurs de la Centrale de Kola (proche de Murmansk) ont vu leur durée de fonctionnement prolongée à 60 ans .... we just cross fingers !
2 likes
Jean-Luc • Il y a 1 heure
Quelles sont vos sources ?
Sont-elles référencées dans la fiche wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Centrale_nucl%C3%A9aire_de_Kola ?
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Benoit Duhourcq • Il y a 1 heure
Ca date de 2018, mais cette nouvelle (qui n'en ait pas vraiment une :P) indique une prolongation jusqu'en 2033 :
https://www.nuklearforum.ch/fr/actualites/e-bulletin/russie-une-nouvelle-prolongation-dexploitation-pour-kola-1 i à https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?bNeZEw
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Francois Catzeflis • Il y a 4 minutes
merci, Benoit - sachant que mes sources (réponse à Jean-Luc) sont: http://thebarentsobserver.com/industry/2016/03/rosatom-announces-700-mi…; et aussi: https://world-nuclear-news.org/Articles/Last-of-four-Kola-units-gets-extended-operation-li; bonnes lectures !
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Ndlr : située au nord-ouest de la Russie