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Chez les hétéros, la sodomie reste une pratique bourrée de préjugés, associée à la souffrance et à la domination. Nul besoin pourtant de prostate ou de tendances SM pour l’apprécier.
«Ne peut être coutumière de la pratique anale qu’une femme qui s’assume.» | Andrei Lazarev via Unsplash License by
Clés :
Égalités Société sodomie sexe anal plaisir sexuel domination masculine sexualité féminine
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http://www.slate.fr/story/28999/pourquoi-les-femmes-qui-pratiquent-la-sodomie-ont-plus-dorgasmes
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Life sexe sodomie sexualité sexe oral orgasme
@ouafiak
Les propos du pape François sur les "soins" psychiatriques nécessaires aux homosexuels** n'ont pas manqué de susciter des réactions. Cette attitude qui consiste à faire de l’homosexualité une maladie mentale n'est malheureusement pas nouvelle dans notre Histoire.
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En France, l'homosexualité a été dépénalisée en 1982 mais de nombreuses familles ont continué à considérer qu'il s’agissait d'une maladie. © AFP / FRANCOIS GUILLOT
Il a fallu que la médecine se mêle de nos vies sexuelles pour que toute activité liée au sexe en dehors du mariage (et de la procréation) soit condamnée et classée comme une pathologie. La masturbation, la sodomie et, donc, l'homosexualité n'ont pas échappé à cette règle. Au milieu du XIXème siècle, la religion fait moins recette mais la science, ou plutôt les sciences, prennent une place prépondérante.
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Un "syndrome pédérastique" jusqu'en 1970
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Mots-clés :
Société homophobie François Mitterrand Pape François
Ajoutée le 22 juin 2018
Alors que le Collège national des gynécologues et obstétriciens français vient de tirer la sonnette d'alarme sur l'exposition des enfants à la pornographie, Muriel Prudhomme, gynécologue et directrice scientifique de "Questions d'ados" aux éditions du Diable-vauvert, est l'invitée de la Midinale.
Comment protéger nos enfants de la pornographie ?
Alors que des études récentes démontrent une addiction de plus en plus forte des jeunes au porno, le docteur Ghada Hatem, auteur d'une tribune sur le sujet dans le journal Le Monde, explique : "Les parents sous-estiment tout ça, personne n'imagine que des enfants de 9 ans, dans la cour de récré [peuvent y avoir accès]."
À lire
Société
Drogue, alcool, porno : les jeunes "accros" à beaucoup trop de choses
Quand les copains vous sollicitent, il faut avoir l'air d'un petit dur, il faut accepter, même quand on en a aucune envie. Et on se retrouve confronté malgré soi à des images très violentes.
"C'est très addictogène, poursuit-elle. On est à la fois gêné mais on ne peut s'empêcher d'y revenir."
Sur l'interdiction du portable, est-ce une mesure qui peut changer les choses ? "Sorti de l'école, le soir a la maison, ça ne changera rien, c'est pour ça qu'on a besoin de l'État."
"L'accès sans retenue au porno montre une sexualité qui n'a rien à voir avec la réalité."
Notre devoir est d'aller vers les enfants.
Le seul recours, pour le docteur Ghada Hatem, est alors d'essayer d'en parler à son enfant. La spécialiste explique qu'elle a très peu de retour sur des enfants qui seraient allés trouver leurs parents après avoir vu du porno en leur disant, "J'ai vu quelque chose, je me sens mal, est-ce qu'on peut en parler?"