Pourlascience @PourlaScience · 20h
Dans une étude au ton satirique mais néanmoins sérieuse, trois chercheurs mettent en évidence le peu d’intérêt à continuer à chercher de nouveaux dopants pour améliorer les propriétés électrochimiques du graphène.
Dans une étude au ton satirique mais néanmoins sérieuse, trois chercheurs mettent en évidence le peu d’intérêt à continuer à chercher de nouveaux dopants pour améliorer les propriétés électrochimiq...
pourlascience.fr
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... Suivez ici la consommation française d’électricité en continu, visualisez les différentes prévisions effectuées la veille et le jour même. Vous avez la possibilité d'afficher les données sur une ou plusieurs journées (jusqu'à 8 semaines).
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Connu / https://pad.lafranceinsoumise.fr/p/95esvu4uw9qwi83tzagu2r
Dossier composé de cinq articles, chacun concernant une grande zone du monde et accompagné de « Fiches pays » détaillées :
- Électricité nucléaire en Europe : des politiques identiques à l’Est et à l’Ouest ? (V1 publiée en février 2020)
- Et à venir :
. Électricité nucléaire en Afrique et en Océanie : quelles sont les politiques des pays ?
. Électricité nucléaire dans les pays de l’ex-URSS et de l’Est de l’Asie : quelles sont les politiques de la Chine, de la Russie, du Japon, et de la Corée du sud ?
. Électricité nucléaire aux Amériques : quelles sont les politiques des pays ?
. Électricité nucléaire : quelles sont les politiques au Moyen-Orient, dans le sous-continent indien et au Sud-Est de l’Asie ?
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Une source d’énergie controversée, et aux perspectives différenciées selon les pays
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*Les Français, mal informés sur l’impact climatique réduit du nucléaire… mais soucieux du risque climatique
Pourtant en France et dans une approche d’analyse de cycle de vie, un kWh d’électricité nucléaire génère 6 g de CO2équivalent (« CO2eq »), contre 12,7 g pour l’éolien terrestre, 56 g pour le photovoltaïque, contre 406 g pour le gaz, 1038 g pour le charbon selon l’ADEME[5]. Pire, les 18-24 ans sont moins bien informés que le reste de la population.
Enfin, 46 % des Français se disent opposés au nucléaire et 42% s’y disent favorables. Paradoxalement, ce sont les Français les plus soucieux de lutter contre le réchauffement climatique qui sont aussi les plus opposés au nucléaire ; et les Français les plus favorables nucléaire qui sont les moins soucieux de lutter contre le réchauffement climatique[6].
C’est à l’information des Français que cette Cartographie politique du de l’électricité nucléaire dans le monde souhaite contribuer, à travers une série d’articles sur les politiques électronucléaires du reste du monde.
A propos du groupe de travail
Le think tank The Shift Project est soutenu par une association de bénévoles : The Shifters. Ce réseau de bénévoles partage un intérêt commun pour la transition bas-carbone de l’économie. Cette cartographie politique du nucléaire dans le monde est conduite par un groupe de plusieurs Shifters. Tous les contributeurs ont participé au projet bénévolement et sur leur temps libre, à partir de données publiques. L’étude produite pour Les Shifters n’engage en rien leurs employeurs respectifs.
- Sylvaine Dhion a piloté le groupe de travail. Elle est ingénieure diplômée de l’École nationale supérieure d’électricité et de mécanique (Nancy). Elle a travaillé toute sa carrière dans le secteur de l’énergie, nucléaire et solaire (CEA, Areva) avec une approche souvent internationale et est aujourd’hui cheffe du service ingénierie export de la base installée Framatome.
- Vincent Dubu est diplômé en finance de l’École supérieure de gestion et en économie de l’Université de Versailles Saint-Quentin en Yvelines. Il travaille dans le conseil (Capco, Asset Talan, SunGard) et se spécialise dans les questions financières et numériques.
- Julian Mathevet est ingénieur diplômé de l’ECE Paris. Consultant dans une ESN (Devoteam), il a également travaillé dans une entreprise d’insertion sociale (Acces, Inclusive Tech) afin d’accompagner des personnes éloignées de l’emploi (migrant, jeune déscolarisé …) à s’insérer via les métiers de l’informatique.
- Nan Nan est diplômée de l’Ecole normale supérieure de la rue d’Ulm et de l’Université Paris-Dauphine. Elle était sociologue avant de se reconvertir en consultant de la RSE (responsabilité sociale des entreprises). Elle écrit pour les journaux chinois The Paper (thepaper.cn) et The Initium (theinitium.com) sur des sujets sociaux comme ceux du développement durable.
- Romain Tricon-Duez est un ingénieur diplômé de l’ECAM et d’un master 2 en Entrepreneuriat de l’IAE. Il travaille aujourd’hui en tant que consultant chez In Extenso Innovation Croissance où il aide des entreprises à financer leurs innovations technologiques et trouver les bons marchés pour ces innovations.
- Damien Ambroise est ingénieur diplômé de l’École Centrale de Lyon et de l’Université de Tsinghua (Chine). Il travaille dans le conseil (Wavestone) et est spécialiste des réseaux, du transport et de l’énergie.
- Alan Burlot est docteur en mécanique des fluides de l’École Centrale de Lyon et ingénieur diplômé de Grenoble INP. Il est chercheur dans le domaine de l’énergie (CEA).
- Alexandre Tomski-Crapart est ingénieur diplômé de l’École Centrale de Paris. Il a travaillé dans le conseil en management (BearingPoint) puis sur un grand projet dans le nucléaire (Framatome), dans les domaines de la qualité et de l’excellence opérationnelle.
- Pascal Esposito ingénieur diplômé de l’École Centrale de Paris. Il a travaillé pour de nombreux projets de Recherche et Développement, pour des études de sûreté nucléaire et des projets de grands chantiers de construction, au sein d’EDF.
Contact (commentaires et relecture bienvenus) : carto-pol-nucleaire-shifters@theshiftproject.org
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*Ndlr : gazou
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Andre Joffre a retweeté BFM Business @bfmbusiness · 20 nov. 2019
Transition écologique: "Quand on aura 15 millions de véhicules électriques dans les années 2030. Cela représentera une solution de stockage d’électricité 10x supérieure aux capacités de nos barrages" - François Brottes, Président du directoire de @rte_france, 🎙 @chrisjaku 1:25 - 26,6 k vues - 3 Mo
réseau_de_transport_de_l'électricité-RTE
Connu / https://twitter.com/AndreJoffre2/status/1209382170273492992
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Andre Joffre @AndreJoffre2 · 24 déc. : - Véhicules électriques - Numérisation - Stockage de batterie à l’échelle du réseau - Microgrids - Accord d’Achat d’Electricité ou Power Purchase Agreement d’entreprises
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Idées Sports transports cyclisme innovation
Interview avec Yves Le Camus, Secrétaire général du Groupe Muller
Récemment, les pouvoirs publics ont mis en place une prime pour encourager les Français à remplacer les convecteurs obsolètes, dits grille-pain, par des radiateurs performants au pilotage intelligent. Que pensez-vous de cette initiative ? Participe-t-elle à répondre à l’impératif de réduction des émissions de CO2 et des consommations ?
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En France, le gradient thermique a augmenté au fil des années et RTE considère qu’il s’élève aujourd’hui à 2 400 MW/°C. Ce chiffre est stabilisé mais il est élevé au regard des chiffres constatés dans les pays voisins et la responsabilité de ce gradient est fréquemment imputée au chauffage électrique dont sont équipées 8,5 millions de résidences principales (1).
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Dans de précédents articles (catégorie ENERGIE/GPII), nous vous avons présenté un projet (GPII) avec les arguments pour le réfuter. (relire ENERGIE – THT – conférence de presse du CADE https://www.cade-environnement.org/2017/10/22/tht-conference-de-presse-du-cade-le-25-octobre-2017/ )
Depuis, il est apparu que le Gouf de Capbreton présentait un empêchement majeur à la réalisation du projet. (voir articles précédents: Franchissement du canyon de Cap Breton : RTE s’interroge http://Franchissement du canyon de Cap Breton : RTE s’interroge et Projet d’interconnexion électrique dans le Golfe de Gascogne Note d’information https://www.cade-environnement.org/2019/10/21/projet-dinterconnexion-electrique-dans-le-golfe-de-gascogne--note-dinformation/ ).
Or d’importants financements ont été prévus par la Commission européenne: le CADE et ses amis associatifs outre frontière avec l’Espagne se mobilisent donc à nouveau par l’envoi d’une lettre. Tous les détails explicatifs: lettre financement Inelfel https://www.cade-environnement.org/wp-content/uploads/2019/11/lettre-financement-Inelfel.doc
1) Il serait le 19° ouvrage électrique sur la commune : en plus de 13 lignes
Haute Tension, de la ligne Très Haute Tension, du transformateur régional, de la centrale hydroélectrique, des deux barrages.
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17) La majorité des sud aveyronnais et de nombreux français ne veulent pas voir en sud aveyron, nord de l’hérault et est du tarn, se renouveler le saccage de l’environnement naturel créé par les 74 éoliennes plantées en Levézou et
les souffrances durables qu’elles ont engendrées.
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amassada@riseup.net
Nous écrire par voie postale:
L'Amassada, parcelle 1591, La Plaine, 12400 Saint-Victor
Pour les urgences, prévenir les occupants au numéro:
06 56 83 56 27
Téléchargement à https://tecsol.blogs.com/files/2019_sia-partners_enerplan_autoconsommation-collective_vf.pdf
autoconsommation_collective-ACC
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Comment expliquer l'énième augmentation de 6,9% de l'électricité en juin dernier ? Est-ce du au simple coût d'entretien de nos installations électriques ou y a-t-il derrière cette hausse des tarifs un autre pillage français ?
Catégorie Actualités et politique 588 commentaires
Tags Changement climatique, Economie d'énergie, Electricité, Energies fossiles, Gaz à effet de serre, Mines, Renouvelables, Urbanisation
L’Asie, dont les besoins croissants en énergie riment encore avec projets de construction de centrales thermiques, aura un rôle déterminant dans la réussite ou l’échec de la bataille contre le réchauffement climatique, a souligné vendredi une haute responsable de l’ONU.
« C’est vraiment dans cette région que nous allons réussir ou échouer dans la transition énergétique nécessaire pour atteindre nos objectifs climatiques », a déclaré Rachel Kyte, représentante spéciale du Secrétaire général des Nations unies, au cours d’une audio-conférence organisée en prévision du sommet sur le climat à New York en septembre.
Parmi ces objectifs : zéro émission nette de gaz à effet de serre d’ici 2050 dans le monde.
« L’Asie du Sud-Est est une des zones économiques du monde à plus forte croissance, c’est là que la population et l’urbanisation font que la demande en électricité devrait tripler entre 2015 et 2040. Pour répondre à cette demande elle se tourne vers les énergies fossiles », a poursuivi Mme Kyte.
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Connu / https://twitter.com/JMJancovici/status/1158286899825586177
A l’heure où se multiplient les scénarios affirmant la faisabilité d’une transition vers une électricité 100% renouvelable, et apportant de plus en plus de solutions face à l'intermittence de cette énergie, les jours du charbon semblent comptés. Mais le nucléaire n'a pas dit son dernier mot...
débat. Après avoir examiné les promesses et les limites de la voiture électrique, nous nous penchons sur l’avenir du mix électrique français. Depuis quelques années, les scénarios se multiplient pour montrer que le passage à une électricité 100% renouvelable est possible sur le plan technique et économique. Plusieurs pays européens, dont l'Espagne, ont déjà annoncé leur intention de se tourner vers une électricité produite exclusivement par le vent, le soleil et l’eau. Un débat particulièrement vif en France où le nucléaire, énergie décarbonée, continue de fournir plus de 70% de notre électricité…
Extraits sonores
• Emmanuel Macron au micro de Laurent Delahousse le 17 décembre 2017 sur France 2
• Jean-Marc Jancovici, consultant en énergie, au micro de Bertille Bayart pour Le Figaro le 5 octobre 2018
• Jean-Louis Butré au micro de Jean-Jacques Bourdin sur RMC, le 21 juin 2018
Musiques
• Weaves, Gasoline
• Editors, The Weight Of The World
• Quantic, Time is the Enemy
Pour aller plus loin
• Le Scénario négaWatt 2017-2050 https://negawatt.org/IMG/pdf/synthese_scenario-negawatt_2017-2050.pdf
• L'étude de l'ADEME, "Trajectoires d’évolution du mix électrique 2020-2060" https://www.ademe.fr/sites/default/files/assets/documents/evolution-mix-electrique-horizon-2020-2060-010655.pdf
• Le site d'Henri Prévot https://www.hprevot.fr/
Intervenants
Yves Marignac
Porte-parole de l’association négaWatt et directeur de Wise-Paris
Henri Prévot
ingénieur général des Mines, spécialistes des questions de sécurité économique et de politique de l'énergie
David Marchal
Directeur exécutif adjoint de l'expertise et des programmes à l’Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (ADEME)
Tags : transition énergétique nucléaire Énergies renouvelables Économie
centrale solaire qui compte près de 100 000 miroirs sur une superficie de 36 hectares, du gigantisme pour produire électricité et vapeur. Reportage vidéo en Haute-Cerdagne dans l'est du massif des Pyrénées.
Reportage vidéo | Energie | 11 juin 2019 | Baptiste Clarke
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Neuf ballons de 120 mètres cube chacun permettent de stocker le surplus de vapeur qui peut être utilisé lorsque l'ensoleillement baisse. Ce qui permet de produire 4 heures à pleine puissance, lors de passages nuageux ou tout simplement en hiver, les journées étant plus courtes.
A l'inverse des panneaux solaires photovoltaïques, le solaire à concentration ne produit pas d'énergie sans les rayons du soleil, la luminosité ne suffit pas. ... cette installation d'une puissance de 9 MW sera peut-être une solution pour décarboner des process industriels qui ont besoin de vapeur, comme l'explique Sylvain Legrand, directeur général de Suncnim (voir le reportage vidéo https://www.youtube.com/watch?v=sk0SVHRdkto).
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L'avion 100% électrique n'est pas pour demain, à moins d'une percée technologique. Pour autant, l'avenir pourrait bien être aux avions "plus" propres.
Catégorie Science et technologie 59 commentaires
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Il s’agit de la plus forte hausse depuis 20 ans. Les tarifs réglementés de l’électricité vont augmenter de 5,9% en moyenne ce samedi 1er juin. Ils correspondent au "tarif bleu" appliqué par EDF à quelques 25 millions de foyers. Or, de nombreuses offres concurrentes (d’Engie, de Total Direct Energie ou d’Eni, par exemple) sont indexées sur ces tarifs et seront donc, elles aussi, mécaniquement amenées à augmenter. Concrètement, cela va se traduire par environ 85 euros de plus sur la facture pour un ménage possédant un chauffage électrique. Proposée dès février par la Commission de régulation de l’énergie (CRE), la nouvelle offre tarifaire avait été gelée cet hiver par le gouvernement, englué en pleine contestation des Gilets Jaunes.
Les tarifs de l’électricité sont établis selon un mode de calcul complexe, voté par le Parlement, qui prend en compte l’évolution du marché de gros. Son objectif ? Favoriser la concurrence et défendre la position d’EDF. "En 2018, les prix de gros de l’électricité ont notablement augmenté en France, comme dans toute l’Europe, du fait de l’augmentation des prix des combustibles et du carbone, a fait valoir le gouvernement. La hausse proposée par la CRE est du même ordre de grandeur que les hausses répercutées dans les autres pays".
Mais cette augmentation des tarifs réglementés est qualifiée "d’injuste" et de trop brusque par des associations de consommateurs. "La moitié de la hausse n’a rien à voir avec l’augmentation des coûts d’EDF. C’est simplement que les opérateurs alternatifs n’ont pas accès à autant qu’ils le voudraient au nucléaire et augmentent leurs coûts. Et donc en compensation, pour que la concurrence puisse continuer à survivre, on augmente de 6% au lieu de 3% le tarif de l’électricité d’EDF. C’est tout à fait injuste et anormal", a déploré sur Franceinfo François Carlier, délégué général de l’association CLCV. Pour contrer cette hausse des tarifs réglementés, l’association UFC-Que Choisir a lancé pour sa part, le 28 mai dernier, une opération de commande de gaz et d’électricité groupée. Ces offres d’achats groupés consistent à réunir un maximum de clients pour obtenir des prix réduits. "En moyenne, au vu des expériences passées, c’était 200 euros d’économies par souscripteur", a affirmé Cédric Muso de l’UFC-Que Choisir, au micro d’Europe 1.
Par ailleurs, cette première hausse des tarifs devrait être suivie d’une seconde, autour de 1%, début août, liée aux coûts de transport de l’électricité. Mais le gouvernement, par la voie du ministre de la Transition écologique et solidaire François de Rugy, avait indiqué le mois dernier vouloir revoir la méthode de calcul des tarifs réglementés.
L’une des solutions pour faire baisser le prix de la facture d’électricité pourrait être d’accélérer la transition écologique. Car selon un rapport de l’IRENA (Agence internationale de l’énergie renouvelable), publié jeudi, produire des énergies renouvelables, telles que l’éolien, la bioénergie, l’hydroélectricité ou le solaire, coûte de moins en moins cher. Ainsi, ces énergies vertes deviennent plus compétitives face aux énergies "traditionnelles". Pourtant, avec seulement 16,3% de sa consommation finale d’énergie provenant de sources vertes, la France figure parmi les cancres au niveau européen.
Par rapport à leurs voisins européens, les Français paient-ils plus ou moins cher leur électricité ? Le gouvernement peut-il stopper les hausses des tarifs ? Quels recours pour les consommateurs ?
Invités :
- Elie Cohen, Économiste spécialiste de l’Industrie
- Nabil Wakim, Journaliste au Monde, spécialiste de l’énergie
- Béatrice Mathieu, Chef du service économie de L’Express
- Jacques Percebois, Économiste spécialiste de l’énergie
Actualités Décryptage Energies Fossiles Energies renouvelables Politiques énergétiques
Lors de la signature de l’Accord de Paris sur le climat, en 2015, la communauté internationale s’est engagée à définir un cadre d’action concret permettant de contenir le réchauffement des températures terrestres en dessous de 1,5 ou 2°C d’ici la fin du siècle
Pour y parvenir, les États ont notamment souligné la nécessité de diminuer de 40 à 70% les émissions mondiales de dioxyde de carbone d’ici l’horizon 2050.
En France, la stratégie énergie-climat dans le bâtiment, premier consommateur d’énergie et deuxième émetteur de CO2, est ambitieuse. Problème, et surtout gros paradoxe : les énergies décarbonées sont pénalisées au détriment des énergies fossiles… Explications.
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Le paradoxe énergétique français
1 kWh d’électricité correspond donc à 2,58 kWhep. Selon les conventions établies par la RT2012, une consommation maximale de 50kWhep/m²/an équivaut donc à une consommation maximale d’électricité de 19 kWh/m²/an d’électricité. Toujours selon les mêmes conventions, les énergies fossiles ne subissent aucune majoration. En d’autres termes, la RT2012 autorise un logement fossile à consommer 50kWhep/m²/an d’énergies fossiles pour couvrir ses besoins thermiques (chauffage, eau chaude)… soit 2,58 fois plus qu’un logement électrique.
Ce mode de calcul peut paraitre particulièrement paradoxal dans un pays comme le nôtre. La RT2012 pénalise en effet l’électricité renouvelable, hydraulique et nucléaire malgré ses avantages indéniables (pas ou peu polluantes, produites sur le territoire national ce qui renforce notre indépendance énergétique et qui affichent un coût compétitif).
Pire, la RT2012 favorise le recours aux énergies fossiles qui, en plus d’être néfastes dans la lutte contre le réchauffement climatique, ne permet pas aux citoyens d’optimiser le coût de leur facture énergétique (énergie importée, prix de marché variable, taxe carbone…). Un comble lorsqu’on sait que le gouvernement encourage la fin des chaudières au fioul dans l’habitat d’ici 10 ans.
“Quand on veut sortir des énergies fossiles, il est paradoxal de demander plus d’efforts à l’électricité décarbonée produite sur le territoire national qu’aux énergies fossiles importées”, déplore Brice Lalonde, ancien ministre et président de l’association Equilibre des énergies.
“C’est pourquoi, dans une logique aussi bien climatique qu’économique, j’appelle à revoir le coefficient de conversion de l’électricité en énergie primaire à la baisse (…). Grâce à cette mesure, un ensemble de solutions propres et économes, allant de la pompe à chaleur aux radiateurs connectés et intelligents, seront davantage accessibles aux Français, leur permettant ainsi de se désintoxiquer des énergies fossiles, tout en participant à la réussite des objectifs climatiques”.
Clés : efficacité énergétique ; électricité ; énergie ; énergie finale ; énergie primaire ; énergies décarbonées ; énergies fossiles ; kWhep ; mix électrique RT2012
Connu/ https://twitter.com/JMJancovici/status/1119139031374131201
TRANSITION. L'essor des énergies renouvelables intermittentes ne mettra pas à mal le réseau énergétique français, suffisamment souple et pilotable, estime l'Opecst. La question du développement de nouvelles capacités de stockage inter-saisonnières ne se posera que dans une quinzaine d'années affirme l'Office. Décryptage.
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Pierre Speer
Publié : il y a 17 heures
bah ca c'est un rapport stupide uniquement dans l'intérêt de l'état ( EDF) !
En effet, si les particuliers et les entreprises stockent l'électricité, la consommation sera bien moindre, car nous ferons tous appel à de la production en autonomie complète.......
Connu / https://twitter.com/AnneBringault/status/1100350440905023488
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Anne Bringault @AnneBringault
"il est excessif de présenter [le stockage] comme une condition nécessaire de l'essor des #EnR variables, car il n'est qu'un levier de flexibilité parmi d'autres".
@rte_france le disait déjà. Maintenant c'est l'@AN_OPECST .
12:02 - 26 févr. 2019
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4 réponses 16 Retweets 20 j'aime
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avec
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Atimo @Zokusuji 14 hil y a 14 heures
Vous avez conscience qu'ils disent cela en le justifiant justement par la présence du parc nucleaire existant ?
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Surpêche, pollutions des eaux, prédateurs invasifs et barrages hydroélectriques mettent en péril la survie des saumons sauvages. Un conservatoire, en Haute-Loire, tente d’enrayer la disparition de ce poisson au métabolisme étonnant.
Chanteuges (Haute-Loire), reportage
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COGEPOMI, PLAGEPOMI… KÉZAKO ?
Le Conservatoire national du saumon sauvage de Chanteuges est une société coopérative d’intérêt collectif, à laquelle participent notamment des élus locaux, des pêcheurs et des associations. Il est un prestataire du Comité de gestion des poissons migrateurs (Cogepomi) de la Loire. Il s’agit d’une instance de concertation qui traite spécifiquement de la problématique de gestion des poissons migrateurs vivant alternativement en eau douce et en eau de mer (anguille, saumon, alose, lamproie et truite de mer). Ce comité valide le plan de gestion des poissons migrateurs (Plagepomi), qui fixe des objectifs et des règles pour la gestion des migrateurs.