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May 7, 2024

Nausicaa, le Centre national de la Mer - Mardi 7 mai 2024 / Chroniques littorales
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Centre de culture scientifique qui sensibilise au lien qui unit l'homme à l'océan. Tous les amoureux de la mer et de l'océan, les mammifères marins, les poissons, aiment Nausicaa...
A Boulogne sur Mer, ... c'est aussi le « Blue Living Lab », présenté par Christophe Sirugue, le directeur général de Nausicaa : « Le « Blue living Lab » est une plateforme de soutien aux initiatives dans le monde maritime, de quelque nature que ce soit. Et donc, c'est un lieu où nous accueillons des porteurs de projets qui, à partir du monde maritime, ont la volonté de développer une activité économique, alors qu'elle soit liée à l'alimentation, qu'elle soit liée à la découverte des fonds marins
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-> https://www.nausicaa.fr

Un rapport explosif : "On a mis des salariés au chômage pour rendre des pdg très très riches !" - 6 mai 2024 - 20H30 - L'instant Porcher / Par Lisa Lap | Le Média
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En 2022, les PDG du CAC40 ont gagné en moyenne 130 fois plus que leur salariés. C’est ce qu’on apprend dans le dernier rapport de l’ONG OXFAM : « Cash 40 : trop de millions pour quelques hommes ». Et c’est en progression depuis 2019, cette année les patrons avaient gagné 111 fois plus. Depuis, crise covid, guerre en Ukraine, des épisodes bénéfiques pour les dividendes des actionnaires. OXFAM rapporte qu’en 2022, les entreprises du CAC 40 ont versé en moyenne 76 % de leurs bénéfices à leurs actionnaires. Une période bénéfique aussi, donc, pour les PDG. L’ONG explique que, « malgré une meilleure prise en compte des critères non-financiers, la rémunération totale des patrons du CAC 40 en 2022 était indexée à 19 % sur la satisfaction des actionnaires, contre seuls 5,8 % sur les objectifs climatiques ». Les entreprises du CAC40 qui s’enrichissent donc, pendant que l’écart avec les salariés se creusent. Thomas Porcher explique que les patrons des grandes entreprises ne prennent aucun risque, au contraire, et gagnent des milliers d’euros à délocaliser ou fermer des entreprises en France. L’économiste explique cette dynamique par la logique de financiarisation des entreprises, où l’intérêt des actionnaires passera avant l’intérêt français ou des salariés.

Depuis la politique plutôt protectionniste des chinois et des états unis vis à vis de leur propre industrie, Emmanuel Macron est soucieux de la politique industrielle française et européenne. Le chef de l’État remet au goût du jour le mot “réindustrialisation”. Le président chinois Xi Jinping est attendu en France ce lundi et mardi pour célébrer les 60 ans des relations diplomatiques entre notre pays et la Chine, lors d'une visite d'État. À l’occasion, Emmanuel Macron a appelé l'Europe à défendre ses « intérêts stratégiques » face à la Chine, dans une interview pour The Economist. Un des points de tension entre la Chine et le vieux continent, ce sont les voitures électriques, comme le rapporte La Tribune. Emmanuel Macron avance le pragmatisme (et le en même temps) : « Aujourd'hui nous devons avoir sur le plan commercial avec la Chine un comportement respectueux, mais de défense de nos intérêts, de réciprocité et de sécurité nationale ». La guerre en Ukraine sera aussi au programme de la rencontre, au cours de laquelle Emmanuel Macron demandera à son homologue chinois de contribuer à une "résolution" du conflit à nouveau. Le Moyen Orient sera aussi à l’ordre du jour. Une rencontre donc très politique. D’une part, l’interdépendance économique entre les investissements chinois en France notamment sur les batteries électriques d’un côté et la concurrence commerciale de l’autre. D’autre part, la géopolitique internationale, avec une Chine alliée des russes, ou qui entretient des liens de coopération avec l’Iran. Thomas Porcher raconte la “guerre froide” entre les États-Unis et la Chine, où, la France et l’Europe sont les “dindons de la farce de la mondialisation”.

Transition environnementale : quelles nouvelles étapes pour l’Europe ? - 6 mai 2024 / La Fabrique Ecologique
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Transition environnementale : quelles nouvelles étapes pour l’Europe ? - 6 mai 2024 / La Fabrique Ecologique
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A l’approche des élections européennes du 9 juin, et suite à la publication de son dossier « Les enjeux écologiques des élections européennes », La Fabrique Ecologique a organisé un atelier-débat, le 25 avril de 18h à 20h à la Maison de l’Europe de Paris pour . Cet événement était proposé en collaboration avec Confrontations Europe, l’IDDRI, l’Institut Avant-garde, l’Institut Jacques Delors et le Lierre.

Après une présentation rapide par chaque Think Tank de ses travaux en lien avec « Europe et écologie », le débat s’est suivi d’un échange avec le public, autour des prochaines étapes de la transition énergétique et écologique pour l’Europe.
Les intervenant.es étaient :
Nicolas Berghmans - Responsable Europe, expert Énergie-Climat à l'IDDRI
Michel Derdevet - Président de Confrontations Europe et de la Maison de l’Europe de Paris
Adam Forrai - Secrétaire général du Lierre
Géraud Guibert - Président de La Fabrique Ecologique
Clara Léonard - Directrice générale et co-fondatrice de l'Institut Avant-garde
Phuc-Vinh Nguyen - Chercheur en politique française et européenne de l’énergie, Institut Jacques Delors

Un débat animé par Mathilde Boitias, Directrice de La Fabrique Ecologique.

Pour retrouver les travaux des think tanks sur l'écologie dans les élections européennes :