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Manon Aubry, députée européenne, intervenait au Parlement européen ce mercredi 19 janvier 2022. «Votre bilan européen n'est qu'arrogance en puissance et manigances.» https://www.lactucitoyenne.fr/actualites/politique/emmanuel-macron-etrille-en-plein-parlement-europeen-vous-protegez-les-milliardaires
#Macron #Géopolitique #Désastre - 304 728 vues - 11 k - 445 k abonnés - 1 038 commentaires
La politique française à l’internationale et sa diplomatie sont des sujets sous traités par les médias français, en particulier télévisuels. La Libye, l’Algérie, le Liban, la Turquie, la Russie, la Chine, les USA, l’Europe, l’Afrique et hier encore l’Ukraine, on peut dire qu’Emmanuel Macron les a multipliés… Les bourdes et les coups d’esbroufe. Pourtant, rarement les médias critiquent l’impuissance présidentielle et la catastrophe diplomatique en cours.
Un voyage chasse l’autre. Une déclaration emporte la suivante, sans qu’à la veille de cette présidentielle, les électeurs ne se rendent compte de l’échec cuisant de cette « République en marche » dans la gestion des affaires étrangères. Aucune vision, aucune perspective, du coup par coup. « Essaie de me donner un exemple d’intervention réussie » demande Denis Robert. Et Marc Endeweld de chercher en vain.
Jamais les ambassadeurs et autres hauts fonctionnaires du Quai d’Orsay n’ont été autant ignorés, maltraités, déprimés. « Ils sont méprisés, il le savent et ne voient plus comment en sortir » explique l’auteur qui décrit une privatisation des corps diplomatiques.
Emmanuel Macron semble ne pas faire confiance aux diplomates en place, ni aux services secrets pour leur préférer presque partout des réseaux parallèles et affairistes. L’accumulation d’exemples donné par l’auteur dans son livre donne le tournis.
Dans cet entretien avec le journaliste Marc Endeweld, Denis Robert revient sur cinq années d’agitation, de manipulations et de promesses non tenues. « Dans un monde néolibéral où tous les coups sont permis, la France n’a plus d’alliés, seulement des concurrents. Sur tous les terrains, les positions d’Emmanuel Macron sont contestés. Il semble perdu, sans repère à s’agiter en vain » résume l’auteur de ce gros pavé de près de 500 pages qui accumule les anecdotes sur les voyages à l’étranger du Président, ses tentatives de médiation toujours avortées à Beyrouth comme à Moscou.
Il dit ici le résultat de ses investigations à propos de la détestation de Vincent Bolloré à l’égard d’Emmanuel Macron et surtout de son secrétaire général Alexis Kolher. Ce dernier, c’est une des révélations du livre, interviendrait pesamment dans les gros marchés internationaux maritimes et frôlerait en permanence le conflit d’intérêt. On revient ici sur l’affaire dite Kolher encore à l’instruction où le numéro deux de l’Elysée est mis en cause du fait de ses liens familiaux avec un puissant armateur italien.
Endeweld raconte aussi les errements de la politique nucléaire de la France, les coulisses de la vente de frégates à Taiwan, l’implication française à Wuhan d’où l’épidémie de Covid est partie. Il révèle ainsi des pans méconnues des affaires Djourhi ou Benalla et détaille leurs réseaux.
Un pays sous emprise chinoise, russe, américaine, allemande et même turque, un président influencé par de faux amis, des diplomates de seconde zone : à lire Marc Endeweld, on est pétrifié par la succession d’histoires troubles, d’erreurs, de revirements, d’inconséquences. Plutôt qu’une emprise, le livre et l’entretien décrivent un désastre. Une politique étrangère catastrophique. Une géopolitique du désastre.
Journaliste : Denis Robert
Montage : Lucie Dulois Images : Arthur Frainet Son : Baptiste Veilhan Graphisme : Adrien Colrat Diffusion : Maxime Hector Production : Thomas Bornot Direction des programmes : Mathias Enthoven Rédaction en chef : Soumaya Benaissa
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Le 5 mai 2017, deux jours avant son élection, Emmanuel Macron est venu à Mediapart. « Il faut réconcilier », disait-il. Promesses contre réalité, la rédaction de Mediapart rembobine et fait son bilan. Démocratie, social, économie, affaires, politique internationale... l’écart est parfois abyssal entre ce qu’Emmanuel Macron promettait et les politiques menées. Une émission à voir et revoir désormais que le président de la République est officiellement candidat à sa réélection.
Cette émission a été enregistrée le 16 février 2022, avant l’invasion russe de l’Ukraine.
À lire aussi : https://www.mediapart.fr/studio/panoramique/2017-2022-le-bilan-macron-au-scanner-de-mediapart
Tr.: ...
CHRONIQUE. La décision d’Emmanuel Macron de relancer le nucléaire a été prise en dépit de tout ce qu’enseignent les recherches ...
Connu / tg 20/2/22 à 11:32
Espace débat Présidentielle
Suivez avec nous l'actualité politique et la campagne des candidats en ce mardi 1er février, en vue de l’élection présidentielle 2022.
Par La rédaction avec AFP - Hier à 23:02 - Temps de lecture : 14 min
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Les informations à retenir
- Emmanuel Macron a expliqué que, avant de déclarer sa candidature à la présidentielle, il voulait d'abord attendre que soit dépassés « la phase aiguë de l'épidémie et le pic de la crise géopolitique ». Gabriel Attal a par ailleurs affirmé plus tôt que « non », il n'est pas temps pour Macron d'entrer en campagne. « Il y a beaucoup de sujets aujourd'hui qui nécessitent sa mobilisation totale ».
- Même s'il n'est pas encore candidat, Emmanuel Macron arrive largement en tête du sésame des parrainages d'élus avec 105 à son compteur, selon une première liste mis en ligne ce mardi par le Conseil Constitutionnel. Il devance la socialiste Anne Hidalgo (48), la candidate des Républicains Valérie Pécheresse (34) et le communiste Fabien Roussel (30). 500 signatures d'élus sont nécessaires pour se présenter.
- La bataille pour accéder au second tour est plus serrée que jamais entre Marine Le Pen (14,5%), Eric Zemmour (14,5%), Valérie Pécresse (14%) et Jean-Luc Mélenchon (13%), selon un dernier sondage.
- Marine Le Pen s'est rendue à Brest pour présenter ses propositions sur la sécurité.
- Pour son premier déplacement depuis sa victoire à la Primaire populaire, Christiane Taubira a choisi de parler industrie et relocalisation dans la Drôme.
- Yannick Jadot, en campagne dans les rues de Lille, a assuré que dans sa « République écologique », les migrants seraient « accueillis dignement ».
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Ouvrier non-qualifié du bâtiment : 814€ par mois.
Dans l'industrie agro-alimentaire : 878€ par mois.
Dans la manutention : 767€ par mois.
Vendeur en produit alimentaire : 859€ par mois.
Agent d'entretien : 764€ par mois.
Tous les métiers dits "essentiels" de la deuxième ligne sont sous le salaire minimum. Pendant ce temps, le patrimoine des milliardaires français a augmenté de 86% en 2020. Les caristes, les agents d'entretien, les caissières, qui ont tenu le pays pendant la crise Covid auraient bien aimé, eux, voir leur fiche de paye augmenté de 86%. Cette semaine l'Assemblée leur a refusé de leur augmenter le SMIC.
- 0:00 - Les métiers de la seconde ligne
- 2:10 - "Je voudrais rappeler à Monsieur Ruffin..."
- 2:46 - Qui ici va vivre avec 764,10€ ?
- 4:29 - J'ai apporté ma bible : le programme de Macron
- 06:11 - Des miettes pour la Ministre
- 07:20 - L'indécence pour les AESH
- 09:05 - En Marche contre les augmentations de salaire
#EmissionPopulaire
Macron s'en va-t-en guerre | Les écolos rejoignent Mélenchon | Primaire populaire - EmPop n°7
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Entourée de ses chroniqueurs et invités Alexis Poulin, Diangou Traoré, Alma Dufour et Arnaud Viviant, Raquel Garrido vous invite à la rejoindre pour faire un tour de l'actualité politique.
Les sujets :
- Aymeric Caron, Claire Lejeune, Alma Dufour : les écolos rejoignent Mélenchon
- Plan alimentation : comment bien nourrir tout le monde
- Primaire populaire : clap de fin
- Poutine versus Macron
- Comment mobiliser pour lutter contre l'abstention
Raquel Garrido aux manettes de l'Émission Populaire, une émission 100% politique et 100% populaire ! Un espace de débat pour commenter et réfléchir à cette campagne présidentielle française et surtout... à l'après-Macron 😉
Terminer >8:0 ACT
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Le 19 janvier 2022, Jean-Luc mélenchon répondait, depuis le Parlement européen, à l'allocution d'Emmanuel Macron faite dans l'hémicycle.
Le candidat de l'Union populaire à l'élection présidentielle a dénoncé l'absence de discours d'Emmanuel Macron sur le social. Il a également pointé du doigt la faiblesse de son discours sur l'écologie puisque le président de la République s'est contenté de défendre le marché carbone qui est un droit à polluer. De même, il a expliqué qu'il n'y avait pas eu un mot, dans le discours de Macron, sur les pesticides.
Par ailleurs, Jean-Luc Mélenchon a pointé du doigt le double langage du président de la République sur la question de la paix. Il a en particulier dit que Macron parlait à la fois de dialoguer avec la Russie mais aussi d'un réarmement stratégique.
Le candidat de l'Union populaire a donc dénoncé «le discours usé d'un homme usé». Il a expliqué que le président de la République n'avait introduit qu'un seul sujet nouveau, sur la mer, et que cela pouvait être inquiétant. Il a rappelé qu'en avril, la présidence française de l'Union européenne pourrait changer de mains.
Le président de la République devait initialement présenter avant la fin 2021 le détail de sa stratégie de relance de nouveaux réacteurs. Des atermoiements qui rappellent que sa position a souvent varié sur le sujet.
...
Connu / tg du 16/01/22 à 9h45
Connu / https://twitter.com/MaximCombes/status/1482025567415382019
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Maxime Combes #AlloBercy @MaximCombes · 14 janv.
Voilà qui est ridicule : prélever 8 milliards € d'une entreprise publique pour subventionner et sauver les acteurs privés de l'énergie.
On le voit : la libéralisation du secteur de l'énergie est couteuse pour les finances publiques et les usagers.
L’Etat met à contribution EDF pour limiter la hausse des prix de l’électricité en 2022
A la fin de septembre, le premier ministre, Jean Castex, avait annoncé « un bouclier tarifaire » sur l’énergie, avec notamment une limitation à 4 % de l’augmentation des tarifs réglementés de...
...
Une autre politique de l'énergie est possible : mettre fin à la libéralisation du secteur sans revenir à une situation de monopole, mais en faisant de l'électricité, et de l'énergie, un bien commun que l'on sortirait des griffes du marché et de la financiarisation. C'est possible
Maxime Combes #AlloBercy @MaximCombes
Il y a 8 ans, j'avais écrit pour @attac_fr
une note dans laquelle j'expliquais qu'il fallait sortir l'énergie des griffes du marché et de la finance, éviter les pièges technologiques, agir pour la sobriété et en faire un bien commun.
Toujours valable
5:23 PM · 29 Retweets 69 J'aime
..."
Débats Tribunes - Temps de Lecture 6 min.
A l’heure de la militarisation de l’espace, Jean-Luc Mélenchon s’est interrogé sur l’utilité de maintenir un système de défense fondé sur la dissuasion nucléaire. Dans une tribune au « Monde », Fabien Gouttefarde, député (LRM), en démontre la pertinence tant sur le plan stratégique qu’industriel.
Tribune. Sur BFM-TV, le 25 novembre, M. Mélenchon s’est interrogé. La dissuasion nucléaire a-t-elle encore un sens, se demandait-il en direct, avant de récidiver deux jours plus tard avec un texte posté sur son site de campagne. A l’approche d’une élection présidentielle, il est normal, et même sain, que ceux qui briguent les suffrages s’interrogent sur les armées dont ils peuvent devenir le chef et en particulier sur la dissuasion, dont l’élection ferait d’eux le décideur ultime… et solitaire.
Rappelons à cette occasion que si l’on ramène le coût annuel de l’agrégat nucléaire, 3,5 milliards d’euros pour le budget de l’Etat (0,15 % du PIB environ), au nombre de notre population, le coût de la dissuasion est de cinq euros par mois et par Français.
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Puisque M. Mélenchon, avec l’éloquence qui lui est coutumière, et qui fait de lui l’un des meilleurs orateurs parlementaires de la Ve République, s’étonne qu’« aucun autre candidat ni leur parti n’ait exprimé de point de vue sur le sujet », qu’il me soit permis de lui exprimer le mien, celui d’un collègue député de la majorité, qui certes n’a pas eu et n’a pas vocation à avoir le doigt posé sur le bouton nucléaire mais qui s’est attaché, ces derniers mois, à inlassablement rencontrer les hommes et les femmes qui servent sous les drapeaux.
La dissuasion c’est une capacité permanente
M. Mélenchon se veut tribun, je suis un pèlerin. Et c’est appuyé sur mon bâton que j’ai pu me forger quelques convictions, au détour des rencontres, des visites, des immersions. Qu’est-ce donc, au fond, que le sens de ce qu’on appelle la dissuasion ? La dissuasion, en France, c’est d’abord une capacité. Une capacité permanente, mise en œuvre par la marine nationale et l’armée de l’air, qui garantit, quoi qu’il arrive et quoi qu’il en coûte, qu’un éventuel ordre présidentiel de tir nucléaire serait exécuté.
C’est une capacité dimensionnante pour nos forces : en Bretagne, la base opérationnelle de l’île Longue, voulue par le général de Gaulle, abrite les quatre sous-marins lanceurs d’engins, les Triomphant, Téméraire, Vigilant et Terrible. Quatre géants dont la présence à la pointe de la Bretagne dimensionne le format de la force d’action navale à Brest : frégates et avisos, avions de patrouille maritime et hélicoptères, vedettes de gendarmerie maritime même, partagent comme mission principale l’escorte du Léviathan jusqu’à sa dilution.
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Depuis la première prise d’alerte, celle du Redoutable de Louzeau, en 1972, il y a toujours au moins un sous-marin à la mer. Son équipage, composé d’hommes déterminés, et depuis peu de femmes tout aussi exceptionnelles, passe jusqu’à soixante-dix jours en mer. L’armée de l’air, au travers des forces aériennes stratégiques, exerce également cette mission permanente, avec des chasseurs Rafale et leur indispensable auxiliaire, le ravitailleur en vol. De jour comme de nuit, ils tiennent eux aussi l’alerte, sans discontinuer depuis 1964 et les temps héroïques des Mirage-IV.
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Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?empObw
Tr.: ... EM "les anti-vax, j'ai très envie de les emmerder" ... ou n'est plus un citoyen ... la précampagne avait été médiocre, cette première semaine est nulle ... une élection présidentielle c'est la confrontation entre des visions, des valeurs, des propositions. On a eu des campagnes très longues dans le passé. Cette fois-ci, elle n'arrive pas à commencer. L'agenda est phagocyté par l'explosion du virus et on le comprend. ... risque majeur ... baromètre des émotions : indifférence, incompréhension, colère, dégoût, ennui, désespoir, peur et honte. On sent monter une consternation collective devant cette non-campagne avec derrière le risque d'une abstention électorale puis d'un président élu sans mandat et sans légitimité.
Natacha P : ... on n'est pas seulement sur une polémique, ni une petite phrase. Ce qui me choque c'est la conception que Macron a de la communauté politique. Est apparue une 3è voie entre ce qui est légal et non légal. En démocratie, ce qui est légal est autorisé. Là nous introduisons la catégorie MORALE: les non-vaccinés (dont 40% sont éloignés des soins) sont désignés par le pdt de la rép comme des personnes à mettre au ban de la société. Sur la notion de responsabilité au coeur de la démocratie, fondée sur l'idée d'individus rationnels citoyens cad autonomes et responsables. Là, EM tord cette notion de responsabilité - capacité à répondre de ses actes devant la justice. Hors, il construit l'irresponsabilité, mais désignée par une partie des élites, ceux qui pensent "BIEN", le cercle de la raison, qui décide qui est respnsable et irresponsable. Tendance à pathologiser car se rapproche de l'irresponsabilité psychiatrique. Donc ya des gens qui ne sont pas citoyens, autonomes et responsables. Qui décide ? rejoint le CENTRISME AUTORITAIRE que j'ai déjà évoqué. On est dans l'affirmation d'une idée TOTALITAIRE dans la mesure où on veut régir la société par des caractères moraux plus que légaux. C'est dangereux.
Gilles : stratégie assumée mais incompréhension car l'atout EM en 2017 c'était sa cohérence, et c'est très important pour un homme politique: rupture / système politique, entre sa personnalité, son parcours, son âge, et son positionnement politique le ni gauche ni droite ou le et gauche et droite, et sa stratégie pol avec une nouvelle formation politique. Yavait un alignement entre les trois. Hors la déclaration de cette semaine vient briser cette cohérence entre "faut pas blesser" de 2021 et "j'emmerde" et le début et la fin de la même interview 'très envie d'emmerder les non vaccinés au début et à la fin "lutter contre le sensationnel, apaiser les conflits.Où est la cohérence ? Et le lien entre responsabilité et citoyenneté, civique oui, pas des bons citoyens. Mais que veut dire les exclure de la citoyenneté ? on les déchoit de leurs droits de vote, de leur nationalité ? On ne les soigne pas ? Ya plus de limites. Et pas d'efficacité sanitaire pour inciter à se faire vacciner, bien au contraire
...
GRDB /inflation choix de société ... Gilles : enjeu de pouvoir d'achat ... évolution des taux d'intérêt ...
TERMINER ACT
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Le 5 janvier 2022, Jean-Luc Mélenchon tenait une conférence de presse à l'Assemblée nationale suite aux propos du président de la République Emmanuel Macron disant qu'il voulait « emmerder les non-vaccinés ».
Le député insoumis a dénoncé des propos vulgaires qui ont créé une crise parlementaire. Il a expliqué qu'avec cette interview, le président révélait ses intentions qui n'ont jamais été de convaincre les non-vaccinés mais de leur pourrir la vie pour les contraindre à se faire vacciner.
Par ailleurs, Jean-Luc Mélenchon a soulevé le fait que désormais, le gouvernement pourrait s'apprêter à utiliser l'article 49.3 sur le passe vaccinal. Il a demandé au Premier ministre Jean Castex de participer aux débats à l'Assemblée nationale et de venir s'expliquer devant la représentation nationale. Il a expliqué que s'il ne le faisait pas de son plein gré, le groupe insoumis utiliserait l'article 50-1 de la Constitution pour contraindre le Premier ministre à venir s'exprimer devant l'Assemblée.
Le candidat de l'Union populaire à l'élection présidentielle a par ailleurs dénoncé la logique du président de la République consistant à dire qu'il existerait des devoirs supérieurs aux droits. Il a expliqué que les malades n'étaient pas responsables de la maladie. Il a décrit les propos du président comme une « faute républicaine majeure » et a espéré que dans 95 jours, Emmanuel Macron ne soit plus en état d'emmerder personne.
Jean-Luc Mélenchon a dénoncé le mépris de Macron, il a décrit la logique de technocrate du président de la République. Il a aussi dit que ces propos étaient un tournant dans l'élection présidentielle et qu'ils clivaient assez pour que même Les Républicains, pourtant favorables au passe vaccinal, pourraient désormais ne plus vouloir voter le texte.
Le député insoumis a répété que le vaccin ne pouvait être la seule stratégie pour lutter contre la pandémie. Il a rappelé que les insoumis n'avaient cessé de faire des propositions à l'Assemblée nationale sur le sujet et a notamment parlé de l'installation de purificateurs d'air dans les salles de classe. Il a appelé à la mise en place d'un comité de suivi parlementaire sur la gestion de la crise sanitaire.
Jean-Luc Mélenchon a également fait le point sur la situation dans les Antilles françaises, où le gouvernement n'utilise que la manière forte et augmente les tensions. Il a expliqué l'inefficacité de cette stratégie pour lutter contre la pandémie.
Connu / [cyber-quotidien] E-quotidien du mercredi 24 novembre 2021
#Économie #Macron #Bilan - 66 334 vues - 6,9 k - 78 - 318 k abonnés - 817 commentaires
Soutenez Blast, nouveau média indépendant : https://www.blast-info.fr/soutenir
"Pendant vingt minutes, Emmanuel Macron a fait le bilan de son action au pouvoir. À l’écouter, il est un président formidable, il a redressé l’économie du pays et réduit les inégalités. Alors à Blast, on a fait son bilan économique, mesure par mesure, afin de bien comprendre ce qu’il a fait en cinq ans. Surtout, pour comprendre ce qui nous attend s’il est réélu pour cinq années supplémentaires."
Journaliste : Salomé Saqué
Montage : Ameyes Aït-Oufella Images : Arthur Frainet Son : Baptiste Veilhan
Graphisme : Adrien Colrat Diffusion : Maxime Hector Production : Thomas Bornot
Direction des programmes : Mathias Enthoven
Tr.: ... Eric Berr, économiste, maître de conférence, membre du Collectif des Économistes Atterrés ...
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BLAST, Le souffle de l'info @blast_france
"À l’écouter, il est un président formidable, il a redressé l’#économie du pays. Alors à Blast, on a fait son bilan économique, afin de bien comprendre ce qu’il a fait en cinq ans." #Macron @salomesaque
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Économie : le mauvais bilan d'Emmanuel Macron
12:00 PM · 13 nov. 2021·- 518 Retweets 33 Tweets cités 794 J'aime
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C’est passé relativement inaperçu, pourtant, l’actuel président de la République a clairement annoncé son projet pour les cinq années qui viennent : un quinquennat d'hyper-austérité où les dépenses publiques seraient très fortement réduites.
Alors que la crise économique fait rage avec près de 10 millions de personnes sous le seuil de pauvreté, le projet d’Emmanuel Macron pour 2022 fait froid dans le dos.
Et pour préparer les esprits, le chantage à la dette est devenu l’instrument privilégié par le pouvoir qui nous offre une nouvelle fois une démonstration implacable de sa logique purement comptable, au mépris des conséquences sociales induites par de nouvelles cures d’austérité.
Pour en parler, nous avons reçu le député de la France Insoumise Éric Coquerel à l’occasion de la sortie de son livre "Lâchez-nous la dette”, pamphlet pour en finir avec l’insupportable rengaine de la dette publique qui sert à justifier l’austérité aux conséquences terribles.
5 ANS DE MACRON EN 5 MINUTES !
🔴 Macron est candidat sans le dire. Son gouvernement se donne un mal de chien pour présenter son bilan sous un jour favorable. Or, c’est un désastre. Pouvoir d’achat, emploi, climat, hôpital, égalité femmes hommes… 5 ans de destruction en 5 minutes de démonstration. ⬇️
Twitter (https://twitter.com/AQuatennens/status/1450489712817446912)
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La contre-matinale du Média
Pour vous faire vivre les élections de 2022 autrement...
Au programme de cette 13ème édition de la Contre Matinale du Média, présentée ce mercredi par Nadiya Lazzouni :
· Introduction
· Titrologie : la célèbre rubrique dans laquelle nous analysons les unes de la presse mainstream et revenons sur leur vision de l'agenda médiatique. Puis, un petit focus sur différents contenus proposés par nos camarades de la galaxie des médias indépendants et alternatifs.
· Le reportage de notre journaliste Marine Manastireanu. Accompagnée de Jean Bourrieau, sociétaire du Média, elle a documenté la situation catastrophique dans laquelle vit une centaine d'exilés (dont quarante enfants) à Rennes, abandonnés par les services publics.
· La chronique de David Guiraud, chroniqueur et porte-parole jeunesse de LFI
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FR - Macron sur sa stratégie France 2030: interview de Julien Bayou, Secrétaire National d'Europe Écologie-Les Verts sur le nucléaire, les énergies renouvelables et la sobriété énergétique - 12.10.2021 - Paris, France.
"Ça ressemble à une fuite en avant ; sur le nucléaire, le prix de l'énergie est toujours plus cher, alors qu'il baisse sur les énergies renouvelables.
On nous parle maintenant depuis des décennies de cet EPR ou de ces mini-réacteurs,
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#Macron #étudiants #Marseille 18 091 vues - 3 k - 23 - 228 k abonnés - 361 commentaires
L'équipe du Fil d'Actu : Présentation : Tatiana Ventôse
Écriture : Tommy Lasserre Réalisation : Yohann Delozier
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Le Fil d'Actu @LeFildActu1
Pour la rentrée scolaire, Emmanuel #Macron nous a donné une vision de son « école du futur » : un projet " disruptif " qui, sous couvert de liberté, attaque l'autorité de l'enseignant, mais aussi les fondements de l'école républicaine...
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