Dénoncé par le réseau Sortir du Nucléaire, l’incident s’est produit le 25 janvier dernier dans le ...
Connu / TG le 04/05/23 à 17:03
Après une bataille judiciaire de près de six ans, le réseau Sortir du nucléaire obtient la condamnation d'EDF ...
Connu / TG le 04/05/23 à 12:53
Énergies - 48 commentaires
Les conclusions d’un vaste débat national sur la relance d’un programme nucléaire ont été dévoilées mercredi 26 avril. La portée est toute relative car le gouvernement a déjà tranché. Néanmoins, elles livrent quelques enseignements et en particulier sur la place centrale des questions de sobriété.
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un rapport de quatre-vingts pages a été mis en ligne, ce mercredi 26 avril, dressant un vaste état des lieux de la controverse et des enjeux entourant la relance d’un programme nucléaire et pour commencer la construction de deux nouveaux réacteurs à Penly en Normandie. Budget total : deux millions d’euros. Le tout pour débattre d’une question qui finalement a été tranchée par le gouvernement avant la fin du débat. L’exercice de démocratie participative a donc largement tourné à l’absurde.
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Photo Séance de débat sur le nucléaire organisé par la Commission nationale du débat public (CNDP) à Lyon, le 2 février 2023. © Photo Nicolas Liponne / Hans Lucas via AFP
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L’Ademe – l’agence publique de la transition écologique – a défendu, elle, une autre vision : « Cette question de la sobriété est clairement celle qui permet d’aller le plus vite par comparaison avec la construction de tout autre moyen de production. Réduire notre consommation va plus vite. »
Même ligne dans les avis « citoyens » issus de ce débat comme celui du conseil régional des jeunes de Normandie : « Il nous paraît nécessaire de penser une société dans son ensemble où l’on consomme moins. Ainsi, nous souhaitons que les décideurs prennent au sérieux leur rôle pour sensibiliser et réguler afin d’aller vers un modèle énergétique sobre et vivable. »
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Dans sa conclusion, la CNDP souligne plus largement que « des questions essentielles sont sans réponse complète ou même partielle » sur « la place du programme dans le paysage énergétique des décennies à venir, sur ses garanties techniques, professionnelles et sociales, sur son financement et sa justification économique et environnementale par rapport à d’autres options, ou encore sur la prise en compte des incertitudes climatiques et géostratégiques ».
Un débat confisqué
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des amendements ne se glissent dans un projet de loi sur l’accélération des procédures nucléaires voté par le Sénat en janvier et l’Assemblée nationale deux mois plus tard. En permettant la construction de nouveaux réacteurs, ils ont empêché le débat public de se poursuivre normalement.
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À la suite de ce vote, les acteurs antinucléaires, comme Greenpeace ou le Réseau Sortir du Nucléaire, ont quitté la table des discussions et les débats organisés à Lille et Lyon n’ont pas pu se tenir en raison de manifestations.
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Connu / TG le 27/04/23 à 09:04
Nucléaire - Mis à jour le 25 avril 2023 à 15h51 - Durée de lecture : 6 minutes
Clés : Nucléaire Eau et rivières
Pas de réelles économies d’eau, travaux trop longs et coûteux : le projet d’Emmanuel Macron de passer les réacteurs nucléaires en circuit fermé n’est pas une solution miracle.
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laisse supposer une énième décision unilatérale du président de la République concernant la relance du nucléaire en France.
Connu / https://twitter.com/Reporterre/status/1650794316300689408
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Reporterre | Le média de l'écologie @Reporterre · 9h ☢️
3 - 24 - 27 - 2716
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6015 signataires
Pétition adressée à M. Bernard Doroszczuk, Président de l’Autorité de Sûreté Nucléaire, à Mme Agnès Pannier-Runacher, Ministre de la Transition énergétique, à M. Christophe Béchu, Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires
Nappes phréatiques à sec, débit des cours d’eau insuffisant, réchauffement de la température des fleuves et de la mer : l’eau, bien commun et ressource vitale, impactée par le réchauffement climatique, se fait de plus en plus rare. Le bon sens voudrait que l’on privilégie sa protection et son économie en adaptant nos besoins. Mais comme souvent avec le nucléaire, la raison s’efface devant le profit et les visions à court terme.
En France métropolitaine, alors que l’étude de référence Explore 2070, prévoit une baisse moyenne annuelle du débit des cours d’eau comprise entre 10% et 40% [1], 400 millions de m3 d’eau prélevée dans des fleuves s’évaporent par an pour refroidir les réacteurs nucléaires fonctionnant en circuit fermé. À cela s’ajoutent d’autres usages : utilisation d’eau pour le réseau incendie, stockage de sûreté... C’est beaucoup trop !
... EDF est déjà autorisée à ponctionner les nappes phréatiques déjà dégradées par l’absence de précipitations. La centrale nucléaire de Dampierre (Loiret) peut pomper jusqu’à 3 600 m3 d’eau par jour dans une nappe jusqu’alors réservée à la consommation humaine. Le 1er avril 2023, le niveau de 75% d’entre elles se situait sous la normale saisonnière [2] Les 26 réacteurs fonctionnant en circuit ouvert utilisent pour leur refroidissement entre 23 et 49 milliard de m3 d’eau par an [3]. Cette eau est presque intégralement rejetée dans les cours d’eau ou la mer où elle est prélevée... avec une température pouvant aller jusqu’à 10°C de plus [4] ! Aussi, l’été dernier, plutôt que de mettre à l’arrêt les centrales réchauffant trop les cours d’eau comme habituellement en période de canicule, EDF a été autorisée à rejeter une eau encore plus chaude dans les milieux aquatiques, sans aucun respect pour la santé et la survie des espèces endémiques. Loin de prendre les décisions qui s’imposent, le gouvernement accentue la pression sur le nucléaire pour produire toujours plus. Faudra-t-il bientôt choisir entre la préservation de l’eau et la production d’électricité ?
... opposons-nous aux dérogations ...
[1] https://www.sortirdunucleaire.org/secheresse-canicule-nucleaire
[2] Bulletin du BRGM : https://www.brgm.fr/fr/actualite/communique-presse/nappes-eau-souterraine-au-1er-avril-2023-risques-secheresse-estivale
[3] https://www.edf.fr/sites/default/files/contrib/groupe-edf/producteur-industriel/nucleaire/ENVIRONNEMENT/guide_2020_-_centrales_nucleaires_et_environnement.pdf
[4] https://www.actu-environnement.com/ae/news/centrales-nucleaires-derogation-prolongation-limites-rejets-thermiques-40154.php4
Connu / https://twitter.com/GreenpeaceMans/status/1649335715002458112
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Greenpeace - Groupe local du Mans @GreenpeaceMans · 21 avr.
Le nucléaire est un danger pour l'eau, stop aux dérogations d'État dont il bénéficie, signez la pétition : https://sortirdunucleaire.org/Petition-Le-nucleaire-un-danger-pour-l-eau
via @sdnfr - 1 - 2 - 3 - 34
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Ouverture des JNI avec le colloque national IESF
Différents intervenants de renom du gouvernement et de l’industrie y apporteront leurs éclairages et témoignages.
Une sélection sera reprise le jour même par la Fédération Mondiale des Organisations d’Ingénieurs dans le cadre du World Engineering Day (WED) sous l’égide de l’UNESCO. Une occasion unique de rendre visible des ingénieurs français à l’international.
Tr. : Sponsors : SYNTEC INGÉNIERIE - itii - DGA - GIM 'LA FABRIQUE DE L'AVENIR' - GIFAS
Accueil par Marc Rumeau, président de l'IESF
débute par le nucléaire de retour
- avec l'intervention de Joël Barre, délégué interministériel au Nouveau nucléaire (DINN)
- suivie de Valérie Faudon, déléguée générale de la SFEN à 8:16 avec 4 grands programmes :
. le parc actuel - adaptation, renouvellement
. construire des EPR2 (Loi de programmation énergie climat en 2035) (les avant-projets détaillés débutent ?)
. SMR REP plus petits, modulaires, produire électricité, chaleur, hydrogène
. AAP sels fondus, sodium, etc, le nouveau nucléaire - suivie de Bernard Accoyer, président de PNC-France (Patrimoine Nucléaire et Climat), ancien pdt de l'assemblée nationale
(éoliennes un jour sur 5 !...se réindustrialiser)
HYDROGÈNE - Peter Crispeels, PartnerMcKinsey, responsable du segment H2 et décarbonation. à 25:10 (... la France, être leader du monde avec la transition écologique)
- Matthieu Jehl, CEO d'Arcelor Mittal France
ÉLECTROLYSEURS - Florence Lambert, CEO de Mega Factory GENVIA, attelage unique public-privé.Technologie d'électrolyse à haute température.Aussi pdte de la commission industrielle du syndicat des énergies renouvelables
- Emmanuelle Taffarel, directrice Développement - Transition énergétique chez AIR PRODUCTS
- Erwan Bruneau, responsable Produit H2fM Europe (AIR PRODUCT)
- Docteur Christophe Poinssot, Directeur général Délégué du BRGM
- Aurélien, en cabinet de conseil (où ?)
- Mme Tamara, coordinatrice environnement dans une entreprise qui travaille dans l'énergie (pétrole et gaz), ambassadrice de la fresque du climat et de la fresque de la biodiversité?
- Philippe Dépincé, président de la commission formation et société à la CDEFI : éviter, réduire, compenser ; via ANIMA et la fresque du climat (avec jmj ! et the shift project ), accompagnement
- Laurent Champaney, président de la conférence des grandes écoles CGE, directeur général des Arts et Métiers ;
- Roland Lescure, ministre délégué, chargé de l'industrie,conclue: l'industrie, c'est 20% du problème, mais 100% des solutions. ... marché, innovation ... révolution industrielle ...
21 commentaires
- POINT ROUGE il y a 5 heures 👏🚀
- Peste Mojo il y a 3 semaines Pour les Ingénieur de IESF
Ressources, approche systémique avec Olivier Vidal (ClimatSup INSA) https://youtu.be/x4GDszYsKVA
Ruée minière au XXIè siècle : jusqu'où les limites seront-elles repoussées ? - Aurore Stephant à USI https://youtu.be/i8RMX8ODWQs
Bon courage les gas . - joseph jo il y a 1 mois Médecin de la planète ?! Carrément ? Quelle belle propagande !
L'humain n'a pas a être un médecin de la planète qui l'a lui-même ruiné ! Mais rentrer dans les limites!! Et les limites sont à l'opposé de ce que vous proposez la! Stupéfiant !
1 - joseph jo il y a 1 mois Votre jeune ingénieur ?! C'est un vrai militant écolo ?! Fait-il partie, au moins, du shift project ? A minima.
- joseph jo il y a 1 mois J'imagine que la plupart d'entre vous n'écoutent pas Aurore Stephant et bien d'autres ! Comme Adrien couzinier par exemple. Vous voulez comprendre ce que veut dire vis techno solutionnisme en matière d'industrie minière ?! Bah voilà des gens à lire et écouter ! Ou Emmanuel hache. Olivier Vidal. Gaël Giraud aussi en parle bien!
1 - joseph jo il y a 1 mois 1h07! Vous nous demandez de retourner à la mine! Fallait oser cette formule ! Qui est dans la mine?! Les français ? Non!
- joseph jo il y a 1 mois Le problème du recrutement ! Bah oui! Les jeunes voient ce qui arrive avec le changement climatique (ce qui n'a pas l'air de vous inquiéter au vu de votre plan...).
Et non! La France n'est pas et ne sera pas souveraine. De moins en moins justement a cause du changement climatique. Vous devez quand même savoir que l'Europe de l'ouest est l'une des pires zones géographiques face au changement climatique ?!?!
Rassurez nous!! Regardez les cartes sur les projections ! Du giec notamment !!
Ce n'est pas possible de ne pas voir tout cela!! Vous faites tout à l'envers. Pour votre foutu pib!! Pour votre foutu classement ! Nos enfants vont vous maudire ! - joseph jo il y a 1 mois N'oubliez pas de préciser encore et toujours que le gaz naturel est surtout une source fossile!! A faire totalement disparaitre très très rapidement !!
1 - joseph jo il y a 1 mois Comment foutre du nucléaire absolument partout...
- joseph jo il y a 1 mois Les majors des hydrocarbures vous remercient pour les smr ! Colle l'éolien et le solaire ! Demandez à pouyanné ! Ils se frottent tous les mains et vous aussi.
Toujours plus de moyens pour extraire toujours d'hydrocarbures ! Ça serait bien de mettre tout cela en avant messieurs dames !!
1 - joseph jo il y a 1 mois Prévisions à 2050... Nous seront déjà proche des +3°...bye bye l'hydroélectricité en France. Et tout ce que cela implique. Les prévisions vous disent aussi plus de glaces des les Pyrénées dici une vingtaine d'années. Et beaucoup beaucoup moins dans les Alpes d'ici la fin du siècle. Vous allez faire la danse de la pluie?! Non. Sûrement l'industrie dégueulasse, Catastrophique de désalement d'eau de mer.
- justinvideoman il y a 1 mois merci petit commentaire, ça aurait été bien de chapitrer la vidéo par intervenant
- Charles DURAND il y a 1 mois Eh, ben ! J'ai entendu quelques propos pleins de bon sens comme la reprise du nucléaire civil mais aussi beaucoup de conneries en ce qui concerne le CO2. Des études récentes démontrent que l'activité humaine et par conséquent les émissions de gaz carbonique ne sont absolument pas responsables de l'évolution du climat qui a toujours changé à toutes les époques. Quand j'étais jeune adolescent, on accusait les explosions nucléaires du changement climatique. Vivant sur la Côte d'Azur, on accusait aussi la construction de l'autoroute A8 qui était censé avoir changé le régime des vents. Maintenant, on accuse le CO2 et toute cette brochette de prétendues experts ne se posent bien sûr la question de savoir si l'hypothèse de base est la bonne et, surtout, si cette hypothèse tient la route. Tous ces "experts" que j'ai vu défiler dans cette vidéo ne se posent aucune question sur les petits malins qui sont derrière la diabolisation du CO2, sur ceux qui nous vendent les crédits carbone, sur ceux qui vivent des transactions basées sur le carbone, sur les banques qui ne font plus de bénéfices dans les industries traditionnelles, sur la racaille qui vit de subventions indirectes provenant des poches des contribuables et des simples utilisateurs d'électricité ou de carburants fossiles. Bref, tout ce beau monde obéit sans avoir le bon sens de réflechir ! Quelle déception !
- Jacques Puyuelo il y a 1 mois
La transition énergétique est une tache complexe mais la maîtrise de la complexité c'est le travail des bons ingénieurs. Évitons les fausses bonnes idées comme l ' utilisation de l ' hydrogène qui reste un gaz explosif et requiert beaucoup d'énergie pour être produit et stocké. Logiquement la solution technique viendra de la very high tech et pas de la low tech. Comme le dit M Jancovici, il faut que notre société ,essentiellement contrôlée par des polytechniciens ,énarques, énaciens et autres puisse concrétiser les bons projets. Qu 'est ce qui freine la transition ?- l' ignorance en sciences dures des décideurs (math, physique quantique, chimie quantique, biologie, génie des matériaux, génie génétique etc..)
- les fonctionnaires de catégorie D qui bloquent les projets innovants et découragent les inventeurs avec de la paperasserie inutile (ADEME)
- le cercle vicieux entre l 'administration et les politiques dirigeants (gouvernement-conseil d'Etat-ADEME)doit être rompu !
M Macron taxé par le conseil d' État pour lenteur sur la transition verse une compensation à une association comprenant l ' ADEME qui elle même a bloqué les projets innovants. - la corruption au niveau de l 'U.E. qui ne finance aucun projet pertinent sur la transition énergétique pour une politique spatiale sérieuse.
Seul M. Breton propose de subventionner la politique spatiale et tente de développer l ' ordinateur quantique. Que proposer pour relancer la transition ? IL faut une méthodologie pour répartir équitablement le travail entre les inventeurs ,les industriels de la fabrication additive et ceux qui transportent et produisent les matières premières. Toute les étapes doivent être contrôlées par un Préfet de Région et garantir une qualité et une fiabilité élevées.
Il faut produire des solutions de propulsion électrique puissantes,fiables et respectueuses de l ' environnement: la S.M.E.S quantique est la véritable solution qui finira par s'imposer ....
https://www.linkedin.com/pulse/il-faut-construire-des-smes-quantiques-jacques-puyuelo?originalSubdomain=fr
1
- Association des ESME Alumni il y a 1 mois Bravo pour ces interventions passionnantes
3 - Rene LAROCHE il y a 1 mois Excellent, toutes mes felicitations, présentations tres riches et variées permettant de couvrir le maximum de sujet.
3
Ndlr :
- les acteurs composant le "bras armé" du plan Macron sur le nucléaire... Des informations utiles tout de même comme le fait que les avants-projets détaillés pour EPR2 seraient commencés
- bien que pas toujours pertinente, un peu de contradiction dans les commentaires fait du bien... J'ajoute que pas un mot sur le vivant, le biomimétisme, l'harmonie avec la nature, le questionnement sur nos besoins humains et de la société, ingéniérie sinon RIEN!
- concernant "S.M.E.S quantique" il y a un début de fiche wikipédia avec une partie non vérifiée, donc prudence https://fr.wikipedia.org/wiki/SMES approfondir ACT
Le réchauffement climatique est une réalité à laquelle l’humanité sera confrontée tout au long du XXIe siècle et au-delà, comme le confirme le sixième rapport du groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) publié hier. Ces conséquences du changement climatique affecteront à des degrés divers, mais croissants, les réacteurs composant le parc nucléaire français actuellement en service. A fortiori, elles doivent être prises en compte dans tous les projets de construction de nouveaux réacteurs qui sont susceptibles d’entrer en service à partir de 2035 et qui fonctionneront ensuite jusqu’en 2100, voire au-delà. Le parc nucléaire français comporte actuellement 56 réacteurs implantés dans 18 centrales. Le rapport publié ce jour par la Cour des comptes vise à appréhender les effets prévisibles du changement climatique sur le parc nucléaire actuel et sur les nouveaux projets de réacteurs, ainsi que les conséquences de ces évolutions sur la sûreté et l’exploitation.
Un parc nucléaire qui cumule les défis sur le siècle à venir
La filière nucléaire française doit se préparer à la perspective de la prolongation, puis de l’arrêt du parc actuel ... moyenne d’âge d’environ 45 ans en 2030 ... mise en service du premier EPR français à Flamanville et préparer la construction d’un programme « nouveau nucléaire » de 6 à 14 EPR2. Ces défis techniques et industriels pour les décennies à venir devront être relevés dans un contexte où le parc nucléaire subit un accroissement en intensité et en fréquence des épisodes de chaleur et des extrêmes climatiques.
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Les paramètres physiques dont l’évolution est la plus déterminante en matière de changement climatique pour le parc nucléaire ont été en particulier retenus : la température de l’air et de l’eau, la sécheresse et les étiages sévères, le niveau marin – ce risque concernant principalement le nouveau nucléaire –, ainsi que les phénomènes climatiques extrêmes et de long terme, c’est à dire à horizon 2100 et au-delà
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Un dispositif de sûreté nucléaire qui intègre l’adaptation au changement climatique dans ses référentiels
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Des effets limités mais croissants des évolutions climatiques sur la disponibilité du parc
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normes environnementales de prélèvements d’eau et de rejets thermiques, propres à chaque site, conçues pour limiter les impacts sur le milieu aquatique en aval et permettre le partage de la ressource en eau pour d’autres usages. Ces normes, associées à des épisodes de canicule et de sécheresse de plus en plus fréquents, peuvent contraindre l’exploitation et réduire la disponibilité et la production du parc, notamment pour les sites thermosensibles en bord de fleuves. Les pertes de production qui en résultent demeurent limitées en moyenne annuelle (environ 1%) et l’essentiel du risque d’indisponibilité en cas de canicule ou de sécheresse concerne six sites. Mais ces indisponibilités sont concentrées sur des périodes brèves, estivales le plus souvent, et peuvent s’avérer critiques en accroissant les risques de tension sur le réseau.
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Une conception et une implantation des nouveaux réacteurs nucléaires devant tenir compte des incertitudes climatiques à long terme
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les innovations technologiques ne permettent pas encore de passer à des centrales sobres en eau. Les nombreux critères de choix d’implantation des nouveaux réacteurs, et notamment l’acceptation sociale des projets dans les territoires, amènent l’exploitant à faire preuve de prudence. Ainsi, les quatre sites identifiés pour déployer les six premiers EPR2 sont sur le littoral ou en bord de Rhône. Mais à ce stade, aucune visibilité n’est donnée sur l’implantation des huit EPR2 prévus en option. La Cour recommande d’éclairer au plus vite les choix d’implantation
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Connu / TG le 12/04/23 à 22:07
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Il traite de l'adaptation au changement climatique du parc des réacteurs nucléaires existants et des futurs EPR2 ... La conclusion est un peu critique et ce rapport contient des informations sur les consommations d'eau des réacteurs nucléaires, en particulier dans l'annexe 6 page 104. Il y a aussi des informations sur les différents systèmes de refroidissement possible, dont ceux en circuit fermé (p. 77).
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« La politique énergétique, le nucléaire surtout, reste l’un des désaccords majeurs dans le “couple” franco-allemand »
CHRONIQUE. Dans une Europe qui doit à la fois lutter contre le réchauffement climatique et accéder à de nouvelles ...
Connu / TG le 17/04/23 à 13:33
Alors que l'Allemagne met aujourd'hui le nucléaire derrière elle, la France n'a pas abandonné son projet de ...
Connu / TG le 15/04/23 à 22:12
Connu / TG le 03/04/23 à 19:19
Photo En 1982, des manifestantes contre l'installation de missiles nucléair se sont unies pour encercler la base américaine de Greenham Common, en Angleterre. ©AFP - UPI
Depuis les années 1970, à Plogoff, Greenham Common, Fessenheim, Fukushima, en passant par Bure, des femmes se sont constituées en collectifs et ont mené des actions antinucléaires pour alerter sur les conséquences de cette technologie et dénoncer un projet antidémocratique et patriarcal.
Dans le cadre de notre semaine avec Pénélope Bagieu, nous nous intéressons aux liens entre luttes des femmes et nucléaire.
Dans les luttes antinucléaires, des mouvements et collectifs de femmes se sont constitués en opposition à cette puissance nucléaire, qu’elle soit civile ou militaire.
Si certaines de ces femmes ne se définissaient ni comme féministes, ni comme écologistes comme à Plogoff dans les années 1970, certains mouvements dans les années 80 comme aux États-Unis avec le Women’s Pentagon Action ou en Angleterre avec Greenhman Common se revendiquaient comme féministes, non-mixtes et avec des modes d’actions bien particuliers. Ces mouvements de femmes anti-nucléaires sont polymorphes et pluriels, ils se réinventent aujourd'hui à travers de nouveaux terrains de lutte et de nouvelles formes de militantisme, notamment à Bure, lieu d’enfouissement des déchets nucléaires.
Pourquoi des luttes féministes se sont rattachées historiquement à la lutte antinucléaire ?
Pourquoi le nucléaire s'impose comme un véritable symbole du patriarcat ?
Ces mouvements sont une recherche d’antidote qui vont s’opposer au nucléaire en développant des formes de performances, de poésies, d’art, pour faire raisonner des enjeux civilisationnels et existentiels, et critiquer cette technologie identifiée comme mortifère.
Chants, danses, slogans, tels que “sorcière, vénère, anti-nucléaire”, réunions d’information jouant sur le bouche-à-oreille, occupation de forêts, les moyens de lutte des écoféministes antinucléaires cherchent à se réinventer et à donner une tonalité non-violente.
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Cette lutte féministe antinucléaire n’a pas toujours été non-violente. Françoise d’Eaubonne, l’écrivaine qui a pensé le néologisme « écoféministe » participe en 1975 à poser des bombes artisanales sur le chantier de la centrale nucléaire de Fessenheim dans le Haut-Rhin, cela qui cause des dégâts et retarde la construction de plusieurs mois.
Quel est le lien entre le féminisme et la lutte contre le nucléaire ?
Les femmes sont en effet parmi les adversaires les plus actives, et les plus critiques, de l'énergie nucléaire. Comment expliquer la persistance de ce mouvement social, féministe et antinucléaire ?
La journaliste Jade Lindgaard explique : « C'est peu connu en France. Mais dès les années 1970, aux États-Unis, et en Grande-Bretagne, des mouvements féministes, anti-nucléaire se développent. Ils sont très populaires, et très actifs. Le lien entre être féministe et être antinucléaire pour ces femmes ? À l'époque, c'est principalement deux choses. Le nucléaire est considéré comme l’incarnation et la célébration du patriarcat. C’est une énergie brutale et hiérarchique, opaque, sur laquelle on n'a aucune prise, qui vous écrase, vous marche dessus, et ne vous laisse pas votre mot à dire.
Par ailleurs, le nucléaire est souvent à l'époque géré par des hommes. C’est un milieu pas féminin. La différence avec aujourd'hui : ce sont des mouvements pacifistes. À la fin des années 1970, au début des années 1980, à la fin de la guerre froide, naît une tension sur la question de la présence de missiles nucléaires, soviétiques, et étasuniens. Il y a vraiment la peur d'une troisième guerre mondiale qui serait une guerre nucléaire.
Des femmes plus ou moins anti-capitalistes, plus ou moins anarchistes se réunissent autour du refus de la mort par la bombe nucléaire. Le lien entre féminisme et anti-nucléaire se fait alors sur la question de la vie. C'est un enjeu d'existence. Face à un enjeu existentiel, il n'y a pas de compromis. Donc on occupe, on bloque, on sabote… C’est une bataille vitale. »
Et aujourd’hui ?
L’activiste Pauline Boyer estime que le sujet est toujours d’actualité : « Ces arguments et les références à la vie sont toujours valables aujourd'hui. D’autant plus que nous sommes dans une période cruciale par rapport aux choix que l’on va faire pour faire face au dérèglement climatique, à l'effondrement de la biodiversité et aux crises sociales qui existent… Le choix de relancer le nucléaire imposé par le gouvernement revient à imposer un système qui ne répond pas du tout aux besoins de la société aujourd'hui. Donc, aujourd'hui, nous sommes dans une même dynamique de violence verticale. Dès que quelqu'un émet une critique sur l'énergie nucléaire arrive un déchaînement de violence, en tout cas sur la question du réchauffement.
Il faut aussi regarder quels sont les effets secondaires du nucléaire avec la production de déchets radioactifs, avec la menace nucléaire, la menace d'accident nucléaire qui n'est pas un fantasme. On a affaire à Three Miles Island, Tchernobyl, Fukushima… On sait que ça peut arriver ! Et puis, le dernier rapport du GIEC nous dit qu’il faut réduire de moitié nos émissions de gaz à effet de serre d'ici à 2030. Antonio Guteres dit que les pays développés doivent tout faire pour atteindre la neutralité carbone en 2040.
Aujourd'hui, on met 15 à 20 ans à construire une centrale nucléaire. On est complètement hors délai. C’est une excuse pour l'inaction climatique du gouvernement. Il prétend agir alors qu’il propose une solution basée sur un fiasco industriel français. Flamanville après quinze ans de chantier et une multiplication des coûts par six, ne fonctionne toujours pas. C'est une solution qui est beaucoup trop lente face à l'urgence climatique. Il y a un risque. L’activiste Marge Piercy disait : « Comment comprendre quelque chose qui ne vous tue pas aujourd'hui ou demain, mais lentement, de l'intérieur pendant 20 ans ? Comment concevoir qu'un choix industriel, ou gouvernemental, signifie que nous soyons porteurs de gènes difformes et que nos petits-enfants seront mort-nés si nos enfants ont de la chance ? Des études faites sur les populations, notamment de Tchernobyl, effectuées à l'hôpital de Novossibirsk qui est à 200 kilomètres de Tchernobyl montrent que les adultes ont 50 % de maladies respiratoires de plus que la moyenne de la Fédération de Russie. Donc, dans le temps, les impacts sont avérés. »
La suite est à écouter...
On en parle avec :
- Jade Lindgaard, journaliste au pôle écologie de Mediapart, spécialiste des questions environnementales
- Pauline Boyer, activiste climat et chargée de campagne sur la transition énergétique pour Greenpeace. Co-autrice du Manifeste pour la non-violence , Edition Charles Léopold Mayer
Nucléaire : rififi à LFI
Le nucléaire divise la gauche. Le vote récent à l’Assemblée Nationale de la loi visant à accélérer les procédures administratives en vigueur pour la construction d’une installation nucléaire l’a montré. Un vote par 402 voix contre 130 – écologistes, LFI et PS – tandis que la majorité des députés PCF se sont prononcés pour. En revanche, le gouvernement, c’est heureux, n’a pas trouvé de majorité pour voter son amendement cavalier sur une fusion précipitée et non préparée de l’IRSN et de l’ASN (lire ici une analyse de cette question délicate).
Mais le nucléaire divise aussi à l’intérieur des partis de gauche qui s’y opposent. Une division mesurable dans leur électorat, dont diverses enquêtes, comme ce sondage de l’IFOP de septembre 2022, montrent qu’ils ne suivent pas nécessairement le discours des leaders.
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A l’intérieur de ces partis, les discussions sont officiellement closes sur le sujet, mais… existent tout de même. Non sans mal, comme en témoignent les péripéties affrontées par Philippe Velten, qui fut candidat aux élections municipales à Caen pour LFI, puis aux élections départementales, et qui relate ici comment il n’a jamais pu obtenir de son mouvement que ce sujet, comme celui de la planification écologique, soit correctement débattu.
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Physicien (au GANIL, Grand accélérateur national d’ions lourds et auparavant au CERN, le Laboratoire de physique des particules européens installé près de Genève), aujourd’hui vous êtes spécialisé dans les applications médicales (Protonthérapie pour le traitement du cancer).
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Fin janvier 2023, j’ai été exclu du groupe Planification Écologique et, très peu de temps après, le groupe Énergie a été verrouillé, les outils de discussions ont été fermés et limités aux personnes acceptant de reconnaître que la sortie du nucléaire est non discutable. Il est autorisé “que l’on questionne et discute sur le comment en sortir (des énergies fossiles et du nucléaire), à quel moment, par quoi on les remplace”, d’après les mots d’Angélique Huguin, animatrice du groupe et par ailleurs militante anti-nucléaire revendiquée. Mais pas pourquoi il faudrait en sortir et sous quelles conditions.
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Connu / TG le 27/03/23 à 18:55
Ndlr : communiqué de presse de lfi ? ACT
Débat en visioconférence le mercredi 29 mars à 18 h 30
organisé par le Réseau pour l'Autogestion, les Alternatives, l'Altermondialisme, l'Ecologie et le Féfminisme (Réseau AAAEF)
Avec :
- Jean Marie Brom, physicien, directeur de recherche émérite au CNRS, membre du Groupement de scientifiques pour l’information sur l’énergie nucléaire (GSIEN) et de Global Change.
- Gérard Magnin, ancien délégué régional Franche-Comté de l’Ademe, fondateur du réseau de villes européennes Energy Cities, ex-administrateur d’EDF et ex-président d’une coopérative citoyenne d’énergies renouvelables.
Douze ans après Fukushima, la filière nucléaire a réussi sa réhabilitation dans l’Hexagone, tant dans les
... discours de Macron à Belfort en février 2022 ... Selon Yves Marignac ... durant des décennies, il était répété que nucléaire civil et nucléaire militaire étaient deux choses
très distinctes, dans ce discours, le président assume de dire que l’un ne va pas sans l’autre. A partir du moment où l’on acte cela, tant que la France a une politique de défense fondée sur sa capacité de dissuasion nucléaire, l’affaire du nucléaire civil est entendue. Ce discours montre que cette dimension militaire porte le réengagement de la France dans ce programme.»
...
«Un univers qui repose sur le secret»
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Francis Chateauraynaud ... Simon Persico ... plus tangibles.» Des considérations auxquelles pourraient s’ajouter «des questions démocratiques plus profondes que pose, et que va continuer à poser, cette industrie. Elle suppose un monde très hiérarchique, clos, avec des centres de décision qui ne négocient rien du tout. [Ce qui], selon les configurations politiques, [n’est] pas toujours jugé acceptable». Pas sûr, toutefois, au regard du succès des arguments d’une énergie «décarbonée et pilotable» ou de la donne climatique, que ces considérations fassent vaciller de sitôt, et à nouveau, la couronne du nucléaire français.
Connu / TG le 26/03/23 à 22:58, puis le 27 à 19:30
Ndlr : article mesuré mais qui ne dit pas un mot de la position de GPF dt le fait qu'on n'a pas le temps de déployer un nouveau nuk :-( Dénoncer ACT
Scrutin public sur l'ensemble du projet de loi relatif à l’accélération des procédures liées à la construction de nouvelles installations nucléaires à proximité de sites nucléaires existants et au fonctionnement des installations existantes (première lecture). ... Pour 402, contre130 ...
Connu / TG le 22/03/23 à 10:29
Clés : france-5 Interviews 55 min 23 s Français tous publics Vidéo sous-titré
diffusé le 18/03/23 à 20h00 Disponible jusqu'au 17/04/23
Seconde partie.
- Immigration : Le grand déni ?
François Héran, professeur au collège de France, pour son livre "Immigration : le grand déni" au Seuil - Le débat de l'hebdo : Pour ou contre le nucléaire ?
Matthieu Auzanneau, directeur de The Shift Project et spécialiste d’écologie, face à Pauline Boyer de Greenpeace
Ndlr : excellent débat, Pauline briantissime, comme d'habitude++ Matthieu aussi, même s'il fait comme Jancovici : atténuer les morts et les risques du nuk, pousser les ENR sans parler de sobriété.
POINT MAJEUR : c'est tout de suite qu'il faut décarbonner. En plus du climat, il y a l'effondrement de la biodiversité avec le ?? qui se réduit d'année en année. C'est pourquoi, il faut d'abord miser sur la sobriété et les ENR au plus vite.
[...] Nous affirmons au contraire qu’il est urgent de planifier démocratiquement une sortie raisonnée et maîtrisée du nucléaire, pensée avec ses salariés. »
Notre député Maxime Laisney intervenait au nom du groupe sur le projet de loi relatif à l'accélération du nucléaire du gouvernement.
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Connu / TG le 13/03/23 à 19:31
Deux nouvelles fissures, causées par de la fatigue thermique, ont été trouvées sur des tuyauteries. Cette annonce remet sur le devant de la scène un problème passé au second plan depuis la découverte de la corrosion sous contrainte. Explications.
Energie |
photo : Centrale de Cattenom où une des fissures a été découverte.
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deux nouvelles fissures sur des portions du circuit d'injection de sécurité (RIS) du réacteur 2 de la centrale nucléaire de Penly (Seine-Maritime) et du réacteur 3 de Cattenom (Moselle). Ces fissures ont été découvertes à l'occasion des contrôles effectués par EDF sur des portions du RIS déposées et remplacées dans le cadre des réparations entreprises depuis la découverte des défauts de corrosion sous contrainte.
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Un phénomène découvert en 1998
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Une stratégie de contrôle à revoir
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Philippe Collet, journaliste, Rédacteur spécialisé
Connu /* TG le 13/03/23 à 16:59
Connu / TG le 13/03/23 à 14:56
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Les député·es insoumis·es et écologistes, et des représentants d'associations, vous invitent à une rencontre presse pour présenter nos analyses du projet de loi "Accélération des procédures liées au nucléaire".
Tr.: ... en présence de Pauline Boyer, Greenpeace France, de Julie Laernoes, Ecolo-Nupes et Aurélie Trouvé Lfi, ... indépendance énergétique : Rosatom transporte une énorme partie de l'uranium naturel issu des mines du Kazakhstan et d’Ouzbékistan ... climat : réduire de moitié les émissions de gaz à effet de serre d'ici 2030 ...impact direct et rapide sur les émissions de GES. Construire de nouvelles centrales n'est pas du tout dans le bon agenda climatique. Ça ne répond pas aux appels répétés des scientifiques, alors que l'on a des énergies renouvelables qui mettent un à deux ans à voir le jour. L'urgence est donc de développer des plans de sobriété, de changer nos modes de vies, de développer l'efficacité énergétique et de mettre nos ressources sur le développement des ENR. Enfin, nucléaire et accélération sont des oxymores (mots contraires) ... construire un EPR2 sur le modèle d'un fiasco industriel qui est l'EPR. Il faudrait donc prendre le temps car l'EPR2 n'existe même pas sur le papier. Donc on axe notre politique énergétique sur des modèles qui n'existent même pas aujourd'hui.
Mathilde Amco? pour le réseau Sortir du Nucléaire ... antidémocratique/CNDP pb de partialité avec Maud Regeon? ... 30% de l'eau douce consommée en Fr ... Cigéo entre 200 et 500 m3 d'eau / jour ... le rhône débit réduit d'un tiers d'ici 2045? ... le nucléaire, un ? pour l'eau ...