90 806 signatures
Les dernières forêts tropicales du Nigeria abritent arbres géants, gorilles, chimpanzés et éléphants d’Afrique. Elles sont pourtant gravement menacées par le bûcheronnage illégal et la réalisation d’un nouveau chemin forestier. Autochtones et écologistes organisent la résistance et font appel au soutien international.
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Face à la menace croissante et existentielle qui pèse sur leurs forêts, 24 chefs et anciens des communautés Ekuri, dont Edwin Ogar et Abel Egbe, ont écrit une une lettre au président du Nigeria, Muhammad Buhari.
N’ayant pas reçu la réaction présidentielle espérée, ils appellent aujourd’hui au soutien de la communauté internationale. Merci de signer notre pétition !
Tweet de Peuples autochtones
Igapo Project @IgapoProject · 10 août
Le message de @YanuwanaT : pendant des milliers d'années, ce territoire a été préservé par les peuples #autochtones et en 50 ans, une gestion calamiteuse a causé des ravages humains et environnementaux en raison de l'orpaillage illégal qui empoisonne sols et rivières de #Guyane.
Citer le Tweet
Guyane la 1ère @guyla1ere · 10 août
Christophe Pierre réalisateur et militant autochtone invité du JT soir le 9 août 2021
Dans le cadre de la journée mondiale des peuples autochtones du 9 août
Durée de lecture : 8 minutes
Clés : Culture et idées Écologie et spiritualité
Aborigènes, Amérindiens, zadistes de Notre-Dame-des-Landes... Dans « Réveiller les esprits de la Terre », l’anthropologue Barbara Glowczewski appelle à un « compagnonnage des peuples en lutte » pour « résister ensemble aux alliances économiques et financières qui détruisent la planète ».
Notes
[1] En voici un extrait : « Les espaces libérés sont des bases propres, depuis lesquelles tisser des réseaux de lutte, multiplier les offensives et amplifier les dynamiques de blocages. Mais ils sont surtout l’expérience vécue, avec toutes ses limites et imperfections, d’une existence déjà communale — soit la force même capable de soutenir une rupture avec la dévastation économique et la dépossession étatique. »
Dites au premier ministre John Horgan de stopper leur destruction
... sous la gouvernance du premier ministre John Horgan, les forêts anciennes de la Colombie-Britannique sont abattues à un rythme alarmant. ... territoires de nombreuses Premières Nations, sont reconnues au Canada et dans le monde comme étant des sanctuaires naturels parmi les plus spectaculaires de la planète.
On y trouve plus de biodiversité que dans les autres provinces canadiennes, soit près de la moitié de toutes les espèces animales et végétales du Canada, dont plus de 2 000 sont aujourd'hui menacées de disparition. [4]
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[1] https://news.mongabay.com/2021/04/with-british-columbias-last-old-growth-at-risk-government-falters-critics
[2] https://consnorth.maps.arcgis.com/apps/webappviewer/index.html?id=d1620f43f9084a99a4921e5e8b9b98dd
[3] https://thenarwhal.ca/bc-forests-logging-nine-protected-areas
[4] https://thenarwhal.ca/bc-extinction-crisis
[5] https://engage.gov.bc.ca/app/uploads/sites/563/2020/09/STRATEGIC-REVIEW-20200430.pdf
[6] https://www.cbc.ca/news/canada/british-columbia/logging-climate-change-bc-report-1.5895220
[7] https://news.mongabay.com/2021/04/with-british-columbias-last-old-growth-at-risk-government-falters-critics
Connue / https://twitter.com/greenpeaceQC/status/1423011095292358656
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Greenpeace Québec @greenpeaceQC · 2h
"Nous avons besoin de restauration écologique, pas de couper dans ces forêts. S’il n’est pas possible d'identifier les secteurs à risque, alors toutes les forêts anciennes devraient faire l’objet d’un moratoire"
Signez >> https://act.gp/3fr1gtC
ici.radio-canada.ca
L’union des chefs autochtones demande un moratoire des coupes de forêts anciennes
L'UBCIC veut le temps d'adopter une déclaration pour la protection des arbres anciens.
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125 145 signatures
L’île de Palawan, réserve de biosphère de l’UNESCO, est préservée comme nulle part ailleurs aux Philippines. Elle n’a pourtant jamais été autant menacée, car le gouvernement ouvre ses forêts et la terre des peuples indigènes aux plantations et à l’industrie. Soutenez la lutte des Autochtones contre l’entreprise Lionheart Agrotech.
Appel
Au Président et au ministre de l’Environnement des Philippines et au Gouverneur de Palawan
“Stoppez le pillage de la forêt tropicale et de la terre des Autochtones au sud de Palawan !”
« Notre terre, notre nature » est le premier congrès à aborder la manière de décoloniser la protection de la nature. #DecolonizeConservation
L’objectif de l’industrie de la conservation visant à transformer 30 % de la planète en « aires protégées » et l’argument selon lequel les « Solutions fondées sur la nature » empêcheront la perte de biodiversité et le changement climatique sont infondés.
Ce congrès alternatif montrera qu’il s’agit de solutions trompeuses et colonialistes à ces crises, et que ces approches détruisent les meilleurs gardiens du monde naturel : les peuples autochtones, qui préservent 80 % de la biodiversité de la planète.
LES INTERVENANTS INCLUENT :
Norberto Altamirano Zárate, Militant communautaire binniza (zapotèque), Mexique : Les fausses solutions au changement climatique
Guillaume Blanc, Historien et maître de conférence à l'université de Rennes 2, France - Qu’est-ce que la « conservation forteresse » ?
Archana Soreng, Groupe consultatif de la jeunesse sur les changements climatiques auprès du Secrétaire Général de l’ONU, Inde 30X30
John Vidal, Ancien rédacteur en chef des questions environnementales au Guardian, Royaume-Uni - Le rôle des médias et des bailleurs de fonds
Lottie Cunningham Wren, Centro por la Justicia y los Derechos Humanos de la Costa Atlántica de Nicaragua CEJUDHCAN, Nicaragua - La terre, notre avenir. Les peuples autochtones et leur rôle dans la protection de l’environnement
Pranab Doley, Activiste mising, membre fondateur et conseiller du JKSS, Inde - La militarisation de la conservation et son impact sur les peuples autochtones
Connu / https://twitter.com/survivalfr/status/1415686787788197898
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Survivalfr @survivalfr
Fatigués d'entendre parler de "solutions" au changement climatique de la part de ceux-là mêmes qui ont causé ce désordre ?
Venez écouter plus de 30 experts, activistes, autochtones et non autochtones parler d'alternatives qui respectent les droits humains et l'environnement. Image
Leeladhar Tokala 4:56 PM · 15 juil. 2021·- 5 Retweets 5 J'aime
· 2h
"Notre terre, notre nature" est le premier congrès à discuter de la manière de décoloniser la conservation de la nature et une alternative au congrès de l'#IUCN où les voix autochtones sont trop souvent réduites au silence.
http://svlint.org/OLON-FR #OurLandOurNature
MOgada et 4 autres personnes - 0 - 6 - 5"
1.530 mels envoyés
A: Président Jair Bolsonaro, ministre André Mendonça, ministre Bento Costa Lima Leite de Albuquerque Junior et ministre Ricardo Salles
addresses:sgpr@presidencia.gov.br ; casacivil@presidencia.gov.br ; chefiadegabinete@mj.gov.br ; gab.msp@seguranca.gov.br ; ricardo.salles@mma.gov.br ; gabinete@mme.gov.br
Le peuple yanomami a alerté que les milliers d'orpailleurs opérant illégalement sur leur territoire menaçaient leur survie, ainsi que la survie de l'un des territoires les plus riches en biodiversité du Brésil.
Je me joins à l'appel des Yanomami et vous exhorte donc à respecter la Constitution, à immédiatement expulser les travailleurs miniers – et à faire en sorte qu'ils ne reviennent pas –, de même qu'à interrompre tout projet permettant une exploitation minière à grande échelle sur le territoire des Yanomami. Veilliez aussi à ce que les équipes sanitaires – qui doivent être urgemment mises en place – traitent la Covid-19, la malaria et d'autres maladies parmi les yanomami contactés.
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🌳 Vous vous souciez de la nature n'est-ce pas ? Alors prêtez attention ! 👇
Lors du prochain sommet de la Convention sur la diversité biologique, des dirigeants mondiaux prévoient de conclure un accord visant à convertir 30 % de la Terre en "aires protégées" d'ici 2030 . 🌎
Les grandes ONG de protection de la nature affirment que cela atténuera le changement climatique, réduira la perte de biodiversité et sauvera l'environnement. Elles ont tort !
En Afrique et en Asie, la création "d'aires protégées" a entraîné l'expulsion des peuples autochtones et des communautés locales de leurs terres ancestrales, provoquant la violence, la faim et une détérioration dramatique de leur santé. Or, les peuples autochtones sont les meilleurs gardiens du monde naturel ! Ils ont maintenu en parfait équilibre les zones que nous considérons aujourd'hui comme "vierges".
L'objectif de 30 % sera en fait le plus grand accaparement de terres de l'histoire - un désastre pour des millions de personnes et pour l'environnement. Regardez la vidéo pour en savoir plus et partager.
✊ Aidez-nous à arrêter ce #BigGreenLie 👉 https://svlint.org/mailgmv
Pour plus d'informations, rendez-vous sur notre site 👉 https://svlint.org/mensongevert
Cette vidéo est narrée par la comédienne et auteure Audrey Vernon.
3 commentaires
An Selm il y a 14 heures
Est-ce vraiment la création de ces aires protégées que vous critiquez ou plutôt la manière dont ces aires sont (ou ont été) gérées jusqu'ici ? Peut-être y a-t-il de la valeur dans l'idée en soi ? Peut-être pouvons-nous imaginer des aires protégées gérées par les autochtones eux-mêmes ?
Autant que je suis complètement en soutien de votre motivation de base - protéger les terres des peuples autochtones et donc protéger la biodiversité, à l'heure actuelle (1er jour) votre campagne n'a rien a proposer qu'un CONTRE. Pour moi ce n'est pas très motivant. Je suis sûr que vous pouvez aussi trouver un POUR...
Par exemple, en créant de la visibilité des crimes commis au nom de la protection dans le passé - pouvons-nous pas mettre la pression pour que ces nouvelles aires évitent ces crimes et soient VRAIMENT au service de la vie ?
Survival International en français il y a 14 heures
Bonjour An Selm, merci pour votre commentaire. Pourquoi créer des aires protégées alors qu'il existe déjà une solution rapide, peut couteuse et efficace qui est celle de soutenir autant de terres autochtones que possible ? Il faut savoir qu’aires protégées et territoires autochtones ne sont pas la même chose. Souvent, les aires protégées excluent ou limitent les activités humaines, comme l'indique l'UICN (Union internationale pour la conservation de la nature) sur son site (il y a au total 7 catégories d’aires protégées) Tout ce qui appartient aux catégories I à IV de l'UICN est généralement exclusif de l'humain. En outre, ce sont les catégories les plus exclusives d'aires protégées qui ont la faveur des gouvernements et des ONG. La plus grande proportion de sites en Asie, aux Caraïbes, en Amérique centrale, en Europe et au Moyen-Orient sont classés dans la catégorie de gestion IV de l'UICN. En Afrique, la plus grande proportion de sites est classée dans la catégorie de gestion II de l'UICN. Ainsi, au lieu de créer des aires protégées, il faut reconnaître les droits territoriaux des peuples autochtones et leur donner les moyens de protéger leurs territoires. Les peuples autochtones sont les meilleurs gardiens de la nature. Assurer la protection des terres autochtones doit être le principal mécanisme de préservation de la biodiversité.
Connu / https://twitter.com/IgapoProject/status/1385282598977540096
7:21 PM · 22 avr. 2021·- 10 Retweets 11 J'aime
LE VOTE À LA MAJORITÉ — CONSIDÉRÉ PAR CERTAINS COMME ÉTANT LE PARANGON DU VOTE DÉMOCRATIQUE —, POSE UN CERTAIN NOMBRE DE PROBLÈMES DANS LES PETITES ORGANISATIONS COMME LES ASSOCIATIONS, LES ONG, LES ENTREPRISES, ETC.
POUR RÉSOUDRE LES TENSIONS ET CONFLITS QUE CELA GÉNÈRE, ON A VU SE DÉVELOPPER DES TECHNIQUES FAVORISANT UNE MEILLEURE « GOUVERNANCE 1 » (SOCIOCRATIE, DÉMOCRATIE PROFONDE...) OU ENCOURAGEANT L’ÉMERGENCE D’« INTELLIGENCE COLLECTIVE » (FORUM OUVERT, WORLD CAFÉ...). LEUR EFFICACITÉ EST REMARQUABLE CAR ELLES MISENT SUR LA COOPÉRATION, ELLES VOIENT LE GROUPE COMME UN ORGANISME VIVANT ET N’HÉSITENT PAS À PLONGER DANS L’INCONSCIENT DU GROUPE. SUR QUELS PRINCIPES S’APPUIENT-ELLES ?
PEUT-ON RÉELLEMENT AMÉLIORER LE VOTE DIT « DÉMOCRATIQUE » ?
...
les groupes tatônnent, ils sont maladroits, expérimentent, bricolent, cherchent des méthodes et des solutions. Comme l’analyse David Vercauteren dans son livre Micropolitique des groupes, ce qui manque aux groupes, ce sont finalement des savoirs pratiques
...
décisions prises à la règle de la majorité (et abusivement dites « démocratiques 5 »)
...
certains peuples premiers avaient développé d’autres règles, très simples, pour que les collectifs soient créatifs et restent en bonne santé, comme le fait de se placer en cercle ou de pratiquer le tour de parole 7.
...
anthropologues ... Faire émerger l’intelligence collective ... « l’avantage de tendre à une décision à l’unanimité, c’est que dans toutes ces objections, dans ces “non” ou ces “oui, mais”, il y a une perspective nouvelle qui n’a pas encore été prise en compte par le groupe et qui apporte un supplément de sagesse ». ... « principe d’équivalence permet à une intelligence collective, qui est là, latente, de s’exprimer, d’émerger. Il y a une sorte d’alchimie qui apparaît soudain » ... Le groupe co-créé : le tout est plus que la somme des parties. ... La compétition renforce l’ego ... confiance ... le groupe se sent en sécurité.
...
Plonger dans « l’inconscient du groupe »
... macropolitique 11 d’un groupe ... Or, un groupe est toujours traversé de forces invisibles, de non-dits, d’un langage non-verbal, d’interprétations, d’émotions et de trajets personnels qui se croisent. C’est ce que l’on appelle son « inconscient ». L’invitation de David Vercauteren à s’attarder sur cette micropolitique est une invitation à partir à la recherche des comportements, du ton, du choix des mots, des attitudes corporelles et de l’ambiance pour décrypter les secrets de ces fameuses forces internes qui déplacent des montagnes ou brisent des groupes. Une sorte de « tectonique des groupes ». En permaculture, on appelle cela « les structures invisibles 12 ».
L’écologie des groupes
... manière plus organique de fonctionner ... près de 90 % de la communication se transmet par le non-verbal... être vigilant sur les risques ... les conflits sont indispensables à la vie ... font partie intégrante de l’humain 15 ... les techniques collaboratives ne sont pas là pou les comprendre et apprendre à vivre avec ... risque totalitaire ... ne pas considérer ces méthodes comme naturellement anti-hiérarchiques ou « écologiques ».
De plus, ces techniques collaboratives ne se mêlent pas de la finalité (de la « raison d’être ») des entreprises ou des groupes. Soigner le comment ne fait pas automatiquement changer le pourquoi.
...
applicables à grande échelle ? ... essayer ...
Ndlr : confirme mes propres observations : sur la prise en compte des risques, sur le "pourquoi". Valoriser ACT
À propos de noé
Noé est une association de protection de la nature, d’intérêt général et à but non lucratif, créée en 2001 par Arnaud Greth, son Président - Fondateur. .
Elle déploie en France et à l’international des actions de sauvegarde de la biodiversité pour le bien de toutes les espèces vivantes, y compris de l’espèce humaine.
Pour cela, Noé met en oeuvre des programmes de conservation d’espèces menacées, de gestion d’espaces naturels protégés, de restauration de la biodiversité ordinaire et des milieux naturels, de reconnexion de l’Homme à la nature, et de soutien aux activités économiques et aux organisations de la société civile favorables à la biodiversité.
Historique
- 1998 Arnaud Greth rencontre Olivier Chiabodo, homme de médias français connu pour l’animation de plusieurs programmes de télévision. Ils créent ensemble Les carnets de Noé, une série documentaire pour la télévision.
- 2000 Les bases d’une fondation avaient été jetées grâce à l’émission Les carnets de Noé. Mais c’est finalement une association qui émerge ... incubée durant quelques années par le WWF France & la Fondation pour la Nature et l’Homme (FNH) de Nicolas Hulot.
- 2001 - 2003 premières années grande campagne « L’arche de Noé » afin de trouver des fonds pour faire vivre ses projets et nourrir ses ambitions. Une centaine d’entreprises est sollicitée. La société Autoroutes du sud de la France (actuellement Vinci) apporte les premiers fonds.
- 2004 Premier salarié / premier programme l’Observatoire des papillons des jardins (désormais connu sous le nom de "Opération Papillons") ... sciences participatives ...
- 2008 huit salariés et dépasse le million d’euros de budget de fonctionnement ... programme Jardins de Noé, encore actif de nos jours fédère des jardiniers ...
- 2009 Bouygues Construction apporte un soutien financier considérable à Noé, ce qui permet d’imaginer et de lancer de nouveaux programmes en France autour de la biodiversité ordinaire : protection des insectes pollinisateurs, lutte contre la pollution lumineuse, aménagement du bâti et du territoire… développe ses solutions.
- 2012 L’asso se structure / pôles ... L’équipe salariée grandit.
- 2013 à l’international projets de conservation de la nature au Niger et au Tchad où elle est encore présente actuellement.
- 2015 COP21 Paris campagne "The voice of Nature" / préservation biodiversité inscrite dans l'accord de Paris ... donnait la parole à Koko, femelle gorille ... sait communiquer par le langage des signes.
- 2016 campagne nationale de sensibilisation / menaces / biodiversité ordinaire nommée "Dans l'ombre des plus grands, les plus petits disparaissent" ... en Afrique projets de délégation de gestion d’aires protégées.
- 2018 Naissance du premier Parc de Noé au Niger avec la Réserve Naturelle Nationale de Termit et Tin-Toumma.
- 2019 lance "Stop pesticides !" et organise des actions de mobilisation et de plaidoyer afin d'étendre la loi Labbé à tous les lieux de vie ... rédige un manifeste, publie une pétition et anime un colloque au Sénat dans ce cadre afin d'interdire l'utilisation des pesticides de synthèse dans tous les lieux de vie.
- 2019 fusionne avec l’association Man and Nature -> mission Filières naturelles & Economie verte de Noé au Ghana, Cameroun en périphérie des aires protégées et auprès des communautés autochtones ... les accompagner, avec le concours d’ONGs locales, vers des activités qui permettent de préserver la biodiversité et de générer des revenus durables.
- 2020 Le Pôle International s’installe à Marseille. Désormais, l’association compte 2 implantations en France métropolitaine avec le bureau parisien.
Noé compte 7 autres antennes dans le monde pour travailler au plus près du terrain : Niger, Ghana, Tchad, Cameroun, Monténégro, Albanie et Nouvelle-Calédonie.
Mentions légales
Noé 47 rue Clisson 75013 Paris – FRANCE contact@noe.org - 01 82 83 34 20
Resp éditorial : Arnaud Greth, Président de Noé
Hébergeur Infomaniak - 1227 Carouge / Genève, Suisse
Ndlr : que vaut leur accompagnement ?
Quelle confiance leur accorder, quels résultats effectifs, qu'en pensent les peuples premiers ? ACT
Vu https://noe.org/club-agata avec des partenaires institutionnels dont ÉCOPHYTO qui est pour le moins controversé, on peut avoir des doutes...
Approfondir ACT
Connue / https://wegreen.fr/post/190027
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Hélène Tabry a partagé un post dans le groupe Arts, cinéma & documentaires
il y a 4 semaines Public 3 likes - 90min
Un beau film à voir, sur un voyage de 5 années autour du globe pour apprendre des traditions et sagesses indigènes à mieux vivre sur cette planète. Pour le nouvel an, en guise de cadeau, le réalisateur a mis son film online afin de contribuer à une forme de vie plus connectée et plus consciente sur notre terre mère. Vision d’un monde où il y a de la place pour toutes les espèces et toutes les cultures.
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Ndlr : existe en français et si oui, titre ? ACT
Monde JUSTICE Le défenseur emblématique de la forêt amazonienne demande à la Cour pénale internationale d’enquêter pour « crimes contre l’humanité » contre le président brésilien, accusé de « persécuter » les peuples autochtones
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Cette communication à la CPI d’une cinquantaine de pages, rédigée par l’avocat français William Bourdon, rassemble les accusations portées par des dizaines d’ONG locales et internationales, des institutions internationales et par des scientifiques spécialistes du climat : suspension du démarquage des territoires autochtones, projet de loi pour ouvrir les zones protégées à l’exploitation minière et agricole, budget restreint des agences environnementales reprises en main par les militaires, meurtres impunis de sept chefs autochtones en 2019
...
Deuxième demande d'enquête à la CPI contre Bolsonaro
En juillet 2020, des membres du personnel de santé au Brésil ont aussi demandé une enquête à la CPI pour « crime contre l’humanité » contre Bolsonaro, cette fois pour sa gestion de la pandémie de Covid-19. Un mois plus tôt, dans un entretien à l’AFP, le chef Raoni avait accusé le président d’extrême-droite brésilien de vouloir « profiter » de la pandémie pour éliminer son peuple.
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Connu / https://twitter.com/86Greenpeace/status/1353437992195514369
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Greenpeace Poitiers @86Greenpeace · 1h .#JairBolsonaro, président du #Brésil, accusé de #CrimesContreLhumanité par le cacique #Raoni Matuktire, défenseur de la #Forêt #Amazonie à la #CPI #CourPénaleInternationale + #Écocide #PeuplesAutochtones - 0 - 3 - 1
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C’est du colonialisme pur et simple : de puissants intérêts mondiaux prennent sans honte les terres et les ressources de personnes vulnérables tout en prétendant le faire pour le bien de l’humanité.
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Le colonialisme vert est basé sur le racisme, la violence et l’intimidation
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Des organisations “respectables” telles que le WWF, la WCS et African Parks, soutiennent le colonialisme vert
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Les peuples autochtones dehors : bienvenue aux touristes, chasseurs de trophées et bûcherons
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Il est temps d’adopter une nouvelle approche
Quiconque se soucie vraiment de la planète doit cesser de soutenir toute forme de “conservation” qui blesse, aliène et détruit les meilleurs alliés de l’environnement. Le temps est venu pour une nouvelle conservation de la nature qui reconnaisse les peuples autochtones comme des partenaires de premier plan dans la lutte pour la protection de leurs propres terres.
Depuis plus de trente ans, Survival fait campagne contre les atrocités commises au nom de la “conservation” de la nature. Rejoignez-nous maintenant pour décoloniser la protection de la nature (#DecolonizeConservation) et défendre une nouvelle approche qui donne une place centrale aux peuples autochtones. Ils étaient des experts de la conservation bien avant que le concept de “conservation de la nature” ne soit même inventé.
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https://twitter.com/dadigolo/status/1335171500949839873
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Survivalfr a aimé
Dadigolo Rémi @dadigolo · 7h
Le WWF a publié un rapport sur les violations de droits humains qu'il a commises dans le bassin du Congo, en Inde et au Népal. Le rapport a été commandé par le WWF lui-même. via @survivalfr
survivalinternational.fr - 0 - 1 - 1
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Vidéo de présentation du documentaire https://vimeo.com/49394492
Documentaire
Langue(s) : Français
Thématiques : Faim et malnutrition, Transformation et filière, Agrobusiness
Pays : Brésil
Réalisateur(s) : An BACCAERT Nico MUNOZ et Cristiano NAVARRO
Durée : 32minutes
Année de sortie : 2011
Production : des réalisateurs
Mot(s)-clé(s) : Agrocarburants, Environnement, Revenu/Pauvreté
Zone(s) géographique(s) : Amérique latine
Sélection officielle du festival ALIMENTERRE 2012
Synopsis
A l’ouest du Brésil (Mato Grosso do Sul), les indiens Guarani-Kaiowá ont perdu 90 % de leur territoire depuis 1915.
Après le bétail et le soja, leur cauchemar est devenu l’expansion des cultures de canne à sucre pour la production d’éthanol. La faim s’installe, un comble pour ce peuple dont la variété des aliments faisait autrefois l’admiration.
Aujourd’hui confinés dans des réserves, ils se battent pour retrouver leurs droits et leurs terres.
Titre original : "The Dark Side of the Green"
Voix-off de la version française : Rebecca MARTIN
Dans La lettre du journal en ligne [n°57]
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11.09.2020 Anthropologie
Comment la pandémie provoquée par le SARS-Cov-2 a-t-elle affecté les populations autochtones ? C'est ce qu'a tenté de savoir l’anthropologue Irène Bellier, directrice de recherche au CNRS, en analysant un vaste corpus de données autour de cette question.
12,398 signataires
L'année dernière, le monde entier a regardé avec horreur de vastes zones de la forêt amazonienne brûler. Cette année, la COVID-19 semble avoir changé la donne. Pourtant, au moment où vous lisez ces lignes, des flammes rugissantes continuent de menacer toutes formes de vie en Amazonie. En fait, le nombre d’incendies enregistrés en août sera probablement encore plus élevé que l'année dernière...[1]
Ces feux de forêt ne sont pas accidentels. L'Amazonie est incendiée délibérément afin de défricher des terres pour l'agriculture. L’objectif? Répondre à la demande mondiale de viande et d'autres produits bon marché. Alors que la forêt brûle, le gouvernement canadien doit faire preuve de leadership et faire comprendre que notre pays et les Canadien·nes n'accepteront pas de marchandises au prix des droits des peuples autochtones et de la destruction de la forêt tropicale.
Pourtant, il fait exactement le contraire. Le Canada négocie actuellement un accord de libre-échange Canada-Mercosur. Cet accord augmenterait massivement les exportations de viande du Brésil vers le Canada qui pourraient atteindre jusqu’à 1,8 milliard de dollars par an.[2] Ces exportations sont les principales responsables des incendies en Amazonie !
C'est urgent. Si la déforestation et les incendies se poursuivent, toute la forêt tropicale humide atteindra un point de non-retour.[3] Le Sommet sur la biodiversité des Nations Unies aura lieu le 30 septembre, donc très prochainement. Envoyons un message clair : le Canada ne peut pas négocier des accords commerciaux destructeurs et être un leader dans la protection de la biodiversité.
Dites au ministre des Affaires étrangères François-Philippe Champagne que le Canada doit immédiatement mettre un terme aux négociations de libre-échange Canada-Mercosur et protéger l'Amazonie.
Nous devons envoyer un message clair qui remontera jusqu'au président brésilien Jair Bolsonaro : le Canada ne conclura pas d'accords commerciaux dont le prix serait la destruction de l'Amazonie.
1 - https://www.reuters.com/article/us-brazil-environment-fires-exclusive/exclusive-brazil-amazon-fires-likely-worst-in-10-years-august-data-incomplete-government-researcher-says-idUSKBN25T349 (en anglais)
2 - https://www.greenpeace.org/canada/en/story/41711/amazon-bolsonaro-cattle-abcs-of-destruction/#ref-20 (en anglais)
3 - https://news.mongabay.com/2019/12/the-tipping-point-is-here-it-is-now-top-amazon-scientists-warn/ (en anglais)
Ces hommes de Khadia ont été chassés de leur terre après qu'elle ait été transformée en réserve de tigres. Ils ont vécu pendant des mois sous des bâches en plastique. Des millions d'autres sont confrontés à ce sort si le projet des 30% se réalise.
Lors du prochain sommet de la Convention sur la diversité biologique, les dirigeants mondiaux prévoient de s'accorder à transformer 30 % de la Terre en "zones protégées" d'ici 2030.
Les grandes ONG de protection de la nature affirment que cela permettra d'atténuer le changement climatique, de réduire la perte d'espèces sauvages, d'améliorer la biodiversité et donc de sauver notre environnement. Elles se trompent.
Les zones protégées ne sauveront pas notre planète. Au contraire, elles augmenteront la souffrance humaine et accéléreront ainsi la destruction des espaces qu'elles prétendent protéger, car l'opposition locale aux zones protégées augmentera. Elles n'ont aucun effet sur le changement climatique et il a été démontré qu'elles ne parviennent généralement pas à empêcher la disparition de la faune sauvage.
...
Pourquoi devrions-nous nous y opposer ?
En doublant les aires protégées pour couvrir 30 % du globe, ces problèmes ne feront qu'empirer. Les régions les plus riches en biodiversité étant celles où vivent encore des peuples autochtones, elles seront les premières zones ciblées par l'industrie de la conservation de la nature. Il s'agira du plus grand accaparement de terres de l'histoire humaine et cela privera des centaines de millions de personnes de leurs terres et les réduira à la pauvreté – tout cela au nom de la conservation de la nature. La création d’aires protégées a rarement été réalisée avec le consentement des peuples autochtones ou dans le respect de leurs droits humains. Rien n'indique qu'il en sera autrement à l'avenir. Augmenter le nombre d'AP risque d'entraîner une militarisation accrue et des violations des droits humains.
L'idée de la "conservation-forteresse" – qui est que les populations locales doivent être chassées de leurs terres afin de protéger la nature – est coloniale. Elle est nuisible à l'environnement et s'enracine dans des idées racistes et écofascistes qui consistent à déterminer quelles personnes valent plus, lesquelles valent moins et lesquelles peuvent être expulsées et appauvries, ou attaquées et tuées.
L'industrie de la conservation de la nature cherche à obtenir 140 milliards de dollars chaque année pour financer son vol de terres.
Que proposons-nous ?
Nous devons lutter contre ce grand mensonge vert.
Si nous voulons vraiment freiner la perte de biodiversité, la méthode la moins chère et la mieux éprouvée consiste à soutenir autant de terres autochtones que possible. Quatre-vingt pour cent de la biodiversité de la planète s'y trouve déjà.
Pour les peuples autochtones, la nature et toute l'humanité. #BigGreenLie
Plus d'informations sur l'accaparement de 30 % des terres :
- Mapping For Rights: Le « cadre mondial pour la biodiversité pour l'après-2020 » https://www.mappingforrights.org/MFR-resources/mapstory/cbddrive/300_millions_menac%C3%A9s_par_le_lecteur_CBD
- Les mirages de la conservation de la nature https://blogs.mediapart.fr/marie-ndenga-hagbe/blog/250620/les-mirages-de-la-conservation-de-la-nature-par-stephen-corry
- .#DecolonizeConservation: Voix autochtone https://survivalinternational.fr/textes/voixautochtoneconservation
- Déclaration commune https://assets.survivalinternational.org/documents/1962/fr-ngo-concerns-over-the-proposed-30-target-for-protected-areas-and-absence-of-safeguards-for-indigenous-people-and-local-communities-200901.pdf
91 9487 signatures
Moustac à oreilles rouges dans la forêt d’Ebo au Cameroun (© Robbie Whytock, San Diego Zoo Global)
La forêt d’Ebo au Cameroun est un trésor de biodiversité. Elle abrite chimpanzés, gorilles et de nombreuses autres espèces menacées. Alors que des actions sont menées de longue date pour la classer et la protéger comme parc national, le gouvernement camerounais a décidé d’en ouvrir 150 000 hectares à l’exploitation forestière.
Appel
Au Président de la République du Cameroun Paul Biya
“La forêt d’Ebo est l’un des lieux possédant la plus grande diversité biologique de la planète. Elle ne doit pas être sacrifiée à l’exploitation forestière.”
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ses 700 chimpanzés du Nigeria-Cameroun semblent les seuls au monde à maîtriser à la fois le cassage des noix à l’aide de pierres et de marteaux en bois et la pêche des termites avec des bâtons. Dans les autres régions, les chimpanzés maîtrisent uniquement l’une ou l’autre des deux techniques.
En 2002, la primatologue Bethan Morgan a fait une découverte sensationnelle : repérer des gorilles dans la forêt d’Ebo, à plus de 200 km des autres groupes de gorilles connus. Ils pourraient être une nouvelle sous-espèce !
Les habitants de plus de 40 communautés vivent dans et autour de la forêt d’Ebo, sans la mettre en danger, depuis plusieurs siècles. Génération après génération, ils vont y chasser, pêcher, cueillir des plantes alimentaires et médicinales, pratiquer l’agriculture à petite échelle. La forêt revêt pour eux une importance spirituelle pour les rituels traditionnels. On y trouve de nombreux sites funéraires.
La nature et les moyens de subsistance de la population sont aujourd’hui menacés !
Le gouvernement camerounais a décidé le 4 février 2020 la création de deux concessions d’exploitation forestière sur 150 000 hectares dans la forêt d’Ebo, sans consulter ni en informer la population et en ignorant ses droits sur ses terres ancestrales.
L’exploitation forestière causerait des dommages écologiques, sociaux et climatiques dévastateurs : elle constitue souvent la première étape vers la destruction à grande échelle des écosystèmes et précède l’invasion des braconniers, colons et spéculateurs fonciers. Les habitants perdraient leurs moyens de subsistance et seraient davantage exposés aux nouvelles maladies.
Population locale, scientifiques et écologistes luttent pour la protection de la forêt d’Ebo et de ses habitants. Merci de les soutenir avec votre signature.
We’ve already collected 356283 au 31/7/20 (312803 signatures au 2/7/20)
The #MinersOutCovidOut campaign is an initiative launched by the Yanomami and Ye’kwana Leadership Forum, Hutukara Yanomami Association (HAY), Wanasseduume Ye'kwana Association (SEDUUME), Kumirayoma Yanomami Women’s Association (AMYK) Texoli Ninam Association of Roraima State (TANER) and the Yanomami Association of the River Cauaburis and Affluents (AYRCA).
This petition will be sent to:
Rodrigo Maia President of the Chamber of Deputies
Davi Alcolumbre President of the Federal Senate
Eduardo Fortunato Bim President of IBAMA (Brazilian Institute of the Environment)
Fernando Azevedo Minister of Defense and Armed Forces
André Mendonça Minister of Justice and Public Security
Gen. Hamilton Mourão Vice-president of the Republic
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Connue / https://twitter.com/survivalfr/status/1273173033843339265
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Survival International a aimé Survivalfr @survivalfr · 15h
Gillian Anderson, actrice et sympathisante de Survival, soutient les Yanomami dans leur lutte contre les orpailleurs & la #Covid_19.
Ferez-vous de même ?
· 16 juin
Actress & @Survival supporter Gillian Anderson is backing the Yanomami in their fight against miners & #covid-19.
Will you do the same? Share! #MinersOutCovidOut #ForaGarimpoForaCovid - 41 Ko - 0 - 2 - 3
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