81 abonnés - 5 - 85 vues - 1 commentaire
🔴 Je suis au festival Les Bure'lesques et je suis intervenu hier sur la thématique « Défendre nos territoires, ça urge ! ».
J’étais aux côtés des acteurs locaux Jean Marc Fleury (27 ans de luttes membre de EODRA) et d’Angélique Huguin (militante coordinatrice).
🔴 Voici les liens pour mes réseaux sociaux officiels :
Twitter : https://bit.ly/3OIiUaV
Facebook : https://bit.ly/3zHSXEj
Instagram : https://bit.ly/3Bvydkr
Telegram : https://t.me/actus_BEX
Connu / tg 11/7/22 20:25
Enfouissement des déchets nucléaires à Bure : Une utilité publique inacceptable pour un projet dangereux !
Le gouvernement vient de franchir une nouvelle étape dans sa volonté d’imposer ...
Connu / tg 8/7/22 16:48
Connu / tg 8/7/22 16:40
"
Décret déclarant "d'utilité publique" la poubelle dénommée dans la novlangue CIGEO
"
Le 8 juillet, le projet Cigéo a été déclaré d’utilité publique et classé parmi les opérations d’intérêt national. Ces décrets
...
Connu / tg 9/7/22 15:06
Connu / tg 9/6/22 16:52
... les éditions Cambourakis rééditent le livre de la militante antinucléaire Xavière Gauthier, "La Hague, ma terre violentée" (1981) dans une version augmentée intitulée "Retour à la Hague : Féminisme et nucléaire". Nous publions ici sa postface rédigée en janvier 2022. Il s'agit d'une lettre ouverte adressée à l'activiste suédoise Greta Thunberg où l'autrice tisse des liens entre luttes féministes et antinucléaire et mouvement climat.
Temps de lecture : 13 minutes
Extrait de Xavière Gauthier, Sophie Houdart & Isabelle Cambourakis, Retour à La Hague : Féminisme et nucléaire, Collection Sorcières, Éditions Cambourakis, Paris, 2022
...
Les forces russes ont pénétré près du dépôt de déchets nucléaires de Tchernobyl, où des combats avec les forces ukrainiennes ont éclaté.
...
L'Autorité de sûreté nucléaire rend ses conclusions sur la gestion des déchets radioactifs
L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a publié lundi son avis sur les déchets les plus radioactifs, relativisant l'intérêt de l'entreposage temporaire à faible profondeur et jugeant pas crédible la piste de la possible transmutation des déchets.
...
Ndlr : parle plus bas de "transmutation" : encore une solution magique ?
Dans l’Aube, le Cires, seul centre français de stockage destiné aux déchets très faiblement radioactifs, arrivera à saturation entre 2025
Connu / tg 20/2/22 à 13:15
Durée de lecture : 4 minutes - Clés : Nucléaire, Déchets nucléaires
Le président de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a décrit le 19 janvier les « fragilités du cycle du combustible et du parc nucléaire ». Il a ouvert l’hypothèse d’arrêter à terme le retraitement des combustibles usés, une particularité de l’industrie française.
...
Bernard Doroszczuk ... la France est le seul pays, avec la Russie, à retraiter les combustibles usés sortis des réacteurs nucléaires. Lancé dans les années 1960, cette série très lourde d’opérations visait à isoler le plutonium, matière indispensable à la fabrication des bombes atomiques. Depuis, le besoin est devenu moins pressant. Mais alors que presque tous les autres pays recourant au nucléaire ont arrêté le retraitement (États-Unis, Royaume-Uni) ou ne l’ont jamais mis en œuvre (Allemagne, Japon, Belgique, Suède, Finlande, etc.), la France a continué. Résultat : au lieu d’avoir une seule catégorie de déchets radioactifs, les combustibles usés, elle a en toute une série. Chacun pose un difficile problème de gestion : plutonium (on n’arrive pas à utiliser tout le stock), actinides mineurs, uranium de retraitement, Mox usé, etc. En évoquant la fin du retraitement, M. Doroszczuk s’attaque donc à une vache sacrée des nucléaristes français.
...
plusieurs de ses maillons sont engorgés :
• la piscine de l’usine de La Hague (Manche), dans laquelle sont stockés pour l’instant les combustibles usés, arrive à saturation ;
• l’usine Melox d’Orano, dans laquelle on recycle une partie du plutonium pour en faire du combustible, dit Mox, marche très mal : « Nous avons trop de pannes. L’an dernier, nous avons produit entre 50 et 60 tonnes alors que le carnet de commandes affiche 120 tonnes par an », a dit à Usine Nouvelle Régis Faure, porte-parole du site Orano Melox ...
• enfin, a révélé le président de l’ASN, « la corrosion plus rapide que prévu des évaporateurs de l’usine d’Orano La Hague fragilise les capacités de retraitement ».
Il recommande donc d’anticiper la crise, et soit de choisir la poursuite du retraitement, soit son arrêt. Dans les deux cas, cela impliquera des investissements très conséquents, auxquels il faut réfléchir dès maintenant.
« Un accident nucléaire est toujours possible »
... il n’est pas du tout acquis que les réacteurs pourront fonctionner au-delà de cinquante ans, a indiqué M. Doroszczuk. Et la filière manque de compétences, tant pour gérer le parc actuel et son démantèlement à venir que la gestion des déchets : il faudrait « former 4 000 ingénieurs par an ». On en est loin.
...
de l’anticipation. »
Connu/ TG 21/1/22 17h52
Connu / tg
"
Le projet d'enfouissement des déchets nucléaires à Bure (Meuse) a reçu lundi un avis favorable de la commission d'enquête publique ...
"
Yves Picard a retweeté CEDRA @cedra_collectif · 14 déc.
La Cour des comptes avertit sur les risques de dérapages financiers des #EPR et anticipe déjà un agrandissement de #Bure ou le besoin d'un second #Cigéo. Le monde merveilleux du #nucléaire et de ses incertitudes cauchemardesques.
lefigaro.fr
Elle suggère aussi d'intégrer la gestion des déchets nucléaires supplémentaires dans le calcul du coût total d'un renouvellement du parc nucléaire.
0 - 35 - 37
Connu / [cyber-quotidien] E-quotidien du mercredi 24 novembre 2021
Durée de lecture : 5 minutes
Clés :* Déchets nucléaires Eau, rivières, océans
La filière nucléaire dégage des déchets radioactifs, mais aussi des substances polluantes telles que le nitrate. Une association compare le site de retraitement de La Hague à une mégaporcherie industrielle.
...
Selon l’association Robin des bois, l’usine de retraitement de déchets radioactifs de La Hague, en Normandie, polluerait autant qu’une porcherie industrielle de 100 000 porcs. Chaque année, elle rejette 2 000 tonnes de nitrates directement dans la Manche. Ces substances chimiques sont issues de l’acide nitrique utilisé pour dissoudre les combustibles irradiés et pour séparer le plutonium, l’uranium et les produits de fission.
« La Hague peut se vanter d’être la plus grande porcherie du monde, s’exclame Jacky Bonnemains, le porte-parole de l’association joint par Reporterre. Elle dépasse même la pollution de la mégaporcherie de Nanyang, en Chine, qui va héberger plus de 84 000 truies. » Pour Robin des bois, les rejets bruts de nitrates déversés par l’usine de La Hague, ainsi que leur accumulation depuis plus de cinquante ans, contribueraient à l’eutrophisation des zones marines situées à proximité : le golfe normano-breton, la baie de Seine, la Manche Nord, etc. « L’usine de La Hague participe à la prolifération des algues vertes dans la région, assure Jacky Bonnemains. C’est une pollution ancienne, mais peu connue de la filière nucléaire. En communiquant sur ce sujet, nous avons voulu déplacer les radars et faire voler en éclats l’idée que cette énergie serait verte et durable. »
L’association écologiste s’appuie sur des documents récents. Une enquête publique est en cours jusqu’au 16 novembre pour autoriser Orano à élargir la gamme des combustibles nucléaires traités au sein de son usine. Dans ce cadre, l’Autorité environnementale vient de publier un rapport. Dans les premières pages, elle indique que l’usine déverse chaque année des milliers de tonnes de nitrates, « des flux importants, précise-t-elle, qui représentent, chaque année, plus de 1 % du rejet total d’azote » en France.
« Ces rejets représentent le lisier de 100 000 porcs »
...
La situation est d’autant plus cocasse que le territoire de La Hague a candidaté en février 2021 au statut de géoparc mondial Unesco, un label créé fin 2015 qui consacre « des sites et paysages de portée géologique internationale [...] gérés selon un concept global de protection, d’éducation et de développement durable ».
...
Depuis plusieurs décennies, l’évaluation des risques environnementaux et sanitaires des rejets de La Hague fait polémique. Dans les années 2000, déjà, des scientifiques du groupe Radioécologie Nord-Cotentin (GRNC), avaient été mandatés par les autorités pour étudier ces incidences. Leurs conclusions n’avaient pas fait consensus.
« C’est très compliqué d’analyser l’impact sur le long terme de ces rejets, dit à Reporterre Pierre Barbey, un ancien membre du GRNC, militant de l’Association pour le contrôle de la radioactivité dans l’Ouest (Acro).
...
Tout dépend aussi de ce que l’on mesure. Lorsque le GRNC s’est créé, il y a vingt ans, la filière nucléaire affirmait ne rejeter à La Hague que 12 substances radioactives. Le GRNC en a compté en réalité... 72. Ses rejets chimiques sont également colossaux. « Au-delà du nitrate, chaque année, 100 tonnes de nitrite sont déversées dans la mer, 2 900 tonnes de phosphore total, 2,7 tonnes de phosphate de tributyle, sans compter aussi les métaux lourds, le plomb, le mercure, le zinc, énumère Pierre Barbey. C’est une vraie atteinte à l’environnement. On ne peut pas la nier. »
Connu / https://twitter.com/__ACRO__/status/1459125622366785540
"
Tweet de Nucléaire-Sortie ACRO @ACRO · 10h
#Nitrates : l’usine #nucléaire de #LaHague pollue plus qu’une mégaporcherie de 100 000 porcs. Cela vient s'ajouter aux rejets radioactifs en mer - les plus élevés au monde - dénoncés par l'@ACRO
et autres rejets chimiques. via @Reporterre - 2 - 23 - 21
"
Madame la ministre de la Transition écologique,
L'industrie nucléaire française se targue d’être verte mais exporte ses encombrants déchets radioactifs vers la Russie. Ce trafic doit cesser !
En enquêtant dans le port du Havre, Greenpeace France a découvert que plusieurs dizaines de tonnes d’uranium usé français avaient été chargées à bord du navire Mikhail Lomonosov à destination de Saint-Pétersbourg les 20 janvier et 12 février 2021. Pourtant, il y a 10 ans, Greenpeace France avait obtenu de l’industrie nucléaire française l'arrêt de ces exportations.
Ce trafic est révélateur des dysfonctionnements de l’industrie nucléaire, qui depuis des décennies s’évertue à se faire passer pour verte, tout en nuisant gravement à l’environnement.
...
...
Officiellement, l’uranium français de retraitement est envoyé en Russie pour être “retraité”. Officieusement, il est plus probable qu’il soit simplement entreposé en Sibérie, et ce pour une durée illimitée, dans des conditions de stockage inconnues. Ce qui serait illégal, conformément à la loi européenne qui interdit d'exporter des déchets nucléaires.
La lutte doit continuer
Greenpeace France demande que l’État français, actionnaire majoritaire d’Orano et d’EDF, impose immédiatement à ces deux entreprises de cesser tout transport ou projet de transport d’uranium de retraitement vers la Russie. Ces trafics sont un non-sens à la fois environnemental de par la pollution liée aux conditions de stockage des déchets, social au regard des conditions de travail et de la protection sociale des travailleurs russes, et économique puisque dans les faits la majeure partie de l’uranium usé reste inutilisée en Sibérie, stockée dans une décharge à ciel ouvert, à quelques centaines de mètres seulement des habitations.
L'industrie nucléaire française doit laver elle-même son linge sale. Le dissimuler en Russie est inacceptable.
Durée de lecture : 8 minutes - Clés : Déchets nucléaires Nucléaire
Des dizaines de tonnes d’uranium issu du retraitement ont été envoyées par la France en Russie, révèle Greenpeace. Des exportations jugées « injustifiables », tant du point de vue économique qu’environnemental.
La France a recommencé à envoyer ses rebuts radioactifs en Russie, un commerce discret qu’elle avait stoppé en 2010 pour des raisons environnementales. C’est ce que révèle Greenpeace dans son dossier Déchets nucléaires français : aller simple pour la Sibérie, publié ce mardi 12 octobre. Ce même jour à 8 h 30, des militantes et militants de l’ONG ont disposé une quinzaine de fûts métalliques marqués d’un symbole radioactif devant l’entrée du groupe nucléaire Orano à Châtillon, au sud de Paris, pour protester contre ces expéditions.
L’ONG a découvert que plusieurs dizaines de tonnes d’uranium issu du retraitement (URT) avaient été chargées à bord du navire Kapitan Lomonosov à destination de Saint-Pétersbourg, les 20 janvier et 12 février 2021. Interrogée par Reporterre, l’entreprise Orano a reconnu être à l’origine de ces expéditions et qu’elle avait vendu plus de 1 000 tonnes d’URT à l’entreprise nucléaire russe Rosatom. Un autre transport de cette matière radioactive est prévu d’ici la fin de l’année.
...
le Haut Comité pour la transparence et l’information sur la sécurité nucléaire (HCTISN)
...
face à cette reprise du transport d’URT entre la France et la Russie. « Nous avons saisi la présidente du HCTISN pour que ce comité prépare un rapport sur les flux de matière incohérents entre la France et la Russie — car nous avons aussi repéré des importations d’uranium appauvri en France alors que nous en disposons d’un stock de 300 000 tonnes inutilisées », indique M. Rousselet. Par ailleurs, l’ONG demande à l’État qu’il exige la fin des transports d’URT entre la France et la Russie, la requalification de l’URT comme déchet et le rejet du nucléaire de la taxonomie verte européenne.
La France est en train d’adopter son cinquième plan de gestion des déchets radioactifs. Leur volume est devenu très préoccupant, en particulier pour les déchets les plus dangereux.
Qui dit centrale nucléaire dit production de résidus très radioactifs que sont les assemblages de combustible usé. Ce sont des tonnes et des tonnes de matières radioactives dont la dangerosité va mettre, selon leur nature, des centaines, des milliers ou des millions d’années avant de disparaître...
...
[abonnés :-( ]