... ce métal aux usages très spécialisés, dont la production satisfait de moins en moins la demande croissante. C’est aussi un métal d’intérêt pour l’industrie de l’hydrogène.
Dans le tableau périodique des éléments, le rhodium appartient au groupe du platine, une série d’éléments rares partageant diverses propriétés chimiques. On y trouve le platine et le rhodium, bien sûr, mais aussi le palladium, l’iridium, le ruthénium et l’osmium. On classe aussi parfois le rhénium dans cette catégorie. Le rhodium est le métal le plus rare du groupe, produit dans une dizaine de mines seulement dans le monde. Sa concentration dans l’écorce terrestre est d’une partie pour 200 millions.
...
à 80 % environ dans les pots catalytiques des voitures, qui servent à réduire les émissions polluantes ... utilisé en petites quantités comme catalyseur, il améliore le rendement de l’électrolyse ... est important dans la fabrication de certains contacts électriques et de certains équipements scientifiques. On s’en sert aussi pour fabriquer des miroirs à haute réflectivité, notamment dans les phares des voitures. Il sert aussi en joaillerie, où il entre dans la composition de l’or blanc.
Sources :
Trading Economic, Rhodium ( https://tradingeconomics.com/commodity/rhodium )
...
ma démarche naturaliste me pousse à noter et nommer tout ce que je vois ... les références, comme ceux de Régis Courtecuisse. Puis en 1996 j’ai adhéré à la Société mycologique du Dauphiné ... j’ai passé mon DU en 2019 à l’université pharmaceutique de Lille ... Champignon Magazine https://champignonmagazine.com/
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Quelques conseils
Les applications ne sont pas efficaces, évitez de vous y fier !
Privilégiez les guides, tels les guides de références proposés par Regis Coutecuisse et Bernard Duhem ou celui de Guillaume Eyssartier chez Belin.
Puis pour finir ... le beau Morilles de France et d’Europe de Philippe Clowez et Pierre-Arthur Moreau.
Numéro hors série concernant les autonomies et s’est intéressé au quotidien de Jonathan et Caroline pour en illustrer les principes.
lire et télécharger l’enquête librement à partir de ce lien : https://desobeissancefertile.com/wp-content/uploads/2020/06/Désobéir-naturellement_PERMAGAÏA05.pdf
->
Liens utiles
www.desobeissancefertile.com
- Pour suivre les différentes initiatives en milieu rural et créer du réseau :
www.reseau-relier.org/Association - Le site du CLIC (Citoyennes.ens lobbyistes d’intérêts communs) dont Jonathan Attias est l’un des fondateurs : www.lobby-citoyen.org
- À voir : Des clics de conscience, le film coréalisé par Jonathan Attias et Alexandre Lumbroso. Après avoir lancé #YesWeGraine en soutien aux agriculteurs voulant échanger librement leurs semences, les deux
coréalisateurs vont s’interroger sur le poids des pétitions et être amenés à interpeller les élus de la République à propos des initiatives citoyennes : www.filmsdocumentaires.com/films/5826-des-clics-de-conscience
diffusé le mar. 09.02.21 à 21h08 - disponible jusqu'au 16.02.21
animaux & nature 91 min2021 tous publics
réalisé par Huw Cordey, Ed Charles
Dans l'univers, les scientifiques n'ont pour le moment identifié qu'une seule planète abritant une telle richesse de vie : la Terre. Sa beauté et son extraordinaire diversité sont le fruit de la rencontre entre des forces puissantes et indomptables : l'énergie du soleil, les volcans, le climat et les courants océaniques. C'est dans leur alliance parfaite que réside le secret de la vie. Ensemble, elles sont les alliées indispensables à l'équilibre si fragile de la nature. Des déserts les plus arides aux confins des terres polaires, les forces de la nature ont créé les milieux les plus extrêmes. Dans ces environnements hostiles, les animaux rivalisent de courage et d'ingéniosité pour s'adapter. François Morel décrit cette étonnante réalité.
Choisir de créer le monde dans lequel nous vivrons ou laisser les évènements suivre leur cours est une question à laquelle nous sommes collectivement confrontés. Selon l'écrasante majorité des données scientifiques, notre futur est très incertain. Les urgences s'accumulent, des effondrements ont déjà commencé. Les solutions sont connues, mais ne sont pas mises en place. Et si des personnes et des collectifs s'engagent pour que la situation évolue, un changement de paradigme est nécessaire.
Explorer les dimensions intérieures pour réaliser un changement radical
L'Université des colibris, véritable levier d'éducation populaire, associé au Réseau Transition belge et au Laboratoire de Transition Intérieure, basé en Suisse, avec une dizaine d'autres partenaires, proposent de favoriser ce changement de paradigme en explorant les dimensions intérieures et culturelles de la situation. Ces dimensions qui, oubliées, favorisent l'inertie et la reproduction des mécanismes qui détruisent la vie. Et qui ont aussi le potentiel de nous permettre de franchir d'importants paliers de changement.
crédit : Flore-Aël Surun, du désir dans les ailes, photographie, 2008.
Un MOOC pour soutenir cette exploration
Pour ce faire l'Université et ses partenaires propose un MOOC, une formation en ligne gratuite et ouverte à tous·tes pour:
Rappeler les faits liés aux effondrements et aux bouleversements en cours et à venir.
Apprendre à transformer les ressentis et émotions inconfortables générés par les faits en énergie pour l'action positive
Favoriser l'évolution des consciences individuelles et des cultures collectives pour cesser de reproduire souvent inconsciemment, les logiques qui ont créé cette situation, et permettre un vrai changement de cap
Initier à des théories, postures et pratiques qui permettent d'aligner l'être et l'agir, au niveau individuel et collectif
Découvrir la diversité des moyens d'action et permettre à chacun de choisir comment contribuer individuellement et collectivement
Constitué de 17 modules pour une durée totale de formation de 12h environ. De plus, des rencontres, entre participants et/ou dans la nature, auront lieu pour pratiquer, expérimenter, apprendre et s'enrichir ensemble (selon les conditions sanitaires en vigueur).
crédit : Véronique Drougard, "Prendre soin du vivant", photographie, 2020.
Les intervenants
- Nathalie Achard, militante, auteure, formatrice en Communication Non Violente
- Olivier de Schutter, juriste et professeur de droit international, rapporteur spécial de l'ONU sur l'extrême pauvreté
- Josué Dusoulier, co-fondateur du Réseau Transition belge
- Michel Maxime Egger, sociologue, écothéologien, responsable du Laboratoire de Transition Intérieure
- Carole Feulien, formatrice en écopsychologie
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Rop Hopkins, fondateur du réseau Villes en Transition
Gauthier Chapelle, ingénieur agronome, co-auteur de "Une autre fin du monde est possible"
Inscrivez-vous !
Merci à nos partenaires principaux (et à tous les autres que vous découvrirez dans le MOOC) : Réseau Transition - Laboratoire de la Transition Intérieure - Fondation Léa Nature
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C’est du colonialisme pur et simple : de puissants intérêts mondiaux prennent sans honte les terres et les ressources de personnes vulnérables tout en prétendant le faire pour le bien de l’humanité.
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Le colonialisme vert est basé sur le racisme, la violence et l’intimidation
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Des organisations “respectables” telles que le WWF, la WCS et African Parks, soutiennent le colonialisme vert
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Les peuples autochtones dehors : bienvenue aux touristes, chasseurs de trophées et bûcherons
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Il est temps d’adopter une nouvelle approche
Quiconque se soucie vraiment de la planète doit cesser de soutenir toute forme de “conservation” qui blesse, aliène et détruit les meilleurs alliés de l’environnement. Le temps est venu pour une nouvelle conservation de la nature qui reconnaisse les peuples autochtones comme des partenaires de premier plan dans la lutte pour la protection de leurs propres terres.
Depuis plus de trente ans, Survival fait campagne contre les atrocités commises au nom de la “conservation” de la nature. Rejoignez-nous maintenant pour décoloniser la protection de la nature (#DecolonizeConservation) et défendre une nouvelle approche qui donne une place centrale aux peuples autochtones. Ils étaient des experts de la conservation bien avant que le concept de “conservation de la nature” ne soit même inventé.
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164 693 ont signé
Puy Chérifel NATURE a lancé cette pétition adressée à Cour administrative d'Appel de Bordeaux et à 4 autres
Soutien à Annie et Michel Pecheras, habitants de Grignols à quelques kilomètres de Périgueux, en Dordogne. Ils viennent d'être condamnés par la cour d'appel de Bordeaux a combler leur mare. Le coassement des grenouilles gêne leurs voisins installés à une dizaine de mètres du point d'eau.
...
PUYCHERIFEL NATURE
24110 GRIGNOLS
explorer/extraire de l’#HydrogèneNaturel, produit en permanence au sein de l’écorce terrestre - CNRS
LE COMITE SCIENTIFIQUE Laurent TRUCHE, INSU, Resp. scientifique du colloque (UMR5275, ISTerre) Eric HUMLER, INSU, Resp. scientifique du colloque (DAS INSU et UMR6112, LPG) Stéphane BLANC, MITI (Directeur) Samir KASSI, INP (UMR5588, LIPhy) Olivier JOUBERT, INC (UMR6502, IMN) David PIGNOL, INSB, (DU de l’UMR7265, BIAM) Abdelilah SLAOUI, INSIS (DAS INSIS et FR3344, FédESol) Johan VANDENBORRE, IN2P3 (UMR6457, SUBATECH)
LE PROGRAMME
prévoit une journée alternant entre conférences invitées, session poster et table-ronde autour des sujets suivants :
- Les découvertes / Le système H2 Naturel
- Migration/Réactivité H2 / (solubilité, clathrate, diffusion, modélisation transport réactif)
- Radiolyse
- Microbiologie (fermentation, hydrogénotrophie)
- Stockage (adsorption, diffusion, embrittlement)
- Chimie atmosphérique d’H2
- Monitoring (détection, télédétection, éléments/molécules accompagnateurs)
- Usage du sous-sol, acceptabilité, co-construction
- Visions industrielles
Connu / https://twitter.com/P_Dubreuilh/status/1252159100886167556
"
Philippe Dubreuilh @P_Dubreuilh · 20 avr. Niveau 3 :
Il faut absolument considérer la possibilité d’explorer/extraire de l’#HydrogèneNaturel, produit en permanence au sein de l’écorce terrestre. Les géologues experts suggèrent que de vastes quantités d’H2 naturel sont produites. Colloque 2019 du #CNRS
0 - 0 - 1"
Conférence des #AMFiS2020 avec :
- Florence Gauthier (historienne)
- Alexis Corbière (député LFI)
Transcription : ... Critique de la position de Hannah Arendt sur la révolution ... les femmes ont pu voter en assemblée générale de villages du moyen âge à 1794 ! ... la séparation des deux sexes nait en 1791 avec le pouvoir censitaire des mâles ! ... il y a eu 6 jacqueries successives. Ce sont elles qui imposent le rythme à la révolution. 85 à 90 % étaient des paysans. ... La loi martiale réprime le mouvement populaire par l'armée. Mais difficile à appliquer car les soldats se mutinent. Révolution du 10/8/92 la plus importante. Assemblée législative fonctionne mal, déclare la guerre qui tourne mal. fort soulèvement populaire. Révolution du 31/5/1795 : les brissotins ont fait diversion. Révocation des députés infidèles assignés à résidence. 3 jours d'insurection pour accepter la révocation. /séparation des pouvoirs / philosophie des droits naturels ... le législatif est suprême mais sous le contrôle des électeurs ... La commune reste le lieu privilégié de l'application des lois. Le commissaire de police, le juge de paix, sont élus. ... La souveraineté populaire. Peuple souverain. ... Le 19è siècle a censuré la révolution. Résistance à l'oppression, principe éthique de fond, repris / CNR conseil national de la résistance.
Terminer >1:03:00 ACT
33 min de lecture
Imaginez un monde où 50 % des terres émergées seraient privatisées puis clôturées, où forêts, savanes et prairies seraient transformées en forteresses impénétrables réservées au divertissement d’une minorité d’ultra-privilégiés. Majoritairement blanche et profondément ignorante, la classe bourgeoise occidentale biberonnée aux documentaires animaliers de la BBC et de la National Geographic perçoit les territoires sauvages comme ayant originellement été vierges de tout être humain[1]. C’est pourquoi l’expulsion et les persécutions des populations vivant sur ces terres depuis des générations seraient systématiques. Privés de leurs terres, les autochtones basculeraient dans la misère et l’insécurité alimentaire. Famines, drogues, alcool et maladies feraient des ravages au sein de leurs communautés. Rendues incapables de perpétuer leurs rites, traditions et arts de vivre, des cultures entières finiraient par s’éteindre en quelques années. Certains indigènes tenteraient de résister ou se lanceraient dans des trafics illégaux pour survivre. Un dispositif sécuritaire mêlant technologies avancées de surveillance et milices armées assurerait la sécurité des touristes fortunés venus profiter d’une semaine de safari à 4 675 € par personne[2].
....
Philippe Oberlé
David Attenborough, célèbre narrateur pour les séries documentaires de la BBC et ambassadeur de l’organisation néo-malthusienne Population Matters, parle de « peste humaine ». Il est intéressant de noter que ce sont toujours les populations de couleur des pays du Sud qui se retrouvent implicitement visées par ce type de propos. ↑
Une information provenant de la revue How to spend it du Financial Times s’adressant à ceux qui ne savent plus quoi faire de leur argent : https://howtospendit.ft.com/travel/207389-malawi-s-rebirth-as-a-safari-sweetspot ↑
https://vetpaw.org/ ↑
https://www.worldwildlife.org/projects/the-natural-capital-projecthttps://www.dailymaverick.co.za/article/2019–10-16-sa-reclassifies-33-wild-species-as-farm-animals/ ↑
https://www.theguardian.com/environment/2020/jan/29/south-africa-wild-animals-at-risk-of-genetic-pollutionhttps://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/afrique-du-sud/des-elevages-de-lions-destines-a-la-chasse-en-afrique-du-sud_3064181.html ↑
https://www.researchgate.net/publication/262910385_Banking_Nature_The_Spectacular_Financialisation_of_Environmental_Conservation ↑
https://www.conservation.org/about/senior-staff ↑
https://www.globaldealfornature.org/ ↑
Un rapport des Nations Unies met en cause le WWF dans des exactions à l’égard des Pygmées Baka dans la forêt de Messok Dja en République du Congo : https://e360.yale.edu/features/green-violence-eco-guards-are-abusing-indigenous-groups-in-africaLes Pygmées Batwa sont persécutés depuis des décennies autour du parc de Kahuzi Biega : https://www.survivalinternational.fr/actu/11905Dans son livre L’Apartheid et l’animal, le géographe Estienne Rodary, qui a vécu et travaillé en Afrique du Sud, décrit la situation dans le parc du Limpopo. L’AFD a financé ce parc : https://limpopo.afd.fr/
Enquête du journaliste d’investigation Estacio Valoi membre associé du collectif Oxpeckers : http://pulitzercenter.storylab.africa/dominion/ ↑
https://youtu.be/y1EdZeRHgbM ↑
https://www.corporatecrimereporter.com/news/200/charles-derber-sociopathic-society/https://www.techrepublic.com/article/the-internet-of-wild-things-technology-and-the-battle-against-biodiversity-loss-and-climate-change/ ↑
https://www.zsl.org/conservation/how-we-work/conservation-technology/instant-detect ↑
https://naturalcapitalcoalition.org/natural-capital-protocol/ ↑
https://www.globaldealfornature.org/organization/resolve/ ↑
https://conservationaction.co.za/recent-news/wildebeest-migrations-in-east-africa-face-extinction-what-must-be-done‑2/ ↑
https://www.lemonde.fr/biodiversite/article/2017/10/18/en-trente-ans-pres-de-80-des-insectes-auraient-disparu-en-europe_5202939_1652692.htmlhttp://www.greatelephantcensus.com/background-on-conservation ↑
https://www.ep.total.com/fr/innovations/recherche-developpement/total-investit-massivement-dans-le-ccus-carbon-capture ↑
https://www.numerama.com/sciences/561497-internet-par-satellite-spacex-veut-mettre-en-orbite-30–000-satellites-de-plus.html ↑
https://www.cieletespace.fr/actualites/exclusif-en-plus-de-rayer-le-ciel-les-satellites-starlink-diffusent-de-puissants-flashes-lumineux ↑
https://www.planet.com/markets/government/ ↑
https://www.europarl.europa.eu/RegData/etudes/STUD/2016/578025/EXPO_STU(2016)578025_EN.pdf ↑
https://finance.yahoo.com/news/minority-report-poachers-predictive-algorithms-101511921.html ↑
https://news.mongabay.com/2020/03/poaching-and-the-problem-with-conservation-in-africa-commentary/ ↑
https://theconversation.com/why-southern-africas-peace-parks-are-sliding-into-war-parks-53458 ↑
https://www.campaignfornature.org/home ↑
Voir le livre La fabrique du crétin digital du chercheur en neurosciences à l’Inserm Michel Desmurget ↑
https://www.wedemain.fr/La-reconnaissance-faciale-ca-sert-aussi-a-preserver-les-animaux_a4535.html ↑
Clés : capitalisme conservation ONG société industrielle
159 088 ont signé
Billy FERNANDEZ a lancé cette pétition adressée à Emmanuel Macron (Président de la République française.) et à
.#RestezChezVous
Nous prenons très au sérieux l’épidémie de Covid-19, qui a déjà fait plus de 130 000 morts dans le monde, plus de 17 000 en France, et en fera certainement beaucoup plus. Nous sommes par ailleurs conscients de la situation de tension qui demeure dans certains hôpitaux.
...
Billy FERNANDEZ, Accompagnateur en montagne
Dr Solène PETITDEMANGE, Médecin généraliste
16 personnalités du monde médical, de la montagne, de la mer, du monde politique et intellectuel nous ont apporté leur soutien en signant avec nous une tribune dans le quotidien en ligne Reporterre : https://reporterre.net/Il-faut-autoriser-l-acces-aux-espaces-naturels-pendant-le-confinement
- Christophe ANDRE - Psychiatre, psychothérapeute
- Alexia BARRIER - Navigatrice, Skipper du Vendée Globe 2020, Fondatrice de 4myplanet
- Delphine BATHO - Députée, ancienne ministre de l’écologie, présidente de Génération Écologie
- Philippe BOURDEAU - Enseignant chercheur, spécialiste des pratiques sportives de nature
- Dominique BOURG - Philosophe, professeur honoraire à l’Université de Lausanne
- André CICOLELLA - Toxicologue, président du Réseau Environnement Santé
- Lionel DAUDET - Alpiniste et écrivain engagé, auteur « le tour de la France, exactement »
- Pascale d’ERM - Auteure de « Natura - Pourquoi la nature nous soigne... et nous rend plus heureux »
- François LABANDE - Alpiniste, écrivain, administrateur du Parc national des Écrins
- Xavier de LE RUE – Snowboarder, double champion du monde et triple vainqueur du Freeride World Tour
- Henri MALOSSE - 30e président du Comité économique et social européen
- Frédi MEIGAN - Acteur de la montagne, ancien gardien du refuge du Promontoire
- Guillaume NERY - Champion du monde d’apnée
- Xavier RICARD - Philosophe, ethnologue, essayiste, cofondateur de la revue Terrestres
- Marie TOUSSAINT - Députée européenne, juriste, à l’origine de la pétition « l’Affaire du siècle »
- Guillaume VALLOT - Journaliste, éditeur et alpiniste
diffusé le mer. 13.05.20 à 23h11 - disponible jusqu'au 21.05.20 - découverte - 69 min - tous publics
Dans les Vosges, un géant de l'eau bien connu exploite les nappes phréatiques les plus profondes pour alimenter le monde entier en eau de source. Les 1,5 milliards de bouteilles produites chaque année auront asséché, en 2050, cette ressource naturelle. Depuis plus de vingt ans, des citoyens se battent pour protéger leur précieux sous-sol. En Ile-de-France, ce sont les maires qui sont vent debout contre l'ouverture d'une gigantesque carrière dans le Vexin par un géant du ciment. Ailleurs encore, une multinationale s'est vue opposer une résistance farouche en voulant s'attaquer à un parc naturel. Un peu partout en France, des citoyens multiplient batailles judiciaires, mobilisations populaires, combats politique, pour faire face à des entreprises qui s'attaque au patrimoine naturel ou aux ressources relevant du bien commun.
Connue / https://twitter.com/corinnelepage/status/1260830051769122823
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Corinne Lepage @corinnelepage · 21h Enquête ce soir sur France 3 - Newstele http://newstele.com/2020/05/main-basse-sur-nos-ressources-naturelles-citoyens-contre-multinationales-enquete-ce-soir-sur-france-3.html - 1 - 10 - 9
"
4 min
La taille de l’univers et le nombre de galaxies et d’étoiles semblent illimités. Ils sont en tout cas au-delà des capacités du cerveau humain, qui peine à concevoir ces échelles incommensurables.
Réalisation : Clément Morin, Franck Courchamp Production : Lumento, Duck Factory Producteur/-trice : Jérôme Bernard, Olivier Lambert Auteur : Franck Courchamp, Laurent Mizrahi Pays : France Année : 2018
et la suite
2 - Vie unique
3 - Une seconde sur Terre
4 - La feuille qui cache la forêt
5 - Dominations
6 - L'espèce faible
7 - Intelligences
8 - Dans la toile de la vie
9 - Jusqu'au fond de son être
10 - Héritage
*Connue / https://twitter.com/NesrineSlaoui/status/1255306180618002434
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Nesrine Slaoui @NesrineSlaoui · 29 avr.
En réponse à @NesrineSlaoui | SCIENCES |
Pour gagner en humilité et comprendre que l’espèce humaine ne représente que 0,04% de l’histoire de la planète Terre...
Un documentaire très bien écrit et très dynamique dans lequel on apprend beaucoup.
19 - 204 - 954
"
Écologie - Entretiens
TAGS Anthropologie écologie relationnelle néolibéralisme philippe Descola transition écologique
Damien Deville est géographe et anthropologue de la nature. Il est l’auteur, avec Pierre Spelewoy, du récent Toutes les couleurs de la Terre – Ces liens qui peuvent sauver le monde paru aux éditions Tana. Il y développe plusieurs concepts, parmi lesquels celui « d’écologie relationnelle », qui s’oppose notamment à l’uniformisation du monde par le néolibéralisme. Dans ce riche entretien, nous avons demandé à ce jeune héritier de Philippe Descola comment il analysait les processus de destruction écologique, sociale et culturelle que nous traversons, et comment construire concrètement une autre approche de la relation, compatible avec la préservation de nos biens communs, a fortiori environnementaux. Réalisé par Clément Molinier et Pierre Gilbert, retranscrit par Manon Milcent.
...
parti 6 mois travailler pour le ministère de l’Environnement du Queensland, dans une équipe de rangers, sur la protection des populations de koalas. Pour les protéger, les politiques publiques d’alors consistaient à les parquer dans des zones dédiées à la protection. Grillagées dans des forêts de protection, loin des activités humaines, le koala s’en porterait mieux. ... j’ai remis en cause mes acquis, car ce système de protection se confrontait à plusieurs biais. Un biais écologique d’abord, au sens scientifique du terme, dans le sens où parquer des koalas dans des zones spécifiques participait, sur du long terme, à limiter l’expression de la diversité génétique de la population. Une diversité pourtant nécessaire au renouvellement de l’espèce. Deuxième biais : on observait que certains koalas préféraient s’établir en zone péri-urbaine.
...
dernier biais, davantage culturel, m’est apparu : les koalas sont énormément représentés dans les symboles australiens alors que la coexistence est refusée. C’était pour moi une instrumentalisation du vivant doublée d’une hypocrisie anthropologique. Cette expérience m’a dynamité l’esprit. D’ailleurs, je le découvrirai plus tard, la violence infligée aux koalas n’était que le miroir d’une pluralité de violences qui émergent des mondes occidentaux et qui fait de nombreuses victimes : les populations autochtones qui décident de vivre autrement, dont les aborigènes d’Australie – les violences faites aux koalas et les violences faites aux humains sont les deux faces d’une même médaille – mais aussi les territoires oubliés de l’économie monde, les violences faites aux femmes, aux Tsiganes, aux roms, les DOM-TOM marginalisés dans les démarches républicaines… Bref, par notre incapacité à penser la diversité, nous avons laissé sur le carreau nombre d’individus, de collectifs et de territoires.
De ce fait, contourner l’uniformisation des mondes demande, je crois, une réponse citoyenne et politique forte : remettre la diversité, qu’elle soit humaine ou non humaine, au cœur des modèles sociaux. Cette démarche peut offrir des dynamiques d’innovation majeures aux crises que nous connaissons tout en nous permettant de remettre de la poésie dans nos vies. En puisant dans la singularité de chaque être, de chaque imaginaire, de chaque territoire, des voies citoyennes et politiques se dégagent pour emmener le social et l’environnement dans un seul et même horizon.
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??????????? [TOUT ou RIEN copier ?!]
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En Cévennes par exemple, il y a beaucoup de conflits entre les néoruraux et les archéos cévenols. ... La culture de la résistance d’une part, et l’amour des montagnes d’autre part ! Deux symboles sur lesquels construire de l’inclusivité. Le lien au paysage comme projet territorial a également pour avantage de ne pas être anthropocentré. Il emmène anciens comme nouveaux, humains comme non humains dans un seul et même bateau. J’ai tendance à militer actuellement pour des politiques du symbole, au sens littéral du terme. Ça me fait penser à cette fameuse phrase de l’anthropologue Jean Malaurie : « sans symbole nous ne sommes rien, qu’un peuple de fourmis manipulées par le verbe, l’information et l’image ».
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tension très forte dans les milieux écolos, entre l’urgence climatique et sociale et les manières de cultiver des réponses qui demandent nécessairement du temps. Ce conflit, nous y sommes tous confrontés. Néanmoins, il reste impératif de cultiver le sens !
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se développent à Paris des fermes verticales, sans eau, sans sol. Elles sont très subventionnées au nom de l’autonomie alimentaire des villes. Elles entrent alors en concurrence avec l’agriculture des campagnes où les paysans cultivent pourtant les valeurs de la terre et n’arrivent plus à vivre de leurs métiers. Autrement dit, au nom de l’écologie à Paris, on détruit ce dont l’écologie est censée être la gardienne : la diversité des mondes.
Une deuxième clé de réponse se situe dans le dialogue entre la valorisation de la diversité à l’échelle locale et le sentiment d’appartenance à l’humanité. Il y a un imaginaire auquel j’aime me relier, même si en l’état il peut paraître de l’ordre de l’utopie. Le géographe Augustin Berque, qui a été très influent pour moi, propose dans ses travaux de penser la diversité via trois échelles à partir desquelles on pourrait déployer de nouvelles compétences politiques. La première est l’échelle de l’atmosphère, le matériau physico-chimique de la Terre. Cela correspondrait à des politiques internationales relevant d’un sens commun de l’humanité telle que la lutte contre le réchauffement climatique. Ajouter la vie sur terre permet de déployer une deuxième échelle : l’échelle écosystémique. C’est une échelle biorégionale en somme à partir desquelles se pensent et se préservent les grands équilibres de la vie. Il y a enfin l’échelle de l’habité, celle des symboles et de l’expérience partagée. Augustin Berque l’appelle « l’écoumène ». C’est une échelle beaucoup plus fine qui construit pourtant le vivre ensemble au quotidien. Un universel par-delà l’humain, se situe peut être dans un dialogue pertinent entre ces trois nouvelles échelles politiques et citoyennes.
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La crise du coronavirus montre à quel point nous avons besoin de relation et que l’expérience territoriale est tout ce qui compte face au présent. Y compris pour lutter contre la solitude qui est une bien grande maladie. Toute relation n’est pas physique, il y a également des espaces symboliques dans lesquels nous pouvons trouver des voies d’émancipation malgré le confinement qui a été mis en place. La crise sanitaire invite également à orienter des politiques décentralisées qui donnent les moyens à chaque lieu de faire face aux réalités qu’il traverse. Les relations entre individus laissent place ici à des relations de coopération entre territoires. Pendant des décennies nous les avons opposés. Peut-être arriverons-nous maintenant à les faire dialoguer ! Il y a une bataille culturelle à mener autour de cette égalité territoriale. Je crois même que cette bataille culturelle est mère de toutes les batailles, car, lorsque notre projection au monde change, tout change, à commencer par la vision politique d’une nation. Le coronavirus place l’humanité devant un tel choc qu’il permet ce pas de côté dans l’opinion.
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une feuille de route gouvernementale en deux temps : une rapide transition vers une économie décarbonée sur du court terme, demandant des arbitrages politiques nationaux assez forts tout en amorçant un retour aux territoires sur du moyen terme. Pour qu’il soit pertinent, le vivre ensemble ne peut pas être du ressort des états nations : il demande de placer au cœur des décisions des échelles d’action facilement appropriable par le tout citoyen, c’est-à-dire des échelles plutôt locales. L’un dans l’autre, face à l’uniformisation des mondes et aux précarités qui en émerge, il me semble inévitable de questionner non pas simplement le rôle de l’état, mais bien la place qu’il occupe dans les régimes démocratiques. Sur du long terme, je pense qu’il devra nécessairement s’effacer en partie pour laisser place à de nouvelles modalités d’interventions citoyennes et politiques. Expérimentons.
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réassumer notre propre vulnérabilité. Chaque être vivant a en commun d’être vulnérable, et pour s’adapter à cette condition, il a besoin des autres. Humains comme non humains sont interdépendants. Nous avons besoin des autres, et ce sont bien ces liens d’interdépendances qui doivent mobiliser l’action citoyenne. La deuxième, c’est la rencontre avec l’autre. La rencontre positionne les relations dans une dynamique créatrice. Un plus un, en géographie, ça n’a jamais fait deux. Lorsqu’on réussit à comprendre l’autre pour ce qu’il est vraiment, la rencontre ouvre des trajectoires d’innovations majeures.
Je me permets de préciser que rencontrer l’autre ce n’est pas nécessairement l’apprécier. Vivre la relation revient à accepter également les antagonismes, la différence, le refus. Enfin, puisque qu’on peut rencontrer l’autre en le dominant voir en le détruisant, il convient d’ajouter une troisième étape à cette société de la relation : la justice. Pour que les relations soient émancipatrices pour les deux parties prenantes, il est important d’exercer justice dans la coexistence. Ces trois thèmes sont suffisamment larges pour être mobilisés de manière extrêmement plurielle en fonction des réalités de chaque espace, de chaque communauté voir de chaque individu.
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la diversité que je projetais ailleurs est également présente ici, dans les moindres recoins de l’espace. Nous n’arrivons néanmoins plus à la voir et encore moins à la mettre au cœur de nos vies. Je crois que c’est lié en grande partie à nos modèles éducatifs qui ne valorisent pas assez les territoires. À la lumière de la relation, l’éducation devient également un objet de réforme. Philippe Descola milite effectivement pour davantage d’anthropologie à l’école. J’ajouterais pour ma part davantage de géographie et d’éthologie ! ... construire davantage de liens entre ce que l’on pense et ce que l’on fait de ses mains. Il n’y a presque plus d’activités manuelles dans les programmes pédagogiques et universitaires. Pourtant expérimenter un territoire passe également par le mouvement du corps et par les sens. ... dans les moments de bonheurs comme de malheurs, tout ce qui compte au final, c’est le vivre ensemble. La crise du coronavirus le confirme. Remettre ce vivre ensemble, par-delà l’humain, par-delà l’Occident et par-delà le visible, au cœur de l’action me semble être un beau chemin à suivre.
Ndlr : revisiter, approfondir, questionner notamment sur le lien entre république, fédéralisme et régionalisme / TdM ACT
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Le Bonheur est un Sport de Combat Par lemediatv
Une heure cinq minutes d’entretien avec Alain Denault, philosophe canadien de 50 ans, qui débarque en France et au Média pour présenter le troisième épisode de son feuilleton philosophique (qui en comptera 6). Après l’économie de la nature et de la foi, il s’attaque ici à l’économie de l’art avant d’aborder la psychanalyse, les mathématiques puis la politique. Six étapes que nous franchirons avec lui dans cet échange de haute volée. Son projet de fond explicité ici en exergue à Denis Robert est de « Reprendre l ‘économie aux économistes ».
« Nous sommes des êtres de concept. La philosophie ne se développe pas dans un monde à part. Le mot économie a été dévoyé par une corporation qui s’est désigné comme celle des économistes » postule Deneault qui revient très vite à son projet de déconstruction du langage et des académismes autour de l’économie « On oublie le multitude d’usages de l’économie dans des domaines très différents », dit-il avant de rejeter tout idée de travail sur l’étymologie, mais de s’attaquer à la façon dont l’économie a « évolué dans l’histoire jusqu’à ce que les économistes s’en emparent ».
La série de livres rassemblés sous l’égide d’un feuilleton théorique et éditée chez Lux, décline l’idée que le mot économie a un sens orwellien car il désignerait des méthodes de destruction, d’inégalités sociales, d’impérialisme qui surprendraient ceux qui ont utilisé ce mot à d’autres occasions.
Selon Deneault, si l’économie est aujourd’hui spontanément associée à des notions reliées au capitalisme marchand, ce terme renferme maints autres sens que l’idéologie capitaliste s’est employée à enfermer et à faire oublier. Il replace l’écologie au centre du jeu et nous invite ici à imaginer l’économie après le capitalisme. Comme s’il avait prévu qu’une pandémie allait nous faire repenser le monde.
Une émission tournée début mars. #Capitalisme #Économie #Révolution
ConfidentialitéPublique
Publié originellement 06 avril 2020
CatégorieActualité & Politique
LicenceInconnu LangueInconnu
Étiquettes : alain deneault ; capitalisme ; économie ; économiste ; repenser
Durée1 h 4 min 3608 sec
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Dans cette quatrième vidéo sur les déchets radioactifs, je vous parle enfin du mode préférentielle pour la gestion à long terme (sur des dizaines de milliers d'années) des déchets radioactifs les plus dangereux: le stockage géologique profond. Après un résumé rapide des épisodes précédents, je rappelle la problématique: Comment s’assurer que la radioactivité des déchets de haute activité et de moyenne activité à vie longue ne présente pas de risques pour l’environnement et les sociétés humaines sur le long terme.
Je présente les principes généraux du stockage géologique profond avant d'exposer la fascinante anecdote des réacteurs naturels d'Oklo (10:28). Je me concentre ensuite le projet Cigéo: le projet français de stockage géologique profond (14:22). J'y aborde pleins d'aspects différents: refroidissement des colis (17:33), impacts des fuites de radionucléides (22:26) ou encore la question de la mémoire (24:42). Je prends aussi le temps d'expliquer l'impact de ce stockage sur les émissions de CO2 du nucléaire (32:40) et je touche quelques mots des opposants et de Greenpeace en particulier (35:39) avant de conclure (39:00).
Vous trouverez des détails sur des alternatives au stockage géologique profond, ce qu'on pourrait faire en cas de problème majeur, la problématique du dégagement d'hydrogène, des incendies, des déchets bitumineux et quelques minutes sur la situation dans le monde dans la vidéo annexe: https://youtu.be/_GvOOfDA-E0
Sources détaillées et informations complémentaires ici: https://www.lereveilleur.com/le-stockage-geologique-profond-des-dechets-radioactifs/
Le texte de la vidéo est disponible ici: https://docs.google.com/document/d/18WG3JjczYmjxL0vrVWPZ9RnCMoPZ3oTmuaKawjtwnBY/edit%3Fusp%3Dsharing
Merci à Tristan Kamin (https://twitter.com/TristanKamin) qui m'a aidé sur quelques points techniques et a relu mon script. Merci à l'ANDRA qui a pris le temps de répondre à mes questions et de relire le script. Merci également à Mikaël C., Aurélien C., Carole C., Damien H., Paul E. et Aurélien D. pour la relecture du script !
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Catégorie Éducation 641 commentaires
Épinglé par Le Réveilleur il y a 3 mois (modifié)
Erreur !
23:00 Je dis que la dose maximum en surface sera de l'ordre du millionième de la radioactivité naturelle. Or, la radioactivité naturelle est de quelques mSv/an et on voit que la dose maximale se rapproche du microsievert/an donc du millionième de sievert/an mais du millième de la radioactivité naturelle !
J'aurais donc dû dire millième au lieu de millionième. Une erreur d'un facteur 1000 ! (qui ne change pas le message lui-même, ça reste faible devant la radioactivité naturelle).
En plus, je l'ai changé au dernier moment, lors d'une énième relecture en pensant m'être planté...
Merci au commentaire qui m'a pointé l'erreur du doigt !
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Le Temps de Cerveau Disponible il y a 1 mois
Accuser greenpeace de vouloir laisser la charge des déchets, après avoir fait ta pub sur le stockage sur ta chaine de lobbyiste pro-nucléaire c'est croquignolesque.
Les pro-nucléaires ça ose tout, ça à ça qu'on les reconnait....
Le Réveilleur il y a 1 mois
@Le Temps de Cerveau Disponible Bah je n'invente rien. Il prône le stockage en surface qui nécessite une surveillance ad vitam aeternam... Donc il milite pour laisser la charge sur les générations futures.
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Frédéric Glédel il y a 1 mois
comme dit dans la vidéo il ne s'agit pas d'être pro ou anti nucléaire, il s'agit de traiter un problème de déchets qui existent déjà, donc le "pronucléaire...." est hors sujet. Est-ce que GP propose autre chose que le stockage en surface ? non, donc cette surveillance restera aux générations futures (à moins que vous ayez un lien prouvant que GP est pour autre chose). Par contre que le temps de refroidissement en surface soit de 60 à 80 ans pose un gros problème vu que nous allons plutôt vers une période de décroissance énergétique et économique. GP a tort de s'opposer à Cigéo mais peut-être que ce site ne servira jamais (pour d'autres raisons que de plaire politiquement aux écolos)
SwAY256 il y a 1 mois
@Le Temps de Cerveau Disponible Quel belle argumentation ...
Olivier R il y a 1 jour (modifié)
@Frédéric Glédel "les écolos" c'est un terme très amalgamant dans votre phrase. Greenpeace ne représente pas "les écolos", et derrière le mot "écologie" il y a plein de choses différentes. C'est d'abord une science (celle des écologues), c'est aussi quand on parle d'écologistes un souci citoyen pour la protection de la nature (faune, flore), pour certains c'est juste "manger saint", santé et bien-être individuel.
Tout dénigrer derrière le mot "écolo" c'est le procédé de l'homme de paille.
Moi je m'intéresse à l'écologie en tant que science, je suis soucieux de la protection d'espaces naturels, de flore et de faune, et je pense aussi que Cigeo est la meilleure solution disponible pour les déchets.
Frédéric Glédel il y a 1 jour
@Olivier R je suis d'accord avec vous, mais dans mon idée, au moment j'ai dit écolos, il s'agissait plus de l'image que les politiques sa faisaient des "écolos", image dans laquelle gp et consorts sont "sûrement" surreprésentés car très actifs
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Ndlr : un lfi-e (lf) /mel du 25/3 :
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[~10:25] au moment où le présentateur parle des réacteurs nucléaires naturels du Gabon. Il y a là une véritable arnaque.
Il dit : ces réacteurs ont environ 2 milliards d’années. Vrai. Il dit qu’il ont généré le “méchant” plutonium parmi d’autres “aussi méchants produits”. Vrai. Il dit encore que ce plutonium (sans citer que c’est le 239) n’a pas migré : il n’a pas bougé de plus de quelques cm depuis cette époque. Sa conclusion : on peut l’enfouir car il ne bougera pas.
L’arnaque réside dans l'affirmation que le Pu239 de ces réacteurs naturels n’a pas migré, du fait ce je ne sais quel phénomène. En réalité, il y a belle lurette qu’il n’y en avait plus ; quelque chose qui n’existe plus ne peut pas migrer, sinon cela n’a pas de sens. En effet un petit calcul basique montre que la radioactivité de ce Pu239 (période 24.000 ans) créé il y a 2 milliards d’années a été divisée par 1000 (1024 en réalité, mais simplifions) au bout de 240.000 ans, soit 10 périodes, puis par 1.000.000 au bout de 2.400.000 ans, soit 20 périodes. Il commence à ne plus en rester beaucoup.
Poursuivons le calcul au bout de 30 périodes son activité aura été divisée par 1 milliard. Or entre l’existence de ces réacteurs naturels gabonais et notre époque, c’est 1.000.000 de périodes qui se sont écoulées. Il ne reste donc plus aucune trace de Pu239 depuis bien longtemps.
Dans 1 milliard d’années le Pu239 enfoui à Bures ne posera évidemment plus de problème ; car il n’y en aura plus. Alors qu’au bout d'un million d’années ce sera encore un problème. C’est pour cela que l’ANDRA parlait de dangerosité jusqu’à 1 millions d’années (Voir mon mail du 21 mars).
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Nature & environnement
La militante écologiste suédoise Greta Thunberg a critiqué mercredi l'Union européenne, qui "prétend" être un "leader" sur le changement climatique, l'accusant de poursuivre une politique favorable aux énergies fossiles, lors d'une intervention à Bruxelles devant les eurodéputés.
*La jeune fille s'est exprimée dans l'enceinte du Parlement européen au moment même où la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, présentait son projet de "loi climat" pour l'UE, destinée à inscrire dans le marbre l'objectif de neutralité carbone en 2050.
"Vous êtes ici à essayer de créer des lois et des politiques (...) en prétendant que vous pouvez être un leader en matière de climat, tout en continuant à construire et à subventionner de nouvelles infrastructures pour les combustibles fossiles", a-t-elle affirmé debout face aux eurodéputées.
"Il faut mettre un terme à cette situation", a tranché l'adolescente, sourcils froncés, en pull gris bleu.
Elle a qualifié la loi "climat" de la Commission de "capitulation", jugeant qu'elle envoyait le signal "qu'une action réelle et suffisante était en cours, alors qu'en fait, ce n'est pas le cas".
"Nous sommes toujours dans une crise qui n'a jamais été traitée comme une crise", a-t-elle dit. Or, a-t-elle lancé aux députés, "vous avez l'obligation" d'agir.
TA | 24 février 2020 | Communiqués, Politiques, stratégies & diplomaties économiques
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Ce travail de recherche est le fruit d’une thèse soutenue le 27 juin 2019 à l’Université de Rouen Normandie sous la direction de madame Carine BRIÈRE, portant sur les « politiques fiscales et douanières en matière d’investissements étrangers en Afrique francophone : le cas du secteur des ressources naturelles extractives ». Il s’agit d’un travail théorique et pratique pionnier dans ce champ d’études qui embrasse le droit fiscal, le droit douanier, le droit fiscal, le droit extractif, le droit de l’investissement, en plus d’analyses économiques, sociologiques et politiques.
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Elle s’illustre dès avant la période coloniale et durant celle-ci. Toutefois, depuis les indépendances, les États africains font face à la question de la mise en œuvre efficiente de l’intérêt général par l’utilisation de leurs ressources et l’ouverture de leurs secteurs miniers aux investissements privés. En effet, les sous-sols des pays de l’Afrique francophone sont riches avec une croissance économique dynamique qui ne se matérialise pas au niveau des populations vivant dans une extrême pauvreté.
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Dans un premier temps, Mamoudou Barry revient sur les enjeux juridiques et stratégiques ... Les clauses de stabilité et les clauses d’intangibilité font également partie des garanties juridiques en faveur des investisseurs étrangers. L’efficacité de ces approches est remise en cause dans la pratique au regard de l’instabilité du droit minier ou encore de la corruption.
Ainsi, dans un deuxième temps, l’auteur analyse la nécessité d’une meilleure gouvernance des politiques fiscales et douanières des États de l’Afrique francophone. Cette gouvernance recoupe l’exigence d’un contrôle fiscal et douanier de qualité, la lutte contre les transferts indirects de bénéfices ou encore un encadrement plus équitable des questions de règlement amiable et arbitrale des litiges fiscaux et douaniers.
Mamoudou Barry tire la conclusion de ses travaux en proposant des recommandations pour remédier aux défaillances des États de l’Afrique francophone dans leurs relations avec les investisseurs privés. Elles sont d’ordre juridique, technique et institutionnel.
Cette thèse innovatrice est sans nul doute une boussole incontournable pour revaloriser l’apport des ressources extractives dans le développement des États africains, aussi bien pour les acteurs étatiques que non étatiques.
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