https://www.ripostecreativepedagogique.xyz/?CoursLibre i à https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?feEPJA
le diaporama de la présentation : https://stph.scenari-community.org/pres/20220927-riposte-creative/ i à https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?Sfmczg
Points remarquables :
Présentation Stéphane Crozat de Librecours, Lownum
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4 scénarios qui arrivent au même résultat par un chemin différent :
- S1 : Génération frugale
- S2 : Coopérations territoriales
- S3 : Technologies vertes
- S4 : Pari réparateur
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Stph :... Le plus grand enjeux, c'est d'arriver à mettre en place de l'accompagnement humain, car les contenus ne sont jamais suffisants en eux-mêmes. Mettre en place des mécanismes d'entrée pour ça serait un plus. Demande à des participants de s'engager à encadrer pour les suivants
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Référence du colloque : https://www.sictdoctoralschool.com/
https://stph.crzt.fr/res/sict-lownum-1.pdf
https://stph.crzt.fr/res/sict-lownum-2.pdf
...
D'un côté, travailler sur les imaginaires et se forcer à faire des récits. D'un autre, voir ce que ça donne dans le réel.
Forçage à des logiques de publication, de confrontation : sortir les étudiants d'un rapport apprenant descandant à un rapport confrontant
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Proposition Fête de la science : Un téléphone qui dure toute la vie ? Lifephone https://md.picasoft.net/s/bxdEAkdg5
Sujet 1 : LifePhone, Un smartphone pour toute la vie
/ document en construction, donc ATTENTON à ne rien écraser ;)
Projet ClimatChange pour utiliser des outils LowTech en afrique en particulier : https://climatechangelab.org/
Ndlr : approfondir ACT
Connu / lettre interne April #363
Les clubs techniques de la SEE se focalisent sur les différents domaines couverts par la SEE.
- Cybersécurité et Réseaux Intelligents (CRI) Responsable : Frédéric Cuppens
Cybersécurité ; sécurité des systèmes d'information ; usages intelligents d'Internet - Capteurs et Systèmes ElectroMagnétiques (CSEM) Responsable : Sylvain Azarian
Electromagnétisme, acoustique, propagation - Eco-conception en Génie Electrique (EGE) Responsable : David Malec
Conception des équipements électriques et environnement. - Ingénierie des Systèmes d'Information et de Communication (ISIC) Responsable : Frédéric Barbaresco
Traitement du signal, de l'image, de l'information ; aide à la décision ; télécommunications - Systèmes Electriques (SE) Responsable : Hervé Laffaye
Réseaux d’énergie, grands systèmes électriques - Stockage et Moyens de Production (SMP) Responsable : Claire Lajoie-Mazenc
Stockage et nouveaux moyens de production de l'énergie
Durée : 2018 – 2021
Un des grands défis dans le domaine de la sécurité et de la sûreté des populations est de progresser dans la compréhension et la capacité à anticiper les comportements humains, individuels et collectifs, face à des menaces et des catastrophes complexes et de toutes origines. La façon de prévoir ou anticiper les réactions humaines dans leur dimension spatio-temporelle détermine la manière dont nous gérons les situations d’urgence (Drury et Reicher, 2011).
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Ces recherches s’inscrivent dans les priorités 1 (comprendre les risques de catastrophe dans toutes leurs dimensions […]) et 3 (investir dans la réduction des risques de catastrophe aux fins de la résilience) du cadre d’action de Sendai des Nations Unies.
... trois volets complémentaires et fondamentaux :
– Production et analyse de données empiriques permettant l’identification, la description et la classification des comportements humains, et ce, quelle que soit l’origine de l’événement ;
– Modélisation mathématique de la dynamique spatio-temporelle des comportements sur la base des expérimentations, des études empiriques et statistiques réalisées ;
– Développement d’une plate-forme web cartographique de simulation des réactions humaines destinée à la communauté scientifique, aux professionnels en charge de la sécurité et sûreté des citoyens et au public dans un cadre de formation et d’amélioration de la culture du risque.
Deux terrains d’étude retenus : un tsunami local sur le littoral azuréen et un accident technologique sur l’agglomération havraise.
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rassemble des chercheurs de plusieurs disciplines : géographes, géophysiciens, géomaticiens, mathématiciens, informaticiens et psychologues issus des UMR Géoazur, UMR ESPACE (Étude des Structures et des Processus d’Adaptation et des Changements de l’Espace), UMR Géographie-Cités, LMAH (Laboratoire de Mathématiques Appliquées du Havre) et LPPL (Laboratoire de Psychologie des Pays de la Loire). Il bénéficie de partenariats avec des structures institutionnelles et opérationnelles en charge d’assurer la sécurité et la sûreté des citoyens et des territoires.
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labellisé par le Safe Cluster https://www.safecluster.com/.
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Le dimanche 10 avril, je ne veux pas qu'on ait de regrets. Que tout soit fait pour emmener le candidat de gauche au second tour, qu'on ait droit à un débat Macron-Mélenchon, que ça cause de santé et d'égalité, plutôt que d'insécurité et d'identité.
Un bulletin, c'est comme un tournevis : c'est un outil, ça peut servir de levier, on te demande pas de l'aimer.
Tr.: ... volonté populaire pour la victoire ... lettre de Macron, choix suicidaire tech+capital entraîne plus vite dans la chute ou changer la société ... ma prime rénov, 250 ans pour rénover les appartements (2000 ans selon fond emmaüs) ... Roosevelt, économie guidée par l'État ... croit à l'initiative privée, être en guerre climatique ... la dépression, alliée de Hitler, animer, résister, énergie du rire ...
N° 246 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2021-2022 Enregistré à la Présidence du Sénat le 1er décembre 2021
PROPOSITION DE RÉSOLUTION EUROPÉENNE
sur l’inclusion du nucléaire dans le volet climatique de la taxonomie européenne des investissements durables, TEXTE DE LA COMMISSION DES AFFAIRES ÉCONOMIQUES (1)
(1) Cette commission est composée de : Mme Sophie Primas, présidente ; M. Alain Chatillon, Mme Dominique Estrosi Sassone, M. Patrick Chaize, Mme Viviane Artigalas, M. Franck Montaugé, Mme Anne-Catherine Loisier, MM. Jean-Pierre Moga, Bernard Buis, Fabien Gay, Henri Cabanel, Franck Menonville, Joël Labbé, vice-présidents ; MM. Laurent Duplomb, Daniel Laurent, Mme Sylviane Noël, MM. Rémi Cardon, Pierre Louault, secrétaires ; MM. Serge Babary, Jean-Pierre Bansard, Mmes Martine Berthet, Florence Blatrix Contat, MM. Michel Bonnus, Denis Bouad, Yves Bouloux, Jean-Marc Boyer, Alain Cadec, Mme Anne Chain-Larché, M. Patrick Chauvet, Mme Marie-Christine Chauvin, M. Pierre Cuypers, Mmes Marie Evrard, Françoise Férat, Catherine Fournier, M. Daniel Gremillet, Mme Micheline Jacques, M. Jean-Marie Janssens, Mmes Valérie Létard, Marie-Noëlle Lienemann, MM. Claude Malhuret, Serge Mérillou, Jean-Jacques Michau, Mme Guylène Pantel, MM. Sebastien Pla, Christian Redon-Sarrazy, Mme Évelyne Renaud-Garabedian, MM. Olivier Rietmann, Daniel Salmon, Mme Patricia Schillinger, MM. Laurent Somon, Jean-Claude Tissot.
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Fait valoir que l’engagement pris par l’Union européenne de mettre fin à l’utilisation des énergies fossiles et l’électrification croissante des usages nécessitent de disposer de plus d’électricité décarbonée, stable et compétitive ;
Estime que la lutte de l’Union européenne contre le changement climatique doit nécessairement s’appuyer sur une diversité de sources d’énergie décarbonées ;
Juge que l’énergie nucléaire, qui contribue déjà à la décarbonation de l’approvisionnement énergétique de près de la moitié des États membres, doit permettre à d’autres États membres de sortir de l’utilisation des énergies fossiles, pour atteindre l’objectif de neutralité carbone à l’horizon 2050 ;
Relève que les conclusions des différents rapports techniques et scientifiques approfondis d’experts de l’Union européenne, publiés en 2021, considèrent que la production d’électricité nucléaire peut contribuer à l’objectif d’atténuation du changement climatique, qu’elle ne porte pas atteinte aux autres objectifs environnementaux et qu’elle peut par conséquent être qualifiée d’activité durable au sens du règlement sur la taxonomie ;
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Prend acte de la décision de la Commission européenne d’adopter un acte délégué complémentaire pour les activités de certains secteurs de l’énergie qui ne sont pas encore couvertes par l’acte délégué relatif au volet climatique de la taxonomie de l’Union européenne, dont l’énergie nucléaire ;
Demande à ce que l’acte délégué complémentaire prévu à l’article 10 du règlement (UE) 2020/852 sur la taxonomie :
– inclue l’énergie nucléaire à la taxonomie, en veillant à reconnaître les activités économiques liées à la construction ou à l’exploitation d’installations de production d’électricité à partir de cette énergie en tant qu’activités durables ;
– maintienne une neutralité technologique entre l’hydrogène issu de l’énergie nucléaire et celui issu des énergies renouvelables ;
– ne soumette pas les activités économiques liées à la construction ou à l’exploitation d’installations de production d’électricité à partir de l’énergie nucléaire à des obligations d’information autres que celles applicables à toute activité durable ;
– soit pris avant le 31 décembre 2021, afin d’entrer en vigueur de manière concomitante avec les autres dispositions de la taxonomie.
Invite le Gouvernement à faire valoir cette position dans les négociations au Conseil.
Bioéconomie - 4 min
COMMUNIQUE DE PRESSE - Le développement de la production de gaz renouvelables dans les territoires repose aujourd’hui essentiellement sur le procédé de méthanisation, technologie la plus mature(1). Pour quantifier les impacts environnementaux de la production de biométhane issu des résidus agricoles, les experts d’INRAE Transfert, mandatés par GRDF, ont réalisé une étude ACV - Analyse du Cycle de Vie(2). Cette étude d’une ampleur inédite s’appuie sur les travaux de plusieurs équipes de scientifiques d’INRAE. Elle compare les impacts de deux scénarios, l’un avec méthanisation et l’autre sans, dans différents contextes agricoles orientés vers la polyculture ou vers l’élevage. La méthanisation agricole est évaluée sur la base de 16 indicateurs clés. L’étude conclut à des impacts environnementaux majoritairement bénéfiques ou neutres en cas de méthanisation, avec des résultats contrastés selon les indicateurs analysés. Cette étude pose ainsi des bases solides pour assurer une bonne gestion environnementale des installations de méthanisation, et vient répondre à de nombreuses questions soulevées dans le rapport de la mission d'information sénatoriale(3) publié cet automne.
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Les 16 indicateurs ACV : changement climatique, destruction couche d’ozone, formation d’ozone photochimique, particules fines, acidification, eutrophisation terrestre, épuisement ressources énergétiques (fossiles et nucléaires), radiation ionisante, toxicité humaine avec effets cancérigènes et non cancérigènes, eutrophisation eau douce, eutrophisation marine, écotoxicité eaux douces, occupation des terres, épuisement ressources en eau, épuisement ressources métalliques et minérales.
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la méthanisation d’intrants agricoles tels que les résidus de cultures, les effluents d’élevage et les Cultures Intermédiaires à Vocation Energétique (CIVE). Ces substrats pourraient assurer 50 à 75% de la production de gaz renouvelable.
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ses trois fonctions associées : production d’énergie, gestion d’effluents et fertilisation des sols
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de meilleures performances sur 7 indicateurs pour le scénario « culture » et 9 indicateurs pour le scénario « élevage »
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potentiel de mobilisation des CIVE, semées en période d’interculture ... adopter des nouvelles pratiques en cohérence avec la transition agro-écologique et énergétique.
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Des chiffres
Au 1er novembre 2021, 333 unités de méthanisation injectaient leur production de biométhane dans les réseaux gaziers, pour une capacité de production de 5 833 GWh/an https://opendata.reseaux-energies.fr/explore/dataset/points-dinjection-de-biomethane-en-france
Référence :
Esnouf A., Brockmann D., Cresson R. (2021) Analyse du cycle de vie du biométhane issu de ressources agricoles - Rapport d’ACV. INRAE Transfert, 168pp.
L’étude s’est appuyée sur les savoir-faire et les connaissances d’INRAE dans les domaines de l’ACV et de la méthanisation.
Pour aller plus loin, consultez notre dossier méthanisation https://www.inrae.fr/bioeconomie/place-methanisation
(1) Technologie comparée à celle de la pyrogazéification et à l’électrolyse-méthanation (ou power-to-gas) (ADEME, 2018c)
(2) L’étude présentée remplit l’ensemble les exigences des normes ISO 14040 et 14044 relatives à l’ACV, incluant une revue critique réalisée par un panel d’experts indépendants.
(3) Mission d’information « La méthanisation dans le mix énergétique : enjeux et impacts » – présidée par Pierre Cuypers (LR), rapporteur Daniel Salmon (Écologiste-Solidarité et Territoires). Rapport «Méthanisations : au-delà des controverses, quelles perspectives ? » n° 872 (2020-2021) - 29 septembre 2021.
53 minutes
La France a été le premier pays au monde à interdire obsolescence programmée en 2015. Au niveau européen, les choses bougent aussi avec le rapport d'inititative pour un marché intérieur durable.
Qu'est-ce que l'obsolescence programmée et ses dégâts ? © Getty / Paula Daniëlse
L’obsolescence programmée est la réduction volontaire de la durée de vie d’un produit afin d’en accélérer le renouvellement.
La France a été le premier pays au monde à interdire cette pratique en 2015. Elle peut être punie de 2 ans d’emprisonnement et 300 000 € d’amende et jusqu’à 5% du chiffre d’affaires annuel moyen.
Il en existe multiple facettes :
- L’obsolescence technique, dite aussi fonctionnelle ou structurelle : lorsque que le bien ne fonctionne plus en raison de la durée de vie limitée de l’un de ses composants essentiels et inamovibles.
- L’obsolescence esthétique, dite aussi psychologique ou culturelle.
- L’obsolescence logicielle concerne principalement les smartphones ou ordinateurs par exemple, mais monte en puissance avec la multiplication des objets connectés. Et lutter contre l’obsolescence prématurée n’est pas seulement un combat contre l’utilisation abusive des ressources et la réduction du pouvoir d’achat des citoyens, mais aussi un combat contre le réchauffement climatique.
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Avec pour en parler
- David Cormand, euro député (EELV-Les Verts) et membre de la Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs et rapporteur pour le Parlement Européen du rapport d’initiative pour un marché intérieur durable.
- Laetitia Vasseur, co-fondatrice et Déléguée Générale de l’Association HOP (Halte à l'Obsolescence Programmée).
INRAE, l’institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement est né le 1er janvier 2020. Il est issu de la fusion entre l’Inra, Institut national de la recherche agronomique et Irstea, Institut national de recherche en sciences et technologies pour l’environnement et l’agriculture.
Une ambition pour la vie, l'humain, la terre
L’humanité et la planète font face à un changement global qui crée de nouvelles attentes vis-à-vis de la recherche : atténuation et adaptation au changement climatique, sécurité alimentaire et nutritionnelle, transition des agricultures, préservation des ressources naturelles, restauration de la biodiversité, anticipation et gestion des risques. S’y ajoutent des enjeux plus territorialisés qui incluent les conditions de vie et de rémunération des agriculteurs, la compétitivité économique des entreprises, l’aménagement des territoires, l’accès à une alimentation saine et diversifiée pour chacun.
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les sciences de l’eau, les approches à l’échelle des territoires, la conservation et la restauration de la biodiversité, l’anticipation et la gestion des risques ou l’agriculture numérique.
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NOS THÉMATIQUES Agroécologie Alimentation, santé globale Biodiversité Bioéconomie Changement climatique et risques Société et territoires
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EPST, Etablissement public à caractère scientifique et technologique
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Ses statuts sont publiés dans le code rural et de la pêche maritime (articles R831-1 et suivants) ;
Il est représenté par son Président Directeur général, M. Philippe MAUGUIN.
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RÉPRESSION DU 21E SIÈCLE : CE QUE NOUS RÉSERVENT LES NOUVELLES TECHNOLOGIES
Publié il y a 3 jours • 22 vues
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Robot-patrouilleur, tour de surveillance mirador, reconnaissance faciale… Le futur de la répression s’est donné rendez-vous la semaine dernière au parc des Expositions de Villepinte à l’occasion de la 22e édition du Milipol Paris, le salon mondial de la sécurité intérieure parrainé par le Ministère français de l’intérieur.
Christophe-Cécil Garnier, journaliste à StreetPress, s’est rendu sur place et a accepté de nous livrer son témoignage.
Visibilité Publique
Publié originellement 27 octobre 2021
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu LangueInconnu
Étiquettes : darmanin ; macron ; mouvements sociaux ; répression ; violences policières
Durée 17min 13sec
Durée de lecture : 7 minutes - Agriculture Culture et idées
L’agriculture industrielle nourrit mal la population, et ses alternatives inoffensives ne sont destinées qu’aux classes aisées, défendent les auteurs du livre « Reprendre la terre aux machines ». Pour eux, les alternatives (bio, Amap) doivent s’inscrire dans un projet politique dépassant la seule question agricole : rompre avec les logiques de marché et de technologisation.
...
ouvrage collectif de L’Atelier paysan paru pendant la crise du Covid-19. Avec une explosion du nombre de demandeurs d’une aide alimentaire — en octobre 2020, 26 millions de personnes déclaraient ne pas avoir les moyens de manger comme elles le souhaitent —, celle-ci a dramatiquement mis en lumière un problème structurel : l’agriculture industrielle ne nourrit pas les gens.
...
les revenus dérisoires, la chute drastique de fermes et les suicides ... « clivage de classe autour de l’alimentation » plus marqué que jamais. D’un côté, les classes aisées peuvent consommer une nourriture de qualité chez Biocoop ; de l’autre, les classes populaires doivent se contenter d’Aldi, quand ce n’est pas des Restos du cœur.
...
viser au contraire « des communautés paysannes technologiquement autonomes », à l’abri des banques et des industriels. En second lieu, rompre avec les logiques de marché auxquelles ont souscrit bon nombre d’alternatives agricoles en initiant une véritable socialisation de l’alimentation. S’inspirant de la Sécurité sociale telle qu’elle existait aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale, les auteurs ambitionnent une Sécurité sociale de l’alimentation allouant à chaque citoyen une somme lui permettant de se nourrir décemment et, surtout, de leur donner le choix de ce qu’il mange et de la manière dont on le produit. Une telle mesure permettrait, au bout du compte, la réorganisation complète de la filière agricole, en accord entre citoyens et paysans.
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Nourrir enfin les personnes, et non plus les banques.
Reprendre la terre aux machines. Manifeste pour une autonomie paysanne et alimentaire, de L’Atelier paysan, aux éditions du Seuil, collection Anthropocène, mai 2021, 288 p., 20 €.
Connu / https://twitter.com/Reporterre/status/1430150407905595489
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Les Soulèvements de la Terre a aimé
Reporterre @Reporterre · 8h - 33 - 58 - 81
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6 janvier 2021 à 09h39 Mis à jour le 8 janvier 2021 à 09h25 / Celia Izoard (Reporterre)
Durée de lecture : 7 minutes - Clés : Libertés Numérique Chine 5G
Si la Chine est un régime totalitaire, explique l’autrice de cette tribune, ce n’est pas seulement parce que le numérique donne des moyens de contrôle supplémentaires au Parti dictatorial. Ces dispositifs électroniques sont aussi porteurs de leur propre logique de régulation sociale, qui s’étend à l’ensemble de la planète.
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Huawei, qui a désormais l’autorisation d’équiper les réseaux 5G de Bouygues et de SFR en France, travaille avec les autorités dans la province du Xinjiang pour parachever la surveillance des moindres faits et gestes des Ouïghours, dont un million auraient déjà été déportés dans des camps depuis 2017. Dans le Xinjiang, note Strittmatter, « les décisions d’arrestations sont de plus en plus souvent prises par des systèmes technologiques, on n’examine pas les cas individuels » : ce sont des algorithmes qui calculent, à partir des habitudes de vie renseignées par les données, qui doit être arrêté.
Plus qu’une dictature, un système totalitaire
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un régime totalitaire ne s’arroge pas seulement un monopole de la sphère publique ; comme l’a montré Hannah Arendt, il tente de soumettre et d’exploiter à ses propres fins toutes les sphères de l’existence, jusqu’aux plus intimes. Le système du crédit social mis en place pour lutter contre la « malhonnêteté », en cours de déploiement à l’ensemble du pays, permet ainsi d’ajuster en permanence la note de chaque citoyen en fonction du moindre de ses actes
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la grande majorité se sent en sécurité parce qu’elle sait que la technologie est entre de bonnes mains. »
Cela prêterait à rire si on ne retrouvait pas là mot pour mot les formules rassurantes qui entourent chez nous le déploiement des mêmes technologies : vidéosurveillance, biométrie, smart city, smart mobility — la centralisation des données en moins. Ces expressions toutes faites visent à maintenir une séparation purement théorique entre, d’un côté, la technologie, et, de l’autre, l’intentionnalité politique qui guiderait son déploiement. Mais existe-t-il vraiment une version « libérale » de cette infrastructure de big data ? Un monde « libre » où les millions de capteurs, de caméras, et toutes les données collectées ne serviront « qu’à » nous proposer de nouveaux services, à affiner le ciblage marketing, à nous bombarder de messages incitant à des comportements vertueux ?
La plongée que nous offre Kai Strittmatter dans la Chine de Xi Jinping permet de comprendre que ce régime n’est pas une simple mise à jour high-tech de la dictature maoïste. Il est le fruit du croisement de deux idéologies totalitaires : le nationalisme hérité du maoïsme incarné par le Parti, et le techno-solutionnisme porté par l’industrie des nouvelles technologies du monde entier. Car ce dernier ne peut être réduit à un simple appareillage du pouvoir. Tout autant que le premier, il porte en lui une vision de l’organisation sociale et du devenir humain.
Les conclusions du rapport du GIEC – plus précisément de son Groupe de travail 1 – sont on le sait effrayantes tant elles décrivent un monde pris dans la catastrophe environnementale en cours. Cet article de Daniel Tanuro les analyse précisément et ouvre des perspectives radicales, anticapitalistes, seules à même d’empêcher le désastre.
...
solution miracle : l’augmentation de la part des « technologies bas carbone » (nom de code pour le nucléaire, notamment les « microcentrales) et, surtout, le déploiement des dites « technologies à émissions négatives » (TEN – ou CDR, pour Carbon Dioxyde Removal), censées refroidir le climat en retirant de l’atmosphère d’énormes quantités de CO2 à stocker sous terre. C’est l’hypothèse dite du « dépassement temporaire du seuil de dangerosité » de 1,5°C.
Sur le nucléaire, inutile de s’étendre après Fukushima. Quant aux « technologies à émissions négatives », elles n’existent pour la plupart qu’au stade du prototype ou de la démonstration, et leurs effets sociaux et écologiques promettent d’être redoutables (on y revient plus loin). Qu’à cela ne tienne : on veut nous faire croire qu’elles sauveront le système productiviste/consumériste et que le marché libre se chargera de les déployer. En vérité, ce scénario de science-fiction ne vise pas avant tout à sauver la planète ; il vise avant tout à sauver la vache sacrée de la croissance capitaliste et à protéger les profits des plus grands responsables du gâchis : les multinationales du pétrole, du charbon, du gaz et de l’agrobusiness.
Le GIEC entre science et idéologie
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le résumé du GT1 cautionne l’idée que les technologies à émissions négatives pourraient ne pas être déployées uniquement pour capter les « émissions résiduelles » des secteurs où la décarbonisation est techniquement difficile (l’aviation par exemple) : elles pourraient aussi être mise en œuvre à une échelle massive, pour compenser le fait que le capitalisme mondial, pour des raisons qui ne sont pas « techniques » mais de profit, refuse de renoncer aux combustibles fossiles. Le texte continue d’ailleurs en vantant les avantages de ce déploiement massif comme moyen d’arriver à des émissions nettes négatives dans la seconde moitié du siècle :
« Le CDR conduisant à des émissions négatives nettes mondiales réduirait la concentration de CO2 atmosphérique et inverserait l’acidification de la surface des océans (degré de confiance élevé). »
Le résumé formule une réserve, mais elle est sibylline :
« Les technologies CDR peuvent avoir des effets potentiellement étendus sur les cycles biogéochimiques et le climat, ce qui peut soit affaiblir soit renforcer le potentiel de ces méthodes pour éliminer le CO2 et réduire le réchauffement, et peut également influencer la disponibilité et la qualité de l’eau, la production alimentaire et la biodiversité (degré de confiance élevé). »
En clair, il n’est pas certain que les TEN soient si efficaces que cela, certains « effets » pourraient « affaiblir (leur) potentiel pour éliminer le CO2 ». La dernière partie de cette phrase fait allusion aux impacts sociaux et écologiques : la bioénergie avec capture et séquestration du carbone (la plus mature des TEN à l’heure actuelle) ne pourrait réduire significativement la concentration atmosphérique en CO2 que si une superficie égale à plus d’un quart des terres en culture permanente aujourd’hui servait à produire de la biomasse énergétique – au détriment des réserves en eau, de la biodiversité, et/ou de l’alimentation de la population mondiale1.
Ainsi, d’un côté le GT1 du GIEC se base sur les lois physiques du système climatique pour nous dire que nous sommes au bord du gouffre, sur le point de basculer irréversiblement dans un cataclysme inimaginable ; de l’autre, il objective et banalise la fuite en avant politico-technologique par laquelle le capitalisme tente, une fois de plus, de reporter devant lui l’antagonisme irréconciliable entre sa logique d’accumulation illimitée du profit et la finitude de la planète. « Jamais un rapport du GIEC n’aura laissé sourdre à ce point l’angoisse suscitée par l’analyse scientifique des faits à l’aune des lois incontournables de la physique », écrivions-nous au début de cet article. Jamais non plus un tel rapport n’aura illustré aussi clairement qu’une analyse scientifique qui considère la nature comme un mécanisme et les lois du profit comme des lois physiques n’est pas vraiment scientifique mais scientiste, c’est-à-dire, partiellement au moins, idéologique.
...
lire le rapport du GT1 du GIEC en ayant à l’esprit qu’il est à la fois la meilleure et la pire des choses ... diagnostic rigoureux ... La pire, parce qu’il sème à la fois la peur et l’impuissance ... Son idéologie scientiste noie l’esprit critique dans le flot des « données ». Elle détourne ainsi le regard des causes systémiques, avec deux conséquences : 1°) l’attention se focalise sur les « changements des comportements » et autres gestes individuels – pleins de bonne volonté mais pathétiquement insuffisants ; 2°) au lieu d’aider à combler le fossé entre conscience écologique et conscience sociale, le scientisme l’entretient.
Écologiser le social et socialiser l’écologie est la seule stratégie qui peut arrêter la catastrophe et faire renaître l’espérance d’une meilleure vie. Une vie du prendre soin des personnes et des écosystèmes, maintenant et dans une vision de long terme. Une vie sobre, joyeuse et chargée de sens. Une vie que les scénarios du GIEC ne modélisent jamais, où la production de valeurs d’usage pour la satisfaction des besoins réels, démocratiquement déterminés dans le respect de la nature, remplace la production de marchandises pour le profit d’une minorité.
Article écrit pour le site de la Gauche anticapitaliste (Belgique)
Photo: G. Blevins, Reuters
Connu / https://twitter.com/SRContretemps/status/1425104122932563975
Ndlr : tant que le GIEC et l'IPBES N'AURONT Pas fusionné dans une approche holistique et holomidale on aura des pb ? ACT
Au-delà du logiciel libre 25 pages
Tous pirates ? C’est ce que la propagande contre les échanges de fichiers musicaux voudrait nous faire accroire. Mais ceux qui prennent aveuglément parti pour la « propriété informationnelle » devront lutter sans fin contre les nouveaux modes de création. Or ceux-ci, fondés sur la resocialisation de l’acte de créer et sur des coopérations inédites rendues possibles par l’avènement d’Internet, sont de plus en plus puissants.
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Des chercheurs ont établi de façon convaincante la supériorité de la « production sociétale par les pairs sur la base des biens communs » pour une large classe de créations et d’innovations informationnelles (5). Cette formule de Yochai Benkler recouvre la production coopérative de résultats dont chaque étape est librement utilisable et modifiable par tout un chacun, et constitue en ce sens un bien commun, souvent protégé contre la réappropriation par un acteur particulier.
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se réjouir de quelques succès : la résistance aux brevets logiciels en Europe ; l’émergence, à l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) et à l’Unesco, de coalitions regroupant organisations non gouvernementales d’intérêt général et pays pauvres ou émergents. Destinés officiellement à contrer les liens entre contrefaçon industrielle et criminalité organisée, des textes – comme la directive européenne dite « sur le respect des droits de propriété intellectuelle (10) », complétée, le 12 juillet dernier, par une proposition de « dispositif pénal européen contre les atteintes à la propriété intellectuelle » – facilitent en fait la multiplication des procédures abusives contre les médicaments génériques, les logiciels libres, le partage volontaire des créations ou la possibilité pour les citoyens de critiquer la télévision.
...
le facteur essentiel de crédibilité pour une coalition des biens communs tient dans la capacité de celle-ci à articuler son projet avec celui d’une redomestication générale du capitalisme. Il s’agit de mettre fin à cet étrange renoncement qui fait considérer le changement technique comme une donnée extérieure ne relevant pas de l’action et des préférences humaines.
Philippe Aigrain
Animateur du mouvement en faveur des biens communs, auteur de Cause commun, Fayard, coll. « Transversales », Paris 2005.
Connu / https://twitter.com/mdiplo/status/1414565773037776896
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Le Monde diplomatique @mdiplo
2:42 PM · 12 juil. 2021·- 27 Retweets 2 Tweets cités 29 J'aime
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10h En réponse à @mdiplo
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Jérémie Zimmermann Cœur croissant Plusieurs notes de musique Morceau de fromage @jerezim · 14h
Je viens d'apprendre le décès de Philippe Aigrain, dans sa maison à la montagne, près d'Argeles.. je suis si triste.
Philippe avait été mon inspiration pour mes recherches sur les brevets sur les logiciels lorsque j'étais étudiant.
1/..
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Enregistrement de la rencontre mensuelle du mouvement Adaptation Radicale du 26.05.2021 sur le thème "La redirection écologique : un cadre d'action pour des réalisations concrètes en cours". Lors de cette rencontre nous avons recu Alexandre Monnin, Diego Landivar et Emmanuel Bonnet à l'occasion de la sortie de leur livre "Héritage et fermeture".
Un lien direct vers le livre sur le site de son éditeur:
https://www.editionsdivergences.com/livre/heritage-et-fermeture
Les temps en lien ci-dessous vous permettent d'aller directement aux différentes parties de la video :
- 00:00 Présentation du mouvement Adaptation Radicale
- 13:00 Début de la présentation par Emmanuel Bonnet, Diego Landivar et Alexandre Monnin.
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Sujet : Replay Adaptation radicale : La redirection écologique Date : Fri, 28 May 2021 09:53:08 +0200 De : JL
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Tr.: ... d'abord se déconnecter de la technosphère donc redirection écologique ... dd concept caduque ... pas techno-solutionnisme ... tenir le diagnostic de l'anthropocène et que des milliards de personnes dépendantes de la technosphère. Donc tenir les deux bouts pour proposer un atterrissage.
EMM Bonnet travail en usine puis thèse en sciences de gestion sur des situations extrêmes où pérennité menacée, critique l'innovation intensive, de rupture, doute installé suite à enquêtes, trouble, clichés effondrés, a renc diego a connecté l'enjeu de l'anthropocène en terme de mutations cosmologiques, effondrement des clichés du capitalisme mondial intégré.
Alexandre Monnin, philosophe thèse sur la philosophie du web, anthropocène, remise en cause du numérique, vecteur de communs, d'utopies, chercheur chez inria,
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à Londres, ville tentaculaire, chealsy, que vont devenir cette ville monde associée à un empire ?
que faire des infrastructures actuelles ?
hériter de l'existant mais refuser de faire parvenir certains projets ?
Élément d'exploration de la réalité.
Diego
/dd transition, resp sociale
- enlever le filtre entre orgas et écologie/effondrement
4 implicites posent pb : - la q écolo, pb à résoudre : l'anthropocène est un changement de trajectoire donc rien à voir ex glacier (discontinu, cumulatif), ne pas penser en solutionnisme et en issue, cad voie de sortie, revenir à situation de départ
- pb écolo, pb de moyens : ça ne suffira pas (effet rebond, etc) penser d'autres finalités strétégiques adossées à l'anthropocène / paradigmes conciliateurs, ne peut se faire automatiquement ni parfaitement /pilotables : ex incitation etc tout ça est caduque. cf le livre /écolo, agroforesterie, etc
- sans arbitrages, idéologie de l'optimisation. Inventer un art de l'arbitrage. process démocratique, nouvelles institutions,
Mr ?? (chem à pois)
/clichés : enraciné dans la vision du monde, dd et rse images sensori-motrices, forcer le possible, ex des stations de ski de moy altitude : absence de neige. épuisement du possible, les clichés ne peuvent plus fonctionner.
Mr mince maillot beige clair :
rse cadre les conséquences, limite les dommages, pas de percolation entre le stratégique et les conséquences. que amoindrir les dommages... les conséquences néfastes rejetées à l'extérieur. Ne pose pas le coeur des orgas ex faire du chocolat qui déforeste.
FAIRE DES enquêtes pour aller au coeur des choses. Des Communs,
/résilience de + en + critiquée now cf anglosaxons cadre discutable émanation néolibérable, laisser faire ex fukushima vivre dans un monde toxique, innovation sociale pour survivre... double épuisement de la nature au nom de la résilience !
Concept critique
/Nos chantiers : collectif de 105 mairies / terminal 4 de roissy / avenir des départements. Grenoble : protocoles de renoncement. Entreprise bâtiment arrêt des constructions neuves en idf. économie de la maintenance/réhabilitation. Sortir de la propriété privée/communs. Eurométropole de strasbourg. démobilité avec l'ademe. Entreprise rse comment aller + loin ? sobriété numérique. Mieux disant écolo dans les filières. ch rég ess de la région nouvelle aquitaine guide régional. Gestion parking. Le travail sous l'anthropocène. cohabitation homme/requins. Les lowtechs et modèle économique. ++
Questions :
Bertrand : /réno logements enjeu co2, artificialisation des terres, ensemble de critères. zéro artificialisation ++
/ résilience du capitalisme : face à un effondrement maintenir une action collective, reconstruire du sens. Inverse du renoncement. Maintenir, quoi ?
Livre antifragiles
idée d'amélioration du monde, son habitabilité. passer au devoir-être pour que les réalités soient souhaitables, désirables. approche du design.
/Destoration : contraire d'instauration. Hériter de l'état actuel, diminuer leur intensité pour passer à des ruines non dangereuses.
/Commun négatif : réalité problématique, politiser des réalités toxiques ou
/protocole de renoncement : /développementisme pensée décoloniale anthropologie dév écon idéologie sur 2 plans - cosmologique, - prises politiques pour agir. Pluraliser. /projet, innovation sociale, inventer une autre anthropologie ex zad. c lévy-strauss. Pas des invariants des peuples humains. Opérer la fermeture. versant de l'imaginaire. Comment l'organiser. ex ferm néolibérale, ferm renoncement au sapin de noel, penser l'écologie depuis les supermarchés, le diesel, etc. le plus difficile à défaire. entités zombies caduques sur le plan écolo mais vivantes par injection de modes de dépendance. Le drame écolo est là. comment on sort de ces dépendances. Prendre soin de cet art de la fermeture. Révéler tous les réseaux. On comprend ensuite. Dénouer ces réseaux de dépendances, penser ces politiques publiques, effet d'accompagnement.
/mvt GJ /taxe carburants : a démontré ce qu'on dit. politiques désincitatives ne marchent pas. Comprendre d'abord les réseaux de dépendances, d'attachement. Penser l'écologie depuis ces situations là. Dépendances socio-matérielles.
/gestion modèle écnomique mettre les mains dans le camboui. Les dépendances du tourisme de masse / ex. Reconsidérer la gestion.
Autre Q / exprimer dans le langage de l'entreprise faisable ?
On se comprend bien en fait, entreprise confrontée à épuisement du possible. Le travail c'est avec la direction.
/ferm usine :
/refus robotisation chaine de production. Monter coalition prouver que bête car crée conflits sociaux, avec chercheurs, ingénieurs inventer un protocole de renoncement.
/effondrisme : sensibilisés /giec ipbes patrons effondrés, faire face à ces murs. ex la mode, etc, les voitures, etc. Mener une réflexion stratégique en interne ++
casser les clichés.
Q /analyse stratégique : revisiter l'instrumentation de gestion. Revisiter au regard du vide stratégique, critique de l'approche managériale. Penser la finitude. sortir du business as usual.
/Elon Musk : comme Trump clarifie les débats. Contrairement à Macron et son en même temps !
assumer la conflictualité. Politiser l'écologie. Ex des patrons effondrés. pret à penser le démentèlement entreprise laitière /relocaliser garder un capitalisme financier. Q ultra politique.
Conclusion.
Nadège.
Sujet au coeur des débats, comment renoncer concrètement, se mettre en mouvement.
CF LE LIVRE HÉRITAGE... ++
Julien Lecaille :
On a progressé. élu, embêté car ne croyait plus au dd, était en peine. Heureux de ces travaux pour cadres actionnables, retrouver décision, autonomie.
/conflictualisation avant penser la réconciliation. Oser le conflit. Assumer.
Connue / https://framasphere.org/posts/11977334
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Dom Mabb - il y a environ un jour
TOUS SURVEILLÉS : UNE ÉTAPE À ÉTÉ FRANCHIE AVEC LA PA#NDÉMIE
#surveillance #pandémie #Tesquet #technologie #économie #libertés 1 J'aime
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Tr.: ... Livre de oliver Tesquet "État d'urgence technologique"
La startup Mecaware, incubée par PULSALYS et portée par Arnaud Villers d’Arbouet, recycle les produits technologiques en fin de vie, notamment les batteries, pour récupérer de manière écologique les métaux stratégiques et les terres rares. Ce procédé vert, unique au monde, se base sur le captage du CO2 et répond à deux problématiques environnementales : la réduction du CO2 et le recyclage des matériaux stratégiques non accessibles mais indispensables à l’industrie des nouveaux outils technologiques. Après avoir déjà séduit Lyon Vallée de la Chimie en 2021 lors de l’AMI « les Ateliers Cleantech », Mecaware effectuera sa première levée de fonds dans les prochains mois afin de poursuivre son développement.
Une innovation de rupture unique au monde issue de la recherche publique française
Le procédé chimique mis au point par le Professeur Julien Leclaire du Laboratoire Chimie Supramoléculaire Appliquée de Lyon (ICBMS : Université Claude Bernard Lyon 1, INSA Lyon, CPE Lyon et CNRS) fait intervenir des amines et du CO2 présent dans les fumées industrielles pour générer un ensemble d’extractants qui vont s’associer de manière distincte à chaque molécule métallique. Les caractéristiques physiques et chimiques différenciées de chaque métal permettent leur sélectivité et leur extraction.
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ne rejette pas d’effluent et est peu énergivore, donc économiquement performante, mais également évolutive en s’adaptant au gisement. Simple à mettre en œuvre, elle permet de produire un métal compatible avec les filières industrielles.
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A l’heure des nouvelles technologies, le recyclage de tous ces produits est déterminant pour assurer un cycle vertueux contribuant au développement durable. » souligne Sophie Jullian, Présidente de PULSALYS.
Le soutien décisif de 2 SATT pour aboutir à la création de la startup
... 3 brevets ... mise en relation entre le chercheur et l’entrepreneur ...
l’inventeur Julien Leclaire
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Une levée de fonds pour industrialiser le processus dans une future usine
... la startup Mecaware, acronyme de MEtal CApture for WAste REcycling, apporte sa contribution à l’émergence de filières de production de produits technologiques et spécifiquement à la mise en place de la filière européenne de batteries de nouvelle génération dans une logique d'économie circulaire et de souveraineté industrielle.
... Son procédé ayant fait l’objet de plusieurs PoC (preuve de concept) ... les premiers partenariats industriels et commerciaux (2021-2022) ... la future usine (2022-2023) ...
Connu / https://twitter.com/Pulsalys/status/1390247468407873537
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PULSALYS @Pulsalys
Ce matin, nous présentions à la presse la startup #Mecaware, boostée par @Pulsalys & @SATTse_, qui recycle les batteries pour récupérer écologiquement les métaux stratégiques et les terres rares. Elle s'appuie sur une innovation issue de @ICBMSLyon
Sophie Jullian et 9 autres personnes
12:10 PM · 6 mai 2021·- 12 Retweets 14 J'aime
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Ndlr :
- "la startup MeCaWaRe créée en décembre 2020" selon https://www.pulsalys.fr/article/mecaware-le-recyclage-des-metaux-precieux-et-des-terres-rares
- est-ce l'heure des nouvelles technologiques comme le pense Sophie Jullian, ou plutôt celle de l'anthropocène ? En d'autres termes, la tech, centrale ou secondaire ? ACT
- usine en 2023 ? c'est donc du moyen-long terme. À suivre ACT
... (blue energy en anglais) est l'énergie qu'il serait possible d'obtenir au voisinage des estuaires (où l'eau douce fluviale se mélange à l'eau salée de la mer), en exploitant le phénomène d'osmose qui se produit en continu au niveau d'une membrane appropriée séparant des masses d'eau de salinité différente.
Deux technologies, l'électrodialyse inverse (RED) et l'osmose à pression retardée (PRO) font l'objet d'un usage commercial aux Pays-Bas (RED)1 et en Norvège (PRO)2.
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AMARIS réunit les collectivités accueillant sur leurs territoires des activités générant des risques industriels majeurs.
Les membres du conseil d’administration
- Pierre Athanaze Vice-Président – Métropole de Lyon
- Roger Bergougnoux Conseiller communautaire – Caux Seine Agglo Maire – Lanquetot
- Salah Bouchama Adjoint au maire – Chasse-sur-Rhône
- Yves Blein Député du Rhône
- Alban Bruneau Maire – Gonfreville-l’Orcher Vice-président- communauté urbaine Le Havre Seine Métropole
- Jean-Michel Budynek Adjoint au maire – Solaize
- Fabienne Castel Maire Déléguée – Mardyck Conseillère communautaire – Dunkerque Grand Littoral
- François Chollet Vice-président – Métropole de Toulouse
- Gérard Dubois Conseiller municipal – La Rochelle
- Valérie Giraud Maire – Genay
- Charlotte Goujon Vice-Présidente – Métropole de Rouen Maire – Petit Quevilly
- Michel Guilloux Conseiller municipal – Feyzin
- Judith Laborieux Conseillère communautaire – Communauté d’agglomération
Centre Martinique Adjointe au maire – Le Lamentin - Françoise Rossignol Maire – Dainville
- Alexandre Rubio Maire – Bassens
- Patrice Schoepff Conseiller municipal – Strasbourg
- Karim Ternati Adjoint au maire – Grand Quevilly
Les membres du bureau
- Président Yves BLEIN
- Secrétaire Judith LABORIEUX
- Trésoriere Fabienne CASTEL
- Les vice-présidents Pierre ATHANAZE ; Alban BRUNEAU ; Charlotte GOUJON ; Françoise ROSSIGNOL
- Les autres membres Gérard DUBOIS ; François CHOLLET ; Alexandre RUBIO ; Patrice SCHOEPFF
L’équipe
- Delphine FAVRE, déléguée générale 01 40 41 42 12 delphine.favre@amaris-villes.org
- Danielle SAUGE-GADOUD, conseillère technique 06 15 90 09 49 danielle.saugegadoud@amaris-villes.org
- Christelle SALAS, assistante 06 70 77 77 35 contact@amaris-villes.org
- Manesha Seenarain manesha.seenarain@amaris-villes.org
Contact Tél. 01 40 41 42 12
Mentions légales
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Maintenu et hébergé par : Aceituna
Dans Revue interdisciplinaire d'études juridiques 2010/2 (Volume 65), pages 207 à 228
Le terme de gouvernance est à la mode. Et pourquoi s’en étonner ? La gouvernance désigne un concept commode. Une idée descriptive de la réalité, mais aussi un idéal normatif associé à la transparence, à l’éthique, à l’efficacité de l’action publique. La gouvernance devient dès lors un mot-talisman paré de tous les fantasmes associés à l’action publique, tout en revêtant le vocabulaire rassurant de l’objectivité technique. Le mot « gouvernance » fait sérieux tout en promettant des lendemains qui chantent aux théoriciens de l’action publique. Ce faisant, le discours de la gouvernance fait l’objet d’une double confusion. La première tient aux vertus qui lui sont associées, la seconde aux défauts qui lui sont imputés.
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La première partie de cette courte analyse décrira les raisons pour lesquelles la gouvernance est apparue comme une idée nécessaire pour répondre aux insuffisances de la théorie moderne de l’État. La seconde partie de cette analyse définira quant à elle la gouvernance comme une technique de gestion sociale visant à produire des règles collectives à partir de l’orientation des conduites des acteurs plutôt que par des normes commandant et sanctionnant directement leurs comportements. Nous terminerons cette note en suggérant le rapport qu’entretiennent les concepts de gouvernance et de transparence, dont un examen plus approfondi pourra faire l’objet d’un prochain texte.
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