Mercato de l'emploi recherche ...
Vous êtes un bon manager ?
Vous avez de l'expérience en mécanique et en usinage ? Vous êtes capable de faire un programme sur une machine-outil et vous savez contrôler une pièce sur une tri-dimensionnelle ?
Vous aimez le terrain et le contact avec les clients ?
Je recrute un Responsable de site H/F pour mon client, une entreprise familiale spécialisée dans la mécanique de précision.
En collaboration avec l'équipe dirigeante, vos missions principales seront les suivantes :
- Manager une équipe d'environ 10 personnes.
- Gérer les clients « grands comptes » avec l'aide du technico-commercial.
- Chiffrer les prestations :.
- Contact fournisseur.
- Calcul du temps nécessaire et établissement du planning.
- Devis.
- Superviser la production.
- Animer des réunions hebdomadaires.
- Avoir des initiatives et de la fermeté pour les réaliser !.
Vous êtes ...
Vous avez une dizaine d'années d'expérience dans un poste similaire et vous connaissez l'environnement industriel et surtout les matières à usiner. Vous avez des compétences technico-commerciales et vous aimez le management. Si vous avez cette fibre du métier de la mécanique et de l'usinage, c'est vous que je cherche !
Bon manager, passionné(e), respectueux(se) et surtout curieux(se) avec l'envie d'apprendre et faire avancer les choses – n'hésitez plus, postulez ici !
Si vous avez déjà un portefeuille de clients du secteur, ça sera un grand plus.
Salaire : en fonction du profil.
Poste à pourvoir très rapidement.
En résumé ...
- Poste : Responsable de Site H/F
- Secteur de l'entreprise : Services aux Entreprises
- Localité : Mornac - 16 Expérience requise : - 1 an, 1 à 7 ans, + 7 ans Type de contrat : CDI Niveau d'études : Bac +2, Bac +3, Bac +4, Bac +5
Publiée le 14/09/2020 . Réf : l3u76zvu95
42.292 signatures
Auteur(s) : Alonzo Gabriel
Destinataire(s) : Olivier Véran (Ministre des Solidarités et de la Santé) ; Emmanuel Macron (Président de la République)
Une usine de production de masques a fermé il y a deux ans à Plaintel, dans les Côtes d’Armor en raison de la délocalisation du site.
L’ancien directeur de l’usine souhaite relancer la production, ce qui prendra « au moins dix-huit mois ».
La région Bretagne et le département des Côtes d’Armor soutiennent l’initiative mais demandent à l’Etat et l’Europe de s’engager sur des commandes pour pérenniser le site.
Coronavirus en Bretagne : La région en appelle à l’Etat et l’Europe pour relancer son usine de masques
Agissons ensemble pour notre santé !
.#CJR Rien ni personne n'est supérieur à la vérité #OMS - Politique #Assemblée #Economies #COVID19
« LE VERBE EST PLUS FORT QUE LA RÉPRESSION » #Humanité #République - #France #GiletsJaunes #Frexit
Connue / https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?uW8l4w
129 985 ont signé
Axel PERONCZYK a lancé cette pétition adressée à Emmanuel Macron (Président de la République française.) et à 1 autre
L'usine de Luxfer Gerzat est l'unique producteur européen de bouteilles d'oxygène médical. Pourtant il y a un an, la direction de Luxfer a décidé de fermer définitivement l'usine et de licencier tous les effectifs malgré des bénéfices en augmentation de 55%. La raison ? User de sa position de monopole et créer des retards d'approvisionnement pour forcer les clients à prendre des produits de plus basse qualité et d'augmenter ses prix de 12%. Sauf qu'aujourd'hui, le monde fait face à une épidémie de Covid-19 et il n'y a pas de vaccin. La seule possibilité pour les malades sévères est de survivre aux symptômes soit avec des respirateurs, soit via inhalation d'oxygène.
A cette heure personne n'est capable d'identifier si le stock actuel de bouteille d'oxygène est suffisant pour faire face à cette pandémie mondiale et la seule usine d’Europe reste pourtant à l'arrêt.
La direction du groupe Luxfer a tenté par 3 fois de détruire l'outil industriel pour empêcher tout redémarrage et ce sont les ex-salariés qui ont empêchés cette destruction.
C'est pourquoi les ex-salariés de Luxfer demandent la nationalisation définitive de cette usine pour un redémarrage immédiat.
12 065 vues - 801 - 11 - 50,3 k abonnés
Dans le cadre de la commission d’enquête de suivi du Covid-19 lancée par les parlementaires de la France insoumise, Manuel Bompard auditionnait Yannig Donius, délégué syndical CGT de FAMAR Lyon.
Toutes les auditions et les informations sur la commission d'enquête de suivi du Covid-19 sont à retrouver sur cette page : https://lafranceinsoumise.fr/commission-enquete-suivi-covid19/
Catégorie Actualités et politique 149 commentaires
2 756 ont signé
Axel PERONCZYK a lancé cette pétition adressée à Emmanuel Macron (Président de la République française.) et à 1 autre
L'usine de Luxfer Gerzat est l'unique producteur européen de bouteille d'oxygène médicale. Pourtant il y a un an, la direction de Luxfer a décidé de fermer définitivement l'usine et de licencier tout les effectifs malgré des bénéfices en augmentation de 55%. La raison ? C'était d'user de sa position de monopole et de créer des retards d'approvisionnement pour forcer les clients à prendre des produits de plus basse qualité et augmenter ces prix de 12%. Sauf qu'aujourd'hui, le monde fait face à une épidémie de Covid-19 et il n'y a pas de vaccin. La seule possibilité pour les malades sévères est de survivre aux symptômes soit avec des respirateurs, soit via inhalation d'oxygène.
A cette heure personne n'est capable d'identifier si le stock actuel de bouteille d'oxygène est suffisant pour faire face à cette pandémie mondiale et la seule usine d’Europe reste pourtant à l'arrêt.
La direction du groupe Luxfer a tenté par 3 fois de détruire l'outil industriel pour empêcher tout redémarrage et ce sont les ex-salarié qui ont empêché cette destruction.
C'est pourquoi ils demandent la nationalisation définitive de cette usine pour un redémarrage immédiat.
10 566 vues - 87 - 40 - 132 k abonnés
Inquiétude et interrogations à Rouen après le gigantesque incendie de l'usine chimique de Lubrizol, survenu jeudi 26 septembre. Le site, classé Seveso "seuil haut", fabriquait des additifs pour huiles, carburants ou peintures. Si le feu a été éteint vendredi et que les établissements scolaires de l’agglomération doivent rouvrir lundi, les conséquences sanitaires et écologiques du panache de fumée de 22 km qui a traversé la Seine-Maritime inquiètent. Des particules irritantes sont présentes, une nappe d’hydrocarbures est apparue sur la Seine, des résidus noirs sont sur les sols…"La ville est clairement polluée" "mais nous n’avons pour l’instant pas d’inquiétude sur les premiers prélèvements qui ont été faits", a déclaré hier soir la ministre de la Santé Agnès Buzyn, en visite à Rouen avec trois autres ministres.
Le préfet de Normandie, Pierre-André Durand avait indiqué un peu plus tôt que la fumée dégagée par l’incendie ne présentait pas de "toxicité aiguë (…) Malgré une odeur désagréable, le risque pour la population reste faible". Mais ces déclarations n’ont pas suffi à rassurer les habitants. Alors qu’une odeur, âcre et nauséabonde, planait encore sur l’agglomération, de nombreux habitants se sont plaints vendredi d’irritation à la gorge et de vomissements. Inquiets, certains d’entre eux ont décidé de porter des masques ou ont évoqué leurs craintes sur les réseaux sociaux, quand d’autres appellent à plus de transparence.
"La préfecture manque de transparence en ne communiquant pas les produit présents sur les lieux" a dénoncé l’élu écologiste de Normandie Laetitia Sanchez. De son côté, la CGT a demandé dans un communiqué la "transparence complète sur les risques encourus" après l'incendie, s'inquiétant du niveau de sécurité dans cette entreprise où un grave incident s'était déjà produit en 2013. Sur ce dernier point, le préfet a affirmé que cette usine "est aux normes telle que nous l'avons vue en 2019", "parfaitement à niveau". Il a cependant reconnu qu'"elle ne l'a pas toujours été" et qu'en 2017, "elle a fait l'objet d'une mise en demeure" en raison de "17 manquements" puis "la mise à niveau a été réalisée". Des riverains de l’usine ont annoncé leur intention de porter plainte contre X avec constitution de partie civile, pour "dommages corporels" et "manquement à l'obligation de sécurité". Plusieurs députés dont ceux de la France insoumise demandent l'ouverture d'une enquête parlementaire et d’une enquête administrative. Des élus appellent également à un renforcement de la directive Seveso, censée protéger de tels incidents.
Alors que sait-on exactement de cette usine Lubrizol située à Rouen ? Les sites Seveso sont-ils bien contrôlés ? Faut-il craindre une pollution massive après l’incendie ? Quels sont les risques sanitaires à court et long terme ? Enfin alors que la polémique se poursuit dans la capitale, quelle est l'ampleur de la contamination au plomb après l’incendie de Notre Dame de Paris ?
Invités :
Arnaud GOSSEMENT - Avocat, spécialiste en droit de l’environnement
Sébastien BAILLY - Journaliste à Ouest France
Alexandra SCHWARTZBROD - Directrice adjointe de la rédaction de Libération
Laurence LABAT - Chef du service du laboratoire de toxicologie de Lariboisière - APHP
Catégorie Divertissement
Alors que les échouages d’algues vertes atteignent leur pic et qu'on suspecte un lien avec le décès d'un ostréiculteur, le 6 juillet en baie de Morlaix (Finistère) , l’usine de traitement de Lantic (Côtes-d’armor) a été fermée sur décision de son président. Interpelés par les associations de protection de l’environnement, les élus bretons se tournent vers l’Etat pour relancer le plan de lutte contre les marées vertes.
« La mi-juin est normalement la période la plus chargée de l’année pour les échouages d’algues vertes, expose Sylvain Ballu, chercheur au Centre d’étude et de valorisation des algues, une société d’économie mixte basée à Pleubian (Côtes-d’Armor). Le dernier survol aérien, le 17 juin montrait que tous les sites d’échouages d’algues étaient chargés, mais sous les moyennes alors que la baie de Saint-Brieuc était très chargée. »
Conditions sanitaires
Les communautés d’agglomération de Saint-Brieuc et de Lamballe, chargées du ramassage de ces algues, considérées comme des déchets, en ont déjà envoyé 8000 tonnes pour traitement à l’usine de Launay-Lantic ; en 2017, année forte en échouages, 10 000 tonnes avaient été traitées.
Estimant que « les conditions sanitaires ne sont pas réunies », Thierry Burlot, président du syndicat mixte Kerval gestionnaire de cet équipement, décidait de le fermer mercredi 3 juillet. Mais comment expliquer que ...
Article réservé aux abonnés
370 vues - 17 - 1
Réalisé en 2009 par Stéphanie Hammou, ce documentaire retrace la fermeture d'une usine textile à travers le point de vue des ouvrières.
Catégorie Actualités et politique 3 commentaires
Serge Valter il y a 4 heures
Le reportage est poignant, mais il manque un "épilogue" : 10 ans après, que sont devenues ces ouvrrières ? Ont-elles pu retravailler ? Elles-même et l eurs familles ont-elles survécu ? Qui sont-elles aujourd'hui ?...
250 vues - 6 - 2
En Coulisses - General Electric : nouvelle bombe sociale pour le gouvernement ?
Nous vous emmènerons à Belfort où les salariés de General Electric hésitent entre la colère, l’incompréhension et la résignation. 1044 postes vont y être supprimés par le géant de l’énergie pour être rapatriés sur le sol américain. Nous avons passé plusieurs jours à Belfort côté salariés mais aussi côté gouvernement dans les pas du ministre Bruno Le Maire. Reportage en coulisses.
Catégorie Actualités et politique 1 commentaire
Les écoles-usines « reprogramment » les enfants autochtones et tribaux pour les intégrer à la société dominante. Cela fait partie d’une politique délibérée des gouvernements d’effacer l’identité autochtone et de voler les terres autochtones.
Des vies sont détruites et des familles déchirées quand les enfants sont séparés de leur communauté et dépouillés de leur identité.
Piégées entre deux mondes et n’appartenant à aucun d’eux, de nombreuses victimes du système des écoles-usines souffrent de dépression, d’addiction, de violence et se suicident.
Je pense que l’éducation des peuples autochtones doit :
être enracinée dans leurs terres, leur langue et leur culture.
susciter leur propre fierté et celle qu’ils ont en leur peuple.
se trouver sous leur contrôle.
Signatures : 5.160 le 12/8/19
3 301 vues - 348 - 2
Après 4 ans de lutte contre la multinationale Unilever, les ouvriers de Fralib se sont réappropriés leur usine et gèrent collectivement leur coopérative ouvrière, la Scop-ti. Quelques mois après la relance de la production, que signifie pour chacun cette nouvelle manière de vivre le travail ?
ÉQUIPE
Réalisation : Clara Teper
Image : Chloé Mazoyer
Son : Florence Chirié
Montage : Tara Brown
Etalonnage : Romain Le Roux
Mixage : Godefroy Giorgetti
Production : Aix-Marseille Université
DISTINCTIONS
Prix "Travailleurs du Monde" - Millenium International Documentary Film Festival, Bruxelles, 2017
Mention Spéciale, Compétition « Regard étudiant » - Festival du Film d’Action sociale, Nancy, 2018
SÉLECTIONS EN FESTIVALS
Rencontres Cinéma de Manosque – 2016 FID Campus, Marseille – 2016 Festival International du Film Ethnographique du Québec, Montréal – 2017 Festival International du Documentaire Millenium, Bruxelles – 2017 – Prix « Travailleurs du
Monde » Festival Cinéma sous les étoiles, Montréal – 2017 Un festival, c’est trop court, Nice – 2017 Festival Traces de vie, Clermont-Ferrand – 2017 – Compétition « Premier geste documentaire » Festival « Le vent se lève », Port de Bouc – 2017 Rencontres du CCPPO, Besançon – 2018 Festival du Film d’Action sociale, Nancy – 2018 – Compétition « Regard étudiant » – Mention spéciale Printemps du Film Engagé, Marseille – 2018 Festival International Jean Rouch, Sélection Premiers Regards, Nanterre – 2018
BIOGRAPHIE
Clara Teper est née à Paris en février 1992. Après une classe préparatoire littéraire, elle étudie la philosophie et le théâtre. Ses recherches portent notamment sur la philosophie politique et sociale du XXème siècle. Elle se tourne ensuite vers la réalisation documentaire, et se forme à l’Université d’Aix-Marseille. Demain l’usine est son premier film. Il a été sélectionné dans plusieurs festivals internationaux et a remporté le prix "Travailleurs du Monde" au Festival Millenium à Bruxelles en 2017.
Catégorie
Actualités et politique
32 commentaires
Photo de profil par défaut
Ajouter un commentaire public...
même
il y a 2 jours
Merci pour ce film et de tout coeur avec tous les membres de la SCOP.
Parmi les étapes futures, j'espère que vous trouverez un chemin qui transforme le travail à l'usine en plus épanouissant. Je crois que c'est possible.
Par la rotation des postes, par le temps d'inter-formation entre collègues, par le combat pour l'écologie, par ces travaux comme le théâtre, l'expression corporelle et publique.
Merci à vous tous.
9
Jm-Masse
il y a 2 jours (modifié)
Fralib
La filiale d'Unilever qui fabrique les thés Lipton et Éléphant possédait deux unités de production en France. Après la fermeture de l'usine du Havre en 1998, Unilever décide en septembre 2010 de fermer l'usine Fralib de Gémenos, qui emploie 182 personnes, et de transférer la production en Pologne. L'usine, parfaitement rentable, consacrait les deux tiers de ses bénéfices aux actionnaires. Les salariés et leurs organisations syndicales lancent alors une campagne de boycott ciblé, décident d'occuper l'usine pour le maintien de l’activité et proposent d'autres solutions de reprise. Ils réclament la cession de la marque Éléphant et un accord de sous-traitance avec Unilever. En mai 2014, après l'annulation par trois fois de son plan social par la justice et 1336 jours d'occupation de l'usine, les Fralibs l'emportent, Unilever conserve la marque, mais cède les machines pour un euro et finance la création d'une SCOP. Les salariés forment la coopérative Scop Ti et y établissent une grille de salaires assez resserrée entre ouvriers et cadres, suppriment la pointeuse et établissent un système de polyvalence avec suppression de certaines taches. Conformément au statut des coopératives, les décisions stratégiques sont prises lors d’assemblées générales qui réunissent tous les coopérateurs, selon le principe « une personne égale une voix »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Unilever#Fralib
Connu/
https://twitter.com/LeMediaTV/status/1083087260201840640
Quand l’indignation feinte essaie de masquer l’inutilité politique
...
Je souhaite que les dernières déclarations du ministre B. Le Maire actent cette nécessité impérieuse. En tout état de cause elles confirment que nos propositions politiques sont les seules actuellement valides pour faire face à la financiarisation de l’économie.
Loïc Prud’homme
Député de Gironde -France insoumise
Alors qu’elle a validé les ordonnances réformant le Code du travail qui ont facilité la fermeture de l’usine Sandvik de Fondettes, entraînant la suppression de 161 postes, Sabine Thillaye dénonce « une décision brutale » d’un groupe qui réalise d’énormes bénéfices.
Fausse naïveté ? Bêtise ? Cynisme ? Ignorance des alertes qui avaient été lancées par les organisations syndicales ? On s’interroge en lisant le contenu de la question orale de la député LREM de la 5ème circonscription d’Indre-et-Loire à l’occasion des questions au gouvernement du 27 novembre. Celle-ci semble découvrir les effets des ordonnances réformant le Code du travail, signées par Emmanuel Macron le 22 septembre 2017. Elle avait pourtant voté en faveur de la ratification de ces ordonnances.
Sa question au gouvernement fait suite à l’annonce de la fermeture complète de l’usine Sandvik de Fondettes, le 23 octobre dernier.
...
C’est peu dire que le groupe Sandvik est en bonne santé financière : en 2017, il a réalisé un bénéfice net de 1,34 milliards d’euros. Et c’est grâce aux dispositions des ordonnances de septembre 2017 que le groupe peut fermer son usine malgré ces résultats. Auparavant, pour procéder à des licenciements économiques, une entreprise appartenant à un groupe devait apporter la réalité des difficultés économiques rencontrées, qui étaient appréciées à l’échelle internationale. Désormais, les difficultés économiques s’apprécient à l’échelle nationale.
Lire aussi : Contre les suppressions d’emplois et les fermetures de boîtes, rassemblement devant Sandvik le 29 novembre
Dans ces conditions, il n’est pas difficile pour une multinationale d’organiser la fermeture d’un site, comme l’expliquait un ancien salarié de Sandvik : on divise les unités de production et les unités de vente, on délocalise une partie de la production, on réduit les investissements, et on finit par prétexter de mutations technologiques ou du besoin de réorganisation pour fermer la boîte. Dès l’annonce du contenu des ordonnances Macron, fin août 2017, les organisations syndicales avaient alerté sur le risque de voir des faillites organisées ou des montages complexes pour noircir le tableau des comptes des filiales françaises. En vain.
Sabine Thillaye peut bien dénoncer « une décision brutale » de Sandvik et feindre de s’inquiéter des perspectives d’emploi pour les 161 salariés mis à la porte : elle s’est rendue complice de la casse du Code du travail qui a facilité la fermeture de l’usine, et elle porte la responsabilité de ces licenciements, tout comme son collègue de Tours Philippe Chalumeau.
(A. Méjean et O. Ploux, Equipe Métabolisme secondaire des cyanobactéries »)
Ce projet (responsable scientifique A. Méjean) fait partie du programme interdisciplinaire SPC « Les énergies de demain » coordonné par H. Peerhossaini et s’achève à la fin de l’année 2017. Il intègre des chercheurs de trois laboratoires : le LIED (UMR 8236), le laboratoire APC (UMR 7164) et le laboratoire MSC (UMR 7057).
Les cyanobactéries sont des organismes photosynthétiques apparus sur Terre il y a 3.5 milliards d’années ayant développés une extraordinaire diversité. Ces microorganismes puisent leur propre source d’énergie dans la lumière et le CO2 et produisent de très nombreux métabolites secondaires dont certains possèdent une haute valeur ajoutée.
...
Si cette production ne dépend ni du genre de cyanobactérie, ni de l’origine géographique de l’organisme ou de la voie de biosynthèse utilisée, elle reste modeste (0.2-0.3 g alcane/alcène pour 100 g de matière sèche) et n’a pas pu être optimisée dans différentes conditions de culture malgré de nombreux efforts des différentes équipes investies dans ces recherches.
Une des raisons de cette production relativement modeste pourrait tenir au rôle de ces alcanes/alcènes à longue chaîne dans la composition des membranes photosynthétiques des cyanobactéries (thylacoïdes). En effet, la production excessive d’alcanes à longues chaînes déstabiliserait les membranes en modifiant leur fluidité et entamerait la capacité photosynthétique de l’organisme et donc sa survie.
ndlr : est-ce considéré comme une énergie renouvelable ? y a-t-il une suite à ce programme ? ACT
Vidéo Le 15 juin était inaugurée la première usine d'assemblages d'hydroliennes au monde, à Cherbourg (Normandie). Plongée en vidéo dans les coulisses de ce site de production (pour l'instant) unique.