.#Miossec #NousSommes #vevo 18 787 vues - 170 - 10
Réalisation : Yoann Stehr
Production : Temple Caché
Nous sommes, 1er extrait de l'album "Les rescapés", à paraître le 28 septembre 2018
Précommande : https://Miossec.lnk.to/LesRescapesID
Retrouvez Miossec sur
Twitter : https://twitter.com/MiossecOfficiel
Instagram: https://www.instagram.com/miossecoffi...
Site Officiel: http://www.christophemiossec.com
.#Miossec #NousSommes #vevo #indierock #vevoofficial
Catégorie Musique
Titre Nous sommes
Artiste Miossec
ndlr :
c'est ce morceau qui m'a donné le courage de solliciter artistes et créateurs car ce sont eux qui nous font ressentir avec nos tripes ce que doit être ou pas, l'avenir des générations futures et notre responsabilité d'agir vite et fort TOUT DE SUITE car après, C'EST SÛR, il sera trop tard.
Aquilenet a rencontré Baionnet (et Stolon) pour travailler à la création de ces FAI Associatifs. Dans ce contexte, nous avons invité Benjamin Bayart à venir faire une conférence, dont la captation est disponible sur Peertube pour motiver les troupes et expliquer les enjeux des FAI associatifs.
l'instance peertube d'Aquilenet permet à l'association et à ses membres de partager des vidéos sans passer par YouTube ; et quels contenus : Pierre Carles, Usul, Bernard Friot, Le Goat Gang, PGP.
Elle est installée sur un serveur tout neuf avec de l'espace disque en quantité.
Source mel
"
Sujet : [membres-FFDN] [nouvelles #4] Aquilenet
Date : Tue, 25 Sep 2018 23:23:42 +0200
De : K...@aquilenet.fr>
Pour : membres@lists.ffdn.org
"
ndlr :
- sur la forme, site non accessible aux mal-voyants ? => vérifier ACT
- transcription disponible ? chercher ACT
- SUR LE FOND, va dans le même sens que le reportage d'envoyé spécial d'hier (20/9/18) en étant encore plus complet et précis, mais en "jetant le bébé éoliennes avec l'eau du bain de la compromission économique" => DÉNONCER ACT
- résumé (à compléter et valider) : le scandale n'est ni la génératrice éolienne ni le parc éolien ni le projet éolien en général par nature PUISQUE DE NOMBREUX TÉMOINS ÉTAIENT AU DÉPART DES ÉCOLOGISTES CONVAINCUS, mais bien :
. le contexte macroéconomique français et mondial qui "déroule le tapis rouge" à tous les requins de la finance internationale tout en s'en défendant (ex. S.Royal, Yves Cochet, etc) donc les gouvernements français successifs ministre de l'écologie en tête qui n'ont rien assumé. Avec le mécanisme de financement au nom opaque de "contribution au service public de l'énergie-CSPE" ;
. les porteurs de projet non éthiques qui tirent parti de cette situation TRÈS AISÉMENT puisqu'aucun dispositif de régulation n'est prévu ;
. de même pour le greenwashing des multinationales comme ikea ou total qui de bonne guerre, tirent la couverture à elles (en ayant probablement fait pression en amont pour l'avènement du droit, mais ce n'est pas dit sauf erreur de ma part). - d'où plein de questions :
. quel aura été le rôle de la pression de l'industrie nucléaire ?
. comment sauver les projets éoliens (on aura noté qu'aucun exemple de parc citoyen n'aura pas été donné à voir) ?
. l'écologie est-elle INCOMPATIBLE avec le capitalisme en général ou suffit-il de le réguler ? Si oui, comment ? - expression "ripolinage vert" validée par https://fr.wiktionary.org/wiki/ripoliner (sens figuré) POUR MIEUX DÉNONCER
ACT
C’est dans l’air du temps et c’est tant mieux. Comme à chaque fois que Twitter (ou Facebook) se signale par ses errements manifestes (et comment pourrait-il en être autrement ?), s’ensuit une vague de migrations.
Voici par exemple Laura Kalbag. Cette designeuse britannique qui est la moitié de indie.ie avec Aral Balkan et qui a publié le guide Accessibility for everyone a récemment pris ses distances avec Twitter pour expérimenter Mastodon au point de piloter sa propre instance…
Elle explique ses raisons et sa démarche au long de deux articles successifs sur son blog que Framalang s’est fait un plaisir de traduire tous les deux pour vous : What is wrong with Twitter et What is Mastodon and Why should I use it.
...En bref, le problème avec Twitter c’est le capitalisme de surveillance. Au cas où ce terme vous serait étranger, le capitalisme de surveillance est le modèle économique dominant en matière de technologie grand public. La technologie nous traque, observe nos actions : c’est l’aspect surveillance. Cette information est alors utilisée afin de mieux nous vendre des biens et services, souvent par le biais de la publicité « pertinente », c’est l’aspect capitalisme. Pour dire les choses clairement, Aral Balkan appelle cela le people farming que l’on peut traduire par « élevage humain ».
...
.#Biodiversité #JusticeClimatique
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Première édition du JTerre sur la destruction de la #Biodiversité et la #JusticeClimatique !
Avec pour invitées Amandine Lebreton, de la Fondation pour la Nature et l’Homme et Marie Toussaint, Présidente de l’association Notre Affaire à Tous, membre et candidate eelv aux élections européennes
POUR NOUS RENDRE PLUS FORT : https://fr.tipeee.com/lejterre
Le Journal de la Terre est un projet indépendant franco-belgo-suisse, porté par François Legrand (Permavenir) et Félicien Bogaerts (Le Biais Vert), avec la participation de Mr Mondialisation, La Relève et la Peste, Les Parasites, Partager c'est Sympa, PositivR, Professeur Feuillage, En Vert et Contre Tout, La Barbe, Sortez tout vert et Edeni. Il s'agit d'un magazine mensuel qui reprend l’actualité écologique à échelle mondiale et donne l’occasion aux influenceurs francophones, actifs dans ce domaine, d’échanger au sujet de cette actualité, de partager leurs missions communes et de fédérer leurs communautés respectives.
Présenté par : Félicien Bogaerts & Vincent Verzat
Réalisation : François Legrand
Avec : Hélène De Vestele, Mathieu Duméry & Nicolas Meyrieux
Invitées : Amandine Lebreton & Marie Toussaint
Produit par : François Legrand, Félicien Bogaerts, Vincent Verzat
Co-produit par : Les Parasites
Rédacteur en Chef : Pierre Paulus
Equipe Rédaction : Laurie Debove, Juliette Eynard, Elias Sanhaji, Victor Vauquois, avec la participation de Leïla Rölli.
Avec les voix de Leïla Rölli, Enora Molac & Elisabeth Rasson.
Réalisateur Multicam : Arnaud Huck
Logo JTerre créé par : Ilyas Sfar
Producteur Exécutif, Mixeur, FX : Guillaume Desjardins
Assistant Réalisateur, Cadreur : Jérémy Bernard
Assistante coordination : Stéphanie Koole
La Revue du Ciel
Cadre : Baptiste Maryns
Écrite par Pierre Paulus
Réalisation : François Legrand
Avec Félicien Bogaerts et la voix de Leïla Rölli
Réalisation de la capsule Zero Waste : Sophie Labruyere
Avec Julie Bernier & Hélène De Vestele
Réalisation du Bol d’R : PositivR
Animateur : Harold Paris
Musique : Julien Delcroix
Retrouvez toutes nos sources chaque lendemain de live dans la description de cette vidéo.
Catégorie Humour 112 commentaires
=> valoriser ACT
Fabrice Nicolino est journaliste et essayiste. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur l’écologie ou l’agriculture et publie ce 13 septembre aux éditions Les Liens qui Libèrent, Nous voulons des coquelicots avec François Veillerette. Il revient avec nous sur cette ouvrage, qui constitue un manifeste contre l’utilisation des pesticides chimiques.
« Les pesticides sont des poisons qui détruisent tout ce qui est vivant.
...
Les pesticides sont une tragédie pour la santé. » Voilà comment nous préviennent Fabrice Nicolino, journaliste, et François Veillerette, militant écologiste qui a notamment présidé Greenpeace France. Les deux auteurs publient un livre-manifeste, ainsi qu’un appel, intitulé « Nous voulons des coquelicots », en espérant un soulèvement pacifique contre l’effacement d’un monde.
Le Média : Pourquoi voulez-vous des coquelicots ?
Fabrice Nicolino : Le coquelicot est un symbole. C’est une fleur fragile et très belle. Avant le grand massacre des pesticides, il y avait des coquelicots partout dans les champs de blés, mais aussi des bleuets. Ce sont des fleurs que l’on qualifie de « messicoles », c’est-à-dire qui poussent pendant les moissons. La campagne en était remplie. Les pesticides qui ont déferlé à partir de la fin des années 1950 et du début des années 1960 les a presque fait disparaître. Il y en a dans les bas-côtés ou dans certains champs non-traités. Mais cette fleur réapparaît dès que les pesticides arrêtent d’être répandus. Elle est résistante et possède un pouvoir de germination long. Certains disent 100 ans, d’autres 500 ans. C’est-à-dire que la graine est fertile très longtemps. Il y a donc des graines encore présentes depuis 50 ans ou plus qui peuvent repousser. « Nous voulons des coquelicots » c’est une manière de dire originalement que nous souhaitons un monde différent. Nous voulons un monde coloré, avec des lumières, des fleurs sauvages et tout ce qui s’ensuit : des abeilles, des oiseaux, etc.
...
Henri Nallet, qui a été ministre de l’Agriculture de François Mitterrand à partir de 1985, est emblématique. Il est d’ailleurs maintenant impliqué dans l’Affaire du Mediator, en tant que lobbyiste pour les laboratoires Servier. Il a commencé sa carrière comme chargé de mission à la FNSEA, il est mouillé à fond dans tout cela. Nallet a ensuite été ministre de l’Agriculture. Il a toujours servi les intérêts industriels. Il a signé l’autorisation de l’utilisation du chlordécone en tant que ministre de l’Agriculture. Mais personne ne lui demande de compte. Qu’attendons-nous pour l’interpeller sur son autorisation d’utiliser un produit nuisible pour tout l’écosystème, dont les humains ? C’est pareil pour Jean-Pierre Soisson, « ministre d’ouverture » de Mitterrand en 1988. Ministres de gauche, ministres de droite, même infamie.
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À la sortie de la guerre, il y avait plein de choses à changer dans ce monde. Mais on a vendu autre chose aux paysans. On leur a faire croire que derrière la modernisation, ils vivraient plus confortablement et comme en ville. C’était de la manipulation. Derrière ce progrès promis, se cachaient des intérêts politiques et économiques. Ils voulaient détruire la paysannerie, qui leur paraissait retardataire, au profit d’une agriculture industrielle et exportatrice qui allait leur faire gagner beaucoup d’argent. Par exemple, les industriels et les politiques qui lui sont liés se sont mis en tête de vendre de la viande. Il y avait 20 millions de bovins en France. Des marchés comme l’Italie et l’Allemagne étaient très demandeurs. Quand de Gaulle est revenu au pouvoir en 1958, il voulait se servir de l’agriculture et en faire une arme industrielle, afin de financer des infrastructures lourdes. Les dirigeants voulaient liquider l’agriculture, sans que cela soit pensé. Ils n’en avaient rien à faire de ce secteur, ni des paysans. Ils ont créé un monstre, en vidant les campagnes pour remplir les banlieues. Ce pays a été déséquilibré par des millions d’emplois perdus à la campagne. Cela a donné des mégapoles comme l’Île-de-France, où s’entassent 11 millions de personnes. Parallèlement à la volonté de financer des infrastructures, ils désiraient aussi de la main-d’oeuvre pour l’industrie, pendant les Trente Glorieuses. Nous avons donc sacrifé les campagnes pour remplir les banlieues de chômeurs, pratiquement à vie.
Il y avait une autre voie possible. Elle passait par l’amélioration des conditions de vie et le maintien d’un réseau de petites villes. C’est un phénomène global. Les petites villes en France sont moribondes – les villages n’en parlons même pas. Pourquoi ? Je me balade souvent dans le pays et dans tous les centres-villes, on voit des magasin avec des enseignes « A vendre ». Tout s’effondre, parce que des crétins de politique, de tous bords, de droite comme de gauche, ont fait les mauvais choix. Ils ont vendu leurs villes aux hypermarchés, au commerce de masse et aux grands parking à la périphérie des villes. Ils ont construit des monstres commerciaux, qui attirent toute la population. Les petits commerces de proximité se sont tous cassé la gueule. Mais le drame pour moi c’est cette industrialisation à outrance, sans aucune réflexion, ni aucun débat humain. Nous pouvons appeler cela une révolution, mais au sens négatif du terme. Il s’agit d’un processus qui échappe au contrôle humain.
Le modèle paysan que vous prônez est-il possible dans une société où seuls 5% de la population travail dans le secteur agricole ? Existe-t-il d’autres moyens que l’agriculture industrielle pour nourrir une population importante avec si peu de personnes travaillant dans le secteur ?
La question est planétaire. Je refuse de la poser dans les limites de la France. Il est certain que ce modèle va faire faillite. Nous nous dirigeons vers 10 milliards d’humains sur Terre et l’industrie de l’agriculture a ruiné quantité de sol. Quand vous déversez autant de pesticides sur un sol, vous tuez sa fertilité naturelle. Un sol, c’est une couche de 10 ou 15 cm d’épaisseur, en général. Les produits chimiques la détruisent et éradiquent les insectes et micro-organismes qui lui sont indispensables. L’agriculture industrielle est aussi en train d’assécher des nappes phréatiques décisives pour le sort de tous les êtres humains. Par exemple, prenez la nappe d’Ogallala, dans le centre des États-Unis, qui fait 15 000 km de long. L’agriculture industrielle américaine l’a percée, elle ne se recharge plus au rythme où nous l’utilisons pour l’irrigation.
L’agriculture industrielle ne nourrira pas 10 milliards d’êtres humains. Dans ce monde fou, de plus en plus de gens veulent manger de la viande. Or, elle exige des pâturages massifs et des millions d’hectares. Il y a déjà 70% des terres agricoles en Europe qui sont destinées au bétail. En exportant ce modèle délirant en Chine et en Inde, nous sommes sûrs d’arriver à une impasse totale. Il y aura une fracture énorme entre ceux qui ont de l’argent et vont consommer de la viande et ceux qui n’en ont pas et ne mangeront pas. Nous allons vers une vraie tragédie planétaire. Il n’y a qu’une seule solution, certes compliquée. Il s’agit de l’agriculture paysanne, c’est-à-dire celle qui se passe de pesticide et qui est économe en eau. C’est l’agroécologie, pour aller vite, c’est-à-dire un système avec des gens à la campagne, qui bossent, avec une main-d’œuvre abondante. En France, nous pourrions très facilement le faire, dans des conditions nouvelles, avec internet, le numérique, etc. Mais nous pourrions imaginer qu’avec ce chômage de masse, qui pourrit tant de vies, nous pourrions recréer de l’activité dans les campagnes, avec un ou deux millions d’emplois supplémentaires. Beaucoup de calculs ont été réalisés dans plusieurs études. Ce n’est pas intouchable mais c’est sérieux. Il est presque certain que l’agriculture biologique, l’agroécologie et l’agriculture paysanne, qui ne forment qu’un seul et même système, sont les seules capables de nourrir la planète, en mobilisant une main-d’œuvre très importante. La robotisation et la numérisation du monde sont en train de détruire par centaines de millions les emplois.
Engagements - Actions - Avenir
2015 - 2018 - Pour un service public de proximité plus efficace
issu de
https://www.lacharente.fr/au-quotidien/consulter-charente-mag/
ndlr :
remarquable opération de communication...
quelle valeur accorder à un bilan (mot absent) fait par soi-même sans regard extérieur ?
En première lecture, comment ne pas constater le gouffre qu'il y a entre lui et la réalité ?
Tristesse, colère, dégout, etc. Comment mettre à distance ces sentiments mêlés pour contribuer à faire émerger un minimum d'impartialité ?
Exemples :
- un orage de grèle a détruit de nombreuses maisons et jeté à la rue ses habitants. Cet événement météorologique inédit en plein mois de juillet a choqué habitants et élus, il y avait de quoi. MAIS ÉVOQUER LE CLIMAT À LA PLACE DE LA MÉTÉOROLOGIE, n'est-ce pas une dissonance cognitive ?
- zéro occurrence de "changement climatique" ? (2è lecture en diagonale le confirme 6 M€ consacrés à "l'environnement" sic) => vérifier ENCORE car ça paraît INCROYABLE en 2018 ACT
Hypothèse : MENSONGE PAR OMISSION pour ne pas effrayer la population et poursuivre comme si de rien n'était en provisionnant une enveloppe pour payer les dégâts, investir autant dans le 100% fibre optique pour un département rural alors que des solutions radio/satellite/ballons/etc mais ne rien consacrer à la sortie des énergies fossiles, ni aux enr, ni à la relocalisation de l'économie, enfin tout ce qui pourrait aider la population à prendre la mesure de l'anthropocène...
En d'autres termes, accepter de payer pour le curatif voire le palliatif, plutôt que de contribuer aux investissements massifs à réaliser pour limiter au maximum le risque et aider les populations à s'adapter par exemple sans recourir à des climatiseurs en été.
Remarque : l'opposition ne fait pas mieux dans son paragraphe (elle parle tout de même de la nécessité de s'adapter, mais pas d'arrêter d'émettre des GES) :-(
=>
questionner, interpeler ACT
Dans son nouveau livre, Peter Singer défend l’altruisme efficace, un système qui permettrait d’éradiquer la misère, et accessoirement de changer le monde tel qu’il est…
Peter Singer © Getty
Rencontre avec l’un des penseurs les plus influents de la planète… L’Australien Peter Singer…
Il parcourt le monde pour défendre l’idée d’un altruisme efficace…
L’altruisme efficace, une philosophie et un mouvement qui permet de trouver les moyens les plus efficaces pour rendre le monde meilleur, aider les plus démunis, de façon rationnelle et en laissant un de côté l’aspect émotionnel…
Ce spécialiste de bioéthique à l’université américaine Princeton vante un système qui permettrait d’éradiquer la misère, et accessoirement de changer le monde tel qu’il est…
Qu’est-ce qui le différencie de l’altruisme tout court ?
Comment agissent les altruistes efficaces, quelles sont leurs motivations ?
Quelles critiques peut-on adresser à ces idées nouvelles populaires dans le monde anglo-saxon et encore méconnu en France ? L'un des penseurs les plus influents au monde l’Australien Peter Singer, rendu célèbre en 1975 avec son livre La libération animale, et qui a conduit de nombreuses personnes à devenir végétariennes ou veganes, vient de publier L'altruisme efficace, aux éditions Les Arènes .
Nous verrons ce qu’est l’altruisme efficace ?
Et comment le mettre en œuvre... ?
Avec
• Peter Singer, philosophe australien (Traducteur Robert Wolfenstein)
• Christilla Pellé-Douël,journaliste chez Psychologies Magazine
Chroniques
• "L’esprit d’escalier" de Guillemette Odicino (critique cinéma Télérama)
• "L’éternel retour" d'Eric Libiot (critique ciné, en partenariat avec L’Express)
Les invités
Peter Singer
Philosophe, professeur de bioéthique à l'université de Princeton
Christilla Pelle Douël
Mots-clés :
Vie quotidienne Société Idées animaux véganisme végétarisme psychologie
Le mensonge dans le couple : faut-il se mentir ou tout se dire ? Mentir par omission ? La vérité est-elle toujours bonne à dire dans la vie à deux ? Pourquoi la découverte d’un mensonge est-elle souvent vécue comme un drame ? Faut-il plutôt cultiver la transparence ou le goût du secret ?
Aujourd'hui dans Grand bien vous fasse !, Ali Rebeihi se demande s'il est bon de toujours tout se dire en couple...
© Getty / Eugenio Marongiu
Dans Le Mensonge, la pièce de Florent Zeller, Pierre Arditi nous dit :
Si tout le monde se disait la vérité, il n’y aurait plus aucun couple sur Terre.
Imaginez deux secondes, que nous disions constamment la vérité à notre moitié, sans que l’on puisse s’en empêcher… :
« Tu as pris dix kilos et ça te rend très moche ».
« Chéri, désolé du retard, je t’ai trompé avec l’agent immobilier »
« Notre fils aîné n’est pas de toi ».
« Ton ragoût est tout simplement dégueulasse ».
Évidemment, cette transparence absolue serait invivable…
Mais alors doit-on tout se dire dans le couple ?
Quelles sont les vérités bonnes à dire, et les mensonges par omission bénéfiques ? Comment dire la vérité sans blesser ?
Pourquoi la découverte d’un mensonge est-elle souvent mal vécue ? Comment se réconcilier après la découverte d’un mensonge ?
Peut-on établir une confiance durable dans le couple, sans devoir tout se dire ? Et si oui, comment ?
Pour aborder la question, Ali Rebeihi reçoit :
• Lisa Letessier, psychologue clinicienne, auteur de l'ouvrage Le mensonge dans le couple (éditions Odile Jacob)
• Fabienne Kraemer, psychanalyste, auteur du livre Solo/No solo. Quel avenir pour l'amour ? (aux éditions PUF) et 21 clés pour l'amour slow (aux éditions PUF également)
À l'antenne également, la chronique "Choses Vues" de Sophie Cadalen
Une émission en partenariat avec Femme Actuelle (avec Marie-Laure Zonszain)
Programmation musicale
DALIDA
PAROLES PAROLES
ODETTA HARTMAN
YOU YOU
2018
Mots-clés :
Vie quotidienne psychologie Amour jardin secret (espace psychique)
Les pesticides sont des poisons qui détruisent tout ce qui est vivant. Ils sont dans l’eau de pluie, dans la rosée du matin, dans le nectar des fleurs et l’estomac des abeilles, dans le cordon ombilical des nouveau-nés, dans le nid des oiseaux, dans le lait des mères, dans les pommes et les cerises. Les pesticides sont une tragédie pour la santé. Ils provoquent des cancers, des maladies de Parkinson, des troubles psychomoteurs chez les enfants, des infertilités, des malformations à la naissance. L’exposition aux pesticides est sous-estimée par un système devenu fou, qui a choisi la fuite en avant. Quand un pesticide est interdit, dix autres prennent sa place. Il y en a des milliers.
Nous ne reconnaissons plus notre pays. La nature y est défigurée. Le tiers des oiseaux ont disparu en quinze ans; la moitié des papillons en vingt ans; les abeilles et les pollinisateurs meurent par milliards; les grenouilles et les sauterelles semblent comme évanouies ; les fleurs sauvages deviennent rares. Ce monde qui s’efface est le nôtre et chaque couleur qui succombe, chaque lumière qui s’éteint est une douleur définitive. Rendez-nous nos coquelicots ! Rendez-nous la beauté du monde !
Non, nous ne voulons plus. À aucun prix. Nous exigeons protection.
Nous exigeons de nos gouvernants l’interdiction de tous les pesticides de synthèse en France. Assez de discours, des actes.
130 576 ont signé. Objectif 320 000 !
Auteurs :
Xavier Poux, Chercheur associé
Pierre-Marie Aubert Chercheur Iddri, Coordinateur de l'initiative Agriculture européenne
Les signaux alarmants sur la nécessité d’une transition du système agricole et alimentaire en Europe s’accumulent depuis plusieurs années et l’attente sociale pour une telle transition s’exprime de plus en plus nettement. Comment peut-on nourrir l’Europe - et la nourrir bien - tout en préservant la nature et le climat ? Tel est l'objet de l'étude dont ce papier résumé les principales conclusions.
Messages clés :
- Les régimes alimentaires actuels, trop riches et déséquilibrés (trois fois trop de sucres, deux fois trop de protéines, déficit en fruits et légumes et en fibres) :
contribuent à l’accroissement de nombreuses affections (obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires) ;
conduisent l’Europe à dépendre du reste du monde pour se nourrir, à travers l’importation de 40 millions de tonnes de protéines végétales, représentant pus de 20 % de sa surface agricole utile et dépassant de loin le niveau de ses exportations. - Le scénario TYFA repose sur l’abandon des pesticides et des fertilisants de synthèse, le redéploiement des prairies naturelles et l’extension des infrastructures agroécologiques (haies, arbres, mares, habitats pierreux) et sur l’adoption de régimes alimentaires plus sains (moins de produits animaux, davantage de fruits et légumes).
- Malgré une baisse induite de la production de 35 % par rapport à 2010 (en Kcal), ce scénario :
satisfait aux besoins alimentaires des Européens tout en conservant une capacité d’exportation sur les céréales, les produits laitiers et le vin ;
conduit à une réduction des émissions de GES du secteur agricole de 40 % par rapport à 2010 ;
permet de reconquérir la biodiversité et de conserver les ressources naturelles. - L’extensification de l’élevage herbivore joue un rôle clé dans le scénario. Elle permet le maintien et le redéploiement des prairies naturelles, maximisant la production de légumineuses spontanées et donc la gestion de la fertilité des sols, et contribue à la reconquête de la biodiversité, à la lutte contre le changement climatique et à une production animale de qualité.
atelier « Découvrir l’éco-innovation et passer à l’action avec BECOME »
->
- Le support présenté lors de cette matinée
- Le formulaire de candidature de la démarche BECOME pour les entreprises intéressées
- Des retours d’expériences de projets menés par la CCI et l’agence Think+ sur l’éco-innovation
Les vidéos de témoignages d’entreprises ayant participé à la première édition seront mises en ligne en début de semaine prochaine sur internet ;
Damien DELETRAZ
Eco-conception, Prévention des Déchets, Communication environnementale
d.deletraz@pole-ecoindustries.fr
05 49 44 76 69
3 rue Raoul Follereau - 86000 POITIERS
www.pole-ecoindustries.fr
Suivez le Pole Eco-Industries sur :
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Twitter : @poleco
initiative commune de plusieurs organisations et personnes, à l'origine notamment de la marche pour le climat du 8 septembre 2018.
Il est encore temps
Nous étions 130 000 à nous mobiliser à travers la France samedi 8 septembre, continuons !
Ce site liste pour le moment des mobilisations d'envergure pour un changement de système nécessaire face au dérèglement climatique. Il évoluera rapidement pour proposer à terme des solutions concrètes à l’échelle individuelle et politique.
La mobilisation ne fait que commencer.
Ensemble, nous pouvons forcer nos dirigeants à agir.
.#IlEstEncoreTemps
15 septembre
Je participe à une grande opération de nettoyage anti-plastique
Je reprends le contrôle sur la finance avec la journée #PasAvecNotreArgent
Inscrivez-vous pour recevoir directement toutes les nouvelles actions collectives
Et rejoignez le groupe Facebook « Après la marche pour le Climat » pour poursuivre le mouvement.
Merci pour votre participation ! Invitez vos amis à rejoindre cette mobilisation.
15 au 30 septembre
Je découvre des milliers d’initiatives concrètes et locales à la Fête des Possibles
N'hésitez pas à partager ces initiatives et d'autres sur les réseaux sociaux en utilisant #IlEstEncoreTemps
16 septembre
Je profite de la Journée sans voiture à Paris
Pour la rentrée
Je transforme la cantine de mon enfant : sans pesticides, bio et locale, avec des repas sans viande
6 et 7 octobre
Je célébre les alternatives citoyennes à la crise climatique au village Alternatiba Bayonne
Semaine du 8 octobre
Je porte l'appel des scientifiques aux responsables politiques : « Sortons des énergies fossiles. »
25 au 29 octobre
Je bloque une des plus grandes mines de charbon d'Allemagne, avec le mouvement Ende Gelande
14 décembre
Je nettoie le siège de la Société Générale, 1er soutien financier aux énergies sales en France
En justice
Je soutiens les 10 familles menacées par le dérèglement climatique qui attaquent l’UE en justice
Dans ma ville
Je fais pression sur ma mairie pour des politiques climatiques ambitieuses
Chaque jour
Je change mon quotidien pour changer le monde à mon échelle
Pour la science
Je recense les espèces animales et végétales pour mesurer l’érosion de la biodiversité
Jusqu'au 6 octobre
Je découvre les alternatives citoyennes pour le climat sur les étapes du Tour Alternatiba
Déterminé-e
Je m'inscris à une formation à l'action non-violente pour le climat
13 octobre
Je marche pour le climat le #13Octobre
Editeur
Ce site est édité par Le Mouvement, 22 bis rue des Taillandiers 75011 Paris, contact@lemouvement.ong
Directeur de la publication lliot Lepers
Hébergement / Gandi SAS
Le 15 septembre 2018
15 Rue Corneille, 16000 Angoulême, France
à 09:59
journée mondiale de ramassage des déchets sauvages. Les citoyens, les entreprises, les associations, les écoles , les collectivités se mobilisent pour agir tous ensemble le 15 septembre pour une journée positive et festive.
Contact :
chantalj16@aliceadsl.fr
ndlr : et prévention ? ACT
Type(s) de rendez-vous : Portes ouvertes, Rassemblement public
Date(s) de votre rendez-vous : 22/09/2018, 23/09/2018
Description de l'intention du rendez-vous
description : Faire connaître les différentes expérimentations et initiatives locales ainsi que les projets.
Sensibiliser les personnes intéressées à la nécessité du changement et présenter des alternatives, toute simples ou plus élaborées, qui marchent. Que ce soit à l'échelle d'un foyer, d'un groupe humain, d'une commune ou d'un territoire plus vaste.
Montrer par l'exemple qu'il est possible de vivre mieux en consommant et gaspillant moins.
Permettre à tous de se rencontrer, d'échanger et de débattre.
Favoriser le partage, la convivialité et la fête !
Boubounelle Annick
Contact email : aboubounelle@orange.fr
Téléphone, avec votre indicatif si nécessaire +33... : 06 29 81 57 16
Type(s) de rendez-vous : Atelier d’expérimentation, Conférence
Date(s) de votre rendez-vous : début de la période officielle : 15/09/2018, 16/09/2018, 17/09/2018, 18/09/2018, 19/09/2018, 20/09/2018, 21/09/2018, 22/09/2018, 23/09/2018, 24/09/2018, 25/09/2018, 26/09/2018, 27/09/2018, 28/09/2018, 29/09/2018, fin de la période officielle : 30/09/2018
lieu de rendez-vous
Adresse postale : 19, grand'rue 16380 Marthon
Code postal : 16380
Ville : MARTHON
Description de l'intention du rendez-vous
description : - Informer sur l'urgence climatique et la responsabilité des êtres humains dans leurs émissions de plus en plus massives de gaz à effet de serre.
- proposer de co-construire un plan d'action que chacun d'entre nous pourrait s'approprier
- le partager dans un service en lignes multilingues avec tous les citoyens du monde
- organiser des ateliers coopératifs
- poser les bases d'une organisation pérenne.
lien vers votre page
Site internet : https://wp.me/p7HNdj-2x
Présence sur les réseaux sociaux : https://framapiaf.org/@JLPM
Une image pour illuster votre rendez-vous (jpg,png,jpeg de taille mini xxx et de moins de 10 Mo)
Vos informations de contact
Nom et prénom du porteur de projet : Jean-Luc Poitoux
Contact email : jluc.poitoux@free.fr
Téléphone, avec votre indicatif si nécessaire +33... : 06 81 69 59 47
Adresse postale : 19, grand'rue 16380 Marthon
Si vous faites partie d'une structure
Éditer la page Modifiée le : 21.06.2018 à 02:43:26
Plastique, la grande intox - diffusé le mar. 11.09.18 à 21h10 - Replay Cash Investigation - France 2
magazines d'actu | 134min | tous publics
En 2050, il y aura plus de plastique que de poissons dans la mer. Sur les dix tonnes produites dans le monde chaque seconde, une tonne finit sa route dans les océans. Le continent plastique n'en finit pas de grandir. Les grandes marques, qui ont rendu le consommateur dépendant de ce matériau, se dédouanent souvent. Une équipe a enquêté sur les stratégies secrètes d'un des géants mondiaux des sodas et ses promesses de recyclage. Certains plastiques sont contaminés par des substances chimiques dangereuses pour la santé. Lesquelles ?
Il y avait près de 250 personnes ce samedi matin dans la rue piétonne d'Angoulême pour manifester leur désir de protéger la planète.
Photo RT
A part pour Notre Dame des Landes, Vanessa Vigier n’était pas une grande revendicatrice. Mais voir Nicolas Hulot pleurer sur sa solitude ministérielle, ça l’a touchée. «Je voulais lui dire, si, on est là. Et j’espère qu’on va nous entendre», se motive l’ex peintre en bâtiment qui se reconvertit en microfermière en permaculture.
Dans la rue piétonne, on a beaucoup entendu Elodie Boussiquault. Naturaliste à Charente Nature, c’est elle qui a fait le lien entre l’initiative personnelle de Vanessa Vigier et l’association. Quand elle a présenté le projet aux administrateurs, les vieux militants qui ont usé le pavé angoumoisin depuis tant d’années, lui ont confié les clefs. «Je n’ai pas eu le choix», rigole-t-elle. «C’est la première fois que j’organise un événement comme ça». Les historiques de la lutte écolo avaient de quoi être rassurés sur la relève.
Actualité
ndlr : encore protéger la planête :-( c'est la vie qui est en danger, pas la planète !
Des milliers de manifestants se sont mobilisés ce samedi pour la planète. Des rassemblements se sont déroulés à Poitiers, La Rochelle et La Roche-Posay. Près de 700 scientifiques dont des chercheurs de l'Université de La Rochelle lancent un appel aux décideurs.
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L'initiative a été lancée sur les réseaux sociaux par un simple citoyen, Maxime Lelong, après la démission de Nicolas Hulot.
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Parmi les chercheurs qui ont signé cette tribune, des scientifiques de Poitou-Charentes :
Eric Rosenfeld, Maître de conférences à l’Université de La Rochelle; Guy Wöppelmann, Université de la Rochelle, laboratoire LIENS; Frédéric Pouget, Maitre de conférences, Université de la Rochelle;Emeline Pettex, Chercheur en écologie marine à Cohabys (ADERA) à l’université de La Rochelle; Nathalie Imbert Auvray, Maître de conférences à l’université de La Rochelle.
ndlr :
- on en est encore à rester centrés sur les "petits gestes" comme ramasser les déchets, mettre "pas de pub" sur sa boit à lettre, etc... Courage...
- l'initiative était lancée depuis des mois au niveau international ! notamment par 350.org !