Le médiateur national de l'énergie est une autorité publique indépendante qui propose des solutions amiables aux litiges avec les entreprises du secteur de l'énergie et informe les consommateurs d'énergie de leur droit. Il propose aussi un comparateur d'offres d'électricité et de gaz naturel, un baromètre énergie-info et un guide des recommandations de bonnes pratiques.
... autorité publique indépendante, créé par la loi n° 2006-1537 du 7 décembre 2006 relative au secteur de l'énergie. Son activité est en hausse continue depuis ...
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Le médiateur aide à la résolution des problèmes avec les entreprises du secteur de l'énergie. Vous pouvez le saisir en ligne ou par courrier. Il met également à la disposition des consommateurs et des professionnels son savoir-faire en rendant accessibles ses recommandations publiées et les jurisprudences liées à l'énergie.
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Analyse de l’Association négaWatt, sur la base des travaux du GIEC
La France fête cette semaine le cinquième anniversaire des Objectifs de développement durable (ODD) instaurés par les Nations Unies. Alors que le gouvernement intensifie depuis plusieurs mois ses efforts à Bruxelles pour que le nucléaire soit reconnu comme une « énergie durable », il est légitime de se poser la question de la soutenabilité de cette source d’énergie, et plus largement de l’ensemble des options possibles.
Sur ces sujets, en dépassant certaines interprétations hâtives, l’analyse détaillée du Rapport spécial sur les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5 °C publié par le GIEC en 2018 apporte de nouveaux enseignements que l’Association négaWatt présente dans cette note d’analyse.
Résumé de la note
De multiples leviers existent pour réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES). Pour le CO2 (qui représente environ deux-tiers des émissions), les principales actions envisageables sont : la réduction de la consommation d’énergie, le déploiement des énergies renouvelables - électriques ou issues de la biomasse -, et l’utilisation d’autres moyens décarbonés comme le nucléaire ou la capture et séquestration de carbone associées à la combustion d’énergies fossiles.
Ces différentes options ne présentent pas toutes le même niveau de soutenabilité au regard de l’ensemble des 17 objectifs de développement durable (ODD) - parmi lesquels figure la lutte contre le changement climatique, la protection de l’environnement, l’éradication de la faim et de la pauvreté, la protection de l’environnement, etc. - adoptés par l’ONU en octobre 2015, quelques semaines avant l’Accord de Paris. C’est ce qui ressort d’une évaluation de 23 actions de réduction des émissions de GES menée par le GIEC dans son Rapport spécial sur les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5°C :
- arrivent en tête les actions visant à réduire la demande d’énergie (sobriété et efficacité énergétique), à remplacer des énergies fossiles par des énergies renouvelables électriques ou encore à améliorer la gestion du bétail et du fumier ;
- viennent ensuite celles visant à renforcer l’usage de la biomasse, avec toutefois une très forte sensibilité aux conditions de mise en œuvre (environnement local, choix des espèces, modes de culture, usages, etc.) ;
- viennent en dernier celles recourant à la capture et séquestration du carbone (CSC), à la géo-ingénierie océanique et au nucléaire - cette dernière option étant même la moins bien notée parmi les 23.
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Si le nucléaire apparaît ici comme étant le levier de décarbonation le moins soutenable, il reste tout de même présent dans les quatre trajectoires proposées par le GIEC dans le résumé pour décideurs du Rapport spécial sur les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5°C https://www.ipcc.ch/site/assets/uploads/sites/2/2019/09/IPCC-Special-Report-1.5-SPM_fr.pdf.
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Si les quatre trajectoires principales proposées par le GIEC comportent toutes une part de nucléaire, d’autres options existent et permettraient de rester en-dessous des 1,5°C sans utiliser ni cette technologie ni la capture-séquestration de carbone. Comment ? En combinant à la fois une réduction de la consommation et un recours ambitieux aux énergies renouvelables (électriques et bioénergies). Le recours même modeste au nucléaire ou à la capture et séquestration du carbone - options clairement identifiées par le GIEC comme étant les moins soutenables - n’est donc pas indispensable pour atteindre l’objectif 1,5°C.
Document(s) téléchargés note nW, Communiqué de presse (pdf)
vidéo aussi à https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?bGYkHQ
Le 8 juillet 2020, Île-de-France Énergies et Dorémi ont témoigné de leur expérience en matière d’accompagnement à la rénovation énergétique globale, lors d’un web-séminaire du CLER – Réseau pour la transition énergétique, organisé avec le soutien de l’ADEME.
Les structures du réseau FAIRE font actuellement face à un contexte mouvant, notamment avec le déploiement du programme SARE (Service d’Accompagnement pour la Rénovation Énergétique), qui implique des évolutions de leur métier, de leurs compétences et de leur organisation. Il est ainsi nécessaire de mettre les structures en capacité de s’organiser et de monter en compétences sur des thématiques données, sur lesquelles elles pourraient être amenées à se positionner dans le contexte actuel.
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Présentation IDF ENERGIES https://cler.org/wp-content/uploads/2020/07/Pre%CC%81sentation-IDF-ENERGIES.pdf
Présentation Dorémi https://cler.org/wp-content/uploads/2020/07/Pre%CC%81sentation-Dore%CC%81mi.pdf
Avec la participation de :
- Raphaël Claustre, Directeur général d’Île-de-France Énergies ;
- Léana Msika, Chargée de projets chez Dorémi.
Animation : Etienne Charbit, Responsable de projets Efficacité énergétique
etienne.charbit[arobase]cler.org
Le programme SLIME (Service Local d’Intervention pour la Maîtrise de l’Energie) est un programme d’action de maîtrise de l'énergie en faveur des ménages modestes et destiné aux collectivités locales. Il permet d'organiser les actions de lutte contre la précarité énergétique en massifiant le repérage des ménages en précarité énergétique et de les financer grâce aux certificats d'économie d'énergie.
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Extrait de la conférence de Jean-Marc Jancovici à AgroParisTech le 24 septembre 2019
Vidéo entière de la conférence (avec minutage des questions dans la description) : https://youtu.be/j48hBShnfB0 i à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?o8gZYw
Le poids de cette vidéo a été réduit, pour diminuer sa consommation énergétique et donc les émissions de gaz à effet de serre induites, grâce à un tutoriel mis à disposition par le think tank The Shift Project :
https://theshiftproject.org/guide-reduire-poids-video-5-minutes/
Site de Jancovici : https://jancovici.com
Page Facebook : https://www.facebook.com/jeanmarc.jan...
Catégorie Science et technologie 113 commentaires
Ndlr : exemple de vidéo que l'on peut projeter pour illustrer un débat sur l'urgence car il montre bien en quoi urgence climatique et urgence politique sont intimement intriquées => avoir la transcription ACT
arrêté, publié le 8 septembre 2019, lève le voile sur le « Service d’accompagnement pour la rénovation énergétique » (Sare), lancé par Elisabeth Borne, Julien Denormandie et Emmanuelle Wargon dans le cadre du dispositif des certificats d’économies d’énergie (CEE).
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porté par l’Ademe vient compléter l’arsenal des mesures déjà en place pour accélérer la rénovation énergétique des bâtiments. Il vise à vise à mieux informer les particuliers, les professionnels et les propriétaires de petits locaux tertiaires privés. Il disposera de 200 millions d’euros sur 5 ans, et « pourra couvrir jusqu’à 50% des coûts, le reste étant cofinancé par les collectivités«
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trois types de missions :
- déploiement d’un service d’accompagnement des particuliers. « Dans ce cadre, des audits énergétiques pourront notamment être réalisés pour poser les bons diagnostics avant d’engager les travaux de rénovation des logements«
Fourniture d'un premier niveau d'information NEUTRE, gratuit, adapté / tél ou entretien ; technique, financier, juridique.
Conseil perso / audit, assistance à maître d'ouvrage, maîtrise d’œuvre. - Créer une dynamique territoriale autour de la rénovation et soutenir une information à destination des professionnels.
- Déployer un service de conseil aux petits locaux tertiaires privés.
Tél. 0808 800 700 (serv gratuit+prix appel) ... entraîner les Français vers la rénovation énergétique, le ministère de la Transition écologique et solidaire, le ministère de la Cohésion des territoires et l’ADEME mettent en place une nouvelle signature, FAIRE. Tous éco-confortables.
FAIRE a pour objectif de rassembler l’ensemble des acteurs publics et privés de la rénovation énergétique et des énergies renouvelables et rendre lisible leur offre.
Le « service public » d’information et de conseil sur la rénovation énergétique de l’habitat est mis en place par l’ADEME, l’Anah (Agence Nationale de l’Habitat), l’ANIL (Agence Nationale pour l’Information sur le Logement) et les collectivités.
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Particuliers
- Les conseillers FAIRE vous aident à réaliser gratuitement un bilan de votre consommation énergétique et à trouver les solutions de rénovation adaptées à vos besoins.
- Ils peuvent aussi identifier les aides financières dont vous pouvez bénéficier.
- Les artisans RGE (Reconnu Garant de l'Environnement) et les professionnels recommandés par FAIRE vous aident à améliorer le confort de votre logement.
Professionnels
- FAIRE vous aide à trouver des formations pour devenir RGE et vous recommande quand un particulier cherche un professionnel qualifié.
Collectivités
- FAIRE vous donne accès aux initiatives locales et aux exemples des collectivités qui ont su bien faire
Contacter
https://www.faire.fr/trouver-un-conseiller
CAUE 1631 boulevard Besson Bey
16000, Angoulême
Horaires d'accueil et Permanence téléphonique :
Du lundi au vendredi : 8h30 à 12h30 ; 13h30 à 17h30
05 45 92 95 93 - infoenergie.caue16@orange.fr
https://www.eie-na.org/caue-charente
L’Observatoire climat-énergie est un projet du Réseau Action Climat et du CLER – Réseau pour la transition énergétique, en partenariat avec le Ministère de la transition écologique et solidaire, l’ADEME, Entreprises pour l’Environnement et l’IDDRI. Il s’appuie sur les indicateurs définis dans la Stratégie nationale bas carbone (SNBC) et la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE). Il compare les résultats chiffrés avec les trajectoires prévues. Ils s’appuient sur les objectifs de la SNBC de 2015 et de la PPE de 2016. Une révision de ces documents est prévue suivant les évolutions de nos objectifs nationaux, et prendra en compte les évolutions définitives du projet de loi sur l’énergie et le climat.
Lancé en 2016, l'Observatoire climat-énergie dresse le bilan des efforts réalisés par la France pour mener la transition énergétique et climatique. Les chiffres de l'année 2018 sont rendus publics aujourd'hui. Un état des lieux nécessaire, alors que la première période de la Stratégie nationale bas carbone (SNBC) et de la Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) touche à sa fin.
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Pour Jean-Baptiste Lebrun, directeur du CLER – Réseau pour la transition énergétique :
« L’observatoire énergie-climat montre, à partir de données officielles, que la France est très en retard sur ses objectifs climatiques et en matière de transition énergétique. ... https://www.observatoire-climat-energie.fr/
Clés : Économies d’énergie ; Territoires et démocratie ; Transition ; Association ; Efficacité énergétique ; Emploi ; Rénovation ; RéseauEIE ; Système énergétique
Le « Service d'accompagnement pour la rénovation énergétique » vient de sortir du tiroir de la Ministre de la transition écologique et solidaire. Quatre ans après l'inscription d’un service public de la performance énergétique de l’habitat (SPPEH) dans la loi de transition énergétique et à quatre mois de l’extinction programmée du soutien de l’Ademe pour les Espaces info-énergie, voici enfin un financement pour l’accompagnement local ! Permettra-t-il de faire perdurer les missions essentielles de centaines de conseillers FAIRE qui orientent quotidiennement les citoyens au cours de leurs projets de travaux ? Rien n'est moins sûr... Sur le terrain, l'inquiétude règne.
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Lire aussi – Rénovation énergétique : le conseil personnalisé aux usagers est la clé de réussite https://cler.org/renovation-energetique-le-conseil-personnalise-aux-usagers-est-la-cle-de-reussite/
1 – Un mécanisme de marché pour financer des missions de service public ?
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Faute d’avoir prévu le financement de ce service dans ses propres trajectoires budgétaires, l’Etat propose aujourd’hui un programme qui repose sur les Certificats d’économies d’énergie, un mécanisme de marché impliquant les acteurs privés producteurs d’énergies. Pour le CLER qui observe de nombreuses failles dans ce dispositif, il paraît dangereux, en l’absence des « garde-fous » permettant d’améliorer le fonctionnement de ce système de CEE, de choisir cet outil pour financer dans de bonnes conditions, sur l’ensemble des territoires et dans la durée, un service public aussi déterminant pour la transition énergétique !
Lire aussi – « Le dispositif des CEE souffre de défauts importants à corriger » https://cler.org/le-dispositif-des-cee-souffre-de-defauts-importants-a-corriger/
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2 – De la qualité, vraiment ?
De nombreuses expériences réussies montrent qu’il est possible de réaliser des travaux performants pour gagner en confort et faire baisser ses factures. Mais, faute d’exigences et de contrôles suffisants dans les dispositifs d’aides publiques, les abus et arnaques se multiplient (voir par exemple l’alerte de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes du Ministère de l’économie) https://www2.economie.gouv.fr/dgccrf/offres-disolation-a-1-euro-soyez-vigilants. Dans ce contexte, il est plus que jamais essentiel de financer le travail des structures d’accompagnement sur le terrain. Celles-ci doivent continuer à faciliter la mise en œuvre de projets de rénovation les plus ambitieux possible. Elles incarnent en outre les principes de neutralité et d’indépendance vis-à-vis d’intérêts économiques privés liés à la réalisation de travaux, d’équipements ou de fourniture de services énergétiques. Le programme CEE, dont les contours n’ont pas encore été précisés, les encouragera-t-il dans cette logique fidèle à l’esprit de la loi de transition énergétique et aux principes et convictions de ces professionnel·les de terrain ?
Pour le CLER, le programme doit se déployer dans l’intérêt général et garantir l’atteinte d’objectifs de long terme définis par la loi en matière de transition énergétique : il s’agit notamment de viser pour les travaux de rénovation énergétique, autant que possible, l’atteinte d’un niveau de performance équivalent au niveau BBC en 2050, selon le parcours optimal (en général en passant par une rénovation complète et performante) !
3 – Pas d’investissement neuf de la part de l’Etat et un montant global de crédits insuffisants
La communication du gouvernement présente le programme comme un engagement financier substantiel et inédit. Il s’agit pourtant essentiellement de compenser le désengagement de l’Etat du soutien aux Espaces info-énergie et aux plateformes territoriales de la rénovation en passant par le mécanisme des CEE, c’est-à-dire en faisant porter la charge aux fournisseurs d’énergie et in fine sur la facture énergétique des citoyens.
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toutes les enquêtes, études, expériences de terrain et avis d’expert attestent l’importance d’un tiers de confiance pour l’accompagnement des ménages dans leurs projets de maîtrise de l’énergie.
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Lire aussi : « Il faut remettre du service public dans le secteur de l’énergie » https://cler.org/il-faut-remettre-du-service-public-dans-le-secteur-de-lenergie/
Contact
Jean-Baptiste Lebrun Directeur du CLER – Réseau pour la transition énergétique jeanbaptiste.lebrun[arobase]cler.org
La vidéo représente 80 % du flux de données mondial, et nécessite une consommation énergétique importante, produisant ainsi de plus en plus de gaz à effet de serre.
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En comptabilisant la vidéo originale, le post publicitaire qui se lance au milieu du visionnage et la vidéo qui se charge automatiquement à la fin, nous sommes assaillis. Or, ce type de contenu est particulièrement polluant comme le révèle un rapport du think tank Shift Project, dont le titre résume tout l’enjeu : « Climat : l’insoutenable usage de la vidéo en ligne » https://theshiftproject.org/wp-content/uploads/2019/07/2019-01.pdf.
Un secteur énergivore
Son auteur, Maxime Efoui-Hess, rappelle l’ampleur de l’empreinte carbone du secteur numérique, qui représente d’ores et déjà 3,7 % des émissions de gaz à effet de serre mondiales. Au vu de sa croissance exponentielle, elle pourrait même atteindre 8 % en 2025. Ces émissions sont engendrées par la consommation énergétique, d’origine principalement électrique, nécessaire pour produire et utiliser les technologies numériques. Or à l’échelle mondiale, le mix électrique fait encore la part belle aux énergies fossiles et principalement au charbon.
Contact : PK FLUVIAL
Peniche "Femmy", chemin de l'ancienne ecluse, Port de Charenton 94220 Charenton le Pont
- FRANCE
Tel. : 01.48.72.28.54
- mail: contact@energy-online.fr
Horaires d'ouverture :
Lundi à Vendredi 9.00 - 18.00 h
Sarl au capital de : 7.620 €
Siret : 41186913400014
N° TVA Intracommunautaire : FR74411869134
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Peter Kroonenberg Fluvial
95 RUE LA BOETIE
75008 Paris
Machine à bois, PVC, alu et outillage (fabrication, négoce)
nDLR : le solaire est-elle une activité complémentaire ? ACT
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nous n’exigeons pas « davantage d’énergies renouvelables », mais la décroissance énergétique. Nous exigeons qu’un plan contraignant soit mis en place immédiatement avec pour objectif de diviser au minimum par quatre notre consommation énergétique d’ici à 2050 [1]. Dans ce cadre seulement, une transition vers 100 % d’énergies renouvelables, produites de manière décentralisée, les plus propres en fonction des territoires est un objectif à poursuivre. Enfin, ce plan signera aussi la fin du nucléaire pour 2030 [2], avec un calendrier rapide pour fermer les centrales nucléaires. Le nucléaire est une énergie infecte, depuis le pillage colonialiste de l’uranium, au Niger notamment, jusqu’à la production de millions de tonnes de déchets que devront gérer les générations futures pour plusieurs millénaires, en passant par le risque de prolifération nucléaire. Nous ne voulons pas de ces centrales, qui représentent un danger intolérable pour la société, comme le rappelle tristement la situation actuelle au Japon depuis Fukushima et les innombrables incidents techniques en France. Nous ne voulons pas du pharaonique projet Cigéo d’enfouissement des déchets nucléaires à Bure, qui a été imposé sans véritable débat démocratique, et dont la sûreté est mise à mal par les économies réalisées sur le coût du stockage.
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Face à la catastrophe, l’échec n’est donc pas une option. Nous saurons vous le rappeler incessamment. En l’absence de réponse satisfaisante du gouvernement dans les délais convenus d’ici au prochain jour de grève, vendredi 22 février, nous, la jeunesse, rejoindrons massivement la marche pour l’environnement du 22 février, qui sera aussi le jour de la venue en France de Greta Thunberg, et y poursuivrons nos actions de désobéissance.
Parce qu’elle garantit leurs revenus, les éleveurs qui le peuvent se laissent tenter par la production de biogaz et installent des méthaniseurs. Mais cette pratique, notamment à partir d’une certaine taille, comporte des risques pour les sols autant que pour l’avenir du monde agricole. Reporterre a mené l’enquête, dont voici les trois volets.
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La méthanisation, l’usine à gaz qui séduit les gros agriculteurs
Lire l’article ici https://reporterre.net/la-methanisation-l-usine-a-gaz-qui-seduit-les-gros-agriculteurs
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Méthanisation : un digestat bien indigeste pour les sols et les eaux
Lire l’article ici https://reporterre.net/methanisation-un-digestat-bien-indigeste-pour-les-sols-et-les-eaux
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La méthanisation risque d’accélérer la concentration des fermes
Lire l’article ici https://reporterre.net/La-methanisation-risque-d-accelerer-la-concentration-des-fermes
Source : Julie Lallouët-Geffroy pour Reporterre
Dessin : © Red !/Reporterre
Photos : © Julie Lallouët-Geffroy/Reporterre
DOSSIER Animaux Agriculture et climat
THEMATIQUE Agriculture Energie
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- Consolider son accompagnement (mission d’AMO) dans le développement de projet de production « classique » ou « citoyen » utilisant les mécanismes de soutien public
(autoconsommation, vente totale à l’OA, etc..). - Développer et acquérir ses propres projets de production en investissant son capital social dans des projets citoyens et innovants, hors mécanismes de soutien public (250 kWc au sol, toiture PV, achat de centrale existante (PV, Hydro, Eolien)).
- Faciliter une valorisation locale de l’énergie produite (recherche d’opportunités et de partenariats).
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Missions
Porter la Co-construction de la stratégie Energie au sein d’Enercoop Aquitaine - Co-construire la stratégie et le modèle économique Energie (en lien avec la direction, le Conseil d’Administration, les collaborateurs du service et le réseau Enercoop).
- Décliner la stratégie en plan d’actions.
- Élaborer et suivre le budget du service en lien avec la direction et autres membres du service.
- Animer l’équipe Énergie (composée de 2 personnes à fin 2019). Prendre en charge le développement de projets de production
- Identifier et qualifier des opportunités de développement de projets de production.
- Gérer la prise de risque dans le développement (juridique, technique et économique).
- Instruire les lancements de projet, les organiser et les suivre (investissements, coûts, délais, coordination, pilotage, reporting).
- Organiser et fédérer des partenariats techniques et économiques (acteurs et partenaires
locaux, collectivités, collectifs citoyens, CIRENA). - Suivre la réflexion stratégique du réseau Enercoop et alimenter la réflexion stratégique locale en lien avec la direction et le CA. Assurer la représentation de la coopérative
- Assurer le suivi et la gestion des participations de la coopérative dans des sociétés de projets.
- Organiser la représentation d’Enercoop Aquitaine dans les différents réseaux locaux
partenaires dédiés à l’Energie. - Participer à la commission Production du réseau Enercoop et à différents groupes de travail internes au réseau.
Profil recherché :
• Formation : niveau Bac + 5 (Master ou École d’ingénieur)
• Expérience professionnelle : au minimum 5 ans dans le secteurs des EnR
• Aisance relationnelle et appétence pour la démarche commerciale
• Capacité à fédérer et mobiliser des acteurs et des partenaires
• Capacité à gérer de projets (planification, suivi, coordination, budget)
• Capacité à manager dans la concertation
• Connaissance des étapes de développement des projets EnR (a minima PV)
• Maîtriser le modèle économique des EnR et de leur financement
• Connaissance ou curiosité du fonctionnement en réseau & Intérêt pour la
gouvernance innovante
Enercoop Aquitaine - SCIC SA à capital variable – RCS Bordeaux 788 775 242
Darwin Ecosystème – 87 Quai des Queyries, 33100 Bordeaux
recrutement.aqui@enercoop.org - 05.47.50.05.92
Connue /
https://twitter.com/EnercoopAqui/status/1084841731886059520
Le gouvernement s’entête dans la défense du nucléaire en arguant notamment que les énergies renouvelables sont intermittentes et insuffisantes, explique l’auteur de cette tribune. Pourtant, des possibilités efficaces de stockage de ces dernières existent.
Olivier Daniélo est rédacteur énergie. Il a fondé l’antenne française du think tank Desertec (Club de Rome) qu’il a ensuite quitté : vouloir importer de l’électricité solaire africaine pour répondre aux besoins énergétiques des gloutons européens lui posait un problème d’ordre éthique.
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Des dogmes nucléocratiques obsolètes
Non seulement la vision macronienne est productiviste, et donc par essence anti-écologique, mais en plus elle repose sur des dogmes nucléocratiques obsolètes. Macron a en effet déclaré le 27 novembre 2018 qu’il était « faux de dire que le nucléaire pourrait être remplacé par les énergies renouvelables, ces dernières étant intermittentes ». Son Premier ministre, Édouard Philippe, ancien lobbyiste d’Areva, en a ajouté une couche le lendemain en affirmant que « tant qu’on ne sait pas stocker l’électricité, on a besoin d’un mix équilibré. On a besoin du nucléaire et des énergies renouvelables ».
Donc, pour Macron et Philippe les 200 GW de Step (stations de transfert d’énergie par pompage) qui fonctionnent dans le monde (dont 5 GW en France) n’existent pas. On peut pourtant les faire fonctionner avec de l’eau de mer, comme l’a si bien expliqué l’association Hydrocoop. La batterie Tesla géante que le groupe français Neoen a installée en Australie pour assister un parc éolien ? Elle non plus n’existe pas. L’île Tesla qui fonctionne au solaire + stockage batterie dans les Samoa étasuniennes ? Idem. Tout comme le système batterie + hydrogène qu’installe le groupe français HdF (Hydrogène de France) en Guyane pour délivrer de l’électricité solaire 24 heures sur 24 et toute l’année. Et puis les études réalisées par le cabinet d’étude Artelys grâce à des outils informatiques sophistiqués et qui démontrent par A + B que les énergies renouvelables peuvent remplacer des réacteurs nucléaires en France sont ignorées. Artelys a pourtant été fondé par des anciens d’EDF. Étrange. Le gouvernement espagnol, qui annonce 70 % d’électricité renouvelable dès 2030 ? Une farce. 95 % de l’électricité en Uruguay est renouvelable ? De la science-fiction. Le PDG du groupe Neoen qui annonce que la France peut passer à 30 % de solaire + éolien en cinq ans, et donc à 50 % de renouvelables en intégrant l’hydroélectricité déjà en place et les autres énergies renouvelables ? Du pipeau. L’atome, il n’y a que ça de vrai. Et comme il est plus facile de briser un atome qu’un préjugé, et bien nous ne sommes pas sortis de l’auberge. Ou plutôt de la piscine à déchets radioactifs.
Soutenue par les gouvernements successifs, la sortie du nucléaire est engagée en Allemagne depuis le début des années 2000, et doit se conclure en 2022, date prévue de l’arrêt de la dernière centrale. La fermeture de ces centrales nucléaires entraîne-t-elle une hausse des émissions de CO2 du secteur électrique allemand en favorisant un retour au charbon ?
En quelques mots
Depuis 35 ans, les émissions de CO2 du secteur électrique allemand sont globalement en diminution. Ces 10 dernières années, elles ont baissé de 20 % alors même que la production nucléaire allemande a chuté de 55 % depuis 2006 et que les exportations d’électricité ont considérablement augmenté.
La hausse de l’utilisation du charbon constatée entre 2009 et 2013 en Allemagne est souvent associée – à tort – à la diminution de la production nucléaire. Ce recours au charbon est en réalité venu compenser une baisse de l’approvisionnement en gaz naturel fossile, devenu moins compétitif sur cette période.
La stabilisation de la consommation d’électricité allemande depuis plus de 10 ans ainsi que l’essor des énergies renouvelables électriques – éolien et photovoltaïque en tête – contribuent favorablement à la transition énergétique de l’Allemagne ainsi qu’à la réduction de ses émissions de gaz à effet de serre.
Les efforts doivent désormais être poursuivis et amplifiés, aussi bien dans l’installation d’énergies renouvelables que dans la sobriété et l’efficacité énergétique, pour que l’Allemagne puisse rester sur la trajectoire ambitieuse de réduction de ses émissions qu’elle s’est fixée.
Clés: Allemagne energiewende nucléaire charbon CO₂
Mobilités
Territoires et démocratie
Covoiturage
Développement local
Tepos
Train
Transports en commun
Vélo
Il est désormais nécessaire d'aborder la mobilité comme thème majeur de la transition énergétique, et surtout de traduire cette approche du point de vue de l'action locale. Le CLER propose une nouvelle approche de la mobilité durable locale, illustrée de 9 exemples de terrain.
La transition énergétique peut être abordée sous différents angles. Certaines thématiques sont largement traitées par les acteurs des territoires : la maîtrise de l’énergie dans le bâtiment, la précarité énergétique, les énergies renouvelables… A juste titre, celles-ci font l’objet de politiques locales de plus en plus abouties et transversales.
En revanche, la mobilité n’est pas systématiquement considérée comme composante centrale de la transition énergétique. C’est un véritable paradoxe, puisque c’est pour nous déplacer que nous utilisons l’essentiel du pétrole consommé en France.
Le transport représente un tiers de la consommation d’énergie française, presque uniquement des produits pétroliers.
Il est désormais nécessaire d’aborder la mobilité comme thème majeur de la transition énergétique, et surtout de traduire cette approche du point de vue de l’action locale.
Car comme pour le bâtiment, le gisement d’économies d’énergie dans la mobilité est diffus : il dépend de multiples paramètres comme les politiques d’aménagement, l’accompagnement au changement, la logistique… Il en est de même du potentiel de production de carburants alternatifs.
Pourquoi les acteurs locaux ont intérêt à s’emparer du sujet au plus vite ?
Comment penser une mobilité soutenable du point de vue de la transition énergétique ?
Quelles pratiques dans les territoires pour une mobilité plus sobre, plus efficace et basée sur les énergies renouvelables ?
Pour explorer ces questions, cette publication « Mobilité, énergie et développement local » du CLER – Réseau pour la transition énergétique développe une vision d’une mobilité à la fois soutenable du point de vue de la transition énergétique, et positive en terme de développement local.
Cette approche est illustrée par 9 retours d’expériences d’acteurs locaux qui mettent en œuvre des projets structurants en matière de mobilité durable, y compris en milieu périurbain et rural.
Bonne lecture !
Publication
Mobilité, énergie et développement local
Quelle mobilité pour des territoires à énergie positive ? Dans cette nouvelle publication, le CLER – Réseau pour la transition énergétique développe une vision d’une mobilité soutenable du point de vue de la transition énergétique, illustrée de 9 retours d’expériences de terrain, proposant de nouveaux modèles d’action locale en matière de mobilité durable.
Consulter la publication
https://cler.org/wp-content/uploads/2018/02/mobilite2017_CLER_WEB.pdf
ndlr :
- ont pris le parti de l'anthropocène en privilégiant la sobriété dans une approche holistique, en s'appuyant sur le scénario négawatt mais n'amènent pas de garanties en matière de gaz renouvelable (risque d'instrumentalisation par les gaziers d'écouler du gaz fossile sans possibilité de le détecter => questionner ACT
LEROUX & LOTZ TECHNOLOGIES
Leader dans le domaine des chaudières biomasse et Waste to Energy. Leroux & Lotz Technologies (LLT) conçoit, réalise et met en service des solutions globales de production d’énergie de 1 à 150 MWth, adaptées à tous types de combustibles. Notre offre s’adresse aux installations neuves ainsi qu’au retrofit des installations existantes.
LEROUX & LOTZ INDUSTRY
Leroux & Lotz Industry (LLI) développe des usines modulaires dans le domaine de la production des huiles et des graisses, la régénération des huiles usagées ainsi que des équipements spéciaux pour les marché oil & gas, énergies marines renouvelables et nucléaire.
NOS MÉTIERS
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Des engagements au cœur de la stratégie
L’ECOLOGIE INDUSTRIELLE
Les industriels du Gimélec se positionnent aujourd’hui comme les fers de lance de l’écologie industrielle.
A ce titre, le Gimélec souhaite promouvoir le progrès environnemental tout au long du cycle de vie des équipements. Il œuvre ainsi en faveur de l’écoconception des produits, de la minimisation de l’empreinte environnementale durant la vie des projets ou encore du développement de filières de collecte et de traitement des produits en fin de vie…
En outre il apporte son concours aux travaux européens qui visent à assurer la sécurité de l’approvisionnement en Terres Rares (groupe de 17 métaux indispensables à la production de nombreux équipements électriques), un sujet de plus en plus critique pour les industries françaises et européennes car le prix des Terres Rares a subi une inflation moyenne de 300% de 2010 à 2011.
PROMOUVOIR LA RESPONSABILITE SOCIALE D’ENTREPRISE
Les entreprises du Gimélec ont décidé de profiter de l’opportunité de la nouvelle législation française concernant la transparence en matière sociale et environnementale pour mettre en commun leurs compétences et meilleures pratiques sur le sujet. En effet, elles participent toutes, quelle que soit leur taille, d’un écosystème construit sur plus d’un siècle autour de l’électrotechnique, ses métiers comme ses normes, ses innovations comme ses révolutions.
La Commission Développement Durable du Gimélec, créée en mars 2009, a mis en place de nombreuses actions à destination de ses entreprises adhérentes, comme la signature du Pacte Mondial en juin 2010, la création d’un référentiel RSE commun, la diffusion de la norme ISO 26000 ou la mise en œuvre des approches « éthique et conformité » dans les entreprises.
LUTTER CONTRE LES PRODUITS DANGEREUX ET LA CONTREFACON
L’impact de la contrefaçon représente entre 3 et 5 % de l’activité mondiale du secteur matériel électrique, soit une perte de chiffre d’affaires d’environ 1 milliard de dollars pour les fabricants européens : imitation servile, concurrence déloyale, copie de l’image de marque, contrefaçon de brevets. Pour le Gimélec, au-delà du préjudice économique et du manque à gagner fiscal, les équipements électriques contrefaits ou non conformes aux normes et réglementations en vigueur présentent un risque vital pour les usagers comme pour l’environnement.
PUBLICATIONS ET OUTILS
Lancement de la marque ELIE BT, l'installation électrique bien calculée
25 juin. 2018 Lancement de la marque ELIE BT, l'installation électrique bien calculée
Guide Sectoriel de Reporting RSE - Version 3 (FR et EN)
03 fév. 2017 Guide Sectoriel de Reporting RSE - Version 3 (FR et EN)
Please scroll down for the English versionLe guide de reporting RSE du Gimélec est le premier guide sectoriel à prendre en compte les nouvelles exigences de la réglementation française en matière de reporting extra-financier issues de la loi sur la transition énergétique et du décret paru e...
Guide technique destiné à la validation de gaz alternatifs au SF6 pour l’appareillage électrique
08 avr. 2016 Guide technique destiné à la validation de gaz alternatifs au SF6 pour l’appareillage électrique
T&D Europe, association européenne des constructeurs d’appareillage électrique haute et moyenne tension, a élaboré un Guide technique destiné à la validation de nouveaux gaz alternatifs au SF6 pour ces produits. Ce Guide, également valable pour d’autres applications comme les transformateurs,...
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EN VIDEO
Reporting RSE : un Guide sectoriel pour la filière de l’équipement électrique
ACTUALITES
Livre Blanc de Pacte PME : Faire émerger les champions de l’économie française de demain
23 mars. 2017
Livre Blanc de Pacte PME : Faire émerger les champions de l’économie française de demain
L’association Pacte PME, dont le Gimélec est membre, a publié le 22 mars 2017 son Livre blanc à l’usage des candidats à l’élect...
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Guide Sectoriel de Reporting RSE - Version 3 (FR et EN)
Guide Sectoriel de Reporting RSE - Version 3 (FR et EN) Please scroll down for the English versionLe guide de reporting RSE du... 03 fév. 2017
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Qui sommes nous ?
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Gimélec - Groupement des industries de l’équipement électrique, du contrôle-commande et des services associés
Siège
17 rue de l’Amiral Hamelin 75783 Paris cedex 16 France - Tél. : +33 (0) 1 45 05 71 36 - email : gimelec@gimelec.fr
Bureau de représentation à Bruxelles Belgique
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"
Compétences
efficacité énergétique, industrie du futur, ville durable, énergies renouvelables, data centers, smart grids, bâtiment intelligent, électromobilité, autoconsommation, économie circulaire, BIM, infrastructures du numérique, énergie, électricité basse tension, transformation des métiers, développement durable, environnement, normalisation, usine connectée, normalisation, marketing technique
"
&
https://search.lilo.org/searchweb.php?q=gimelec
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Gimélec — Wikipédia
"
Le Gimélec, ou Groupement des industries de l’équipement électrique, du contrôle-commande et des services associés, est un syndicat professionnel français qui ...
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gimélec
Né en 1971, le Gimélec est présidé par Luc Rémont, Président de Schneider Electric France 2. Il est membre de la Fédération des Industries Électriques, Électroniques et de Communication (FIEEC) et de la Coalition France pour l’Efficacité Énergétique (CFEE).
"
ndlr :
- dans une conférence (vidéo sur youtube), un représentant gimélec affirme qu'il est maintenant possible d'avoir une efficacité énergétique des machines électrotechniques (génératrices ou moteurs) sans faire appel aux métaux rares. Est-ce vrai ? retrouver la source de la vidéo et VÉRIFIER ACT
- /mots dans linkedin seuls "environnement, développement durable" puisé dans le champ de l'écologie mais mots passe-partout qui ne veulent STRICTEMENT RIEN DIRE :-( service minimum qui n'est PAS compatible avec PLPDLA => les questionner ACT
http://www.fern.org/
...
La biomasse doit être additionnelle pour offrir une « neutralité carbone »
Pour que la bioénergie contribue à réduire les émissions, le développement de la biomasse doit s’inscrire en complément de ce qui se serait produit sans l’utilisation de la bioénergie29.
Cela signifie que l’on ne pourrait considérer que la biomasse offre une neutralité carbone que si l’exploitation forestière n’augmentait pas et si le bois n’était pas utilisé à d’autres fins30.
C’est le principe d’additionnalité des ressources, qui implique que pour obtenir une neutralité carbone lors de la combustion de la biomasse, la matière première ne doit pas déjà exercer une fonction dans le cycle terrestre du carbone. Les matières premières autorisées incluraient donc les résidus des récoltes qui se seraient décomposés naturellement, les déchets qui auraient été autrement éliminés, la biomasse poussant sur des terres qui
ne séquestraient pas de carbone au préalable et n’étaient pas utilisées pour la production d’aliments, d’animaux ou de fibres, et les cas où la production de biomasse augmente le réservoir de carbone31.
...
Pour atténuer les effets du changement climatique, il est donc indispensable d’éviter les émissions résultant de la combustion du bois issu des forêts et de n’autoriser qu’une biomasse « additionnelle ».
La grosse consommation d’énergie annuelle d’un ménage est due à trois principaux « coupables » : le chauffage (qui peut aller jusqu’à 50 % de la consommation annuelle selon les saisons), le transport (environ 35 %) et la consommation d’électricité (10 à 15 %). Outre les dépenses que cela engendre, il en résulte aussi une production de CO2 d’environ 15 à 20 tonnes/an et par ménage. Solution ? Une source d’énergie renouvelable : l’hydrogène.
Maison à hydrogène : les concepts se multiplient
Tout d’abord, petit rappel : l’hydrogène est une énergie verte à condition qu’elle soit produite à partir d’énergies renouvelables. Mais ce combustible, qui ne rejette en principe que de l’eau, devient polluant si il est produit à partir de combustibles fossiles comme le pétrole. L’hydrogène peut être stocké dans une pile à combustible pour produire de l’électricité et de la chaleur grâce à un dispositif de conversion électrochimique.
Hydrogène
En dépit de ses inconvénients, comme le fait que ce soit difficile à produire, l’hydrogène peut offrir des perspectives positives pour notre consommation énergétique. Ce combustible tente à se développer au même titre que le solaire ou la géothermie. Même votre véhicule pourrait se convertir en véhicule hybride grâce à cette pile à combustible domestique !
L’hydrogène autour du monde
L’hydrogène fascine. La société ICI Chaudière a mis au point un concept de station d’énergie domestique mixte appelé Sideria 30. C’est une centrale à co-génération (électricité et eau chaude) qui peut fonctionner au méthane mais aussi à l’hydrogène, pour une efficacité totale de 80 %, coordonnée par une petite centrale de distribution intelligente. Ce prototype serait aujourd’hui fonctionnel dans un laboratoire de recherche et développement en Italie.
Au Japon, le Groupe Nippon Mitsubishi Oil a élaboré une petite pile à combustible à électrolyte polymère (PEFC) utilisable comme source d’énergie domestique. En fournissant 1kW, cette pile se révèle suffisante pour satisfaire une large part de la consommation d’électricité domestique d’un ménage !
Hydrofill
Et ce n’est pas fini. La société Horizon Fuel Cell Technologies fondée à Singapour, commercialise dès à présent une station domestique de recharge et de stockage de l’énergie à base d’hydrogène baptisée Hydrofill. Ainsi, il devient possible de stocker de l’énergie à la maison pour recharger les appareils électroniques portables.
Pour fonctionner, cette station à hydrogène vendue à 360 euros, n’a besoin que de l’eau et de l’énergie, fournie par le réseau, des panneaux solaires ou encore une éolienne domestique. Puis, de l’hydrogène est extrait du réservoir d’eau de la station et stocké dans des petites piles à combustible. Une heure est nécessaire pour recharger une pile de 12 Wh et de 90 grammes.
Hydrofill Horizon
Selon le fabricant asiatique, ces piles sont dépourvues de métaux lourds et sont stables. Pour l’instant, la société privilégie les faibles puissances avant de proposer des options destinées à des usages plus complexes comme les transports.
Ces innovations montrent que les alternatives énergétiques plus propres sont en pleine effervescence. Une chose est sûre, à terme, l’ensemble du secteur énergétique pourrait être interpellé par les piles à hydrogène…
Sur les énergies renouvelables
La rubrique Energies renouvelables
Pour tout savoir sur l’hydrogène, le dossier Energies renouvelables
Hydrogène, vecteur énergétique à potentiel
Tous les produits Economies d’énergie de la boutique consoGlobe
Les Jeux Internationaux de la Jeunesse (JIJ) sont un rendez-vous annuel organisé par l’Union Nationale du Sport Scolaire (UNSS) et l’Agence pour l’Enseignement Français à l’Etranger (AEFE). Lancés pour la première fois en 2011, ces jeux se sont successivement déroulés à Bordeaux (2011), Nice (2012), Rabat (2013), Singapour (2016) et s’invitent cette année du 12 au 16 juin à Vesoul. Ils ont la vocation de regrouper sur une semaine des compétitions sportives ouvertes à des lycéens du monde entier.
Relevant du programme éducatif « Jeux Olympiques et Paralympiques Paris 2024 », l’édition 2018 est une édition « 100 % nature » avec des épreuves comme le VTT, le canoë, la course d’orientation et la voile. Ces épreuves seront marquées par des valeurs fortes, propres aux JIJ, comme les rencontres, le partage, la culture, le sport.
Pour cette édition 2018, 300 lycéens issus de 27 pays et 52 lycées sont attendus pour prendre part à cette compétition.
Site des Mille Etang pour les épreuves de VTT
Un générateur à hydrogène : une grande première pour l’évènementiel
En partenariat avec EDF, impliqué depuis plusieurs années dans le développement de la filière hydrogène et en partenariat avec le comité d’organisation des JIJ, H2SYS a proposé une solution d’alimentation électrique « 0 carbone » pour permettre la mise en œuvre des épreuves sur des sites isolés. Après une première étude des besoins énergétiques liés à la manifestation, un générateur de 5 kW, équipé d’une pile à combustible et alimenté en hydrogène, a donc été choisi pour cette opération. Il alimentera en électricité la tente média et l’ensemble des dispositifs nécessaires pour la tenue des épreuves de VTT.
L’utilisation de générateurs à hydrogène pour l’évènementiel est une grande première en France. H2SYS travaille sur cette technologie depuis 2 ans et avait présenté plusieurs prototypes lors de différents salons professionnels, démontrant que la technologie était prête et pouvait servir d’alternative aux groupes électrogènes diesel utilisés jusqu’alors, bruyants et moins en phase avec l’objectif « 100% nature » de l’événement ».
La mise en œuvre de ce type de générateur pour un évènement public, avec utilisation de structures légères a nécessité une étroite collaboration avec le SDIS 70 et la Préfecture. Pour des raisons de sécurité, lors de toute manifestation, un dossier spécifique doit être présenté en amont faisant état des machines utilisées et des protocoles de sécurité mis en oeuvre. H2SYS a mis en œuvre toutes les procédures et installé les dispositifs techniques nécessaires pour assurer un très haut niveau de fiabilité et de sécurité à cette solution. La Préfecture a donc autorisé l’utilisation de ce générateur innovant pendant toute la durée des épreuves.
Cette première utilisation de l’hydrogène pour l’évènementiel marque l’avancée technique d’H2SYS dans le domaine des générateurs électriques du futur. Elle atteste également de l’engagement des pouvoirs publics dans la filière hydrogène, en pleine croissance. Grâce à l’hydrogène, l’impact carbone de la manifestation est réduit et le recours aux groupes électrogènes diesel pour cette édition des JIJ a été limité.
« Nos générateurs, silencieux, ne rejettent que de l’eau et s’inscrivent pleinement dans ces jeux « 100% nature ». Cette grande première doit permettre à d’autres festivals et évènements sportifs de choisir l’hydrogène pour l’alimentation des sites isolés électriquement et pour s’inscrire dans une démarche écoresponsable, résolument ancrée dans la transition énergétique. » indique Sébastien Faivre, dirigeant et co-fondateur de l’entreprise.
Générateur à hydrogène de 5kW prévu pour la manifestation
EDF, un acteur au cœur de la transition énergétique:
L’hydrogène est une thématique d’actualité qui occupe le devant de la scène dans les territoires, en France et plus largement en Europe, en raison de sa contribution à la production bas carbone de l’énergie. Plusieurs métiers du Groupe sont impliqués dans le développement de cette technologie. La R&D d’EDF et plus particulièrement EIFER, un institut de recherche franco-allemand, a acquis une solide expérience en participant, depuis plusieurs années, à des démonstrateurs hydrogène pour qualifier les technologies et comprendre les différents processus associés. En région, notre volonté est de nous impliquer localement dans des projets liés à la mobilité électrique, à l’industrie, mais aussi de contribuer à la valorisation d’expérimentations innovantes. Ainsi, un partenariat a été engagé avec la société H2SYS, basée au FC Lab à Belfort, pour promouvoir et participer financièrement à l’installation d’un générateur électrique à Hydrogène de 5 kW qui permettra une alimentation électrique à l’occasion des Jeux Internationaux de la Jeunesse 2018, en Haute-Saône.
Pour plus d’informations:
UNSS : Dominique Bouvet – Directeur départemental Haute-Saône – dominique.bouvet@unss.org
EDF : Marielle Selig – Chargée de communication – marielle.selig@edf.fr
H2SYS : Théophile Habermacher – Responsable communication – theophile.habermacher@h2sys.fr
ndlr : aussi surprenant que ça puisse paraître, rien n'est dit qui garantit que l'hydrogène est bien issu d'enr ! Ça ne vaut donc pas démonstration pour tenir une promesse ZÉRO CARBONE :-(
Stockez de larges volumes d’hydrogène dans les meilleures conditions de sécurité
L’accélération de la transition énergétique et l’adoption généralisée des énergies renouvelables entraîne une hausse drastique des besoins en terme de stockage d’énergie. Le vecteur hydrogène est une solution possible. Stocké sous forme solide il permet de valoriser les énergies renouvelables dans les meilleures conditions de sécurité.
McStore : une approche modulaire du stockage d’hydrogène sous forme solide
Depuis sa création, McPhy conçoit, produit et installe des solutions de stockage d’hydrogène sous forme solide.
Cette technologie unique offre de véritables atouts en termes de simplicité, sécurité et logistique. Compacte et simple d’utilisation, elle s’intègre aux systèmes hydrogène globaux de production, stockage et valorisation d’hydrogène.
En standard, nos modules sont composés de 12 bouteilles assemblées dans un cadre de stockage d’hydrogène solide d’une capacité de 8 kg.
Modulaires, ces stockages peuvent être montés en parallèle pour augmenter la capacité de stockage totale, et interfacés avec des équipements de production d’hydrogène pour répondre à tous vos besoins applicatifs.
Modules de stockage
Gamme McStore | Découvrez notre approche modulaire du stockage d’hydrogène sous forme solide
Voir le produit
FOCUS TECHNOLOGIQUE
Stockage solide : une simplicité d’installation et d’utilisation, dans des conditions de sécurité optimales
Créé en 2008 autour d’une technologie disruptive de stockage sous forme solide, initialement basée sur le magnésium et complétée aujourd’hui par des hydrures métalliques à basse température, McPhy dispose d’une expertise forte et unique sur le marché.
Pourquoi le stockage solide?
L’hydrogène ayant une densité d’énergie massique très élevée mais étant un gaz très léger, son stockage et son transport constituent de véritables défis. Le but des technologies de stockage de l’hydrogène est donc de réduire le volume naturellement occupé par l’hydrogène dans son état thermodynamiquement stable dans des conditions ambiantes.
Historiquement, les méthodes de stockage sont basées sur la compression et la liquéfaction, qui sont maintenant des approches établies et d’un bon rendement mais qui induisent des problématiques de sécurité et de coût associées à la compression et au refroidissement.
Fruit de plus de 10 années de R&D, McStore est un aboutissement des recherches liées au stockage sous forme solide.
La troisième alternative, très prometteuse, consiste à stocker l’hydrogène sous forme d’hydrures lesquels ont fait l’objet d’études intensives depuis de nombreuses années, offrant un stockage solide de l’hydrogène sécurisé et totalement réversible.
La technologie McStore by McPhy est un aboutissement de ces recherches.
Comparativement aux solutions « traditionnelles » de stockage haute pression ou sous forme liquide, la technologie McStore permet de valoriser les énergies de source renouvelable, tout en assurant :
Simplicité d’installation / intégration à l’environnement Client et d’utilisation : un produit “plug and play”,
Système complètement réversible (stockage/déstockage),
Parfaitement adapté aux fluctuations des énergies renouvelables (absorbe les variations de production d’hydrogène de l’électrolyseur),
Affranchissement des contraintes logistiques liées au transport d’hydrogène en cadres bouteilles,
10 ans sans maintenance lourde,
Niveau de sécurité maximal.
Multi applications, l’hydrogène stocké sous forme solide se destine aux secteurs de l’énergie, l’industrie ou la mobilité.
Le saviez-vous ?
Les hydrures métalliques à basse température ne sont pas une matière dangereuse !
Non inflammables, ils ne présentent pas non plus de réaction lorsqu’ils entrent en contact avec de l’eau.
Zoom sur une réalisation
INGRID
Démonstrateur au cœur des Pouilles (Italie) avec une solution de stockage solide McPhy d’une capacité totale de 750 kg.
voir la réalisation
Galerie
McPhy-Industrie-McStore
Voir
McPhy-history
Voir
McPhy-LaMotteFanjas-Plateforme
Voir
Vous avez un projet ?
Notre équipe est à votre écoute
et étudie avec vous les opportunités que l’hydrogène peut vous apporter.
Résumé de liens sur l'entreprise coopérative ETAMINE
« L’effet RECTO VERSO », ce système solaire complet offre des solutions aujourd’hui exploitable :
– Produire votre électricité, au même titre qu’une installation photovoltaïque standard,
– Aider au chauffage de votre maison, local, magasin, cabinet, …
– Rafraîchir ce même espace durant les nuits chaudes d’été,
– Assainir votre atmosphère intérieur,
– Produire votre eau chaude sanitaire GRATUITEMENT, pour la version RVOLT Odyssée.
Les marques partenaires :
Modules : SYSTOVI, SOLARWORLD
Structure : SYSTOVI
Onduleurs, optimiseurs ou micro-onduleurs : KACO, SMA, ENPHASE, SOLAREDGE
Nous travaillons en étroite collaboration avec :
– les services ENIDIS (ex ERDF) pour le raccordement des installations,
– le CONSUEL et l’APAVE pour l’obtention des certificats de conformité,
– la SMA BTP afin d’offrir à nos clients l’assurance d’une installation durable,
– la Fédération Français du Bâtiment afin d’être un acteur respectant les normes en vigueur,
Histoire
1999 début de l’aventure de l’énergie solaire pour Sébastien LANDAIS, fondateur-gérant d’INNO-WATT ENERGIES. Il suit depuis avec passion les évolutions techniques des énergies renouvelables pour les mettre aux services de nos clients.
2013, nouvelle étape avec la création d’INNO-WATT ENERGIES, basée en Mayenne à Argentré, cela marque notre attachement au territoire local et permet d’y exprimer notre passion du solaire.
...
reconnue au sein de la Fédération Française du Bâtiment (FFB) en tant que référent du GMPV (Groupement des Métiers du Photovoltaïque) pour la Mayenne et la Sarthe et membre de la commission technique.
Objectifs :
avec son expertise de 15 ans, recherche toujours le meilleur rendement économique des installations solaires grâce à un juste équilibre entre la performance technologique et l’investissement. Les secteurs d’interventions sont les suivants:
Puissance de 9 à 100 kWc en contrat de vente avec EDF OA
Puissance de 100 à 500 kWc en appels d’offre CRE
Auto-consommation, toute puissance
Auto-consommation et vente de surplus en contrat de vente avec EDF OA
Séchoirs en grange pour des puissances de 100 kWc
Optimisation de puissance sur centrales en service
Maintenance et dépannage toute puissance
Expertise pour les assurances, sinistres et préventeurs
Bureau d’étude, profil de consommation, dimensionnement électrique
PARTENAIRES
Les modules solaires :
Le Groupe SolarWorld est un des acteurs majeurs de l’énergie photovoltaïque, n°1 en Allemagne, plus grand fabricant européen de wafers, production UNIQUEMENT en Allemagne et aux USA, expérience industrielle de 35 ans..
Entreprise verticalement intégrée : de la matière première, le silicium à la livraison de kits complets
La structure porteuse :
SCHLETTER
La PME familiale fondée en 1983 par M. SCHLETTER se compose aujourd’hui de 1200 personnes pour une surface de production de 50 000m². Leader sur le marché européen dans le domaine de système de montages professionnels pour modules photovoltaïques. Montage des structures porteuses avec INNO-WATT ENERGIES.
Les onduleurs :
logo_SOLAREDGE
2006, création de SOLAREDGE, leader mondial dans le secteur des optimiseurs de puissance DC, propose des modules électroniques destinés aux installations photovoltaïques solaires. Le portfolio des produits SOLAREDGE comprend des optimiseurs de puissance, un portail web d’optimisation et de supervision au niveau du module ainsi que des onduleurs PV spécialement adaptés pour le travail avec les optimiseurs de puissance.
Les intervenants :
logo_AMISUN
AMISUN, basé en Mayenne possède une expérience de 10 ans sur le terrain et en bureau d’études photovoltaïque. Spécialiste de la maintenance électrique, du nettoyage des panneaux et du monitoring, AMISUN vous accompagne dans le suivi de votre installation. Cela garantit le bon fonctionnement du système dans le temps et sécurisent vos revenus.
Logo MEN
Mayenne Energies Nouvelles est convaincu que la prochaine révolution sera énergétique et qu’elle développera les territoires et l’économie locale. M.E.N. s’appuie sur la complémentarité des potentiels et des besoins pour vous aider à identifier et quantifier des solutions globales pour vos besoins électriques et, in fine, améliorer votre compétitivité. Après la mise en œuvre, un accompagnement d’amélioration continue est proposé.
Mentions Légales
Le Collectif Eco citoyen Ouest Angoumois, association de loi 1901, assure la diffusion de son site (ci-après dénommé le site Internet www.cecoa16.fr). Ce site Internet a été élaboré avec la volonté de vous apporter une information complète sur les problématiques avérées et éventuelles liées aux unités de méthanisation.
Siège Social
Le siège social de l'association est fixé à : 4 Chemin des Sources *16730 FLEAC.
Publication du Site*
Directeur de la publication et webmaster : CECOA.
Email de contact : cecoalesite@gmail.com
https://twitter.com/cecoa16
Hébergeur : One.com
Mission
Parler d’énergie, oui, mais pas n’importe comment. Il n’existe pas de solution purement technologique. Il faut remettre en question nos besoins sans cesse croissants, pas s’acharner à les assouvir par tous les moyens. Ne miser que sur la réduction des émissions de carbone nous enferme dans une logique de destruction continue des écosystèmes et d’épuisement des ressources.
Ce blogue est animé par Philippe Gauthier, écrivain, rédacteur spécialisé, traducteur et communicateur scientifique de la région de Montréal, au Québec.
Catégories
Agriculture et foresterie
Écosystèmes
Batteries et stockage
Changements climatiques
Histoire de l'énergie
Idées et références
Mobilité électrique et autonome
Pétrole
Ressources naturelles
Transition énergétique
Premier article le 15/02/2018
NDLR :
Dans https://energieetenvironnement.com/mes-positions/
dont
"
Transition énergétique: En dépit des efforts consentis, la transition énergétique est largement en retard pour 2050 et n’a pas réussi à réduire notre consommation de carburants fossiles. Elle se heurte non seulement à des problèmes d’attitudes et de financement, mais aussi à de réels enjeux techniques de stockage et de stabilité des réseaux. Le laisser-faire économique et les attentes de croissance soutenue nuisent aux efforts en cours. Nous allons lentement vers plus de sobriété énergétique, motivée non seulement par des pénuries, mais aussi par des prix plus élevés.
...
Changements climatiques : Les changements climatiques sont substantiellement plus rapides que prévu et laissent présager un réchauffement de l’ordre de 4 à 5 degrés d’ici la fin du siècle. Le gaz carbonique est le principal moteur de ces changements. En dépit de tout ce que l’on dit sur la « bombe méthane », les émissions de méthane de l’Arctique restent modérées et la principale source de méthane demeure l’industrie gazière. Les accords de Paris (COP21) reposent sur des hypothèses complètement irréalistes sur la possibilité de retirer massivement du carbone de l’atmosphère à l’horizon 2050.
"
même si la formulation de la dernière phrase est contestable, il est manifestement très proche de PRENDRE LE PARTI DE L'ANTHROPOCÈNE
=>
le contacter pour coopérer ACT
En décalage total avec le discours officiel, qui fait de la France l’un des champions de la lutte contre le réchauffement climatique, nous avons presque battu des records de hausse des émissions de CO2 en 2017. Parmi les grands pays européens, seule l’Italie a été aussi mauvaise. Elle a, comme la France, augmenté de 3,2% l’an dernier ses émissions de CO2 provenant de la consommation d’énergie. Les Allemands affichent, eux, un léger recul de leurs émissions (-0,2%). [...]
Le retour de la croissance est la vraie raison de ce surcroît d’émissions de CO2. Compte tenu des facteurs conjoncturels évoqués, la France fait figure de très mauvais élève au sein des pays développés, mais la tendance est bien la même partout. Elle est clairement à la hausse des émissions, avec un rebond de 2% pour l’ensemble des pays du G20, et de 1,8% pour la seule Europe. Ce rebond est lié à une consommation d’énergie fossile en hausse. La cause semble entendue : les émissions de carbone suivent la consommation d’énergie qui suit l’activité économique. Croissance du PIB et émissions de CO2 restent étroitement liées. Cela signifie, en clair, que l’objectif d’une croissance économe en énergie n’est toujours pas atteint, loin de là. Et ce malgré de louables efforts de développement des énergies renouvelables. Au niveau des pays du G20, la production d’électricité d’origine renouvelable a beau avoir augmenté de 80% depuis 2008, le recours au charbon et au gaz a progressé l’an dernier, après avoir plafonné entre 2014 et 2016. La forte croissance des besoins en électricité a contraint les électriciens à faire tourner à plein régime leurs centrales les plus polluantes.
Accord de Paris : les objectifs s’éloignent
Pour une fois, les Américains ne sont pas responsables. Ils sont les seuls à avoir réduit en 2017 leurs émissions de CO2 par habitant. Non pas en roulant moins, mais grâce à un passage du charbon au gaz pour produire de l’électricité. Pour autant, ils restent bien sûr les champions incontestés des émissions de CO2. Elles ont atteint l’an dernier 15,66 tonnes par Américain, soit 2,4 fois plus que pour un Chinois ou un Européen. À noter que pour la première fois, chaque Chinois émet plus qu’un Européen, la différence étant encore minime.
Certes modeste, la hausse de l’utilisation du charbon par les pays du G20 suffit bien sûr à remettre en cause les objectifs de lutte contre le réchauffement climatique. Rappelons que l’accord de Paris de 2015 prévoyait une réduction annuelle de 2,9% des émissions de CO2. Une réduction qui ne garantissait même pas la limitation du réchauffement à 2 degrés… Compte tenu de cette année 2017 désastreuse pour le climat, pour respecter cet accord de Paris et limiter le réchauffement à 2 degrés, * il faudrait désormais baisser les émissions de CO2 de 3,5% par an, d’ici 2050. On en est très loin. Bref, il y a de quoi sonner l’alarme.
Mots clés : Economie, Energie / Environnement, Réchauffement climatique, Accords de Paris, Co2, Consommation d'énergie
PROGRAMME
09H30 - 10h00 : Introduction
Nicolas Hulot, Ministre de la Transition écologique et solidaire
Jean-Luc Gleyze, Président du CD 33
Arnaud Leroy, Président de l'ADEME & de l'ONPE
SESSION :
10H00 - 10h15 : Accroche sur des histoires de ménages en situation de PE
10h15 - 10h30 : Présentation des avancées de l’ONPE
10h30 - 10h45 : L’évolution de la précarité énergétique (avec présentation des nouveaux indicateurs)
10h45 - 11h15 : Les principaux résultats de l’enquête ménages
SESSION : Table ronde : Les nouveaux instruments de politique publique contre la PE en France
11h15 - 12h30
Plan de rénovation et PE, chèque énergie, loi ELAN, etc
Atelier 1: LE Repérage
(quota 30 places – lieu : Hôtel du Département/Préfecture)
Format: Présentations & questions-réponses
Rapporteur: iSOLDE DEVALIèRE (ADEME)
13h45 - 16h
SESSION : Quelles bonnes pratiques de repérage des territoires?
Bonnes pratiques des CCAS (24)
SLIME / Repérage via le FSL (30)
Logiciel SOLIDIAG
Dispositif de repérage DEPAR sur l'agglomération de Chartes (28)
Dispositif les Locaux Moteurs (49
SESSION : Quels outils à destination des territoires?
Les stratégies territoriales de résorption de la PE
Atelier 2 : Dispositifs d’aide et mesures sociales
(quota 30 places – lieu : Immeuble Solidarité)
Format: Présentations & tables rondes
Rapporteur: eric malevergne (soliha)
13h45 - 16h
SESSION : Quels dispositifs d’aide innovants au sein des territoires
La gestion des impayés par le FSL 33
La conservation des allocations logements par la CAF 33
Le tiers-payant rénovation (54)
Aide à l'amélioration de la performance énergétique des logements (25)
La caisse d'avance de la rénovation thermique et de la transition énergétique (CARTTE, 33)
SESSION : Table ronde : Comment la précarité énergétique a pénétré l’action sociale ?
Atelier 3 : Accompagnement & travaux
(quota : 150 places – lieu : Hôtel du Département/Préfecture)
Format: Présentations & tables rondes
Rapporteur: Eric Lagandré (ANAH)
13h45 - 16h
SESSION : Les bonnes pratiques d’accompagnement des ménages par des territoires
Augmenter le reste à vivre des futurs habitants dans un projet de construction de logements abordables
Le SLIME Conseil Département 33 : un accompagnement renforcé et évalué
Programme ECORCE
Reste-à-charge du programme SOS Taudis de la FAP
Auto-réhabilitation par les Compagnons Bâtisseurs (33)
Dispositifs d'accompagnement et de sensibilisation des locataires
SESSION : Table ronde: « Faire avec les habitants »
Les OPAH et les PIG au service des collectivités
Atelier 4 : Sensibilisation & formation
(quota : 40 places - lieu : Hôtel du Département/Préfecture)
Format: Présentations & questions - réponses
Rapporteur: touria arab leblondel (cnfpt)
13h45 - 16h
SESSION : Quelles bonnes pratiques de sensibilisation ?
Opération de sensibilisation à la précarité énergétique, "les matinées précarité énergétique"
Retours d'expérience d'un bailleur social
Programme CIVIGAZ
SESSION : Quelles initiatives de formation sur la PE
MOOC Précarité énergétique
Guide pour les travailleurs sociaux
Stratégies de réception des ménages en PE
Atelier 5 : Mobilité & gÉolocalisation
(quota : 250 places – lieu Immeuble Gironde)
Format: Présentations & table ronde
Rapporteur: Pierre Taillant (ADEME)
13h45 - 16h
SESSION : Quelles initiatives sur la mobilité pour lutter contre la précarité énergétique ?
GéoVEHM, outil de géolocalisation de l'ONPE
Livre blanc du LMI
Plateformes de la mobilité (33)
Chèque co-voiturage pour les personnes précaires (75)
Précarité Énergétique en matière de Déplacements en Auvergne-Rhône-Alpes (69)
Diagnostic territorial et données de consommation
SESSION : Table ronde: Comment intégrer davantage les problématiques de mobilité dans les dispositifs de lutte contre la précarité énergétique ?
Atelier 6 : Santé
(quota 40 places – Lieu : Immeuble Gironde Egalité)
Format: table ronde
Rapporteur: pierre deroubaix (ademe)
13h45 - 16h
SESSION : Table ronde: quels impacts de la PE sur la santé et comment les prévenir ?
Coûts et bénéfices santé de la rénovation
Villages Santé Energie (07)
Sensibilisation des intervenants à domicile
Quand le logement rend malade (33)
Maladies environnementales émergentes (86)
Les métiers du CMEI (67;31)
CLÔTURE
16h10 - 16h40 :
Présentation de l’Observatoire Européen de la PE, Stefan Bouzarovski, Pilote de l'OEPE
16h40 - 16h55 :
Synthèse de la journée et perspectives, Jérôme Vignon, Vice Président ONPE
16h55 - 17h00 :
Clôture de la journée, Laure Curvale, Elue déléguée à la transition énergétique et la lutte contre la précarité énergétique, CD 33
ndlr :
- PE = précarité énergétique !
Créé en janvier 2013
...
On trouve donc au cœur des programmes du laboratoire les questions de la transition énergétique en cours et à venir, des énergies renouvelables, des hypothèses de pic ou d’épuisement des ressources, des dynamiques d’efficacité et de sobriété, des conséquences économiques, sociales ou cognitives des processus d’innovation et des questions de consommation et de précarité, entre autres.
Une conviction commune à tous les membres du laboratoire est que la réponse aux problèmes actuels et à venir en matière de climat et d’énergie ne peut se limiter à la mise au point de technologies spécifiques, aussi innovantes soient-elles, mais qu’elle doit prendre en compte les contextes dans la totalité de leurs éléments, c’est-à-dire aussi bien dans leurs fondements matériels que dans leurs dimensions sociales. Pour cette raison, le LIED se présente comme une unité de recherche tant fondamentale qu’appliquée, qui prend en compte chacune de ces questions de façon concrète dans des conditions qui appellent à la fois les interrogations des sciences humaines et sociales et l’expertise des sciences de la nature, physique et biologie en premier lieu. Dans chacun des domaines scientifiques concernés, le choix fait par les chercheurs du LIED est de remonter aux aspects fondamentaux des questions en utilisant, en améliorant ou en créant leurs propres outils disciplinaires. Si la résolution de ces questions résulte à terme en un processus d’innovation, la construction interdisciplinaire du problème permettra, en affrontant les enjeux sociétaux en même temps que les verrous scientifiques, de faire l’économie de la question d’acceptabilité ex-post des réponses technologiques et/ou institutionnelles proposées. Pour qu’une telle enquête soit possible, il est essentiel que sciences sociales et sciences de la nature soient impliquées et en dialogue à toutes les étapes de la recherche.
...
Son objectif est de progresser par des approches fondamentales dans la connaissance de certaines questions énergétiques en recourant à la collaboration de spécialistes de disciplines différentes, si possible, en particulier en joignant et faisant converger approches de sciences de la nature et de sciences sociales.
Chacun des chercheurs impliqués dans un programme interdisciplinaire l’est en effet au titre de sa propre discipline, dont il doit utiliser au mieux les ressources, et dans le cadre de laquelle sa production et sa carrière sont évaluées
...
ndlr : recherche de rapprochements entre disciplines
ENERPLAN organise la 5è édition des Etats Généraux de la Chaleur Solaire, à l’école de l’aménagement durable des territoires (ENTPE) à Vaulx-en-Velin.
Cet évènement fédérateur de la filière permettra d’échanger sur :
La nouvelle donne pour la chaleur solaire : autoconsommation compétitive, durable, et fiable. La chaleur solaire, un choix judicieux pour atteindre les nouveaux objectifs PPE
Une filière qui réduit l’empreinte carbone et crée de la richesse locale : territoires, éco-quartiers, réseaux de chaleur et intégration architecturale innovante
La chaleur solaire au service de l’économie bas carbone : quel positionnement, quel avenir, quels acteurs dans les quartiers, l’agriculture, et l’industrie ?
Les inscriptions seront bientôt ouvertes.
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Enerplan : Le Forum B - 515 avenue de la Tramontane - Zone Athélia IV -13600 La Ciotat - Tel : 04 42 32 43 20 - Fax : 04 42 08 44 94
NDLR : « Programmation pluriannuelle de l'énergie » (ou PPE)
Qui sommes-nous ?
La rédaction de LME est composée de journalistes et rédacteurs qui s’intéressent de près aux enjeux énergétiques du moment.
Directeur de la publication : Olivier Durin
Partenariats
Agence France-Presse
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Filiale du groupe EFFY, QuelleEnergie.fr première plateforme d’intermédiation entre professionnels rénovation énergétique & particuliers souhaitant réaliser des travaux d’économies d’énergie (isolation, chauffage performant, pompes à chaleur, photovoltaïque…)
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“The Spark! Contest” / étudiants et jeunes diplômés ayant étudié en Royaume-Uni ou en France, le concours Spark ! permet aux participants de développer leurs compétences et leurs réseaux, pour faire progresser leurs carrières, en travaillant avec des industries du secteur « clean energy » Franco-Britannique et avec les gouvernements des deux pays.
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Plateforme Think Smartgrids développer la filière Réseaux Électriques Intelligents (REI) en France & la promouvoir en Europe comme à l’international.
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Energies de la mer portail dédié à la filière des énergies marines et à l’éolien offshore, aux infrastructures…
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Blog de la start-up In Sun We Trust actualité internationale de l’énergie solaire dont panneaux solaires
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Clarifier, proposer et dialoguer sur les problématiques liées à l’utilisation rationnelle des énergies dans le bâtiment résidentiel et le tertiaire.
Site Fournisseur-Energie.com spécialiste reconnu de l’électricité et du gaz.
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Blog d’Eric Morel. Fondateur de Mach@Team, conseille les dirigeants du marché de l’énergie sur la transition énergétique et la convergence de l’énergie et du numérique.
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Énergie, choix, futur
Blog de Pierre Papon. Spécialiste de physique thermique, professeur honoraire à l’École supérieure de physique et de chimie industrielles et conseiller scientifique de futuribles international, Pierre Papon a été directeur général du CNRS et Pdg de l’IFREMER.
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Partenariats avec des salons :
Les Lighting Days regroupement de 3 événements internationaux leader en Europe dédiés aux technologies LED, à l’éclairage intérieur & extérieur Lyon
Email : contact@lighting-days.com – Site web : www.lighting-days.com
Onlylight salon de l’éclairage et de tous les usages de la lumière Lyon-Eurexpo
ndlr : on notera qu'il n'y a pas de partenaires du nucléaire, par exemple; La présentation du site est plus que sommaire. Tromperie ? ACT
Pierre Larrouturou a retweeté
Thibault Laconde @EnergieDevlpmt 31 janv.
Thibault Laconde a retweeté IRENA
Selon l'@IRENA, l'application de l'Accord de Paris pour les #renouvelables nécessiterait 1700Mds$ d'ici à 2030. Une autre façon de le voir : il suffirait d'allouer en 12 ans aux #EnR un tiers des 5300Mds$ utilisés CHAQUE ANNÉE pour subventionner les énergies fossiles.
Thibault Laconde ajouté,
IRENACompte certifié @IRENA
USD 1.7 trillion investment is needed by 2030 to implement the renewable energy targets contained in #ParisAgreement’s NDCs http://bit.ly/2jZUMEl #Renewables4Climate
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intégrer dans billet programme parti de l'anthropocène
ACT
L’Anthropocène : une nouvelle ère géologique pour le meilleur... et pour le pire ? / SOPHIE CHAPELLE
La fin de l’Holocène
« Nous ne sommes plus dans l’Holocène mais dans l’Anthropocène ! »,
lance le prix Nobel de chimie Paul Crutzen devant un parterre de scientifiques1
[1] Colloque du Programme international Géosphère-Biosphère à Cuernava (Mexique).
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La thèse la plus acceptée fait commencer l’Anthropocène à la fin du 18e siècle.
Paul Crutzen avance précisément l’année 1784, date du brevet de James Watt sur la machine à vapeur, et symbole du commencement de la révolution industrielle.
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Dans ces conditions, experts et savants vont-ils devoir prendre les commandes d’une planète déréglée ? « Une tâche redoutable attend les scientifiques et ingénieurs qui auront à guider la société vers une gestion environnementale soutenable à l’ère de l’Anthropocène », prédit Paul Crutzen.
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« Nous nous méprenons à jouer à Dieu avec l’avenir de notre planète », alerte l’économiste australien Clive Hamilton7. « Pour les vrais Prométhéens, réguler le climat d’aujourd’hui ne suffit pas.
L’objectif est de prendre le contrôle de l’histoire géologique elle-même. »
[7] HAMILTON Clive, Les Apprentis sorciers du climat : raisons et déraisons de la géo-ingénierie, coll. Anthropocène, Ed. Seuil, 2013.
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Une poignée de banques internationales se partagent le gâteau des énergies fossiles
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Des premières victoires grâce à une mobilisation citoyenne
qui va croissante
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« Pour empêcher que la température du globe n’augmente de deux degrés Celsius, les émissions de gaz à effet de serre doivent être réduites entre 40 et 70% d’ici à 2050 et dans presque leur totalité d’ici à 2100. Si nous ne changeons pas de modèle, nous risquons la famine, le manque d’eau, des déplacement de populations et de grands conflits ». Ainsi commençait l’intervention de Rajendra Pachauri à la conférence de Lima (COP 20: vingtième conférence de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques), alors Directeur du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC).
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[4] Si le but est d’éviter un réchauffement global de plus de 2oC on ne pourrait rejeter dans l’atmosphère que 565 gigatonnes de CO2. Cependant les réserves connues de gaz, de pétroles, de charbons représentent 2795 gigatonnes.
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trouvé à https://www.coredem.info/rubrique67.html
"Changement climatique", "gaz à effet de serre", "hausse des températures", "crise écologique", "transition énergétique"... autant d’expressions entendues au quotidien, que l’on s’apprête à entendre davantage, à maintenant deux semaines de la COP 21.
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Publié en trois langues et composé de 37 articles, ce treizième numéro de la collection Passerelle, éditée par Ritimo, sera présenté dans différents espaces de débats lors de la COP21.
Il a été coordonné par Ritimo dans le cadre de la Coredem (Communauté de sites ressources pour une démocratie mondiale), et en lien avec la dynamique de la Coalition Climat 21, dont Ritimo est membre.
Pour commander un exemplaire, 10 euros, contacter l’équipe d’animation de la Coredem : animation@coredem.info.
RAPPEL
Réseau des Acteurs de la Pauvreté et de la Précarité Énergétique dans le Logement
Le site du réseau RAPPEL permet aux visiteurs de se renseigner sur la précarité énergétique : ses causes et conséquences, de consulter des outils pour aider les ménages dans cette situation et de contribuer à améliorer la connaissance et la lutte contre le phénomène en participant aux forums et autres outils du réseau.
Inspiré du travail mené par les Britanniques depuis 20 ans, le concept de précarité énergétique a émergé lentement en France. La précarité énergétique peut se définir comme la difficulté, voire l’incapacité à pouvoir chauffer correctement son logement, et ceci à un coût acceptable. Sous cette définition relativement simple, se cachent des réalités très différentes, liées à des causes multiples.
Publié le 1 janvier 2000 - Dernière modification le 1 juin 2012
aide à la décision quotidienne pour réduire l'impact de notre vie sur le changement climatique
Jean-Marc Jancovici a réalisé un précieux inventaire, basé sur quelques ordres de grandeur faciles à calculer. J’ai classé les mesures par ordre de difficulté croissant quand au fait d’arriver « à s’y décider ».
Climat - environnement - droits humains
aider à identifier la banque à laquelle vous avez envie de confier votre argent et vous donnera des outils pour vous mobiliser afin de pousser les banques hors des énergies fossiles.
Le Collectif Paysages de l’après-pétrole formé en mai 2013, constitué en association en 2015, compte s’engager prioritairement dans la réflexion et le suivi de démarches paysagères concernant :
- un développement urbain soucieux des territoires et du bien vivre
- l’économie et les innovations énergétiques
- la mise en œuvre de l’agroécologie
Activités : MÉTHODE D’ACCOMPAGNEMENT DES TERRITOIRES
Le Collectif PAP a l’ambition de fabriquer des outils d’accompagnement et d’animation à destination des collectivités et des habitants, sur le croisement entre les transitions énergétique, écologique, sociétale… et les paysages. L’objectif est de trouver les meilleurs solutions et de rendre désirables et acceptables les transitions, via l’approche paysagère qui permet d’être plus efficace et de fédérer.
Comité de pilotage initial constitué par : Régis Ambroise (ingénieur agronome et urbaniste, expert auprès du conseil de l’Europe pour la Convention du Paysage), Laurence Ermisse (indépendante, experte en développement durable territorial), Sébastien Giorgis (architecte DPLG, paysagiste FFP, urbaniste SFU, paysagiste conseil de l’État), Yves Gorgeu (fondateur du réseau Paysage et urbanisme durable de Mairie-conseils), Xavier Guillot (École nationale supérieure d’architecture de Saint-Étienne, coordonnateur scientifique du réseau Espace Rural et Projet Spatial), Mathilde Kempf et Armelle Lagadec (architectes DPLG, urbanistes OPQU), Odile Marcel (philosophe, présidente de la Compagnie du Paysage), Vincent Piveteau (directeur de l’École nationale supérieure de Paysage de Versailles), Baptiste Sanson (ingénieur agronome, directeur du Centre Ecodéveloppement de Villarceaux) et Jean-Pierre Thibault (inspecteur général de l’administration et du développement durable).
contact@paysages-apres-petrole.org
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les informer de plpdlA ACT
initiative de l’Association négaWatt, regroupant des professionnels de l’énergie et des citoyens. Objectif le développement d’une politique énergétique fondée sur la sobriété et l’efficacité énergétique et sur un recours plus affirmé aux énergies renouvelables.
Contributeurs: Hespul, association référente pour toute question liée au solaire photovoltaïque.
Face aux enjeux majeurs que représente une véritable transition énergétique en France, ce site apporte une nouvelle contribution à la réflexion et au débat sur notre avenir énergétique.
Partager leur expertise afin de décrypter de nombreuses idées fausses ou idées reçues sur l’énergie, et plus spécifiquement sur la transition énergétique.
Au sein de ce site, la priorité est donnée à une information fiable, argumentée, chiffrée et dont les références sont systématiquement mentionnées. La finalité de ce site est de proposer une ressource de qualité pour toutes les personnes désireuses de mieux comprendre les problématiques énergétiques, qu’il s’agisse de décideurs politiques ou économiques, de citoyens, de journalistes, d’étudiants, etc.
Réalisation et financement
/nombreuses contributions bénévoles mais aussi par le soutien financier des adhérents, donateurs et mécènes de l’Association négaWatt dont les contributions régulières permettent à l’association de fonctionner en toute autonomie. Si vous souhaitez, vous aussi, contribuer financièrement au développement de ce site, rendez-vous sur la page Nous soutenir.
Dans le cadre de son fonds « 2 millions d’euros pour le climat », la Région Ile de France a également contribué financièrement à la réalisation de ce site.
LA PALEO-ENERGETIQUE : une contre-histoire de l’énergie
Ressusciter les techniques disparues, montrer la capacité d’innovation, revaloriser des innovations oubliées et une capacité d’innovation sociale, vernaculaire, décentralisée, inattendue.
Cette recherche se veut ouverte et souhaite faire appel à l’intelligence collective ainsi qu’à la capacité collaborative du numérique.
Nouveau guide pratique pour les collectivités territoriales. Du soutien au co-investissement : comment faire ?
accompagnement
CONCLUSION
L’implication des collectivités et des citoyens est une condition essentielle de la réussite de la transition énergétique, que ce soit via la production d’énergie renouvelable, la promotion de l’efficacité énergétique ou l’engagement dans une démarche de sobriété énergétique.
Les opportunités de production d’EnR mises en avant dans ce guide doivent donc s’intégrer dans un projet plus global et créer les ressources à mêmes de le financer. L’engagement des collectivités dans l’EnR participative est un marqueur fort. Il peut sembler hors de portée des acteurs locaux, notamment des petites communes, mais de nombreux exemples de réalisations prouvent que c’est possible et de plus en plus de dispositifs se mettent en place pour accompagner ceux qui s’engagent.
N’hésitez pas à contacter les structures et acteurs mentionnés dans ces documents : leur vécu est éclairant.
Saluons ici le rôle de l’ADEME et de nombreuses régions qui contribuent à soutenir ce mouvement.
Nous espérons que ce guide vous incitera et vous aidera à vous lancer dans cette voie. Elle n’est pas toujours simple. Cependant, en plus des aspects économiques, elle est toujours source de dynamisme, d’expérimentations démocratiques et de montée en compétence. Soulignons également la fierté que l’on peut en retirer en contribuant à préserver l’avenir de nos enfants !
ADEME Presse
Tel : 01 58 47 81 28 (ligne directe)
Email : ademepresse@havas.com
ndlr : donc l'ademe confie sa communication à havas... bug?!
Réduire la consommation d’énergie peut améliorer le confort de vie et créer des emplois : c’est ce que défendent les experts de l’association négaWatt et les auteurs du rapport Un million d'emplois pour le climat. Pour Mediapart, ils débattent quant à la manière de faire advenir la société de la transition énergétique.
Mots-clés : Climat démocratie emplois énergie negaWatt nucléaire Transition énergétique
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Julien Rivoire, militant syndical à la FSU, évoque les énormes besoins d'accompagnement
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Avec Michel Colombier, directeur scientifique de l'Iddri : quels sont nos intérêts communs ?
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Yves Marignac, porte-parole de negaWatt : accompagnement du changement, besoin d'une cohérence d'ensemble
Production d’électricité par filière
Le mix énergétique de l’électricité française est publié en temps réel grâce aux données issues de télémesures et d’estimations, ainsi que sous forme d’historiques. Sur cet écran sont présentées les filières de production nucléaire, gaz, charbon, fioul, hydraulique, éolien, solaire et Bioénergies. Ces informations sont complétées par deux rubriques : le pompage hydraulique et le solde imports / exports avec l’étranger. Possibilité d'afficher les données sur une ou plusieurs journées (jusqu'à 8 semaines).
i/1x le 12/12/16
essai de modif pour voir si ça change la date
résultat : NON ! ++