https://www.alumni-insa-lyon.org/actualites/chaire-alumni-insa-lyon-livret-2-2344
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Bonjour,
bravo pour ce livret qui décrit l'approche humaniste de l'INSA Lyon.
Agréablement surpris de constater un chapitre parlant de médiation :
"L’INGÉNIEUR·E MÉDIATEUR AU CŒUR DES INTERACTIONS SYSTÉMIQUES ET DU PILOTAGE DES PROJETS".
Dommage de ne pas avoir demandé l'avis de professionnels ingénieurs ET médiateurs. J'en connais au moins un qui pratique la médiation depuis 1996. En effet, je suis triste que vous succombiez à des amalgames comme d'associer médiation et négociation puisque le premier a une posture de tiers contrairement au second qui est partie prenante avec des intérêts à défendre. Le médiateur n'est pas là pour donner son point de vue, mais pour accompagner les parties prenantes dans le solutionnement de LEUR conflit et/ou la réalisation de LEUR projet, ou des deux entremêlés.
Dans le cas de situations ou projets complexes, le devoir du médiateur est de construire un vecteur ou une matrice médiation adaptée à la systémique de la situation ou du projet.
La médiation est un processus, assurément.
"gérer les tensions et conflits" est une approche managériale : le médiateur, lui, les accueille et accompagne leur solutionnement, c'est donc antinomique. De même pour "collaborer" : le médiateur accompagne la coopération faisant émerger dynamique de groupe, intelligence collective, etc.
L'éthique est partagée par l'ingénieur et le médiateur, mais ce dernier a une posture de tiers, son éthique est donc encore plus exigeante, notamment en mettant à distance ses propres points de vue. Par exemple, s'il est AUSSI ingénieur, veiller à ne pas empiéter sur les parties prenantes en donnant ses propres solutions à leur place.
Concernant la communication, le médiateur communique sur son rôle, sa fonction, la manière dont il s'y prend, etc. Il pose un cadre qu'il a en charge de tenir avec force et souplesse dans lequel il invite les parties prenantes à échanger entre elles de manière non-violente pour définir un objectif et un chemin qui les conduira vers l'atteinte de leur but. En cas d'impossibilité, le médiateur chemine avec le conflit en prenant les mesures conservatoires qui s'imposent pour prévenir le plus possible les débordements. Il peut être amené à interrompre la médiateur à tout moment en fournissant des explications aux parties prenantes.
La notion d'information est également importante : informer sur le processus de médiation, veiller à ce que les éventuelles controverses soient documentées avec impartialité. Veiller aussi à ce qu'il n'y ait pas de biais introduits par exemple dans le choix des experts ou autres éléments clés intervenant dans le processus.
Concernant la neutralité ce n'est pas un postulat (le médiateur EST neutre) ni une injonction (le médiateur DOIT être neutre), mais plutôt un point de vigilance intra-personnel et subjectif pour piloter sa posture de tiers-médiateur en sachant pourquoi et quand être neutre et pourquoi et quand ne pas l'être car il est des cas où c'est indispensable.
Quant à l'impartialité, autre point de vigilance, cela peut se quantifier (nombre de fois, durée, etc).
Conclusion : être EN MÊME TEMPS sur le même chantier, projet, service ou autre, ingénieur ET médiateur me semble incompatible avec l'éthique du médiateur qui peut exercer d'autant mieux sa fonction qu'il est INDÉPENDANT. La distance avec le sujet et le but est donc un avantage déterminant pour la réussite de la mission de médiation.
Peut-être une prochaine version bientôt ?
insaliennement,
JLP
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ndlr : commentaire publié en réaction à https://tools.immae.eu/Shaarli/mediationpourtous?yEMjeQ
L’INGÉNIEUR·E MÉDIATEUR AU CŒUR DES INTERACTIONS SYSTÉMIQUES ET DU PILOTAGE DES PROJETS - PAGE 20-21/32
Impliquer les parties prenantes le plus en amont possible dans les différentes phases du projet afin de prendre en compte les besoins, les idées, les critiques et attentes, avant d’engager des investissements humains et financiers importants. Qui est mieux placé qu’un utilisateur potentiel pour participer à la conception d’un système ?
Écouter, Communiquer et Former pour aller au-delà des impressions et prendre des décisions sur des bases scientifiques et rationnelles.
Collaborer en développant le travail en équipe et en apprenant à gérer les tensions et conflits souvent rencontrés dans ce mode de travail.
Être ouvert au monde et en veille pour se tenir au courant des évolutions sociales, technologiques, réglementaires, environnementales, et anticiper, préparer les changements pour un avenir souhaitable.
Expérimenter sans avoir peur de l’échec avant de développer car on ne peut pas tout modéliser lorsque les systèmes sont complexes. L’expérimentation permet de vérifier des hypothèses et de faire des choix pertinents. On apprend toujours de ses échecs.
Mais aussi oser aller contre l’avis général lorsqu’une conviction forte est soutenue par une approche scientifique rigoureuse et une démarche basée sur des valeurs éthiques.
LA MÉDIATION EST UN PROCESSUS DE NÉGOCIATION ET DE COMMUNICATION DANS LEQUEL LES PARTIES IMPLIQUÉES TRAVAILLENT ENSEMBLE POUR TROUVER UN ACCORD MUTUEL. L’INGÉNIEUR JOUE UN RÔLE CLÉ DANS CE PROCESSUS, EN AGISSANT COMME UN MÉDIATEUR NEUTRE ET IMPARTIAL.
L’ingénieur joue un rôle important en tant que médiateur dans la société moderne et dans ses développements futurs. Son travail implique la
conception, la planification et la mise en œuvre de projets technologiques complexes. Pour mener à bien ces projets, l’ingénieur doit être capable de
communiquer efficacement avec une grande variété de parties prenantes.
Les parties prenantes, leurs intérêts souvent divergents et en interaction systémiques, font la complexité de ce rôle de médiation.
Qu’entend-on par parties prenantes ? C’est l’ensemble des acteurs impactés par un projet, soit par leurs besoins soit parce qu’ils sont touchés ou
concernés par la mise en œuvre du projet. Cela va de l’équipe projet à la société et l’environnement en passant par l’entreprise, les actionnaires, les clients, les utilisateurs, les régulateurs …
L’ingénieur doit être capable de comprendre les besoins, les points de vue, les intérêts et les objectifs de chaque partie prenante, ainsi que les contraintes techniques, financières, réglementaires et éthiques associées au projet. Il doit ensuite être capable, en s’appuyant sur un collectif, de trouver un compromis acceptable minimisant les impacts négatifs tout en garantissant la bonne réponse aux besoins, la faisabilité technique et la rentabilité économique du projet.
Ce processus complexe est capital notamment dans le contexte actuel où c’est l’avenir de la planète et de nos sociétés qui est en jeu. Alors comment faire ?
Pas de solutions miracles mais quelques pistes en termes de pratiques.
- Impliquer les parties prenantes le plus en amont possible dans les différentes phases du projet afin de prendre en compte les besoins, les idées, les critiques et attentes, avant d’engager des investissements humains et financiers importants. Qui est mieux placé qu’un utilisateur potentiel pour participer à la conception d’un système ?
- Écouter, Communiquer et Former pour aller au-delà des impressions et prendre des décisions sur des bases scientifiques et rationnelles.
- Collaborer en développant le travail en équipe et en apprenant à gérer les tensions et conflits souvent rencontrés dans ce mode de travail.
- Être ouvert au monde et en veille pour se tenir au courant des évolutions sociales, technologiques, réglementaires, environnementales, et anticiper, préparer les changements pour un avenir souhaitable.
- Expérimenter sans avoir peur de l’échec avant de développer car on ne peut pas tout modéliser lorsque les systèmes sont complexes. - L’expérimentation permet de vérifier des hypothèses et de faire des choix pertinents. On apprend toujours de ses échecs.
- Mais aussi oser aller contre l’avis général lorsqu’une conviction forte est soutenue par une approche scientifique rigoureuse et une démarche basée sur des valeurs éthiques.
Dans de nombreux projets d’ingénierie, la collaboration est essentielle pour atteindre les objectifs du projet. Les ingénieurs doivent travailler
avec des équipes multidisciplinaires, composées de professionnels de différentes spécialités techniques et non techniques. L’ingénieur humaniste doit être capable de comprendre les enjeux et intérêts de chaque membre de l’équipe, et de faciliter la communication et la collaboration entre eux.
Les ingénieurs doivent également travailler en étroite collaboration avec l’ensemble des acteurs de la chaîne de valeur de l’entreprise :
les clients, les fournisseurs, les organismes réglementaires … qui ont des besoins et intérêts spécifiques. Les clients ont des exigences spécifiques en matière de fonctionnalités, de qualité et de délais de livraison, tandis que les fournisseurs ont, entre autres, des contraintes techniques et financières. L’ingénieur humaniste doit être capable de trouver les compromis qui répondent aux besoins des parties et de maintenir une communication claire tout au long du projet.
Dans les projets, il peut y avoir des conflits entre les parties impliquées. Ces conflits peuvent être causés par des différences de culture, des
intérêts divergents ou des priorités différentes. L’ingénieur humaniste doit être capable de gérer ces conflits de manière professionnelle et constructive, en travaillant avec les parties impliquées pour trouver une solution qui répond de manière équilibrée aux besoins de tous.
L’ingénieur est souvent perçu comme un expert capable de résoudre des problèmes techniques complexes. Son travail consiste à concevoir, développer et améliorer des produits, des systèmes et des infrastructures qui améliorent la qualité de vie des gens. L’ingénieur humaniste doit être conscient des limites de son expertise et de son travail, en particulier en ce qui concerne les impacts sociaux et
environnementaux de ses réalisations.
L’ingénieur est conscient des limites de la technologie elle-même. Les technologies peuvent offrir des solutions utiles pour résoudre des problèmes, mais elles peuvent également avoir des impacts négatifs imprévus en termes de risques potentiels pour la santé et la sécurité des travailleurs. La technologie ne peut pas tout résoudre, l’ingénieur humaniste doit exercer son jugement en pleine conscience de ses limites afin de ne pas tomber dans la fuite en avant technologique.
Conscient des limites de ses connaissances et de ses compétences, il travaille en collaboration avec d’autres professionnels, tels que des scientifiques de l’environnement, des écologistes et des spécialistes en sciences sociales, pour s’assurer que ses conceptions sont durables
et répondent aux besoins de la société dans son ensemble. Il doit être capable de remettre en question les normes et les pratiques courantes pour explorer de nouvelles approches plus durables.
Pour le document complet, voir https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?8aSG4A
Ndlr : Commentaire publié en copie à https://tools.immae.eu/Shaarli/mediationpourtous?lf7sGQ
Dénoncer :
- ingénieur, comme un médiateur : NON. Être pleinement ingénieur. Par moment, parce que ça a du sens, faire un pas de côté et jouer un rôle de tiers médiateur.
- plus loin "L’ingénieur joue un rôle important en tant que médiateur" : NON. On ne peut pas mettre un signe égal entre INGÉNIEUR ET MÉDIATEUR. Comme tout être humain, s'il a travaillé sur lui suffisamment, il PEUT être un tiers pour les autres.
- "l’avenir de la planète" : NON. L'avenir de la VIE SUR TERRE et notamment celle des ÊTRES HUMAINS.
- Conclusion : chapitre plein de bonnes assertions. Mais en matière de médiation, LOIN DU COMPTE. Faire appel à des médiateurs, des chercheurs en médiation, aurait pu grandement améliorer la formulation, le sens et le respect des fonctions ingénieur et médiateur. A votre disposition pour le faire si vous souhaitez apporter des corrections à cet intéressant chapitre qui confirme les choix de JLP faits en 2016.
Les conflits et les tensions sont deux mécanismes très différents, mais les conflits engendrent des tensions et les tensions mènent au conflit…
...
les travaux les plus récents de sciences comme les neurosciences, les sciences cognitives, la psychologie sociale, l'anthropologie ou encore la théorie des jeux ont ouvert de nouvelles pistes. Pour ce cours, nous nous appuieront sur de nombreuses expériences que ce soit sur les méthodes de résolution de conflit hawaïennes ou "l'art de la mémoire" utilisé depuis l'antiquité, en les adaptant à notre culture grâce à une compréhension plus profonde apportée par les sciences.
Les solutions pour sortir des conflits et des tensions sans stress ne sont pas difficiles à mettre en œuvre mais elles sont particulièrement contre-intuitives, c'est ce qui explique que si peu de personnes sachent les utiliser. C'est pour cela qu'il est fondamental dans un premier temps de comprendre en détail les mécanismes des conflits (qui sont un problème rationnel d'intérêts opposés) et des tensions (qui sont un mécanisme inconscient et irrationnel dicté par notre système de survie). Cette compréhension nous permettra de proposer des méthodes simples et efficaces adaptée aux différents cas de figure que vous pourrez rencontrer.
Contenu de la formation
- Introduction Distinguer les conflits des tensions et une petite astuce pour vous aider à suivre votre formation… même si vous manquez de temps !
- Module 1 : Gérer les conflits
- Module 2 : Comprendre les tensions
- Module 3 : Gérer les tensions
- Conclusion
. Petit résumé sur les conflits et les tensions avec un questionnaire d'autoévaluation pour vous aider à identifier ce que vous avez assimilé et ceux que vous pourriez revoir
. Pour aller plus loin : trois cadeaux pour vous aider à organiser votre groupe afin de réduire naturellement les conflits et les tensions mais aussi d'y développer la participation et les résultats sans y passer trop de temps
Ce que vous obtenez avec votre formation
- Vous accédez à un site privé 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7
- Vous avez un accès à vie au programme !
- Vous recevrez trois cadeaux en bonus à la fin de la formation pour vous permettre d'aller plus loin
Ndlr : amélioration ? approfondir ACT
Encadré par le directeur du CAJ et la responsable du secteur "social et familial" vous accompagnerez les trois conseils citoyens d'Angoulême : Bel Air/Grand Font, Basseau/Grande Garenne, Ma Campagne.
- Aider à repérer le réseau d'acteur institutionnels et associatifs ;
- Accompagner dans la mise en place d'actions de sensibilisation, de qualification et de diffusion d'information ;
- Assurer la médiation lors des conflits opposants les membres entre eux ; veiller à la qualité des échanges ;
- Être garant du respect des principes de fonctionnement du conseil citoyen ;
- Soutenir le conseil dans la recherche de financements, dans son travail de production collective ;
- Rapporter les situations problématiques pour que le conseil puisse s'en emparer ;
- Prise de notes, rédaction, approbation des compte-rendus ;
Dans le cadre d'un contrat adulte relais : à compétences égales, priorité sera donnée aux 30 ans et plus ET sans emploi ET résidant en Quartier Prioritaire de la Ville
Profil souhaité
Expérience 1 an - médiation socialeCette expérience est indispensable
Savoirs et savoir-faire Accepter la critique, la remise en question Cette compétence est indispensable ; Aptitude à travailler en réseau Cette compétence est indispensable ; Devoir de réserve Cette compétence est indispensable; Etre neutreCette compétence est indispensable ; Maîtrise outil informatique Cette compétence est indispensable ; Accueillir les personnes ; Analyser la situation et les besoins de la personne ; Contribuer par une démarche de médiation à la résolution de situations conflictuelles ; Établir des contacts avec la population locale de la zone d'affectation et promouvoir les initiatives de réunions de concertation ou de consultation, ...Organisation du système sanitaire et social ; Organiser les modalités d'intervention de médiation sociale (lieux, stratégie d'action, consignes, ...)
Savoir-être professionnels
Capacité d’adaptation ; Sens de la communication ; Force de proposition
Entreprise CLUB AINES ET JEUNES LA GRAND FONT 20 à 49 salariés
Fait suite à https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?72UfYg
Pour Luc Rouban, directeur de recherche au CNRS, les intercommunalités sont au cœur de la tension française entre le besoin de démocratie, de proximité, et la logique budgétaire.
Cet article est à retrouver dans le magazine n°1199 à https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?KFLqBg
"
... un système très complexe de coopération intercommunale s'est constituté à partir des années 1970 création d'un échelon supérieur à compétences très larges ... loi Notre de 2015 ... instances de gestion assez opaques ... vue comme le symbole d'une reprise en main des communes par l'État ... dépossession ... mixité sociale forte ... des administrés de plus en plus consuméristes ... la crise des gilets jaunes déclenchée par une rupture de la chaîne de solidarité. ... démocratie de proximité tournait à vide. Avec un pouvoir qui s'était bureaucratisé, éloigné. On était au coeur de la fracture dans l'anthropologie politique française, une anomie qui crée la violence, la colère, la peur.
Comment remédier à cette perte de sens ?
contradiction entre deux logique de décentralisation. Des maires compétents sinon hiérarchise les collectivités. ... logique budgétaire mais pas achevée ... pb des départements explosif ... sentiment de gâchis ... rééquilibrer cette tension ... /GJ contre logique purement économique au profit démocratie de proximité.
"
Ndlr : pas d'allusion au fait que le citoyen n'élit pas de réprésentants à l'interco. Terme "démocratie de proximité" qui évite d'évoquer la "démocratie directe" ? ACT
Vous trouverez dans ce guide :
Un état des lieux détaillé des vulnérabilités de notre système alimentaire, depuis les champs jusqu'à nos assiettes (et vice-versa !)
Une liste d'indicateurs et d'outils pour diagnostiquer la résilience alimentaire de votre territoire
Des leviers d'actions pragmatiques et réalistes à disposition des collectivités, tenant compte de leurs compétences réglementaires et de leurs contraintes politiques et budgétaires
De nombreux exemples concrets de projets ambitieux, déjà mis en œuvre à travers la France et au-delà
Des conseils méthodologiques pour structurer, animer et financer un projet de résilience alimentaire territorial
->
https://resiliencealimentaire.org/wp-content/uploads/2020/02/Rapport-LGA-V1.pdf
dont
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p39 3. - table. Il est facile d’imaginer des systèmes à la fois très résilients et socialement défaillants, reposant sur diverses formes d’inégalités et d’exploitations. La recherche d’une meilleure résilience ne se substitue pas à l’impératif de « soutenabilité », ni à un objectif éthique de justice et d’équité.
Objectif \zéro artificialisation NETTE ndlr : ajouter NETTE veut dire qu'on s'autorise la poursuite de l'artificialisation, mais qu'elle va être COMPENSÉE : N'est-ce pas illusoire ? ACT
Silos, moulins, laiteries... Pas de résilience alimentaire sans possibilité de traiter localement la production
...
En Charente, la SCIC Terres en Chemin propose des outils pour mettre en réserve les terres agricoles quand un fermier part à la retraite. La SCIC prend le fermage des terres à la suite du fermier précédent, et les entretient en attendant de céder le bail. Crédits : © Terres en Chemin. ... 133 Le code général de la propriété des personnes publiques (CG3P) précise leur définition (art. L. 1123-1 du CG3P) et les modalités de la procédure d’appréhension des biens « présumés » sans maître (arts. L. 1123-3 et L. 1123-4 du CG3P). ... société coopérative civile immobilière (SCCI), ou prendre des parts dans une foncière telle
que Terre de Liens. Elle peut sensibiliser les habitants à l’utilité de ce type d’épargne
...
Les espaces-test agricole sont des outils visant à faciliter la création d’une entreprise agricole par des porteurs de projet souvent non issus du monde agricole. Ils mettent à disposition des candidats un cadre légal d’exercice, des moyens de production (foncier, matériel, bâtiments) et un dispositif d’accompagnement technique et administratif. Ils peuvent être mis en place par les collectivités sur des sites éphémères ou permanents, ou par des agriculteurs sur une petite portion de leurs terres 134.
... En France, c’est près d’un logement sur dix qui est vacant 147, sans prendre en compte les résidences secondaires !
... Les collectivités françaises sont très loin de l'objectif "zéro artificialisation nette" (ZAN) pourtant fixé comme objectif par la Commission européenne en 2011 150 et inscrit dans le Plan Biodiversité de 2018 151. ... phénomène de rétention foncière ... passée de 8 300 m² par habitant en 1930 à 4 400 m² en 2017 154. (Besoin de ~4 000 m2/habitant ...conserver un maximum de surfaces agricoles productives vital ... L’importance agronomique de ces ressources pour la fertilité des sols (apport de matière organique) est cependant susceptible de conduire à des conflits d’usage ... faire diminuer la place du maïs dans l'assolement, au profit d'autres cultures directement valorisables en alimentation humaine et plus résistantes aux conditions estivales sèches (blé, tournesol, millet, sorgho...) ... Semis direct sous couvert ... 237
... P160 ... Le concept de "dialogue territorial" peut être mobilisé pour gérer les problématiques liées à la concertation ou à la médiation des conflits408. Les collectivités peuvent s’inspirer des travaux se référant à cette notion pour mettre au point leur propre modèle de gouvernance et faciliter sa conduite. ... coconstruire ... projets ...
"
p13 : /voies de résilience, il est omis une approche intégrée incluant l'agroforesterie :-(
La laïcité n'en finit décidément pas de faire débat. Deux regards s'affrontent à la Ligue de l'enseignement, organisme chargé de former les jeunes du SNU à ce principe.
...
Selon nos informations, son vice-président délégué en charge de la laïcité, Jean-Paul Delahaye, par ailleurs ancien directeur général de l’enseignement scolaire et proche de Vincent Peillon, vient de démissionner. Lui se situe sur une ligne plus républicaine, « équilibrée », comme il la nomme, et s’oppose à l’orientation que tient son président, Joël Roman, tenant d’une laïcité plus communautariste.
Parmi leurs sujets de controverse, une note de la Ligue au sujet du service national universel (SNU) – dont les jeunes participants pourraient être encadrés par les membres de la fédération. Ce texte dit en substance : « Il ne faudrait pas qu’une approche trop interdictive nourrisse une nouvelle fois des logiques d’objection de conscience […]. Ceci aboutirait à des exclusions de fait de toute une partie de la jeunesse. » Une prise de position en désaccord avec les convictions de Delahaye, qu’il juge « complaisante à l’égard de revendications identitaires », et qu’il dénonce dans un mail adressé au président pour annoncer sa démission.
La médiation ou les avatars d'une catégorie d'action publique : Les agents de ‘‘médiation'' en action
Jacques De Maillard 1
1 Pacte, Laboratoire de sciences sociales
Résumé : des activités labellisées « médiation sociale » se sont multipliées ces dernières années. Plus précisément, des agents dits de médiation sociale, employés par des bailleurs, des transporteurs, des municipalités ou des associations ont connu une croissance considérable. Cet article, appuyé sur une recherche portant sur ces agents, dont l'appellation administrative était « agents locaux de médiation sociale », tente de préciser les raisons de cette montée en puissance, mais surtout met en évidence les difficultés, barrières et incertitudes, dans l'exercice de cette activité de médiation.
Mots-clés : insécurité ; médiation ; métiers ; banlieues
->
...
Dans un parallélisme frappant avec la médiation pénale, troisième voie entre classement sans suite et poursuite, la médiation sociale s’inscrit donc dans la volonté de promouvoir des solutions échappant à l’alternative entre traitement policier et travail social, entre répression et prévention, en évitant le recours à une sanction imposée tout en favorisant une responsabilisation des personnes en conflit.
Dès lors, on aimerait ici examiner une question simple : est-il possible de dire que ces activités qualifiées de « médiatrices » s’inscrivent dans ce que l’on peut appeler des activités de médiation ? Est-ce que le nom recouvre la substance ? Nous verrons assez rapidement que la réponse est plutôt négative, ces agents font autre chose que de la médiation, que l’on peut définir comme «
un processus consensuel et non décisionnel au cours duquel un tiers impartial et indépendant a pour mission d’établir les conditions d’une communication entre les opposants afin qu’ils recherchent eux-mêmes une solution à leur différend » (Faget et Wyvekens, 2002, p. 396).
Ils ont du mal à se positionner en tiers neutre, aidant à la résolution des conflits. Les raisons à cet état de fait sont multiples, elles tiennent à la difficulté qu’ils ont à mobiliser les compétences nécessaires à l’exercice de l’activité de médiation mais elles proviennent également du rôle qui leur est attribué par les professionnels, les organisations ainsi que par le public avec lequel ils sont en relation. Ces agents cherchent à se bricoler une place dans les espaces sociaux, territoriaux et professionnels mais vivent difficilement les tensions qui sont
au cœur de l’activité de médiation.
...
resitué dans un contexte social plus général, et notamment les tensions d’une France fragmentée, tensions qui contribuent à rendre instable la définition de la médiation sociale.
...
3.2. L’immigration comme rétroaction et contradictions.
En fait, l’immigration s’inscrit dans le contexte des quatre rétroactions de base par lesquelles le Second Monde, champion du Réel, réplique à la Globalisation, propagatrice de virtuel.
Rétroactions qui, à travers elle, vont s’introduire au cœur même de la Société des individus, comme autant de dissonances fondamentales.
Ainsi, on constate que V 2 démarre précisément au moment (la deuxième moitié des années 70) où le Rebond asiatique R 1 (l’avènement de Deng Xiao Ping en 1978 ) et la Rente pétrolière R 2 (les deux « chocs » de 1973 et 1979) sèment, chez nous, les graines de ce qui va devenir un chômage de masse : les immigrés arrivent au moment où vont partir les emplois...
La deuxième vague importe aussi avec elle les différentes formes de Rente illégale R 2, fortement corrélées à l’immigration (trafics d’êtres humains, travail au noir, fraude sociale, commerce de drogues), dans une société se voulant transparente et se croyant à l’abri de la délinquance systémique.
À majorité musulmane, V 2 se relie également à la rétroaction du Refus R 3, qui a pareillement commencé à monter en puissance à la fin des années 70 (révolution iranienne, siège de la mosquée de la Mecque, invasion soviétique de l’Afghanistan), avec l’appui financier de la Rente pétrolière R 2 et, comme résultat, la transplantation massive d’une religion, en tous points exotique, dans un milieu français radicalement sécularisé.
Enfin, une bonne partie de ces flux humains émanent des « trous noirs » qui expriment la rétroaction du Rejet R 4, aux antipodes d’une société qui, comme la nôtre, s’auto-proclame « avancée ».
Mais, surtout, la deuxième vague, provenant de pays anciennement colonisés, porte en elle le ressentiment R 5, né d’un siècle ou plus d’humiliation ravalée. C’est là la dernière incohérence – mortelle celle-ci – d’une immigration, qui se met en branle vers l’ancienne métropole, à l’instant où la décolonisation vient d’établir un constat de divorce irréversible entre les deux parties.
En bref, V 2 présente toutes les caractéristiques d’un effet boomerang multiforme, typique du retour de l’Histoire Événement, qui va reproduire en abyme, sur le territoire français, la marmite dysfonctionnelle du monde globalisé.
C.-à-d. une plate-forme, où des flux, politiquement non contrôlés, amènent à se heurter, en désordre et à contretemps, des configurations de l’être ensemble et des contenus culturels, qui « logiquement », selon l’Histoire Évolution, auraient dû se succéder dans le temps, sans se télescoper dans l’espace, mais qui vont, là, entrer dans des collisions anachroniques – au sens littéral – pour se disputer le pouvoir sur un même territoire.
3.3. L’hégémonie de la Société des individus en toile de fond.
Pour être complet, il faut garder à l’esprit que tout ce que je viens de décrire est soumis à l’emprise de la strate dominante S 3, dont la moulinette ravageuse n’épargne personne : les immigrés pas davantage que les autochtones, ne serait-ce qu’à travers la décomposition, subie par tous, de la communauté naturelle de base qu’est la famille ou la néo-religion partagée de la consommation. De sorte qu’il serait plus juste de parler de néo-communautarismes et de néonationalismes, plus ou moins déglingués, mais néanmoins tenaces, par rapport aux idéaux types que j’ai décrit il y a quelques instants, dans une société que tout le monde s’accorde à considérer, par ailleurs, comme fragmentée ou, selon l’expression à la mode, archipelisée.
... distance « culturelle » ... déconstruction de l’État national ... commensurable / incommensurable ...
Chez S 3, en revanche, la commensurabilité se veut, d’emblée, universelle, grâce au « doux commerce », c.-à-d. aux mécanismes horizontaux d’équivalence et de conversion généralisées que j’ai déjà mentionnés : le marché (qui, par la monnaie, fixe un prix à toutes choses désirées, y compris celles qui n’en ont pas...), le juridique (qui ramène l’ensemble des rapports sociaux à la réciprocité des droits et des contrats entre sujets égaux) et la communication (dont le dénominateur commun, le mot transformé en « bits », est supposé arrondir tous les angles...).
La seule exception à cette identité universelle est la « diversité », soit le miracle par lequel la différence ne produit jamais de conflit : présentée comme une richesse, la diversité recouvre en fait l’idée que les particularités humaines ne sont que superficielles, décoratives et touristiques, et que, loin de créer de la distance entre les hommes, elles les rapprochent.
Avec cette conséquence que, s’il persiste de l’incommensurable et de l’incompatible dans la société, ils ne peuvent résulter que de la malveillance humaine, en l’occurrence celle, résiduelle, des nostalgiques de l’État national, au besoin qualifiés de « racistes », et des discriminations qu’ils s’obstinent à vouloir perpétuer : il suffit de combattre inlassablement ces dernières ou, en d’autres termes, de pratiquer un « antiracisme » militant à très large spectre, pour que l’écart culturel s’efface de lui-même.
4.2. L’effet de seuil, une évidence devenue tabou.
Le mot barbare de scalabilité, emprunté à l’anglais et au langage de l’informatique, recouvre l’idée simple qu’une grandeur peut augmenter en quantité sans que sa qualité en soit affectée, autrement dit qu’elle échappe plus ou moins aux effets de seuil.
Il est clair que l’immigration massive à fort écart culturel n’entre pas dans cette catégorie ...
association socio-judiciaire, créée en 1998. Les champs d’intervention de l’AEM sont multiples:
– Mesures socio-judiciaires pénales
– Prévention de la délinquance
– Individualisation des sanctions
– Développement des mesures alternatives (stages)
– Mesures socio-judiciaires civiles
– Résolution amiable des conflits
– Accès aux droits
– Soutien à la parentalité
L’AEM dispose de personnels juristes, médiateurs, psychologues, travailleurs sociaux et de personnels administratifs.
L’AEM est présente dans plusieurs département de France où elle est habilitée par les Cours d’Appel et les Tribunaux de grande instance:
NORD-EST: l’Oise, la Somme, l’Aisne, la Meuse, la Haute Marne, la Saône et Loire.
OUEST: Ille et Vilaine, Charente-Maritime, Charente.
SUD OUEST: Gironde, Landes.
Chaque antenne de l’association a vocation à mettre en œuvre l’ensemble des missions proposées par l’Association.
L’AEM travaille également en lien étroit avec les CAF, les Conseils Départementaux, les Préfectures, et les collectivités locales.
Directeur Général Mr CASOL José.
Président Mr GOISLOT Alain
Siège social 26 rue Voltaire, 60100 CREIL ✆ 05 47 80 81 31 – ✎ siegesocial@assoaem.org
AEM 16
04 rue Carnot 16000 ANGOULÊME ✆ 05 17 20 01 67 – fax: 05 45 69 80 79 - ✎ aem16@assoaem.org
La Maison des Peuples et de la Paix, Réseau de 40 associations a été interdite de séjour dans un lieu en coeur de ville qu'elle occupe depuis 35 ans pour des raisons de sécurité.
Elle demande que des travaux soient engagés et, qu'en attendant, elle soit relogée en Centre ville .
[ 991 participations ]
Pétition mise en ligne le 11 septembre 2019
Proposée par Cyberacteurs
En partenariat avec Toutes les associations du réseau
Elle sera envoyée à Xavier Bonnefont, Maire d'Angoulême, Jean-François Dauré Président du Grand Angoulême , Alain Rousset, Président de la région NA, Mme Lajus, Préfète de la Charente.
Elle prendra fin le : 11 décembre 2019
La MPP est un réseau associatif, avec un format très rare en France, qui a été créé il y a plus de trente ans dans un contexte local marqué par une forte volonté municipale de soutien au monde associatif. Elle était alors formée d''une vingtaine d'associations, dont une dizaine représentait les communautés étrangères, trois ou quatre étaient des associations de solidarité avec le Tiers-Monde, autant étaient des associations de défense des Droits de l'homme, et une avait mis au coeur de son action l'anti-militarisme.
Toutes ces associations se regroupent autour d'une Charte dans laquelle sont reprises toutes les valeurs que nous souhaitons défendre sans relâche.
Aujourd'hui, ce réseau est composé de 40 associations :
Les Associations Adhérentes Actives
- AADMIE-resf16
- Amnesty International : Association internationale de lutte pour la défense des droits humains.
- APM - A Portée de Main : A.P.M contribue à l'amélioration des conditions de vie des populations vulnérables. Pour cela, A.P.M travaille sur 4 axes
- Asso. Transféministe de Charente
- ATTAC 16
- Bac à Sable : Le Bac à Sable a pour but d'organiser des expositions, projections, concerts, performances, sur le secteur d'Angoulême.
- BAOBAB : a pour but de promouvoir et de défendre les droits des étrangers et de leur famille dans le respect des droits fondamentaux.
- Charente Palestine Solidarité
- Chorale Bab Elzamaana : Bab Elzamaana, c'est le nom que se sont choisis les membres de ce groupe vocal, unis par une belle harmonie pulsée, épicée, engagée.
- Collectif A : La volonté du collectif est de créer une plate-forme de questionnements et d'expérimentations autour du continent africain et ses tribus.
- Collectif Hardpörk'n'Prod : Le collectif Hardpörk'n'Prod a pour objet de soutenir et aider les groupes de musiques alternatives dans leurs démarches de diffusion, de promotion et de production discographique.
- Collectif la Charente se bouge pour la planète
- Collectif Vigilance OGM et Pesticides 16
Le collectif vigilance OGM de la Charente agit pour la protection de l'environnement, la préservation de la biodiversité et la sécurité alimentaire. - Cyclofficine d'Angoulême : La Cyclofficine d'Angoulême est un atelier associatif participatif et autogéré de réparation de vélos. Leur but est de favoriser la pratique du vélo au quotidien par l'échange des savoir-faire autour de la mécanique vélo et le réemploi de pièces vélo inutilisées.
- Fédération des CIGALES : Les CIGALES (Clubs d'Investisseurs pour une Gestion Alternative et Locale de l'Épargne Solidaire) ont pour objectifs aussi de promouvoir les finances solidaires... et d'accompagner à la création de nouveaux Clubs.
- Femmes Solidaires
Une association de bénévoles qui organise des permanences afin d'écouter, soutenir et accompagner d'autres femmes dans leurs différentes démarches. - Les Amis du Monde diplomatique
- Les Petits Débrouillards Nouvelle Aquitaine : Depuis plus de 20 ans, l'association des Petits Débrouillards propose à tous les publics des activités scientifiques et techniques.
- L'association de soutien aux Jardins de l'Osme : Les Jardins de l'Osme sont une ferme familiale bio située à Longré, au Nord du département de Charente. Pour vivre de leur activité, Ils ont fait le choix de la vente directe, sous la forme de marchés et de distributions au sein de l'AMAP à la MPP.
- Planning Familial Charente : Le Planning Familial est un mouvement féministe et d'éducation populaire.
- Pueblos y Paz : Le but de l'association est de favoriser les échanges interculturels avec l'Amérique latine et ainsi soutenir des projets de développement issus d'acteurs locaux.
- SEL , Etchangeons16 : Le SEL (Système d'Echange Local) Et-changeons 16 permet l'échange de services, de savoirs et de biens, SANS ARGENT en Charente.
- Sisyphe Video : L'association Sisyphe vidéo propose une série d'activités dans le domaine de l'éducation à l'image
- Soup'ô'Potes : L'association régit par la loi de 1901 a pour objet de lutter contre l'exclusion par le biais de distributions alimentaires et la mise en relation avec les partenaires sociaux compétents.
- Vélocité de l'Angoumois : Rassembler les cyclistes du Pays de l'Angoumois et défendre leurs intérêts ; promouvoir l'usage du vélo, en particulier en milieu urbain, comme moyen de déplacement quotidien sécurisé .
Les Associations Adhérentes Associées
ADHEOS : ADHEOS propose à toutes et à tous un accueil chaleureux, un bar associatif, une médiathèque, puis dispose d'un bureau et d'une salle de réunion. Les entretiens individuels et anonymes sont possibles sur rendez-vous, avec des membres du bureau et personnes habilitées ; puis en cas de nécessité, avec nos conseils juridiques et psychologues.
AHVEC France : Missions de développement d'actions au Cameroun.
Les Amis du Musée de la BD : L'association a pour but de participer aux activités du Musée et à l'enrichissement des collections.
Amadéa : Association qui aide les malgaches à être les acteurs de leur propre développement.
CCFD - Terre Solidaire : L'association soutient des programmes de développement. Elle sensibilise l'opinion publique à la situation des pays pauvres.
CIA - Campus Image Angoulême : Association créée en 2008 sous l'impulsion du Syndicat Mixte du Pôle Image Magelis
CIRENA : L'association "Citoyens en Réseau pour des ENR en Nouvelle Aquitaine" a pour objectif de faire émerger et soutenir des projets citoyens dans le domaine de la production à partir de ressources énergétiques renouvelables en Nouvelle Aquitaine.
Comité des Jumelages Angoulême - Villes étrangères
Association qui organise des échanges culturels : Internationale.
CRIJ Nouvelle Aquitaine
Centre d'information pour les jeunes afin de répondre à leurs questions sur tous les sujets les concernant.
Emoi Photographique : L'objectif de cette association est de promouvoir la photographie, notamment à travers l'organisation du festival l'EMOI PHOTOGRAPHIQUE.
Festival du Film Court Métrage
Médecins du Monde : Association de solidarité internationale qui a vocation à soigner les populations les plus vulnérables et à témoigner des atteintes à la dignité et aux droits de l'Homme
Post Scriptum : Promotion du monde du livre auprès de tous les publics
Terre de Liens : Terre de Liens est né en 2003 de la convergence de plusieurs mouvements liant l'éducation populaire,
Terre des Hommes France
2 L'utilisation actuelle et réelle des locaux
Par convention de mise à disposition gracieuse par la Mairie, l'ensemble des associations citées plus haut ont accès aux locaux situés 50 rue Hergé, ce qui nous permet d'estimer le nombre moyen de public annuel à 3000 personnes.
La MPP est un espace pluriel et ouvert, entre espace d'accueil, avec bureaux (Sisyphe Video, Les Petits Débrouillards, HardPork'n'Prod, MPP), un lieu de stockage (HardPork'n'Prod, Les Petits Débrouillards, MPP et de nombreuses associations du réseau à plus petite échelle) et un lieu de vie (pour l'ensemble des associations et leur public) qui permet :
La mise en réseau et la mise en place de projets communs
La réalisation de nombreux événements militants et festifs
Un lieu facilitateur pour les réunions et rencontres conviviales
Un espace facilitateur d'expérimentation reconnu dans l'éducation populaire et sur les logiques de gouvernance associative.
Ainsi, nous pouvons compter, tout au long de l'année, sur plusieurs activités qui ont lieu à la MPP, précisant à chaque fois combien de visites cela représente sur une année.
Les permanences des associations Baobab, Femmes Solidaires et Planning Familial
Des réunions d'associations et des formations internes (Au moins 400 réunions pour 3000 visites)
Des réunions de collectifs portés par la MPP (Trois réunions mensuelles sur 8 mois , En moyenne 15 personnes, soit un total de 360 visites)
Des réunions de gestion de la MPP (10 CA, 24 Bureau, 5 Commissions, pour un total de 400 visites)
Un point relais pour les paniers des Jardins de l'Osme (70 personnes par semaine x 52 semaines, soit 3640 visites)
Une permanence littéraire avec l'association Post Scriptum
Les Réunions CRIJ et du COPIL
Les Rencontres Repair Café (10 rencontres avec 15 personnes, soit 150 visites)
La préparation de soupe pour distribution hebdomadaire avec Soup'ô'Potes
Des tournages de Rezonances TV (1 tournage par mois, 10 personnes = 120 visites)
Des répétitions du groupe vocal Bab Elzamaana
Accompagnement des associations avec So Coopération : 15 visites
Réunions du Collectif Educ Pop 2.0 (10 personnes combien de fois par an ?)
Réunions de Collectif 8 Mars
Ateliers créatifs avec des migrants, proposés par le Collectif A (3 ateliers avec 10 personnes, soit 30 visites)
Mais aujourd'hui, avec la réduction des jauges, ce sont des événements plus ponctuelles qui sont remises en question :
Soirées et expositions Bac à Sable
Soirées concerts avec HardPork'n&'Prod (3 concerts avec 400 visites)
Festival du Film Court (jusque 2018)
Off du Festival de la BD (3212 visites)
Web Art Reporter pendant le FFA : 80 visites
Rassemblement Service Civique : 60 personnes, 4 fois par an, soit 240 visites
Projection documentaire du Créadoc (4 par an, 50 personnes = 200 visites)
Projections de films proposées par plusieurs associations.
Exposition de l'Emoi Photographique
TOTAL DE VISITES :
Ces activités ont représenté en 2018, un total de 435 rendez-vous et 1730 heures de temps d'échanges et de partage. Nous pouvons dès à présent observer que ces chiffres sont en hausse pour l'année 2019. Suite aux réductions de jauges, il y a en effet eu moins d'événements réunissant beaucoup de monde mais plus de réunions et temps en plus petit comité. Malgré tout, nous observions déjà, avant même la fermeture du 3ème étage, et continuons d'observer une difficulté à répondre à l'ensemble des demandes, notamment pour les AG qui ont tendance à réunir trop d'individus par rapport aux jauges, ce qui nous oblige à limiter l'accès à un événement qui est pourtant essentiel à la vie associative de la MPP et de son réseau.
3 La proposition du Maire
Au vu d'un diagnostic de dégradation des conditions de sécurité sur plusieurs salles, solidité des planchers, fragilité des charpentes et normes incendies non respectées, le Maire a pris un arrêté municipal d'interdiction d'accès aux locaux à compter du 13 juillet 2019. Il propose un relogement provisoire du Réseau dans une école désaffectée dans un quartier périphérique pas du tout adapté aux besoins du Réseau.
et le positionnement de l'association :
La Maison des Peuples et de la Paix fait vivre ses actions de Solidarité en centre ville, dans les quartiers et dans toute la Charente mais n'est elle pas un Centre social ni une association de quartier. Comme la fonction première d'un centre ville est d'être un lieu de rencontres et d'animation, notre association est, avant tout, un Réseau où convergent des volontés d'animation sociale, culturelle, environnementale d'acteurs dispersés sur nos territoires. Au moment où l'opération « Coeur de ville » vise à redynamiser Angoulême nous comprenons mal que notre relogement n'en tienne aucun compte ! Pour être solidaire, valeur cardinale pour nous, la MPP tisse depuis le coeur de Ville des liens forts avec tous les lieux, centraux et périphériques, qui nous entourent.
Même si la décision de nous expulser repose sur de solides arguments, elle est lourde de sens et de conséquences pour l'avenir et le dynamisme du Réseau que nous considérons en péril.
La MPP Réseau Solidaire en danger
PDF à télécharger pour plus d'infos https://www.cyberacteurs.org/cyberactions/pdf/petition-mpp1-4-1-_4.pdf
Texte de la pétition
La Maison des Peuples et de la Paix, la MPP, touchée au coeur
Veut rester en coeur de Ville d'Angoulême
Considérant :
- que l'état de vétusté des locaux 50 rue Hergé incombe à la Mairie, collectivité propriétaire qui, en toute connaissance de cause, a laissé dépérir les bâtiments et n'a jamais répondu à la mise en conformité de la sécurité des bâtiments,
- que pendant 33 ans, la MPP a assuré la maintenance du site qui lui incombait et fait vivre le lieu au bénéfice de toutes et tous les Angoumoisin.e.s : débats, cafés citoyens, expositions, concerts, centre de ressources documentaires, Repair Cafés, Festival de la Solidarité, boutique équitable, Festifastoche, Festival de la BD, Quinzaine « Quand les Femmes font leur cinéma », permanences d'écoute et de soutien : pour les femmes victimes de violences, pour le Planning Familial, pour les Sans-papiers.....
- que par ailleurs faire vivre un lieu au service de 40 associations avec 1,5 poste de temps salarié est un modèle économique particulièrement économe pour tous nos financeurs.
- que pour toutes ces raisons, la MPP estime que l'avenir de ce lieu la concerne directement, ainsi que la vie du coeur de ville et, qu'à ce titre, elle mérite le soutien de la Mairie et celui de tous ses financeurs.
1) je demande aux financeurs, et particulièrement au Maire d'Angoulême, de s'engager sur la réalisation des travaux de mise aux normes des locaux du 50 Rue Hergé avec le relogement de la MPP à leur issue,
2) en attendant la réalisation des travaux sur le site actuel, je demande que la MPP soit relogée en Centre Ville, sur un espace qui réponde aux besoins du Réseau associatif MPP.
Ndlr : signée car réseau de solidarité interassociative exceptionnel en France, à promouvoir, encourager l'esprit tiers-lieu/fablab-bidouille ACT
Transcription :
...
à 3:45:55
Mme table 20 : regrette de devoir faire une retranscription sans avoir les notes.
Ce qui est ressorti c'est qu'on aurait aimé une campagne du pour et non pas une campagne du contre parce qu'il faut vraiment dégager le côté positif, de nos attentions sur le terrain, être plus à l'écoute des groupes d'action, des livrets, de toutes les forces qui vous entourent. Et comme on entendait parler justement d'aller chercher des fiscalistes, des intellectuels, des syndicalistes, etc, on est tous là mais on ne fait pas appel à nous. Donc ce qui ressort, c'est un manque de considération des gens du terrain, des gens qui bossent pour le haut en fait, et donc on ne fait jamais appel à nous. Les visages, c'est toujours les mêmes qu'on voit, les gens qui bossent un sujet sur le terrain, ils ne sont jamais représentés, on ne sait pas qui c'est. Par contre, c'est délégué aux ensembles de coordination. Donc ya pas de reconnaissance. Et si vous n'allez pas dans le sens de la reconnaissance, de la considération, de l'écoute, vous n'arriverez pas à animer correctement ce mouvement. Et malheureusement, je donnerait tout pour ce mouvement parce que c'est lui qui m'a redonné goût à la politique. Et aujourd'hui, si on ne change pas les choses,
Table 3
Ce qui est important c'est que soient retranscrites les différences et pas que le point de vue de la majorité de la table. La démocratie participative n'est pas du tout facile à faire vivre. Considérer qu'il faut faire vivre la démocratie de façon horizontale, c'est très très difficile à vivre et à mettre en place. Nous sommes un parti jeune. Nous sommes confrontés à ce type de difficultés.
Table 18 ...
ne pas oublier l'assurance chômage, la retraite
à 3:53:45
Table 14
Je vais commencer par les éléments sur lesquels nous avons été en désaccord et les propositions que nous avons faites. On a considéré que le traitement des mouvements des gilets jaunes était insuffisant et que l’irruption des citoyens sur la scène politique était irréversible. Et qu'il existe un décalage entre le moment où les citoyens engagent le combat et le moment où ils perçoivent la nature de ce combat. Le moment où ils cherchent la réponse et le moment où ils la trouvent. Et c'est dans ce contexte que nous devons analyser le mouvement des gilets jaunes. À nous de réduire ce décalage.
Sur la campagne d'inscription sur les listes électorales, on aurait voulu que ce soit plus insisté sur le fait que Macron n'avait pas fait son travail - enfin que le gouvernement n'avait pas fait son travail. On l'avait fait avec nos petits moyens mais nous n'avions pas les moyens de l'état pour faire des campagnes d'inscription sur les listes électorales, ce qui explique aussi qu'on n'est pas arrivés à inscrire tout le monde dessus.
Il a été dit aussi que la france insoumise a donné une image de conflictualité à l'extérieur et que ça pouvait nuire à nos électeurs à force de voir des chicaillas, des batailles. Que ce soit sur les réseaux sociaux, que ce soit par médias interposés. Et que c'est cette image là qu'il fallait qu'on commence à travailler parce que l'image de la bienveillance peut aussi donner envie aux gens de venir.
On posait notamment la possibilité d'avoir une instance dans la lfi qui servirait de médiateur, de commission de conflit, je ne sais pas comment dire, mais en tout cas qui nous permettrait de régler nos problèmes entre nous plutôt que de les régler à l'extérieur.
Et ce que nous avons aimé, la partie sur l'écologie populaire et anticapitaliste. On pense qu'il faudrait rajouter pour nous guider vers un horizon, à l'horizon écosocialiste. Et enfin l'analyse sur les quartiers populaires nous a beaucoup plu.
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trouver qui est cette personne (de Montpellier ?) ACT
Commission nationale du débat public - il y a 7 jours|72 vues
CFAL = Contournement Fret de l'Agglomération Lyonnaise
Ecrit et livre > Actualités
Journées interprofessionnelles : "L’aventure des images ! Création et médiation en littérature jeunesse aujourd’hui" Mis en ligne le 31 janvier 2018 [REPORT 2019 // CHANGEMENT DE DATE] Vendredi 23 mars 2018 (15h à 18h) pour le lancement du programme 2019 en lieu et place de la journée initialement prévue le jeudi 8 mars 2018 À Beychac-et-Cailleau, Espace sportif de la Trappe ( 33750 )
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Emploi : la Ligue de l’Enseignement de Lot-et-Garonne recrute un(e) médiateur(trice) cinéma en CDD d’un an à temps plein Mis en ligne le 05 décembre 2017
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Publics et territoires > Actualités
La ville de Bazas recherche un médiateur multimédia / audiovisuel / coworking Mis en ligne le 28 juillet 2017
Dans le cadre de la mise en place du Pôle de l'Image, de l'Ecrit et du Numérique (960 m.), dont l'ouverture est prévue en 2019, la ville de Bazas recherche un médiateur multimédia / audiovisuel / coworking pour accompagner la mise en place de la structure et le développement des projets culturel, d'animation et numérique sur le territoire.
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Audiovisuel et cinéma > Actualités
[EMPLOI] La Région recrute des médiateurs dans les salles de cinéma indépendant jusqu'au 07 juillet 2017
La Région Nouvelle-Aquitaine et le CNC souhaitent aider les salles de proximité à se développer en contribuant au financement d’emplois de médiateurs dans les salles.Ces emplois visent prioritairement à être mutualisés entre plusieurs salles notamment par l’intermédiaire des associations territoriales de salles ou de groupements d’employeurs sectoriels. Ce dispositif s’adresse aux salles prior...
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Service civique " Médiateur du Patrimoine " de la Cité internationale de la tapisserie - à partir du 01 juin 2017
Où ? AUBUSSON (23 - Creuse - Limousin)Quoi ?- Accueil du public et sensibilisation de nouveaux publics (jeunes publics, cadres et CSP+) ;- Production de contenus éditoriaux, graphiques et participation à des actions de promotion, sous l’autorité du directeur et de la Chargée de communication ;- Possibilité à terme de préparer et organiser des visites guidées (en juillet/août) ;- Appui...
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La Littérature noire et policière aujourd’hui - Création, édition et médiation - le 29 septembre 2017
Journée professionnelle sur le roman noir - Festival "Un aller-retour dans le noir" à Pau
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Audiovisuel et cinéma > Catalogue des œuvres >
Le Zèbre, médiateur pour causes désespérées ! (Téléfilm)
Producteur(s) : Kwaï ;
Réalisateur(s) : Frédéric Berthe ;
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Que deviennent les enfants surdoués ? Des « adultes surdoués » ! Notre héros l’ignorait, lui qui n’a été « diagnostiqué » qu’à quarante ans. Depuis, sa vie a basculé. Incapable de supporter l’inju...
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Ecrit et livre > Actualités
Journée professionnelle « Culture et prison : la place de la culture dans le processus d'insertion des personnes détenues » le 24 juin 2014
Organisée par le SPIP 33 et en partenariat avec l’agence Écla Aquitaine et la DRAC, une journée professionnelle autour de la place de la culture dans le processus d'insertion des personnes détenues se tiendra le 24 juin à Aquitaine Cap métier.
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Audiovisuel et cinéma > Actualités
« Accompagner les regards » : un stage de formation pour les professionnels de l’éducation à l’image organisé par Écla les 5 et 6 juin
du 05 au 06 juin 2014
Dans le cadre du dispositif « Passeurs d'images » et du programme de formation proposé par le Pôle régional d'éducation artistique et de formation au cinéma et à l'audiovisuel, l'agence Écla Aquitaine propose une nouvelle session de stage avec pour thème « Accompagner les regards ».Se déroulant les 5 et 6 juin, au Rocher de Palmer, la formation s’adresse aux médiateurs cultur...
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Ecrit et livre > Actualités
Créer, éditer, vendre et transmettre en milieu rural le 07 novembre 2013
Les P’tits bérets” — maison d’édition jeunesse installée à Morlanne depuis 2010 — et dont vous trouverez la présentation sur leur site http://www.lesptitsberets.fr/- propose une journée de rencontre aux professionnels du livre et de la médiation – auteurs, éditeurs, libraires, bibliothécaires, documentalistes, enseignants, médiateurs culturels… sur le thème Créer, éditer, ven...
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Ecrit et livre > Catalogue des œuvres > Romans et nouvelles français
Mélodies en mêlée : 15 nouvelles du 15 Publié le : 01/04/2013
Auteur(s) : Michel Etchegaray préface Pierre Camou
Editeur : Cairn - Pau
Mélodies en mêlées 15 nouvelles du 15 Tonton rêve de finir son dernier match poursuivi par le public dans le champ de maïs. Il ne sera pas déçu. Le Vieux Lion veut briser les chaînes de la violen... Benat se révèle être un fin médiateur de conflit. Une seule technique efficace, mais quelque peu radicale. Ainsi au fil des pages, l'auteur révèle des portraits tendres, mélancoliques, terriblement humains avec le rugby comme toile de fond.
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Ecrit et livre > Catalogue des œuvres > Sociologie, Pratiques culturelles
Cultures... & non-public Publié le : 07/04/2009
Auteur(s) : Jeanson, Francis
Editeur : le Bord de l'eau - Latresne (Gironde)
Révolution culturelle Action culturelle Liberté Politique Action syndicale Militantisme Savoir Structures collectives Conscience individuelle Droits Mondialisation «Médiateurs» Exigence Communi...
Thématiques > Sociologie, Pratiques culturelles
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Ecrit et livre > Actualités
Ecla, la nouvelle agence du Conseil régional d'Aquitaine Mis en ligne le 03 janvier 2011
pour l'écrit, le cinéma, le livre et l'audiovisuel Écla - comme écrit, cinéma, livre et audiovisuel - est la nouvelle agence régionale née de la fusion de l'Arpel (Agence régionale pour l'écrit et le livre) et d'AIC (Aquitaine Image Cinéma). Écla traduit dans ses missions les priorités du Conseil régional d'Aquitaine en matière de livre et d'écrit, de cinéma et d'audiovisuel et de labels musi...
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Goethe Institut
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Rapport d'activité 2006 Mis en ligne le 03 janvier 2011
Ce rapport d'activité a pour objectif de présenter les moyens et l'organisation du CNL, mais aussi de revenir sur les principales interventions de l'établissement, en offrant une vision transversale des aides accordées, secteur par secteur. Il fournit également l'occasion de témoigner de l'action du CNL auprès des médiateurs du livre et de la lecture, par son soutien à l'organisation de nombre...
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Ecrit et livre > Actualités > Auteurs > Diffuseurs, distributeurs > Librairies
Le Sénat recommande un médiateur du livre
Mis en ligne le 03 janvier 2011
La Commission des affaires culturelles du Sénat préconise une série de mesures pour défendre la chaîne du livre, qu'elle juge menacée d'un bouleversement majeur par le numérique.
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Ecrit et livre > Actualités
Entretien avec Isabelle Blin
Mis en ligne le 03 janvier 2011
Isabelle Blin a pris récemment la direction de la bibliothèque municipale de Bayonne. Arrivant de Dunkerque, où elle dirigeait une médiathèque municipale très active, elle prend les commandes d'un établissement qui possède à la fois une vocation patrimoniale et de lecture publique.
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Sigrun Trunk- Javerlhac
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jeudi 25 avril 2019
Quand les hébergeurs remettent à leur place les élus du PNR-PL
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dimanche 14 avril 2019
Compte-rendu de l'audition des hébergeurs par le Conseil d'orientation et de développement du Parc
Note argumentée des hébergeurs pour le Projet Abowind - Saint Saud la Coussière
03 avril - Chalus
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samedi 30 mars 2019
Lettre ouverte des hébergeurs du PNR Périgord-Limousin vis-à-vis des éoliennes
diffusé le sam. 23.02.19 à 21h00 disponible jusqu'au 02.03.19 animaux & nature - 93 min - 2018 - tous publics
Découverte d'un monde où l'hiver dure huit mois, où les températures descendent jusqu'à moins quarante degrés et où l'air manque cruellement d'oxygène : les Alpes. Tous les animaux qui y vivent se sont adaptés à ces conditions extrêmes. Mais comment parviennent-ils à se séduire, à éduquer leurs petits, à conquérir des territoires, à parcourir des distances immenses ? Raconté par Gérard Lanvin, ce film constitue une plongée au coeur d'une terre sauvage où la nature cache encore certains de ses plus beaux secrets dans l'un des derniers sanctuaires d'Europe : un monde insoupçonné, impitoyable et merveilleux.
réalisé par : Frédéric Fougea
extrait Les louveteaux https://www.france.tv/france-2/le-plus-beau-pays-du-monde/921085-le-plus-beau-pays-du-monde-les-louveteaux.html
diffusé le ven. 22 févr. 2 min
extrait La louve et le lynx https://www.france.tv/france-2/le-plus-beau-pays-du-monde/921083-le-plus-beau-pays-du-monde-la-louve-et-le-lynx.html
diffusé le ven. 22 févr. 4 min
extrait Le loup et l'ours https://www.france.tv/france-2/le-plus-beau-pays-du-monde/921081-le-plus-beau-pays-du-monde-le-loup-et-l-ours.html
diffusé le ven. 22 févr. 4 min
Le consensus scientifique est clair, et la COP23 n’a fait que le confirmer : les accords de Paris sur le changement climatique ne seront pas respectés. Or, nous vivons d’ores et déjà une mosaïque d’effondrements climatiques, biologiques et sociaux, dont les prémices (bien entamées) se font sentir par la hausse alarmante des réfugiés climatiques, des sécheresses, des feux de forêts, des ouragans, et bien sûr des conflits sociaux qui en résultent.
Le changement climatique n’est plus un enjeu scientifique et technocratique, où il s’agirait de savoir quelles variables bidouiller pour gérer au mieux « l’environnement ». Il est clair que nos bienfaiteurs ont perdu le contrôle, ou plutôt qu’ils ne l’ont jamais eu. Le changement climatique est un enjeu politique, qui engage directement nos vies, nos devenirs communautaires et révolutionnaires. Il nous appartient dès maintenant d’en arracher la problématisation et la résolution à ses incompétents gestionnaires.
Andreas Malm, un historien suédois, a donné une intéressante conférence au séminaire Conséquences sur les rapports entre révolution et changement climatique, s’appuyant notamment sur le cas syrien. Même si nous ne partageons pas l’ensemble de ses propos, nous les reproduisons ci-dessous avec son accord, car ils ont le mérite d’ouvrir efficacement le débat.
...
2) La contre-révolution ou le chaos comme symptôme du changement climatique
La révolution syrienne n’est pas arrivée seulement par le réchauffement climatique mais celui-ci a accentué les inégalités sociales qui ont conduit aux émeutes. On pourrait par exemple faire un parallèle avec la façon dont Lénine voyait la 1ère guerre mondiale comme un « accélérateur des contradictions » entre le vert gazon des riches et les autres.
...
la question de l’antifascisme doit être primordiale. Ce sont bien sûr des scénarios extrêmes mais le changement climatique est lui-même déjà extrême.
3) La révolution pour traiter les symptômes du changement climatique
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pour une meilleure adaptation aux mutations. Par exemple en Syrie, l’essentiel de l’agriculture s’appuie aujourd’hui sur une irrigation traditionnelle par inondation. On pourrait imaginer une utilisation plus parcimonieuse de l’eau mais l’adaptation coûte cher. C’est pourquoi il faudrait justement une transformation de l’Etat et de la société pour financer l’irrigation par goutte.
...
4) La révolution contre les causes du changement climatique
Il est encore imaginable de retourner les causes du changement climatique. Par exemple, on pourrait envisager de conserver les énergies fossiles restantes dans nos sols. Cela serait toutefois un changement anthropologique si décisif qu’on ne peut le concevoir hors d’une véritable révolution. Il faudrait dépasser l’utilisation des énergies fossiles, et cela nécessiterait un virage à 180 degrés, pas seulement sur le plan de la technique mais aussi sur celui des rapports sociaux puisque les énergies fossiles sont implantées dans les rouages de nos sociétés (au sens concret comme au figuré).
...
Les actions directes militantes à courte échelle (par exemple, en Allemagne, arrêter des usines manu militari ou aux Etats-Unis, les victoires locales contre les projets de pipelines), il faut bien être honnête, ça ne retournera pas le changement climatique contre lui-même, en tout cas pas dans l’immédiat. C’est la raison pour laquelle, [ndlr : selon Andreas Malm], il faut penser à nouveau la question centrale qu’est la prise de pouvoir de l’Etat, la nécessité d’utiliser la forme étatique pour mener les actions nécessaires à la destruction des énergies fossiles.
Nous vivons un moment tragique : le réchauffement climatique devient un problème très important au moment historique précis où les gens ont perdu l’habitude de s’organiser collectivement. Le rôle des activistes est de démontrer que l’action collective est possible.
En guise de conclusion, citons le mot de Daniel Bensaïd : « si nous avons des doutes, c’est par rapport au succès, non par rapport à la nécessité d’essayer« .
Grand débat : "L'Etat impose son langage" Publié le 20/01/2019 à 13:00 / Emmanuel Lemieux | Marianne
Société
Le "grand débat" ? C'est mal parti. Selon le philosophe Philippe-Joseph Salazar, la difficulté de débattre est une spécificité française. Ce pays doué d'éloquence politique durant des siècles est malade d'une langue technicienne et managériale des élites.
Il est l'un des meilleurs spécialistes mondiaux de la rhétorique, cet art de l'éloquence. Le philosophe Philippe-Joseph Salazar connaît le poids des mots quand la politique est au bord des catastrophes : occupant la chaire de rhétorique à la faculté de droit du Cap et résidant en Afrique du Sud, il a été l'un des observateurs privilégiés de la spectaculaire commission Vérité et réconciliation présidée par Mgr Tutu au lendemain de la fin de l'apartheid. Dans ses nombreux essais (notamment l'Hyperpolitique et Paroles de leaders), l'ancien assistant de Roland Barthes et de Georges Balandier, volontiers incisif et provocateur, n'a de cesse depuis des années de réclamer un réapprentissage civique et massif de l'éloquence digne de ce nom, dès l'école.
Pour se désembourber de la rébellion des « gilets jaunes », le président de la République lance un « grand débat ». Qu'en pensez-vous ?
Philippe-Joseph Salazar : Grand débat… En France, quand on affuble un geste ou un événement de l'épithète « grand », il faut immédiatement y entendre la voix de l'Etat. Seul l'Etat a le droit de qualifier ce qui est « grand » et ce qui ne l'est pas. Les « gilets jaunes » ne sont pas officiellement considérés comme un « grand » mouvement. Pourtant il l'est. Mais sans l'imprimatur de l'Etat qui donne ou refuse le label « grand », ils ne peuvent être que des « petits », des « pauvres », « ces gens-là », le « petit peuple ». Le débat dit à la française est en réalité un sous-produit du dialogue social qui lui-même est une technique de management et de résolution interne des conflits. C'est une langue technicienne à visée managériale de l'opinion.
Les « gilets jaunes » doivent-ils participer à ces réunions ?*
Non,...
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Le conflit renvoie à un antagonisme entre groupes, entre individus, entre entités (société, nation, classe…) engagés dès lors dans un rapport d’opposition, qu’il s’agisse d’ennemis, d’adversaires, de détracteurs.
Pour citer cet article
Sandrine RUI, « Conflit », in CASILLO I. avec BARBIER R., BLONDIAUX L., CHATEAURAYNAUD F., FOURNIAU J-M., LEFEBVRE R., NEVEU C. et SALLES D. (dir.), Dictionnaire critique et interdisciplinaire de la participation, Paris, GIS Démocratie et Participation, 2013, ISSN : 2268-5863. URL : http://www.dicopart.fr/fr/dico/conflit.
ndlr :
- entre -> inter
- analyser /TdM ACT
Session de formation M.A.R.D
"Modes Alternatifs de Résolution des Différends"
10 & 11 décembre à l'Université Toulouse 1 Capitole
IESF-Occitanie-Toulouse
IESF Occitanie Toulouse (URISMIP), INP Toulouse Tech, Université Capitole 1 propose conjointement une session de formation sur 2 jours intitulée : découverte des M.A.R.D "Modes Alternatifs de Résolution des Différends".
Télécharger l'offre de formation
https://www.iesf.fr/offres/file_inline_src/752/752_E_44893_5c0149cad0222_1.pdf
DE QUOI S'AGIT-IL?
Des dispositions législatives et réglementaires européennes ou nationales récentes et des initiatives de professionnels du droit tendent à promouvoir de plus en plus le développement de ces pratiques extra judiciaires. Il s’agit d’une tendance lourde en cours d’extension à de nouveaux litiges, qui devrait donc être connue des ingénieurs et des dirigeants d’entreprises, désirant assurer efficacement la représentation d'une partie au cours d'une action de médiation, arbitrage, conciliation.
L'offre de formation, qui permet notamment de situer ces nouveaux modes de résolution des conflits par rapport au système juridictionnel français, répond à cet objectif professionnel.
Ce cycle de formation s’adresse à un public de professionnels expérimentés (dirigeants d’entreprises, managers, …) confrontés à des situations conflictuelles et désireux de découvrir des outils modernes de résolution efficace et durable de ces différends par des voies extra-judiciaires.
OBJECTIFS DE LA FORMATION
Identifier les différentes composantes du système juridictionnel français
Comprendre les grands principes de répartition du contentieux entre les différentes juridictions
Connaître les étapes essentielles d’un procès civil et pénal ainsi que la place de l’expert
Connaître les caractéristiques essentielles, et les textes officiels fondateurs, des différents modes alternatifs de règlement des différends : arbitrage, conciliation et médiation
Comprendre l’intérêt d’y recourir pour apporter la solution à un différend
Connaître les principes généraux et les étapes de la médiation
Savoir participer utilement à une médiation ou la prescrire
2 possibilités pour retirer votre dossier d'inscription :
Université Toulouse 1 Capitole – FCV2A (site de la Manufacture des Tabacs)
21, Allée de Brienne Bureau MQ 106 – Toulouse
Patricia Aspart
Tel : 05.61.12.88.38 – fcjuris@ut-capitole.fr
...
Institut National Polytechnique de Toulouse - Formation Continue
6 allée Emile Monso BP 34038 - 31029 Toulouse cedex 4
Véronique Duffort
Tel : 05.34.32.31.07 – veronique.duffort@inp-toulouse.fr
07h16
Montagne d’or, le mauvais exemple guinéen
Par Philippe Reltien, Cellule investigation de Radio France
clés :
écologie nature Amazonie
20 404 vues - 142 - 22
Ils prétendent défendre la cause animale, mais sont-ils tous sincères ? Les vegans attaquent les boucheries au nom de la libération des animaux… Les chasseurs, eux, se proclament "premiers écologistes de France" dans leur dernière campagne de pub. En Australie, on éradique des milliers de chats au nom de la préservation des espèces ! Complément d'enquête" se penche sur les nouveaux "défenseurs" de la cause animale...
Le site de l'émission : https://www.francetvinfo.fr/replay-ma...
Notre Twitter : https://twitter.com/Cdenquete
Catégorie
Actualités et politique
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Titre
Leave My Kitten Alone
Artiste
The Detroit Cobras
Album
Tied & True
Concédé sous licence à YouTube par
[Merlin] Bloodshot Records, [Merlin] Beggars (au nom de Rough Trade); BMG Rights Management, Exploration Group (Music Publishing) et 1 sociétés de gestion des droits musicaux
Titre
The Heart Harmonicon
Artiste
Colleen
Album
The Golden Morning Breaks
Concédé sous licence
Transcription :
végan / anti-spécisme (ne pas faire de différence entre l'homme et l'animal sic)
chaussures en matières synthétiques sic
...
il faut de l'action directe pour libérer les animaux
...
singularité des animaux, altérité pour les animaux
...
24:00 À la ferme de Paris, Emmanuelle POUYDEBAT directrice de recherche au CNRS, animaux sont intelligents chacun à leur manière, chaque individu, chaque espèce, a sa propre intelligence, de même pour la conscience
...
un juge en argentine a décidé de libérer une chimpanzée, même droit que l'homme
...
on ne peut plus considérer l'animal comme un objet en droit.
La souffrance animale n'est plus tolérable dans la science
...
chasse au chat sauvage en australie qui détruit la faune endogène, le chat est supprimé humainement selon le trappeur, par urgence écologique
...
Aurélien Barraud
...indigènes que nous avons si longtemps méprisé... l'espèce humaine est LE super prédateur... étiolement de la vie sur terre... /végan ne les soutient pas, mais gênant /construction du ressenti de violence ex Nelson Mandela avant la mort donnée, les animaux n'ont pas de vie = crime contre la vie
la valeur d'une vie ne dépend pas de la proximité à l'homme, mais la considérer pour elle-même ... inde /réduction à l'absurde ... la vie est en train de disparaître, on est donc tellement loin de l'inde... /chasse
58:25
...
ndlr :
conclusion : ne pas faire de différence entre l'homme et l'animal n'est pas considérer l'homme comme étant rattaché à la branche animale du vivant... Tous les animaux sont-ils égaux en droits ? Ont-ils les mêmes capacités ? N'est-ce pas la même logique que pour l'égalité républicaine ?
Préférer des matière synthétiques au cuir, n'est-ce pas rester dans la culture fossile, c'est-à-dire être contre-productifs du combat zéro fossiles ?
questionner, contribuer à organiser, animer des débats, informer ACT
Chargé de développement à l’association PiNG, Nantes
...
Pourquoi est-ce nécessaire de s’approprier les technologies ?
6
Notre vision du monde passe de plus en plus par le prisme du numérique, notre monde se transforme petit à petit en données binaires avec lesquelles nous sommes invités à interagir.
7
La théorie de l’information de Claude Shannon [1]
[1] http://centenaire-shannon.cnrs.fr/
met en avant la « discrétisation » du vivant, une forme de simplification par la transformation de l’analogique en tranches de 0 et de 1, qui induit une transformation de notre paysage intellectuel et imaginaire. La suprématie d’une vision scientiste [2]
[2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Scientisme
, la représentation du monde à travers la science et la technique ainsi que l’efficacité de la preuve par l’expérience et la technique (en) « marche » s’imposent comme vision du monde au détriment d’une approche sensible et plus proche du fonctionnement de la nature. D’un point de vue logique, la question de la possibilité de s’approprier les techniques est première par rapport à celle de la nécessité. Il faut de la médiation. Ainsi la technique sans médiation n’est qu’un aspect du grand « bluff technologique [3]
[3] Charbonneau B., Ellul J., 1999, « Directives pour un...
», une sorte de culture technique industrielle-consumériste-marketing qui formate les usages et peut (doit) être combattue par une culture technique critique.
...
À qui profitent les lieux de… « médiation » ?
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Dans quelle mesure, à travers les lieux de médiation, sommes-nous des agents de promotion de ces objets techniques et méthodes ? De façon presque involontaire, nous sommes des facteurs de validation de ces progrès techniques, et ce malgré une posture critique. À travers les arts numériques notamment, nous sommes amenés à utiliser les « dernières technologies » et à en faire ainsi la promotion.
Nous sommes également parfois, contre notre volonté, complètement parties prenantes dans « l’écosystème » créatif et innovant : les labs (fablab, medialab, hacklab, etc.) comme avant-garde de l’innovation (avec, par exemple, la récupération des hackatons [5]
[5] Marathons informatiques pratiqués par des développeurs...
par les démarches entrepreneuriales), nous sommes parfois défricheurs de futurs terrains fertiles mais dont les légumes et les fruits seront récoltés par des start-up à la pointe de l’intégration capitaliste de ces dynamiques créatives et de partage.
...
L’association PiNG
...
Nous défendons, au-delà de l’usage des logiciels libres, une culture libre pour des raisons éthiques et pratiques et pour concilier le fond à la forme : si nous voulons ouvrir le capot des technologies (logiciel), encore faut-il avoir accès au moteur (code source). Cette démarche à présent appliquée au matériel électronique ou au design d’objet croise des problématiques politiques et économiques fortes (propriété industrielle, brevets, corps, etc.).
...
Les lieux de médiation sont donc des lieux de tension, de conflit entre des injonctions à l’innovation industrielle et des appels à un mouvement d’une culture critique. Ces lieux ne peuvent éviter (même placés sous le signe de la culture libre) d’être intégrés, à un degré ou à un autre, à l’économie de l’attention [6]
[6] Citton Y., 2014, Pour une écologie de l’attention,...
. Dans le modèle du double-sided market (ou marché à double face, façon Google), ils figurent sur le premier côté, parmi toutes sortes de têtes de gondole. Le conflit des attentions croise et renforce le conflit des cultures techniques.
13
Cela ne signifie pas que les lieux de médiation soient condamnés à être instrumentalisés. Le seul fait d’ouvrir la question de la culture technique constitue un début de résistance (voire de sagesse).
Comment et où produire des éléments de médiation vecteurs de transformation sociale ?
14
Tout en prenant en compte les éléments évoqués précédemment, il convient de faire œuvre de médiation pour aussi tenter de développer un esprit critique et distancié face à ces évolutions sociétales technologiques.
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Si l’on ne veut pas connaître le même échec que la décentralisation culturelle (fonds régionaux d’art contemporain [FRAC], scènes nationales dont le public s’est finalement cantonné à quelques catégories socioprofessionnelles, etc.), il convient de renouveler, de réinventer nos modes d’intervention, d’animation et de médiation.
16
Pour cela, il est nécessaire d’appréhender au plus près les évolutions des pratiques, notamment chez les jeunes, afin de situer un point de départ pertinent pour cet échange de connaissances, de savoirs, de savoir-faire et de savoir penser. Le principe du « lieu de médiation » pose question : le « lieu » constitue une base arrière, socle au développement structurel d’un projet afin, notamment, de développer des formes d’intervention salariées ou bénévoles et d’assurer ainsi une certaine stabilité au projet. Néanmoins, il constitue également un facteur de conservatisme : une certaine inertie face à de potentielles évolutions dans les modes d’intervention, au cœur des « formes de vie [7]
[7] Agamben G., [1993] 2002, « Forme-de-vie », Moyens sans...
».
17
Il pourrait s’agir d’articuler des modes d’intervention « hors les murs » et « dans les appareils » des gens à partir de cette base, d’un lieu physique, et donc de penser cette action de médiation pour développer le sens critique, le libre arbitre, l’autonomie face aux technologies, au plus près des usagers. Il pourrait s’agir de « s’intercaler » dans la vie numérique des gens afin de se donner plus de sens et de distance : on peut ainsi imaginer des moyens d’intervention mobiles qui se déplacent sur un territoire au gré des besoins. Il pourrait également s’agir de développer des applications qui contribuent à ces souhaits et qui s’intercalent dans le processus informationnel quotidien afin de mieux le gérer, voire le contrôler.
18
En considérant le stade d’avancée de « l’économie de l’attention [8]
[8] Citton Y., 2014, op cit.
», il faut réussir à détourner, à capter une partie de cette attention pour créer des zones d’échange et de médiation. Pour ce faire, des démarches ludiques peuvent être déployées tout en tentant d’esquiver les travers de la « gamification » de nos existences, c’est-à-dire l’usage excessif de dispositifs propres aux jeux vidéo pour jouer avec nos quotidiens. Le hack, le canular, l’humour peuvent également être des leviers pour grignoter des bribes d’attention et opérer parfois des changements d’échelle.
19
La palette des outils au service de la médiation critique vis-à-vis du numérique peut et doit donc s’étendre et se diversifier pour atteindre ses objectifs dans un monde qui glisse pour l’instant de façon inexorable vers une emprise hégémonique de ces entités numériques sur nos quotidiens.
Comment objectiver nos limites ?
...lister sous forme d’items les points à mettre en relation.
dehors/dedans - prévisible/désiré - transparence/alternative - économie/emploi - éducation/populaire - transmission/savoirs - institution/autonomie - Il s’agit de « s’auto-instituer [9] [9] Castoriadis C., 2003, « L’imaginaire radical », Revue... » - subjectif/objectif - limites/pluralité : si tout a lieu, il y a un point où nos démarches s’arrêtent. Nos limites sont, ici, plurielles : limite de territoire, limite d’échelle, limite d’action. Quelle alliance privilégier pour dépasser une fonction d’éclaireur ? Profiter d’une forme d’organisation prônant une pluralité radicale.
...
conclusion
...
se référer aux nombreux écrits sur « l’associationnisme » de Jean-Louis Laville qui décrit parfaitement cette irruption asynchrone, ces formes d’économie et de pratiques populaires.
40
Cette recherche inductive, qui dessine des réponses à partir d’expériences vécues comme un pendule entre émancipation et transformation sociale, produit des connaissances situées, durables et soutenables, imagine une citoyenneté sociale dans un environnement numérique.
...
Une connaissance fiable de l'espace est une condition indispensable pour y agir efficacement, et seule l’expérience sensible donne, sans y suffire, accès à la connaissance du réel. Toutes les modalités sensorielles contribuent à donner sens à cette construction mentale, mais les informations visuelles sont dominantes lorsque celles-ci sont disponibles. Cette construction d'une image mentale de l'espace visuel est comme l'assemblage d'un puzzle dont chaque pièce doit être informative, correctement positionnée et orientée. Ceci requiert l’actualisation constante de la connaissance de la position dans l’espace, et de la direction du regard au moment de l'acquisition des images.
Sensible aux accélérations angulaires et linéaires, le système vestibulaire agit comme une base inertielle qui encode une trace du déplacement du sujet dans un référentiel allocentrique**, stabilise et caractérise la direction du regard. L’inversion de la fonction de cette base permet d’en évaluer la qualité par celle des images acquises, leur stabilité, leur orientation correcte, et leur localisation spatiale.
Cliniquement, les pertes d'efficacité de la base inertielle, donc des labyrinthes ou de leurs connexions, prennent la forme de dérives des yeux, et de la représentation mentale de l’espace avec conflits intersensoriels. La première est à l’origine de nystagmus, oscillopsies, désalignements oculaires verticaux, déviations latérales des yeux à la fermeture des paupières, ou trajectoire convexe des saccades oculaires verticales. La seconde crée vertiges, illusions de translation, erreur de l’intégration des trajets, perceptions « insensées » de soi dans l’espace.
Toute fragilisation de nos rapports avec l'espace est génératrice d'anxiété probablement en raison de son caractère vital et induit progressivement des comportements d'évitement par anticipation, qui peuvent considérablement dégrader la vie sociale et professionnelle.
Cette sémiologie s’avère quelquefois plus sensible que l'imagerie médicale la plus pointue actuellement disponible. Des outils récents d’explorations fonctionnelles permettent d'étendre le spectre des fréquences testées aux mouvements rapides de la tête qui surviennent lors de la marche ou d'activités de la vie journalière, mais identifier les altérations perceptives du « soi dans l’espace » relève toujours pour le médecin d’une écoute rationnelle et de compétences transdisciplinaires.
Conférence présentée à l'Académie Royale de Médecine de Paris le 17 juin 2014 par Ch. Van Nechel
lire le texte complet...
http://www.academie-medecine.fr/articles-du-bulletin/publication/?idpublication=100335
ndlr: dans le cadre de l'otoneurologie ORL
2 588 vues - 5 - 0
La Justice restaurative (réparatrice ou restauratrice) traite des conflits de nature à engendrer des répercussions graves (d’ordre personnel, familial et plus largement social) sur les personnes qui en sont les victimes ou les auteurs, leur entourage et leurs communautés d'appartenance. Elle a pour finalité de donner la possibilité à l’ensemble de ces personnes de prendre une part active dans la recherche et la mise en œuvre des solutions susceptibles de leur permettre de reprendre le cours de leur vie (restauration).
Plus d'informations sur www.justicerestaurative.org
Catégorie
Organisations à but non lucratif
Robert Cario président
Médiateur agréé FNCM et MEDIATION-NET
Développeur en médiation "certifié"
Sa découverte de la médiation et de ses enjeux date de 1998, à la lecture d’une analyse publiée en 1996 par Yves Chamussy, un des pionniers de la médiation d’entreprise. Ce dernier décrit de quelle façon les nouveaux modes de relations et d’organisation dans l’entreprise modifient le rapport des salariés avec leur travail et nécessitent un nouveau mode de management social.
...
intervient en posture médiation dans plus d’une dizaine de pays en guerre lors de ses missions humanitaires d’urgence.
...
A Diplôme Universitaire en Médiation (DUM) de l’Université du Luxembourg, enrichi d’une attestation de formation à la médiation dispensée par la Haute Autorité de lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité (HALDE).
...
le Groupe MEDIATION s’est positionné activement dans la démarche de la norme 26000 en déclinant la médiation dans la Responsabilité Sociétale des Organisations (RSE / RSO), dès 2011, avec pour objectif : "La qualité de la relation concerne autant le client interne (collaborateur) qu’externe".
...
Expert en conflictualité, Philippe intervient pour initier des enquêtes à la demande du CHSCT ou de la Direction (RPS, harcèlement, souffrance au travail ...)
Style et Témoignages
La réussite d’une médiation se joue dès le départ au niveau de sa préparation. Philippe investit beaucoup de temps et d’énergie dans les entretiens préalables à la médiation.
Chacune des parties en conflit doit être en parfaite confiance et sérénité sur la médiation et son fonctionnement.
...
Philippe est reconnu pour sa capacité à accompagner les parties dans la recherche créative mais réaliste de solutions possibles.
Témoignages recueillis :
« Je ne pensais vraiment pas qu’on trouverait une issue et pourtant, nous y sommes arrivés » (en matière de harcèlement),
« Les entretiens individuels m’ont beaucoup aidé à surmonter mes stress avant la médiation » (en matière de relations managériales devenues invivables pour le service concerné),
« La médiation a échoué mais nous avons rétabli notre communication. On a trouvé une solution quinze jours plus tard » (en matière de gouvernance d’un Comité de Direction),
« Résoudre un conflit complexe en 6 mois, à l'issu de 18 assignations échelonnées sur 7 ans, je n'y ai vraiment cru que lorsque la Conseillère à la Cour d'Appel a homologué notre accord (médiation judiciaire),
« La co-médiation est vraiment un atout quand les deux médiateurs se complètent bien » (exemple : en matière de médiation commerciale entre l’Outre-mer et la métropole).
Philippe Lemoult favorise le gain de temps tant dans l’intérêt des parties que pour celui de la personne morale, entreprise ou organisation. D’où un rythme soutenu sans être précipité, adapté aux parties concernées, enrichi par la co-médiation. La gestion du temps en médiation représente pour lui un des facteurs clés de réussite.
ndlr :
- rechercher la référence "analyse publiée en 1996 par Yves Chamussy, un des pionniers de la médiation d’entreprise" ACT
- Même si rien n'est dit sur ses "fondements de la médiation", il fait partie des personnes que je respecte parmi mes concurrents qui œuvrent dans le champ socio-économique/socio-professionnel/entreprise/organisations.
- que signifie pour lui Développeur en médiation ? Comment a-t-il eu son "certificat" ? S'appuie-t-il sur des travaux de recherche ayant croisé ces deux notions ? ACT
- donc pour lui, la médiation serait d'abord une posture (posture médiation) ? ACT
- comment concilie-t-il le fait d'être un "Expert en conflictualité" donc que l'on consulte POUR son expertise (le quoi d'un conflit, les jeux de pouvoir manipulatoires, les stratégies, les tactiques, etc) avec celui d'être médiateur, c'est-à-dire un tiers sensé ne pas prendre parti ? En effet, donner un conseil en tant qu'expert, n'est-ce pas déjà prendre parti car faire un choix donc décider, donc d'avoir le pouvoir ? Dans ces conditions, le risque n'est-il pas de vouloir résoudre un conflit à la place des parties prenantes de la médiation, alors que le médiateur est sensé accompagner le processus des parties entre elles à rechercher leurs propres solutions, ce qui rend le médiateur bien plus disponible pour l'essence d'une médiation soit "accueillir, écouter, accompagner" ? Et quand il informe, c'est sur des éléments précis s'appuyant sur des informations qualifiées de manière impartiale en amont, mais en aucun cas dérouler un raisonnement complexe d'experts ce qui prive les parties prenantes de leur propre expertise ou créativité à aller chercher l'expertise, ce qui n'est pas le même métier ? N'est-ce pas confirmé par sa collaboratrice avocate Sophie Gallais http://www.mediation-net.com/rubrique/mediateurs?nid=234&idfiche=234 par exemple ? ACT
- Je me retrouve quand même dans pas mal d'éléments (PRÉCISER). Ma principale surprise est qu'il ne convoque pas des notions comme "indépendance, impartialité, neutralité, empathie, lucidité, etc" => le questionner ACT
EVENEMENT
Le Groupe Médiation-NET vient de réaliser une vidéo de présentation en mode "Motion design".
Initié en février, ce projet a mobilisé une équipe élargie à plus de 60 professionnels pour sa validation finale.
Cette vidéo d'une minute et 45 secondes promeut la bonne et saine gestion des conflits par le réseau d'experts
en conflictualité de Médiation-NET.
Pour accéder à la vidéo et la diffuser : https://youtu.be/d5Rc0Knr0lA
Voir l'analyse de la vidéo à
https://my.framasoft.org/u/mediationpourtous/?yuwYag
CHÔMAGE : LA FIN DU MODÈLE FRANÇAIS ?
magazines d'actu | 64min | tous publics
La réforme de l'assurance-chômage est l’un des dossiers chauds de l’exécutif en cette rentrée. Alors que se sont achevées cette semaine les rencontres bilatérales entre le gouvernement et les partenaires sociaux, la ministre du Travail Muriel Pénicaud a confié que le gouvernement « n'avait aucun tabou », y compris sur la dégressivité des allocations. Cette idée de dégressivité a été avancée récemment, pour les cadres, par le député LREM Aurélien Taché. Mais le gouvernement pourrait même aller plus loin : « Ce n’est pas forcément un sujet de ‘cadres’, a glissé la ministre. On est un des rares pays d'Europe qui indemnise les demandeurs d'emploi deux ans, trois ans pour les séniors, sans dégressivité ».
Supprimé par le PS en France en 2001, l’intérêt de ce système dégressif fait débat. La CFE-CGC s'est insurgée contre cette mesure, de même que FO et la CGT. Quand dans l’opinion, selon un récent sondage Elabe, si 67 % des Français accueilleraient favorablement un tel dispositif pour les seuls cadres, ils seraient moins nombreux à soutenir une dégressivité qui s'appliquerait à tous (55 %). Et ils seraient partagés sur l'effet d'une telle mesure, 54 % considérant qu'elle accélérerait le retour à l'emploi, 46 % pensant le contraire.
Dégressivité du montant versé, réduction de la durée d'indemnisation ou limitation dans le temps des règles de cumul allocations/revenus du travail : dans un entretien au Monde publié ce vendredi, Muriel Pénicaud a rappelé qu’elle n’est « attachée à aucune piste en particulier » pour rééquilibrer les comptes de l’assurance-chômage, tout en précisant que « la réduction de la dette de l’assurance-chômage est une condition de viabilité de l’Unédic ».
Ce faisant, la ministre du Travail n'a fait que raviver les craintes des partenaires sociaux qu'au-delà des objectifs politiques affichés - lutte contre la précarité et meilleur retour à l'emploi - ce soit le prisme budgétaire qui domine. Selon eux, l'exécutif viserait une fourchette de 800 millions à 1 milliard d'euros d'économies supplémentaires par an dans les dépenses de l'Unédic. « Une fois de plus, on prend le problème à l'envers », a affirmé Jean-Michel Pottier pour la CPME. « Nous sommes d'accord pour négocier », a déclaré pour sa part Laurent Berger, le numéro un de la CFDT, mais pas question « de faire moins sur l'indemnisation des demandeurs d'emploi que ce qui est fait aujourd'hui ». « Si la logique est purement budgétaire, ce sera ‘niet’ », a-t-il ajouté.
Les partenaires sociaux doivent retrouver la ministre du Travail le 17 septembre pour débuter la phase de concertation. Alors quelles sont les principaux axes de cette réforme ? Qu’est-ce que la dégressivité de l’allocation chômage ? Comment fonctionnent les systèmes d’assurance chômage en Europe ? Rendre les indemnités dégressives serait-il efficace en termes de retour à l'emploi ? Enfin pourquoi certains secteurs n'arrivent pas à recruter malgré de nombreuses offres ?
Invités :
- Bernard Vivier, directeur de l’Institut Supérieur du Travail
- Fanny Guinochet, journaliste spécialiste des questions économiques et sociales à L’Opinion
- Mathieu Plane, économiste à l'OFCE, directeur adjoint au Département Analyse et Prévision
- Robin Rivaton, économiste, membre du conseil scientifique de la Fondapol.
Transcription :
...
Magali Pontal, assistante maternelle à mi-temps, conflit entre patronnat et syndicats de salariés, ... c'est très "Bercy" plus que "ministre du travail" ... La permittence sera réformée : enchaînement de contrats de travail très courts et de périodes de chômage ... malus pour les cdd bonus pour les cdi ? ... besoins de plus de flexibilité du travail (fondapol) ... si les chômeurs sont plus contrôlés, il faut que les entreprises acceptent le bonus/malus ... en espagne (16,1% de chômeurs), diminution au bout de six mois ex xavier martinez rodriguez webmarketing, 35 ans à Atocha, il l'ignorait 175€/semaine ... la vraie réponse est dans l'aide, la formation, l'accompagnement ... mais il faut faire des économies que dans deux ans le système d'assurance chômage ne perde plus d'argent ... crée des files d'attente car prend le travail des moins qualifiés, ce n'est donc pas la bonne solution ...
difficile d'isoler les résultats quand on a bougé plusieurs paramètres ... assurance là en cas de coup dur dans une période difficile ... /baisser l'indemnité des cadres c'est pas la mission de l'assurance chômage ... ensemble de mesures, coûteuse pour les entreprises, pour les salariés, les retraités (csg) ... le marché de l'emploi est spécifique rester universel ?
ya 5 millions de chômeurs en france, >100 000 à 180 000 emplois à pourvoir dans l'hôtellerie/restauration alain fontaine resto le mesturet paris, recruter des migrants, demandeurs d'asile ? Pour aurélien taché lrem ... mieux intégrer les réfugiés ... étude pôle emploi 3,9 millions d'offres ont abouti 5% des offres n'ont pas abouti /manque d'attractivité ou autre ... miser sur la formation mais salaires doivent correspondre aux qualifications ... en centre ville, effet de coût des loyers où ya ces emplois -> effets de rétention pas assez pris en compte. 2è point aides matérielles tickets cantines, etc, non mesurées, facteur explicatif
ya pas que l'argent, ya la formation, la grande distrib a créé des écoles /métiers de bouche, la promotion sociale ex rachat du bar, dynamique collective
fanny g : /droit refus emploi : théoriquement oui, mais le ctrl 1500 contrôleurs augmente, plan pauvreté passer au crible le mille feuilles des aides sociales, compliqué, trouver les bons arbitrages,
/prime d'activité coûte cher car marche bien a des freins, le tx de recours a augmenté
Q : 1- licencié à 57 ans n'a pas retrouvé un travail, être au chômage n'est pas un cadeau
/seniors, très difficile, pbt de dérogation, patienter jusqu'à la retraite
/rapport cese évolue car différent dans autres pays, le regard s'améliore
tendance fatale, <<retour à l'emploi = trappe,
2- que des mesures pour les derniers de cordée (Anna)
/peur risque, jeu politique pas si évident
/cadres cotisent plus que reçoivent ! mais ont indemnités de chômage élevés >6k€ quelques 100 personnes ! et 20000 à >4k€
3- chasser le chômeur professionnel
certains optimisent mais pas énorme 50% non indemnisés ! et peu ont 2 ans d'indemnités !
/pauvreté /chômeur tx >>élevé
4-plafonner les allocations ?
assurance mais cotisations transférées vers la csg payé /retraités aussi
Café Techno ☕ du SPN : Economie collaborative, économie traditionnelle : le temps de la réconciliation ?
Date : Jeudi 27 septembre 2018 de 8h30 à 10h00
Lieu : au Moulin de l’Abbaye (135 route de Bordeaux – 16000 Angoulême)
Inscriptions
Intervenant : Christopher Leguy
Depuis l’émergence d’une nouvelle économie dite « collaborative », beaucoup ont tendance à l’opposer à sa grande sœur, l’économie traditionnelle. Force est de constater qu’aujourd’hui, de nouveaux modèles de synergies sont en train de se dessiner entre les startups de ce domaine et les entreprises « traditionnelles ».
Avec l’expérience d’un long travail d’identification et d’agrégation de l’offre collaborative, la startup SoUse partagera son retour d’expérience et dressera un état des lieux des opportunités à venir entre économie traditionnelle et collaborative.
L’intervenant
Christopher est Chief Product Officer de la startup SoUse. Il est également consultant / PMO de l’agence 4h04 et accompagne les entreprises dans leurs stratégies numériques et leur digitalisation.
Le moteur de recherche de l’économie collaborative
Basée à Niort depuis 2016, la jeune pousse locale a développé le premier moteur de recherche dédié aux pratiques de consommation alternatives. Avec plus de 10 millions d’offres à travers le monde, SoUse offre aux utilisateurs un champ de recherche allant de la simple location de voiture au dîner chez l’habitant en passant par les plateformes de services à la personne.
Une histoire des derniers mois et de ses conflits :
ce qui a été perdu, ce qui a été arraché, ce qui est encore possible.
paru dans lundimatin#152, le 26 juillet 2018
lundimatin {papier}
1 min 25 avr. 17
La Maison de la grève de Rennes nous a transmis ce texte qui retrace, d’un point de vue situé ce qui s’est passé à la zad, depuis l’abandon de l’aéroport. « Il nous a semblé utile d’écrire ce texte étant donné l’absence de récit clair, même subjectif sur le sujet. »
...
Essayons donc d’être clairs :
— Ce que la Zad n’est plus : une zone de non-droit et un refuge absolu ; la réponse à toutes nos questions ; l’épicentre des luttes autonomes et écologiques ; le fantasme de l’unité et de la force insurrectionnelle ;
— Ce que la Zad est encore : une zone d’expérimentation et d’existence hors-normes ; un espace de rencontres et de transmission de savoirs, une puissance matérielle, un lieu chargé d’une histoire vivante
— Ce que la Zad peut devenir : un soutien et une arme pour les luttes alentours ; un symbole de victoire possible ; un espace de désertion active ; une base arrière ; une piste d’envol.
S’il y a confusion, c’est aussi parce que c’est en nous que se mélangent et s’affrontent les deux tendances décrites plus haut. Il nous faut donc reconnaître ce qui a été perdu, et tout faire pour que de telles friches s’ouvrent ailleurs, mais aussi comprendre ce qui est encore possible, et tout faire que ce possible advienne. Un territoire autonome, ce n’est pas un territoire hors du monde, désir utopique. Les terres de la Zad ne seront pas arrachées parce que nous arriverions à les soustraire à toute influence du monde extérieur : mais parce que, plongées dans ce monde et dans ses contradictions, elles parviendraient à s’extraire de certaines de ses logiques pour en imposer d’autres.
Des terres véritablement arrachées, cela voudrait dire :
1) arrachées à la propriété privée. Pour cela, il faut être capable d’imaginer des structures administratives et juridiques nouvelles, capables de retourner le droit contre lui-même.
2) arrachées à l’économie, et en particulier à l’agro-industrie. Pour cela, il faudrait approfondir l’organisation qui permet déjà à une partie des productions de la zone de nourrir la grève au lieu du marché.
3) arrachées à la gestion étatique, concernant l’habitat et les forêts surtout, pour que tous ceux qui veulent déserter puissent venir y trouver là quelques manières de faire. Pour cela, il faudra batailler ferme avec les bureaucrates.
Ces possibilités restent suspendues à notre ténacité : les conventions ne courent que jusqu’en décembre. Un premier revers, déjà, a été essuyé avec la promesse de vente du territoire au département de Loire-Atlantique, fervent promoteur du projet d’aéroport, qui sera un adversaire bien plus hostile encore que l’État.
Une première tentative, déjà, de faire de la Zad un espace de rencontre révolutionnaire sera faite cet été avec la tenue d’un camp à la fin du mois d’août.
La question de partir ou rester s’est posée, se pose et se posera encore.
Il fallait avoir le courage de rester,
Il fallait avoir le courage de mener les négociations, de prendre le risque de gagner ou de perdre avec ce que la victoire implique de salissant, avec ce que la défaite implique d’amertume et de doute.
La défaite serait d’être acculés à défendre ses acquis, son bout de terrain et de gras au nom d’un idéal révolutionnaire. Si ce moment arrive, il nous faudra ce même courage pour partir.
La victoire sera de faire de ces terres une machine de guerre communiste. [7]
Maison de la Grève,
désertion et sécession since 2010
...
Machine de guerre communiste
Communiste : qui partage les armes, les idéaux et la nourriture
ndlr : belle analyse, lumineuse, nécessite confrontations pour briller ?
ACT
guides de poche de l'enseignant
Un projet pour...
00999000773575 - Médiathèque L'Alpha - Adulte - LIV - 371.5 - DIS
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SOMMAIRE
déjouer la logique du conflit
- recadrage
- la technique de confusion
- l'effet miroir
- l'interprétation décalée
- la prescription du symptôme
- la riposte approbative
- les détours tactiques
Quelques phrases "picorées" :
- Être cultivé, c'est avoir construit un ensemble de connaissances et de compétences qui nous permettent d'analyser et de comprendre le monde qui nous entoure... mais aussi d'agir sur lui !
- démarche ouverte ... état d'esprit ...
- noblesse de la résistance de l'élève envers le prof => maîtriser quelques stratégies d'influence ... certaine tolérance /exubérance juvénile ... dialogue ... éthique (pas dévaloriser ni mépris ni vexations)... ménager une issue... levier du paradoxe, la non contradiction... recadrage... écoute, observation, sagacité, débrouillardise, créativité...
fiche de lecture :
- faire l'apprentissage du pouvoir éthique et faire l'éloge de la complexité maîtrisée, de la subtilité me semblent résumer ce que je tire de ce livre
- valoriser pour l'enseignement en général, notamment pour les professeurs de collège et de lycée, notamment ceux qui débutent
- question : tous ces éléments ne se retrouvent-ils pas dans la situation actuelle de plpdla de médiation auto-instituée face à des citoyens non éduqués sur l'anthropocène ? => questionner les psychologues
ACT
00999000856461 - Médiathèque L'Alpha - Adulte - LIV - 658.4 - CON
=>
- lire
- i (trouver le lien chez l'éditeur ou critiques)
- valoriser ?
ACT
Près d’un millier de personnes ont participé à la marche blanche organisée hier à Grenoble, en hommage à Adrien Perez. Le jeune homme de 26 ans a été tué d’un coup de couteau en plein cœur le 29 juillet dernier, après s’être interposé lors d’une rixe à la sortie d’une boîte de nuit. Derrière une grande banderole clamant "Justice pour Adrien. Nous ne t’oublierons jamais" et ballons blancs à la main, le cortège a défilé pendant une heure et demi dans les rues grenobloises, où Adrien Perez a grandi. Ce rassemblement était également l’occasion pour les proches de la victime et les habitants d’exprimer le sentiment d’insécurité qui règne à Grenoble. "On a beau dire "ça suffit", "plus jamais ça" et organiser des marches blanches après chaque drame, rien ne change et la liste des victimes s’allonge", a déploré le père d’Adrien Perez. Hier soir, une nouvelle scène de violence a éclaté dans la ville : un homme a été gravement blessé lors d’une fusillade, mais son pronostic vital n’est pas engagé.
Problèmes d’insécurité, manque de moyens et de mobilisation de la part de l’Etat : la liste des revendications est longue pour les maires de banlieues. Face aux difficultés rencontrées au quotidien, les élus et les associations ont tiré la sonnette d’alarme il y a plusieurs mois déjà. En mai dernier, le maire de Sevran Stéphane Gatignon a décidé de démissionner, dénonçant le "mépris de l’Etat pour les banlieues". Alors que le rapport de Jean-Louis Borloo cristallisait les espoirs et les attentes, le gouvernement a finalement proposé des mesures bien moins ambitieuses. Avec Emmanuel Macron, il n’y aura donc pas de grand "plan banlieues", mais "une nouvelle méthode". Sera-t-elle suffisante pour convaincre des élus qui se sentent abandonnés ?
Face à la violence et aux affrontements à répétition dans les quartiers, il existe une brigade spécialisée : le Groupe de Soutien des Quartiers (GSQ). Depuis 2010, les forces de l’ordre patrouillent dans des endroits ciblés pour surveiller les bandes d’individus violents et intervenir en cas de rixe. Rivalités territoriales, amoureuses, trafic de stupéfiants ou autres affaires : les conflits ont plusieurs sources et peuvent dégénérer très vite. En établissant un suivi de ces groupes et une meilleure coopération entre les commissariats locaux, la police mise sur la prévention pour éviter de nouveaux drames.
Comment expliquer la "culture de la violence" à Grenoble ? Comment en finir avec l’insécurité dans les quartiers ? Quelles mesures concrètes le gouvernement Macron a-t-il pris en faveur des banlieues ?
Invités :
- Yves THREARD - Directeur adjoint de la rédaction du Figaro
- Damien DELSENY - Rédacteur en chef adjoint au Parisien, en charge du service police / justice
- Xavier LEMOINE - Maire de Montfermeil (Seine-Saint-Denis)
- Evelyne SIRE-MARIN - Magistrate, Présidente de chambre à la cour d’appel de Versailles
Ndlr : faire offre de service avec AMS+MDH+CHDEB+ZADpartout ACT
« Le rôle clé de l'avocat quand il recommande la médiation »
La médiation est-elle utile en temps de crise ?
Oui, elle permet de rechercher une justice apaisée, de récréer le lien entre les parties et de performer la gestion des conflits dans les entreprises : c'est moins onéreux que de provisionner le risque judiciaire sur des années et plus rapide qu'un contentieux judiciaire. Une enquête récente montre que les grandes entreprises françaises ont intégré les modes alternatifs de règlement des litiges, dont la médiation, comme un enjeu stratégique pour une meilleure performance globale.
Comment se familiariser avec l'outil ?
Dès juillet, en s'inscrivant aux modules proposés, pratiques, ludiques et en continu sur les 3 jours de Campus 2013. Ils permettent, sur 2h, de se former intelligemment via des jeux de rôles et cas pratiques, par petits groupes. Puis, en août, en participant à la 1ère université d'été de l'Ecole de la médiation du barreau de Paris, sur la médiation commerciale internationale. Les 25h d'enseignement sont prises en compte sur les 130 heures annuelles de formation proposée par l'Ecole, 55 heures étant comptabilisées en cas de formation suivie dans une association agréée par notre barreau. A l'automne, en participant aux ateliers sur « Le rôle de l'avocat » et « La médiation et les entreprises ».
Pourquoi cette Ecole pilote ?
Pour faire croître la prescription de la médiation et expliquer à l'avocat son rôle clé de conseil et d'accompagnateur quand il recommande la médiation à ses clients, alors qu'il s'en croit souvent exclu ! Notamment, préparer les réunions, les clients, la stratégie, les aspects financiers, y compris ses propres honoraires. L'avocat, sélectionné à l'entrée, obtient la qualification médiation barreau de Paris à la sortie de l'Ecole, à mentionner sur son papier-en-tête, et peut devenir médiateur agréé.
ndlr : grande confusion et mélange des genres que tout cela... par le bâtonnier de l'ordre des avocats ? creuser ACT
La médiation préalable obligatoire, prévue pour désengorger les tribunaux, va être expérimentée par des centres de gestion volontaires. Les collectivités intéressées doivent délibérer vite, les conventions étant à signer avant le 1er septembre 2018.
Une quarantaine de CDG (centres de gestion) vont tester, jusqu’en novembre 2020, la MPO pour des désaccords opposant les employeurs territoriaux et les agents. Le décret du 16 février 2018 liste les thèmes concernés. Si une collectivité décide d’adhérer à la MPO, il faut impérativement saisir le médiateur avant d’aller devant un juge. Cependant, il n’y a pas d’obligation à trouver une solution de médiation ! Avec ce dispositif, le législateur souhaite désengorger les tribunaux en réglant des affaires en précontentieux.
Aider à l’émergence d’une solution
« Dans les cas de conflits relevant d’une méconnaissance du droit, un juge est indispensable. Toutefois, en majorité, ils découlent de problèmes managériaux, or un juge n’est pas un manager. La médiation a donc toute sa place à côté du droit pour traiter ce qui n’a pas à être réglé par les tribunaux mais qui l’est faute de mieux », résume Jean-Laurent Nguyen Khac, directeur général du CIG de la grande couronne d’Ile-de-France (1 100 collectivités affiliées, 100 000 agents) et président de l’ANDCDG.
Devenir médiateur requiert une certaine posture. Une formation d’une dizaine de jours a donc été instaurée par la Fédération nationale des CDG et l’ANDCDG ...
ndlr : quels risques de conflits d'intérêts si le médiateur est recruté et formé par un centre de gestion ? ACT
Event Time 14:00 - 18:00
Event Start Date 11 July 2018
Atelier sur la Sociocratie : Introduction interactif aux modes de fonctionnement de la sociocratie. La sociocratie est une stratégie de prise de décisions et de résolution des conflits, horizontale et basé sur le consentement (pas consensus !). La première étape est de créer ensembles une vision commune et une culture de la coopération. L’outil permets que nos décisions évoluent avec nous!
En même temps la Sociocratie créé de la compréhension et de la confiance. Le cœur de cet outil clarifie les besoins généraux et de soutien entre les membres du groupe afin de réaliser leur vision commune d’une manière attentif ET efficace.
Le processus structuré, discipliné et basé sur l’information concrète aide a des groupe d’activistes, des projets collectifs, des entreprises et associations de travailler concentré sur leurs sujets.
– VISION -> MISSION -> AIM
– Créer les rôles (Facilitation / Organisation de réunion / Archivage et Documentation)
– Créer des accords sur notre culture de coopération
– Les cercles et double-liens: Base d’une réunion sociocratic
– Faire des Propositions
– ÉLECTION SANS CANDIDAT
– Journal de bord – élaboration des décisions
ndlr : y a-t-il médiation dans la sociocratie ? => apprendre et approfondir pour recherche ACT
La médiation généraliste
La médiation est un acte volontaire posé par des personnes soucieuses de trouver une solution au conflit qui les oppose.
La médiation en entreprise
Que ce soit pour des conflits internes ou externes, pour des problèmes de démotivation, de productivité, de climat, la médiation est un outil.
Mes ressources humaines
Chacun d'entre-eux m'a donné sa part de réfléxion, d'enseignement, d'encouragement, de compréhension, de créativité.
Adresse
12 rue de Peusec
16400 Puymoyen
Charente - France
Téléphone
05 45 94 49 03
Email
saby.michel@gmail.com
article remarquable écrit par un historien, Stéphane Trayaud (université de Limoges) sur l'activité de médiation des notaires au XVIIIe siècle. La médiation a une histoire et nous espérons que les historiens s’empareront de ce champ de recherche comme l’ont fait Anne Bozon, (Université Paris 8) en analysant la fonction de médiation du clergé catholique dans « Les curés médiateurs sociaux : genèse et diffusion d’un modèle dans la France du XVIIe siècle », Revue d’Histoire de l’Église de France, 2011, t. 97, n°238, p. 35-56 et Christian Grosse (université de Lausanne) pour les consistoires dans « Pour bien de paix”. La régulation des conflits par les consistoires en Suisse romande (XVIe-XVIIe siècles) », in Jean-Luc Chabot, Stéphane Gal, Christophe Tournu (éds.), Figures de la médiation et lien social, Paris, L’Harmattan, 2006, pp. 85-107
A noter que Christian Grosse a présenté son travail sur la régulation des conflits dans le « séminaire médiation » du Groupe d’Etude Médiation (http://25images.ish-lyon.cnrs.fr/Portails/mediation/fr)
Thème : Médiation
Les médiatrices du Centre de recherche et de médiation, à Toulouse, aident des couples en cours de séparation à apaiser leurs désaccords et trouver les solutions pour l’avenir. Un travail qui cherche à éviter les conséquences majeures et douloureuses, notamment pour les enfants, d’un conflit conjugal qui perdure.
Impartiales et empathiques
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Jocelyne Dahan, l’une des pionnières de la médiation familiale en France et directrice du C.ER.ME. (CERME)
en Argentine, gouvernée par le (très) libéral Mauricio Macri, les manifestations Mapuches sont durement récriminées.
Texte sur le cas emblématique de lutte et de répression contre la dirigeante mapuche Relmu Ñamku dans la Patagonie argentine. Celui-ci a été initialement publié dans l’ouvrage collectif « La passion du schiste. Capitalisme, démocratie, environnement en Argentine » et ici est présenté avec une introduction de son auteur, Grégory Lassalle, pour RévolutionPermanente.fr.
...
Aidé par des experts, la communauté prouve que les dommages sont plus importants : 1600 m2 au total. Devant l’absence de sanctions de l’État provincial, la communauté rompt la trêve avec Apache et bloque à nouveau le gisement. Le conflit s’exacerbe. La fracturation hydraulique, elle, avance dans la région.
Julien Delalande @JulienDelalande 3 minil y a 3 minutes
Julien Delalande a retweeté LYON TURIN
.#ZADpartout au service du #Dialogue constructif ET fondé face aux #GPII comme aux #PUC "PROJETS UTILES CONTESTÉS" JUGE DE PAIX : adapté à l'#Anthropocène ou NON https://frama.link/parti-de-lanthropocene …
Julien Delalande ajouté,
LYON TURIN @Voiexistante
Projets inutiles : A qui le tour?
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RESUME: D'oû naissent les conflits ? Pourquoi durent-ils ?
Qu'est ce qui les amplifie ?
Qu'est ce qui pourrait les réduire ?
En fin de compte, presque tous les libertariens estiment que le système actuel de droits de propriété intellectuelle est trop rigide et devrait être libéralisé. Jusqu'où nous devrions aller dans le démantèlement de ce système, et pour quelles raisons, voilà les véritables points de discorde.
Comprendre et dépasser la violence contemporaine
Observatoire des radicalisations
Observatoire international de la sortie de la violence
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