Connu / https://mastodon.top/@mdiplo@mamot.fr/110649765341968355
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5 h Le Monde diplomatique @mdiplo@mamot.fr
Aujourd'hui emblématique des banlieues déshéritées, Grigny n'était en 1969 qu'un bourg paisible de trois mille âmes quand l'État décida, sans concertation avec les autorités locales, d'y implanter deux grands ensembles : Grigny 2, la plus importante copropriété privée de France ; et la Grande Borne, un (...)
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Les samedi 9 et dimanche 10 septembre, l'équipe projet Greenpeace qui suit l'Alliance Ecologique et Sociale propose un week-end de travail autour du sujet des mégabassines. Cela fait suite à la récente demande de lutte locale portée par le GL de Poitiers et le souhait de plusieurs groupes de travailler sur ce sujet.
Les objectifs et contenus sont encore à clarifier, mais nous voudrions y voir plusieurs ingrédients visant à soutenir les GL souhaitant déployer des tactiques d'action locale. Cela peut passer par une meilleure compréhension sur le fond du sujet, une cartographie des acteurs et des rapports de force, la définition d'objectifs de campagne, la construction d'une stratégie d'action, l'identification d'audiences et d'alliés pouvant nous soutenir et le développement de tactiques spécifiques (médias, web, action terrain, etc.) notamment.
Je rappelle qu'il n'y a pas de campagne nationale sur le sujet portée par GPF, mais que nous proposons ici de faciliter le travail qui peut être mené localement par plusieurs GL.
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Ndlr : en septembre comme indiqué ou en déc selon https://wegreen.fr/group/22189/home/evenement/la-mensuelle-de-mai-2023#comment-183584 ?
Le Conseil d’État, qui a rendu cette décision jeudi, avait été saisi par plusieurs organisations qui reprochent à l’État de ne pas suffisamment protéger les riverains des épandages de pesticides.
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Le Conseil d'Etat a fixé deux mois au gouvernement pour revoir sa copie, sous peine d’astreinte de 500 euros par jour de retard. (Illustration) LP/Hugues TAILLIEZ
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saisi par plusieurs organisations, dont Générations futures, France Nature Environnement et l’association de consommateurs UFC-Que Choisir, qui reprochent depuis plusieurs années à l’État de ne pas suffisamment protéger les riverains
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substances dites « CMR2 », c’est-à-dire suspectées d’être cancérogènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction. Concernant les produits « CMR1 », dont la nocivité est établie, une distance incompressible de 20 mètres a été instaurée.
Pour les « CMR2 », le gouvernement avait indiqué en janvier 2022 qu’une distance de 10 mètres s’appliquerait par défaut à compter du 1er octobre 2022, sauf si l’autorisation de mise sur le marché de la substance prévoyait une autre distance.
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« L’État a fait miroiter l’adoption de textes (réglementaires) concernant ces CMR2 mais cela n’a pas été fait pour le moment », a pointé auprès de l’AFP l’avocat des organisations requérantes, François Lafforgue.
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🔥 Déc 13, 2022 - Par CRIC Grenoble - Face au désastre climatique et à la pénurie en eau prévue en Isère, qui osera défier ST Micro et les géants de la Silicon
Connu / TG le 26/03/23 à 12:30
35.040 signatures
Auteur(s) :
Association ASPECT (Association de Sauvegarde de Protection de l'Environnement de Coussay-les-Bois et sa région Thermale)
Suivre cet auteur
Destinataire(s) :
Monsieur le Préfet de la Vienne Jean-Marie GIRIER, Monsieur le Sous-préfet de Châtellerault Christophe PECATE, l'ensemble des autorités environnementales (DDT, DREAL) et judiciaires (Tribunal administratif de Poitiers, Cour d'Appel de Bordeaux)
La pétition
Alors que partout sur la planète, on s'alarme des conséquences du dérèglement climatique et qu'il est nécessaire de baisser les émissions de carbone, un projet industriel d'élevage intensif, fort émetteur de CO2 et à risque futur et certain de pollution des eaux démarre à Coussay-les-Bois dans la Vienne.
Depuis 8 ans, nous luttons contre ce projet d'un autre temps grâce au soutien constant de la population et des élus des 47 communes environnantes.
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politique hors-sol en stoppant les travaux de cette prochaine usine d'engraissement intensif.
Pour sauver le bien vital qu'est la ressource en eau d'un territoire, pour préserver l'image d'une région thermale et pour en finir avec cette politique agricole qui néglige la qualité.
Pour lutter contre la maltraitance animale, pour préserver l'indispensable biodiversité et enfin pour réduire les risques sanitaires, signons massivement cette pétition :
Pas une ferme-usine de plus !
Association ASPECT : http://asso-aspect.over-blog.com/
Facebook : @associationASPECT
Twitter : @Asso_aspect
Collectif contre la ferme-usine de Coussay-les-Bois (15 structures): https://www.collectifcoussay.fr/
Connue / https://twitter.com/nickcharles6050/status/1600595172789784589
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Nick @nickcharles6050 7 déc. 2022
Nature et environnement - Signez la pétition : Non au démarrage des travaux de la Ferme-usine des 1200 taurillons à Coussay-les-Bois
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note
Sortir des marchés et refonder un service public pour résoudre rapidement et durablement la crise
Télécharger la note au format PDF https://institutlaboetie.fr/wp-content/uploads/2022/12/NOTE-ILB-ENERGIE.pdf
Résumé
La théorie comme la pratique démontrent la profonde inadaptation du marché aux systèmes électriques. Cette inadaptation a des conséquences sociales, économiques et en termes de capacité à mener la transition énergétique.
Après une succession de crises, le marché et la concurrence semblent bien être aujourd’hui les principaux responsables des énormes difficultés auxquelles sont confrontés tous les consommateurs, menaçant de provoquer une crise économique majeure et bloquant les investissements dans la transition énergétique. Ainsi, le coût de production moyen d’un mégawattheure reste inférieur à 100 euros en France, tandis que les prix de marché ont dépassé les 1 000 euros à l’été 2022, se répercutant sur les factures.
L’État a dû mettre en place un bouclier tarifaire pour limiter les hausses, pour les plus petits consommateurs, à 4 % en 2022 et 15 % en 2023 ainsi que des mesures ciblées pour tous les types de consommateurs. Malgré ces mesures coûteuses pour l’État – de 25 à 30 milliards en 2023 –, de nombreuses entreprises et collectivités, non couvertes par le bouclier, ont vu leur facture multipliée par 3, 4, voire 10, sans rapport avec l’évolution des coûts de l’électricité – qui n’ont, eux, augmenté que de 4 % en 2021 et autour de 50 % en 2022.
Ce constat d’échec devrait conduire à proposer des bifurcations dans l’organisation du secteur de l’énergie. La nécessité de changements profonds fait d’ailleurs aujourd’hui consensus dans les discours : une réforme « structurelle » du marché européen de l’électricité sera d’ailleurs débattue au premier trimestre 2023.
Une solution, discutée dans cette note, consiste à mettre en place un système public de planification et d’exploitation du parc de production français rémunérant les producteurs sur la base d’une grille tarifaire simple et équitable pour tous les consommateurs. Basée sur les coûts de production, cette grille garantirait une stabilité des prix, réglant ainsi de manière efficace et pérenne les effets de la volatilité des prix de l’électricité : plus de surprofits ou de pertes pour les producteurs, ce qui sécuriserait les investissements dans le parc électrique ; plus de prix qui s’envolent pour les consommateurs, les protégeant et leur permettant d’envisager les investissements d’efficacité énergétique et d’électrification des usages nécessaires à la transition énergétique.
Une telle décision pourrait être mise en œuvre en France rapidement de manière opérationnelle car elle ne remettrait pas en cause l’organisation actuelle des échanges transfrontaliers ni, bien sûr, la mutualisation des moyens de production via l’interconnexion physique du système électrique européen (qui est bien antérieure à la mise en place d’un marché concurrentiel).
Cette proposition exigerait de s’affranchir de certaines règles européennes, principalement du principe de libéralisation du marché de l’électricité promu depuis 1996 et figurant dans le traité de Lisbonne. Mais ces règles, largement contournées depuis des années, sont profondément remises en cause par la plupart des pays de l’Union européenne face à la crise actuelle.
À plus long terme, le mécanisme de marché qui gère aujourd’hui les échanges transfrontaliers gagnerait à être remplacé par un opérateur public centralisé européen, mais une telle évolution imposerait une décision collective à l’échelle européenne.
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Connu / TG le 02/03/23 à 21:12
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Anne Debrégeas, ingénieure-économiste, autrice de la note « Face au défi énégétique : démarchandiser l’électricité, la solution ? de l’Institut La Boétie, est l'invitée de « À l'air libre » ce soir, face à Nicolas Goldberg, expert chez Columbus consulting.
20 vues 1+ -
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Tr.: Exideuil-sur-Vienne le 10 décembre, à la salle de la Soulène. ...
Marie-Pierre Noël, Noé Robin, Raymond Martin, Pierre-Marie Coiteux
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Les luttes du territoire
Les méga-bassines et la privatisation de l'eau en Poitou-CHarentes par Agnès Baudrillart, BNM16
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L'enseignement professionnel en danger ? Toutes et tous mobilisé·e·s contre la réforme
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Philippe Dauriac, secrétaire national et départemental CGT Éduc'action en charge de l'enseignement professionnel ...
L'égalité hommes/femmes et pour l'accès de toutes et tous à l'information en milieu rural : Léa Grange, Céline Bertaux et Myriam Hassoun, Collectif Femmes en campagne (association) existe depuis deuxs ans à l'initiative de Léa pour lutte droits des femmes en charente-limousine ou val de tardoire 20%des femmes en milieu rural mais 50% des féminicides, lutte contre les discrimination, visibilité des femmes, événements ...
D'Exideuil à Chabannais, des projets de carrières contre la population ? / Éric Germond, maire d'Exideuil et Gael Detrain, association Chabannais Défense et Environnement ...
Lutter contre le Rassemblement National : projection du film documentaire Danse avec le FN de Paul Moreira
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Réunion publique avec Damien Maudet, député de la 1ère circonscription de la Haute-Vienne
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Collectifs qui ont répondu présent : EELV, LFI, PG, POI, PS, CGT Educ'Action, Attac 16, Bassines non merci Aume-Couture
Temps de lecture : 3 minutes
Clés : Aides financières Presse
Le principe de la déconjugalisation de l’allocation aux adultes handicapés a été décidé par le Parlement le 16 août 2022.
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le décret en Conseil d’Etat n° 2022-1694 du 28 décembre 2022 relatif à la déconjugalisation de l'allocation aux adultes handicapés a été publié et sera suivi d’un décret simple début janvier. https://eye.diffusion.social.gouv.fr/c?p=wAbNBJvDxBDQxNCB0JgvVetG0LHQvxhU0I_QyUYQ0JPEENCZ0LzQgtCC0LxSRCHQo-Dl0KBo-Br-2TtodHRwczovL3d3dy5sZWdpZnJhbmNlLmdvdXYuZnIvam9yZi9pZC9KT1JGVEVYVDAwMDA0NjgzMDA0Mbg1YTU4NzNlZGI4NWI1MzBkYTg0ZDIzZje4NjEyMzk0MTI1ZTA2MGY0NGU0NWNiNTZmwLZiTUFxVEFnX1FRSzhJUERtcjg0RmRBvGV5ZS5kaWZmdXNpb24uc29jaWFsLmdvdXYuZnLEFH4VFzbQxNDaN9CgQ9C30JXQydCj0L_QzDFD0LfQ1dDe
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Le décret paru ce jour permet de continuer les travaux nécessaires au succès de la réforme, qui doit être effective à compter du 1er octobre 2023 au plus tard.
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Ministère des Solidarités, de l’Autonomie
et des Personnes handicapées
Cabinet de M. Jean-Christophe COMBE
Tél : 01 40 56 70 75
Mél : sec.presse.cabsolidarites@social.gouv.fr
Ministère chargé des Personnes handicapées
Cabinet de Mme Geneviève DARRIEUSSECQ
Tél : 01 40 56 50 92
Mél : sec.presse.cabph@social.gouv.fr
Par Michel Janva le 8 décembre 2022 4 commentaires
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revendiquant l’héritage spirituel de Willy Brandt, O. Lafontaine prône la justice sociale, la lutte contre les privilèges des grandes sociétés et de leurs dirigeants mais aussi le refus de la participation allemande aux interventions au Kosovo ou en Afghanistan ».
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Voici les déclarations fracassantes d’Oskar Lafontaine sur le déclin économique de l’Allemagne, la guerre par procuration entre la Russie et l’OTAN en Ukraine – et pourquoi il exige le retrait des troupes américaines d’Allemagne.
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nous vivons les affres de l’enfantement de la phase de transition d’un ordre mondial unipolaire à un ordre mondial multipolaire. Et là la question se pose si nous avons notre propre place dans ce nouvel ordre mondial ou si nous nous laissons entraîner dans les conflits de Washington avec Moscou et Pékin en tant que vassaux américains. ...
6:06 #FranceInsoumise #NUPES
75,1 k abonnés - 330+ - 3 582 vues - 94 commentaires
La France insoumise va investir pour acquérir un local dans chaque département !
Lors de notre Assemblée Représentative, Anais Belouassa et Antoine Léaument ont présenté le projet et expliqué comment nous allons faire.
Infos : https://lafranceinsoumise.fr/assemblee-representative-10-decembre-2022/
Connu / TG 9/01/23 à00:35
16 min
Figure médiatique du débat sur la transition énergétique, cet ingénieur très critique sur les renouvelables et pronucléaire n’hésite pas à tordre les faits pour défendre ses idées.
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deux idées-forces.
La première est que la menace climatique se double d’une crise plus immédiate des ressources sur lesquelles repose tout notre système économique : les énergies fossiles, en voie avancée d’épuisement. Le déclin de leur production pour des raisons géologiques, dont on observerait déjà les signes, va fatalement entraîner celui du produit intérieur brut (PIB). Donc, soit nous organisons l’inévitable décroissance induite par la déplétion des fossiles, soit nous la subissons et le choc récessif sera violent.
La seconde porte sur les réponses au constat. Il faut, d’une part, organiser la sobriété pour sortir sans trop de casse de l’impasse des fossiles. D’autre part, pour ce qui nous restera de besoins énergétiques à couvrir, un déploiement massif du nucléaire est incontournable, étant donné les limites physiques des autres moyens décarbonés.
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Le nucléaire est, pour Jean-Marc Jancovici, « un amortisseur de la décroissance », illustré dans sa BD (page 162) par la métaphore du parachute ventral : cela « nous permettra de conserver une partie, et une partie seulement, de ce que nous avons aujourd’hui. Et d’amortir une chute trop brutale. »
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trois points centraux de l’argumentaire de Jean-Marc Jancovici, aux implications fortes, sont très discutables.
Le premier est l’idée que le monde va fatalement entrer en récession parce que son principal carburant, l’énergie fossile, va manquer physiquement, et ceci à un horizon très proche.
Le deuxième est que les énergies renouvelables variables ne peuvent jouer qu’un rôle de second plan, ce qui fait du nucléaire un moyen de production de première instance (c’est le « parachute ventral » qui rendra la décroissance soutenable).
Le troisième est que le risque nucléaire fait l’objet de beaucoup d’exagérations.
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Pour Patrick Criqui, comme pour l’immense majorité des experts, un manque physique à l’horizon des contraintes qu’impose le changement climatique est « un non-sujet ». Un article paru dans Nature a récemment évalué que si l’humanité réduisait sa consommation de fossiles à un niveau compatible avec l’objectif 1,5 °C, il resterait, en 2050, 58 % des réserves pétrolières exploitables estimées en 2018, 56 % des réserves gazières et 89 % de celles de charbon.
« Nous sommes peut-être en train de franchir le pic des fossiles, mais c’est un pic de demande, non d’offre », ajoute l’énergéticien Stéphane His, consultant et auteur d’un blog dans lequel il décortique page à page Le monde sans fin pour démêler le vrai du faux.
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« La réalité, rappelle Stéphane His, est que la quantité d’énergie nécessaire pour produire une unité de PIB n’a cessé de décliner depuis une cinquantaine d’années au niveau mondial. »
« De la part de l’ingénieur, cette sous-estimation du progrès technique est fascinante », commente Cédric Philibert, chercheur associé au Centre énergie et climat de l’Ifri.
Il n’y a pas de discussion sur le fait que ce découplage est très insuffisant et Jean-Marc Jancovici a certainement raison d’insister sur la sobriété.
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Selon un rapport de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) http://www.iea.org/news/renewable-power-s-growth-is-being-turbocharged-as-countries-seek-to-strengthen-energy-security paru le 6 décembre également, les perspectives de déploiement des renouvelables pour la période 2022-2027 dépassent de 30 % ce qui était anticipé l’an dernier. Et pour cause. Le solaire et l’éolien terrestre sont, dans la grande majorité des pays, les moyens les moins chers de produire de l’électricité. Ils devraient représenter 90 % des capacités électriques installées dans les cinq prochaines années, selon l’AIE.
Mais n’allons-nous pas buter sur les ressources minérales ? « A cause de leur caractère très diffus, le solaire et l’éolien demandent 10 à 100 fois plus de métal au kWh » que le nucléaire, affirme Jean-Marc Jancovici dans sa BD (page 131), sans s’embarrasser de sourcer, ici comme ailleurs.
Sur son blog, Stéphane His repère que les chiffres employés par Jean-Marc Jancovici sont souvent anciens. Dans le cas d’espèce, il s’agirait de données remontant aux années 2010. Or, depuis, la technologie a continué de progresser à toute allure.
Citant un rapport de l’AIE sur les métaux de la transition paru l’an dernier, Stéphane His écrit que le ratio entre le nucléaire et les renouvelables serait de l’ordre de 1,4 à 3 selon les technologies. Surtout, le même rapport montre que l’essentiel de l’accroissement de la demande de minéraux dans son scénario « zéro émissions nettes en 2050 » (où le nucléaire produit près de 10 % de l’électricité mondiale et le solaire et l’éolien, 70 %) provient des véhicules électriques. Rien à voir, donc, avec la nature des capacités électriques, nucléaires ou renouvelables.
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Ce chiffre repose en effet sur la consommation d’énergie primaire de ces dernieres années, environ 3 000 TWh, mais qui comprend de considérables pertes de chaleur dans les centrales électriques, nucléaires ou fossiles. La France décarbonée de 2050 aura en fait besoin de 930 TWh d’énergie finale, dont 55 % d’électricité (scénario RTE). Une électricité pas seulement fournie par les éoliennes, mais aussi par le solaire photovoltaïque et l’hydraulique.
Dans son scénario électrique 100 % renouvelable, RTE estime leur nombre à environ 30 000 mâts en 2050… comme en Allemagne aujourd’hui. Et RTE se base sur des puissances d’éoliennes (2,5 MW) d’ores et déjà dépassées.
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sous serment devant les mêmes parlementaires, il déclare à propos des déchets qu’il est prévu d’enfouir qu’« au bout de quelques siècles, les produits de fission reviennent au niveau de radioactivité de l’uranium initial. (…) La partie la plus radiotoxique, c’est pas 100 000 ans, c’est beaucoup plus court. »
Or, dans ces déchets hautement radioactifs, il n’y a pas que ce qu’on appelle les produits de fission (dont au passage certains, comme le césium 135, mettent plus de 2 millions d’années pour perdre la moitié de leur radioactivité). Il y a aussi des produits appelés actinides mineurs dont les durées vont très au-delà de « quelques siècles ».
Plaider en faveur du nucléaire n’autorise pas à en minimiser les risques et badiner sur le nombre de victimes
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On peut construire des systèmes décarbonés performants avec un peu, beaucoup ou pas de nucléaire. On peut continuer à extraire des fossiles longtemps (et détruire la planète) avant qu’ils ne viennent à manquer pour de vrai.
En fait, nous pouvons faire des choix. Celui d’un monde triste, une longue chute sans fin ralentie par des parachutes pour ceux qui le peuvent. Celui d’un monde désirable, palpitant à construire, plus solidaire, plus juste, plus gai, en considérant les difficultés d’aujourd’hui comme autant d’opportunités pour changer.
Connu / https://mastodon.top/@gaetan@piaille.fr/109637521443900059
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Louis Derrac 🇫🇷 🇬🇧 a partagé 1 h gaetan@piaille.fr louisderrac@mastodon.zaclys.com Gaëtan Le Feuvre @gaetan@piaille.fr
« Jean-Marc Jancovici semble en définitive penser le monde comme si la réalité des ressources physiques imposait des choix très restreints à l’humanité. Des choix nécessaires que l’expert-pédagogue révèle aux hommes, de même que le prêtre se fait l’interprète d’un ordre divin immuable pour régler le désordre du monde. »
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Plutôt que de criminaliser les actions de désobéissance civile, les responsables politiques doivent contribuer à l’apaisement en créant des espaces de dialogue avec les nouvelles générations qui s’insurgent contre la destruction des écosystèmes et l’inégal accès aux biens communs, estime dans une tribune au « Monde » un collectif d’universitaires et de responsables d’associations.
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La condamnation sans nuance des actions dites « de désobéissance civile » à laquelle nous avons assisté procède d’une indignation en partie jouée et comme souvent sélective. Portée par un spectre politique qui va de la majorité gouvernementale jusqu’à l’extrême droite, elle se présente en garante d’un ordre social figé.
Pour autant, ces réactions révèlent aussi une incompréhension, plus ou moins forte, parfois sincère, des enjeux actuels de la lutte contre les changements climatiques et pour la préservation des écosystèmes. Il y a urgence à s’abstraire des outrances, de celles qu’affectionne notamment le ministre de l’Intérieur, dont la préoccupation principale semble de cliver toujours plus dangereusement.
La fabrication d’un nouveau vocable disqualifiant, l ’« écoterrorisme », est à cet égard éclairante. Un tel terme aurait pu naître comme d’autres avant lui dans les médias d’extrême droite, mais c’est un membre du gouvernement qui s’y est essayé, accolant le spectre du terrorisme – dont il n’est nul besoin de souligner la peur qu’il entraîne par nature – aux mobilisations écologiques.
Les biens communs : les sols, l’eau, l’air, les semences, etc.
Les nouvelles générations engagées pour le climat, jeunes ou moins jeunes, mais aussi les scientifiques font face depuis des années à l’attentisme et aux postures invocatoires des responsables politiques sur les enjeux écologiques. Ces expressions citoyennes diverses se sont organisées pour faire reconnaître par la justice l’inaction climatique de la France et y sont parvenues notamment avec « L’affaire du siècle ».
Elles ont constaté l’instrumentalisation dont la convention citoyenne pour le climat a fait l’objet. Cet objet novateur mais fragile du fait de son absence d’existence constitutionnelle ou d’assise démocratique a en effet vu ses conclusions dévoyées sitôt rendues.
Lire aussi : Article réservé à nos abonnés En Allemagne, débat sur la nature « criminelle » d’une organisation écologiste
Au lieu que soient tirées les leçons de la pandémie sur la nécessité de concevoir l’être humain imbriqué dans la biosphère, nous assistons à la relégation de l’équilibre des écosystèmes bien loin derrière les impératifs économiques productivistes organisant la captation de ressources qui devraient être protégées comme autant de biens communs : les sols, l’eau, l’air, les semences, etc.
Des transgressions de normes symboliques
Décrochages de portraits présidentiels, occupation ponctuelle de lieux de passage, peinturlurages bon enfant… Dans l’immense majorité des cas, la désobéissance civile passe par des actions pacifiques et vise à dénoncer l’absence ou l’insuffisance de règlementation pour faire face aux obligations internationales de l’Etat en matière environnementale, ou de leur non-mise en œuvre quand cette règlementation existe.
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Connu / TG le 4/01/22 à 18:25
Le trafic SNCF est en ce moment très perturbé entre Limoges et Paris en raison des travaux de rénovation. Il y ...
Connu / TG le 1/01/22 à 22:12
Le député La France Insoumise de la 4e circonscription de la Haute-Garonne, François Piquemal, s'est vu refuser par la préfecture et la mairie de Toulouse, une visite du "115", l'aide à l'hébergement d'urgence à Toulouse.
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Le député, qui a visité des lieux protégés comme le Cnes, la prison de Seysses, Ariane Space ou Airbus Defence and Space depuis le début de son mandat en 2020, et qui assiste chaque mois à des auditions à huis clos en commission Défense à l'Assemblée, ne comprend pas ce refus. Il va préparer une question écrite au ministre du Logement, pour demander des explications à ce refus, et les moyens qu'il compte donner "pour faire respecter le droit à l'hébergement d'urgence".
Connu / TG le 2/01/22 à 11:07
Longtemps considérée comme propre et peu onéreuse, l’énergie nucléaire soulève un problème de taille : les déchets radioactifs ultimes. Ils doivent en effet être enfouis sous terre au minimum un million d’années, soit une éternité ! Comment alerter nos descendants du risque qu’ils représentent ? Quels pictogrammes pourraient les mettre en garde contre le cadeau toxique que nous leur léguons ?
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Connu / TG le 3/01/22 à 00:20
Connu / TG le 2/01/22 à 10:47
Renaud Joubert
1
publié le 2 janvier 2023 à 17h08
Battu de 24 voix en juin, René Pilato, candidat Nupes, a convaincu le Conseil constitutionnel d’invalider l’élection de Thomas Mesnier en Charente. Il est de nouveau candidat.
2023 devait être une année de pause électorale après la présidentielle et les législatives de 2022. Mais à Angoulême et alentours, sur la première circonscription de la Charente, on va bel et bien revoter, le 22 et 29 janvier prochain. Et c’est au premier invité 2023 de CL’Invité qu’on le doit. Pendant un petit peu plus d’un quart d’heure, René Pilato, candidat Nupes aux législatives, a répondu aux questions de CL. On l’avait quitté en candidat battu de 24 voix en juin, on le retrouve en candidat ambitieux quelques mois plus tard.
Il s’explique sur les raisons de son recours et révèle que 64 procurations de vote sur la circonscription… n’existaient pas. A l’approche d’un scrutin qu’il aborde sans dissidence à gauche - hors Lutte Ouvrière - le candidat Nupes issu de LFI martèle sa différence, que ce soit sur les retraites, l’écologie, les salaires… Quant aux débats de LFI, il maintient sa fidélité à Jean-Luc Mélenchon mais reste flou sur le cas Adrien Quattennens, renvoyant à son parti ou aux électeurs la responsabilité de trancher son cas après sa condamnation pour violences conjugales.
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Durée de lecture : 7 minutes - Alternatives Luttes
Désormais, elle vit dans une caravane et documente les luttes écologistes. Finie, la vie d’ingénieure « mortifère ». Via le collectif Désert’heureuses, elle accompagne celles et ceux qui veulent, à leur tour, bifurquer. [2/5]
« Ce n’était pas une bifurcation, mais vraiment une désertion. » Victoria Berni, 31 ans, a quitté son poste d’ingénieure en génie urbain et environnemental pour se consacrer aux luttes écologistes
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« Nous, Désert’heureuses, refusons de continuer à robotiser, accélérer, déshumaniser le monde »
Au début de l’année 2022, déclic : elle a rencontré plusieurs personnes avec un parcours similaire au sien, pas seulement « des ingénieurs qui se reconvertissaient pour faire des fresques du climat dans des entreprises, ce qui ne sert à rien ». Être avec des gens avec qui elle était enfin « raccord politiquement » lui a fait du bien. Un collectif, les « Désert’heureuses », est né peu de temps après. Elle y a tout de suite adhéré. « En étant entourée, je me suis sentie plus légitime à croire en ce que je crois », confie-t-elle. Elle n’était plus seule. « Nous, Désert’heureuses, refusons de continuer à robotiser, mécaniser, optimiser, informatiser, accélérer, déshumaniser le monde », peut-on lire dans leur manifeste https://desertheureuses.noblogs.org/manifeste/.
De là, sont nées des réflexions. Victoria Berni le reconnaît, certaines sont encore « balbutiantes ». Tous les ingénieurs et ingénieuses du pays ne vont pas démissionner demain, il y a d’ailleurs d’autres métiers « mortifères » à cibler, et la « désertion » n’est accessible qu’à une poignée de personnes qui ont les ressources financières pour le faire. Mais le collectif existe pour, déjà, montrer qu’il existe d’autres façons de vivre.
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« Déserter ne signifie pas seulement tout quitter individuellement, poursuit le manifeste. Les Désert’heureuses ont vocation à rendre cet acte collectif et politique. De le rendre désirable et plus accessible. » Et visible. Aujourd’hui, entre deux trajets pour aller manifester contre les mégabassines dans les Deux-Sèvres, ou contre le projet de stockage nucléaire dans la Meuse, Victoria Berni continue de « se raconter » sur les réseaux sociaux. De documenter les milieux militants qu’elle fréquente.
« C’est un travail d’information très important, se réjouit Johanna, membre des Désert’heureuses. Ça crée des ponts entre le monde des ingénieurs et celui des luttes, deux mondes qui communiquent très peu. »
« La médiatisation du militantisme et de leur radicalité, c’est ça qui m’a poussée à l’action, rappelle Victoria Berni. C’est ce que j’essaie de reproduire aujourd’hui. » Pour qu’en 2023, les Désert’heureuses soient encore plus nombreuses.
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🚗 POA : La vie, les gens et leurs histoires de bagnoles !
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Dernier débrief de l'année 2022... avant d'attaquer avec plus d'entrain, de joie et de gauche 2023 ! Avec Catherine Tricot et Pablo Pillaud-Vivien.