61 217 ont signé. Allez jusqu'à 75 000 !
Des terres qui n’ont jamais reçu de désherbant risquent de passer en chimie pour des raisons administratives absurdes. A l’heure où l’écologie est une priorité pour l’avenir de nos enfants et de la planète, moi Michel 57 ans, agriculteur bio depuis plus de 25 ans dans le Gard, je risque d'être obligé de vendre mes terres familiales, qui n’ont jamais reçu de désherbants chimiques, à un exploitant qui lui, travaille en chimie.
333 262 ont signé.
marie-lys BIBEYRAN a lancé cette pétition adressée à Monsieur le Ministre de l'Environnement Nicolas Hulot et à 4 autres
La France est la troisième consommatrice mondiale de pesticides, la première en Europe !
Ainsi la viticulture française occupe-t-elle 3.6% de la surface agricole mais utilise à elle seule 20% des pesticides employés en France ! La vigne est traitée une douzaine de fois, au rythme d'un traitement tous les 10-14 jours, entre le 20 avril et le 10 septembre. 80% des pesticides utilisés sont des fongicides,dont certains sont classés cancérigènes possibles.
...
Pétition réalisée avec le soutien de l'Alerte Médecins Pesticides AMLP , 18, rue Séverine 87000 LIMOGES
https://www.youtube.com/watch?v=GcYXnwA8mx4
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Objectifs du colloque :
- Informer des impacts des produits phytosanitaires sur l’Homme et l’environnement.
- Dresser un bilan des connaissances scientifiques acquises depuis une quinzaine d’années sur la thématique « phytosanitaire et santé » sur la région Nouvelle Aquitaine.
- Identifier les pistes de travail au niveau régional pour la préservation de la santé de tous.
- Favoriser les échanges et susciter de nouvelles coopérations entre les salariés, les employeurs et les riverains.
Libourne - 8 avril 2017
Intervenants (par ordre de passage) :
- René-Jean COURMONT, Vice-président de l'association Phyto-Victimes
- Paul FRANÇOIS, Président de l'association Phyto-Victimes
- Lydia HERAUD, Conseillère régionale en charge de la viticulture - Région Nouvelle-Aquitaine
- Florent BOUDIÉ, Député de la Gironde
- Patrick NIVET, Conseiller municipal de la ville de Libourne délégué à la santé, à l’hygiène et à la sécurité du personnel
Catégorie Organisations à but non lucratif
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https://www.youtube.com/watch?v=fLqJ7_9Xm48
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[2/14] Colloque Phyto-Victimes - "Produits phytosanitaires et santé : tous concernés !" - Libourne
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Phyto-Victimes
Ajoutée le 11 oct. 2017
Partie I : "Qu'est-ce qu'un produit phytosanitaire?"
Annie THEBAUD-MONY, Sociologue de la santé, et chercheur à l'Inserm GISCOP93 (Groupement d'Intérêt Scientifique sur les Cancers d’Origine Professionnelle), Université Paris XIII
Catégorie People et blogs 0 commentaire
biocides, capacité toxique, transformation métabolique
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https://www.youtube.com/watch?v=my183bki-NI
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[3/14] Colloque Phyto-Victimes - "Produits phytosanitaires et santé : tous concernés !" - Libourne - Ajoutée le 12 oct. 2017 / Phyto-Victimes
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Partie I - "Qu'est-ce qu'un produit phytosanitaire ?"
Giovanni PRETE, Sociologue, Université Paris XIII
historique de la contestation, échec du plan écophyto, innovation sociale générale, dès le 19è siècle, l'arsenic suscite l'inquiétude, institut national de médecine agricole, luttes violentes en limousin dès 1970, continuité des soucis et préoccupations !, facteurs de confinement des inquiétudes sanitaires, plus d'avantages que d'inconvénients, du confort, analyse coût-bénéfices=question politique, biodiversité, services écosystémiques, difficulté multifactorielle, tabac, amiante, plomb, glyphosate, facteurs de confinement des inquiétudes sanitaires cadre réglementaire produit de la confiance, alors que manque d'indépendance de l'évaluation, évaluation, contrôle, verrouillage socio-technique qui mène à l'échec par ex le plan écophyto ! (effets systémiques), les victimes devenues un pb public / augm des connaissances/prod des données scientifiques, les femmes d'agriculteurs travaillent à l'extérieur, remise en cause du monopole fnsea, luttes de générations futures etc, sortir de la confrontation mais ne pas avoir peur de la lutte car choix politiques/intérêts divergents, phyto-victimes pense la lutte de l'intérieur pour dépasser les confrontations, concilier les intérêts contradictoires
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https://www.youtube.com/watch?v=bKrHkb0ZS5w
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[4/14] Colloque Phyto-Victimes - "Produits phytosanitaires et santé : tous concernés !" - Libourne
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Phyto-Victimes
Ajoutée le 24 juil. 2019
Partie II - "Les professionnels, les plus exposés!"
Impacts : quels sont les dangers sur la santé des professionnels (salariés et employeurs) ?
Jean-Noël JOUZEL, Sociologue, Sciences Po Paris
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T :
Henri Pézera les travailleurs sont les sentinelles de la santé environnementale, produits toxiques à très faible dose, conflits d'intérêt des industriels, depuis un siècle les risques du travail sont considérés comme "normal" ! indemniser mais pas réduire les causes (abus de la philosophie de l'assurance), les mobilisations font évoluer les choses, expositions, éclatement des opérateurs, conflits d'intérêt,...
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https://www.youtube.com/watch?v=sRSyCHs5zgI
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[5/14] Colloque Phyto-Victimes - "Produits phytosanitaires et santé : tous concernés !" - Libourne - Ajoutée le 24 juil. 2019 / Phyto-Victimes
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Partie II - "Les professionnels, les plus exposés!"
Impacts : quels sont les dangers sur la santé des professionnels (salariés et employeurs) ?
Alain GARRIGOU, Professeur des universités en ergonomie, Université Bordeaux
Catégorie Actualités et politique 0 commentaire
T :
indigence de la conception du matériel !! combinaisons, prévention, contaminations par voie cutanée !! la combinaison limite mais ne protège pas à 100% !! CEPOVETT norme iso 27065:2011 campagne de publicité ARNAQUE, précontamination des matériels, pas d'essuie-glaces lattérales, dépasser les EPI (équipements de protection individuelle)
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https://www.youtube.com/watch?v=X80V3mboIaU
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[6/14] Colloque Phyto-Victimes - "Produits phytosanitaires et santé : tous concernés !" - Libourne - Ajoutée le 24 juil. 2019 / Phyto-Victimes
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Partie II - "Les professionnels, les plus exposés!"
Impacts : quels sont les dangers sur la santé des professionnels (salariés et employeurs) ?
Ophélie ROBINEAU, Directrice de l'association Phyto-Victimes, en charge de l'aide aux victimes
Association Phyto-Victimes : https://www.phyto-victimes.fr/
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T:
prévention, réparation, hypersensibilité chimique, dépression, troubles, symptômes préoccupants, maladie professionnelle, deux régimes (général et agricole), conditions à remplir, reconnaissance en maladie professionnelle, obtenir une rente à vie, grande différence salarié/exploitant !! accompagner les professionnels des pesticides, appui du cabinet d'avocats,
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https://www.youtube.com/watch?v=VzOmnbLL7qg
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[7/14] Colloque Phyto-Victimes - "Produits phytosanitaires et santé : tous concernés !" - Libourne - Ajoutée le 24 juil. 2019 / Phyto-Victimes
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Échanges avec le public
- Annie THEBAUD-MONY
- Giovanni PRETE
- Alain GARRIGOU
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T:
avis d'une syndicaliste de salariés ++ des pb des produits bio aussi
Fabrice Nicoureau ? société civile
Philippe Bardet /délais de réentrée calculés sur les effets aïgus et non pas de long terme, repère de dangerosité sur le respiratoire pas sur le cutané,
Thierry elsebrone ?? militant CGT ++ remercie+/évol des mots, 128 malades /j au travail en fr, Mr azerac / équilibre animal/végétal/biotope,
François gourgandie génération future, /débat de fond toxicité des molécules,
Mme ?? 100 000 décès /cancers dûs au travail, ex de l'amiante,
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Laids, inutiles, ruineux, toxiques pour l'environnement, les oreilles, les neurones et la dignité humaine, les produits dits "high-tech" sont de plus en plus souvent critiqués. D'où le louable projet de les remplacer par les mêmes en durables, sobres, inoffensifs… Le "low-tech" est-il une alternative plausible aux déviances de la vie moderne ?
Publié début mai, le rapport du « Giec de la diversité » (IPBES) a fait grand bruit*. De belles âmes ont poussé un cri de détresse : environ 1 million d'espèces animales et végétales sont menacées d'extinction, beaucoup d'autres pourraient à leur tour disparaître à plus ou moins long terme. Bon élève écologique, d'autant plus réceptif aux injonctions à la sobriété qu'il est soucieux de sa santé et de son tour de taille, le bobo des villes a déjà commencé à consommer plus local et plus bio, manger moins de viande et rouler à trottinette. Mais la cohérence n'est pas son fort. Sa consommation de produits high-tech a, en parallèle, explosé, trahissant son engouement infantile pour des jouets toujours plus connectés, énergivores, polluants et peu recyclables.
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45 697 ont signé
Fédération Nationale d'Agriculture Biologique, Réseau Action Climat, Fondation Nicolas Hulot, Greenpeace a lancé cette pétition adressée à Didier Guillaume, Ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation
Non à l’industrialisation de la Bio !
Monsieur le Ministre de l’Agriculture, il faut interdire la production de fruits et légumes bio hors saison !
Le marché bio se développe et les appétits aussi. Avec l’arrivée de nouveaux acteurs économiques poussant des pratiques incompatibles avec le cahier des charges bio, c’est tout le système qui est menacé !
Halte aux rendements à tout prix, oui aux saisons !
Depuis quelques mois, on voit se développer des projets de conversion biologique de serres chauffées pour la production de fruits et légumes hors saison (Pays de la Loire, Bretagne…). Ces projets en gestation vont permettre de retrouver sur les étals de la tomate bio française en plein mois de mars. Une aberration gustative, agronomique et environnementale !
Le chauffage des serres est incompatible avec le label bio
Le cahier des charges bio impose le « respect des cycles naturels » et une « utilisation responsable de l’énergie ». Chauffer sa serre pour produire des tomates ou des concombres en plein hiver ne peut donc pas être compatible avec l’agriculture biologique. Selon les régions et les années, la saison de la tomate peut aller de mai/juin à octobre/novembre, mais certainement pas en hiver.
Pour rentabiliser leurs serres chauffées, les industriels se spécialisent sur un ou deux légumes à forte valeur ajoutée. En diminuant la diversité des cultures, ils appauvrissent leurs sols et ainsi contreviennent encore aux principes de l’agriculture biologique.
Mobilisons-nous pour lutter contre l’industrialisation de la bio !
Nous avons jusqu’au 11 juillet 2019, prochaine date du Comité national de l’agriculture biologique, pour convaincre le Ministre de l’Agriculture de lutter contre l’industrialisation de la bio en limitant le recours au chauffage des serres à la production de plants et au maintien hors gel, garantissant ainsi que la production reste de saison.
Ne discréditons pas le label bio : soutenons les paysannes et paysans bio qui respectent les saisons, pas de serres chauffées pour produire à contre-saison !
Signez la pétition pour demander au Ministre de l’Agriculture de soutenir un encadrement strict du chauffage des serres en bio afin d’interdire la production de fruits et légumes bio hors saison.
Premiers signataires :
Iñaki AIZPITARTE, Chef cuisinier Le Chateaubriand (1 étoile, Paris) ; Gaétan BERTHELOT, Chef cuisinier du traiteur bio Ressources (Paris) ; Tugdual de BETHUNE, chef cuisinier, Holen (Rennes), Nicolas BRIAND, Chef cuisinier, Le Château d'Apigné (Le Rheu) ; Cyril BORDRIER , Chef cuisinier Le verre volé (Paris) ; Clément CHARLOT, Chef cuisinier Fragments (Caen) ; Emmanuel CHARTRON, Chef de la Cuisine centrale de la Ville de Saint Tropez ; Ollie CLARKE, Chef cuisinier La Régalade (Paris) ; CLÉA, autrice culinaire et bloggeuse (Cléa Cuisine) ; Richard CORNET, Chef cuisinier L'Aménité (Nantes) ; Pascal DAUPHIN, Chef de cuisine Lycée Camille Pissarro (Pontoise) ; Sabine DELMAS, Chef de cuisine du Lycée Marie Curie (Versailles) ; Christophe DEMANGEL, Chef de Cuisine au Collège Jules Grévy (Poligny), membre des Cuisiniers de la République Française ; Xavier DENAMUR, restaurateur, propriétaire de cinq établissements dans le quartier du Marais à Paris ; Nicolas FERRÉ, Chef cuisinier Le Quai des Saveurs (Les Sables d'Olonne) ; Marie-Claire FREDERIC, journaliste et auteur culinaire ; Olivia GAUTIER directrice du restaurant Les Orangeries (Lussac-Les-Châteaux) ; Rémi GIRAUD, Chef cuisinier du restaurant Les hauts de Loire (2 étoiles, Onzain) ; Bernard GISQUET, Chef cuisinier de Lou Cantoum (Cestayrols) ; Arnaud GUILLOUX, chef cuisinier à Coquille (Rennes), Adeline GRATTARD, Cheffe cuisinière Yam'tcha (1 étoile, Paris) ; Sylvain GUILLEMOT, Chef cuisinier L'Auberge du Pont d'Acigné (1 étoile, Noyal-sur-Vilaine) ; Lionel HÉNAFF, Chef cuisinier L’Allium (1 étoile, Quimper) ; Thomas HUBERT, Chef cuisinier Olive & Artichaut (Nice), Fumio KUDAKA, Chef cuisinier La Table de Breizh Café (1 étoile) à Cancale ; Kevin LEPINE, Chef cuisinier de Texture (Saint Malo) ; Céline LE GALL, Cheffe cuisinière, et Yann ANDRÉ, gérant, La Renverse (Saint-Froult) ; Julien LEMARIE, chef cuisinier à l'IMA de Rennes, Ewen LE MOIGNE, Chef cuisinier de Saturne (1 étoile, Paris) ; Thierry LEBIGRE, Chef cuisinier du Centre hospitalier d'Embrun ; Flore MADELPUECH, artisane cuisinière, Cheffe de La table de Flore (Rouen) ; Jacques MARCON, chef étoilé (Saint Bonnet le Froid), Bruno NOURRY, responsable de la cuisine municipale de St Hilaire de Riez ; François PASTEAU, Chef cuisinier de L'Epi Dupin (Paris), Morgan PERRIGAUD, Chef cuisinier Les Prémices (Bourron-Marlotte) ; Laurent PORÉE, cuisinier, créateur de La cantine de Babel (Le Mesnil-Rouxelin) ; Olivier ROELLINGER, Chef étoilé, Maisons de Bricourt (Cancale), Hugo ROELLINGER, chef (2 étoiles) Le Château Richeux (Saint Méloir des Ondes), David ROYER, Chef cuisinier étoilé du Château de sable (Porspoder) et du Roc’h Ar Mor (Plouescat) ; Sibylle SELLAM et Grégoire FOUCHERS, chefs cuisiniers du Bercail (Rennes), Ndeye SOUMARÉ, Cheffe de cuisine de la Cité scolaire Chaptal (Paris) ; Didier Thévenet, directeur et cuisinier de la cuisine centrale de Lons-le-Saunier ; Jonathan THULLIEZ, Chef de cuisine du restaurant Le Bichat (Paris) ; David VACQUÉ, Chef cuisinier du Bistro gourmand (Nice) ; Caroline VRIGNAUX, Cheffe de cuisine R&D chez FoodChéri ; 4 diététiciennes et 13 chef.fes membres du Collectif les Pieds dans le Plat (restauration collective bio et locale)
Biologie végétale
La symbiose entre champignons et arbres influe sur le climat
Champignons et bactéries relient les arbres et tissent un réseau de communication global, le « Wood Wide Web ». La cartographie de ces symbioses à l’échelle mondiale révèle leur rôle clé dans la régulation du climat.
Loïc Mangin| 28 mai 2019| 2mn
76 162 ont signé (167 275 au 19/5/19)
Rémy BOSSERT a lancé cette pétition adressée à Corinne Orzechowski, Préfète d'Indre et Loire et à 1 autre
Sébastien David, vigneron en Loire connu et reconnu, conduit sa vigne et ses vinifications en bio et en biodynamie pour produire des vins rouges qui se retrouvent tant sur la table des plus grands restaurants que chez les amateurs du monde entier. Des vins gourmands, vivants, des vins d’émotion, à mille lieux des vins industriels aux 100 intrants. Il n’est clairement pas dans la norme.
Connue / https://www.change.org/p/soutenons-le-paysan-beno%C3%AEtbiteau-et-demandons-le-r%C3%A8glement-des-primes-aux-agriculteurs-bio/u/24526259
ndlr : pétition reprise par Association Internationale pour une Santé Naturelle, Scientifique et Humaniste (AISNSH) À https://www.soutien-vigneron-bio.com pour quoi faire ? Q ACT
... William Nasser, directeur du laboratoire MAP1 (Microbiologie, Adaptation et Pathogénie)
...
La bacterie Dickeya dadantii transforme la pectine en « POS »
...
Un article2 paru dans le « Journal of Biological Chemistry » souligne l’apport du travail de modélisation réalisé en collaboration avec Jacques-Alexandre Sepulchre de « l’Institut de Physique de Nice » qui a permis d’optimiser le fonctionnement de l’appareil pour générer des quantités relativement importantes de POS.
...
Les POS, complexes de sucres aux vertus prometteuses
...
capacité des POS à enrayer le développement de la Galectine 3, une protéine impliquée dans la progression des cancers métastasiques. La pectine décomposée par la bactérie Dickeya dadantii révèlerait donc un potentiel inexploité et un intérêt écologique puisque, disponible en grande quantité dans les déchets verts, la réutilisation de la pectine pourrait représenter une alternative au brûlage.
« La lignine et la cellulose, également présentes en grande quantité dans les végétaux, sont déjà utilisées pour fabriquer du bioéthanol. **La pectine pourrait être réutilisée au sein des industries pharmaceutiques et alimentaires**, offrant aux déchets verts une seconde vie profitable à la santé des populations », conclut Sylvie.
1 INSA Lyon/CNRS/Université Lyon 1
2 Modelling the bioconversion of polysaccharides in a continuous reactor: A case study of the production of oligogalacturonates by Dickeya dadantii, Sepulchre JA, Reverchon S, Gouzé JL, Nasser W (2019 February 1)
ndlr :
- que veut dire POS ? Selon https://insb.cnrs.fr/fr/cnrsinfo/valorisation-des-dechets-vegetaux-par-la-bacterie-dickeya-dadantii oligosaccharides dérivés de la pectine (POS), en français, donc POS est la traduction anglaise ?
Après avoir repris la ferme de son oncle, Félix Noblia a bouleversé la manière de travailler les sols. Il lance des expérimentations en agroécologie en souhaitant semer les graines d’un renouveau du monde paysan.
Bergouey-Viellenave (Pyrénées-Atlantiques), reportage
... semis direct sous couvert végétal en agriculture biologique. ... le pois fourrager constitue le meilleur couvert végétal pour du maïs ... Actuellement, les aliments que nous mangeons ont beaucoup perdu en richesse car les sols sont pauvres en azote, en phosphore et surtout en oligo-éléments à cause des techniques d’agriculture moderne. Le taux d’oméga 3 dans le cerveau humain a baissé de 20 %. » En pratiquant une agriculture de conservation des sols, il espère changer la donne.
Tribune
Nous, paysans bio rejoignons les gilets jaunes Photo Mychèle Daniau. AFP
Parce qu'ils constatent l'injustice sociale avec des fins de mois difficiles et parce qu'ils peuvent apporter des solutions à l'urgence climatique, les paysans bio appellent à s'unir au mouvement social.
Tribune. Nous sommes paysans bio et nous rejoignons les gilets jaunes. Nous appelons les paysans et le reste de la société à généraliser cette convergence et demandons à nos organisations de prendre leurs responsabilités. Injustice sociale, injustice fiscale et urgence climatique même combat, mêmes victimes et mêmes responsables. Pour les paysans bio, il est également temps de s’organiser, de se mobiliser ensemble, de repenser dans sa totalité ce système économique et politique conçu par et pour les riches et les puissants.
Par nos pratiques vertueuses et notre respect de l’environnement et de la biodiversité, nous apportons des solutions à l’urgence climatique. Par les valeurs que l’agriculture paysanne bio véhicule, nous apportons également des solutions face à l’injustice sociale, et à la réduction en «esclavage» de nos vies. Ne vivons plus comme des esclaves.
Solution écologique et émancipatrice, l’agriculture paysanne bio que nous portons peut amener à plus d’autonomie alimentaire, à la relocalisation des productions et des ventes, à la création du lien partout à l’échelle locale et à la généralisation de l’économie circulaire. Cette démarche est plébiscitée, nous le constatons chaque jour.
Pourtant les paysans bio subissent quotidiennement l’ensemble des maux que mettent en avant les gilets jaunes.
Nous connaissons «injustice fiscale» et retard de paiement. Les aides en faveur de l’agriculture biologique (dont nous sommes sûrement moins dépendants qu’en conventionnel) ont entre deux et trois ans de retard. Situation intenable pour nombre d’entre nous sans que jamais le vent de la révolte soit suffisant pour balayer l’absurdité de ces retards et du système permettant ces aides. Il est temps de tout mettre à plat, dans tous les domaines et aussi en agriculture biologique. Repenser les choses pour être résilients à l’échelle locale, soutenus et autonomes. Les produits de qualité que nous proposons devraient pouvoir être accessibles à toutes et tous et devraient nous permettre, nous paysans bio de vivre dignement. Ce n’est pas le cas, ni pour nous, ni pour l’accessibilité des produits.
Nous connaissons l'«injustice sociale». Nourrir, même bien, vaut moins que spéculer. De la production à la «consommation», des moyens de productions au parasitage des grosses sociétés, de l’aliénation par le travail à l’implication locale, nous devons tout remettre à plat.
Nous sommes en prise avec l'«urgence climatique». Nous sommes certainement la dernière génération à pouvoir faire quelque chose, il nous reste peu de temps et en tant que paysans bio, nous sommes des acteurs du changement. Pourtant nous subissons en premier lieu les conséquences du dérèglement climatique. Nous constatons qu’une transition douce n’est pas suffisante : c’est maintenant que tout se joue radicalement tant pour ce qui nous entoure que pour celles et ceux qui nous entourent. Nous retrouvons les mêmes victimes à savoir les plus faibles, les plus démunies, les plus précaires. Ceux qui, noyés dans le quotidien des obligations et des urgences ne prennent plus le temps ou le droit de prendre la parole. Nous retrouvons également les mêmes responsables : grandes entreprises, milliardaires, puissants, système basé sur la croissance et le profit. Ceux-là mêmes qui imposent des taxes et des normes aux plus défavorisés sans se les imposer à eux-mêmes et sans mettre en place des alternatives viables et souhaitables. Ils ont fait un choix, celui de maintenir leur microcosme et leur pouvoir au détriment de la planète et de ses habitants. Faisons-le nôtre : renversons la table et repensons tout, partout où il nous semblera bon de le faire.
Voilà pourquoi, en tant que paysans bio, nous pensons qu’il ne faut pas passer à côté de l’occasion de contribuer au mouvement des gilets jaunes. Il représente peut-être la seule occasion que nous ayons de reprendre en main nos vies, nos fins de mois et la fin du monde.
un collectif de paysans bio
Connu / https://twitter.com/GaetanEscorbiac/status/1094620667176275968
Les décideurs et les industries de plus de 20 pays ont approuvé une « Plateforme Biofuture » qui utiliserait des biocarburants, des bioplastiques et des biomatériaux comme alternatives aux énergies fossiles. Les conséquences pour la terre, la production alimentaire, les écosystèmes et les droits humains seraient désastreuses.
...
Les biocarburants en 5 minutes
Agrocarburants / biocarburants : carburants tels que le biodiesel et le bioéthanol fabriqués à partir de denrées alimentaires pour les moteurs à combustion. Ceux-ci sont incorporés au carburant fossile vendu dans les stations-services comme prescrit par la loi.
Biocombustibles : combustibles produits à partir de la biomasse tels que le bois, les copeaux de bois, les granulés de bois, l'huile de palme et la liqueur noire issue de l'industrie de la cellulose. Ils sont utilisés dans les fours, cheminées, installations de chauffage et centrales électriques ou de cogénération pour produire de l'électricité et du chauffage.
Biodiesel (ester méthylique d'acides gras - EMAG) : carburant obtenu par transestérification d'huiles végétales comme le colza, l'huile de palme et le soja.
Changement d'affectation des sols indirect (CASI) : phénomène d'accaparement de terres jusque-là dédiées à la production de denrées alimentaires et d'aliments pour animaux pour la culture de plantes énergétiques.
Huile végétales hydrogénées (Hydrotreated Vegetable Oils - HVO) : huiles végétales transformées en biocarburant par réaction catalytique avec l'hydrogène (hydrogénation). En pratique, c'est principalement l'huile de palme qui est utilisée.
RED : la directive sur les énergies renouvelables de l'Union Européenne (Renewable Energy Directive – RED, 2009/28/EG) prévoit de couvrir au moins 10% des besoins en carburant dans le secteur des transports via des énergies renouvelables d'ici à 2020.
14h04
sciences bactérie recherche
INSA de Lyon a retweeté
David Bruchon @BruchonDavid 11 hil y a 11 heures
Soutenance en cotutelle entre l’Université Quisqueya (Haïti) et @insadelyon
Conditions pour la mise en place durable d’une filière d’assainissement par toilettes sèches à litière bio-maîtrisée dans les zones rurales des pays en développement. Application au contexte haïtien
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https://www.cefrepade.org/these-les-toilettes-seches-a-litiere-biomaitrisee-par-gaston-jean/
rura(l)(e)(ité)(u)(s)(x)
Améliorer la productivité des unités de méthanisation, professionnaliser la filière en massifiant les opérations et en les standardisant font partie des actions à mettre en oeuvre pour réduire d'un tiers les coûts de production de biométhane d'ici 2030.
Energie | 08 novembre 2018 | Sophie Fabrégat
...
De nombreux freins demeurent
En France, plusieurs textes de loi sont favorables à l’élaboration de solutions au plus près des producteurs. C’est le cas de la réglementation sur la valorisation des biodéchets des gros producteurs, ou encore, plus récemment, de la loi du 17 août 2015 sur la transition énergétique pour la croissance verte, qui instaure l’obligation de généraliser le tri à la source des déchets à l’horizon 2025.
Néanmoins, de nombreux freins existent encore et limitent le déploiement des micro-méthaniseurs urbains. Il reste, malgré les quelques démonstrations pilotes citées précédemment, à démontrer que ces technologies sont suffisamment maîtrisées et robustes pour répondre aux exigences sanitaires, environnementales et sécuritaires européennes.
La réglementation n’est d’ailleurs à ce jour pas vraiment adaptée : en France, si un arrêté est en cours de révision pour la mise en œuvre du compostage de proximité, il n’inclut pas la micro-méthanisation. Celle-ci doit donc faire l’objet d’une autorisation en tant qu’installation classée pour la protection de l’environnement (ICPE), dont la complexité pourrait rebuter les porteurs de projets.
D’autre part, la performance environnementale et le coût global de réseaux urbains de micro-unités de méthanisation doivent être évalués. Enfin, l’implantation même de ces unités bouscule l’organisation des systèmes de gestion centralisée des déchets. Il convient donc de repenser les métiers associés à cette gestion. De même, dans un contexte décentralisé, l’exercice de la responsabilité de la collecte et du traitement de déchets doit-il rester du ressort des EPCI ou revenir aux communes ou encore à l’échelle des producteurs de déchets ?
Tous ces freins sont autant de questions que propose d’étudier le projet européen H2020 DECISIVE afin de démontrer l’intérêt et la viabilité de ce nouveau paradigme de gestion décentralisée des biodéchets urbains.
Clés : environnement développement durable recyclage pollution solutions énergies renouvelables villes déchets économie circulaire méthanisation biogaz
Benoît Biteau, dégoûté.
Hier, à 03:57 ·
[Travert peut encore tuer la bio]
Difficile de déjà attribuer les incohérences et la démagogie de cette communication à notre nouveau ministre de l’agriculture.
Il n’en demeure pas moins que derrière cette communication démagogique, la même logique d’abandon des paysans pratiquant une agriculture vertueuse, et en particulier des paysans bio, est a l’œuvre.
Ces 70% d’avance de paiement des aides PAC 2018 n’est en fait effective que pour ceux qui n’ont pris aucun engagement vers des pratiques écologiques, environnementales, patrimoniales et climatiques et donc vers ceux qui produisent à grands renforts des semences certifiées, d’irrigation, des pesticides et d’engrais de synthèse.
Ceux-là, effectivement ont perçu 70% de leur enveloppe PAC.
Et cette situation discriminante pénalisant les pratiques les plus vertueuses vient amplifier, renforcer, aggraver celle des retards de paiement encore constatés pour les campagnes 2016 & 2017 pour les aides à la bio et pour les mesures Agro-environnementales et climatiques, et dont le calendrier de versement déjà parfaitement fantaisiste, vient se discréditer davantage encore avec la fantaisie du calendrier 2018.
En effet, ceux qui, comme moi, pratiquent la préservation des prairies humides patrimoniales par l’élevage, la préservation de races menacées et l’agriculture biologique, sont loins, très loins, très très loins du compte et de ces 70% d’avances sur leurs aides PAC 2018.
Et dans mon cas personnel, le versement de prétendument 70% des aides PAC 2018, ne représente que 33% de mon enveloppe PAC 2018!
Nous voyons bien ici encore où sont les priorités de développement agricole de ce gouvernement, à moins qu’il ne s’agisse encore d’un mauvais tour de ce fameux logiciel défaillant depuis 2015?
Ce logiciel ne réussit-il donc pas à traiter sur un pied d’égalité les exploitants pollueurs, fossoyeurs de l’avenir des générations futures, pourtant bichonnés par ces versements anticipés, et les paysans tenants d’une agriculture vertueuse pourtant attendue, réclamée, exigée même, par les citoyens contribuables qui aspirent à ce que leurs contributions fiscales soutiennent prioritairement ces pratiques?
Ce gouvernement reste définitivement hors-sol!
charente-maritime.gouv.fr
PAC - les paiements / Les aides de la PAC / Agriculture / Agriculture, forêt et développement rural / Politiques publiques / Accueil - Les services de l'État en Charente-Maritime
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Une nouvelle étude s'intéresse aux virus que nous avons hérités de Neandertal
Nos relations passées avec ces lointains cousin européens se précisent de publication en publication. Il y a environ 50 000 ans, nous avons partagé avec les hommes de Néanderthal des territoires, des gènes mais aussi des maladies. Une nouvelle étude parue dans la revue Cell s'intéresse aux virus et aux moyens de les combattre hérités de Néandertal avec Evelyne Heyer, professeur en Anthropologie Génétique à Muséum National d'Histoire Naturelle
L'équipe
Axel Villard Chroniqueur
Mots-clés : sciences
[cyber_ghij] LES SEMENCES ENFIN LIBEREES ! + Pétition : liberté pour la ferme bio et les vaches de Gabriel Dufils
Date : Hier 14:46:36
De : Cyber acteurs alain.uguen@cyberacteurs.org
À : infos cyberacteurs infos@cyberacteurs.org
Cyber @cteurs la lettre
PROJET DE LOI AGRICULTURE ET ALIMENTATION :
LES SEMENCES ENFIN LIBEREES !
cyberaction : Faîtes le choix de la Biodiversité, libérez les semences !
//Pétition : liberté pour la ferme bio et les vaches de Gabriel Dufils
Rassemblement mercredi 17 octobre 2018 14 heures parking du pré du bel ébat EVREUX pour faire pression sur la préfecture.
https://is.gd/xtMcbA
// Suivi d'action
cyberaction : Assenons à l'ASN : Nucléaire Assez !
EPR de Flamanville : EDF accusé de «défaillance» par le gendarme du nucléaire
Tous les citoyens avides de paix et de liberté peuvent assister dans le calme au procés de Marcelin DANIEL, agressé à son domicile pour ses idées écologiques,
au Palais de justice de St Malo le 06 11 18 à 13h30.
// A l'agenda
Rassemblements Nous voulons des coquelicots devant toutes les mairies
le vendredi 5 octobre à 18 h 30 (voir la carte)
Pour celles et ceux qui veulent aller plus loin dans le "penser global, agir local" et mobiliser leur porte-monnaie : Nous voulons des coquelicots, des tournesols, des primevères…
Anti-Linky : un rassemblement à Quimper le samedi 6 octobre
// dons
Don d'octobre ne rendra pas plus pauvre:-P
Association Cyberacteurs C/O Alain Uguen 152 rue F.Pelloutier 29000 QUIMPER
http://listes.infini.fr/cyberacteurs.org/...
Extraits :
le bon filon a été trouvé pour faire passer ce marché dans le concept de l’écoblanchiment, qui consiste à surfer sur la vague de l’écologie pour promouvoir ce nouveau procédé de substitution au pétrole.
Sauf qu’en réalité, il s’agit de l’une des plus grosses arnaques qui puisse exister, en nous faisant miroiter l’usage d’un carburant plus écologique, et donc une satisfaction personnelle en tant que consommateur, alors qu’il n’en est rien.
Le « biocarburant » ne mérite donc pas son nom.
L’huile de palme, est-ce vraiment nouveau ?
...bien que cela soit déjà devenu la norme depuis quelques années, l’importation de l’huile de palme par Total en France défoule les passions des agriculteurs.
Pourquoi la norme ? Tout simplement parce que la plus grande partie de l’huile de palme importée en Europe – qui comprend la France je le rappelle – est déjà utilisé dans les carburants, alors même que la future « bioraffinerie » de Total n’existe pas encore [1] !
...
On voit bien ici que l’aspect financier provenant du système capitaliste semi-mondial prévaut toujours sur la logique planétaire.
Taux de retour énergétique
...il faut que la matière produite consomme moins d’énergie que celle qu’elle va produire. C’est ce que l’on appelle le « Taux de retour énergétique » (TRE).
...le pétrole a un ratio d’environ 1:30 (donc il produit 30 fois plus d’énergie qu’il n’en nécessite pour être extrait), alors que l’éthanol et les huiles ont un ratio de 1:1 à 1:2.
... la production de carburants à base de ressources biologiques produit à peine davantage d’énergie qu’elle en consomme !
...l’éthanol et les huiles ayants un ratio TRE extrêmement faible, il faut alors leur réserver une quantité de surface exponentielle de nos terres cultivables. D’énormes machineries et engins agricoles pour les travailler, les extraire, d’autres pour les transporter, et enfin des raffineries pour les transformer.
Il ne faut pas oublier que de telles quantités de productions exigent l’agriculture monoculture: l’utilisation de produits chimiques en masse est alors inexorable. Des produits tels que le glyphosate tant décriés ces dernières années, restent de fait incontournables.
...
Qui dit usage de produits chimiques, dit rejets de produits chimiques, encore une fois dans la nature.
Conclusion
Alors que l’éthanol et les huiles sont perçus comme une solution intéressante pour limiter la consommation de pétrole, en réalité il n’en est rien.
Il s’agit d’une très mauvaise solution qui ne résout aucunement le problème majeur qui engendre la consommation ahurissante de pétole: l’usage intensif des véhicules motorisés à explosion.
NDLR : confirme mes propres observations et analyses
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Valoriser ACT