nous sommes un mouvement politique. face aux urgences, rejoignez-nous !
Écologie
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Justice sociale
Europe
nous sommes un mouvement politique. face à l'urgence écologique.
Écologie : le compte à rebours est lancé
Les climatologues nous mettent au pied du mur : si nous souhaitons demeurer sous la barre de 1,5°C d’augmentation de la température globale par rapport à l’ère pré-industrielle, il faut réduire de moitié nos émissions de carbone d’ici à 2030. Cela induit une révolution copernicienne de nos modes de production, de consommation et de pensée. 15 000 scientifiques nous ont alertés : « bientôt, il sera trop tard » pour sauver la biodiversité, les écosystèmes, le climat et les humains. Chaque demi-degré compte. Si nous dépassons le seuil de 2°C, les climatologues parlent d’effondrement… Les plus vulnérables d’entre nous seront touchés les premiers. Leur mise en garde écrase tout le reste. Rien de ce qui nous est cher aujourd’hui – notre liberté, nos liens affectifs, la nature, notre qualité de vie, notre sécurité – ne pourra plus être garanti dans un monde dont les piliers environnementaux s’effondrent. Cela nous dicte un impératif catégorique : celui d’essayer tout ce qui est en notre po...
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Nos premiers porteurs de causes
Olivier Dubuquoy
Né en 1974, Olivier Dubuquoy est géographe, universitaire et militant écologiste.
Convaincu que l'océan et ses ressources sont au cœur des enjeux écologiques, économiques, énergétiques et géopolitiques du XXIe siècle, Olivier Dubuquoy agit pour protéger l'océan et définir une gouvernance internationale des océans fondée sur le commun, en faisant primer l'usage sur la propriété : l’océan n’est ni privé ni public, il est vital pour l’humanité.
Olivier Dubuquoy se mobilise avec le mouvement citoyen Nation Océan et l’association ZEA qu’il a fondée pour protéger l'océan et le climat, en luttant contre l'accaparement des mers, la prédation des ressources, et les pollutions qui accroissent les inégalités et la disparition du vivant. Il a bloqué des projets pétroliers et gaziers, obtenu des moratoires contre l'exploitation des énergies fossiles en mer et mène la lutte contre les pollutions de boues rouges en mer et à terre. Il est aussi engagé sur différentes initiatives citoyennes et projets de recherche sur la démocratie et les sciences participatives.
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Justice sociale : mettre fin à la course vers le bas
En organisant volontairement la dérégulation de l’économie et en refusant d’imposer un socle commun aux différents pays de l’Union, les institutions européennes ont laissé prospérer une concurrence sociale et fiscale entre les États membres. Cette compétition mortifère a entraîné une course vers le moins disant fiscal et in fine, social. Aujourd’hui, quatre pays de l’Union Européenne peuvent être considérés comme des paradis fiscaux et siphonnent les recettes fiscales de leurs voisins. Pour répondre à cette concurrence, les autres pays baissent leur pression fiscale. A ce rythme, il est à parier que bientôt l’ensemble de l’Europe sera un gigantesque paradis fiscal. Pourtant ces politiques fiscales anti-redistributives n’ont pas permis de créer de l’emploi, ni de redresser l’économie. A l’inverse, elles ont augmenté les inégalités sociales et creusé les déficits. Les conséquences de ces politiques sont bien visibles, présentes dans notre vie de tous les jours, à travers le manque de ...
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Judith Aquien
Née en 1984, Judith Aquien est porteuse de cause pour l'hospitalité au sein de Place publique. Après une carrière dans l'édition puis dans le web, Judith Aquien a changé sa vie en profondeur après avoir passé plusieurs mois sur des campements de réfugiés, à Paris. Elle a ainsi cofondé l'école Thot et est aujourd'hui déléguée générale d'Action Emploi Réfugiés.
Les personnes arrivant en France depuis les voies de l'exil ne sont pas accueillies dans la dignité qui s'impose à notre humanité. Chaque individu est oublié pour entrer dans un vocabulaire déshumanisant ("les migrants"). Il s'agit de réhabiliter les valeurs essentielles d'humanisme, d'accueil et de fraternité, et permettre aux personnes d'être soignées de leurs blessures, traitées comme des personnes à part entière, et d'entrer au plus vite dans une autonomie sur tous les plans.
En 2015, Judith Aquien a cofondé Thot, l'école de français diplômante pour les exilés, lauréate de la fondation La France s’engage en 2016. C'est une des rares structures qui mette de “vrais” professeurs face aux personnes en exil, et qui les prépare au diplôme d'État de langue française, facilitant ainsi l'accès de ces dernières à la vie professionnelle et à l'autonomie sociale en général. Son engagement pour une société humaniste et fraternelle l’a conduite à rejoindre la direction générale d'Action Emploi Réfugiés en 2018, travaillant réellement à l’intégration des réfugiés à la vie économique et sociale française. En 2018, elle a été distinguée du titre de Chevalier des Arts et Lettres pour la création de Thot.
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Démocratie : un nouvel âge
Faut-il être aveugle à ce point pour ne pas voir la crise profonde que traverse la démocratie? Jamais le fossé ne s’est autant creusé entre les représentants et les représentés... Les décisions sont prises dans l’entre soi des élites... Terreau fertile à tout les populismes autoritaires ! Il est temps de travailler à un nouvel âge démocratique où le citoyen reprend le pas sur l’individu-atome, où le commun prime sur le particulier, où le temps long des transformations supplante la culture de l’immédiat et le temps court des élections qui nous obsèdent. La démocratie ne sera plus providentielle, descendante, passive, infantilisante, uniquement électorale. Elle sera une démocratie continue, effective, réelle. Elle sera débat, co-construction, engagement. Elle sera interactive, elle prendra en compte la complexité, elle sera édifiante. Pour mieux décider ensemble, pour réenchanter la démocratie représentative, pour susciter la citoyenneté active, pour faire peuple à nouveau. Cette démo...
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Jérôme Karsenti
Né en 1966, Jérôme Karsenti est avocat depuis 1995.
les deux thèmes qui fondent ses principaux combats sont : D’abord, la lutte contre les discriminations, tant la question du racisme irrigue la Société. Ensuite, la lutte contre la Corruption qui au-delà des problématiques pénales interroge le fonctionnement de la démocratie.
Jérôme Karsenti a été l’avocat de SOS Racisme, de la Maison des Potes et aujourd’hui de Rom Europe, qui regroupe des associations et collectifs de défense des personnes originaires d’Europe de l’Est, Roms ou présumées Roms, vivant en bidonvilles, squats ou autres lieux de survie. Depuis 2007, il est l’avocat de l’association Anticor. Il est également membre du Syndicat des Avocats de France depuis son entrée dans la profession et est élu au Conseil national des barreaux où il siège dans les commissions Libertés publiques et Égalité. Depuis mars 2018, il siège au Comité d’éthique du journal Le Monde en qualité de personnalité indépendante. Il intervient régulièrement à l’occasion de divers colloques sur les thèmes de la lutte contre la corruption.
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Europe : année zéro
20 ans que l’Europe traverse une crise existentielle. Nous devons en finir avec tant d’années qui l’ont amenée à perdre son sens: le déni démocratique, la concurrence économique, fiscale et sociale érigée en projet par défaut, l’impuissance collective, l’abandon d’une partie de la jeunesse dans la prison pour dette et le ressentiment, les traités de libre-échange qui nous exposent aux quatre vents de la mondialisation davantage qu'ils ne nous protègent. Nous devons endiguer la poussée des identitaires, en Hongrie, en Italie, en Pologne, en Slovénie, en France, car sinon tout sera emporté : la culture, la démocratie, l'héritage de nos conquêtes pour les droits et les libertés individuelles. Le défi pour notre génération est immense et nous avons le sentiment d’un tournant de l’Histoire. Nous appelons l’Europe au sursaut, nous voulons être ce sursaut. Il faut ouvrir des horizons, au-delà des masses nuageuses, très sombres, qui envahissent progressivement notre ciel européen. Rompre l...
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Diana Filippova
Née en 1986 à Moscou, Diana Filippova est entrepreneur et auteur, spécialiste des questions technologiques.
S’inscrivant dans la tradition des humanités numériques et de l’analyse critique de la technologie, Diana cultive une approche de la technologie comme expression d’une idéologie et d’une vision des rapports sociaux.
Diplômée d’HEC, Sciences Po et Paris I Panthéon-Sorbonne, elle a cofondé et animé OuiShare entre 2012 et 2017, think tank autour des modèles distribués, au sein duquel elle a construit une pensée critique et politique de l’économie collaborative. Responsable de l’écosystème startup chez Microsoft entre 2015 et 2018, elle y a lancé KissMyFrogs, un magazine critique sur la technologie et l’entrepreneuriat. En 2018, elle a co-fondé l'agence éditoriale Stroïka avec l’ambition de faire rimer « numérique » avec « rigueur intellectuelle et pédagogie ». Elle anime des salons et un club de lecture autour de la question technologique.
Diana analyse quotidiennement les effets concrets de ces nouvelles technologies et leur mainmise sur nos libertés publiques et privées. Elle promeut un gouvernement démocratique des nouvelles technologies pour mettre celles-ci au service de la reconstruction de cadres collectifs, d’un espace de délibération et d’un vivre ensemble.
Son premier livre, Société Collaborative, la fin des hiérarchies paraît en mai 2015. Elle contribue régulièrement aux magazines généralistes et économiques (Le Monde, les Échos, Alternatives Économiques, la Tribune, Socialter, etc.) ainsi qu’à France Culture. Elle prépare un essai sur le pouvoir, la politique et la technologie.
contact@place-publique.eu
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FR - Thomas Porcher, membre des économistes atterrés et co-fondateur de Place publique, invité de Grand Angle: pouvoir d'achat, hausse des prix des carburants, transition écologique, justice fiscale, cohérence de la politique fiscale d'Emmanuel Macron, et présentation du nouveau mouvement Place publique - 08.11.2018 - Paris, France.
© Frédérick Moulin 2018 & BFMTV2018 - Tous droits réservés.
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«Agir avant qu’il ne soit trop tard» : le manifeste du nouveau mouvement Place publique - Libération
Appel
«Agir avant qu’il ne soit trop tard» : le manifeste du nouveau mouvement Place publique
— 6 novembre 2018 à 19:05
Les fondateurs du mouvement Place publique Jo Spiegel, Claire Nouvian, Raphaël Glucksmann, Thomas Porcher et Diana Filippova, à Paris, lundi. Photo Boris Allin. Hans Lucas pour Libération
Les fondateurs de Place publique, parmi lesquels Raphaël Glucksmann, Claire Nouvian et Thomas Porcher, veulent proposer, à l'aune des élections européennes, une offre politique égalitaire et antiautoritaire. «Libération» publie en exclusivité leur manifeste.
«Agir avant qu’il ne soit trop tard» : le manifeste du nouveau mouvement Place publique
L’essayiste Raphaël Glucksmann, l’économiste Thomas Porcher, la militante écologiste Claire Nouvian, l'entrepreneuse Diana Filippova et d’autres personnalités de la société civile lancent ce mercredi un nouveau mouvement, baptisé Place publique, qui veut «répondre à des urgences», démocratique, écologique, sociale et appelle au rassemblement pour les européennes. Ci-dessous, retrouvez en exclusivité le manifeste de ce mouvement qui joue la carte de la «société civile».
Agir pour lutter contre le réchauffement climatique et préserver le vivant. Agir pour empêcher que la montée des inégalités ne disloque nos sociétés. Agir pour endiguer la vague identitaire et autoritaire qui s’abat sur nos démocraties. Agir pour construire une Europe démocratique, solidaire et écologique. Agir pendant qu’il est encore temps.
Nous avons entendu les cris d’alarme des scientifiques sur le dérèglement climatique et nous avons pris acte de la date de 2030 comme le moment de bascule dans l’irréversibilité de la catastrophe. Nous voyons ces millions de vies brisées par le chômage et la précarité, nous voyons la colère monter contre la sécession sociale en cours, nous voyons notre démocratie kidnappée par des lobbys qui dévoient chaque jour un peu plus nos institutions. Nous avons été ébranlés par le Brexit, par les triomphes d’Orbán, de Trump, de Salvini, de Bolsonaro et, surtout, par l’absence de remise en cause de nos élites. Nous ne pouvons laisser celles et ceux qui nous gouvernent continuer les mêmes politiques jusqu’à l’effondrement final.
Agir politiquement. Partout en France, et bien au-delà, des millions de citoyennes et de citoyens se mobilisent déjà et prennent en charge à leur échelle les transformations vitales que nos gouvernements refusent d’assumer. Coopératives paysannes sur les circuits courts, associations se battant pour préserver les solidarités sociales ou lutter contre les discriminations qui défigurent la République, tiers lieux réinventant l’espace public, collectifs œuvrant à un accueil digne des exilés ou s’opposant aux projets climaticides, élus locaux mettant en place la démocratie participative, ONG luttant contre l’évasion fiscale, tous essaient, à leur niveau, d’infléchir le cours des choses. Mais sans prolongement politique, ces luttes, ces engagements, ces espérances, ces succès ne suffiront pas à enrayer notre marche collective vers l’abîme. «Politique» : nous assumons ce mot. Nous venons d’horizons différents, nos votes ne furent pas toujours identiques, nos opinions peuvent diverger sur certains points, mais nous sommes toutes et tous d’accord sur l’essentiel et nous avons toutes et tous conscience de vivre un moment de bascule.
Voilà pourquoi nous lançons Place publique. Ce mouvement, construisons-le ensemble. Sans exclusive. Nous ne sommes pas des professionnels de la politique, mais nous avons la volonté, par-delà nos divergences, d’unir nos forces pour remettre les citoyens au cœur de l’action publique, pour reprendre la maîtrise de notre destin, pour renouer avec la promesse républicaine d’égalité si souvent trahie, quelles que soient nos origines, nos croyances ou notre lieu de résidence. En partant des idées, des solutions, comme des mobilisations de terrain, nous devons construire un mouvement ouvert à toutes celles et tous ceux qui partagent les principes de solidarité sociale, de respect du vivant, de renforcement de la démocratie et de promotion des droits humains. Organisée autour de causes communes et animée par des porteurs et porteuses de cause, Place publique se fixe comme mission d’accueillir les luttes et les expérimentations existantes, de les mettre en relation les unes avec les autres, de forger à partir d’elles une vision du monde et de porter un projet alternatif à l’atomisation sociale et aux passions autoritaires. De partir du terrain et des idées pour produire une nouvelle offre politique. À toutes celles et tous ceux qui chaque jour font plus que leur dû pour faire bouger les lignes, à toutes celles et tous ceux qui sont désireux de s’engager mais ne savent ni où ni comment le faire, nous lançons un appel : regroupons-nous avant qu’il ne soit trop tard. Il ne s’agit pas là d’un énième appel à sauver le monde, mais de l’acte de naissance d’un mouvement qui a vocation à se structurer sur tout le territoire français et au-delà, à travers l’Europe, à multiplier les réunions publiques, à contrer les lobbys et à bouleverser le champ politique. Retrouvons-nous et, ensemble, investissons la place publique !
Signataires : Judith AQUIEN dirigeante et fondatrice d’organisations pour la dignité des personnes en exil, Nayla AJALTOUNI militante associative, Farid BENLAGHA chef d’entreprise, Saïd BENMOUFFOK professeur de philosophie, Charles BRAINE militant associatif, ancien marin pêcheur et co-fondateur de la plateforme Petite Pêche, Pierre-Natnaël BUSSIÈRE étudiant, Lucas CHANCEL économiste, Vincent CARRY acteur culturel européen, Olivier DUBUQUOY géographe, universitaire et militant écologiste, Diana FILIPPOVA chef d’entreprise, auteure, Laure FOURTEAU-LEMARCHAND consultante en responsabilité sociale des entreprises, Raphaël GLUCKSMANN essayiste, Aziliz GOUEZ chercheuse, militante européenne et ancienne plume du président irlandais, Caroline KAMAL juriste, Jérôme KARSENTI avocat, Thierry KUHN responsable associatif, Dan LERT adjoint au maire du XIXe arrondissement de Paris, juriste, Claire NOUVIAN fondatrice et présidente de l’association Bloom, Thomas PORCHER économiste, Jo SPIEGEL maire de Kingersheim, Rui WANG responsable associatif, cofondateur de l’association des jeunes Chinois de France, André ZAJID essayiste, enseignant.
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Laurent Joffrin
La lettre politique
de Laurent Joffrin
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Politique
A gauche, des nouveaux dans la Place
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Portrait
Frédéric Chevallier, droit de suite
L’avocat général du procès de Jacqueline Sauvage redit son refus de faire une héroïne de cette femme, coupable d’avoir tué son mari violent.
06.11.18
Politique
A gauche, des nouveaux dans la Place
Fondé notamment par Raphaël Glucksmann, le mouvement «Place publique», qui appelle à un large rassemblement pour les européennes, joue la carte de la «société civile».
05.11.18
Tribune
La réforme des Sciences économiques et sociales au lycée interdit toute éducation à la démocratie
En imposant une seule vision du monde économique, néoclassique et micro-économique, les nouveaux programmes en SES évitent tous les débats actuels et ne formeront pas de futurs citoyens.
07.11.18
libé matin
Midterms, effondrements à Marseille... Le point sur l'actu de ce mercredi matin
L'événement Les démocrates ont engrangé une précieuse victoire dans les élections américaines de mi-mandat, en prenant le contrôle partiel du Congrès, mais la...
06.11.18
Récit
Place publique : un chemin semé d’embûches pour former des alliances
Entre l’incompatibilité avec La France insoumise et la fin de non-recevoir des Verts, le mouvement Place publique aura du mal à rassembler. Seul Benoît Hamon lui fait les yeux doux.
04.11.18
Tribune
Populisme et démocratie par Jean-Luc Nancy
Sans «peuple», pas de démocratie, et il serait vain de réduire le «peuple» à une identité.
02.11.18
Tribune
Stop au séparatisme entre écologie et économie
Il y a urgence à intégrer les objectifs démocratiques et sociaux aux enjeux écologiques.
06.11.18
Tribune
Conseil de lecture à Emmanuel Macron : Karl Polanyi sur les années 30
Le Président devrait s'inspirer de «la Grande Transformation», une critique du libéralisme économique publiée en 1944 par l'économiste hongrois.
05.11.18
Chronique «Economiques»
Etats-Unis : un revenu universel contre l’abstention
Une étude menée dans une réserve cherokee de Caroline du Nord montre que le versement d’un revenu universel augmente la participation politique parmi les pauvres Indiens d’Amérique.
06.11.18
Chronique «La cité des livres»
Mauvaise nouvelle : le monde progresse !
Steven Pinker a déjà démontré, dans un best-seller mondial, que la violence recule dans nos sociétés. Il ajoute aujourd’hui avec un nouveau livre que le progrès est continu depuis les Lumières, et que la condition humaine ne cesse de s’améliorer.
06.11.18
Politique
Acteurs de la société civile et professionnels de la politique, des liaisons tortueuses
Même si l’initiative est plutôt rare à gauche, la création de Place publique interroge une nouvelle fois le rapport des acteurs de terrain aux partis plus traditionnels.
mettre en œuvre les tâches opérationnelles nécessaires pour mener à bien les campagnes du mouvement.
Elle se divise aujourd’hui en plusieurs pôles ayant chacun une fonction propre et ouverts à la participation de tou·te·s les insoumis·es. La liste de ses pôles peut évoluer en fonction des besoins qui seront identifiés durant le processus de la convention.
Coordination : Manuel Bompard
Coordination des groupes d’action Coline Maigre
Evénements nationaux Patrice Gravoin
Matériel des campagnes Dominique Bartholy, Martine Brune et Manu Riquier
Accueil et sécurité Benoit Schneckenburger
Logistique Michel Hernando
Siège de campagne Muriel Rozenfeld
Communication numérique Flore Cathala et Antoine Léaument
Outils numériques Guillaume Royer, Arthur Cheysson
Pratiques militantes Maxime Laisney
Auto-organisation Leila Chaibi
Ce pôle est en charge du suivi, de l’impulsion, de l’accompagnement et de la valorisation des actions d’auto-organisation animées localement par les insoumis·es autour des problèmes concrets et quotidiens rencontrés par les citoyen·ne·s dans leurs quartiers. Ces auto-organisations collectives prennent la forme soit d’actions revendicatives (méthode Alinsky du « community organizing »), soit d’initiatives auto-gérées (faire ce que le service public ne fait pas et devrait faire).
Ateliers des lois Gabriel Amard, Tiphaine Ducharne
Amphis d’été Helen Gilda-Duclos
Enfin, d’autres tâches sont prises en charge directement par des participant·e·s :
Charlotte Girard assure le lien avec l’équipe du programme ;
Marie-Pierre Oprandi assure la gestion de la trésorerie ;
Muriel Rozenfeld est également en charge des relations avec la presse.
La France insoumise est un mouvement : elle ne dispose donc pas des structures des partis politiques traditionnels mais s’appuie sur ses 5000 groupes d’appui répartis sur tout le territoire. Elle a expérimenté pendant la séquence électorale des modalités d’organisation innovantes (première convention à Lille, processus d’élaboration collective du programme, commission électorale tirée au sort).
...
Cette synthèse
...
L’équipe de synthèse était constituée de 8 personnes à parité de genre, représentatives de la diversité du mouvement. La boite à idées sur l’organisation du mouvement a recueilli 1025 contributions individuelles ou collectives.
Pour élaborer cette synthèse, les contributions ont été réparties entre les différents membres de l’équipe. À la suite de la lecture individuelle de chaque contribution, une synthèse a été élaborée collectivement autour de 4 grandes idées.
Il est à noter que beaucoup des propositions ont été formulées et déposées dans la boite à idées avant la publication du calendrier et des modalités de la convention ainsi que de nouveaux outils. Les remarques ayant amené d’ores et déjà des réponses ou des amorces de réponses sont donc indiquées en italique.
Un fort attachement à la forme mouvement dont les principes restent à préciser
Refus massif d’une organisation partidaire traditionnelle : une très grande majorité souhaite que La France Insoumise reste un mouvement sans carte d’adhésion et respecte le niveau d’implication et de militantisme de chaque insoumis.es. De nombreuses contributions soulignent l’importance de laisser toute sa place aux insoumis.es non membres d’un groupe d’appui. Certains proposent la mise en place d’une procédure de confirmation de sa participation au mouvement, sans pour autant passer par une adhésion en bonne et due forme.
Demande forte pour que les décisions importantes de la France insoumise soient prises par une consultation de l’ensemble des insoumis.es.
Exigence d’une plus grande transparence sur l’utilisation des ressources financières du mouvement.
Importance des conventions du mouvement : plusieurs contributions proposent que de tels rendez-vous soient organisées régulièrement, entre 1 et 2 fois par an; d’autres interrogent la composition et le rôle de ces conventions.
Volonté de permettre l’implication de chacun.e au sein des différents pôles, et proposition de création de nouveaux pôles (auto-organisation, juridique, traduction, artistique etc.) permettant de répondre à de nouveaux besoins.
Un appel à volontariat a été lancé pour rejoindre différents pôles existants de l’équipe opérationnelle nationale disponible ici pour le pôle programme (livrets thématiques et ateliers des lois)
https://lafranceinsoumise.fr/2017/10/17/presentation-de-lequipe-danimation-programme-livrets-thematiques/
et ici pour les autres pôles.
https://lafranceinsoumise.fr/2017/10/13/presentation-de-lequipe-operationnelle-mouvement/
...
Les groupes d’appui comme structure de base du mouvement
Consensus sur les groupes d’appui comme force motrice du mouvement : ils doivent rester autonomes et tournés vers l’action et chaque insoumis.e.s doit pouvoir créer un groupe d’appui.
Beaucoup d’importance accordée à l’implication dans la vie citoyenne locale et à être un mouvement au service des citoyens et citoyennes.
...
Une organisation collective pour une plus grande efficacité dans l’action
...
Des démarches ont été engagées pour pouvoir fournir aux groupes d’appui une attestation d’assurance nationale de la France insoumise afin de permettre la location de salles municipales.
...
Enfin, de manière transversale, plusieurs contributions insistent sur la nécessité de ne pas figer les modalités d’organisation du mouvement et de les affiner au fur et à mesure de son évolution.
Liste des personnes ayant participées à la synthèse :
Bernard Bandelier, membre de l’espace politique
Manuel Bompard, directeur des campagnes de la France insoumise
Maxime Hector, membre du Discord insoumis
Agnès Lamesi, membre du groupe de rappel des groupes d’appui
Pierre Loubaut, membre du pôle des groupes d’appui
Coline Maigre, coordinatrice des groupes d’appui de la France insoumise
Alexandra Mortet, membre tirée au sort du comité électoral
Mathilde Panot, députée de la France insoumise
ndlr : tension entre rech d'efficacité et démocratie ? ACT
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Responsable de publication : Elise Monge
Contenus : L’équipe de l’Université d’été Solidaire et Rebelle des Mouvements Sociaux et Citoyens
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Contact : contact@ue2018.org
Logiciel
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Bienvenu-e-s sur le programme de l’Université d’été ! Durant l’événement, différents formats d’activités sont proposés :
- Des « modules » d’une journée de 9 h 30 à 16 h 30 les jeudi, vendredi et samedi, pour apprendre et se former intensément ;
- Des « ateliers » de 2 h 15 le matin, le midi ou l’après-midi, de jeudi à dimanche matin, pour varier les thématiques selon l’humeur et les centres d’intérêt ;
- Des « forums » de 17 h à 19 h pour débattre autour des grands enjeux d’actualité ; ces derniers seront les temps forts de l’événement, à ne surtout pas louper !
- Des « activités Hors-les-murs » vous seront proposées tout au long de l’événement. Ces activités sont diverses et variées, il y en aura pour tous les goûts ! Certaines nécessitent une inscription en amont, alors renseignez-vous bien sur celles qui vous intéressent !
La séance d’ouverture se tiendra amphi Weil le mercredi de 17 h à 19 h et celle de clôture en amphi 1 le dimanche de 14 h à 15 h.
Les enregistrements à cette Université d’été commenceront le mercredi 22 à partir de 14 h ! Un badge vous sera alors remis (indispensable pour accéder aux bâtiments), ainsi qu’une clé pour accéder à votre chambre : Crous, Auberge de jeunesse et internat.
Programme intégral par ici !
Pas besoin de l’imprimer, il vous sera distribué sur place avec votre badge.
Thématique
Type d’activité
Créneau horaire
Modules
Jeudi 23
Ensemble, défendons les droits humains et de l'environnement face au pouvoir des multinationales !
Retraites: comprendre la réforme systémique qui vient pour être prêt-e à se mobiliser
Quelle finance nous voulons ?
Les communs : partager, contribuer et s’organiser
Comment gagner la bataille pour la justice fiscale ?
Quels espaces d'engagement politique pour la jeunesse dans les mouvements sociaux aujourd'hui ?
Crise des progressismes, résistances populaires et tournant à droite en Amérique Latine
Accompagner, défendre et soutenir les lanceurs d'alerte et l'alerte
Autodéfense numérique militante
Migrations : des causes et effets aux mobilisations citoyennes
Vendredi 24
Mobilisations sociales et répressions en Afrique
Ceta, Tafta, Jefta et les autres : nos droits et l'environnement à la poubelle
Face à l'école néolibérale, construire l'école de l'émancipation
Réinventer nos fonctionnements pour créer une utopie vivable
La métropolisation au service de qui ?
La crise systémique : ses causes et son évolution, les contre-réformes de Macron, nos alternatives
Travail et émancipation
Municipalisme, Transition, Communs et Territoires
On y vit, on agit ! Passez à l’action collective et locale pour le climat
Au coeur de nos campagnes : l'agriculture paysanne face à de nombreux défis.
On ne se taira pas ! Stratégies de résistances face à la criminalisation de la société civile
Samedi 25
Défense et alternatives pour les services publics
Les penseurs critiques du capitalisme
Tout va-t-il s'effondrer ? Résistances éco-féministes et construction d'alternatives
Reprendre la main sur la finance plutôt que lui confier la planète et notre avenir
L’engagement social et environnemental : oui ! mais pour qui et par qui? Les enjeux et pratiques des nouveaux publics de l’ECSI
Vivons les jours heureux sans attendre : le Bien Vivre en acte !
Droit à la Ville et luttes dans les quartiers populaires : défendons nos logements !
Armes nucléaires : Aujourd'hui interdites, demain l'élimination
Mouvements sociaux et alternatives systémiques
Comment résister de façon créative ? Formation à l’action et à la désobéissance civile
L’ère de la post-vérité : ce que l’on nous donne à croire.
Ateliers
Jeudi 23
L'éducation populaire en questions 1/4
Pour une gratuité d'émancipation
Des entreprises françaises complices de la colonisation israélienne !
La fabrication des humains ; des GAFA au post-humanisme
Explorer nos pouvoirs et nos privilèges dans nos groupes et au-delà
Comment construire des alliances autochtones/allochtones pour les droits des peuples autochtones, la justice climatique et la Terre Mère ? Stratégies d'action intersectionnelles & distribuées
"Introduction à la thématique de l'alimentation durable et un jeu de l'oie'limentation !"
Eau, sol, agriculture : et si c'était essentiel pour le climat et notre avenir ?
Rendez-vous du changement concret
Cultivons la participation
Le jeu "Vivre la Palestine" : un support pédagogique interactif pour comprendre le quotidien des Palestiniens
Interagir avec les élu.e.s et les journalistes
Recherche responsable et actions citoyennes : pourquoi et comment se renforcer mutuellement pour réussir la transition démocratique et écologique
Stop aux grands projets inutiles, bien vivre dans un monde soutenable
Agriculture paysanne et changement climatique : impact de notre consommation
Eau, climat, biodiversité : et si la gestion du grand cycle de l’eau était la clé ?
La Jai Jagat 2020 : changer le monde en marchant par un Forum social itinérant entre Delhi et Genève
Vendredi 24
#BalanceTonEmpruntToxique !
Reconnaissance de l'expertise de terrain : faire de la recherche participative !
Economie et droits humains
Agir pour la défense du service public, un enjeu particulier pour les femmes et l'égalité !
Comment mettre en liaison les mouvements sociaux ?
Les mouvements sociaux face à la crise des partis de gouvernement et la montée de l'extrême droite
Comment réconcilier les journalistes et les quartiers populaires ?
Alerte scientifique et réforme de l'expertise
L'éducation populaire en pratique 2/4
Du secteur formel au secteur informel : les droits des femmes au travail
Comment enquêter sur les multinationales ? (atelier pratique)
Le rôle des médias dans les mobilisations sociales. Le cas du nouvel outil de comptage des manifestant.e.s.
Atelier / jeu de rôle « Où va l'argent de ma facture d'électricité ? »
25 ans de lutte contre une pollution majeure : l’affichage publicitaire
Impact de l’occupation militaire sur les enfants palestiniens et résilience
Initiatives citoyennes, intérêt général et communs
Un Observatoire et un Laboratoire pour renforcer les acteurs de l'Education à la citoyenneté et à la solidarité internationale
Les guerres de dislocation et la "sécuritisation" du monde
Quels modèles économiques pour les médias indépendants ?
“Thé palabre" : un autre accueil est possible ?
Militant·es : se protéger contre les surveillances illégitimes
L’indépendance : un défi économique pour les médias, un enjeu social pour les journalistes
Avant-Première du Grand Quizz de l'Alter'consommation
Samedi 25
L'éducation populaire en pratique 3/4
Accords et désaccords autour du revenu d'existence
Migrations : quelles solidarités ? Quelle autre politique migratoire ?
Sortir du piège de la dette
En route vers la citoyenneté active
Syrie, revolution et guerres
Jusqu'où faut il changer pour vivre dans une société soutenable ?
Faut-il aller vers un autofinancement des acteur.trices du mouvement social ?
On ne naît pas homme, on le devient
Présentation de OpenStreetMap
Formation « Faire la différence entre électricité verte et électricité verte ! »
En finir avec l'Union européenne néolibérale ! Quelles alternatives ?
Démocratie, citoyenneté, pouvoir d'agir : quels moyens pour quels résultats ?
France / Israël, l'argument sécuritaire en question
Le revenu d’existence et les différentes propositions d’expérimentation, de transition ou d’alternatives
Le libre échange en Afrique, un néocolonialisme économique
Inégalités et justice environnementale : comprendre et agir
Acteurs et actrices de solidarité locale et de solidarité internationale : comment travailler ensemble pour sensibiliser et mobiliser plus largement ?
Résistances à la financiarisation et à la Thatchérisation du logement en France et en Europe
Voix engagées : s’allier pour changer ?
Dimanche 26
L'éducation populaire en pratique 4/4
"Reliance" entre acteurs locaux et nationaux souhaitant s'engager ensemble et durablement pour que prospèrent les initiatives "Municipalisme, Transition et Territoires"
Le FN et les classes populaires
Lutte pour le logement social et public
En route vers le Forum Social Mondial des Migrations de Mexico : Dialogues Europe-Amérique Latine sur les migrations
La crise migratoire des deux côtés de la Méditerranée
Produire des alternatives en coopérative : ils l'ont fait ! et après ?
Synergie numérique
Audit de la dette de l’assurance chômage, luttes, droits et revenus des chômeurs et précaires
Voix engagées : s’allier pour changer ?
Forums
Jeudi 23
Migrations : actions locales et mobilisations collectives aux niveaux national, continental, international
Quelles alternatives face au libre-échange et à la guerre commerciale ?
Faire face aux restrictions de l'espace civique et à la régression démocratique
Vendredi 24
Quand les féministes font bouger les lignes
Libérons-nous du travail ou libérons le travail ?
Penser l’antiracisme, l’inscrire dans la contre-offensive
L’indépendance des médias, un défi politique, économique et citoyen
Samedi 25
Vers la justice climatique
Droit au logement et droit à habiter la ville. Contre la financiarisation du logement
Que faire de l’Europe ?
Quelle stratégie des mouvements sociaux face au pouvoir autoritaire et néolibéral en place ?
Plénières
Mercredi 22
Séance d'ouverture
Dimanche 26
Séance de clôture
Hors les murs
Mercredi 22
Spectacle de Fred Dubonnet : Puisque nous devons vivre ensemble
Jeudi 23
Balade révolutionnaire
Le Cabaret de la Crise
Droit au logement pour touTEs et lutte contre les expulsions
MeetUp Carto
Apéro ATTAC
Françafrique : la France, pompier pyromane en Côte-d’Ivoire
Le Rouge et le vert. Impromptu théâtral et citoyen pour enfin parler de demain !
Vendredi 24
Visite d’un habitat groupé participatif
Déambulaction BDS dans le centre-ville de Grenoble
Vivre et habiter autrement
Promenade sonore : « Afrique-Europe : Le rêve en exil »
Vélorution - Etape du Tour Alternatiba
Soirée festive avec Alternatiba
Conférence : «Climat: est-ce déjà trop tard?» Alternatives et résistances pour agir concrètement.
Le mystère du journalisme jaune
Samedi 25
Parcours « Balade révolutionnaire »
Village des Alternatives d'Alternatiba Grenoble
Exposition « Au fil de l’eau »
Exposition "L'art au flux des migrations : l'aventure"
Sculpteurs de mondes, l’expérience d’un marcheur colporteur
Le Climat est dans l’assiette
Balade du Matrimoine
Formation à l'action non violente
Bien lotis
Festivités militantes au Jardin de Ville !
Avec qui ?
Présentation des organisateurs locaux et nationaux
350.org est une organisation non gouvernementale environnementale internationale, fondée en 2007 aux États-Unis par le journaliste, auteur et militant écologiste Bill McKibben. Son action se concentre sur la lutte contre le réchauffement climatique ; elle est notamment connue pour promouvoir le désinvestissement des énergies fossiles. Le nom de l’association provient du seuil de 350 parties par million (ppm) de CO2 dans l’atmosphère défini notamment par le climatologue américain James Hansen comme taux maximum à ne pas dépasser pour éviter un réchauffement climatique trop important (ce taux a dépassé les 400 en 2014).
https://350.org/fr/
Cette association est laïque, indépendante de tout parti politique, groupement confessionnel ou organisation syndicale et a pour objet de s’opposer au projet de création d’une plate-forme aéroportuaire à Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique), d’informer les adhérents et la population des zones concernées par ce projet, y compris sur les équipements connexes nécessaires à cette réalisation (aménagements routiers et ferroviaires, constructions diverses...), de faire prendre conscience de toutes les transformations qui en découlent, aussi bien pour les zones urbanisées que pour les espaces ruraux et de contribuer et de participer à la réflexion sur le développement du transport aérien
https://www.acipa-ndl.fr
Fondée en 1983, la fédération Peuples Solidaires est une association française de solidarité internationale. Elle soutient les femmes et les hommes qui, partout dans le monde, luttent pour leurs droits économiques, sociaux et culturels.
L’association travaille avec des organisations (ONG, syndicats, etc.) du Sud pour dévoiler les exactions commises par les multinationales et les pouvoirs publics. Les missions de Peuples Solidaires sont d’informer le public, de mobiliser les citoyennes et citoyens, d’alerter les médias, de faire pression sur les décideurs pour faire entendre la voix des organisations de la société civile du Sud.
http://www.peuples-solidaires.org/
Créée par des urbanistes, économistes, cadres d’entreprises, juristes…, l’Aitec est une association de solidarité internationale engagée pour la justice économique, sociale et écologique. À travers la recherche, le plaidoyer et l’appui aux campagnes et aux mobilisations des mouvements sociaux et citoyens, l’Aitec participe à la construction d’une expertise ancrée dans la résistance et l’action critique. Elle s’efforce aussi de proposer des perspectives et des politiques alternatives.
http://aitec.reseau-ipam.org
« Alternative », en basque, est un mouvement citoyen de mobilisation sur le dérèglement climatique. Il promeut des initiatives concrètes qui visent à construire une société durable, tout en s’opposant aux projets qui entravent le développement de cette société. Depuis 2013, Alternatiba varie les modes de mobilisation : « villages des alternatives », tour sur des vélos multiplaces pour valoriser les initiatives locales, ou encore actions de désobéissance civile non violente.
En 2018, le mouvement prépare un nouveau Tour Alternatiba de 5800 km et 200 étapes, associant développement des alternatives et résistance non violente, du 9 juin au 6 octobre. Le Tour s’arrêtera à Grenoble pendant l’Université d’été, le 24 août : l’occasion de nous rassembler et de converger !
https://alternatiba.eu/
La fédération des Amis de la Terre a participé à la fondation du mouvement écologiste français et à la formation du premier réseau écologiste mondial Friends of the Earth International, présent dans 77 pays et réunissant 2 millions de membres sur les cinq continents.
En France, les Amis de la Terre forment un réseau d’une trentaine de groupes locaux et de groupes associés autonomes qui agissent selon leurs priorités locales et relaient les campagnes nationales et internationales sur la base d’un engagement commun en faveur de la justice sociale et environnementale.
http://www.amisdelaterre.org
Il est minuit. Le film « Les Jours Heureux » de Gilles Perret vient de se terminer. Nous sommes une douzaine réunis dans un petit coin des Alpes, dans une petite ferme au pied du Vercors, un week-end de décembre 2015 animés par la volonté que notre société s’oriente résolument vers le bien-être de toutes et tous. Nous sommes de toutes les générations, avec une plus grande proportion de jeunes, engagés depuis des années dans la vie associative.
On partage nos ressentis sur les témoignages des résistants. Non seulement, ils ont libéré la France occupée mais aussi ont bâti un formidable projet politique, le programme du CNR (Conseil National de la Résistance) intitulé « Les Jours Heureux ». Ce programme en mettant en place la subordination de l’intérêt particulier à l’intérêt général orientait la société vers le bien-être de tous. Aujourd’hui, cet héritage est d’une grande actualité tant on constate de plus en plus de mal-être, de désespérance, de précarité, d’inégalités et donc la nécessité d’inventer à nouveau un bien vivre ensemble.
http://osonslesjoursheureux.net/
L’Association France Palestine Solidarité œuvre à la réalisation des droits nationaux du peuple palestinien. Elle entend agir pour une paix réelle et durable, fondée sur l’application du droit international.
http://www.france-palestine.org/
Fondée en 1998, Attac (Association pour la taxation des transactions financières et pour l’action citoyenne) est une association qui milite pour la justice sociale et environnementale, et conteste le pouvoir pris par la finance sur les peuples et la nature. Attac mène des actions pour favoriser le développement d’alternatives et pour mettre sous contrôle citoyen les banques et multinationales prédatrices.
Mouvement d’éducation populaire, l’association produit analyses et expertises, organise des conférences, des réunions publiques, participe à des manifestations… En 2018, Attac est présente dans une cinquantaine de pays ; Attac France compte plus de 10 000 membres et une centaine de comités locaux qui agissent partout en France.
https://france.attac.org/
Le Comité local isérois d’Attac France est également impliqué.
https://local.attac.org/attac38/spip/
La batucada est un genre de musique reposant sur des percussions traditionnelles du Brésil dont les formules rythmiques en font un sous-genre de la samba. La BatukaVI est une batukada de jeunes du secteur 6 de Grenoble (Villeneuve-Village Olympique). Elle vise, à travers la pratique musicale à lutter contre les idées reçues, à revaloriser l’image de ces quartiers régulièrement stigmatisés notamment dans les médias, et à renforcer la fierté d’appartenance à ces quartiers chez les jeunes.
Pour lutter contre les préjugés et tisser des liens entre les cultures, la BatukaVI se produit régulièrement à l’extérieur de l’agglomération, et parfois même à l’étranger : le groupe a notamment joué au Burkina, au Maroc, au Brésil, au Portugal et dans de nombreuses villes en France.
La BatukaVI est un projet initié par l’association Afric’Impact.
http://afric-impact.org/BatukaVI/
Le Collectif des associations citoyennes (CAC) est né en 2010 pour lutter contre la réduction des associations à leur seule dimension économique et défendre la contribution des associations à l’intérêt général et à la construction d’une société solidaire, durable et participative. Après avoir déposé un recours en Conseil d’État contre la circulaire Fillon, qui assimilait l’ensemble des associations à des entreprises, le Collectif a développé une analyse globale des difficultés associatives et élaboré des propositions pour une nouvelle politique associative.
http://www.associations-citoyennes.net
Le Comité pour l’annulation de la dette du tiers monde est un réseau international qui milite pour la satisfaction universelle des besoins et le respect des libertés et des droits humains fondamentaux.
Son angle d’attaque est l’annulation de la dette extérieure publique des pays de la Périphérie (tiers monde et ex-bloc soviétique) et l’abandon des politiques d’ajustement structurel imposées par le trio Fonds monétaire internationaI (FMI), Banque mondiale, Organisation mondiale du commerce (OMC). Il s’agit de mettre un terme à la spirale infernale de l’endettement et de parvenir à l’établissement de modèles de développement socialement justes et écologiquement durables.
Le CADTM Isère est le groupe local du CADTM France. Il organise des conférences, des projections ou des mobilisations.
http://www.cadtm.org/
La campagne BDS (Boycott Désinvestissement Sanctions) a été lancée par la société civile palestinienne en 2005, suite à des dizaines d’années de lutte contre Israël et sa politique d’apartheid.
Les Palestiniens font appel aux citoyens de conscience du monde, afin que prenne fin le plus long conflit de l’histoire récente, en leur demandant de boycotter tous les produits israéliens, mais aussi de pratiquer un boycott sportif, culturel et universitaire. De nombreuses associations et organisations françaises ont répondu à l’appel au « Boycott, Désinvestissement et Sanctions » (BDS) lancé par les palestiniens le 4 juillet 2005 et se sont regroupées au sein de la Campagne BDS France.
https://www.bdsfrance.org
Depuis 55 ans, le CCFD-Terre Solidaire lutte durablement contre la faim en s’attaquant à ses causes, des plus locales aux plus globales. Il soutient plus de 697 projets initiés par des acteurs locaux dans 66 pays.
Le CCFD-Terre Solidaire s’appuie sur un réseau de 15 000 bénévoles pour sensibiliser les Français à la solidarité internationale et agit auprès des décideurs par des actions de plaidoyer pour construire un monde plus juste.
https://ccfd-terresolidaire.org
Le syndicalisme fait partie du patrimoine vivant de l’humanité et de la démocratie. Fait social devenu universel, il a d’abord émergé en Europe avec la révolution industrielle, et y est resté depuis profondément enraciné.
L’histoire plus que séculaire de la CGT s’inscrit dans cet ensemble. Née de la volonté des salariés de s’organiser collectivement et durablement pour défendre leurs intérêts face à l’oppression et à l’exploitation, pour conquérir des droits et les faire valoir, pour imaginer un monde plus juste et proposer des voies pour y parvenir, sont le coeur de son action syndicale.
Bâtie selon deux dimensions professionnelles et géographiques, la CGT s’est forgée et constituée au fil de l’histoire autour d’une conception de solidarité entre les salariés qui combine l’ancrage à l’entreprise et à son environnement territorial.
http://www.cgtisere.org/
http://www.cgt.fr/
Centre de documentation interculturel, association de solidarité locale et internationale.Créé en 1980, le Centre d’Information Inter-Peuples (CIIP) est une association de solidarité locale et internationale. Ses objectifs sont de mieux faire connaître les réalités, les cultures des pays et des peuples des cinq continents, de lutter contre les atteintes aux droits de l’Homme, contre toutes les formes de discrimination et de racisme, de promouvoir un monde solidaire et un développement durable.
Le CIIP organise ou co-organise régulièrement des manifestations interculturelles, des festivals, des rassemblements militants.
Il s’agit également d’un centre de ressources ouvert au public avec des périodiques, des journaux militants, des dossiers de presse et de synthèse, une bibliothèque, des usuels, des vidéos, des expos, des valises et jeux pédagogiques sur les problématiques internationales, les rapports Nord-Sud, les cultures du monde.
Le CIIP édite un journal mensuel, Inter-Peuples, avec un agenda militant et interculturel, des informations locales, nationales, mondiales, des récits de voyage… Il est membre du Réseau d’information et de documentation pour le développement durable et la solidarité internationale Ritimo.
http://ciip.fr/
Membre du réseau européen Clean Clothes Campaign, le collectif Éthique sur l’étiquette agit en faveur du respect des droits humains au travail dans le monde et de la reconnaissance du droit à l’information des consommateurs sur la qualité sociale de leurs achats.
https://ethique-sur-etiquette.org/
Le collectif des Associations de Solidarité Internationale du Grésivaudan organise pour la troisième année consécutives des animations lors de la Semaine. Son objectif est de faire connaître les actions des 25 associations membres par le biais de divers événements locaux, en lien avec des établissements scolaires, salles de spectacles, Centre Sociaux, collectivités, en allant chaque année au devant de nouveaux publics.
https://www.festivaldessolidarites.org/acteurs/collectif-asi-gresivaudan
https://www.festivaldessolidarites.org/
Créée en 1997, Commerce Equitable France représente et fédère les principaux acteurs du commerce équitable en France. Défendre et promouvoir le commerce équitable sont nos principales missions.
Instance de concertation et de mobilisation, Commerce Equitable France rassemble plus d’une trentaine d’entreprises et d’associations d’envergure nationale engagées dans le secteur : labels de commerce équitable, fabricants, importateurs, distributeurs, ONGs, mouvements d’éducation populaire, etc.
https://www.commercequitable.org
NAJE est une compagnie théâtrale professionnelle pour la transformation sociale et politique. Elle pratique le Théâtre de l’Opprimé méthode Augusto Boal (théâtre forum, théâtre images, théâtre et thérapie, théâtre invisible, théâtre journal).
Naje intervient dans les champs de la culture, du social, du politique, de la santé, de l’éducation, de la formation professionnelle, de l’environnement, de la justice, de l’habitat, de la citoyenneté, du développement social.
http://www.compagnie-naje.fr/
La Confédération paysanne est, depuis 1987, un acteur majeur du syndicalisme agricole français qui porte des valeurs de solidarité et de partage. Le projet pour une agriculture paysanne qu’elle défend avec constance depuis sa création est cohérent et global. Il intègre pleinement les dimensions sociales, agronomiques et environnementales dans la production agricole. C’est une alternative réaliste à un modèle d’agriculture industrielle qui élimine trop de paysans et de structures agricoles diversifiées.
http://www.confederationpaysanne.fr
Le Centre de recherche et d’information pour le développement (CRID) a été créé en 1976 par 8 associations de solidarité internationale (ASI). Il en compte aujourd’hui une cinquantaine, réunies autour d’une vision partagée de la solidarité internationale, reposant sur le partenariat et l’éducation au développement.
Le CRID cherche à promouvoir des actions de sensibilisation à la solidarité internationale menées en lien avec différents acteurs comme les autres ASI, les Organisations de Solidarité Internationale issues de la Migration (OSIM), les mouvements d’éducation populaire, les associations de l’économie solidaire, les syndicats, les collectivités territoriales, etc.
https://www.crid.asso.fr/
L’association Droit au logement a pour but de permettre aux populations les plus fragilisées d’avoir accès à un logement décent, en exerçant leur droit au logement. Les revendications du DAL sont « l’arrêt des expulsions sans relogement », « le relogement décent et adapté de toute famille et personne mal-logée ou sans logis » et « l’application de la loi de réquisition sur les immeubles et logements vacants ».
http://www.droitaulogement.org/
L’objet de l’association consiste à animer la réflexion collective et l’expression publique des économistes opposés à « l’orthodoxie néo-libérale ». Leur action se traduit par des publications (notes, articles, communiqués, livres) et des interventions lors de réunions publiques dans les médias qui les sollicitent. Ils proposent des alternatives aux politiques d’austérité.
Ils publient en 2010 le Manifeste d’économistes atterrés, dans lequel ils font une présentation critique de dix postulats qui inspirent, selon eux, les décisions des pouvoirs publics partout en Europe, et mettent en débat vingt-deux contre-propositions.
www.atterres.org
Emmaüs est né il y a 66 ans pour trouver, avec les personnes victimes de phénomènes d’exclusion, les solutions qui leur permettent de redevenir acteur de leur vie. Fidèle à la volonté de l’abbé Pierre, Emmaüs est devenu à la fois une fabrique d’innovations sociales et de solidarités pour aider des publics en situation de grande précarité, et un front engagé et militant en faveur d’une société plus humaine et plus juste.
http://emmaus-france.org/
Artisans du Monde est une association française fondée au début des années 1970 et qui défend un modèle basé sur le commerce équitable. Sa spécificité est d’être structurée autour d’associations locales où des militants bénévoles distribuent divers produits, artisanaux ou alimentaires en provenance des pays du Sud, informent sur les règles du commerce mondial et font du plaidoyer pour une évolution de ces règles.
https://www.artisansdumonde.org/
Le slogan de Finance Watch, « Pour une finance au service de la société », résume sa mission. L’association aspire à l’instauration d’un système financier durable et au service de la société, qui favorise l’investissement plutôt que la spéculation. Ils souhaitent un système bancaire résistant et efficace, orientant les crédits vers un usage productif sans pour autant dégager de rentes économiques ou transférer ses risques à la société tout entière, et des marchés financiers qui encouragent l’investissement productif dans l’économie réelle et dissuadent tout type de spéculation excessive ou nuisible.
http://www.finance-watch.org
Depuis sa création en 1995, l’association Finansol a pour objet de promouvoir la solidarité dans l’épargne et la finance.
A travers des actions de sensibilisation et des outils de communication divers, Finansol fait prendre conscience à chacun qu’il peut jouer un rôle dans l’instauration d’une finance utile, équitable et raisonnée.
Ses actions contribuent, notamment à travers la promotion du label Finansol, à faire connaître les différents produits d’épargne solidaire disponibles. Ces placements permettent de faire fructifier son argent tout en soutenant l’accès à l‘emploi et au logement pour les personnes qui en sont exclues, le développement d’activités écologiques avec l’agriculture biologique et les énergies renouvelables, l’entrepreneuriat dans les pays en développement…
https://www.finansol.org/
Focus on the Global South est une organisation altermondialiste, qui d’un côté élabore et diffuse des analyses, propositions et des moyens d’information afin de promouvoir la soutenabilité sociale et écologique de nos sociétés, et qui de l’autre côté multiplie les plaidoyers ainsi que l’organisation d’actions de base, en premier lieu dans les pays d’Asie du Sud. Depuis sa fondation en 1995, Focus on the Global South a développé ses projets de recherche et ses campagnes d’actions en Thaïlande (son quartier général se trouvant à Bangkok), en Inde (à partir de son bureau de New Delhi) et aux Philippines (à partir de son bureau de Manille).
https://focusweb.org/
Depuis 1998, la Fondation Copernic travaille à « remettre à l’endroit ce que le libéralisme fait fonctionner à l’envers ». Soucieuse de son indépendance et restant par principe hors du jeu électoral, Copernic n’est liée à aucun parti politique, aucun syndicat, aucune association, mais s’adresse à toutes les organisations politiques, syndicales et associatives, et surtout à toutes celles et ceux qui ne se résignent pas à l’ordre néolibéral.
http://www.fondation-copernic.org/
France Amérique Latine s’attache à faire connaître l’histoire, la culture, les mobilisations et revendications des peuples d’Amérique Latine et de la Caraïbe dans toutes leurs richesses et diversité. C’est en faisant connaître et en soutenant leurs combats et expériences collectives en faveur du respect des droits humains, de la démocratie sociale et politique, pour le développement économique et le respect du « bien vivre » ou de l’environnement, que nous leur manifestons notre solidarité.
http://www.franceameriquelatine.org/
Créée par Danielle Mitterrand en 1986, France Libertés est une fondation reconnue d’utilité publique, à but non lucratif et dotée du statut consultatif auprès du Conseil Economique et Social des Nations Unies. La Fondation Danielle Mitterrand défend les droits humains, notamment le droit fondamental d’accès à l’eau pour tous, et les biens communs du vivant pour contribuer à la construction d’un monde plus solidaire.
http://www.france-libertes.org
La F.S.U est une fédération de syndicats nationaux de le fonction publique.
Elle rassemble des syndicats regroupant les personnels intervenant dans les champs de l’Enseignement, l’Éducation, la Recherche, la Culture, la Formation, l’Insertion et plus généralement dans deux des trois fonctions publiques.
http://fsu.fr/
Ingénieurs sans frontières est une association française de solidarité internationale créée en 1982.
Si l’association a été initialement créée dans le but de servir d’assistance technique pour des projets de développement dans les pays du Sud et sensibiliser le monde des ingénieurs aux problèmes de ces pays, son projet a largement évolué en plus de 35 ans d’expérience.
Pour construire à l’échelle nationale et internationale une société sans exclusion et ouverte, il faut changer les manières de voir, les habitudes de penser et les façons de faire. Fortes de ce projet et considérant nécessaire de s’inscrire dans une dynamique de changement pour un monde plus solidaire, six associations de solidarité internationale ont décidé de faire converger leurs efforts et de créer le Réseau Initiatives Pour un Autre Monde – IPAM.
http://www.reseau-ipam.org/
La Ligue française pour la défense des droits de l’homme et du citoyen, plus communément appelée Ligue des droits de l’homme ou LDH, est une association (loi de 1901) visant à l’observation, la défense et la promulgation des droits de l’homme au sein de la République française, dans tous les domaines de la vie publique.
https://www.ldh-france.org/
Association créée en 1986. Premier réseau national d‘éducation populaire à la science et par la science. Premier réseau national d’éducation au développement durable.
http://www.lespetitsdebrouillards.org/
En France, l’association à but non lucratif Max Havelaar France se charge de promouvoir et développer une forme de consommation responsable. Elle gère le label Fairtrade / Max Havelaar apposé sur des produits de différentes entreprises engagées. Elle n’achète ni ne vend aucun produit, mais accompagne les acteurs économiques dans leur démarche et sensibilise l’opinion publique.
https://www.maxhavelaarfrance.org/
Le Mouvement Français pour un Revenu de Base (MFRB) est une association créée en mars 2013, à l’occasion de l’initiative citoyenne européenne pour le revenu de base. Le MFRB se donne pour mission de promouvoir le revenu universel dans le débat public, jusqu’à son instauration.
https://www.revenudebase.info
Le Mouvement National des Chômeurs et Précaires est né en 1986. Il est l’héritier du premier syndicat des chômeurs, créé par Maurice Pagat en 1981, quand par le biais d’un article paru dans « Le Monde », celui -ci invitait les chômeurs à se rassembler, jugeant qu’il était « urgent et indispensable d’inviter les chômeurs à refuser la solitude, à résister, à se défendre, à s’organiser et à prendre enfin la parole ».
http://www.mncp.fr/site/
Le Mouvement de la Paix est une Organisation non-gouvernementale créée en 1948 et agréée « Association nationale de jeunesse et d’éducation populaire ». Association loi 1901 à but non lucratif, le Mouvement de la Paix agit pour le désarmement, en particulier nucléaire, mais aussi contre la production et les transferts d’armements, pour la réduction des budgets militaires.
https://www.mvtpaix.org/wordpress/
Le « Mouvement UTOPIA » est une association d’éducation populaire à but non lucratif, qui vise notamment à élaborer un projet de société solidaire, écologiquement soutenable et convivial dont l’objectif est le « buen vivir ».
Le Mouvement Utopia soutient depuis sa création en 2000 la déconstruction des aliénations de nos sociétés : le dogme de la croissance comme solution à nos maux économiques, la croyance en la consommation comme seul critère d’épanouissement individuel, la centralité de la valeur travail comme seul mode d’organisation de la vie sociale.
http://mouvementutopia.org/site/
La Nef est une coopérative financière qui offre des solutions d’épargne et de crédit orientées vers des projets ayant une utilité sociale, écologique et/ou culturelle. Sa mission est de fournir à ses sociétaires et clients les moyens d’être acteurs de la transition écologique et sociale de notre société. Fidèle à son principe fondateur « Pour que l’argent relie les hommes », la Nef crée des outils financiers de participation citoyenne pour mettre en marche et accompagner des nouvelles façons de produire, de consommer, d’entreprendre, d’habiter.
https://www.lanef.com
Notre affaire à tous est une association ancrée dans la lutte pour la préservation de la nature, l’association oeuvre à l’instauration d’une justice climatique. Ses actions doivent permettre de faire face aux changements climatiques, au désastre nucléaire, à la disparition des ressources, etc. L’objectif principal de Notre affaire à tous est donc de faire respecter et améliorer le droit en vigueur, notamment celui de l’environnement.
https://notreaffaireatous.org
No Vox est un réseau d’associations, de mouvements et d’organisations, qui mènent concrètement des luttes sociales sur le terrain. Fondé lors du 1er Forum social européen à Florence, le réseau a pris une dimension internationale lors du 1er Forum mondial de Porto Alegre en 2003. Ces mouvements de lutte sont composés de femmes et d’hommes qui s’auto-organisent pour la défense et l’application des droits fondamentaux définis par la déclaration universelle des droits de l’homme et pour faire naître de nouveaux droits.
http://www.no-vox.org/
Oxfam France est une association de développement qui lutte contre les injustices et la pauvreté.Oxfam France est membre de la confédération internationale Oxfam, un réseau de 20 organisations de solidarité internationale qui travaillent ensemble dans plus de 90 pays pour trouver des solutions durables à la pauvreté.
http://www.oxfamfrance.org
Créée en 1993 dans le contexte des accords d’Oslo, la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine a pour objectif de mobiliser pour la reconnaissance des droits des Palestiniens, notamment celle d’un Etat palestinien souverain, sur les lignes dites de 1967.
Aujourd’hui, la Plateforme rassemble 42 associations, dont 29 sont membres et 13 sont membres observateurs.
https://plateforme-palestine.org
Le ReAct est né en 2010 d’une analyse partagée : les injustices sociales et environnementales ont pour cause principale la domination des intérêts des grandes entreprises sur ceux de la majorité des personnes. Pour cela, le ReAct souhaite contribuer à organiser les personnes affectées par ces abus afin de construire un pouvoir social à même de défendre les droits et intérêts du plus grand nombre.
http://www.projet-react.org/fr/
Le Réseau Action Climat est le représentant français d’un réseau mondial et européen d’ONG, qui regroupe près de 1100 membres à travers la planète. Avec pour objectif de parler d’une seule voix pour peser davantage sur les décideurs, le Réseau Action Climat couvre de par son travail l’ensemble des secteurs responsables du dérèglement climatique : les transports, la production d’énergie, l’agriculture et l’alimentation, l’habitat, etc. Il travaille principalement à l’élaboration de mesures alternatives et ambitieuses pour lutter contre les changements climatiques et ses impacts et veille à ce que ses propositions ne portent pas atteinte à l’environnement, à la sécurité et aux droits humains.
https://reseauactionclimat.org/association/
Chercheurs, journalistes et militants peuvent-ils s’essayer, ensemble, à décrire le monde social et contribuer au débat d’idées ? C’est le pari lancé par la revue Mouvements : se constituer en espace d’information critique, d’enquêtes sociales, de travaux théoriques et d’interpellation politique afin d’intensifier les échanges entre travaux de recherche, espaces de résistance et de proposition politique. Ni journal en ligne, ni liste de diffusion partisane, ni blog collectif, mouvements.info est un espace réactif de réflexion politique et théorique.
http://mouvements.info/
Un réseau d’information et de documentation pour la solidarité et le développement durable, Depuis plus de 30 ans, le réseau Ritimo regroupe en France des lieux et des organisations (centres de documentation, lieux ressources, médias et projets documentaires en ligne…) engagés collectivement dans un projet de mobilisation citoyenne pour la solidarité internationale.
Notre mode d’action principal est la collecte, la sélection et la diffusion d’une information critique, plurielle et diversifiée, privilégiant l’expression des citoyens, des associations et des mouvements sociaux de tous les continents.
https://www.ritimo.org/
Sciences Citoyennes a pour objectif de favoriser et prolonger le mouvement actuel de réappropriation citoyenne et démocratique de la science, afin de la mettre au service du bien commun.
https://sciencescitoyennes.org
Le Secours Catholique-Caritas France est une association loi 1901 à but non lucratif, reconnue d’utilité publique depuis 1962. Service de l’Église Catholique, elle fonde son action sur l’Évangile et la doctrine sociale de l’Église.
En France, le Secours Catholique couvre l’ensemble du territoire, grâce à ses 3700 équipes locales réparties en 75 bureaux locaux appelés "délégation".
https://www.secours-catholique.org
Depuis 38 ans, SOL, Alternatives Agroécologiques et Solidaires appuie, sur le long terme, des initiatives créées pour et par des organisations locales en Inde, en France et au Sénégal. L’association a pour objectif de participer à la satisfaction des besoins essentiels des agriculteurs paysans et à la valorisation de leur rôle dans la société. SOL agit sur deux volets d’interventions : l’accès à une agriculture paysanne et la protection des ressources naturelles et de la biodiversité.
https://www.sol-asso.fr/
Starting-Block mobilise les jeunes adultes et les initie à la réalisation de projets collectifs tournés vers les autres et basés sur des méthodes d’éducation active et participative. Elle leur propose des animations, des formations et des outils pédagogiques afin qu’ils deviennent des citoyens engagés, acteurs de la sensibilisation de leurs pairs.
https://www.starting-block.org/
Survie est une association créée en 1984 qui dénonce toutes les formes d’intervention néocoloniale française en Afrique et milite pour une refonte réelle de la politique étrangère de la France en Afrique. Survie propose une analyse critique et des modalités d’actions encourageant chacun à exiger un contrôle réel sur les choix politiques faits en son nom. Elle rassemble les citoyens et citoyennes qui désirent s’informer, se mobiliser et agir.
https://survie.org
Fondé en 1974, le TNI est un réseau international d’experts–activistes engagés à analyser de façon critique les problèmes globaux d’aujourd’hui et de demain, avec l’objectif de fournir un soutien intellectuel aux mouvements qui cherchent à orienter le monde dans une direction démocratique, équitable et environnementalement durable.
https://www.tni.org/en
L’Union syndicale Solidaires est composée de fédérations et syndicats nationaux, et d’Unions locales et régionales. Elle existe depuis 2003 mais a des racines bien plus anciennes dans le syndicalisme.
Elle défend les travailleurs et les travailleuses en France, quelle que soit leur origine et leur culture, et travaille avec les organisations de jeunes, de chômeur et chômeuses, de paysans, d’habitants.
Elle entretient des relations fraternelles avec de nombreuses organisations syndicales et d’associations à l’étranger pour faire vivre la solidarité internationale.
https://www.solidaires.org/
Solidaires 38 est la branche de l’Isère de l’Union Syndicale Solidaires
https://solidaires.org/Solidaires-Isere-38
Un espace des « médias indépendants » sera organisé pendant l’Université d’été, avec :
Politis est un hebdomadaire généraliste indépendant fondé en 1988. Aucun sujet ne lui est étranger : de la politique à la société, de l’économie à la culture. Chaque jour, chaque semaine, Politis revient sur les faits marquants de l’actualité, les commente et les met en perspective. La parole est donnée à des chercheurs, des intellectuels, des artistes, des élus, des acteurs de l’innovation citoyenne et de l’économie sociale et solidaire.
Indépendant, sans publicité, il appartient à ceux qui l’écrivent, le fabriquent et lisent. Il n’est adossé à aucun groupe industriel ou financier.
Basta ! (www.bastamag.net) est un média indépendant en ligne qui publie quotidiennement des enquêtes, reportages, entretiens, sur les questions sociales, environnementales, économiques et démocratiques. Nous souhaitons produire et diffuser une information d’intérêt général, accessible à toutes et tous, qui revient à ses fondamentaux : enquêter, décrypter, raconter et expliquer. Basta ! est animé par une équipe de sept journalistes permanents et propose une information à prix libre, en faisant le pari de devenir un média au financement 100% participatif.
Le « quotidien de l’écologie » veut proposer des informations claires et pertinentes sur l’écologie dans toutes ses dimensions, ainsi qu’un espace de tribunes pour réfléchir et débattre. Dans toutes ses dimensions signifie que pour nous, l’écologie est politique, et ne peut se réduire à des questions de nature et de pollution - même si nous suivons attentivement ces questions vitales. L’écologie engage le destin commun, engage l’avenir, sa situation découle largement des rapports sociaux : c’est donc bien une écologie politique et sociale que Reporterre présente et discute.
Sans Transition ! est une revue bimestrielle consacrée aux alternatives en matières économiques, sociales et écologiques dans les territoires. Son objectif : mettre en lumière des actions concrètes s’inscrivant dans les champs de l’environnement, de l’Économie sociale et solidaire (ESS) et de la participation citoyenne. Agriculture biologique, éco-construction, économie circulaire, insertion des personnes en situation de fragilité, transports doux font partie des thèmes traités par Sans Transition !
Alternatives économiques a pour ambition d’offrir à ses lecteurs, à travers ses différentes publications, une information indépendante et de qualité sur toutes les questions qui sont aujourd’hui au cœur du débat public.
L’indépendance d’Alternatives Economiques à l’égard de tous les pouvoirs s’ancre dans son statut de coopérative (Scop) : Alternatives Economiques appartient à ses salariés et à ses lecteurs. Une exception dans l’univers de la presse.
Cette indépendance lui assure une liberté de ton qui rencontre aujourd’hui un échos de plus en plus important avec plus d’un million de lecteurs par mois
Radio Parleur, c’est le son de toutes les luttes. Un média journalistique libre et indépendant. Un site d’information sonore sur internet disponibles en podcast pour raconter les mobilisations, les actions, les alternatives, les défis qui questionnent notre société et provoquent ces évolutions. A travers nos reportages, nos émissions, nos captations de conférences, nous vous donnons à entendre toutes les personnes qui agissent et se mobilisent pour défendre leur opinions et de leurs convictions. Un cadre pour parler des luttes, de toutes les luttes, qu’elles soient sur le pavé, à l’intérieur des cortèges, ou sur les lieux de vie, de sociabilisation et de travail.
Après avoir existé entre 1885 et 1886, Le Postillon a ressurgi depuis mai 2009, avec pour unique business plan d’occuper le créneau porteur et néanmoins complètement délaissé de la presse locale critique. Devant l’ampleur de la tâche, nous nous concentrons sur des sujets locaux et parlons presque exclusivement de Grenoble et sa cuvette. Aucune association, organisation ou parti politique n’est parvenu jusqu’ici à nous convaincre de devenir son journal de propagande. Et malgré les nombreuses sollicitations, nous avons refusé toute entrée dans notre capital : nous sommes donc complètement indépendants.
Mediapart est un journal numérique d’information politique et générale, d’investigation, indépendant des pouvoirs politiques et économiques, participatif et financé par ses abonnés, sans subventions ni publicité.
Premier pure player indépendant d’actualité de la région grenobloise, Place Gre’net est un média reconnu service de presse en ligne d’information politique et générale (IPG) par la Commission paritaire des publications et agences de presse (CPPAP).
S’appuyant sur un modèle économique mixte (vente d’abonnements et d’encarts de communication), Place Gre’net est indépendant de tout groupe économique ou politique et ne perçoit aucune subvention locale, départementale ou régionale. Il est par ailleurs membre du Syndicat de la presse indépendante d’information en ligne (Spiil).
Radio Campus Grenoble, c’est la radio associative qui se trouve au premier étage du bâtiment EVE et qui émet sur le 90.8 depuis 25 ans, 24h/24h et 7j/7j. La programmation musicale de la radio est éclectique et exigeante. Ses magazines et émissions traitent de manière originale des actualités étudiantes, culturelles, associatives et citoyennes. Un seul mot d’ordre : la découverte !
Radio Campus Grenoble se donne l’exigence d’apporter des compétences et des expériences liées aux pratiques culturelle, à la communication et aux médias, à la gestion de projets pour nos multiples interlocuteurs : bénévoles, salariés, stagiaires... Radio Campus Grenoble est membre du réseau Radio Campus France (http://www.radiocampus.fr/).
TV Bruits est une web-télévision locale, indépendante, à vocation régionale. C’est une structure associative et non commerciale composée de personnes et d’associations. Depuis 15 ans, elle réalise et diffuse, sur internet et en projections publiques, des reportages, des documentaires, des films et des émissions télévisuelles. Elle propose des ateliers audiovisuels auprès de différents publics à Toulouse et en Occitanie. Elle initie et forme toute personne intéressée par le domaine de l’audiovisuel et de l’information, en plus des bénévoles de l’association ou de ses partenaires.
Le Ravi est une mensuel associatif régional d’enquête et de satire basé à Marseille et qui sévit en Provence-Alpes Côte d’Azur depuis maintenant 15 ans.
Un journal qui a envie de faire entendre d’autres voix et de montrer d’autres voies. Un journal qui ne se contente pas de produire de l’information : débats, festivals, éducation aux médias, ateliers de journalisme participatif...
le Ravi, avec la coordination permanente des médias libres et Médias Citoyens Paca, essaye de la jouer collectif pour faire vivre la presse et les médias "pas pareils" en Paca mais pas que. Après 15 ans, il est encore vivant. Et c’est déjà pas mal !
Silence est une association qui publie la première revue écologiste collaborative, indépendante française, créée en 1982 à Lyon. Travaillant principalement autour de trois thématiques : l’écologie, les alternatives et la non-violence, Silence diffuse 11 numéros par an. Écrite par des journalistes professionnel·les et par des bénévoles (plus de 1 000 en 36 ans) la revue Silence est distribué par abonnements, via un réseau de 200 dépositaires, et sur des événements (foires, salon,… ) aux quatre coins de la France. Porteuse des valeurs de l’écologie politique, elle associe dans ses recherches théories, concepts et alternatives pratiques, questions sociales et questions de genre.
Le Media
article
Une longue enquête du Monde diplomatique s'attaque à l'image de Pierre Rabhi, figure de l'écologie option "spiritualité et retour à la Terre". Des tendances qui cacheraient mal un certain conservatisme s’accommodant fort bien du néo-libéralisme, et l'absence de toute base scientifique à ses travaux. Retour sur celui à qui les médias ont donné une large tribune bienveillante ces dix dernières années.
Pierre Rabhi est-il un imposteur ? Le vieux paysan souriant au pantalon de velours , figure de l'écologie politique et du mouvement "Colibris", auteur de best-sellers et squatteur régulier de plateaux télévisés ou radio où il prône une ""révolution intérieure" "(et que nous avions rencontré en 2012), fait l'objet ce mois-ci d'un portrait-enquête (très) critique dans "Le Monde diplomatique" intitulé "le système Pierre Rabhi". Lui sont reprochés pêle-mêle son rapport avec des personnalités plus ou moins vichysso-compatibles, l'échec de son modèle agronomique qui exploite des travailleurs bénévoles, et ses liens avec des dirigeants de grandes entreprises. Sur Twitter, l'auteur de l'article pointe même le discours chrétien intolérant qu'il tiendrai...
Les groupes d’action ont su se mobiliser une nouvelle fois pour aller à la rencontre des habitant·e·s et évoquer leurs problématiques tout en mettant à l’honneur les propositions issues de « L’Avenir en Commun ». Face au rejet fortement exprimé d’Emmanuel Macron et son gouvernement, encore un peu plus discrédité par les affaires récentes, les insoumis·es ont su proposer et innover à travers des formes d’actions très diverses tout en répondant aux inquiétudes particulièrement présentes dans les territoires ruraux. C’est le cas des fermetures incessantes des services publics, des gares, de la pauvreté qui gagne du terrain, touchant les jeunes comme les aîné·e·s.
Député·e·s insoumis·es et orateur·rice·s du mouvement étaient également à l’oeuvre pour animer les échanges et apporter leur expertise. C’était le cas de Michel Larive, député de l’Ariège, qui était présent en Haute-Garonne pour accompagner deux caravanes rurales, l’une le samedi à Bagnères-de-Luchon et l’autre le lendemain à Brax.
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Pour aller plus loin :
– Lire l’article « Mobilisations et propositions, les caravanes rurales encore en actions »
– Retrouvez la page Facebook des caravanes insoumises
– Entretien de Michel Larive et Maxime Da Silva pour Luchon Mag durant la caravane
– La page pour tout savoir sur les caravanes rurales