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3 chansons pour soutenir les métiers de la culture :
THE SOUND OF SILENCE / Simon & Garfunkel (Paul Simon - © 1964 Columbia)
MOURIR SUR SCENE / Dalida (M. Jouveaux / J. Barnel - © 1963 IS Records, Orlando Carrere)
THE SHOW MUST GO ON / Queen (Queen / David Richards - © 1991 Parlophone, Hollywood)
Événement tourné le 18 mars 2021 sur la place de l'Odéon, dans le respect des règles sanitaires et des autorisations préfectorales.
Équipe organisation & logistique - Lucas Perrin, Clotilde Guerot, Chips, Benjamin Couderc, Elisa Bette, Vincent Lemaître, Jean-Rodolphe Reynaud, Maxence Bod, Manon Prigent, Ambre le Guilly, Céline Renault, Stan, Dylan Guillou, Armelle Massonnet, Yohann-Hicham Boutahar, Yéshé Henneguelle, Gauvain Sers
Équipe son - Benoit Laur, Stébane Lam, Fabien Aumeunier, Loïc Letort, Eric Le Gallo, Adel Ittelelmadani
Équipe vidéo - Camille Barbé, Michael Terraz, Lucie Fièvre, Héloïse Cottet, David Métra
Montage/étalonnage vidéo - Susanne Fournier et Benoit Laur
Mixage - Valentin Vander
Arrangements - Nicolas Gueguen et Valentin Vander
Direction artistique - Clotilde Guerot et Valentin Vander
Pancartes réalisées par Lucas Perrin
Musique & chant - Camille Aubret, Mathieu Barbances, Frédéric Bobin, Leonor Bolcatto, Flora Bonnet, Martial Bort, René Byamungu, Lise Cabaret, Cello Woman, Sophie Le Cam, Fanny Charmont, Jeanne Chevalier, Julien Dub, Marion Élan, Bastien Ferrez, Julie Fioretti, Garance, Govrache, Margaux Guilleton, Viviane Hélary, Côme Huveline, Macha Lemaître, Romain Lemire, Jonathan Mathis, Mélissende, Pauline Moréteau, Patrice Mercier, Sainte Nicole, Nour, Jean-Jacques Nyssen, Louise O’sman, Jeff Pautrat, Brice Perda, Marjolaine Piémont, Pileos, Sylvain Rabourdin, Lucas Rocher, Jeanne Rochette, Louise Thiolon, Gildas Thomas, Valentin Vander, Alissa Wenz
Solistes "Mourir sur scène" - Guillaume et Johan Ledoux (Blankass), Christophe Mali, Kova Réa, Gauvain Sers
Solistes "The Show Must Go On" - Oriane Hulin, Carole Masseport
Danse - Avec la participation généreuse de la Cie Remue ménage
Veronica Endo, chorégraphie et mise en rue
Lisa Delolme, Edouard Gameiro, Angélique Verger, Maxim Campistron, Marie Bouvier,
Alice Catanzaro, Florie Blight, Nancy Moreau-Maddox, Olivia Vener, Lili Chen, Bruno Brazete
La Cie Remue-Ménage est issue du monde des arts de la rue. La rue est aussi un lieu culturel qui
subit la crise de plein fouet et qui attend sa réouverture avec impatience.
Et dans le rôle du “public”, un groupe hétéroclite et foisonnant composé de comédien-nes, metteur-ses en scène, chanteur-ses, danseur-ses, cinéastes, technicien-nes, circassien-nes, plasticien-nes, administrateur-trices, tourneur-ses, producteur-trices, et spectateur-trices bien sûr !
Nicolas Almosni, Marie-Brigitte Andrei, Ghislaine Arnault, Tiphaine Bellanger, Adeline Belloc, Inès Berlet, Violaine Brébion, Danny Buckton, Marie Busato-Grueau, Antoine Charneau, Anne Cordin, Marjolaine Da Costa, Gérard Damervalle, Sarah Dupont d'isigny, Louis G, Denis Gasser, Béatrice Guillemet-Lanes, Gwenda Guthwasser, Tristan J, Joules le barde jaune, Alain Jouvent, Aïcha Khenissi, Karine Kurek, Valérie Laborde, Orlane Laboria, Marie Lagrée, Moran Laplace, Bernard Lascar, Barbara Laurent, Céline Le Coustumer, Cat Loris, Lily Luca, Simon Machefert, Michaël Marinetti, Thibaut Maubert, Camille Merckx, Valérie Moinet, Aude Ollier, Pti Louis, Marie Reno, Hélène Rossignol, Camille Royer, Raphaëlle Saudinos, Delphine Sénard, Zoé Simpson, Sophie Thiam, Justin de Thuy, Lorraine Tisserant, Rémi Tromparent, Vandozinho, Stéphane Vexler, Marine Voyeux
… et tous les autres !
Un merci tout particulier aux équipes de Novelty et Potar, aux occupant-es du théâtre Odéon, ainsi qu’à Contrepied Productions, Limouzart Productions, Hé Ouais Mec Productions et le Forum Léo Ferré.
Merci à Harold Gaudard et Alexia Legoueix
Merci à Romain Terrier et à l’hôtel Citadines Les Halles Paris pour son aide et son hospitalité.
Clés : Coronavirus ; Culture ; Emploi
Depuis le 29 octobre, date du second confinement, le monde de la culture est à l’arrêt. Les musées sont fermés, les spectacles sont annulés. C’est pourquoi, intermittents du spectacle, artistes et techniciens, se sont réunis sur la Place de la République, jeudi 4 mars dernier. Ils demandent la prolongation de leurs droits au chômage, et la réouverture des lieux de culture.
A l’arrêt depuis le second confinement du 29 octobre 2020, le monde de la culture et du spectacle s’est donné rendez-vous jeudi 4 mars dernier sur la Place de la République, pour une manifestation en direction de Madeleine. Associations, organisateurs de spectacles, salariés et intermittents demandent au ministère de la culture la réouverture des lieux de culture. Ils demandent aussi la prolongation de l’année blanche, qu’Emmanuel Macron avait décidée le 6 mai dernier. L’année blanche avait permis à certains intermittents de prolonger leurs droits au chômage d’une année. Elle prendra fin le 31 août prochain. Après quoi, des milliers de travailleurs de la culture pourraient se retrouver sans revenu et plongés dans la précarité.
En parallèle de la manifestation, un autre groupe s’est introduit dans le théâtre de l’Odéon, situé dans le 6ème arrondissement de Paris, pour l’occuper. L’occupation ne s’arrêtera pas tant que le ministère de la culture n’aura pas répondu favorablement aux revendications des travailleurs de la culture.
Ce 8 mars 2021, les manifestantes ont défilé dans les rues de Paris à l’occasion de la journée internationale de lutte pour les droits des femmes. Le mot d’ordre : à 15h40, toutes les femmes étaient invitées à s’arrêter de travailler. Symboliquement, c’est l’heure à laquelle, tous les jours, en moyenne, les femmes travaillent gratuitement, quand on calcule les inégalités de salaires entre les femmes et les hommes.
Cette année, le 8 mars a une saveur particulière : avec l’arrivée de la pandémie de Covid-19, les femmes ont été, plus que jamais, les premières de corvée. Soignantes, femmes sans papiers, caissières, femmes de ménage, travailleuses précaires, étudiantes, travailleuses du sexe, mères en difficulté... Les femmes ont été doublement affectées par la crise sanitaire et économique. Et leurs efforts ont été pour la plupart grandement minimisés, voire invisibilisés.
3 600 manifestantes ont défilé dans les rues de la capitale, selon la préfecture de police de Paris. D’après le collectif national pour les droits des femmes, qui a organisé la marche, elles étaient 30 000. Elles ont également dénoncé l’impunité des harceleurs, agresseurs sexuels et violeurs, à l’heure où des acteurs français et des hommes politiques sont accusés de viol. “Ce n’est pas la parole qui se libère, ce sont les oreilles qui s’ouvrent”, a résumé l’une d’entre elles.
Audition Lois Cadres - Gestion des manifestations, en finir avec le maintien de l’ordre - •Diffusée en direct le 17 févr. 2021 / Ugo Bernalicis
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🏛 Dans le cadre de notre travail législatif, avec ma collègue Danièle Obono, nous organisons des auditions sur les thématiques sécurité, justice et discrimination.
Aujourd'hui, nous auditionnons Sophie Mazas, avocate spécialisée en droit public et en droit des étrangers, Anne-Sophie Simpere, responsable de plaidoyer à Amnesty International en charge des questions de police/justice et Laurent Bigot, ancien Directeur de cabinet du Préfet en charge du maintien de l’ordre et désormais vidéaste pour l’agence AB7 Média
➡️ Gestion des manifestations - En finir avec le maintien de l’ordre
#LoisCadres
17 commentaires
Connu / https://twitter.com/86Greenpeace/status/1355596834656432129
"
Greenpeace Poitiers @86Greenpeace · 14 min
#Angoulême a aussi dit NON à la loi #SécuritéGlobale
Sous la pluie, mais déterminé.e.s les plus motivé.e.s ont écouté les orateurs puis défilé dans la ville pour le #RetraitDuProjetDeLoi
#MarchesDesLibertes #StopLoiSecuriteGlobale #StopAmazon
"
en attendant samedi 30 janvier qui sera marqué par une nouvelle mobilisation nationale
En France **en 30 ans, 31 lois sécuritaires ! Nos libertés sont en danger**.
A POITIERS, manifestations du 9 et du 16 Janvier 2021 (vidéo de 3’20)
Merci à « Points de Vue Citoyens » pour ce travail… citoyen !
*Connu /* https://twitter.com/86Greenpeace/status/1351227916387020801
"
Greenpeace Poitiers @86Greenpeace
.\#Poitiers \#Manifestation contre la \#LoiSecuriteGlobale
Merci pour le retour de @web86info
avec l'aide de \#PointsDeVueCitoyens notemnt la \#Danse sur le \#ChantDesPartisans de \#CatherineRibeiro
\#StopLoiSécuritéGlobale \#MarchesDesLibertés \#LeDésordreVientDeLIntérieur
Citer le Tweet web86.info @web86info · 1h
[Vidéo] Le 9, le 16 janvier : retour en images sur les mobilisations…
7:00 PM · 18 janv. 2021·- 1 Retweet 1 J'aime
Et pour les amateurs de #ChantÀcapella :
\#CatherineRIBEIRO interprète a cappella "Le chant des Partisans" Institut National de l'Audiovisuel, \#INA \#Musique \#live \#ChantDesPartisans
Catherine Ribeiro "Le chant des Partisans" (live officiel) | Archive...
Abonnez-vous http://www.youtube.com/channel/UC8USS0SAt08of1TfC9Vh4rw?sub_confirmation=1Le cercle de minuit 29/11/1995Catherine RIBEIRO interprète a cappella ... - 0 -0 - 0
"
Vidéo aussi à https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?u6T-Cw
Plus de 3 000 opposants à la construction de ces réserves d’eau ont manifesté dimanche 11 octobre à Épannes (Deux-Sèvres). Parmi eux, José Bové et Jean-Luc Mélenchon
Photos :
- Julien Le Guet, l’un des fondateurs du collectif « Bassines non merci », harangue la foule. © Crédit photo : Jean-Christophe Sounalet
- Jamais les manifestants n’avaient été aussi nombreux. Ils étaient environ 3 000 dimanche 11 octobre, à Épannes (79). © Crédit photo : Jean-Christophe Sounalet
- Jean-Luc Mélenchon, leader de La France insoumise, s’était déplacé pour la première fois. © Crédit photo : Jean-Christophe Sounalet
- Sept troupes d’artistes avaient été invitées pour animer le défilé. © Crédit photo : Jean-Christophe Sounalet
Les sujets associés
Epannes La Rochelle Agriculture Jean-Luc Mélenchon
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Mediapart a collecté et analysé des centaines de vidéos prises le 12 décembre à Paris lors de la manifestation contre la loi « Sécurité globale ». Notre enquête démontre le caractère illicite de plusieurs dizaines de charges policières effectuées ce jour-là et documente les arrestations arbitraires de manifestants, les coups portés sans raisons et la communication mensongère de Gérald Darmanin, notamment au regard du bilan judiciaire.
487 commentaires
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Le 12 décembre, Mélanie Ngoye-Gaham, une habituée des manifestations se rend à Paris pour protester contre le projet de loi "séparatisme" un texte dont elle juge les dispositions "très dangereuses pour la société". Au départ de Châtelet, le cortège dont elle fait partie s'engage pacifiquement sur le boulevard Sébastopol, après une petite dizaine de minutes.
C'est à ce moment-là qu'elle se fait brutalement interpeller par des forces de l'ordre présentes en nombre, qui se dirigent dans un premier temps vers son amie Moun et son parapluie arc-en-ciel, "appelant à la haine".
Les policiers reprochent à cette manifestante- figure du mouvement des gilets jaunes d'Amiens - d'avoir tenu ce fameux parapluie arc-en-ciel en signe de déclenchement des violences du black bloc, ce qu'elle dément fermement, de même que son amie Moun.
Selon cette gilet jaune, il s'agit plutôt d'une façon pour les policiers de "décrédibiliser son histoire", alors qu'en avril 2021, Mélanie Ngoye-Gaham se retrouvera en procès contre un CRS l'ayant violemment frappée à la nuque lors d'une manifestation à Paris, le 20 avril 2019.
S'en suivent alors trois jours d'arrestation pour les deux manifestantes, dont deux en garde à vue dans des commissariats du 18ème et du 19ème arrondissements.
Dans cette vidéo, Mélanie Ngoye-Gaham martèle son innocence, et revient en détail sur les conditions de sa détention, ainsi que le comportement des policiers à son égard dans cette affaire.
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Horodatage
00:00 - Présentation
00:40 - Interpellation
05:26 - Arrivée au commissariat du 18ème
08:03 - Transfert dans un commissariat du 19ème
09:10 - Problème d’avocat
10:55 - « Mélanie, où es-tu ? »
13:32 - « Ils pensent vraiment que Moun est à la tête du bloc ! »
16:19 - « Ils essayent de nous façonner à leur image... »
17:08 - Qui est Moun ?
20:14 - « Je me suis accrochée à cette femme pendant 70 heures »
20:51 - Au bout de 48 heures de GAV
23:38 - Une tentative de discréditation ?
24:28 - « Ils ont refusé de m’ouvrir les toilettes »
25:10 - Rencontre avec le procureur
26:00 - Téléphone disparu
26:36 - Racisme dans la police ?
28:25 - « Je suis très fière de m’appeler Ngoye-Gaham »
30:30 - « Il disait que la manifestation était interdite »
32:03 - « J’apprends que je suis fichée S »
32:58 - « A travers nous, ils veulent donner l’exemple »
33:40 - « Ça n’a pas entaché ma détermination »
34:58 - « Merci pour votre soutien ! »
490 commentaires
arrêté(e)(s)
ASSEMBLÉE NATIONALE
"Le maintien de l'ordre en France" - Audition des sociologues Fabien Jobard et Olivier Fillieule - •Sortie le 23 déc. 2020 / Ugo Bernalicis
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Lundi 14 décembre, Ugo Bernalicis et @Mathilde Panot auditionnaient Olivier Fillieule et Fabien Jobard, sociologues spécialistes de la police, auteurs du livre "Politiques du désordre : police et manifestations en France", afin de recueillir leurs analyses sur l'état du maintien de l'ordre en France.
73 commentaires
Tr.: ... théorie de la démocratie, révolte parce que le pouvoir en place veut aller vite et n'accepte plus les règles de la manifestation, cela génère l'émeute ...
Manifestation du 5 décembre : les forces du désordre à l'oeuvre - 6 décembre 2020 - 18H00 | Le Média
Samedi 5 décembre avait lieu une nouvelle journée de mobilisation nationale contre la loi de sécurité globale. A Paris, le cortège rassemble également ceux qui luttent contre la précarité. Mais dès le départ des tensions très importantes ont lieu, provoquées en partie par la lourdeur du dispositif policier.
Au départ de la porte des Lilas, près du périphérique, les organisateurs de la manifestation sont plutôt joyeux. Lundi, la majorité a reculé devant la forte mobilisation du week-end. Elle a annoncé une réécriture totale de l’article 24 en s'enlisant par la même, dans un imbroglio législatif puisque la loi a déjà été votée. Et vendredi, Emmanuel Macron sur Brut, reconnaît enfin que les violences policières existent après l’avoir nié pendant des mois. Cette déclaration provoque d’ailleurs l’ire des policiers qui menacent d’arrêter les contrôles.
Ce contexte explique peut-être en partie l’encadrement dont bénéficie la manifestation. Nasse mobile, gendarmes au contact qui font avancer les gens au pas, dès le début les tensions sont vives. Les forces de l’ordre bloquent la manifestation et subissent des jets de projectiles. Chaque intersection est synonyme de nouveaux heurts avec les policiers. Au bout d’une heure le cortège n’a fait que quelques centaines de mètres et la situation dégénère définitivement. Les forces de l’ordre coupent la manifestation en deux. Une barricade est dressée par des Black Blocs et des voitures sont incendiées. Les manifestants se dispersent pour la plupart sur le lieu même du départ. Quelques-uns arriveront à la place de la République où de nouveaux affrontements auront lieu. Les images des violences ont pu faire le tour des télévisions. Mais si l’objectif de la préfecture était de permettre à la manifestation de bien se dérouler, l’échec est complet.
AFP
Catégories : Féminisme / Genre/ Rapports sociaux de sexe
Ce manifeste, écrit par des associations de personnes handicapées, s’adresse à tous les acteurs et à toutes les actrices politiques, sociaux, sociales et économiques qui œuvrent pour le respect des droits des personnes en situation de handicap en France, et dans le monde. La Convention Relative Aux Droits Des Personnes Handicapées de l’ONU, entrée en […]
France 3 Bourgogne-Franche-Comté
General Electric Belfort : ce que l'on sait du possible rachat de l...
Le groupe américain GE, en difficulté financière, pourrait céder ses parts de GEAST, filière nucléaire, à un acheteur français. A Belfort, pour les 1400 employés concernés, passer dans les mains d’un actionnaire Français...
France Bleu
Défense de l'emploi chez General Electric : entre 900 et 1.000 mani...
Une manifestation de soutien aux salariés de General Electric a attiré entre 900 et 1 000 personnes ce samedi après-midi dans les rues de Belfort. La menace de nouveaux plans sociaux n'a pas mobilisé autant que les syndicats l'espéraient.
Connu / https://discord.com/channels/756164133186961578/758318550175318066
msg du 27/10/20 à 15:44 de Angela (livret énergie de LFI)
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Jean-Luc Mélenchon était le dimanche 11 octobre dans les Deux-Sèvres pour participer à lancer l'alerte sur la question des « bassines », ces immenses retenues d'eau destinées à l'agriculture intensive, qui perturbent le cycle de l'eau.
Ce vlog retrace l'ensemble du déplacement de Jean-Luc Mélenchon avec une première étape dans le marais poitevin pour comprendre les effets de ces bassines sur le cycle de l'eau. En effet, le drainage mis en place pour diriger l'eau vers les bassines assèche les sols et diminue la pénétration lente de l'eau dans la terre. En bout de course, c'est le marais lui-même qui s'assèche. Cette séquence du déplacement a également permis de comprendre ce que pourrait produire une importante montée des eaux.
Dans un second temps, Jean-Luc Mélenchon s'est rendu sur le lieu de construction d'une de ces bassines pour en étudier l'étendue. Elles sont utilisées pour irriguer le maïs destiné à l'exportation. L'occasion de questionner en profondeur le modèle agricole français tourné vers la productivité davantage que vers la construction d'une agriculture vivrière permettant de retrouver notre souveraineté alimentaire.
Enfin, Jean-Luc Mélenchon participait à la manifestation contre les « bassines » organisée à Épannes. Le député insoumis a pris la parole, aux côtés d'autres acteurs politiques de cette lutte comme Philippe Poutou, José Bové ou Yannick Jadot. Il a évoqué la question de la reconquête du temps long pour protéger le cycle de l'eau et de la nécessaire planification par l'État et la commune pour atteindre cet objectif. Il a expliqué qu'il faudrait nationaliser Veolia et Suez pour protéger le bien commun qu'est l'eau.
329 commentaires
dominique prochasson il y a 5 heures (modifié)
Les délimitations grillagées de ces "bassines" , à elles seules , constituent une signification symbolique trés forte ....et choquante
Liberté d'expression - enquête
France : Comment des milliers de manifestants pacifiques ont été arbitrairement arrêtés et poursuivis
Depuis fin 2018, en France, la répression des manifestations a été d’une ampleur inédite. Manifester pacifiquement expose au risque de violences policières, mais aussi à celui de finir en garde-à-vue. En effet, les autorités ont instrumentalisé des lois contraires au droit international pour verbaliser, arrêter arbitrairement et poursuivre en justice des gens qui n’avaient commis aucune violence. Enquête.
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Nous avons enquêté pendant 18 mois sur la réponse des autorités à ces mouvements sociaux, recueilli et recoupé le témoignage d’une centaine de manifestants arrêtés et poursuivis, et rencontré les autorités Le constat est inquiétant.
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Des lois contraires au droit international https://www.amnesty.fr/focus/droit-de-manifester-pourquoi-certaines-lois-francaises-sont-contraires-au-droit-international ont été utilisées de manière massive, et une nouvelle loi, dite « anticasseurs » a été promulguée. Et c’est encore sur ces lois que s’appuie le nouveau Schéma national du maintien de l’ordre (SNMO) du ministère de l’Intérieur.
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Lire aussi : Qu'est ce que la "criminalisation des manifestants" ? https://www.amnesty.fr/focus/quest-ce-que-la-criminalisation-des-manifestants
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En avril 2019 a été introduite une interdiction générale de dissimuler son visage pendant les manifestations sous peine d’une amende pouvant aller jusqu’à 15 000 euros et d’une peine pouvant aller jusqu’à un an d’emprisonnement. Cette loi est contraire au droit international, et n’a plus aucun sens dans le contexte du Covid-19 où il est obligatoire de porter un masque. Entre avril et octobre 2019, cette interdiction a donné lieu au placement en garde à vue de 210 personnes. En 2019, 41 manifestants ont été reconnus coupables de cette infraction.
Ainsi, Brice, journaliste, était en train de filmer une manifestation des Gilets jaunes à Paris en avril 2019 lorsqu’il a été arrêté, maintenu en garde à vue pendant 48 heures et inculpé pour « violences », « dissimulation du visage » et « préparation de violences ». « Je trouve absurde que le parquet ait requis [une peine de] trois mois, sachant que je suis journaliste et qu’il n’y avait aucune preuve contre moi », a-t-il déclaré. Il a été acquitté par la suite.
-> pétition
https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?gkEcZQ
618 soutiens
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la grande majorité des manifestants est pacifique. Et pour eux, aujourd’hui, participer à un rassemblement, c’est malheureusement s’exposer aux gaz lacrymogènes, aux grenades ou à des tirs de LBD40.
C'est aussi, risquer d’être arrêté arbitrairement, privé de liberté lors de gardes-à-vue traumatisantes, voire faire face à des poursuites pénales sans avoir commis aucun acte violent. C’est ce qui est arrivé à des milliers de manifestants ces dernières années. Sous la présidence d’Emmanuel Macron, le droit de manifester a été attaqué comme jamais dans l'histoire récente. Il s’était pourtant engagé pendant sa campagne à le protéger ! Au lieu de cela, un arsenal de lois répressives et contraires au droit international a été déployé pour restreindre ce droit essentiel.
Rappelons à Emmanuel Macron ses engagements !
Au moment où notre pays doit se réinventer en profondeur, nous, associations, affirmons que l’engagement associatif est une des clés du renouveau.
Face aux défis sociaux, environnementaux, culturels, économiques et politiques de notre époque, nous, associations, voulons faire mouvement pour prendre toute notre part à la construction d’un avenir plus solidaire et plus juste.
C’est l’ambition qui anime Le Mouvement associatif et qu’il veut porter avec tous ceux qui font le choix de l’action libre et volontaire, au service de l’intérêt général.
-> https://lemouvementassociatif.org/wp-content/uploads/2016/10/Manifeste_pour_un_mouvement_associatif-A4.pdf
Ndlr : texte consistant ? des doutes... => questionner à l'épreuve des faits ? ACT
. @LeMediaTV · 6h
"Faisons entendre notre voix à un président sourd au mal être de son peuple. On ne porte peut-être pas le même maillot mais nous avons le même objectif : la fin d'un monde, le leur, le début d'un monde meilleur, le nôtre."
.@J_Rodrigues_Off - 76 - 454 - 642
Les grandes crises peuvent parfois déboucher sur des changements profonds et positifs. Les mobilisations populaires sont la clé, « d’autant plus puissantes qu’elles s’appuieront sur un imaginaire social alternatif à celui de l’accumulation infinie, du consumérisme et du fantasme de toute-puissance ». Cet imaginaire, des chercheurs et militants l’alimentent avec un manifeste publié ce 5 juin : Ce qui dépend de nous. Manifeste pour une relocalisation écologique et solidaire.
Campagne > Justice sociale et climatique
Avec la pandémie, le mot « relocalisation » est désormais dans toutes les bouches. Minimaliste et cosmétique dans sa version néolibérale, haineuse dans sa version nationaliste, la relocalisation peut aussi être écologique et solidaire.
C’est cette voie, apte à fédérer largement, que détaille ce manifeste, auquel ont contribué, à l’initiative d’Attac, des militant·e·s et chercheurs·euses d’horizons variés.
...
Je consulte le livre sous format électronique https://france.attac.org/7474
Je commande le livre en version papier (envois à partir du 24 juin)
Ce qui dépend de nous,
- c’est d’agir aux côtés des personnels hospitaliers, pour augmenter les salaires et les effectifs, pour préserver et étendre les organisations coopératives et horizontales du travail de soin qui ont sauvé tant de vies pendant l’épidémie.
- c’est de désobéir à la gouvernance par les chiffres pour initier une refondation des services publics centrée sur le care, le soin des autres et de la nature, l’attention aux usager·es et aux élèves, à commencer par les plus fragiles.
- c’est d’imposer par nos luttes un partage des richesses, un revenu garanti, un droit au logement et aux papiers pour les précaires et chômeurs victimes d’une crise sociale qui ne fait que commencer.
- c’est de poursuivre et d’amplifier les multiples réseaux de solidarité concrète que nous avons tissés pendant l’épidémie.
- c’est d’empêcher que repartent comme avant, soutenues par l’agent public, les activités insoutenables pour la vie.
- c’est de décider, en nous réunissant sur nos lieux de travail et de vie, ce à quoi nous devons renoncer, ce que nous voulons transformer, ce que nous voulons inventer pour mieux vivre et respecter les limites de la planète.
- c’est de défendre bec et ongles nos libertés et nos droits contre d’illusoires promesses de sécurité et une surveillance électronique généralisée.
- c’est de sauvegarder les terres en installant des paysan·ne·s, de défendre la biodiversité en bloquant les projets de béton et d’extraction, de protéger l’eau contre les pollueurs et les traders.
- c’est de délégitimer et rejeter le pouvoir exorbitant des multinationales sur nos vies, pour que Big Oil&Gaz, Big Pharma, Big Data... laissent la place à l’économie solidaire et aux communs.
- c’est de déployer à grande échelle les expériences alternatives, inclusives et féministes, comme autant d’utopies réelles qui érodent le capitalisme.
- c’est de soumettre au principe démocratique nos mouvements et nos luttes, afin de n’y pas reproduire les dominations sociales, sexuées, racistes qui empoisonnent nos sociétés.
- c’est de construire un projet enthousiasmant de relocalisation écologique et solidaire, pour discréditer les simulacres néolibéraux, la régression nationaliste, et proclamer notre interdépendance avec les autres peuples et le vivant.
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