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The government claims that the Great Debate was a success. Oh, really?
Yanis Mhamdi investigate the methods they used and you'll see there are at the veryleast...
Suspicious
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Publié originellement 20 mars 2019
Catégorie Actualité & Politique
LicenceInconnu LangueInconnu
Étiquettes : en marche ; Grand Débat ; LREM ; Macron ; République en Marche
Durée 10 min 53 sec
Transcription : ... c'est bien l'argent des contribuables qui finance les contributions au grand débat. Selon le service de presse du premier ministre le coût est entre 10 et 15 M€. ils ont pris en charge les frais de déplacement et d'hôtel. Cela est d'autant plus contestable que le CSA (conseil supérieur de l'audiovisuel) décompte les interventions d'Emmanuel Macron pour la campagne électorale des européennes.
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Que faire quand le pouvoir n’écoute plus rien, passe en force dans les institutions, réprime la protestation ? Adèle Haenel, elle, quitte la cérémonie des César pour dénoncer la complaisance du milieu du cinéma à l’égard des violences sexuelles et sexistes. Mais lorsqu’elle “se lève et se barre”, elle ne fait pas défection : elle accomplit un geste de protestation qui s’inscrit dans une lutte.
De même quand des soignants jettent leurs blouses, quand des pompiers quittent une cérémonie officielle, ou même quand les députés d'opposition de gauche quittent l'hémicycle, ce ne sont pas des désertions : c'est la seule manière qu'il reste de prendre la parole quand on s'adresse à un mur.
.#Stagirite #Protestation #Polanski
Catégorie Actualités et politique 809 commentaires
Transcription :
... Hirschman : 3 attitudes : voice (prendre la parole), exit, loyalty
... le voice n'est efficace que si l'organisation veut ou peut entendre. L'exist n'est une option que s'il y a un extérieur, une alternative. ... La scène s'est déplacée et c'est Adèle Haenel qui fait la représentation et non pas ceux qui sont sur la vraie scène ... Tourner le dos, c'est aussi éviter le piège des fausses mains tendues, des invitations hypocrites à "dabattre" -on se souvient à ce sujet de l'arnaque du Grand débat national, destiné en fait à enterrer le mouvement des Gilets Jaunes. Luttes féministes, manifestations, opposition parlementaire, toutes se heurtent à ce que Despentes appelle "les puissant, les boss, les chefs, les gros bonnets. C'est le même message venu des mêmes milieux adressé au même peuple : ta gueule, tu la fermes, ton consentement tu te le carres dans ton cul, et tu souris quand tu me croises parce que je suis puissant, parce que j'ai toute la thune, parce que c'est moi le boss." C'est ça qu'il y a de commun à toutes ces affaires... Ce sont ces installés, ces possédants, qui détiennent les moyens de production, qui sont à la tête de l'État, qui maîtrisent la distribution du prestige et des honneurs dans le milieu de la culture, et ça ça porte un nom ; la bourgeoisie. ... Ce sont eux qui ont les moyens de faire socialement céssession. Et nous, on ne déserte pas. Mais on se lève, on se barre et on les emmerde.
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Originaire de Saillans, la journaliste Maud Dugrand documente, dans un livre intitulé La Petite République de Saillans, les contours, les tensions et réussites d’un moment politique et démocratique inédit. Entretien.
Mots-clés démocratie participative Drôme élections municipales liste citoyenne Maud Dugrand République Saillans
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chercher le consensus à tout prix, dans un processus de participation, possède des limites. C’est un modèle qui semble légitime mais qui empêche sans doute parfois de prendre des décisions nécessaires.
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Alors qu’on est habitué à la verticalité des décisions, à la fonction symbolique du maire, Saillans a bousculé des représentations et des pratiques du pouvoir qui nous construisent et nous sécurisent depuis des décennies. Cela ne va pas sans angoisse, mais cela peut changer des habitudes dont on voit bien les limites.
...
des règles d’écoute et de répartition de la parole ont été posées et cet espace civilisé est favorable aux femmes. Je soupçonne que, dans le village, cela a bousculé le patriarcat, car on a ouvert des lieux obéissant à des règles où l’on n’a plus peur d’aller en tant que femme.
... réforme du Plan local d’urbanisme (PLU) réussie ... 93 événements participatifs ont été proposés entre juin 2017 et juin 2019 concernant le PLU et 434 personnes ont participé à au moins l’un d’entre eux, ce qui est énorme sur un village de 1 300 habitants ... cela a été compliqué et parfois violent ... Ces questions en apparence techniques, complexes, réglementaires touchent en réalité des choses fondamentales : la propriété privée, l’intérêt commun, la manière dont on vit et on habite. ... Ce qui est très positif, c’est que ces sujets qui, en général, demeurent enfouis, alors qu’ils se situent à l’articulation des projets de société et de l’intimité des vies, ont été mis sur la place publique, au lieu qu’on découvre, à chaque vote, qu’il y a de l’inquiétude, des rancœurs, des seuils de tolérance et d’intolérance que capte le plus souvent le vote FN ... même s’il reste des désaccords, il est plus sain qu’ils s’expriment ouvertement. À ce titre, l’existence d’une liste d’opposition est un très bon signe.
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Le « capital d’autochtonie » a son importance
... partager le village entre « néos » et « locaux » ou entre « droite » et « gauche » ? ... clivage ... être capable de se confronter de personne à personne. ... Le cadre participatif laisse peu de place au conflit. Il impose la rationalité au détriment de l’émotion, de la parole directe, parfois frontale ... il existe souvent une euphémisation du conflit chez ces classes moyennes à fort capital culturel. ... la « redistribution de la parole se substitue à la redistribution sociale », comme on l’a vu lors du « Grand débat » post-gilets jaunes.
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des listes citoyennes ne peuvent pas se constituer à trois mois des élections. Il faut un travail au moins deux ans avant, avec l’aide de professionnels de l’éducation populaire et de l’animation de réunions. Mais il n’est pas inintéressant de noter que dans la ville voisine de Crest, 8 000 habitants, administrée depuis quatre mandats par Hervé Mariton, ancien député LR, qui se représente pour un cinquième mandat, une liste citoyenne s’est constituée. Peut-être qu’avec le temps, Saillans assumera d’avoir été ce précurseur, mais aujourd’hui c’est trop tôt. Saillans n’avait pas l’ambition de repenser la démocratie d’un point de vue théorique.
Ndlr : faut-il privilégier l'action à la parole, le faire ensemble, plutôt que la "parlotte" ? questionner, expérimenter ACT
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#retraites #grève
Catégorie Actualités et politique 756 commentaires
Sur des rails
... est neutre, par exemple en lui trouvant des garants. Mais le site Internet "granddebat.fr", censé permettre de le nourrir ou d'y contribuer en ligne, montre d'inquiétants symptômes de macronisme aigu.
"Adopter une posture de neutralité vis-à-vis des participants, ne pas prendre parti pour tel ou tel raisonnement, proposition ou avis". La charte du grand débat national lancé par Emmanuel Macron pour répondre à la crise des gilets jaunes est très claire : les discussions doivent être ouvertes et aucun biais idéologique ne doit venir les orienter. Sauf que la navigation sur le site Internet mis en place par le gouvernement pour encadrer le débat (granddebat.fr), ou y contribuer en ligne, donne l'impression que cette promesse est un vœu pieu, tant les rails qui sont déroulés sur la plateforme, à coups de questionnaires et de fiches, paraissent étroits… ... leur lecture laisse un léger goût de propagande. La plus importante, concernant "la fiscalité et les dépenses publiques", étincelle qui a mis le feu aux gilets jaunes, brosse ainsi un tableau très orienté. Voici par exemple son "diagnostic" de la situation qui fait l'ouverture sur trois pages : la France, y apprend-on dans les passages mis en valeur en gras, connaît "le niveau de dépense publique le plus élevé des pays développés lorsqu’il est rapporté au produit intérieur brut (PIB)", "le taux de prélèvements obligatoires (y) est en hausse constante depuis 50 ans et est aujourd’hui le plus élevé des pays riches" et, "sur 1000 euros de dépenses publiques, l’ensemble des dépenses relatives à l’Assemblée nationale, au Sénat et au Gouvernement représente 1 euro" (tableau détaillé à l'appui). Boum. ... un parfait résumé de la doxa libérale visant à "libérer les énergies", qui a justifié un an de politique économique macroniste. Les hypothèses d'une relance de la croissance, d'une remise en question de la règle européenne des 3% de déficit ou encore de dispositifs protectionnistes sont passées sous silence. ... s'il n'a pas encore compris la nécessité absolue de réduire les impôts, doit répondre à une question bien orientée : "Quels impôts faudrait-il, prioritairement, réduire davantage ?". ... la piste du rétablissement de l'ISF n'est évidemment pas soulevée. ... le gouvernement semble se soucier davantage de prendre le pouls du peuple que de débattre avec lui.
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Le Grand Débat c'est enfin fini. Alors quels enseignements en tirer ?
Henri Sterdyniak revient sur les 3 derniers mois et décrypte les nombreuses arnaques, entourloupes, biais et questions orientées qu'a utilisé le gouvernement pour, surprise, obtenir des résultats qui valident d'avance leur programme inique.
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Au programme de l'Autre 20h ce soir présenté par Romain Mahdoud :
⏩ GRAND DÉBAT : COMMENT MACRON ESPÈRE PIÉTINER LA VOLONTÉ DES FRANÇAIS
Baisse des prestations sociales, accroissement des inégalités… Pour répondre au mécontentement des Gilets jaunes, Emmanuel Macron a lancé le Grand débat national. Il s’est soldé par un véritable fiasco, raconté par Henri Sterdyniak. C’est la chronique éco !
⏩ NOTRE-DAME : DU MOYEN AGE À 2019, UN INSTRUMENT D'UNION NATIONALE AU SERVICE DU POUVOIR
Hier soir la cathédrale Notre-Dame de Paris s’est embrasée. Julien Théry, historien spécialiste du Moyen-Age et animateur de "La Grande H.", l'émission d'histoire du Média, revient sur l’histoire de ce monument; C’est son face cam.
⏩ ELECTIONS EUROPÉENNES : LES POLITIQUES MONÉTAIRES DES CANDIDATS
Dans 40 jours se tiennent les élections européennes. Et les candidats dévoilent leurs programmes. Hier, lundi 15 avril c'était le parti de Marine Le Pen qui présentait son projet, remanié sur les questions monétaires. Pour cette deuxième chronique de J moins, on vous décrypte les positions de chacun sur la politique monétaire européenne et l’euro.
⏩ DÉTOURNEMENT DE FONDS : LA LANCEUSE D'ALERTE QUI MET EN CAUSE NATHALIE LOISEAU
Nathalie Loiseau, actuelle tête de liste LREM pour les élections européennes, était DRH au ministère des Affaires étrangères lorsque Françoise Nicolas, fonctionnaire détachée à l’Ambassade française au Bénin, a été victime de violences physiques et psychologiques. Elle dénonçait alors la mise en place d’un système de dépenses fictives. T
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Le « grand débat national » : un exercice inédit, une audience modérée au profil socioéconomique opposé à celui des Gilets jaunes
La fin du « grand débat national » marque une étape cruciale du moment politique singulier ouvert par les Gilets jaunes. Exercice inédit, ce « grand débat national » aura-t-il répondu à la crise politique et sociale qui rythme la vie de notre pays depuis 6 mois ? La démocratie en ressortira-t-elle mieux armée pour affronter les défis majeurs de ce siècle ? Pour répondre à ces questions, il importe de qualifier ce qu’a été cet exercice pour attester la portée politique de ses résultats.
Initiative citoyenne indépendante, lancée fin janvier 2019 par l’Institut de la concertation et de la participation citoyenne (ICPC) et le Groupement d’intérêt scientifique Démocratie et Participation, avec l’appui de Démocratie Ouverte et de Décider Ensemble, en s’associant à un projet de recherche du Centre de recherches politiques de Sciences po (Cevipof),l’Observatoire des débats réunit une centaine d’observatrices et d’observateurs bénévoles. Leur mobilisation a permis, grâce à une grille d’observation commune et un court questionnaire sociopolitique, l’observation de plus de 260 réunions locales (soit 2,9% des réunions répertoriées). Des données ont ainsi été collectées sur les publics réunis (près de 5 000 questionnaires recueillis dans la moitié de ces réunions, soit 1% du public des « réunions d’initiative locale »), mais aussi l’organisation, le déroulement, les thématiques discutées et les propositions formulées lors de réunions locales. Grâce à ce dispositif, l’Observatoire a également observé 17 des 21 conférences citoyennes régionales du « grand débat national », et il conduira l’observation des Assemblées citoyennes délibératives qu’organise le Vrai Débat à partir de fin mai – début juin 2019.
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Contact
Jean-Michel Fourniau, Gis Démocratie et Participation : jean-michel.fourniau@ifsttar.fr
Pierre-Yves Guihéneuf, Institut de la Concertation et de la Participation Citoyenne py.guiheneuf@concerter.org
Martial Foucault, CEVIPOF : martial.foucault@sciencespo.fr
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Emmanuel Macron devrait s’exprimer dans les jours qui viennent pour donner les premières orientations prises par l’exécutif suite à la réception des résultats du grand débat. Lors de cette réception, Edouard Philippe avait annoncé que son gouvernement devait baisser les impôts, et « les baisser vite », pour répondre à « l’exaspération fiscale » exprimée par les Français.
La fiscalité devrait donc être au cœur des annonces effectuées par Emmanuel Macron, reste à en connaître le détail. Dans les résultats du grand débat, la TVA est citée comme l’impôt à baisser en priorité par 28% des participants, soit un score plus élevé que celui récolté par l’impôt sur le revenu (18,8%). Or le gouvernement s’est pour l’instant montré peu réceptif à l’idée d’une baisse de la TVA ou d’une TVA à 0% pour les produits de première nécessité.
Une baisse de l’impôt sur le revenu est en revanche attendue, avec probablement un geste en faveur des classes moyennes. « La cohérence entre politique fiscale et politique économique pourrait nous amener à baisser en priorité l'impôt sur le revenu, c'est-à-dire l'impôt de ceux qui travaillent, en commençant par ceux qui ont les niveaux de revenus les plus modestes », a déclaré mardi le ministre de l’Economie Bruno Le Maire. Cela pourrait notamment passer par une première tranche de l’impôt sur le revenu à 10%, au lieu de 14% actuellement.
Pour financer cette baisse d’impôt, le gouvernement envisage de s’attaquer aux niches fiscales, comme l’a rappelé le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin dans une interview au Journal du Dimanche : « ce qui mine la progressivité de l'impôt sur le revenu, c'est l'optimisation fiscale que la multiplicité des niches fiscales rend possible. Or elles ne sont pas toutes utiles ni justes ».
Emmanuel Macron va-t-il faire des annonces fiscales fortes ? Comment répondre au ras-le-bol fiscal des Français à l’issue du Grand débat national ? Une baisse de la TVA est-elle envisageable ? L’impôt sur le revenu doit-il devenir encore plus progressif ?
Invités :
- Christophe BARBIER, éditorialiste à « L’Express »
- Dominique SEUX, directeur délégué de la rédaction des « Echos »
- Vincent DREZET, fiscaliste, secrétaire national du syndicat Solidaires-Finances publiques
- Mathieu PLANE, économiste à l’OFCE
Présentation : Caroline Roux et Axel Tarlé
Réalisation : Pascal Hendrick, Jean-François Verzele et Jacques Wehrlin
Production : France Télévisions/Maximal Productions
Catégorie Divertissement
.#GiletsJaunes #Castaner #YouthForClimate
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Dans ce nouveau point politique, Adrien Quatennens évoque dans un premier temps la stratégie du pourrissement adoptée par le gouvernement qui balaie d'un revers de la main l'essentiel des revendications des #GiletsJaunes en n'apportant qu'une réponse sécuritaire. Ce n'est pas une attitude à la hauteur du moment que nous vivons. #Castaner
Ensuite, Il revient sur les marches pour le climat des 15 et 16 mars notamment portées par la jeunesse. #YouthForClimate #IlEstEncoreTemps
Enfin, il conclue par les pistes évoquées à la sortie du #GrandDébatNational : le retardement de l'âge de départ à la #Retraite et une nouvelle journée de solidarité finançant la dépendance.
Liens utiles :
- QAG - LE TEMPS EST VENU POUR LE PAYS DE SORTIR DE L’IMPASSE DANS LAQUELLE VOUS L’AVEZ CONDUIT
https://www.youtube.com/watch?v=HXbu5... - Actualités de la campagne européenne de la #Franceinsoumise
https://lafranceinsoumise.fr/actualit... - Le programme de la France insoumise
https://lafranceinsoumise.fr/actualit...
Catégorie Actualités et politique 260 commentaires
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Quatre mois après le début des manifestations et au moment où s’achève le grand débat national, l’acte XVIII des Gilets jaunes met de nouveau l’exécutif sous pression. La manifestation de ce samedi a été marquée par un regain de violences sur les Champs-Elysées, à Paris, où pendant plusieurs heures des milliers de manifestants et de casseurs ont affronté les forces de l’ordre, saccagé des dizaines de commerces, enflammé des banques, des kiosques et des barricades.
Face à ce puissant regain de tensions, Emmanuel Macron a écourté ses vacances dans une station de ski des Hautes-Pyrénées et s’est rendu sur les lieux pour constater le saccage de la plus belle avenue du monde. « Sur les Champs-Élysées, ce qu’il s’est passé, ça ne s’appelle plus une manifestation. Ce sont des gens qui veulent détruire la République et tout avec elle. Tous ceux qui étaient là se sont rendus complices de ça », a réagi le chef de l’Etat avant de promettre des « décisions fortes et complémentaires » afin que ces violences « n’adviennent plus ». Oui, mais lesquelles ? « Que font la police et son ministre ? », s’époumone l’opposition, qui s’interroge depuis samedi sur « le laxisme sécuritaire » voire le laisser-faire de l’exécutif face aux « casseurs professionnels » qui ont saccagé une partie des Champs-Élysées. Sous le feu des critiques de la droite et de la gauche, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner voit également les jugements sévères se multiplier au sein de la majorité.
Dans ce contexte, Matignon a décidé de reprendre la main. Ce lundi, le Premier ministre s’est rendu à l’Élysée pour faire « ses propositions d'adaptation au président de la République » afin « de renforcer la doctrine et de s'assurer à tout moment de la fermeté de son exécution ». Car l'heure est aux comptes et Matignon l'avoue : il y a eu des « dysfonctionnements » du dispositif de sécurité face à une flambée de violence qui renvoie à un niveau de tension connu en décembre, avec le saccage de l'Arc de Triomphe. Pour plusieurs syndicats de police, la solution passe désormais par une réponse plus musclée. « Il faut assumer d'aller au contact et peut-être d'avoir des blessés. En face de nous, ce ne sont pas des enfants de chœur », a ainsi déclaré son secrétaire général adjoint d’Alliance, Frédéric Lagache.
D’autres se prononcent en faveur d’une interdiction encadrée des manifestations. Le syndicat des commissaires de police réclame lui une « solution politique » et non sécuritaire. « Ce ne sera ni à la police, ni à la gendarmerie de régler la crise des Gilets jaunes », souligne David Le Bars, le secrétaire général du syndicat des commissaires de la police nationale.
Alors que va décider l’exécutif ? Quels ont été les « dysfonctionnements » du dispositif de sécurité ? Qui sont ces casseurs ? Se dirige-t-on vers une interdiction de manifester sur les Champs-Élysées ? Faut-il modifier la doctrine du maintien de l’ordre en France ? Quelles réponses le gouvernement doit-il apporter ?
Invités :
- Yves Thréard, éditorialiste et directeur adjoint de la rédaction du Figaro
- Nicolas Chapuis, journaliste police-Justice au Monde
- Christophe Rouget, secrétaire général adjoint du Syndicat des cadres de la sécurité intérieure (SCSI-CFDT)
- Soazig Quéméner, rédactrice en chef du service politique de Marianne
Caroline Roux est aux commandes de l'émission du lundi au jeudi et Axel de Tarlé prend le relais le vendredi et le samedi
Catégorie Divertissement
Vidéo 9’39
Macron donne un cours magistral à 65 intellectuels sur France Culture
Avez-vous suivi le Grand Débat des Idées, hier soir, sur France Culture ? De 18h à 2h du matin, le président de la République Emmanuel Macron recevait à l’Élysée 65 intellectuels triés sur le volet. Une liste impressionnante de savants venus interroger le chef de l’État sur leurs domaines respectifs : économie, sociologie, philosophie, climatologie, psychologie, médecine, religion, etc. Leur point commun ? À quelques rares exceptions près, tous ces représentants de la pensée contemporaine française se trouvent être des soutiens plus ou moins proches du pouvoir. Sur la dizaine d’économistes invités par exemple, trois ont tout simplement édigé le programme d’En Marche : Phillipe Aghion, Jean Pisani-Ferry et Philippe Martin. Un autre, Gilbert Cette, est l’homme désigné par Macron pour remettre un rapport annuel préconisant de baisser le SMIC. Bien sûr, aucun n’était présenté ainsi.
Mais après tout, quoi d’étonnant ? Seuls des intellectuels proches du pouvoir pouvaient valider un tel dispositif médiatique : deux minutes d’intervention chacun, encadrée à chaque fois par un quart d’heure de cours magistral donné par Macron. Une véritable opération de légitimation, où le grand oral du président devait recevoir l’onction des universitaires séculiers et de la chaine du savoir.
Noam Chomsky nous avait prévenus : « la majorité des intellectuels soutiennent le pouvoir ». Au lendemain de cet énième épisode du Grand Débat, nos amis Les Mutins de Pangée ont eu l’excellente idée d’isoler et de mettre en libre accès un extrait du film d’Olivier Azam et Daniel Mermet « Chomsky et le pouvoir », dans lequel Chomsky développe et explique les raisons de cette proximité entre pouvoir et intellectuels organiques du pouvoir. À voir et à revoir sans modération.
Voir aussi http://lesmutins.org/Chomsky-et-le-pouvoir
Document inédit, tourné en Avril 2009. Présenté dans de nombreux festivals à travers le monde, « Chomsky & Cie » rencontre un grand succès en France depuis sa sortie au cinéma en novembre 2008. Lors de nombreux débats, beaucoup de questions ont été posées sur des sujets qui n’étaient pas abordés dans le film ou sur des point qui demandaient précisions et développements. Aussi, sommes nous retournés à Boston voir Noam Chomsky avec l’essentiel de ces questions, les intellectuels et le pouvoir, le conflit israélo-palestinien, l’Etat et la crise du capitalisme, le socialisme libertaire, les luttes d’hier et d’aujourd’hui.
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C'est la suite du "Grand débat des idées" animé par Guillaume Erner, producteur sur France Culture. Emmanuel Macron débat face à 64 intellectuels français des questions de laïcité, de djihadisme, de laïcité, et de l'Algérie, avec notamment Gilles Kepel et Benjamin Stora.
Catégorie Actualités et politique 9 commentaires
Transcription :
... Dominique Schapper ... Rachid Dasil ? ... Valentine Zuber ?
Voir AUSSI
- 29:35 2e partie : la place de l'homme, la démocratie, le rôle des intellectuels 515 vues https://www.youtube.com/watch?v=CMfm3Pgrasc
- 1:03:54 - 4e partie, les sciences 92 vues https://www.youtube.com/watch?v=stG1yfU4EbY
*ndlr : que vient faire l'algérie dans ce thème ??? dénoncer ACT
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En coulisses - Grand débat : on fait le bilan
1 700 000 contributions, des milliers de réunions partout en France, des thèmes qui s’imposent comme la justice fiscale, le pouvoir d’achat et l’écologie... Et, une question : Comment sortir du grand débat national lancé par Emmanuel Macron pour répondre à la crise des gilets jaunes ? Entre Chartres, Paris et Troyes, les reporters de C politique étaient la semaine dernière dans les coulisses de la dernière semaine de débat. En plateau, décryptage de Camille Girerd.
Catégorie Actualités et politique 6 commentaires
Transcription :
... 7:42 les garants critiquent l'omniprésence du président de la république et des ministres la non neutralité dès le début, dont Pascal Périneau ... rejoint chantal jouaneau manque d'impartialité ...
ndlr :
- impartialité confondue avec neutralité !
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Intervention de Youcef BRAKNI (Comité "Vérité et Justice pour Adama TRAORÉ) lors de l'Assemblée "Fin du grand débat, début du grand débarras !" à la Bourse du Travail de Paris jeudi 14 mars 2019.
Catégorie Actualités et politique 15 commentaires
Sans Titre il y a 11 minutes
Meme combat au final, allons de l'avant ! ON LÂCHE RIEN
fabroche69 il y a 45 minutes
Ce sont ces sales gens de ce gouvernement du diable qui ont voulus nous monter les uns contre les autres. Et depuit plus de 40 années maintenant. ....mais les gens se reveille aujourdhui.
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Cerebro H il y a 55 minutes (modifié)
Toutes les formes d'Injustices doivent être dénoncés et toutes les formes de Racismes démasqués.
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Catégorie People et blogs 41 commentaires
Transcription:
... 52:52 Camille jeune grève climat évoque les GJ qui ont bloqué bayer-monsanto,est anticapitalisme, tous sur les champs élysées et pas à l'autre bout de paris, les GJ sont la mobilisation à suivre, tout bloquer ...
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Intervention de Priscillia LUDOSKY (Gilet jaune) lors de l'Assemblée "Fin du grand débat, début du grand débarras !"qui s'est tenue le jeudi 14 mars 2019 à la Bourse du Travail de Paris.
Catégorie Actualités et politique 37 commentaires
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Intervention de Juan BRANCO (avocat de Julian ASSANGE et de Maxime NICOLLE) lors de l'Assemblée "Fin du grand débat, début du grand débarras !", à la Bourse du Travail de Paris le jeudi 14 mars 2019.
Catégorie Actualités et politique 137 commentaires
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Intervention d'Hervé KEMPF (fondateur & directeur du journal REPORTERRE - Le quotidien de l'écologie) lors de l'Assemblée "Fin du grand débat, début du grand débarras !" à la Bourse du Travail de Paris le jeudi 14 mars 2019.
Catégorie Actualités et politique 6 commentaires
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Intervention de Jérôme RODRIGUES (gilet jaune) lors de l'Assemblée "Fin du grand débat, début du grand débarras !" à la Bourse du travail de Paris le jeudi 14 mars 2019.
Catégorie Actualités et politique 129 commentaires
Transcription :
... rester unis, continuer à manifester le samedi ... appelle à la grève générale pour un vrai blocage ...
Intervention lors de l'Assemblée du 14 mars Bourse du Travail à Paris
Commentez 2 recommandés
-> https://www.youtube.com/watch?v=wjYwlNN0DlI
"
Fin du grand débat, début du grand débarras ! Frédéric LORDON Bourse du Travail Paris 14/03/2019 - Ajoutée le 15 mars 2019 / ERC Vidéo
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Intervention de Frédéric LORDON (économiste & philosophe) à la Bourse du Travail de Paris le 14 mars 2019 dans le cadre du colloque "Fin du grand débat, début du grand débarras ! "
Catégorie
Actualités et politique
232 commentaires
"
Transcription :
... appelle à la grève générale
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Après deux mois de consultations, plus de 10 000 réunions organisées, 1 400 000 contributions rédigées et 16.000 cahiers de doléances déposés dans les mairies, la première phase du grand débat national s’achève à la fin de la semaine. Le chef de l’État dévoilera ses conclusions à partir du mois prochain « jusqu’à l’été », mais déjà l’exécutif commence à élaborer ses réponses. Hier une « dizaine de ministres » se sont retrouvés autour du Premier ministre Édouard Philippe pour « une réunion de travail et un point d'étape et de calendrier », avant la présentation ce lundi de leurs propres contributions en Conseil des ministres. Sébastien Lecornu, le ministre chargé des Collectivités territoriales, planche sur une réforme de la décentralisation, avec plus de pouvoirs aux départements et aux communes. Mounir Mahjoubi, le secrétaire d’État chargé du Numérique, travaille sur des jurys citoyens pour co-construire les lois et la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, sur la manière d’améliorer la redistribution en direction des travailleurs à faibles revenus. Parallèlement, le parti présidentiel - qui veut être « l'aiguillon de la majorité » selon son patron Stanislas Guerini - a lui aussi mis sur la table une trentaine de propositions. Devant plusieurs centaines de militants et une petite dizaine de Gilets jaunes réunis ce dimanche au parc des expositions de Chartres, le numéro un de LREM a ainsi plaidé pour la suppression « pour tous » de la taxe d'habitation, contrebalancée par une augmentation de l'impôt sur la fortune immobilière (IFI), qui a remplacé l'impôt sur la fortune (ISF), ainsi qu'une taxation accrue pour les Français expatriés dans des pays qui n'ont pas de convention fiscale avec la France. Le parti de La République en Marche préconise également l’instauration d’une journée de solidarité supplémentaire pour financer la dépendance et surtout la fin de « la sous-indexation des retraites pour revenir à l'inflation ». Cette mesure, couplée à la hausse de la CSG, avait provoqué ce derniers mois la colère des retraités et leur présence en nombre dans les rangs des Gilets jaunes. Ont-ils été entendus par la majorité ? À l’approche des élections européennes, la restitution des marcheurs semble amorcer une nouvelle phase, celle de la reconquête de l’opinion mais aussi de la construction d’une coalition à l’échelle européenne. Ainsi une semaine après la publication de la tribune d’Emmanuel Macron pour une « Renaissance européenne », le délégué général de la République en marche s'est rendu ce week-end en Suède pour y rencontrer les libéraux de Liberalerna, et y défendre les propositions du chef de l’État, estimant que c'est « maintenant ou jamais pour agir ». Alors sommes-nous à un tournant du quinquennat ? Quelle sera l’issue du grand débat ? Les réponses de l’exécutif permettront-elles de répondre à la crise des Gilets jaunes ? Enfin quel impact sur les élections européennes ?
Invités :
- Yves Thréard, directeur adjoint de la rédaction du Figaro
- Claude Weill, éditorialiste politique à Nice-Matin / Var-Matin
- Hélène Jouan, éditorialiste politique à Europe 1
- Bernard Sananès, politologue et président de l’institut de sondages Elabe
/ Caroline Roux et Axel Tarlé
Réalisation : Pascal Hendrick, Jean-François Verzele et Jacques Wehrlin
Production : France Télévisions/Maximal Productions
Catégorie Divertissement 38 commentaires
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Mardi 12 mars 2019, Jean-Luc Mélenchon était l'invité de Laurence Ferrari. Il a salué la mobilisation du peuple algérien et a signalé qu'en France, en dépit de 17 semaines de mobilisation des gilets jaunes, Emmanuel Macron le pouvoir macroniste n'avait cédé sur rien et répondu par la répression. Le président du groupe « La France insoumise » à l'Assemblée nationale a dénoncé le flop qu'est le grand débat et a mis sur la table une proposition simple : une Assemblée constituante chargé de rédiger la Constitution d'une 6e République. Jean-Luc Mélenchon a également dénoncé la politique européenne d'Emmanuel Macron. Il a condamné les propos de la présidente de la CDU allemande, madame Kramp-Karrenbauer, qui a notamment déclaré que la France devrait donner son siège permanent au Conseil de sécurité de l'ONU à l'Union européenne. Enfin, il a salué la mobilisation internationale des jeunes pour le climat.
Catégorie Actualités et politique 324 commentaires
Michelle Tirone il y a 8 heures
Très bonne intervention. Les coups bas n'ont pas fait mouche... Je me demande quand les journalistes seront capables de faire une interview pour simplement entendre une personne...
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Missi Miranda il y a 6 heures
C'est clair! Cela semble pourtant pas très compliqué.
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Benjamin CARO il y a 6 heures
Bonsoir Michelle, il faut regarder la chaîne BRUT sur YouTube.
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Carmen R il y a 5 heures
N'empêche qu'elle donne une info importante... "JLM a écrit mot pour mot ce qui passe avec les gilets jaunes"... en 2012... Elle cherche les poux mais c'est pas la pire.
Et c'est vrai, JLM est au top !
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Missi Miranda il y a 5 heures
J'aime la sincérité de cet homme! Bien-sûr que ces images des perquisitions le blessent, et nous avec! Les revoir remue le couteau dans la plaie! Il faut reconnaître qu'en agissant ainsi la macronie a vraiment réussi à nous blesser et nous humilier.
Mais ils ne l'emporteront pas au paradis. D'ailleurs, ça ne réussit pas à Macron! C'est pas parce qu'il nous a humiliés que le peuple l'aime plus ou accepte plus de sa politique! C'était stupide de le croire d'ailleurs : il a pris les Français pour des cons, et il s'en mord les doigts! Et ce n'est qu'in début!
Et pourtant, AUCUNE DES PERSONNALITÉS PRÉTENDUMENT DE GAUCHE (à l'exception de Marie-Noëlle Liennemann, François Maurel et la centaine d'élus qui a quitté le PS pour la FI) n'a OUVERT LA BOUCHE lorsque Macron a utilisé le harcèlement judiciaire et policier pour casser la popularité grandissante des Insoumis, et traiter tous ses représentants comme des criminels, alors que Benalla a eu droits à plus d'égards.
Tous ces partis de gauche étaient trop contents, espérant faire taire la FI pour de bon et pouvoir enfin exister, sur ses cendres! C'est sale!
Les citoyens en ont marre de ces jeux de pouvoir honteux et attendent des mesure concrètes et des débats d'idées! Si les soi-disant partis de gauche ne comprennent pas ça, alors ils sont morts, quelque soit leur gloire ancestrale!
Parce qu'au jeu de la communication, Macron les bat largement! Donc, la réalité ne leur laisse pas le choix, soit ils rejoignent la FI, soit ils disparaissent à jamais et ils n'auront à s'en prendre qu'à eux-mêmes.
Pourquoi? Bah parce que c'est La FI qui détient le programme qui répond à 75% des GJ et qui a fait 7 millions d'électeurs. soit ils font mieux qu'elle, soit ils se rangent derrière la FI et nous épargnent à nous tous le peuple, leur bassesse et leur connerie!
C'est bon quoi, on a assez pris cher : on a des mutilés de guerre! Donc je crois qu'on a bien mérité qu'ils nous fassent des vacances en nous épargnant toutes leur hypocrisie et leurs conneries!
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Missi Miranda il y a 5 heures
@Carmen R Oh que oui, et rien que pour ça, je lui pardonne ses coups bas. ^^ C'est à saluer, pour encourager les autres, sans nier qu'elle aurait pu nous épargner ses piques déplacées.
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caro del il y a 5 heures (modifié)
ce n'est pas le sentiment que j'ai eu, au contraire ... quand on voit comment les journalistes (chiens de garde) le traitent habituellement le coupant et le provoquant sans arrêt, j'ai trouvé l'intervieweuse très cool par rapport aux autres, le laissant aller au bout de ses idées ... une Ruth Elkrief l'aurait coupé, provoqué, contredit sans arrêt ...
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Carmen R il y a 5 heures
@caro del oui j'ai ré écouté et c'est vrai qu'en fait elle lui permet de développer pas mal de sujets. On n'est pas dans le rituel pour ou contre la violence ni dans Vénézuela ...on a juste la perquisition, bon, il lui fallait sans doute une petite saloperie à placer..
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caro del il y a 4 heures (modifié)
@Carmen R même sur la perquisition, les pires images n'ont pas été montrées et c'est respectable de leur part ... ensuite, que le sujet soit enfin abordé d'une façon plus paisible est bénéfique je pense ... j'écris ça alors que je suis assez critique sur les médias, mais je l'ai senti très à l'aise dans cette interview
art bizarre il y a 14 minutes
Elle est pas du tout top la coke en ce moment à paris, la ville moisie.
A cran ! la nihilo-narcissique fée-rouge. Comment qu'il se cabre ! le blason de la mécanique aux reflets blond-vert, de gris ? On dirait un bois de Dürer tiré de La nef des fous, du Mirbeau. Le partage : y a quoi de difficile à comprendre ? pour la machine-nation et ses petits pions dans le camp de la mort.
Jacques JOSEPH il y a 8 heures
Surement le dernier homme à la stature d'homme d'état que la France possède mais ne sait s'en servir. Elle tarde mais à la fin je l'espère, elle ne s'aurait s'en passer tellement cet homme à une vision à long terme sur de très nombreux sujets. Depuis son retrait du PS. en 2008, il a pris cette grandeur par son travail inlassable, ses analyses, ses propositions tant sur le plan nationale qu'international. Ne nous laissons pas guider par la sphère politico médiatique, prenons notre destin en main pour que la France retrouve toute sa fierté et sa grandeur.
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mireille giralt il y a 8 heures
Sacré Mélenchon , quelle maîtrise !
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Juan .Chil il y a 8 heures
Hey LES GJ, je suis parisien, croyez moi, il faut ARRETER AVEC LES CHAMPS ELYSEE !!! A chaque fois on fait un cadeau à la police en se mettant là, c'est trop facile pour eux de nous nasser. le meilleur endroit c'est CHATELET-LES HALLES, car ils ne peuvent pas fermer, c'est la premiere gare urbaine d'Europe, et un énorme centre commercial. En plus les vrais parisiens sont tous là, pauvres et riches, c'est l'agora de Paris. Si on veut qu'ils nous rejoignent c'est à Chatelet qu'il faut aller !!! Les champs Elysées c'est juste un Disney Land pour saoudien
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Alors qu’approche la fin du grand débat national, quelles en seront les conclusions ? Depuis le 15 janvier 2019, plusieurs centaines de milliers de pages de cahiers de doléances ont été récoltées. S’il est pour l’heure difficile de dire ce qui en ressortira, le premier ministre Édouard Philippe l’a certifié : "quand on sortira du grand débat, il y aura des choses très concrètes et très précises". Devant les parlementaires de la majorité réunis mardi 5 mars, il a néanmoins exprimé ses craintes quant à l’issue de la phase de synthèse du grand débat. "Le risque 'déceptif' est important quant à la sortie" a-t-il déclaré. Et d’ajouter : "Il faut préparer nos concitoyens à ce que les propositions à la sortie du Grand débat national ne soient pas les réponses à toutes les remontées du grand débat".
Pour l’heure, ces dernières ne correspondent pas aux attentes d’Emmanuel Macron. Le chef de l’Etat avait demandé aux Français quels impôts ils voulaient voir baisser, les Français ont répondu qu’ils voulaient plus de fiscalité pour les plus riches. Quant à savoir quels services publics ils voulaient voir supprimer ; les Français ont répondu qu’ils les voyaient trop souvent disparaître.
Parmi ces services, les écoles, les services d’urgence mais aussi les maternités. Leur nombre a baissé de deux tiers en 44 ans. En première ligne : les petites maternités où moins de 300 accouchements sont pratiqués chaque année. Conséquence : certaines femmes se voient contraintes de faire plus d’une heure de route pour accoucher, et ce n’est pas sans les inquiéter.
La crise des gilets jaunes est née d’un ras-le-bol fiscal. Les Français débattent beaucoup de l’efficacité de la redistribution et de la contribution qu'a l’impôt au mieux-être social. Selon une étude de l’institut Montaigne, 81% d’entre eux affirment cependant être prêts à payer plus d’impôts ou de taxes si cela permettait, notamment, de réduire la pauvreté (36 %), d’avoir un meilleur système de santé (31 %), de réduire les pollutions (23 %) ou d’avoir une meilleure éducation (21 %).
Des quatre thèmes abordés lors du grand débat, celui de la transition écologique a souvent été le moins présent lors des échanges entre Emmanuel Macron avec les maires. Jeudi 7 mars, le président de la République a néanmoins choisi de mettre l'écologie au centre de sa rencontre, à Gréoux-les-Bains (Alpes-de-Haute-Provence), avec des élus locaux du Sud, des responsables associatifs, des collégiens et lycéens.
La question de la préservation de l’environnement préoccupe particulièrement les jeunes. Vendredi 8 mars, à Paris, entre deux et trois cent jeunes ont défilé à Paris pour la quatrième semaine consécutive pour défendre le climat, dans le sillage du mouvement lancé par l’adolescente suédoise Greta Thunberg, mais aussi les droits des femmes.
A l’heure des conclusions, le grand débat a-t-il posé les bonnes questions ? Les fermetures des maternités font-elles courir un risque aux futures mères et à leurs enfants ? Peut-on concilier croissance économique et développement durable ?
Jérome FOURQUET – Directeur du département Opinion de l’institut de sondages IFOP
Auteur de "L’Archipel français"
Bruno JEUDY – Rédacteur en chef du service politique de "Paris Match"
Fanny GUINOCHET – Journaliste en charge des questions économiques et sociales à "L’Opinion"
Stéphane VERNAY – Journaliste à "Ouest France"
Format : 65 minutes
Présentation : Bruce Toussaint, Caroline Roux et Axel Tarlé
Réalisation : Pascal Hendrick, Jean-François Verzele et Jacques Wehrlin
Production : France Télévisions/Maximal Productions
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Qu’est-ce que le mouvement des Gilets jaunes révèle de l’épuisement de l’organisation politique et économique de notre société ? Quel est le rôle de l’État ? De la société civile ? Quelle place occupe l’écologie dans la transformation de la société ? Dans cet entretien, Bruno Latour livre ses réflexions sur ce moment politique « enthousiasmant ».
Bruno Latour est sociologue, anthropologue et philosophe des sciences.
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Aujourd’hui, ces plaintes tout à fait légitimes sur la réorganisation de la société s’adressent à un État incapable de se transformer rapidement faute d’une société civile active et détaillée. Par exemple, les débats des Gilets jaunes lors de l’assemblée de Commercy restent à un niveau de généralité extraordinaire. C’est compréhensible. Mais cela ne résout en rien le problème d’ajuster l’analyse à cette situation où les gens ont un vocabulaire politique centré soit sur l’identité quand s’ils sont plus à droite, soit sur l’imaginaire révolutionnaire quand ils sont plus à gauche.
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On est obligé de recommencer au niveau individuel puisqu’on a individualisé les gens. Aujourd’hui, un village ne serait absolument pas capable d’écrire un cahier de doléances comme en 1789 parce que les habitants ne se connaissent pas, ou parce qu’ils ont des statuts complètement différents et des intérêts totalement divergents ! C’est incroyable, la diversité d’un village. Et je ne parle pas d’une ville.
Donc, le problème est qu’il faut renouer le lien, l’ancrage ... de quelles ressources dépendez-vous ? La description de votre dépendance va révéler que ce dont vous avez besoin, vous en êtes privé par quelqu’un que vous nommez et qui est là ... nommer les adversaires aussi bien que les alliés dans un paysage que l’on commence à peupler de lieux, d’institutions, de gens
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Sans argent, le néolibéralisme est une immense source de frustration
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Le « grand débat » recueille des opinions ; c’est un vaste sondage sans même le respect des statistiques.
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Le néolibéralisme a individualisé la perception par tout le monde de soi-même et dissous nombre de liens sociaux. Mais ce qui se passe dans le mouvement des Gilets jaunes, par exemple à Commercy, c’est la tentative de refaire un sujet collectif.
Bien sûr !
Il faut passer par là, non ?
Oui bien sûr, mais enfin, vous auriez étonné les vieux militants des années 1960 si vous leur aviez dit qu’un mouvement social, « c’est formidable parce qu’on se retrouve ensemble et qu’on se parle chaleureusement ». De la chaleur, ils en avaient à foison dans d’innombrables cellules, associations, comités, etc. Cela fait penser à Nuit debout, en 2016. C’est important que les malheureux sujets néolibéraux retrouvent des liens de parole et de solidarité, oui, mais ce n’est pas leur faire injure que de reconnaître que c’est juste le début. Ensuite, il faut passer à la description des situations concrètes pour qu’on commence à repérer les intérêts divergents et voir avec qui on s’allie contre qui. Cela m’étonnerait beaucoup que, dans un rond-point, si on poursuivait la description des conditions de subsistance de chacun, on maintiendrait la chaude unanimité que nous décrivent les journaux.
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on ne fait pas une société avec des individus
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refaire maintenant, avec la question écologique, le même travail de réinscription dans les liens et les attachements que le marxisme a fait à partir de la fin du XIXe siècle. Sachant que les êtres auxquels on est relié pour subsister, ce ne sont plus les êtres dans la chaîne de production ou dans les mines de charbon, mais tous les êtres anciennement « de la nature ». Et que c’est beaucoup plus compliqué, et donc, c’est mon argument, beaucoup plus nécessaire.
Donc, ce travail, qui va le faire ? Pas l’État. Pas des experts, même s’il faut des experts, des sociologues, des économistes… Il n’y a que les gens eux-mêmes !
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Dans l’ancien régime, le climat n’était pas intégré à la politique. Maintenant, il est intégré à la politique comme un des enjeux essentiels. Et ce n’est pas tant par la question du CO2 que par celle des conditions de subsistance. Le terme de « crise de subsistance » est un terme de la Révolution française qui n’est pas inexact quand on l’applique à notre situation. Nous vivons bien une « crise de subsistance ». Nous nous apercevons qu’il faut se poser la question : « Que fait-on quand les insectes, les glaces, les êtres vivants disparaissent ? »
...
se poser trois questions : « Quels sont les êtres et les choses qui vous permettent de subsister ? » Et pas seulement d’argent. Puis : « De quoi dépendons-nous ? Qui dépend de nous ? » Et ensuite : « Que sommes-nous prêts à défendre ? Qui sommes-nous prêts à attaquer ? Avec qui se défendre ? »
...
quand 1789 est arrivé, il y avait eu trente ou quarante ans de discussions dans toutes les élites et dans le Tiers État sur les réformes à faire. Aujourd’hui, l’État français n’a pas la moindre idée de comment sortir du système de production et passer à une situation écologico-compatible. En fait, ce n’est pas à l’État de le penser, il n’en est pas encore capable.
...
On n’a jamais eu de révolution qui attendait de l’État sa transformation…
Il y a quand même un jeu par rapport à l’État. Il organise le « grand débat », en espérant que cela va affaiblir le mouvement social.
C’est du petit machiavélisme !
C’est la bataille du moment.
Oui, mais elle ne m’intéresse pas. Moi, je suis plutôt tourné vers le futur, et ce n’est pas la peine d’être prophète pour prévoir que la crise actuelle préfigure toute celles qui vont venir : comment concilier justice sociale et atterrissage sur la terre… ou ce que j’appelle le terrestre.
...
des milliers de gens, dont beaucoup de jeunes, ont totalement changé de direction dans la vie. Il se produit une reterritorialisation, une réimplantation. C’est ce que doit faire la société : s’ancrer.
Le problème est qu’elle ne sait pas où elle est. Si on change de Terre, avec le nouveau régime climatique, c’est comme de déclarer que la Terre tourne autour du soleil. C’est une mutation de même ampleur. C’est ce qui est à la fois excitant et angoissant. Mais ne nous plaignons pas : enfin ça bouge !
Crédits photo : Thomon
Nous avons une date de ralliement général. Les gilets jaunes appellent à une manifestation aux Champs-Élysées le 16 mars prochain. Ce sera l’anniversaire du quatrième mois plein de l’insurrection. Et la fin du grand débat. Le même jour aura lieu la manif climat. « Fin du monde, fin du mois : mêmes coupables ». Nous serons donc tous dans la rue ce jour-là massivement, pacifiquement, mais dans une détermination totale. On espère la jonction des deux cortèges et sinon on se répartira pour le mieux. En toute hypothèse, la capitale connaîtra ainsi un jour de paroxysme de l’engagement politique sur des sujets qui exigent la fin du système économique dans lequel nous vivons.
...
Connu / https://twitter.com/JLMelenchon/status/1097601269135523841
ndlr :
- il n'évoque pas la grève générale mondiale pour l'urgence climatique :-(
- il parle de "jonction" climat / GJ ++
POLITIQUE
Le "vrai débat" des gilets jaunes montre à quoi aurait dû ressembler le grand débat
Cette plateforme non officielle utilise exactement le même outil technique que le gouvernement. Pour un résultat très différent.
Ce mercredi 30 janvier, un collectif de gilets jaunes lance une plateforme de discussion participative, le "vrai débat" https://le-vrai-debat.fr/. L'objectif: proposer un site "en dehors du Grand Débat National" https://www.huffingtonpost.fr/news/grand-debat/, que les organisateurs estiment être "verrouillé et ne garantissant pas la participation de tous d'une façon égalitaire".
...
Le blogueur Mathieu I estime que le Grand débat national mis en place par le président de la République n’est que de la poudre aux yeux.
Le cas Emmanuel Macron est intéressant car il est à l’origine de deux bouleversements majeurs dans le mode de fonctionnement de notre pays. Au niveau politique d’abord puisqu’en réunissant les forces néolibérales de gauche et de droite, il a mis fin à l’hypocrisie du clivage « gauche-droite » auquel on assistait depuis 1983 et la conversion du Parti socialiste aux théories néo-classiques lors du tournant de la rigueur. Au niveau des luttes sociales ensuite, puisqu’il est parvenu à imposer sa réforme de la SNCF sans coup férir malgré les grèves et la résistance des syndicats.
L’aspect intéressant est qu’en face les modes de résistance et d’organisation évoluent ou seront amenés à le faire. Au niveau social, le mouvement des Gilets jaunes est l’illustration parfaite de ces évolutions. Sans passer par les canaux classiques des syndicats ou des partis politiques, les citoyens ont commencé par partager leur colère sur les réseaux sociaux avant de la concrétiser par des blocages ou des manifestations.
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Virginie Cresci a reçu Dimitri Courant, doctorant en sciences politiques et spécialiste de la démocratie délibérative, pour parler de l'état de notre démocratie, des aspirations des gilets jaunes comme le RIC et de l'escroquerie du "grand débat".
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Actualités et politique
223 commentaires
ndlr :
- l'important est le pouvoir au peuple, le ric n'est qu'un outil qui nécessite de soigner ses réglages et se pose le pb du financement de chaque initiative
Maxime Nicolle alias Fly Rider - Mounir Mahjoubi : le face à face - C l’hebdo - 26/01/2019 - YouTube
.#49 DES TENDANCES
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La France à l’heure du grand débat national. C’est peut-être le moment de vérité pour le mouvement des Gilets Jaunes. Le dialogue va-t-il se nouer avec l’exécutif ? Et est-ce qu’on est en train d’assister à une sortie de crise après 2 mois de conflit ? Jusqu’où iront les Gilets Jaunes ?
Pour tenter de répondre à ces questions, un face-à-face dans C L’Hebdo. Deux invités : Mounir Mahjoubi, Secrétaire d'État et Maxime Nicolle, porte-parole du mouvement gilets jaunes.
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Divertissement
2 144 commentaires
ndlr :
- débat courtois mais qui ne produit pas d'effet concret :-(
Le 27 janvier 2019, Jean-Luc Mélenchon était l’invité de Dimanche politique. Il a parlé de la mobilisation des gilets jaunes et de la répression policière qui s’abat sur le mouvement par ordre de Castaner ; il a rappelé la proposition de la France insoumise d’interdire les grenades GLI-F4 et les flash-ball qui mutilent les manifestants. Jean-Luc Mélenchon a aussi appelé à la convocation d’une Assemblée constituante et a déclaré que la 5e République était « un facteur de crise ». Concernant le « grand débat », il a déclaré qu’il s’agissait d’une « mascarade » et a appelé à trancher les questions démocratiques, sociales et écologiques par les urnes. Parmi les autres sujets évoqués dans cette émission : la crise au Venezuela et la signature du traité d’Aix-La-Chapelle par Emmanuel Macron et Angela Merkel.
Actualités - du lundi au vendredi de 18h20 à 19h - 38 min
Le "grand débat national" mené partout en France peut-il apporter des solutions concrètes aux problèmes posés à notre démocratie ? S'agit-il d'ailleurs de renforcer la démocratie représentative ou d'introduire des éléments de démocratie directe comme le demandent les "gilets jaunes" ?
Le président de la République Emmanuel Macron fait le point sur les préoccupations des français avec quelque 600 maires, dans le cadre du Grand débat national.
Le président de la République Emmanuel Macron fait le point sur les préoccupations des français avec quelque 600 maires, dans le cadre du Grand débat national.• Crédits : PHILIPPE WOJAZER - AFP
Sur le plan de la communication politique, il n’y a pas à dire : pour l’instant, le "grand débat national" est une réussite.
C’est l’événement politique du moment, dont la médiatisation doit beaucoup à l’implication de celui qui en est à l’origine : Emmanuel Macron.
Ses confrontations avec les maires, puis hier sa participation-surprise à un débat local dans la Drôme, ont l’effet d’un réverbère sur des papillons : une attirance irrésistible, qui renvoie à ce que provoquait le "pas encore" chef de l’Etat pendant la campagne présidentielle.
Reste qu’il va falloir tenir sur ce rythme jusqu’au 15 mars.
Reste surtout qu’ensuite, il faudra donner une traduction à cette libération de la parole.
Emmanuel Macron l’a promis hier : ce qui sortira des synthèses des différents débats et des contributions en ligne ne finira pas à la poubelle : "on prendra des décisions"
Oui mais s’agira-t-il de décisions susceptibles de modifier la politique menée depuis le début du quinquennat ? Et à l’issue de quel processus délibératif ces décisions seront-elles prises ?
"Le Grand débat national était-il nécessaire, et sera-t-il utile ?"
LIENS :
Le site internet du Grand débat national
https://granddebat.fr/
La tribune de Dimitri Courant sur les assemblées citoyennes publié dans Libération
https://www.liberation.fr/debats/2019/01/17/assemblees-citoyennes-des-exemples-positifs-a-l-etranger_1703621
La Lettre ouverte au président de la République : Réussir le Grand Débat National : pour un nouveau souffle démocratique (collectif)
https://democratieouverte.org/blog/lettre-ouverte-au-president-de-la-republique-reussir-le-grand-debat-national-pour-un-nouveau-souffle-democratique
Intervenants
Dimitri Courant
doctorant en sciences politiques (université Paris 8 / université de Lausanne)
Laetitia Strauch-Bonart
Essayiste et journaliste au magazine Le Point
Sylvain Bourmeau
journaliste, producteur de "La Suite dans les idées" sur France Culture, professeur associé à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales et directeur du journal quotidien AOC.
À découvrir
Créateurs et turbulences politiques, Grand débat national et Greta Thunberg
Grand Débat National : paroles de maires
Emmanuel Macron et le grand débat national
Gilets jaunes : le "grand débat national" fait débat
Tags : Idées Politique
L'équipe
Production Hervé Gardette
Production déléguée Antoine Tricot
Avec la collaboration de Virginie Le Duault, Fanny Richez, Antoine Dhulster
Réalisation Peire Legras
« GRAND DÉBAT » : POURQUOI C'EST UNE ARNAQUE ? - Ajoutée le 25 janv. 2019 / Le Fil d'Actu - Officiel
.#giletsjaunes #granddebat 92 517 vues - 7,4 k - 236 - 1 084 commentaires
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Au programme de l'Autre 20h, présenté par Dolores Bakèla :
▶ FACE CAM - RÉPRESSION CONTRE LES GJ : L’AVOCAT D’ÉRIC DROUET TÉMOIGNE
Khéops Lara
▶ REPORTAGE - ACTE X À TOULOUSE : LA VILLE ROSE DEVIENT JAUNE
Par Loubna Chlaikhy
▶ L’AUTRE INTERVIEW - UN ÉCONOMISTE RÉVÈLE L’ESCROQUERIE DU “GRAND DÉBAT”
Avec Philippe Légé
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Le Média a reçu Philippe Légé, économiste membre des économistes atterrés pour discuter des orientations biaisées du Grand Débat national, notamment en matière de dépense publique et de politique fiscale. L’occasion de revenir sur la question du CICE, de l’ISF mais aussi l’impôt sur le revenu et l’impôt sur les sociétés ainsi que toutes les injustices qu’elles engendrent.
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Tribune parue dans Les Echos du 22 janvier 2019
Il était temps qu’il arrive ! Voici venir le Grand Débat National, qui va enfin permettre de comprendre comment passer à l’action sur la transition écologique d’une manière qui ne mettra pas les gens dans la rue.
Que va-t-il amener de plus que les débats et commissions portant sur la question depuis le début des années 2000 ? Il y eu le Débat National sur les Energies en 2003, le Grenelle de l’Environnement en 2007, la Commission Energies 2050 en 2011, le Débat National sur la Transition Energétique en 2012, sans oublier quelques commissions parlementaires ici et là…
La réponse la plus probable est hélas pas grand chose. Car pour qu’un débat, fût-il petit ou grand, permette d’avancer sur la bonne (ou la moins mauvaise) politique publique pour traiter un problème, encore faut-il que ce dernier soit correctement compris par le commanditaire du débat.
Pour l’heure, ce n’est toujours pas le cas : le monde politique continue de penser que la transition écologique n’est qu’une variante de la croissance perpétuelle. Malheureusement, les faits nous disent l’inverse. Produire des biens et services, c’est transformer – donc détruire sous leur forme initiale – des ressources naturelles extraites de l’environnement !
https://jancovici.com/transition-energetique/choix-de-societe/leconomie-peut-elle-decroitre/
Dans ce cadre, la « transition écologique » est l’équivalent d’un régime qui permet de vivre plus longtemps : nous choisissons une baisse de notre consommation – donc une contraction de l’économie – en contrepartie d’un confort matériel minimum qui dure le plus longtemps possible. Cette vision là ayant sa cohérence interne, nous pouvons décider de mesures pour la gérer au mieux.
A l’inverse, si nous réfutons toute idée de baisse de la consommation, la transition écologique restera un discours. Il n’y aura pas de croissance perpétuelle pour autant : le monde étant fini, nous taperons simplement le mur des ressources un peu plus tard, avec une chute à suivre bien plus douloureuse, puisque la capacité d’amortissement demande un minimum de ressources résiduelles.
Avec un peu plus de 7 milliards de terriens sur une planète qui n’a pas augmenté de taille, la question fondamentale est devenue simple : se mettre au régime pour durer, ou pas. Demander comment organiser une transition écologique si elle n’est pas comprise pour ce qu’elle est, c’est perdre son temps.
Hervé Féron, connu sur les réseaux sociaux pour ses vidéos qui interpellaient le président de la République, a affirmé son intention de ne pas organiser le grand débat national.
...
« Le grand respect que j’ai pour la fonction présidentielle et pour la République m’amène à croire aujourd’hui à un nécessaire devoir de désobéissance républicaine ». Le maire de Tomblaine (Meurthe-et-Moselle), près de Nancy, a publié une nouvelle vidéo sur les réseaux sociaux dans laquelle il affirme ne pas vouloir organiser le grand débat national. Elle a déjà été vue plus de 230 000 fois…
Alors que de nombreuses mairies ont exprimé leur soutien à cette démarche, comme celles de Nancy et de Metz (Moselle), Hervé Féron s’oppose à l’organisation du grand débat national. « Bien sûr, si on me demande les clés pour organiser ce débat dans une salle municipale, je les mettrai à disposition », tempère-t-il, « mais je ne participerai pas à cette mascarade ».
.#31 DES TENDANCES
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Dans ce 83e numéro de la Revue de la semaine, Jean-Luc Mélenchon revient sur le « Grand débat » de Macron qui tourne à la grande supercherie. Il parle aussi de la « marche républicaine des libertés » pour laquelle les macronistes sont à la manoeuvre et appelle à soutenir une « Marée jaune » organisée par les gilets jaunes le week-end suivant. Jean-Luc Mélenchon revient également sur sa proposition d'une Assemblée constituante avant de parler du traité d'Aix-la-Chapelle signé entre la France et l'Allemagne le mardi 22 janvier. Enfin, il parle aussi du scandale révélé par l'ONG Oxfam : 26 milliardaires détiennent autant de patrimoine que la moitié de l'humanité.
SOMMAIRE
00:10 : Grand débat : la grande supercherie
07:01 : Marche macroniste le 27 janvier
09:24 : Vers une marée jaune
13:01 : L'Assemblée constituante
15:26 : Le traité d'Aix-la-Chapelle
24:34 : 26 milliardaires détiennent autant que la moitié de l'humanité
LIENS
- Déposez plainte contre Castaner pour entrave au droit de manifestation : http://www.ugobernalicis.fr/deposez-plainte-contre-castaner-pour-entrave-au-droit-de-manifestation/
- Grand débat: René Revol, maire France insoumise, accuse Macron de "faire campagne aux frais de l'État" : https://www.huffingtonpost.fr/2019/01/19/grand-debat-rene-revol-maire-france-insoumise-accuse-macron-de-faire-campagne-aux-frais-de-letat_a_23646894/
- Coup de force à Aix-la-Chapelle : https://melenchon.fr/2019/01/20/coup-...
- ONU. L’Allemagne propose que la France cède son siège permanent à l’Union européenne : https://www.ouest-france.fr/monde/org...
- Oxfam: 26 milliardaires ont autant d'argent que la moitié de l'humanité : https://www.bfmtv.com/economie/oxfam-...
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Actualités et politique
758 commentaires
ndlr :
- n'évoque pas la chaîne humaine :-(
- n'évoque pas la marche pour le climat de la prochaine fin de semaine, dommage /jonction :-(
Débattons !
Grand débat : "L'Etat impose son langage"
Le "grand débat" ? C'est mal parti. Selon le philosophe Philippe-Joseph Salazar, la difficulté de débattre est une spécificité française. Ce pays doué d'éloquence politique durant des siècles est malade d'une langue technicienne et managériale des élites.
Emmanuel Lemieuxle 20/01/2019
Philippe-Joseph Salazar, philosophe, publiera en mars "Grand Oral, petit traité de prise de parole en public".
Philippe-Joseph Salazar : "L'Etat impose son langage"
Le “grand débat” ? C'est mal parti. Selon le philosophe Philippe-Joseph Salazar, la difficulté de débattre est une spécificité française. Ce pays doué d'éloquence politique durant des siècles est malade d'une langue technicienne et managériale des élites.
Emmanuel Lemieuxle 20/01/2019
Institutions
Face à Macron, les sénateurs de l’opposition se posent en "gilets jaunes des institutions"
Dans sa lettre aux Français en vue du grand débat national, Emmanuel Macron a évoqué la possibilité de transformer le Sénat, alors que les gilets jaunes ont déjà proposé sa suppression dans leurs revendications. De quoi sérieusement irriter les sénateurs de droite comme de gauche…
Célia Cuordifedele 18/01/2019
Ludovic MARIN / AFP
Débattons !
Quand Macron découvre la fracture sociale
Natacha Polonyle 17/01/2019
Sébastien Lecornu et Emmanuelle Wargon sont chargés d'animer le grand débat.
VIDEO
Grand débat : quand les ministres Lecornu et Wargon se frottent aux gilets jaunes
Pour chapeauter le grand débat lancé par Emmanuel Macron ce mardi 15 janvier, deux membres du gouvernement ont été nommés : Sébastien Lecornu et Emmanuelle Wargon. Lesquels savent déjà, d'expérience, que la confrontation sur le terrain avec des citoyens "gilets jaunes" peut s'avérer acrobatique…
Chloé Ripertle 15/01/2019
Emmanuel Macron s'est décidé à inscrire le sujet de l'immigration au menu du grand débat.
Oui mais non mais oui
Grand débat : mais à quoi joue Macron avec l’immigration ?
En agitant l'idée de quotas d'immigrés, proposition de François Fillon en 2017, Emmanuel Macron réintroduit en fanfare dans son "grand débat" la question de l'immigration qui avait d'abord été abandonnée… Un calcul politique.
Louis Hausalterle 14/01/2019
Débattons !
Propositions pour un grand débat sans enfumage
A l'heure des réseaux sociaux et des techniques de sondages, l'organisation du grand débat sans intervention du pouvoir semble possible....
Marc54le 13/01/2019
Des zadistes à Kolbsheim.
Reportage
En Alsace, la démocratie vivante
La démocratie locale, ils connaissent. A Kingersheim, le maire, Jo Spiegel, y travaille avec succès depuis trente ans. A Kolbsheim, habitants et zadistes, opposés à la construction d'une autoroute, ont pris de plein fouet la toute-puissance de l'Etat.
Vladimir de Gmelinele 12/01/2019
Un gilet jaune en faveur du RIC, le 5 janvier.
Grande consultation
Un débat ? Chiche ! Mais on met tout sur la table
Libre-échange, immigration, rôle de l'Etat, sécurité, école… “Marianne” apporte sa contribution à la grande consultation nationale.
Natacha Polonyle 11/01/2019
Débattons !
"A bas la populace"
La démocratie représentative est en crise. On ne la sauvera pas en proclamant qu'elle est la seule forme de démocratie acceptable, pour mieux nier ses dévoiements.
Natacha Polonyle 10/01/2019
Chantal Jouanno a annoncé le 8 janvier renoncer à piloter le grand débat national.
Même pas mal
"D'autres savent aussi le faire" : après le départ de Jouanno, le gouvernement rame pour sauver son grand débat
Après que Chantal Jouanno a annoncé le 8 janvier renoncer à piloter le grand débat national à une semaine de son lancement, le gouvernement tente de minimiser l'importance de cet abandon.
Louis Nadaule 09/01/2019
Chantal Jouanno gagne bien sa vie à la commission nationale du débat public (CNDP).
Gilet doré
Grand débat national : son organisatrice Chantal Jouanno touchera... 14.700 euros par mois
Chantal Jouanno, l'organisatrice du grand débat censé répondre à la crise politique, touchera 14.700 euros brut par mois en 2019. Une indemnité mensuelle pas très "gilet jaune", et surtout très importante comparée aux effectifs de la commission nationale du débat public, qu'elle préside.
Étienne Girardle 07/01/2019
Benjamin Griveaux assure que la Commission nationale du débat public est "totalement indépendante".
Déminage
"Grand débat" : Griveaux tente de rassurer sur l'indépendance du dispositif
Le porte-parole du gouvernement tente de rassurer sur l'impartialité du grand débat voulu par Emmanuel Macron en réponse aux gilets jaunes, après que la Commission nationale du débat public, chargé de l'organiser, a mis en garde l'exécutif sur le respect de son indépendance.
Louis Nadaule 18/12/2018
Marianne Compte certifié @MarianneleMag 10 hil y a 10 heures
Philippe-Joseph Salazar : "L'Etat impose son langage"
4 réponses 15 Retweets 22 j'aime"
->
https://www.marianne.net/debattons/entretiens/grand-debat-l-etat-impose-son-langage
"
Le grand débat ?
Société
Grand débat : "L'Etat impose son langage"
Publié le 20/01/2019 à 13:00
Emmanuel Lemieux
Le "grand débat" ? C'est mal parti. Selon le philosophe Philippe-Joseph Salazar, la difficulté de débattre est une spécificité française. Ce pays...
"
Mathilde Panot Compte certifié @MathildePanot 17 hil y a 17 heures
.#RP31 - LES LOBBYISTES AU POUVOIR
▶️ Dans ce rapport politique de la semaine, je vous parle de l'enfumage du grand débat et de ses garants, de la politique anti-écologique de François de Rugy, des excès de fierté d’Élisabeth Borne et du scandale du glyphosate.
9:42 / 9:42
10 réponses 151 Retweets 208 j'aime
véritable campagne électorale de Macron ... grand blabla national, une journée de perdue, n'a pas pu présenter le cahier de doléances, opération d'enfumage
5 450 vues
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Actualités et politique
connu /
https://twitter.com/JSSS08195875/status/1086417857829847041
"
JE SUS @JSSS08195875
3 hil y a 3 heures
En réponse à @LeMediaTV
https://youtu.be/cvZ51SQicIA?t=2923 …
Pour les hypocrites
0 réponse 0 Retweet 0 j'aime
"
ndlr :
- prquoi ce calage vidéo à t=2923 ? ACT une maire qui sert la soupe à macron ? (fracture numérique, permis de conduire à 17 ans !)
Source :
https://twitter.com/In_Feuerstein/status/1085494980414787585
"
Ingrid FEUERSTEIN @In_Feuerstein 16 janv.
"
ndlr :
- lire les commentaires est instructif d'un débat polémique non cadré, discussion à partir de données non dénuées de manipulations ? Voilà pourquoi la médiation commence par la QUALIFICATION DE SOURCES ET DE DONNÉES IMPARTIALES.
Politique Grand débat national
Nommés par le gouvernement et les présidents du CESE, de l’Assemblée nationale et du Sénat, les cinq « garants » devront « garantir l’indépendance » de la grande consultation lancée par le gouvernement le 15 janvier.
Temps de Lecture 3 min.
Jean-Paul Bailly, Pascal Perrineau, Nadia Bellaoui, Guy Canivet et Isabelle Falque-Pierrotin ont été désignés, jeudi 17 janvier, « garants » du grand débat national voulu par Emmanuel Macron. Outre ces cinq « garants », qui veilleront donc à l’indépendance du débat, deux membres du gouvernement, le ministre Sébastien Lecornu (collectivités territoriales) et la secrétaire d’Etat Emmanuelle Wargon (transition écologique), sont chargés de « faire vivre le débat et d’en suivre l’évolution ».
« C’est un exercice inédit qui doit permettre aux Français de dire ce qu’ils souhaitent. Il faut que ce soit bien organisé, avec des principes de transparence et d’impartialité », avait déclaré le premier ministre, Edouard Philippe, en début de semaine. L’exécutif, chargé de désigner deux « garants », a complété jeudi soir les trois premiers noms communiqués par les présidents de l’Assemblée nationale, du Sénat et du Conseil économique, social et environnemental.
Jean-Paul Bailly et Isabelle Falque-Pierrotin choisis par Matignon
Ancien président de la RATP et de La Poste (entre 2002 et 2013), Jean-Claude Bailly, 72 ans, était pressenti pour être désigné par l’exécutif depuis plusieurs jours. Le deuxième choix du gouvernement s’est porté sur la conseillère d’Etat Isabelle Falque-Pierrotin, 58 ans, actuelle présidente de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL), où elle supervise notamment l’application du Réglement général de protection des données personnelles (RGPD) en France.
Entretien avec Isabelle Falque-Pierrotin : « Le but de la CNIL n’est pas la sanction tous azimuts »
Pascal Perrineau nommé par Gérard Larcher
Le politologue et spécialiste de sociologie électorale Pascal Perrineau a été choisi par le président du Sénat, Gérard Larcher. Ancien directeur du Cevipof, le centre de recherche politique de Sciences Po, Pascal Perrineau, 68 ans, s’est notamment spécialisé dans l’étude de l’extrême droite en France et en Europe.
...
M. Larcher ... « le terme de “garant” ne [lui paraissait] pas approprié ». « Nous n’avons rien à garantir mais à observer le bon déroulement de ce débat », a-t-il ajouté, citant « les conditions du débat, son déroulement, sa neutralité et sa sincérité ». « ... je ne suis pas dupe non plus, a prévenu, jeudi, M. Larcher. Nous n’avons pas été associés à la façon dont il a été imaginé ni à la façon dont il a été organisé. » Mais, ... après deux mois de crise politique et sociale, « il nous faut retrouver ce qui fait le ciment de notre nation, les valeurs qui fondent notre pacte républicain ».
L’ancien magistrat Guy Canivet désigné par Richard Ferrand
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Nadia Bellaoui, la préférence du CESE
La secrétaire générale de la Ligue de l’enseignement, Nadia Bellaoui, a été nommée par le président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), Patrick Bernasconi. « Agée de 43 ans, Nadia Bellaoui a, tout au long de son parcours, marqué un profond engagement dans le mouvement associatif, au service de l’intérêt général, fil conducteur de son engagement citoyen », a expliqué le président du CESE, troisième assemblée (consultative) de la République, justifiant son choix. Mme Bellaoui a été notamment « membre du Haut Conseil à la vie associative puis présidente du Mouvement associatif et administrateur de la fondation La France s’engage », ajoute-t-il.
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le chef de l’Etat avait adressé une lettre aux Français pour tenter de cadrer les enjeux de cette grande consultation.
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Au programme de l'Autre 20h, présenté par Dolores Bakèla :
▶ REPORTAGE - GILETS JAUNES : À BOURGTHEROULDE, MACRON SE PLANQUE DERRIÈRE LES CRS
Notre reporter Robin s’est rendu à Bourgtheroulde, en Normandie, à l’occasion du déplacement d’Emmanuel Macron sur place. Il y a rencontré des Gilets Jaunes, mis à l'écart et maltraités par les forces de l'ordre.
Par Robin Vollais
▶ INTERNATIONAL - À QUI PROFITE LE BREXIT ?
Par Cédric Durand
▶ ENQUÊTE - DON DU SANG : VERS UN NOUVEAU SCANDALE ?
Une enquête du Média sur un potentiel nouveau scandale sanitaire impliquant une multinationale et l’état français.
Par Yanis Mhamdi
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Un froncement de sourcil du CAC 40 et Macron retourne à la niche !
Retrouvez mon 41e Bulletin, voilà, c'est un peu plus long mais puisque ça fait longtemps, et que je fais abstinence médiatique comme d'autres font abstinence d'alcool, j'ai long à dire !
Un bon visionnage à toutes et tous, et à bientôt !
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Le grand débat national s'avère en réalité une petite opération de communication sur le dos des maires, dont certains ont déjà refusé de se prêter au jeu.
Alexis Poulin
Expert en politiques européennes, cofondateur de lemondemoderne.media
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