Publié le 25/04/2016 à 16h38 - Écrit par Bernard Dussol
Mis à jour le 11/06/2020 à 09h20
L'accueil des femmes victimes de violences conjugales est pris très au sérieux par le CHRS d'Angoulême. Anne Lorient a relaté ses années passées dans les rue de Paris dans "Mes années barbares". Elle est venue à Angoulême pour rencontrer plusieurs femmes qui s'en sont sorties grâce à ce dispositif.
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association DesCodeuses : forme des femmes issues des quartiers populaires à la programmation
Connu / mel [Diversite] Convention d'échange de compétences entre la mission logiciels libres de la (DINUM) et l'association DesCodeuses
Date : Wed, 20 Dec 2023 14:03:54 +0100
Pétition - Jusqu'au 01.07.2024
57713 soutiens
Depuis qu'ils ont pris le pouvoir en août 2021, les talibans mènent une véritable guerre contre les femmes et les filles afghanes en restreignant dramatiquement leurs droits. Cette campagne de persécution fondée sur le genre est organisée, généralisée et systématique. Au regard de notre analyse juridique, elle pourrait constituer un crime contre l'humanité.
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Marie-Christine VERDIER-JOUCLAS (https://www.verdier-jouclas.fr/actions/circonscription/colloque-sur-les-violences-conjugales-faites-aux-femmes.html)
Colloque sur les violences conjugales faites aux femmes
Le 19 septembre 2019, Marie-Christine Verdier-Jouclas, députée du Tarn, participait au colloque organisé par ...
Connu / TG le 28/06/23 à 20:06
Connu / TG le 28/05/23 à 19:56
Que sait-on de la vie des collégiennes, lycéennes, jeunes actives des classes populaires en milieu rural ? Comment ...
Connu / TG le 28/06/23 à 19:52
Comment les jeunes femmes des milieux ruraux se construisent-elles ? Quel est leur quotidien, quelles sont leurs ...
Connu / TG le 28/05/23 à 19:50
28,8 k abonnés - 15k+ - 620 280 vues - 1 200 commentaires #documentaire #lamaisonena #féministe #lafemis
La maison en A - Film complet - english subtitles - Elle construit elle-même sa maison en A.
Un film de Morgane Launay
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Le triangle de La maison en A - Partie 1 • Le triangle - Out...
Redressement de la structure • Bonus La Maison e...
🎥 🎥 🎥 Le film de la maison en A 🎬 🎬 🎬
C’est l’histoire d’Elizabeth Faure, bâtisseuse, qui a décidé de réaliser son rêve : construire elle-même sa maison. Mais avec le minimum d’argent, soit 40 000 euros pour 180 m2 de surface habitable. Elizabeth Faure a 65 ans lorsqu’elle se lance dans ce projet fou, c’était en 2013, près de la commune de Lusignac en Dordogne. La Maison en A, long métrage réalisé par Morgane Launay, raconte son histoire. « J’ai eu envie filmer cette mission impossible : une femme soixantenaire et sans argent qui construit quasiment seule sa maison en forme de A. Cette super-héroïne prouve que tout est possible », explique la réalisatrice.
Le défi d’une vie
Derrière cet ambitieux projet, le but d’Elizabeth Faure est de prouver que « même les pauvres peuvent construire eux-mêmes leur maison… Pour l’estime de soi, c’est quand même vachement mieux », lâche-t-elle. Celle qui se décrit comme une « vieille hippie baba-cool » a mûri ce défi depuis des années, en fait depuis son école d’architecture. C’est en voyant un reportage sur les cabanes pour SDF de 15m2 construite par Emmaüs qu’elle se dit qu’elle peut « faire beaucoup mieux ». À l’époque, elle dessine des plans pour bâtir des maisons de 25m2 pour 6 000 euros. Mais son projet n’a intéressé personne. Alors elle s’est dit que pour montrer que c’était possible, elle allait le faire elle-même.
Émilie Kovacs / Les Nouveaux Enjeux. Juillet 2016
💚 💚 💚 Tout est possible. 💚 💚 💚
C'est ce concept que j'ai voulu prouver, éprouver, explorer en suivant l'aventure extraordinaire d'Elizabeth.
« La maison en A » , c'est la construction d'une maison en solitaire par une femme de 65 ans avec un budget riquiqui. C'est aussi un film, une belle aventure humaine pour laquelle j'ai planté ma tente sur un chantier pendant 8 mois. Un film pour lequel j'ai consacré presque cinq belles années entre l'écriture, le tournage, le montage et la tournée de diffusion.
Malgré beaucoup d'efforts pour trouver des partenaires qui s'associeraient à la construction de ce projet ambitieux, le destin s'est entêté à rapprocher nos deux aventures en solitaire. Elizabeth a construit sa maison seule tout comme j'ai dû construire ce film seule. Cela n'a pas été facile tous les jours, de garder la force et l'endurance pour aller jusqu'au bout, mais la magnifique réponse du public et la joie d'avoir réussi m'ont prouvé que ça valait le coup de se battre.
Et comme toute aventure a une fin, après 35 diffusions un peu partout en France et quelques embardées un peu plus lointaines, j'ai décidé de donner à ce film un nouveau départ en le faisant voyager librement à travers vous, son public. Je constate aujourd'hui, deux ans après l'avoir mis en ligne que c'était le meilleur choix, puisque la réponse de la communauté internet est encore plus impactante, et qu'elle va permettre à beaucoup de personnes de se construire leur propre habitat. C'est un grande victoire pour ce film, et pour le rêve de départ d'Elizabeth.
Crédit :
Un film de Morgane Launay
Un projet d’Elizabeth Faure
Images additionnelles et prises de vue aériennes : Etienne Rallion
Son additionnel : Etienne Vaudrey
Musique : Nkahra - / @nkahraofficial
Mix film : Cédric Le doré
Site web de la réalisatrice - photographe : http://www.morganimage.com
https://www.instagram.com/_morganelau...
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Toutes ne partageaient pas les mêmes combats, les mêmes rues, les mêmes tribunes. Toutes ont pourtant toutes été victimes d’un même crime : le féminicide politique. Crime invisible, l’assassinat politique genré consiste à tuer une femme pour la cause qu’elle défend mais aussi parce qu’elle est une femme. Le collectif «Femmes à abattre» est sorti du bois il y a quelques jours pour briser le silence: semaine après semaine, «Femmes à abattre» produit la première enquête internationale sur les féminicides politiques. Il a déjà repertorié près de 300 crimes dans le monde. Pour en parler, Au Poste reçoit trois des instigatrices de «Femmes à abattre»: Leïla Miñano, Hélène Molinari et Anne laure Pineau
Journaliste : David Dufresne
Son : Baptiste Veilhan Graphisme : Adrien Colrat Production : Sophie Romillat Directeur du développement : Mathias Enthoven Rédaction en chef : Soumaya Benaissa Directeur de la rédaction : Denis Robert
#Féminicides #Politique #Enquête
Visibilité Publique
Publié originellement 01 avril 2023
Catégorie Divertissement LicenceInconnu LangueInconnu
Étiquettes assassinat politique genré ; blast ; crimes ; Féminicides ; Leïla Miñano
Durée 1h 44min 26s
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Photo En 1982, des manifestantes contre l'installation de missiles nucléair se sont unies pour encercler la base américaine de Greenham Common, en Angleterre. ©AFP - UPI
Depuis les années 1970, à Plogoff, Greenham Common, Fessenheim, Fukushima, en passant par Bure, des femmes se sont constituées en collectifs et ont mené des actions antinucléaires pour alerter sur les conséquences de cette technologie et dénoncer un projet antidémocratique et patriarcal.
Dans le cadre de notre semaine avec Pénélope Bagieu, nous nous intéressons aux liens entre luttes des femmes et nucléaire.
Dans les luttes antinucléaires, des mouvements et collectifs de femmes se sont constitués en opposition à cette puissance nucléaire, qu’elle soit civile ou militaire.
Si certaines de ces femmes ne se définissaient ni comme féministes, ni comme écologistes comme à Plogoff dans les années 1970, certains mouvements dans les années 80 comme aux États-Unis avec le Women’s Pentagon Action ou en Angleterre avec Greenhman Common se revendiquaient comme féministes, non-mixtes et avec des modes d’actions bien particuliers. Ces mouvements de femmes anti-nucléaires sont polymorphes et pluriels, ils se réinventent aujourd'hui à travers de nouveaux terrains de lutte et de nouvelles formes de militantisme, notamment à Bure, lieu d’enfouissement des déchets nucléaires.
Pourquoi des luttes féministes se sont rattachées historiquement à la lutte antinucléaire ?
Pourquoi le nucléaire s'impose comme un véritable symbole du patriarcat ?
Ces mouvements sont une recherche d’antidote qui vont s’opposer au nucléaire en développant des formes de performances, de poésies, d’art, pour faire raisonner des enjeux civilisationnels et existentiels, et critiquer cette technologie identifiée comme mortifère.
Chants, danses, slogans, tels que “sorcière, vénère, anti-nucléaire”, réunions d’information jouant sur le bouche-à-oreille, occupation de forêts, les moyens de lutte des écoféministes antinucléaires cherchent à se réinventer et à donner une tonalité non-violente.
À lire aussi : Comment la BD "Le monde sans fin" est devenue le livre le plus vendu de l’année
Cette lutte féministe antinucléaire n’a pas toujours été non-violente. Françoise d’Eaubonne, l’écrivaine qui a pensé le néologisme « écoféministe » participe en 1975 à poser des bombes artisanales sur le chantier de la centrale nucléaire de Fessenheim dans le Haut-Rhin, cela qui cause des dégâts et retarde la construction de plusieurs mois.
Quel est le lien entre le féminisme et la lutte contre le nucléaire ?
Les femmes sont en effet parmi les adversaires les plus actives, et les plus critiques, de l'énergie nucléaire. Comment expliquer la persistance de ce mouvement social, féministe et antinucléaire ?
La journaliste Jade Lindgaard explique : « C'est peu connu en France. Mais dès les années 1970, aux États-Unis, et en Grande-Bretagne, des mouvements féministes, anti-nucléaire se développent. Ils sont très populaires, et très actifs. Le lien entre être féministe et être antinucléaire pour ces femmes ? À l'époque, c'est principalement deux choses. Le nucléaire est considéré comme l’incarnation et la célébration du patriarcat. C’est une énergie brutale et hiérarchique, opaque, sur laquelle on n'a aucune prise, qui vous écrase, vous marche dessus, et ne vous laisse pas votre mot à dire.
Par ailleurs, le nucléaire est souvent à l'époque géré par des hommes. C’est un milieu pas féminin. La différence avec aujourd'hui : ce sont des mouvements pacifistes. À la fin des années 1970, au début des années 1980, à la fin de la guerre froide, naît une tension sur la question de la présence de missiles nucléaires, soviétiques, et étasuniens. Il y a vraiment la peur d'une troisième guerre mondiale qui serait une guerre nucléaire.
Des femmes plus ou moins anti-capitalistes, plus ou moins anarchistes se réunissent autour du refus de la mort par la bombe nucléaire. Le lien entre féminisme et anti-nucléaire se fait alors sur la question de la vie. C'est un enjeu d'existence. Face à un enjeu existentiel, il n'y a pas de compromis. Donc on occupe, on bloque, on sabote… C’est une bataille vitale. »
Et aujourd’hui ?
L’activiste Pauline Boyer estime que le sujet est toujours d’actualité : « Ces arguments et les références à la vie sont toujours valables aujourd'hui. D’autant plus que nous sommes dans une période cruciale par rapport aux choix que l’on va faire pour faire face au dérèglement climatique, à l'effondrement de la biodiversité et aux crises sociales qui existent… Le choix de relancer le nucléaire imposé par le gouvernement revient à imposer un système qui ne répond pas du tout aux besoins de la société aujourd'hui. Donc, aujourd'hui, nous sommes dans une même dynamique de violence verticale. Dès que quelqu'un émet une critique sur l'énergie nucléaire arrive un déchaînement de violence, en tout cas sur la question du réchauffement.
Il faut aussi regarder quels sont les effets secondaires du nucléaire avec la production de déchets radioactifs, avec la menace nucléaire, la menace d'accident nucléaire qui n'est pas un fantasme. On a affaire à Three Miles Island, Tchernobyl, Fukushima… On sait que ça peut arriver ! Et puis, le dernier rapport du GIEC nous dit qu’il faut réduire de moitié nos émissions de gaz à effet de serre d'ici à 2030. Antonio Guteres dit que les pays développés doivent tout faire pour atteindre la neutralité carbone en 2040.
Aujourd'hui, on met 15 à 20 ans à construire une centrale nucléaire. On est complètement hors délai. C’est une excuse pour l'inaction climatique du gouvernement. Il prétend agir alors qu’il propose une solution basée sur un fiasco industriel français. Flamanville après quinze ans de chantier et une multiplication des coûts par six, ne fonctionne toujours pas. C'est une solution qui est beaucoup trop lente face à l'urgence climatique. Il y a un risque. L’activiste Marge Piercy disait : « Comment comprendre quelque chose qui ne vous tue pas aujourd'hui ou demain, mais lentement, de l'intérieur pendant 20 ans ? Comment concevoir qu'un choix industriel, ou gouvernemental, signifie que nous soyons porteurs de gènes difformes et que nos petits-enfants seront mort-nés si nos enfants ont de la chance ? Des études faites sur les populations, notamment de Tchernobyl, effectuées à l'hôpital de Novossibirsk qui est à 200 kilomètres de Tchernobyl montrent que les adultes ont 50 % de maladies respiratoires de plus que la moyenne de la Fédération de Russie. Donc, dans le temps, les impacts sont avérés. »
La suite est à écouter...
On en parle avec :
- Jade Lindgaard, journaliste au pôle écologie de Mediapart, spécialiste des questions environnementales
- Pauline Boyer, activiste climat et chargée de campagne sur la transition énergétique pour Greenpeace. Co-autrice du Manifeste pour la non-violence , Edition Charles Léopold Mayer
Aujourd'hui, pour ce 31 ème épisode, nous allons parler féminisme et milieu rural, avec Emilie Gayrard, du réseau breton ...
Connu / TG le 19/02/23 à 16:43
La synthèse de ce rapport :
https://www.senat.fr/rap/r21-060-1/r21-060-1-syn.pdf
Connu / TG le 19/02/23 à 16:33
🔴 Présentation de la PPL visant à mieux reconnaître le travail des femmes et sa pénibilité
Rendez-vous ce mercredi 8 mars à 10h pour suivre en direct la conférence de présentation de la proposition de loi visant à ...
Connu / TG le 08/03/23 à 11:34
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Tr.: Exideuil-sur-Vienne le 10 décembre, à la salle de la Soulène. ...
Marie-Pierre Noël, Noé Robin, Raymond Martin, Pierre-Marie Coiteux
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Les luttes du territoire
Les méga-bassines et la privatisation de l'eau en Poitou-CHarentes par Agnès Baudrillart, BNM16
...
L'enseignement professionnel en danger ? Toutes et tous mobilisé·e·s contre la réforme
...
Philippe Dauriac, secrétaire national et départemental CGT Éduc'action en charge de l'enseignement professionnel ...
L'égalité hommes/femmes et pour l'accès de toutes et tous à l'information en milieu rural : Léa Grange, Céline Bertaux et Myriam Hassoun, Collectif Femmes en campagne (association) existe depuis deuxs ans à l'initiative de Léa pour lutte droits des femmes en charente-limousine ou val de tardoire 20%des femmes en milieu rural mais 50% des féminicides, lutte contre les discrimination, visibilité des femmes, événements ...
D'Exideuil à Chabannais, des projets de carrières contre la population ? / Éric Germond, maire d'Exideuil et Gael Detrain, association Chabannais Défense et Environnement ...
Lutter contre le Rassemblement National : projection du film documentaire Danse avec le FN de Paul Moreira
...
Réunion publique avec Damien Maudet, député de la 1ère circonscription de la Haute-Vienne
...
Collectifs qui ont répondu présent : EELV, LFI, PG, POI, PS, CGT Educ'Action, Attac 16, Bassines non merci Aume-Couture
La difficulté de quitter un conjoint violent à la campagne, «où tout le monde se connaît» | Slate.fr
Manque de moyens, mal informées, souvent confrontées à l'isolement: les femmes ayant subi des violences intrafamiliales dans ...
Connue / TG le 21/12/22 à 00:04
Connu / https://framapiaf.org/@AssoEchap@social.wxcafe.net/107733513228161826
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3 févr.AssoEchap@social.wxcafe.net Echap @AssoEchap@social.wxcafe.net
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Dans les années 1960, un agent de change se prend d’affection pour les employées de maison logées au sixième étage de son immeuble... Philippe Le Guay signe une comédie sociale et romantique, galvanisée par de formidables seconds rôles et la drôlerie du duo Fabrice Luchini et Sandrine Kiberlain.
Paris, années 1960. Jean-Louis Joubert vit avec sa femme Suzanne dans les quartiers huppés de la capitale. Par le biais de María, la nouvelle domestique recrutée par son épouse, cet agent de change découvre les conditions dans lesquelles vit un groupe de bonnes d’origine espagnole, logées au sixième étage de son immeuble bourgeois. Sous les toits, il n'y a pas d'eau chaude et les toilettes sont constamment bouchées, mais il règne sur le palier une joie de vivre et une solidarité que M. Joubert ne tarde pas à apprécier, et auxquelles il n’aura bientôt d'autre choix que de s’adapter…
Richesse(s)
Si la truculence des femmes hautes en couleur qui habitent sous les mansardes s’opposent radicalement à son caractère rigide, l’austère Jean-Louis Joubert se prend d’affection, bien malgré lui au départ, pour ces personnalités attachantes et pleines de vie qui ont fui le franquisme. Au travers de cette rencontre tout en contrastes se déploie une comédie sociale et romantique dont l’intrigue évite l’écueil manichéen de la lutte des classes. Car cet antihéros, qui remet en question son appartenance à la grande bourgeoisie, se frotte avec intérêt à une nouvelle réalité sociale et goûte avec délice son autre forme de richesse. Porté par de lumineux seconds rôles incarnés, notamment, par des actrices chères à Pedro Almodóvar (Carmen Maura et Lola Dueñas), ce film fait une nouvelle fois la part belle à la drôlerie du duo Fabrice Luchini-Sandrine Kiberlain (déjà vu dans Beaumarchais, l’insolent et Rien sur Robert), lequel déploie une impeccable partition, entre obsessions de l’une pour les futilités (bridge, shopping, coiffeur...) et dessillement de l’autre face à un monde totalement inconnu.
Réalisation : Philippe Le Guay
Scénario : Philippe Le Guay Jérôme Tonnerre
Production : Vendôme Production France 2 Cinéma SND
Producteur/-trice : Philippe Rousselet
Image : Jean-Claude Larrieu Montage : Monica Coleman Musique : Jorge Arriagada
Avec : Fabrice Luchini (Jean-Louis Joubert) Sandrine Kiberlain (Suzanne Joubert) Natalia Verbeke (María Gonzales) Carmen Maura (Concepción Ramirez) Lola Dueñas (Carmen) Berta Ojea (Dolores Carbalan) Nuria Solé (Teresa) Concha Galán (Pilar)
Pays : France
Année : 2010 Cinéma Films
Durée : 101 min
Disponible : Du 05/10/2022 au 05/10/2022
Genre : Cinéma
Prochaine diffusion le : mardi 11 octobre à 13:35
Valence (Drôme), reportage - Durée de lecture : 9 minutes - Clés : Alternatives Féminisme Habitat et urbanisme
Les maisons mobiles fleurissent dans la Drôme grâce aux femmes. Dans un hangar près de Valence, elles construisent leur propre habitat sur roues, motivées par des envies d’indépendance et écologiques.
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Les femmes du monde rural sont oubliées, invisibilisées, mais des mouvements féministes agricoles puissants et joyeux sont en pleine
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retrouvé / TG le 19/02/23 à 16:40
6,281 supporteurs ont signé
Les grandes entreprises volent du poisson d'Afrique de l'Ouest. Ils détruisent des emplois et une source essentielle de nourriture. Mais les communautés locales ripostent et Greenpeace les soutient. Rejoignez-nous pour exiger que les importateurs de farine et d'huile de poisson ainsi que les autorités qui réglementent l'industrie changent leurs habitudes, maintenant.
Chaque année, les grandes entreprises volent plus d'un demi-million de tonnes de poisson aux habitants d'Afrique de l'Ouest. Cette quantité de poisson est suffisante pour nourrir 33 millions d'individus. Mais au lieu de cela, ces poissons sont transformés et donnés aux animaux en Asie et en Europe.
Les scientifiques disent que les stocks de poissons au large de l'Afrique de l'Ouest seront bientôt irrémédiablement endommagés. Des milliers de personnes perdront leur emploi, et des milliers de familles perdront une source essentielle de nourriture. Mais les communautés côtières ripostent. Les poissonnières - principalement des femmes - et les pêcheurs protestent et font campagne. Plus nous serons nombreux à ajouter nos voix aux leurs, plus les grandes entreprises et les autorités devront écouter. Ils ont peur que leurs actes répréhensibles soient exposés.
Dites à ces sociétés qui détruisent les océans de cesser d'importer de la farine et de l'huile de poisson d'Afrique de l'Ouest. Dites aux gouvernements du Sénégal, de la Mauritanie et de la Gambie que les communautés côtières ont besoin d'action, pas de paroles.
Connue / https://twitter.com/GreenpeaceAfrik/status/1501211291817500679
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Greenpeace Afrique@GreenpeaceAfrik·12h⛔ En cette journée internationale du 8 mars, le REFEPAS réitère ses demandes pour une meilleure reconnaissance, considération et protection des femmes de la pêche artisanale
#PoissonVolé - 0 - 10 -7
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La place des femmes dans le monde agricole d'hier à aujourd'hui n'est pas un long fleuve tranquille.
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Documentaire paysanne dans le cher
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CENTRE HUBERTINE AUCLERT ( 9 ) Centre francilien pour l'égalité femmes-hommes Les inégalités entre femmes et hommes, existantes dans tous les types de territoires, sont accentuées dans les zones rurales à cause de freins spécifiques. C'est notamment le cas des conditions d'emploi des Franciliennes qui vivent dans la ruralité.
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Connu / tg 19/1/22 21h44
Auteur : entreleslignesentrelesmots
Catégories : Santé, médecine...
Dans le cadre du congrès du Syndicat des professionnels du shiatsu, j’intervenais samedi 4 décembre 2021, en visioconférence, sur le rôle de patientes-expertes des personnes atteintes de fibromyalgie. Lors de cette édition, l’occasion m’a été donnée de présenter mon livre « La douleur impensée – Autopsie féministe de la fibromyalgie, une “maladie de femmes” » et en particulier de m’appesantir sur […]
Connu / mel de 13h00
Alors que la France a atteint son 101ème féminicide de l’année, des marche sont organisées dans tout le pays ce samedi 20 novembre 2021 contre les violences sexuelles et sexistes faites aux femmes, afin de se mobiliser contre le gouvernement passif de Macron. En novembre 2021, on se lève et on manifeste. En avril 2022, on se lève et on vote. Notre article.
De son côté, le gouvernement macroniste préfère mettre le budget dans sa communication pour présenter des chiffres manipulateurs,
Auteur : entreleslignesentrelesmots
Catégories : Féminisme / Genre/ Rapports sociaux de sexe
Comme je l’ai signalé dans un précédent article (1), le couple est, pour les femmes, le lieu par excellence de relations sexuelles consenties mais non-désirées. D’après les recherches du sociologue (non-féministe) Jean-Claude Kaufmann (2) que je cite dans cet article, pratiquement toutes les femmes en couple ont dû consentir à des relations sexuelles non désirées, occasionnellement ou […]
54 minutes
La catastrophe industrielle de Lubrizol a mis en lumière les inégalités environnementales que subissent celles et ceux que l'on nomme les "gens du voyage". Les aires d'accueil qui leur sont réservées sont généralement à proximité de diverses sources de nuisances.
Photo © Getty / Joel Carillet
Dans son livre « Où sont les gens du voyage ? Inventaire critique des aires d’accueil » paru aux Editions du commun, William Acker propose une approche historique, sociétale et environnementale de la question des aires d’accueil destinées aux « gens du voyage ». Son travail de recensement et d’inventaire fait suite à la catastrophe industrielle de Lubrizol, à proximité de laquelle une aire d’accueil jouxtait la zone Seveso.
Après une action publique et une tribune menées notamment avec l’anthropologue Lise Foisneau, le juriste William Acker s’attèle au recensement de la localisation des aires d’accueil des « gens du voyage » pour démontrer la récurrence des localisations de ces dernières à proximité de lieux pollués tels que les déchetteries, les cimenteries, les autoroutes, les zones industrielles. Cela demeure une gageure de quantifier l’atteinte environnementale.
Ces localisations s’expliquent aussi par le fait d’une certaine volonté à reléguer les « gens du voyage » loin des centres. Grâce à cet inventaire, le constat est sans appel, il y a un caractère systémique dans la mise à l'écart et des atteintes environnementales que subissent les "gens du voyage" ne fait aucun doute. Néanmoins les données sur ce sujet des aires d’accueil dans le domaine de la santé environnementale manquent.
« Les mouvements de justice environnementale ne peuvent ignorer la situation des « gens du voyage » en France tant elle lie intimement les questions de discriminations sociales, raciales et environnementales. » écrit William Acker.
La lecture de ce livre est aussi l’occasion de mieux comprendre les subtilités de ceux et celles que l’on nomme « gens du voyage » en France, de retracer l’histoire juridique, d'évoquer les mémoires et d’envisager les luttes environnementales et sociales à venir.
Les invités William Acker, juriste et Sue Ellen Demestre, membre du collectif des Femmes de l'aire d'accueil d'Hellemmes-Ronchin
Ndlr : la société aurait-elle peur des gens mobiles ? qui ne sont pas "dans le moule" ? Questionner ACT
L’étude critique des masculinités est un nouveau domaine de recherche au sein des études de genre. Développé et théorisé par la sociologue australienne Raewyn Connell, il renouvelle les cadres théoriques autour de l’étude des hommes. En dénonçant la masculinité normative d’une figure virile, les masculinity studies ont permis d’introduire l’idée d’une pluralité d’incarnation du masculin en dehors d’une référence systématique à la virilité. Cet article propose un bilan critique autour de la confusion des concepts de « virilité » et de « masculinité » pour proposer l’idée que celle-ci influence non seulement les représentations et les pratiques sociales, mais également les recherches universitaires. Il démontre que la perméabilité des deux termes essentialise la masculinité et entretient implicitement l’idée d’une hiérarchie entre les genres. L’article propose ainsi de penser les masculinités au pluriel et la virilité en dehors d’un genre précis afin d’enrichir les analyses sociologiques encore émergentes (en France) autour des hommes et du masculin.
Mots-clés : Masculinité, Virilité, Genre, Études critiques de masculinités, Masculinities? studies, concept, Connell
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Le terme, rarement employé de manière négative, ne trouve pas d’équivalent au féminin. Ainsi, associer systématiquement le viril au masculin n’est-il pas la négation d’une forme de puissance au féminin ? Est-il impensable de concevoir une femme virile, autrement dit forte, puissante, et performante ? Est-il si impensable de penser la puissance sexuelle des femmes ou encore la violence de celles-ci (Cardi, Pruvost, 2012) ? Il semblerait ainsi utile de déconnecter la virilité du masculin pour penser une référence idéelle mobilisable à la fois par les hommes et par les femmes comme pourraient le suggérer les travaux autour des collectifs de défense virils au travail (Rivoal, 2015). À l’instar des « masculinités sans hommes » (Halberstam, 1998), la première étape de la critique des structures inégalitaires n’est-elle pas ainsi de repenser la virilité. En effet, « quand de toutes parts la virilité des femmes est méprisée, entravée, désignée comme néfaste, les hommes auraient tort de se réjouir, ou de se sentir protégés. C’est autant leur autonomie que la nôtre [celle des femmes] qui est remise en cause » (Despentes, 2007, p. 26). Aussi continuer d’associer la virilité (et ses qualités socialement valorisées) aux hommes n’est-il pas une manière de présumer l’idée que les femmes seraient incapables de rivaliser dans un monde viril (donc masculin) ? Croire que les femmes seraient passives à l’hégémonie serait faire fausse route comme le montrent nombre de travaux féministes.
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Louise-Félicité Guynement de Kéralio, dite aussi Louise Robert (27 août 1756, Paris – 31 décembre 1822, Bruxelles), est une femme de lettres française. Elle est également la première femme ayant fondé un journal, ceci sous la Révolution française en 17891.
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Notoriété
... peut difficilement être considérée comme féministe, car elle ne prône pas l'égalité des sexes. Son idéal politique est une société sexiste. Dans son projet, les femmes sont exclues de la sphère politique, elles sont assignées à la sphère domestique.
Par contre, elle est incontestablement une pionnière de l’activité politique féminine. Elle est la première femme à être rédactrice en chef d'un journal politique. Elle signe ses articles en son nom propre. Ses positions ne sont pas celles de son père ni de son mari. Elle demande l'intégration des femmes, par le port de la cocarde, dans la société politique en 17934.
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L'accélération du retrait des troupes étrangères d'Afghanistan fait craindre un véritable retour en arrière pour les droits des femmes afghanes. Plusieurs d'entre elles ont confié à France 24 leurs craintes face à la dégradation sécuritaire et la perspective d'un retour des Taliban au pouvoir.
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Mardi 29 juin à 17h45. Nouveau documentaire de Gilles Perret et François Ruffin . François Ruffin, co-réalisateur, sera présent pour un échange à la suite de la séance.
Plus d’informations : http://le-dietrich.fr/film/debout-les-femmes
Voir aussi https://twitter.com/86Greenpeace/status/1407452563830628352
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Greenpeace Poitiers @86Greenpeace · 54 min
#Poitiers CINÉ Le Dietrich mardi 28 juin 17h45
En présence de #FrançoisRuffin
avant-première #DEBOUTlesFEMMES! +Conf-débat de Raisons d’agir :
"FIN DU MONDE OU FIN DU MOIS? #inégalités" Avec #BenoitCoquard + Fr.Ruffin
Partenaires: #AlternatibaPoitiers #ATTAC86 #GreenpeacePoitiers
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Dans « Une guerre mondiale contre les femmes. Des chasses aux sorcières au féminicide » (éd. La Fabrique), la militante et théoricienne féministe Silvia Federici montre comment, depuis les condamnations pour sorcellerie à la fin du Moyen Âge, les violences contre les femmes et le développement capitaliste sont étroitement liés. Une situation qui perdure de nos jours.
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Retrouvez la conférence de presse de la France insoumise consacrée à la journée internationale des droits des femmes. Participez et réagissez en direct avec #ConfPresseNSP.
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Clémentine Autain était l'invitée d'Apolline de Malherbe sur BFM. Elle est revenue en longueur sur la crise sanitaire, les rixes, la lutte contre les violences faites aux femmes, son engagement féministe,...
120 commentaires
raymond vettraino il y a 2 jours
Pour une fois Apolline de Malherbe n'a pas été la militante de la macronie. L'interview à permis à Clémentine Autain d'exprimer ses idées sur les sujets d'actualité. Des paroles apaisantes dans ce climat politique plutôt haineux. Une femme que j'écoute depuis ses débuts en politique et qui me donne confiance dans les idées de gauche qu'elle exprime.
Tr.: ... on a besoin d'accompagnement pour faire face aux agressions des bandes de jeunes car on a supprimé les éducateurs de rue ... Union de la gauche : il faut se mettre au travail. Il y a une défiance avec le mot gauche ...
Défenseur des droits @Defenseurdroits · 25 nov.
Comprendre, reconnaître, alerter, prévenir et réagir. Le Défenseur des droits publie ce jour un livret pour les formateurs et formatrices sur le harcèlement sexuel au travail. https://defenseurdesdroits.fr/fr/communique-de-presse/2020/11/harcelement-sexuel-au-travail-un-livret-pour-accompagner-les-formateurs #25novembre #violencesfaitesauxfemmes
Harcèlement sexuel au travail : un livret pour accompagner les
defenseurdesdroits.fr - 1 - 32 - 37
Catégories : Féminisme / Genre/ Rapports sociaux de sexe, Moyen Orient
Des militantes saoudiennes des droits de l’homme détenues dans leur pays seraient soumises à des abus d’ordre sexuel, selon l’avocate britannique Helena Kennedy. Dans un rapport de 40 pages intitulé « Une souillure sur les dirigeants mondiaux et le G20 en Arabie saoudite : la détention honteuse et la torture des femmes saoudiennes », Helena Kennedy détaille les violences employées par […]
Catégories : Canada/Québec, Ecologie, Féminisme / Genre/ Rapports sociaux de sexe, USA
Plus de 40 femmes autochtones issues de communautés impactées par l’exploitation des sables bitumineux (dont de nombreuses amies et alliées de longue date du CSIA-Nitassinan) ont envoyé une lettre ouverte à 70 grandes banques, assureurs et gestionnaires d’actifs, leur demandant de respecter les droits des Autochtones et de cesser de soutenir financièrement l’industrie qui détruit leurs […]
« Mettre en concurrence le 3919, c’est prendre le risque de faire vaciller un réseau national d’associations de terrain et de leurs partenaires »
...
Reconnaissance puis confiscation du 3919
...
Le 3919 n’appartient pas au gouvernement
Or, l’écoute est le premier jalon de la relation de confiance entre le réseau de la FNSF et chaque femme qui a le courage de les appeler. Quiconque s’est intéressé à la question de l’emprise comprendra qu’il faut parcourir un long chemin pour sortir de la violence et que la qualité de l’accompagnement est ainsi cruciale. « Normer » ce temps et le soumettre à une logique de rendement n’aurait aucun sens.
...
=> pétition i à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?Yk8Tuw
Connu / https://twitter.com/pretalemploi/status/1329051653086072833
"
Jean-Marc Le Hunsec @pretalemploi #Pétition Fédération Nationale Solidarité Femmes - #FNSF | Sauvons le 39 19 ! https://bit.ly/3kI1FaL En plein confinement le gouvernement remet en question la gestion du 39 19 Violences Femmes Info - 2:19 PM · 18 nov. 2020·Bitly - 1 Retweet
"
Ndlr : une preuve de plus que l'accompagnement doit être indépendant de quiconque, juste porté par des être humains, pour d'autres êtres humains... ACT
1 630 ont signé
Solidarité Femmes a lancé cette pétition adressée à Adressée à Mme Elisabeth Moreno, ministre déléguée à l'égalité femmes-hommes
Strasbourg, 1973. Une jeune femme se défenestre pour échapper aux coups de son conjoint et meurt des suites de ses blessures. Une poignée de proches de la Ligue du droit des femmes se regroupent alors. Armées de colle et de rouleaux, à la nuit tombée, elles inondent la ville de posters affichant « SOS Femmes battues » ainsi qu’un numéro de téléphone. Ainsi naît l’une des premières lignes d’écoute destinées aux femmes victimes de violences domestiques.
...
Cette histoire militante coule dans les veines du 3919, désormais ligne nationale unique d’écoute pour les femmes victimes de violences, aujourd’hui porté par un réseau de 73 associations de terrain présentes sur l’ensemble du territoire français : la Fédération nationale solidarité femmes, qui est de plus appuyée par douze associations nationales et leurs réseaux respectifs. Une trentaine d’écoutantes professionnelles viennent recueillir la parole d’environ 2 000 victimes chaque semaine (et même 7 000 appels hebdomadaires pendant le premier confinement).
Solidarité Femmes et son réseau accomplissent depuis 30 ans un travail remarquable au plus près des femmes et des enfants victimes de violences. Le gouvernement veut transformer le soutien financier qu'il versait jusqu'à présent au 3919 en un marché public ouvert à la concurrence alors que les associations réclamaient une hausse de cette aide financière pour permettre de passer à un service 24h/24.
...
En signant, je rejoins les signataires de la tribune publiée le 17 novembre 2020 dans le journal Le Monde « Demain, qui répondra aux appels des femmes victimes de violences ? » (lire la tribune sur le site de FNSF) https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/11/16/mettre-en-concurrence-le-3919-c-est-prendre-le-risque-de-faire-vaciller-un-reseau-national-d-associations-de-terrain-et-de-leurs-partenaires_6059945_3232.html.
Liste des premièr·es signataires : Maïté Albagly, ancienne déléguée générale de la FNSF Rebecca Amsellem, économiste et militante féministe Michèle André, ancienne secrétaire d'État chargée des Droits des femmes et de l'égalité des chances entre les hommes et les femmes (1998-1991) Marie-Pierre Badré, présidente du Centre Hubertine Auclert Lauren Bastide, journaliste Catherine Beaunez, dessinatrice et autrice Odile Belinga, avocate
Pascale Boistard, ancienne secrétaire d'État chargée des Droits des femmes (2014-2016) Anne Bouillon, avocate Carmel Castillo, cinéaste Hélène Cixous, écrivaine et dramaturge Caroline De Haas, collectif #NousToutes Marie-Dominique de Suremain, ancienne déléguée générale de la FNSF Edouard Durand, co-président de la commission violences du Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes Eric Fassin, sociologue, université Paris-8 Julie Gayet, comédienne et productrice Christelle Hamel, chercheure Natacha Henry, écrivaine féministe Danièle Kapel-Marcovici, PDG du groupe Raja et présidente de la fondation Raja Jean-Louis Laville, chercheur et professeur au CNAM Sylvie Le Bon de Beauvoir, professeure de philosophie et éditrice Valérie Létard, ancienne secrétaire d'État chargée de la Solidarité (2007-2009) et vice-présidente du Sénat Noël Mamère, ancien journaliste et homme politique Patricia Mercader, professeure émérite Ariane Mnouchkine, metteure en scène Janine Mossuz-Lavau, politologue et sociologue Michelle Perrot, historienne, professeure émérite Pascal Picq, paléoanthropologue, Collège de France Nicole Questiaux Laurence Rossignol, ancienne ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes (2016-2017) et vice-présidente du Sénat Ernestine Ronai, co-présidente de la commission violences du Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes Suzy Rotjman, militante féministe Moira Sauvage, journaliste et essayiste Isabelle Steyer, avocate Nadine Trintignant, réalisatrice et écrivaine Najat Vallaud-Belkacem, ancienne ministre des Droits des femmes (2012-2014) Fatima Zénati, chargée de mission à l'égalité femmes-hommes à l'Université Paris 8 Alice Zeniter, écrivaine
Connue / https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?BAS7qw
Les documentaires
Engagés, impressionnistes, sensibles, subjectifs… les documentaires diffusés par Le Média donnent à voir la vie comme elle va et comme elle ne va pas. Des documentaires que nous voudrions diffuser en plus grand nombre, et que nous avons aussi vocation à co-produire.
Clés : Déconfinement : urgence pour les femmes victimes de violences
Le coronavirus a rendu visible ce que nous ne voulions plus voir, les violences notamment, et elles sont nombreuses.
Les violences symboliques, les violences économiques, les violences policières, mais il y a aussi celles qui ont lieu au sein même de nos foyers.
Les violences faites aux femmes, ces violences qui laissent des traces, visibles puis indélébiles. Il y a les bleus sur les corps, mais aussi les bleus à l’âme et au coeur.
Des coups, des mots qui entrent dans les organismes comme un virus, pour ne jamais repartir. Contre ce virus là, pas de gestes barrières, pas d’immunité collective ni de masques de protection.
Si le confinement a permis d’enrayer la propagation du coronavirus, il a aussi accentué la progression de cette autre maladie, bien plus profonde, de notre société. Avec les mesures de confinement, les cas de violence, de menaces et de harcèlement dans les familles et les couples derrière les portes closes ont augmenté de 32 %. 44 % d’interventions en plus pour différends familiaux par rapport à la même période l’année dernière.
Avec le déconfinement, toutes les structures qui viennent en aide aux femmes victimes de violences se sont retrouvées submergées par les demandes. La Maison des femmes de Saint Denis en fait partie.
Depuis le déconfinement, elle gère une situation d'urgence tous les 2 jours nécessitant une mise à l'abri, parfois avec enfants et fourniture de colis alimentaires, contre 2 par mois en temps normal, c’est pourquoi elle appelle aujourd’hui aux dons : 90 000€ pour recruter deux postes supplémentaire de psychologue et assistant.e sociale.
=> https://www.helloasso.com/associations/la-maison-des-femmes/collectes/les-violences-s-intensifient-les-besoins-aussi
La Maison des Femmes de Saint Denis est un lieu unique en France.
Créée par la gynécologue et obstétricienne Ghada Hatem, cette maison accueille les femmes victimes de violences (viols, excisions, violences conjugales...).
Un refuge qui leur offre un chemin pour se reconstruire, une écoute et des soins adaptés. Psychologues, chirurgiens, conseillères conjugales, assistant.es sociales, policier.es, sexologues, sage femmes, ostéopathes….
Tou.te.s travaillent ensemble dans un seul but : aider ces femmes à reprendre vie.
Ce reportage, réalisé par Paloma Moritz et produit par Spicee, a été fait il y a deux ans, pour faire connaitre cette initiative mais aussi convaincre chacun et chacune de la soutenir pour appréhender différemment ce problème de société.
Nous avons tenu à le diffuser à nouveau alors que La Maison des femmes est en situation d’urgence. Il vous raconte une histoire d’héroïnes, pas de roman, ni de film, ni de BD… des héroïnes du quotidien.
Des femmes qui bravent leurs peurs pour pousser la porte de cette maison. La Maison des Femmes a besoin de vous pour continuer à exister et se développer et démultiplier son impact.
Soutenez-les, partagez cette information et soyez des héros ·ïnes ! Même avec 5€, vous pouvez aider à changer la vie des femmes victimes de violences…
Un grand merci au média Spicee de nous avoir cédé gracieusement le documentaire sur la maison des femmes.
Spicee est un média français, indépendant sur abonnement qui produit et diffuse des docs engagés sur des thématiques telles que Le monde de demain, la place des femmes, la lutte contre la désinformation et le complotisme et des parcours inspirants qui montrent que l’on peut réaliser ses rêves et faire bouger les lignes en agissant.
Et pour l'occasion et pour fêter ses 5 ans, Spicee vous propose une promo Anniversaire. L’abonnement est à -40% soit 30 euros l’année avec le code promo : 5ANS sur ce lien https://bit.ly/2AQmOOR
Pour aller plus loin :
- https://www.lefigaro.fr/economie/le-scan-eco/2017/11/24/29001-20171124ARTFIG00108-les-violences-conjugales-couteraient-36-milliards-d-euros-par-an.php
- https://www.gouvernement.fr/sites/default/files/document/document/2019/11/dossier_de_presse_-_cloture_du_grenelle_contre_les_violences_conjugales_-_25.11.2019.pdf
Connu / https://twitter.com/LeMediaTV/status/1274401630730010625
"
Le Média @LeMediaTV · 7h
Avec le déconfinement, toutes les structures qui viennent en aide aux #femmes victimes de #violences se sont retrouvées submergées par les demandes. - 0 - 17 - 21
"
Transcription : ... à 14mn le sexologue ACT
personne ne veille à ce que la MdF soit DUPLIQUÉE PARTOUT ACT
... besoin d'accompagnement humain nous aider à soigner ACT
... ya actuellement 4 projets que moi je connais qui sont suffisament lancés pour que je sois sûre qu'ils vont aboutir à Paris, Strasbourg, à Plaisir, à Brive. On les a accompagnés donc on est très heureux. Et ce qui nous fait plus plaisir c'est que des jeunes médecins demandent à passer 6 mois avec nous dans leur parcours, afin de reproduire notre modèle. Notre lobbying auprès du gouv / mission d'intérêt général / 1 structure par région à minima : 3è pj accueil 24/24 pour les violences sexuelles car on est très conscients du fait qu'une femme victime d'un viol va avoir tendance à aller aux urgences gynécologiques, qu'elles viennent chez nous qu'on fasse les prélèvements et que la police se déplace pour prendre les plaintes ACT++
/DISpense du secret médical à double tranchant. Si risque de mise en danger oui. Débattre en équipe pour peser le risque serait mieux + éthique.
Q: le levier la parentalité, l'avortement, accompagner, pédagogie éducation non-violente à l'égalité, au respect à la sexualité, traquer le sexisme, mieux répartir la charge mentale,
=> informer sur fin particip + valoriser le pj +++ ACT
Données
En équivalent temps plein, les femmes touchent 18,5 % de moins que les hommes, selon l’Insee. La discrimination pure serait d’environ 10 % d’après le ministère du Travail.
Clés : Femmes et hommes ; Revenus et patrimoine ; Salaires ; Revenus
Le salaire mensuel net moyen des hommes, en équivalent temps plein [1] est de 2 438 euros en 2015, celui des femmes de 1 986 euros, soit un écart de 452 euros. Les femmes perçoivent donc, en moyenne, 81,5 % du salaire des hommes (1 986 divisé par 2 438), ou ont un salaire inférieur de 18,5 %. Ou encore, ce qui revient au même, les hommes touchent en moyenne un salaire supérieur de 22,8 % à celui des femmes (voir notre encadré méthodologique sur la façon de mesurer l’écart).
...
[1] Les salaires en équivalent temps plein permettent de prendre en compte les emplois à temps complet et à temps partiel. On transforme un salaire obtenu à temps partiel en déterminant à quel niveau il aurait été si l’emploi avait été à temps plein.
[2] « Ségrégation professionnelle et écarts de salaires femmes-hommes », Dares Analyses n°082, ministère du Travail, novembre 2015. http://dares.travail-emploi.gouv.fr/dares-etudes-et-statistiques/etudes-et-syntheses/dares-analyses-dares-indicateurs-dares-resultats/article/segregation-professionnelle-et-ecarts-de-salaires-femmes-hommes
Date de première rédaction le 27 mars 2017
Connu / https://blogs.mediapart.fr/arielle-kies/blog/151219/contre-projet-pour-un-systeme-de-retraites-universel-et-plus-juste i à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?Jljkmw
extrait du livre L’Arbre à soleils. Légendes du monde entier, d’Henri Gougaud.
Cette histoire de Bornéo, vient-elle du peuple dayak, du peuple penan ou d’un autre peuple autochtone de l’île ? Nous ne le savons pas, il est aussi possible qu’elle soit commune à tous mais avec des variantes ...
Photo © Andy Rain & Nick Rain/Survival. Des hommes penan chassent avec des pipes dans les forêts du Sarawak, Bornéo.
CES MÈRES PERSÉCUTÉES PAR L'ÉTAT FRANÇAIS - Publié il y a 3 jours / Les Enquêtes du Media - Le Média
• 5 vues
Channel avatarAccount avatar Par lemediatv
Comment des mères isolées, étrangères, se retrouvent-elles dans le viseur de l'administration française?
De nombreuses femmes étrangères, sont accusées d'avoir demandé des reconnaissances de paternité frauduleuses à des français, afin de régulariser leur situation et d'obtenir des aides sociales.
Pourtant, plusieurs cas prouvent que ces accusations sont souvent fausses, et ne se basent que sur des suspicions infondées. Après plusieurs mois d'enquête, Le Média dévoile comment l'état français met en place une politique défavorable aux mères isolées étrangères, et leur parcours du combattant.
👉 Exigez l'amnistie des gilets jaunes : https://amnistiegj.fr/
Confidentialité Publique
Publié originellement 04 avril 2019
CatégorieActualité & Politique
LicenceInconnu LangueInconnu
Étiquettes ; Caf ; état français ; femmes seules ; immigrées ; mamans célibataires
Durée 44 min 13 sec
CanalFi @CanalFi · 5 mars
Travail, médias, politique : le constat des inégalités hommes-femmes est terrible. L’ampleur des violences sexuelles aussi. Heureusement, il y a des Adèle Haenel et des Virginie Despentes.
C'est @Clemence_Guette qui a lancé hier la semaine spéciale #8mars
5:10 12,3 k vuesDe
La France insoumise CanalFi @CanalFi · 5 mars
210 jours que les femmes de ménages de l'hôtel Ibis Batignolles sont en grève. Ces femmes surexploitées, qu'on ne voit pas, redeviennent visible dans la lutte.
Édito de @Deputee_Obono
pour mettre en lumière ces combattantes qui seront là dimanche. #8mars
3:54 11,6 k vues
De La France insoumise
CanalFi @CanalFi
Les femmes ont 14 fois plus de chance de mourir dans une catastrophe naturelle que les hommes.
@MathildePanot parle d'un sujet rare : l'écoféminisme, le lien entre féminisme et écologie.
Semaine spéciale #8mars sur @CanalFi
.
8,9 k vues 5:01 / 5:01
0:00 8,9 k vues
FEMMES ET ÉCOLOGIE
Édito sur un sujet rare : le lien entre féminisme et écologie, par Mathilde Panot, Vice Présidente du groupe LFI à l'Assemblée. Abonnez-vous à Canal Fi pour retrouver tous nos éditos sur le 8 mars.
De
La France insoumise
11:48 AM · 5 mars 2020·Twitter Web App
19 Retweets 30 J'aime
Quidit Laplusgrosse @QuiditL · 5 mars
En réponse à @CanalFi
@FranceInsoumise et @MathildePanot
Les catastrophes naturelles sont sexistes ?
Arsène Ohm
Araignée
Ω
Triangle rouge pointant vers le bas
Globe avec méridiens
@OhmArsene
·
5 mars
Il faut écouter la vidéo. Principalement c’est parce que les femmes sont plus isolées et au niveau mondial plus pauvres.
Arsène Ohm
Araignée
Ω
Triangle rouge pointant vers le bas
Globe avec méridiens
@OhmArsene
·
5 mars
En réponse à
@CanalFi
et
@MathildePanot
Peut-être serait-il préférable de dire « 14 fois plus de risque » plutôt que de parler de chance, non ?
10 commentaires
Originaire de Saillans, la journaliste Maud Dugrand documente, dans un livre intitulé La Petite République de Saillans, les contours, les tensions et réussites d’un moment politique et démocratique inédit. Entretien.
Mots-clés démocratie participative Drôme élections municipales liste citoyenne Maud Dugrand République Saillans
...
chercher le consensus à tout prix, dans un processus de participation, possède des limites. C’est un modèle qui semble légitime mais qui empêche sans doute parfois de prendre des décisions nécessaires.
...
Alors qu’on est habitué à la verticalité des décisions, à la fonction symbolique du maire, Saillans a bousculé des représentations et des pratiques du pouvoir qui nous construisent et nous sécurisent depuis des décennies. Cela ne va pas sans angoisse, mais cela peut changer des habitudes dont on voit bien les limites.
...
des règles d’écoute et de répartition de la parole ont été posées et cet espace civilisé est favorable aux femmes. Je soupçonne que, dans le village, cela a bousculé le patriarcat, car on a ouvert des lieux obéissant à des règles où l’on n’a plus peur d’aller en tant que femme.
... réforme du Plan local d’urbanisme (PLU) réussie ... 93 événements participatifs ont été proposés entre juin 2017 et juin 2019 concernant le PLU et 434 personnes ont participé à au moins l’un d’entre eux, ce qui est énorme sur un village de 1 300 habitants ... cela a été compliqué et parfois violent ... Ces questions en apparence techniques, complexes, réglementaires touchent en réalité des choses fondamentales : la propriété privée, l’intérêt commun, la manière dont on vit et on habite. ... Ce qui est très positif, c’est que ces sujets qui, en général, demeurent enfouis, alors qu’ils se situent à l’articulation des projets de société et de l’intimité des vies, ont été mis sur la place publique, au lieu qu’on découvre, à chaque vote, qu’il y a de l’inquiétude, des rancœurs, des seuils de tolérance et d’intolérance que capte le plus souvent le vote FN ... même s’il reste des désaccords, il est plus sain qu’ils s’expriment ouvertement. À ce titre, l’existence d’une liste d’opposition est un très bon signe.
...
Le « capital d’autochtonie » a son importance
... partager le village entre « néos » et « locaux » ou entre « droite » et « gauche » ? ... clivage ... être capable de se confronter de personne à personne. ... Le cadre participatif laisse peu de place au conflit. Il impose la rationalité au détriment de l’émotion, de la parole directe, parfois frontale ... il existe souvent une euphémisation du conflit chez ces classes moyennes à fort capital culturel. ... la « redistribution de la parole se substitue à la redistribution sociale », comme on l’a vu lors du « Grand débat » post-gilets jaunes.
...
des listes citoyennes ne peuvent pas se constituer à trois mois des élections. Il faut un travail au moins deux ans avant, avec l’aide de professionnels de l’éducation populaire et de l’animation de réunions. Mais il n’est pas inintéressant de noter que dans la ville voisine de Crest, 8 000 habitants, administrée depuis quatre mandats par Hervé Mariton, ancien député LR, qui se représente pour un cinquième mandat, une liste citoyenne s’est constituée. Peut-être qu’avec le temps, Saillans assumera d’avoir été ce précurseur, mais aujourd’hui c’est trop tôt. Saillans n’avait pas l’ambition de repenser la démocratie d’un point de vue théorique.
Ndlr : faut-il privilégier l'action à la parole, le faire ensemble, plutôt que la "parlotte" ? questionner, expérimenter ACT
397 221 ont signé
Mise à jour sur la pétition Sarah FRIKH - Paris, France
Je compatis totalement avec Sarah et ses amies. La finalité est la plus dramatique �
J'espère vraiment que nous allons obtenir plus d'ouverture et plus de moyens. Je suis tellement triste.
...
Nous demandons le retrait de cette réforme sexiste. Nous voulons une réforme des retraites féministe qui repose au contraire sur la réduction du temps de travail, l’égalisation des salaires, le renforcement de l’activité professionnelle des femmes, et permettre aux femmes comme aux hommes d’avoir une retraite complète tout en ayant du temps pour leur vie sociale et familiale.
Premières signataires
Agathe, collectif “Nos retraites” ; Manon Aubry, eurodéputée ; Clémentine Autain, députée ; Ana Azaria, Femmes égalité ; Marion Barbeau, 1ère danseuse à l’Opéra de paris ; Sophie Binet, CGT
Hélène Bidart, adjointe à la mairie de Paris ; Laurence Cohen, sénatrice ; Eva Darlan, comédienne ; Laurence De Cock, historienne ; Caroline De Haas, #Noustoutes ; Genevieve Fraisse, philosophe ; Sigrid Gerardin, FSU ; Murielle Guilbert, Solidaires ; Juliette, auteure musicienne ; Cherifa Khiari, femmes gilets jaunes, collectif des femmes du Palais ; Sophie de La Rochefoucault, comédienne ; Mathilde Larrère, historienne ; Séverine Lemière, économiste ; Mélanie Luce, UNEF ; Christiane Marty, Copernic
Céline Picques, OLF ; Sophie Pochic, sociologue ; Audrey Pulvar, militante écologiste ; Sandra Regol, EELV ; Suzy Rojtman, CNDF
Rachel Silvera, économiste ; Sophie Taillé, Génération.s
Assa Traoré, comité Justice pour Adama ; Catherine Tricot, directrice de Regards ; Céline Verzeletti, CGT ; Malika Zediri, collectif chomeu.se.r.s et précaires
Selon https://laretraite.lol/grandesgagnantes/
"
Désintox
« Il y aura un minimum de retraite à 1000€ pour une carrière complète »
40% des femmes n’ont pas de carrière complète (et le minimum à 1000€ était prévu depuis 2003 dans la loi)
« Les régimes spéciaux c’est fini »
Pour les 400 000 aides-soignantes, infirmières, sage-femmes… qui partaient à 57 ans, la retraite ce sera au mieux à 62 ans
« Pour les fonctionnaires, la retraite sera calculée sur toute la carrière au lieu des 6 derniers mois »
63% des fonctionnaires sont des femmes
« Pour les fonctionnaires, les primes seront prises en compte pour le calcul de la retraite »
2/3 des primes de la fonction publique sont attribuées aux hommes
« ¼ des aides-soignantes pourront avoir un départ anticipé au titre de la pénibilité [et partir à 62 ans sans décode]»
Aujourd’hui 100% des aides-soignantes partent à 57 ans
« Il faudra être à la retraite pour pouvoir toucher la réversion de son conjoint décédé »
Pour les 100 000 femmes qui touchent aujourd’hui une pension de réversion entre 55 et 64 ans, ce ne sera plus possible
« La pension de réversion ne sera plus accessible après un divorce »
45% des mariages finissent par un divorce.
« Il faudra attendre 64 ans pour partir sans décote »
Aujourd’hui, 60% des femmes (et 70% des hommes) partent à la retraite avant 62 ans
« Il faudra travailler plus longtemps »
Aujourd’hui, 40% des femmes (et 32% des hommes) partent à la retraite avec une carrière incomplète
« La retraite sera calculée sur l’ensemble de la carrière »
Pour les femmes, les périodes de temps partiel, de congé parental ou de chômage se paieront cash
L'impact de la réforme pour les femmes
- Les femmes seront obligées de travailler beaucoup plus longtemps avant de partir à la retraite.
- Il faudra travailler beaucoup plus longtemps pour pouvoir maintenir son niveau de vie une fois parti.e à la retraite, ce qui est très discriminant pour les femmes. Elles ont en effet des durées de carrière beaucoup plus courtes du fait des charges familiales et risquent d’être toujours plus nombreuses à se retrouver au minimum de pension.
- Les conditions d'accès à la pension de réversion vont se durcir.
En cas de décès du conjoint, les femmes seront obligées d’attendre 64 ans et d'être parties en retraite pour toucher la pension de réversion, alors qu’aujourd’hui ce droit est ouvert dès 55 ans. Si elles divorcent, elles n'auront plus de pension de réversion. Enfin, le changement du mode de calcul pénalisera beaucoup de femmes. - 5% La compensation des périodes de maternité remise en cause
La validation de 2 ans de cotisations par enfant qui existe aujourd’hui sera supprimée, ainsi que la majoration de pension de 10% pour celles et ceux qui ont 3 enfants ou plus. A la place, une majoration de pension de 5% par enfant sera attribuée, mais pour l’un des deux conjoint.e.s au choix. Conséquence : si ce complément était attribué à des hommes, certaines femmes pourront ne plus avoir aucune compensation de leur maternité, ralentissement et interruptions de carrière alors que les écarts avec les carrières des hommes restent très importants ! - 1000€ Un minimum de pension qui n'est qu'un trompe l'oeil
"
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Vous savez à quoi on reconnaît un riche ?
C'est quelqu'un qui ne nettoie pas ses toilettes lui-même.
Et le plus souvent, c'est une femme, précaire, qui le fait.
Retrouvez mon discours de défense de la proposition de loi du PCF contre la précarité des femmes, la Journée des Droits des Femmes, à l'Assemblée nationale.
Catégorie Actualités et politique 716 commentaires
Greg N'Fresh il y a 1 an
Le faible taux d'applaudissement à la fin en dit long sur le menfoutiste des intéressés !
74
Shanna Krezc il y a 1 an
Discours magistral, bravo Mr Ruffin et merci pour toutes ces femmes
67
mireille giralt il y a 1 an
Merci François de parler de nous à l' assemblée
Débat sur la valeur travail, sur les minima-sociaux, etc.
Avec :
- Laure Courbey, gilet jaune de Nemours
- Laurent de Saint-Martin, député LREM du Val de Marne
- Pascale Fautrier, écrivaine, professeure de lettres modernes
- Hervé Le Bras, historien
- françois Durovray, président LR du conseil départemental de l'Essonne
diffusé le lun. 04.11.19 à 22h45 - disponible jusqu'au 04.12.19
société - 54 min - 2019 - tous publics
Longtemps invisibles, les femmes qui revendiquent une place dans le mouvement des Gilets jaunes prennent la parole et racontent la spirale de la précarité. Elles sont infirmières, aides-soignantes, étudiantes, retraitées et avant tout citoyennes. Un an après novembre 2018, qui a marqué l’histoire sociale et politique française, une collection documentaire dresse le portrait de ces femmes qui ont décidé de descendre dans la rue pour dénoncer leurs difficultés quotidiennes. Les antennes régionales de France 3 et France Ô donnent la parole aux femmes qui résistent et qui se sont rassemblées pour manifester leurs colères.
Toute la collection "Femmes en jaune" disponible sur FRANCE 3 REGIONS
réalisé par : Anne Gintzburger, Anouk Burel, Claire Perdrix