Programme complet des deux jours: 1er et 2 Mars
Connu / TG le 25/02/24 à 13:45
41:18 - 1,77 k abonnés - 137+ - 11 865 vues - 13 commentaires
François Taddéi est le directeur du Centre de Recherche Interdisciplinaire à Paris. Il nous parle de son action en faveur de l'innovation dans l'éducation.
Extrait de cette interview diffusée dans Le Vinvinteur n°24 le dimanche 14 avril à 20 heures sur France 5.
http://levinvinteur.com/
Tr: ...
j'apprends de mes étudiants ...
4:54 La maïeutique, c'est socrate, c'est la naissance des idées ... écosystème d'apprentissage coopératif ... réinventer wikipédia ... créer de la diversité culturelle ...car illusion d'un consensus ... les points de vue sur un conflit ... labelliser les pages (pistes vertes, noires etc) ... les neuros, euros de la connaissance ... rassembler les meilleures initiatives pour essayer de créer des choses nouvelles ... le web le permet ... évolution horizontale va plus vite qu'en vertical ... quel type de société ? quelle éthique ? ... ex 11 septembre, technologie pour construire, pas détruire ... une nouvelle université par jour pendant vingt ans ... croissance exponentielle des publications scientifiques ...ex Dannemark
... TERMINER >17:18 ACT
Renouvelables
Qui sommes-nous ? / Eric Leser 10 mai 2019 - 7 min (durée de lecture)
Notre ambition, notre conviction et notre vocation
Comment Transitions & Energies entend contribuer, modestement, à construire des stratégies efficaces et réalistes de transitions énergétiques.
La nécessité de se passer progressivement des énergies fossiles et de leur substituer des sources d’énergie non carbonées sans mettre en péril nos sociétés et notre civilisation est le défi de notre temps. La question de la transition énergétique est d’ailleurs trop essentielle pour être laissée aux seuls lobbys, idéologues, lanceurs d’anathèmes, romantiques, anticapitalistes recyclés et à des institutions manquant souvent de réalisme et de courage.
Nous sommes entrés malheureusement dans l’ère de la panique énergétique. L’émotion, les postures et le simplisme règnent et nous égarent. Nous ne ferons pas face en nous couvrant la tête de cendres et en suivant les prophètes d’un nouvel apocalypse. Les solutions et les stratégies technologiques comme économiques existent. Pour les élaborer et les mettre en œuvre, il faut une vision méthodique des enjeux et des problèmes et faire appel à la connaissance, la raison et la science.
... apporter à un débat nécessaire et légitime des fondements scientifiques, des raisonnements construits sur les faits, des points de vue argumentés sur les avantages et les inconvénients des choix techniques, financiers et politiques qui se présentent à nous. Nous entendons, modestement, permettre ainsi de construire des stratégies publiques et privées convaincantes et acceptées par l’opinion.
Au cours des vingt-cinq prochaines années, le monde doit transformer son système d’approvisionnement en énergie et réduire significativement son empreinte carbone. Pour y parvenir, la croissance de la consommation d’énergie doit ralentir et le bouquet énergétique (le cocktail de sources d’énergie) changer radicalement. L’humanité n’a jamais accompli une telle transition, encore moins à une telle échelle.
Les technologies qui permettent de mener cette transition sont aujourd’hui loin d’être toutes arrivées à maturité. Les stratégies à mettre en place sont complexes. Cela ne nous empêche pas d’être confiants. Avec de la méthode, de la volonté et en pariant sur l’ingéniosité et la créativité, l’humanité peut surmonter l’un des plus grands défis de son histoire. C’est notre conviction à Transitions & Énergies.
Mais il faut expliquer et convaincre. Telle est notre vocation. Apporter des éléments de compréhension, éclairer les choix et participer ainsi à construire le consensus indispensable pour réussir les transitions énergétiques.
Nous aborderons sans tabous et sans a priori tous les aspects de cette question et toutes les problématiques : celles des énergies renouvelables, du nucléaire, de l’hydrogène, des énergies fossiles ou celles des mobilités et des transports, du géo-engineering, des technologies en devenir et en gestation.
Nous entendons promouvoir l’innovation, y compris, par exemple, dans l’utilisation de l’hydrogène ou la capture et le stockage du carbone. Il s’agit d’une nécessité à la fois pour atteindre nos objectifs de réduction de l’empreinte carbone et pour assurer notre prospérité et notre indépendance. L’innovation est vitale dans la production, l’utilisation et la distribution d’énergies plus propres et plus durables mais aussi via le numérique avec les véhicules autonomes, les réseaux électriques automatisés, décentralisés et intelligents ou l’utilisation du big data pour rendre plus efficaces les circuits logistiques.
Faire de la France et de l’Europe un leader dans l’innovation ouvrira de nouveaux marchés, créera de nouvelles industries et permettra à l’ensemble de la société d’avoir accès à une énergie plus propre et la moins coûteuse possible.
Pour donner une idée du défi auquel nous sommes confrontés, les transitions énergétiques ont un coût estimé entre 50 000 et 90 000 milliards de dollars lors des 15 prochaines années. En comparaison, le PIB annuel mondial s’élève à près de 80 000 milliards de dollars. Une transition mal maitrisée vers une économie décarbonée pourrait mettre en péril la stabilité financière et mener à une récession massive si elle n’est pas accompagnée de financements publics et privés pertinents et de soutiens aux industries. La difficulté tient à ce que l’on connaît la situation de départ mais sans savoir très précisément vers quoi l’on se dirige et plus encore comment.
Selon les prévisions de l’Agence internationale de l’énergie. La demande mondiale d’énergie devrait seulement croître de 0,1 % entre 2016 et 2040 contre 2 % entre 2000 et 2015. Et dans le même temps, toujours entre 2016 et 2040, les énergies fossiles (charbon, pétrole, gaz) devraient passer de 81 % à moins de 61 % des sources d’énergie primaires.
L’histoire de l’énergie et celle des civilisations sont intimement liées. Dans sa lutte pour survivre, pour domestiquer son environnement, pour échapper à la misère, pour se donner les moyens de maitriser son développement économique, social, intellectuel, l’humanité n’a cessé de diversifier ses sources d’énergie. C’est l’intensification du recours à l’énergie qui a permis la révolution agricole et industrielle.
Nous sommes ainsi passés successivement de l’énergie animale et celle du bois, du vent et de l’eau à celle du charbon (quand le bois a commencé à manquer en Europe), du pétrole, de l’hydroélectrique, puis du gaz naturel, de la fission nucléaire et aujourd’hui à une échelle industrielle des renouvelables avec notamment l’éolien et le solaire. Jusqu’au xixe siècle, 95 % de l’énergie consommée par l’humanité provenait du bois. Avec la révolution industrielle, le couple charbon-vapeur a permis de fournir davantage d’énergie. Et ce n’est qu’au xxe siècle que le gaz, le pétrole et l’électricité ont permis de considérablement changer le mode de vie des pays riches qui sont entrés après 1945 dans la société de consommation et des loisirs.
Les caractéristiques de toutes ces évolutions ont été de passer à des sources d’énergie de plus en plus concentrées et de le faire parce qu’il s’agissait d’un progrès évident. Nous l’avons oublié, ces transitions énergétiques ont toujours été positives pour les hommes et même dans une certaine mesure pour la nature.
Quand nous avons cessé d’utiliser le bois et l’avons remplacé par des carburants fossiles, nous avons permis à nouveau aux forêts de grandir. Quand nous avons arrêté de brûler du bois dans nos cheminées, nous n’avons plus respiré de fumées toxiques. Il est évident aujourd’hui que ces fumées avaient considérablement réduit l’espérance de vie de nos ancêtres. Quand nous avons remplacé, pour produire de l’électricité, les carburants fossiles par de l’uranium, nous avons réduit la pollution atmosphérique et les émissions de CO2.
Nous devons continuer impérativement dans une logique de progrès. Les transitions énergétiques ne seront acceptées dans les démocraties que si elles sont comprises comme une façon de sauvegarder l’environnement, mais aussi d’améliorer les conditions de vie du plus grand nombre. La régression, la décroissance sont des voies sans issue socialement comme politiquement.
C’est pourquoi les idéologues de la peur n’apportent pas de solutions. Ils tétanisent. Ils attirent l’attention en permanence sur de nouveaux risques et détournent des vrais enjeux. Ils ont tellement effrayé les opinions et les gouvernements que ces derniers semblent aujourd’hui presque incapables de construire des stratégies réalistes de transitions énergétiques à long terme et plus encore de les expliquer et de les justifier. Transitions & Énergies entend contribuer à sortir de cette impasse.
Nous le faisons dans ce premier numéro en consacrant un grand dossier à la voiture électrique à batteries. L’adoption massive d’un tel véhicule, puissamment encouragée par les pouvoirs publics en Europe et dans le reste du monde, présente des avantages en réduisant les émissions polluantes et de CO2… et de sérieux problèmes. Ce moyen de transport ne peut pas être une solution miracle à nos problèmes de mobilité dans les villes et encore moins dans les zones dites périphériques. Il a encore aujourd’hui des limites technologiques trop pénalisantes. Il nécessite la construction d’infrastructures massives. Son attrait pour le consommateur reste relativement faible même avec des subventions importantes à l’achat. Il représente un enjeu industriel majeur pour les constructeurs automobiles, condamnés à jouer leur avenir sur un pari risqué. Enfin, la fabrication et le recyclage des batteries sont une menace pour l’environnement.
L’adoption à grande échelle du véhicule électrique à batteries n’a de sens que s’il s’agit d’un élément parmi d’autres d’une stratégie d’ensemble de transition énergétique. Une stratégie indispensable dont la mise en œuvre sera le fil conducteur de Transitions & Énergies.
manifeste
Mentions légales
Transitions et Énergies, trimestriel, est édité par la société Green Axxe Communication, au capital de 20 000€.
Siège social : 32 rue du Faubourg Poissonnière, 75010 Paris, France
Numéro de commission paritaire : 0624 T 93955
Dépôt légal à parution. ISSN : 2800-4930
Directeur de la publication : Gil Mihaely
Rédacteur en chef : Éric Leser
Direction artistique : Aymeric Ferry
Contact : contact@transitionsenergies.com
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?Rk6J1w
Ndlr : progrès, innovation, impératif du marché et de la croissance... Néolibéralisme, technologisme, sont-elles ses idéologies ? Vérifier. SINON, est dans le mythe du remplacement des énergies par le nucléaire, alors qu'elles n'ont fait que s'empiler, sauf pour la production française d'électricité... DÉNONCER ACT
Connu / https://mastodon.top/@flomaraninchi@pouet.chapril.org/111056847323607517
"
Stéphane Crozat a partagé 1 j
flomaraninchi@pouet.chapril.org stph@framapiaf.org
Florence Maraninchi ⏚ @flomaraninchi@pouet.chapril.org
La semaine prochaine à Paris, j'aurai le plaisir de discuter avec les collègues du centre de sociologie de l'innovation :
Journée organisée par @clementmarquet.
J'y aborderai la question : comment faire en sorte que le numérique rompe enfin avec l'illusion de l'illimité (alors que c'est vissé dans tous nos principes de conception, pour de très bonnes raisons par ailleurs) ?
... est à l'origine le nom du premier navire hydrogène autonome et zéro émissions, à la fois plaidoyer et laboratoire de la transition écologique. Devenu aujourd'hui un organisme qui réunit à la fois expéditions et innovations, Energy Observer explore et développe les solutions qui prouvent qu'un autre avenir énergétique est possible, un avenir optimiste, plus respectueux de la planète et des êtres qui y vivent.
...
Le projet Energy Observer est né en 2013 de l'engagement de Victorien Erussard, marin au long cours. Il réunit autour de lui une équipe complémentaire de skippers, marins professionnels, ingénieurs et reporters, afin de créer le premier navire autonome capable de puiser son énergie dans la nature tout en la préservant.
Développé à partir d’un catamaran de légende maintes fois récompensé, Energy Observer est un laboratoire de la transition écologique conçu pour repousser les limites des technologies zéro émissions. Hydrogène, solaire, éolien, hydrolien, toutes les solutions y sont expérimentées, testées et optimisées pour faire des énergies propres une réalité concrète et accessible à tous.
Mentions légales
Site édité par : Energy Observer, Société par Actions Simplifiée au capital social de 1 300 003 euros
Immatriculée au Registre des Sociétés de Saint-Malo sous le N° 812 988 020 RCS Saint-Malo
Siège social : 27, quai Duguay Trouin - 35400 Saint-Malo - France
Responsable de la publication : Victorien Erussard
Informations hébergeur
Hébergé par : Digital Ocean, dans un data center alimenté aux énergies renouvelables basé en Allemagne et appartenant à la société Interxion
Les images sont hébergées sur des serveurs d’Amazon Web Services (AWS) en Irlande.
contact@energy-observer.org.
Photographes : Amélie Conty ; Jérémy Bidon ; Marta Sostres ; Kévin Peyrusse ; Antoine Drancey ; George Conty ; Agathe Roullin ; Francine Kreiss ; Fitzgérald Jégo
Réalisation du site : Base Design
Identité visuelle : Base Design
Climat Entretien
Mégabassines, raffineries, chaîne logistique d’Amazon, autoroutes... Dans son nouvel ouvrage, le philosophe Alexandre Monnin rappelle comment le capitalisme nous lègue des héritages empoisonnés. Il appelle à la « désinnovation » et à une écologie de la fermeture pour ces infrastructures qui compromettent notre survie future.
...
Enseignant-chercheur et, entre autres, directeur du Master of Science « Strategy & Design for Anthropocene » à l’ESC Clermont, le philosophe Alexandre Monnin s’est penché, dans son dernier livre, Politiser le renoncement (éditions Divergences, avril 2023), sur la redirection écologique de ces infrastructures.
Comment démanteler collectivement des infrastructures vectrices d’inégalités et néfastes pour le climat ? Comment, loin des fantasmes d’une croissance verte ou d’une reconnexion à la Nature idéalisée, inventer une « écologie de la fermeture » ? Quelles modalités démocratiques pour lancer des politiques de renoncement ?
...
communs négatifs pour désigner des réalités qui, à l’instar des communs, ne sont pas caractérisées par une qualité intrinsèque, ontologique, mais qu’il faut reconnaître en tant que telles afin d’en infléchir la trajectoire. Les communs, comme définis par la politologue et économiste américaine Elinor Ostrom, renvoient à des ressources bénéfiques qu’il conviendrait de faire perdurer dans le temps en se donnant des règles de gouvernance démocratique à cette fin.
Les communs négatifs qualifient a contrario des réalités dont personne ne veut, et dont il faudra s’occuper pour s’en détacher. Et ce, d’autant plus à mesure qu’elles se multiplieront : sols pollués, rivières asséchées, infrastructures à l’abandon, etc.
...
dans le sillage de la crise de surproduction d’azote qui les touche et dont les effets écologiques sont désastreux, les Pays-Bas sont devenus au cours des dernières années un laboratoire du démantèlement en prenant des mesures drastiques d’ici à 2030 concernant notamment la diminution de leur cheptel – de 30 à 50 % – ou encore de leurs exploitations agricoles productivistes – 30 % seront expropriées et 30 % converties à une agriculture extensive.
Or on parle ici du deuxième exportateur agricole au monde après les États-Unis, qui est aujourd’hui plongé dans une grave crise politique pour avoir tardé à agir…
...
se réapproprier collectivement la capacité à déterminer ce qui est viable et ce qui ne l’est pas afin de ne pas l’abandonner à de grandes agences privées ou parapubliques qui agiraient au bénéfice d’un maintien du statu quo par le truchement de l’adaptation au changement climatique.
...
le renoncement à l’économie liée à la neige et enquêtent sur de nouvelles conditions de subsistance, on est tout à fait dans cette perspective.
...
Le numérique est l’exemple même de ce que le physicien José Halloy nomme une « technologie zombie »
...
L’essentiel de nos technologies sont aujourd’hui zombifiées, autrement dit s’appuient sur des stocks de ressources non renouvelables.
...
Le philosophe de la technologie Benjamin Bratton nous enjoint d’imaginer un autre numérique, loin des réseaux sociaux par exemple, qu’il faudrait à mon sens socialiser et démanteler
...
Le philosophe Langdon Winner parle à ce sujet de « luddisme épistémique ». À rebours du sabotage, il évoque à travers cette expression la nécessité d’expérimenter le fait de se passer de technologies, d’infrastructures, etc. Nous manquons de savoir-faire, de savoirs et de protocoles pour opérer ces nécessaires redirections.
...
Photo Pilotine Station de Pilotage Maritime de Sète - ©Ewan Lebourdais
H2YAM a développé un processus de conversion des moteurs qui est semblable en complexité à une intervention d'entretien classique grâce à un brevet français. Il suffit de modifier ou de remplacer un nombre limité de pièces pour le rendre compatible avec la combustion du gaz hydrogène.
Passer de combustibles fossiles à la combustion H2, le fondateur de la société H2YAM, Alexandre Marc, présente son procédé dans les Chroniques Littorales. Le moteur essence ou diesel brûle un combustible qui produit de l'énergie thermique, qui est transformée en énergie mécanique. H2 fait exactement la même chose avec le gaz hydrogène qui est aussi un combustible. H2YAM a développé un processus de conversion des moteurs qui est semblable en complexité à une intervention d'entretien classique grâce à un brevet français. Il suffit de modifier ou de remplacer un nombre limité de pièces pour le rendre compatible avec la combustion du gaz hydrogène.
Selon le mode de stockage, H2YAM s'attaque dans un premier temps aux moteurs
Mais aussi à des solutions de stockage de l’hydrogène plus facilement intégrées pour des navires. Si H2YAM a travaillé sur la conversion d’un moteur hors-bord en test, mais son premier démonstrateur est une barge conchylicole, parce que H2YAM cible les professionnels artisans en premier. Prochainement, H2YAM deviendra EcoNautik !...
Clés : Économie Entreprises – Marchés
L'équipe Jose Manuel Lamarque
Opti'soins, unité mobile qui apporte un suivi médial aux femmes enceintes isolées - @Opti'soins
Une Française sur trois vit en zone rurale. Depuis septembre 2022, des patientes des petits villages du Puy-de-Dôme, de la Haute-Loire, du Cantal et de l'Allier bénéficient des services d'un bus obstétrical. Un projet expérimental pour remédier aux déserts médicaux.
Entres les rendez-vous avec les professionnels de santé et les diverses analyses, une grossesse implique de nombreux déplacements. Un suivi médical qui devient un vrai parcours de la combattante quand on vit dans une zone rurale et isolée. Depuis septembre 2019, l'hôpital de Clermont-Ferrand a mis en place un camion de soin, une véritable salle d'examen avec échographe et monitoring, qui sillonne les communes. Il assure le suivi de grossesse de ces femmes qui se trouvent souvent à plus de 45 min d'une maternité. L'ambition : étoffer l'offre de soins et renforcer le lien avec les structures déjà existantes sur les territoires. Un programme d'expérimentation sur deux ans qui est une première en France.
Nathalie Dulong est sage-femme et cheffe de ce projet Opti'soins
Quand les enzymes digèrent le plastique
A Clermont Ferrand a été inventée une technologie unique au monde. Des enzymes qui mangent du plastique et permettent ainsi de le recycler de façon très peu gourmande en énergie.
C’est l’entreprise Carbios qui a mis au point cette technologie.
Elle récupère des déchets plastiques en PET (polyéthylène téréphtalate) et les fait « digérer » par des enzymes. A la fin du processus, le plastique obtenu est de très grande qualité, et peut lui-même être recyclé par le même procédé un très grand nombre de fois.
Carbios est installée à Clermont-Ferrand mais elle s’apprête à passer à une autre échelle. Elle vient d’annoncer l’ouverture d’une deuxième usine, véritable unité de production, qui pourra démarrer en 2025, à Longlaville en Meurthe et Moselle.
Une usine qui sera capable de traiter 50 000 tonnes de déchets par an, soit l’équivalent de 2 milliards de bouteilles.
Emmanuel Ladent est le directeur général de Carbios
l’INES a réalisé un panneau photovoltaïque démonstrateur qui présente un bilan carbone de 317 kgCO2éq/kWc. Cette réalisation embarque plusieurs innovations et place nos laboratoires parmi les leaders au niveau européen.
L’industrie photovoltaïque devient une des sources d’énergie majeures, la plus installée actuellement sur la planète. Diminuer encore son impact environnemental est désormais un levier de compétitivité pour l’industrie, ainsi qu’un axe d’innovation indispensable pour maintenir le rythme de croissance du secteur et répondre toujours mieux aux enjeux sociétaux.
Engagé dans cette démarche depuis plusieurs années, le CEA à l’INES s’est fixé le défi de développer un panneau photovoltaïque utilisant la technologie hétérojonction en cherchant à allier tout ce que l’on peut attendre d’un produit «premium» soit:
• des caractéristiques de puissance et fiabilité exemplaires,
• un impact environnemental réduit significativement,
• et des composants fabriqués en Europe.
... aspects les plus critiques pour le bilan carbone : les plaques de silicium, la face avant en verre et le cadre en aluminium.
...
rendement moyen de 22.9% Il atteint un très bas bilan carbone de 317 kgCO2éq/kWc comparé aux panneaux chinois standard (700 à 800 kgCO2éq/kWc), et place nos laboratoires parmi les leaders au niveau européen.
Ce résultat est atteint principalement grâce :
• Au mix électrique des lieux de fabrication des principaux éléments : l’Allemagne, la Norvège et la France. Ces pays bénéficient d’un mix à bas bilan carbone estimé respectivement à 650 gCO2éq/kWh, 29 gCO2éq/kWh et 52 gCO2éq/kWh à comparer au mix chinois au bilan carbone de 1023 gCO2éq/kWh.
• A l’épaisseur du verre et des plaquettes de silicium contribuent également à une réduction significative du bilan carbone.
• Au remplacement du cadre aluminium par un cadre en matière végétale (essence de bois) a permis de réduire le bilan carbone de plus de 50 kgCO2éq/kWc.
Pour garantir un rendement élevé qui est également un levier critique, l’interconnexion des cellules par procédé « paving » (ou gapless) a été privilégiée. Ce procédé supprime l’espace entre les cellules solaires, en créant un chevauchement de 1 mm entre cellules, tout en gardant les rubans d’interconnexion. Cela permet de densifier le panneau et d’augmenter sa puissance au m² (ou rendement de conversion).
Anthropologue, Philippe Descola, a consacré une partie de son travail à proposer de nouvelles façons d’habiter la Terre. En déconstruisant l’idée de « nature », il appelle à changer radicalement nos relations avec le monde vivant et les non-humains. Entretien.
Alternatives
Temps de lecture : 18 minutes #interviews #innovation politique #zad
basta! : Votre dernier livre, Ethnographies des mondes à venir, coécrit avec Alessandro Pignocchi, tout comme le documentaire dont vous êtes le sujet principal, Composer les mondes, d’Eliza Levy [1], tissent tous deux un parallèle entre ce que vous avez pu observer chez les Achuar en Amazonie, puis sur la ZAD de Notre-Dame-des-Landes.
Philippe Descola : Un même mouvement de refus de l’appropriation privative des communs, qui participe aussi d’une autre façon de s’attacher à son territoire. Dans leurs luttes contre la spoliation territoriale, les populations autochtones s’efforcent toujours de mettre en évidence que les territoires qu’elles habitent ne sont pas simplement des « gagne-pain »
...
Vous dites que les zadistes expérimentent une « cosmopolitique inédite »...
...
les non-humains font désormais partie du régime politique : ils ont un rôle à jouer dans la vie collective et dans les institutions, en tout cas il convient d’aménager celles-ci pour que les non-humains puissent y prendre toute leur part.
« Il convient d’aménager la vie collective et les institutions pour que les non-humains puissent y prendre toute leur part »
Et c’est inédit parce que ce registre d’attention là n’avait rien de spontané, au vu de l’origine urbaine de beaucoup d’occupants de la ZAD. D’ailleurs, au départ, le principe d’identification qui concourt à la défense du lieu résultait sans doute bien plus de l’opposition à un adversaire commun – un grand projet d’aéroport, inutile et coûteux. Mais cela ne suffit pas pour s’attacher à un lieu. Les zadistes ont appris à s’identifier progressivement à des plantes, à des animaux, au bocage et à tout un milieu de vie. Ils ont appris à reconnaître son caractère distinctif, à découvrir les singularités propres des plantes et des animaux qu’ils côtoient au quotidien. Et je trouve cet apprentissage particulièrement intéressant, car il signifie qu’il n’y a pas d’inéluctabilité à la séparation des humains avec le vivant dans ce que j’appelle le « naturalisme ».
... l’une des quatre « ontologies », c’est-à-dire l’une des quatre grandes façons d’être au monde, que vous identifiez dans votre ouvrage de référence, Par-delà nature et culture [2]. À la différence de l’animisme, du totémisme ou de l’analogisme, le naturalisme stipule une parfaite dichotomie entre nature et culture.
...
a rendu possible ce mouvement de privatisation des « communs » – c’est-à-dire tous ces éléments non humains partagés par des groupes d’humains : l’eau, les forêts, les pâtures, mais aussi le savoir, par exemple – en les transformant en « ressources ». Celles-là mêmes qui ont ensuite permis, d’abord par la politique d’exploitation du travail et des matières premières dans les colonies, puis par le développement de la révolution industrielle qui en a découlé, une accumulation sans précédent de capital, avec toutes les conséquences écologiques et sociales que l’on connaît aujourd’hui. Autrement dit, par la tournure de pensée qu’il a induite chez les Européens à partir du 17e siècle et qui s’est ensuite accéléré et répandu à travers le monde, le naturalisme a été la condition de possibilité du capitalisme, son soubassement.
...
l’État chinois participe complètement à la grande bataille productiviste, basée sur cette idée démiurgique de contrôle et de transformation des ressources…
...
le concept d’anthropocène me paraît mal nommé, et qu’un terme comme « capitalocène » serait bien plus juste : c’est bien une petite proportion de l’humanité qui, par sa gloutonnerie, a mis la totalité des humains dans une position terrible, en remettant en cause les possibilités de l’habitabilité sur Terre.
En quoi la relation des Achuar à leur environnement est-elle donc si différente ?
... une « continuité des intériorités » : les capacités morales et cognitives ne sont pas réservées aux groupes humains, les Achuar décèlent également une subjectivité, et des intentions, chez les non-humains ... n’ont pas de terme pour désigner la nature
...
L’anthropologie permet de « dés-eurocentrer » le regard, et en l’occurrence, cela m’a aussi appris à « dés-anthropocentrer » les concepts que j’utilisais.
Après tout, les sciences sociales sont des héritières directes de la philosophie des Lumières, et si tout le monde utilise à présent les concepts de « nature », de « culture », de « société », il ne faut jamais oublier qu’ils ont une histoire tout à fait singulière, qui nous est propre, en Europe. L’anthropologie invite à remettre en question toutes ces notions et à en proposer d’autres.
...
l’anthropologie donne à voir des peuples contemporains qui nous offrent d’autres choix collectifs. C’est un tremplin pour imaginer d’autres futurs possibles.
... déconstruction ?
... principale qualité de l’ethnographe, c’est l’humilité ... L’anthropologue est entre deux mondes, il doit abandonner en partie celui dont il vient, sans être jamais entièrement dans celui qui l’accueille. Et c’est parce qu’il a cette distance qu’il peut être efficace, en faisant ainsi varier les paramètres de son propre monde à partir des paramètres du monde où il a choisi d’élire domicile.
Est-ce cela qui vous a conduit à vous éloigner progressivement du marxisme, dont vous avez été un compagnon de route pendant longtemps ?
... double imposture qu’a bien mis en évidence Pierre Charbonnier dans son livre Abondance et liberté ... Marx l’avait vu également d’une certaine façon, à travers la théorie du *fétichisme de la marchandise
...
déconstruire le dualisme nature-culture n’offre pas beaucoup de prises concrètes, face à l’urgence de la crise écologique et l’ampleur des dégâts, voire que cela contribuerait à dépolitiser le sujet. Et que, si l’on considère le capitalisme comme le premier facteur responsable de la crise écologique, alors c’est à lui qu’il faut s’attaquer en priorité. C’est en substance ce que défend par exemple un penseur comme Frédéric Lordon [3]. Que répondez-vous à cela ?
Qu’il faut, bien évidemment, lutter contre les institutions qui propagent et rendent possibles l’accumulation capitaliste, ça va de soi. Je n’ai jamais caché mes opinions là-dessus. Mais qu’est-ce que ça veut dire, aujourd’hui, être anticapitaliste ? Quelle forme ça prend ? Est-ce que c’est le « Grand Soir », est-ce qu’on compte faire la Révolution et pendre tous les patrons au réverbère ? Il y a une erreur profonde sur l’état de la situation historique, qui ne s’y prête pas. C’était déjà le cas quand j’étais militant à la Ligue communiste révolutionnaire (ancêtre du NPA, ndlr) dans ma jeunesse, et c’est précisément la raison pour laquelle j’en suis parti. Notre espoir, complètement fou, c’était de devenir l’avant-garde du prolétariat, mais on ne s’était pas rendu compte que le prolétariat, tel qu’on le concevait, était en train de disparaître puisque la classe ouvrière elle-même était en train de disparaître…
...
tout faire en même temps, à la fois se battre contre les institutions du capitalisme, mais aussi produire des alternatives concrètes
...
La ZAD porte un projet de vie communal, dans lequel les terres, comme le travail, sont en commun ... forme d’entraide, de solidarité. Dans lequel les décisions politiques, c’est-à-dire celles qui concernent la vie collective, sont prises par discussion – c’est donc une démocratie participative plutôt que représentative. Ce qui est à la fois extraordinaire, avec un fort effet d’exemplarité, mais aussi très coûteux, puisque cela exige de rechercher et obtenir en permanence le consensus. Et de ce point de vue là aussi, on devine que cela peut être très inquiétant pour des politiciens qui considèrent qu’une fois que le citoyen a mis son bulletin de vote, il n’a plus le droit à la parole !
Au fond, la ZAD propose un récit alternatif qui est porteur d’enthousiasme. Ce n’est pas pour rien qu’il s’en crée un peu partout : contre les retenues d’eau pour la neige artificielle comme à La Clusaz, contre les mégabassines dans l’agriculture, contre des projets d’aménagement urbain, comme aux Lentillères à Dijon… C’est une forme d’occupation du territoire qui fait tache d’huile. Au début, c’est toujours une mobilisation contre un projet, et ensuite, cette mobilisation se stabilise en un mode de vie particulier. Cela m’a beaucoup frappé lorsque j’y étais, en juillet dernier, pour le festival « Zadenvies » : tous ces jeunes sont là en quête d’une altérité possible, d’une autre façon de voir et d’être ensemble. C’est ce qui est passionnant, ces modes d’action engendrent des modes de vie. Et de la joie, aussi, il faut voir l’enthousiasme à partager ces luttes. Tant mieux, car le militantisme ne doit pas être une martyrologie !
Ce 19 novembre, Barnabé Binctin anime une rencontre avec Philippe Descola lors du Festival du livre et de la presse d’écologie (Felipé), après la projection du documentaire Composer les mondes, d’Eliza Levy (horaires : 12h15 - 14h10).
[1] Pour la diffusion en salles et sur plateformes voir ici.
[2] Gallimard, 2005 ; réédition coll. « Folio essais », 2015.
[3] Dans un billet intitulé « Pleurnicher le vivant », qui s’en prend notamment à Bruno Latour (voir sa réponse dans nos colonnes) et à la nouvelle école de pensée qui lui est associée, Frédéric Lordon estimait par exemple que « se retrouver propulsé dans la position très politique de "la pensée-à-la-hauteur-du-péril" sans jamais prononcer la seule parole politique à la hauteur du péril, sans jamais dire que la Terre est détruite par les capitalistes, et que si nous voulons sauver les humains de l’inhabitabilité terrestre, il faut en finir avec le capitalisme, c’est un exploit ». Lire le texte complet sur Le Monde diplomatique.
Connu / https://mastodon.top/@bastamedia@mastodon.social/109358536430661883
"2 h bastamedia@mastodon.social Basta! @bastamedia@mastodon.social"
CITEO, c’est quoi ?
Née du rapprochement d’Eco-Emballages et d’Ecofolio, Citeo a été créée par les entreprises pour réduire l’impact environnemental des emballages et des papiers.
Nous voulons conjuguer performances économique et environnementale en imaginant des solutions qui font progresser le recyclage au meilleur coût, et en donnant à chacun et à tous, l’envie d’agir au quotidien.
...
Propriétaire : CITEO- SA au capital de 444 444,50 € - Siret n° : 388 380 073 0162, 50 Boulevard Haussmann, 75009 Paris.
Responsable publication : Jean Hornain – contact@circular-challenge-citeo.com Créateur du site : société SIDIESE[JR1]
Webmaster : SIDIESE
Hébergeur : GANDI SAS
Connu / https://tools.immae.eu/Shaarli/ind1ju?cEbVZA
L'édito « Nous inspirer du monde vivant pour identifier des stratégies de performance environnementale » #biomimétisme #édito L'édito de Baptiste Perrissin-Fabert, Directeur Général Délégué par intérim de l’ADEME
- Exposé Biomimétisme : innover en s’inspirant de la nature #biomimétisme #recherche Le biomimétisme peut constituer une source d’inspiration continue pour soutenir les actions de l’ADEME les plus efficaces en faveur de…
- Résultats significatifs Biomimétisme : un atout pour la transition écologique #biomimétisme#recherche Le biomimétisme est une source d’inspiration pour soutenir des recherches visant à faire évoluer les technologies, les organisations, l’économie et…
- Rencontre « La recherche en biomimétisme a besoin d’interdisciplinarité » #biomimétisme#recherche Fruit de près de 4 milliards d’années d’évolution, le vivant est une source d’inspiration à part entière. Les recherches menées…
- Thèses Une hydrolienne qui récupère l’énergie des courants marins #biomimétisme #énergie L’énergie des courants est prédictible, quantifiable, localisée et régulière, ce qui en fait une ressource importante. La société EEL ENERGY…
Le biomimétisme interroge en profondeur nos objectifs, nos pratiques et nos exigences qui font souvent l’impasse sur la nécessité d’intégrer nos activités au monde biologique et à ses grands cycles biogéochimiques.
Pour autant, la connaissance des modèles biologiques est encore loin d’être exhaustive et nécessite des travaux de recherche pour accroître cette connaissance du vivant, et aussi pour transférer les modèles biologiques au domaine technique. C’est pourquoi l’ADEME a commencé à intégrer les principes du biomimétisme dans ses appels à projets de recherche et développement, ainsi que d’innovation (Investissements d’avenir, appels à projets recherche (APR), programmation nationale des thèses…) pour inciter un grand nombre d’acteurs (économiques, académiques et territoriaux) à proposer des projets pluridisciplinaires pouvant répondre aux enjeux d’aujourd’hui et de demain.
Au sommaire de ce numéro :
- EXPOSÉ /Biomimétisme : innover en s’inspirant de la nature ;
- RÉSULTATS SIGNIFICATIFS/ Un atout pour la transition écologique ;
- RENCONTRE / Kalina Raskin Directrice générale de Ceebios (Centre d’études et d’expertises en biomimétisme) et Iman Bahmani-Piaseczny, Référente experte nationale sur le biomimétisme à l’ADEME.
Gauche(s) Analyse 109 commentaires
L’imaginaire du Front populaire a été convoqué par les protagonistes de l’union en train de se bâtir à gauche. L’analogie, qui n’est pas la seule possible, a cependant ses limites. Le rassemblement réalisé est surtout inédit.
Mardi 3 mai, jour anniversaire de la victoire du Front populaire aux élections législatives de 1936, le rassemblement de la gauche et des écologistes en vue du scrutin de 2022 a avancé de manière décisive. Après Génération·s puis Europe Écologie-Les Verts (EELV), le Parti communiste (PCF) a trouvé un accord avec les troupes de Jean-Luc Mélenchon, sous la bannière de la « Nouvelle Union populaire écologique et sociale » (NUPES).
Il aura fallu une nuit supplémentaire d’intenses négociations pour que, le 4 mai au matin, le Parti socialiste (PS) rejoigne lui aussi la coalition.
...
l’historienne Marion Fontaine, spécialiste des mouvements ouvriers à l’université d’Avignon ... « En 2011, Mélenchon avait fait une très longue conférence sur la façon dont le Programme commun avait préparé la victoire de Mitterrand, se souvient l’historien Jean-Numa Ducange, professeur à l’université de Rouen ... l’historienne Danielle Tartakowsky ... Front populaire ... Son origine antifasciste, ainsi que ses nombreuses conquêtes sociales, qui ont amélioré le sort matériel et conféré de la dignité et du pouvoir à tant de subalternes, en font « un moment de victoire rare dans notre histoire ». ... Roger Martelli, directeur de publication de Regards ... ajoute Marion Fontaine, « c’est la première fois qu’une alliance large est à ce point structurée par la force considérée comme la plus radicale. Il existe une vraie interrogation sur la dynamique que cela va enclencher ». En attendant, les modalités de négociation ressemblent davantage à la genèse oubliée de la gauche plurielle d’il y a un quart de siècle qu’au Front populaire des années 1930 ou au Programme commun des années 1970.
Autrice d’un ouvrage récent sur le sujet, l’historienne Élisa Steier repère un certain nombre de similitudes : « L’alliance se construit autour d’un parti pivot ... Florent Gougou, maître de conférences à Sciences Po Grenoble
...
« Des candidatures uniques ne changeraient pas grand-chose dans les endroits où la gauche était de toute façon assurée d’une présence au second tour, ni dans les fiefs du RN où la gauche n’a aucune chance car Marine Le Pen y a rassemblé 40 % des suffrages, assure Florent Gougou. En revanche, cela peut faire la différence dans toute une série de territoires intermédiaires, où le glissement de Macron vers la droite laisse un espace supplémentaire pour un duel La République en marche/ gauche, au lieu d’un duel La République en marche/extrême droite. »
Ce choix stratégique pourrait être facilité par la faiblesse du nombre de députés sortants à gauche. « Une cinquantaine de sièges seulement sont concernés, contre le triple quand le PS était dans l’opposition face à la droite », rappelle Rémi Lefebvre. Pour le professeur de science politique à l’université de Lille, un autre facteur résiderait dans une forme de « lucidité » des partis quant à leur délitement territorial. Celui-ci ne les inciterait pas forcément à des efforts d’investiture dans la totalité des 577 circonscriptions potentielles.
En somme, dans l’identité de la force structurant l’alliance à gauche, comme dans les modalités de celle-ci, la part de nouveauté est grande. Plutôt qu’à la reproduction de schémas déjà expérimentés, le rassemblement en cours renseigne sur les transformations considérables que traverse encore la vie politique française. « Des choses qui étaient impensables dans l’ordre électoral précédent sont devenues possibles », résume Florent Gougou.
...
D’un côté, l’accord législatif à gauche ne semble avoir été possible qu’après la grande explication de la présidentielle
...
D’un autre côté, remarque Nicolas Bué, « Jean-Luc Mélenchon est le premier, depuis 2002, à remettre en cause la logique prêtée au quinquennat ». Fût-ce en se mettant en avant comme potentiel premier ministre, ce qui témoigne d’une acceptation évidente de la personnalisation de la vie politique, « il affirme que les législatives sont l’élection la plus importante ». Plus l’accord noué sera large, plus les scrutins des 12 et 19 juin prochains seront en tout cas cruciaux pour déterminer les rapports de force qui structureront le second quinquennat d’Emmanuel Macron.
... CDD 100 % du 15/02/2022 au 31/12/2024
Ndlr : téléchargé. Dans le cadre d'un projet : lequel ? ACT
Dans le profil, pas un mot à l'éthique, approche essentiellement communicationnelle avec un début de prise en compte des publics (pas définis précisément). Conclusion : peu d'amélioration par rapport aux pratiques actuelles :-( Dénoncer ACT
La Filière Béton @filierebeton · 29 nov.
[#Innovation] Chab crée une gaine à #béton permettant ainsi à la filière de continuer à réduire son #impact environnemental afin d'atteindre -35% d'empreinte #carbone d'ici 2030 Symbole universel de recyclage. Plus d'infos ici :
constructioncayola.com
Les Chaussettes à Béton CHAB - présentées par Olivier Balas, président de Balas Textile basé à Saint Romain de Popey (69) et lauréat dans l’univers Green Technologies - remportent l’InnovDay TP, le...
0 - 2 - 3
Des aéronefs qui imitent les albatros
...
un Boeing 737 consomme environ 750 gallons (2840 litres) de carburant par heure. Ce besoin d'énergie a aussi un effet environnemental. Nous savons que l'industrie du transport laisse une importante empreinte écologique, d'ailleurs, le secteur en est conscient et essaie de plus en plus d'adopter un "pilotage écoresponsable". Ainsi, certains rêvent à des aéronefs moins énergivores, Un étudiant allemand a réfléchi à un appareil, le Flying V, consommant 20% de moins d'essence qui a enthousiasmé certaines compagnies aériennes.
...
serait-il possible un jour de voler sans aucun moteur?
...
ils utilisent une technique appelée "vol de gradient" ou "dynamic soaring"
...
Références :
Barate, Renaud, Stéphane Doncieux, and Jean-Arcady Meyer. "Design of a bio-inspired controller for dynamic soaring in a simulated uav." Archive Ouverte HAL. Dernière mise à jour en 2006. https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02986348/document.
Bonnin, Vincent. "From Albatross to Long Range UAV Flight by Dynamic Soaring." UWE Bristol Research Repository Home. Consulté le 9 juillet 2021. https://uwe-repository.worktribe.com/output/909425/from-albatross-to-long-range-uav-flight-by-dynamic-soaring.
Hanitrarivo, Micka. "Un étudiant a Imaginé Un Avion Qui Consomme 20 % De Carburant En Moins." Fredzone. Dernière mise à jour: 7 juin 2019. https://www.fredzone.org/un-etudiant-a-imagine-un-avion-qui-consomme-20-de-carburant-en-moins-878.
Hewitt, John. "The Future of Airplanes: Perpetual Flight." ExtremeTech. Dernière mise à jour : 10 juillet 2013. https://www.extremetech.com/extreme/160413-the-future-of-perpetual-flight.
Landell-Mills, Nicholas. "(PDF) The Physics of Gliding and How Dynamic Soaring Could Enable Perpetual Flight." ResearchGate. Dernière mise à jour en avril 2020. https://www.researchgate.net/publication/341089205_The_physics_of_gliding_and_how_dynamic_soaring_could_enable_perpetual_flight.
Neveu, Louis. "Sans Moteur, Cet Avion Radiocommandé Frôle Les 900 Km/h !" Futura. Dernière mise à jour : 23 janvier 2021. https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/avion-moteur-cet-avion-radiocommande-frole-900-km-h-85314/.
Paula Rubiano, María. "These Masters of the Sky Can Fly for Hours (or Days) While Barely Flapping." Audubon. Dernière mise à jour : 4 septembre 2020. https://www.audubon.org/news/these-masters-sky-can-fly-hours-or-days-while-barely-flapping.
Schmitz, Laurent. "Dynamic Soaring." Jivaro-models.org - Toutes Les Facettes De L'aéromodélisme. Dernière mise à jour : 20 janvier 2021. https://jivaro-models.org/dynamic_soaring/page_dynamic_soaring.html.
Segond, Alexandra. "Comment Les Compagnies Aériennes Réduisent Leur Consommation De Kérosène Et Leurs émissions De CO2." LE FIGARO. Dernière mise à jour : 23 octobre 2019. https://www.lefigaro.fr/societes/comment-les-compagnies-aeriennes-reduisent-leur-consommation-de-kerosene-et-leurs-emissions-de-co2-20191023.
Strycker, Noah. "Flying with the Albatross." Oceanographic. Dernière mise à jour : 19 janvier 2021. https://www.oceanographicmagazine.com/features/albatross-south-georgia/.
Wang, Wei, Weigang An, and Bifeng Song. "The Mechanisms of Albatrosses’ Energy-Extraction During the Dynamic Soaring." SpringerLink. Dernière mise à jour : 2 juin 2021. https://link.springer.com/chapter/10.1007%2F978-981-33-6060-0_37.
Université de Poitiers a retweeté
EMF Charentes
@EMFCharentes
·
21 mai
#Cafe #sciences et techno à la cité entrepreneuriale de #Saintes, c’est parti! Sil-Lab et @ReSante_Vous
nous présentent leurs innovations. A suivre l’institut P’Prime de @UnivPoitiers
avec Laëtitia Fradet… en partenariat avec @poleinnovation1
de la #CDAsaintes.
Image
Image
Afficher cette discussion
1 - 2 - 3
La startup Mecaware, incubée par PULSALYS et portée par Arnaud Villers d’Arbouet, recycle les produits technologiques en fin de vie, notamment les batteries, pour récupérer de manière écologique les métaux stratégiques et les terres rares. Ce procédé vert, unique au monde, se base sur le captage du CO2 et répond à deux problématiques environnementales : la réduction du CO2 et le recyclage des matériaux stratégiques non accessibles mais indispensables à l’industrie des nouveaux outils technologiques. Après avoir déjà séduit Lyon Vallée de la Chimie en 2021 lors de l’AMI « les Ateliers Cleantech », Mecaware effectuera sa première levée de fonds dans les prochains mois afin de poursuivre son développement.
Une innovation de rupture unique au monde issue de la recherche publique française
Le procédé chimique mis au point par le Professeur Julien Leclaire du Laboratoire Chimie Supramoléculaire Appliquée de Lyon (ICBMS : Université Claude Bernard Lyon 1, INSA Lyon, CPE Lyon et CNRS) fait intervenir des amines et du CO2 présent dans les fumées industrielles pour générer un ensemble d’extractants qui vont s’associer de manière distincte à chaque molécule métallique. Les caractéristiques physiques et chimiques différenciées de chaque métal permettent leur sélectivité et leur extraction.
...
ne rejette pas d’effluent et est peu énergivore, donc économiquement performante, mais également évolutive en s’adaptant au gisement. Simple à mettre en œuvre, elle permet de produire un métal compatible avec les filières industrielles.
...
A l’heure des nouvelles technologies, le recyclage de tous ces produits est déterminant pour assurer un cycle vertueux contribuant au développement durable. » souligne Sophie Jullian, Présidente de PULSALYS.
Le soutien décisif de 2 SATT pour aboutir à la création de la startup
... 3 brevets ... mise en relation entre le chercheur et l’entrepreneur ...
l’inventeur Julien Leclaire
...
Une levée de fonds pour industrialiser le processus dans une future usine
... la startup Mecaware, acronyme de MEtal CApture for WAste REcycling, apporte sa contribution à l’émergence de filières de production de produits technologiques et spécifiquement à la mise en place de la filière européenne de batteries de nouvelle génération dans une logique d'économie circulaire et de souveraineté industrielle.
... Son procédé ayant fait l’objet de plusieurs PoC (preuve de concept) ... les premiers partenariats industriels et commerciaux (2021-2022) ... la future usine (2022-2023) ...
Connu / https://twitter.com/Pulsalys/status/1390247468407873537
"
PULSALYS @Pulsalys
Ce matin, nous présentions à la presse la startup #Mecaware, boostée par @Pulsalys & @SATTse_, qui recycle les batteries pour récupérer écologiquement les métaux stratégiques et les terres rares. Elle s'appuie sur une innovation issue de @ICBMSLyon
Sophie Jullian et 9 autres personnes
12:10 PM · 6 mai 2021·- 12 Retweets 14 J'aime
"
Ndlr :
- "la startup MeCaWaRe créée en décembre 2020" selon https://www.pulsalys.fr/article/mecaware-le-recyclage-des-metaux-precieux-et-des-terres-rares
- est-ce l'heure des nouvelles technologiques comme le pense Sophie Jullian, ou plutôt celle de l'anthropocène ? En d'autres termes, la tech, centrale ou secondaire ? ACT
- usine en 2023 ? c'est donc du moyen-long terme. À suivre ACT
Connu / https://twitter.com/michelbriand/status/1391079901659283456
"
Michel Briand @michelbriand
Le site de la chaire Unesco REL - IA
81éme site de l'enseignement supérieur francophone à élargir les droits d'usages de ses publications la coopération ouverte avance !
Chaire Unesco IA-REL
Chaire Unesco Technologies pour la formation des enseignants par les ressources éducatives libres
chaireunescorel.ls2n.fr
7:17 PM · 8 mai 2021·- 4 retwitts 3 J'aime
"
développe un composant pour pile à combustible ... plaques bipolaires plus légères, plus résistantes et moins sensibles aux impuretés élargir la durée de vie et les plages d’usage ... adaptée aux piles à combustible PEM basse température et haute température, pourrait également s’étendre aux électrolyseurs, aux batteries à oxydo-réduction ou aux piles à combustible au méthanol. Les structures à base de plaques bipolaires supportent une dose massive d’impuretés (un millier de fois plus que les technologies actuelles) et peuvent donc fonctionner au biogaz, gaz naturel ou méthanol. ... production d’hydrogène vert ... alternative énergétique compétitive dans le secteur des transports (aviation, trains, bus, camions…) et des applications maritimes fortement émettrices de CO2 ... utilisées jusqu’à 180°C sans subir de dégradation ...
Clôture des candidatures : mardi 16 février 2021 à midi (heure de Paris)
Le CNRS, à travers la Mission pour les initiatives transverses et interdisciplinaires, lance un appel à projets dans le cadre de l’Action conjointe CNRS-IRD
...
Notre société moderne consomme les ressources de la terre sans limite posant à court terme le problème de la durabilité de cette approche ... inclure des aspects socio-économiques et politiques ... L’interdisciplinarité, la prise de risque, la rupture et le caractère exploratoire sont les critères clefs pris en compte dans la sélection des projets.
Pour le dépôt de candidature à l’AAP : https://survey.cnrs.fr/index.php/592843?lang=fr
informations : Jean-Christophe AVARRE (IRD) et Martina KNOOP (CNRS) responsables scientifiques
... possibilité d’échanges sur une plateforme pour permettre la constitution de nouveaux consortia ... https://survey.cnrs.fr/index.php/563385?lang=fr
Ndlr : le porteur de projet doit être impérativement un chercheur d'un laboratoire CNRS ou IRD.
Explorer les possibilités de coopération ACT
À‑propos
L’Actualité Nouvelle-Aquitaine, la revue de la recherche, de l’innovation, du patrimoine et de la création en région Nouvelle-Aquitaine est éditée par l’Espace Mendès France, centre de culture scientifique, technique et industrielle à vocation régionale, situé à Poitiers (France).
Cette plate-forme bénéficie d’un FEDER : Création d’une plateforme numérique d’information, de communication et de partage de contenus autour de la revue scientifique intitulée « Plateforme numérique autour de la revue L’Actualité Nouvelle Aquitaine » https://actualite.nouvelle-aquitaine.science/feder/.
Son édition papier, chaque trimestre avec un numéro spécial été et parfois des hors séries, ses archives sur Internet et la plate-forme de collecte, de sélection et de diffusion associée constituent un ensemble unique sur la région, pluridisciplinaire et accessible à tous.
Mentions légales
... est éditée par l’Espace Mendès France avec le soutien du Conseil Régional Nouvelle-Aquitaine et avec le concours du CNRS, de l’ENSMA, de l’Université de Poitiers, de la Ville de Poitiers, du CHU de Poitiers.
Rédaction Adresse Espace Mendes France 1 place de la cathédrale CS 80964 86000 Poitiers Téléphone 05 49 50 33 00 E‑mail jl.terradillos@emf.fr Responsables Directeur de la publication : Mario Cottron Directeur délégué : Didier Moreau Rédacteur en chef : Jean-Luc Terradillos Fondateurs : Christian Brochet, Claude Fouchier, Jean-Pierre Michel
Hébergement OVH
Editeur Espace Mendès France, représenté par son président, Mario Cottron, et son directeur, Didier Moreau.
Directeur de la publication Thierry Pasquier thierry.pasquier@emf.ccsti.eu 0549503300
Etats-Unis , Nucléaire , Climat , Framatome , Technos et Innovations
Framatome a annoncé le 13 octobre un partenariat avec l’américain General Atomics Electromagnetic Systems pour développer un concept de petit réacteur nucléaire modulaire de 50 MWe. Commercialisation possible vers 2035.
...
En septembre 2019, on apprenait que le consortium français Nuward, constitué en 2017 par le CEA, EDF, Naval Group et TechnicAtome, allait collaborer avec l'américain Westinghouse pour développer un SMR de 170 MW tout intégré afin d’être prêt à le produire en série en 2030. Si TechnicAtome maîtrise bien la conception de réacteur nucléaire de puissance embarqué dans les sous-marins, le CEA et EDF disposent de la technologie et de l’ingénierie et Naval Group d’un outil industriel ad hoc, il leur manquait une brique, celle de de sûreté passive, pour faire fonctionner les mini-réacteurs avec un minimum de maintenance. Cette brique, l’américain Westinghouse en dispose. L’accord avec lui devrait aussi permettre d’accélérer les procédures auprès des autorités de sûreté américaine et canadienne.
Un projet américain
Cette fois, c’est Framatome, filiale à 75 % d’EDF, qui vient d’annoncer un partenariat avec un américain, General Atomics Electromagnetic Systems (GA-EMS), pour développer son SMR. Ce sont ses équipes aux États-Unis qui travailleront à la conception de plusieurs structures, systèmes et composants critiques de ce SMR, dont les options technologiques sont très différentes de celles de Nuward.
Le duo franco-américain veut construire un réacteur modulaire rapide (FMR) de 50 mégawatts électriques (MWe) à sûreté passive et refroidi à l'hélium, un gaz chimiquement inerte qui n'est ni explosif, ni corrosif, et qui ne s'active pas. Il pourra être fabriqué en usine, puis monté sur site, pour réduire les coûts financiers et augmenter sa capacité. Le combustible fonctionnera pendant environ 9 ans avant d'être remplacé. L'équipe, dirigée par GA-EMS, voudrait finaliser la conception du FMR dès 2030 pour une utilisation commerciale au milieu des années 2030, précise General Atomics dans son communiqué.
Framatome déjà partenaire d'Holtec
Ce n’est pas la première incursion de Framatome dans les SMR. À l’origine, avec Siemens, de la conception du réacteur nucléaire de troisième génération français EPR, le français a aussi une activité dans les phases aval de la production de combustibles. En mai 2020, il a annoncé avoir été retenu par l’équipementier nucléaire américain Holtec International a pour fournir du combustible nucléaire à son petit réacteur modulaire SMR-160. "L’inclusion de Framatome dans notre programme SMR-160 garantit qu’un futur propriétaire de centrale utilisant un SMR-160 aura facilement accès à une solide chaîne d’approvisionnement internationale en combustible", expliquait alors l’entreprise américaine dans un communiqué. Holtec aurait déjà des prospects sérieux pour ses SMR, notamment Energoatom en Ukraine.
...
Ndlr :
- délai compatible avec le réchauffement climatique ? NON ! Cela ne risque-t-il pas de bloquer encore le déploiement massif des ENR ? ACT
- quelle différence entre sûreté passive et sécurité intrinsèque ? Des éléments à https://fr.qaz.wiki/wiki/Passive_nuclear_safety Continuer ACT
837 vues - 22 - 0 - 228 abonnés
" Face à la raréfaction des ressources, quelle innovation pour demain ? "
Intervention, à l'Ecole des Ingénieurs de la Ville de Paris, de Philippe Bihouix, auteur de l'essai, "L'Âge des low tech", et Directeur général adjoint du groupe AREP, dans le cadre de la Semaine du Développement Durable 2020 et des conférences de rentrée de l'EIVP avec l'Université Gustave Eiffel et l’appui d’ALTO STEP. #LowTech #Rentrée2020 #SEDD2020
Pour en savoir plus : https://www.eivp-paris.fr
Vidéo réalisée et montée par le CIPEN (Centre d'Innovation Pédagogique et Numérique) de l'Université Gustave Eiffel : https://www.univ-gustave-eiffel.fr
3 commentaires
Transcription : ... tension ressources - énergie ... économie circulaire mais recyclage pas de 100% par perte au feu, usure, entropie ... métaux mélangés difficiles à recycler ... 2€ de mat prem dans un smartphone ... les promesses technol nous éloignent de l'écon circul ... l'usure des pnematiques et du bitume représente 30% de la pollution ... /voiture autonome covoiturage, 4000 Go de données produites / j double le traffic internet mondial actuel. Vous comprenez pourquoi il faut la 5G ! /smartcity optimiser par la donnée, émettre 200 Go de données par jour ; effet systémique ; effet rebond ; comment on oriente l'innovation ? /découplage pib/énergie-co2 ; la post-croissance est notre destin ; /lowtech techno-discernement, démarche avec 3 q pourquoi, quoi, comment ? faire d'abord de la sobriété/frugalité ; faire des voiture de 500/600 kg, c'est EFFICACE. objets réparables, durables, modulaires, sans électronique, dépouiller nos objets, /COMMENT les bonnes échelles d'usines, la concurrence bien ? place de l'humain /machine ; désurbaniser sans étaler, démétropoliser, taille idéale des villes, arrêt clims des voitures, construire moins et mieux, intensifier les usages des lieux, partage, mutualisation, évolution en fonctionnalité, modularité, optimisation sous contraintes, injonctions contradictoires, /puissance pubique pouvoir normatif puissant, pouvoir fiscal, ouvrir l'économie de la réparation ; pouvoir prescriptif (achats) ; soutien à l'innovation repair café dans chaque commune de france ; ya pas de sortie par le haut technologique ; travailler du côté de la demande, pas de l'offre ; innovation sociale, sociétale, organisationnelle, ex la consigne ; libérer la parole, innover POUR DE VRAI cesser d'imiter ! il faut du VRAI COURAGE.
Questions : /5G va s'empiler, effets rebond, l'état va toucher le prix des licences, les frabricants ne sont pas fr (nokia-érikson, samsong, wewe) ya un pari, /usages voiture autonome pas avant 10-15 ans, smartcity, internet des objets, industrie du futur, téléchirurgie contestable car fibre ok, avantages environnementaux ???
/enr : mini-hydraulique, houlomotricité, se mobiliser à des échelles différentes,
/éolien - solaire renouvelable? est contre le fait de s'aveugler (maintenir la gabegie actuelle) utiliser quand il y a de l'énergie (du vent /ex) le panneau solaire nécessite du charbon et des choses pas recyclables,
/lowtech cf la babrique écologique, ex détecter cancer du sein avec des chiens détecte l'odeur à 100%,
/fairphone a fait flop, mais intéressante démarche éviter tunxtaine, or, où c'est fabriqué, logiciels libres, belle écoconception
/voiture +légère économie poussée par les industriels /comportements obliger d'intégrer prod issus du recyclage ;
Marie Babel @BabelMarie · 23 sept.
Très heureuse d'annoncer la création de la chaire Innovations, Handicap, Autonomie et Accessibilité (IH2A), projet phare de la nouvelle #FondationINSA @INSA_Rennes
! Recherche d'envergure et inclusivité, validation clinique et formation. @irisa_lab @HelierPole @IETR_Lab @m2slab - 0 - 7 - 24
Avec les témoignages de :
- Marion GUST CONSEIL REGIONAL NOUVELLE AQUITAINE
- Pierre HOUSSAIS GRAND LYON
- Benoît LE RETIF REGION NORMANDIE
- Maud LELIEVRE LES ECO MAIRES
- Céline LOURADOUR REGION AUVERGNE RHONE ALPES
- Sébastien MAIRE FRANCE VILLE DURABLE
- Carlos MORENO Université Panthéon-Sorbonne Paris 1
- Christèle MORIN-DEFORCEVILLE METROPOLE ROUEN NORMANDIE
- Bruno PAULMIER VILLE DE NIORT, ADT-INET
- Antoine RAYNAUD VILLE DE LOOS-EN-GOHELLE
- Pascale AVARGUES BORDEAUX METROPOLE
- Stéphane BEAUVAIS UGAP
- Célia BLAUEL VILLE DE PARIS
- Julien BOSCHER CCAS VILLE D'EVREUX
...
3 PARCOURS AU CHOIX !
Parcours 1 - Des innovations pour construire un territoire intelligent
Parcours 2 - Management et marque employeur : quelles dernières innovations ?
Parcours 3 - Des innovations pour réussir la transition climatique
Pitchs des startups et live voting 12h20 - 12h45
Cocktail déjeunatoire et networking 12h45 - 14h15
...
29 sept 20 - 4ème UX-FORUM Innovations Exosquelettes - VisioConférence - Cercle Entreprises et Santé
29 septembre 2020 : en remplacement de l’atelier prévu sur le salon Préventica (désormais reporté) le Cercle Entreprises et Santé organise son 4e UX-Forum Exosquelettes à / avec Préventica, en distanciel, dans le cadre de ses UX-Forums Innovations, pour aider à la diffusion et à l’intégration des Innovations technologiques à impact positif pour la santé, la prévention et la protection de l’humain, du point de vue des utilisateurs.
Les exosquelettes, ces ‘cobots’ – dispositifs d’assistance physique à la personne au travail dont le métier requiert aussi la mobilité, sont en évolution accélérée de performance, de précision, de praticité, d’allègement de confort. Les dispositifs motorisés viennent compléter les gammes bio-mécaniques, et ces ‘cobots allégés et pratiques’ deviennent aussi plus accessibles, plus polyvalents,.
L’expérience-utilisateur est particulièrement cruciale pour bien guider la décision d’appel à ces équipements, puis le choix, l’implantation et l’intégration des exosquelettes dans les situations de travail variées qui peuvent être les leurs :
postes ‘fins’ d’opérateurs industriels, requérant mobilité et agilité des opérateurs, dans des contexte où l’autonomie et la finesse des gestes est indispensable, et où il faut prévenir fatigue et pénibilité,
fonctions et situations de travail spécifiques des métiers de maintenance et d’intervention technique, particulièrement en interventions sur site – interventions et sites souvent très différents
métiers logistiques de la distribution .. .. dans la configuration des « derniers (ou premiers) mètres
Dans tous les UX Forum Innovations du Cercle, la lumière est mise d’abord sur les entreprises utilisatrices, à la fois sur les opérateurs, qui concrètement testent, utilisent, ressentent les atouts et les éventuelles contraintes des nouveaux équipements, et les responsables qui les pilotent et
et les suivent, ergonomes, RH et managers opérationnels / managers innovations dans ces entreprises qui suivent de près les tests et implantations.
Parmi ces entreprises, qui viennent/ sont venues témoigner de leur expérience dans les UX- Forum Exosquelettes du Cercle : SNCF, AIRBUS, ALSTOM, NAVALGROUP, ENGIE, BRIDOR / Groupe LEDUFF, COLAS, …
Le tout en dialogue opérationnel avec des concepteurs et développeurs ou intégrateurs d’équipements et de solutions exosquelettes : GOBIO, JAPET, RB3D, OTTOBOCK, … et d’autres, sans visée commerciale : la règle du jeu
Les UX Forum, centrés sur des expériences concrètes et analysées d’utilisateurs, sont l’occasion de toucher du doigt ce que sont les ‘cas d’usage’ des exosquelettes, à quels besoins, et à quelles situations de travail ils répondent, et ce qu’ils apportent aux utilisateurs, avec aussi une mise en lumière des vigilances nécessaires.
Préventica VisioConférences, 29 septembre 2020 – 11h00 12h30 (Covid-19 report Préventica Lyon)
Avec :
Yonnel Giovanelli, Expert Innovation Opérationnelle et Nouvelles Technologies d’Assistance Physique – SNCF Direction Sécurité Voyageurs (DSV),
et des Responsables ergonomie d’ENGIE, NAVAL Group, entreprises du bâtiment …
et avec : Benoit Sagot-Duvauroux, Gobio ; Anaïs Schoreel, Japet ; Marie-Anne Grangeret, Moten, …
et avec, en « grands témoins » pour interviewer les intervenants et leur expérience :
Philippe Garabiol, Secrétaire Général du COCT (Conseil d’orientation sur les Conditions de travail / Ministère du travail )
Jacques Bouvet, Président du Cercle Entreprises et Santé,
Anne-Marie de Vaivre, fondatrice du Cercle Entreprises et Santé, Vice-Présidente de l’IAS
=> Information : ces@cercle-entreprisesetsante.com
Connu / https://twitter.com/Silvae/status/1300672103105036293
"
Benoit Vallauri a aimé
Siℓvè𝐫ε ᵐ𝑒ʳ𝐂i𝒆r @Silvae Merci @BVallauri
pour cet entretien inspirant, c'est assez rare de parler de communs et d'innovation publique comme ça ! (parfaitement en phase avec ce que tu dis, surement notre passé de bibliothécaire qui s'exprime!) @HorizonsPublics
7:49 AM · 1 sept. 2020·Buffer - 10 Retweets 1 Tweet cité 24 J'aime
"
*Transcription de l'image :
"
L'innovation publique est aujourd'hui très utilitaire (un problème, une solution), elle "transforme" l'administration, mais sans remettre en cause les problématiques de fond, ni le rapport réel entre service public et citoyen, exacerbé pendant la crise. Comment passer d'un mode d'innovation "services publics - usagers" à un mode "politiques publiques - citoyens" ?
Comment y ijntégrer la participation, les communs ?
"
Les piles à combustible pour la production d’hydrogène ne cessent de s’améliorer. Une équipe internationale de chercheurs a développé un nouveau catalyseur à base de graphène et de nanotubes de carbone, beaucoup plus économique que les catalyseurs traditionnels.
...
Une méthode de production innovante
... le substrat joue un rôle important dans son efficacité. En effet, la structure poreuse du catalyseur donne désormais accès à l’interface catalyseur/substrat, ce qui veut dire qu’en optimisant le substrat, les performances pourraient encore être améliorées.
...
Pour en savoir plus :
https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acscatal.0c00352
https://www.aalto.fi/en/news/new-material-developed-could-help-clean-energy-revolution
Ndlr : le titre induit en erreur car il est question de la production du catalyseur et non pas de l'hydrogène !
06h17 - Idées mer écologie biodiversité
Eric de Laurens et son associé, installés à Anglet à coté de Biarritz , très attachés à défendre le monde marin, ont décidé de trouver une alternative au tout plastique qui envahit la planète. En France, 78% des plastiques sont soit brûlés , soit enfouis , polluant l’air dans un cas, les sols dans l’autre. Les océans reçoivent le reste.
Une nouveau matériau en écaille de poisson
...
Les écailles, une fois nettoyées, sont broyées et transformées en poudre sans aucun ajout de produit chimique . Cette poussière qui ressemble à de la farine va permettre de fabriquer toutes sortes d'objets comme des plaques décoratives à mettre au mur, des tommettes pour le sol...Ce nouveau matériau d'aspect marbré ou plus homogène résistant aux rayures, au feu, se travaillant comme du bois intéresse vivement les architectes, les décorateurs...
L'activité est soutenue par la filière pêche.
Transcription : : ... sardines, saumons, scalite ...
Idées Sports transports cyclisme innovation
MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE ET DE LA JEUNESSE
MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR, DE LA RECHERCHE ET DE L’INNOVATION
(Administration handi-accueillante et attachée à la mixité et à la diversité)
INTITULE DU POSTE : Office manager / Médiateur du lab 110 bis
Offre à télécharger à https://place-ep-recrute.talent-soft.com/Handlers/download.ashx?filetype=1032&fileguid=25418b50-afb7-4f4d-b8d3-1182bc739a62&offerid=158093
CONTACTS RH
- Véronique GRONNER, cheffe de service, adjointe à la Secrétaire générale du ministère de l’éducation nationale et de la jeunesse et du ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation veronique.gronner@education.gouv.fr - 01 55 55 82 89
- Somalina PA, responsable du Lab 110 bis et du pôle de développement des financements alternatifs et d’accompagnement des porteurs de projets innovants
somalina.pa@education.gouv.fr - 01 55 55 10 85
Connu / https://twitter.com/LeaDouhard/status/1194991625900085260
"
François BOCQUET a retweeté
Léa Douhard @LeaDouhard · 7h📣
.#jobalert Envie de participer à la transformation de l'#education nationale de l'intérieur ?
Le @lab110bis recrute 2 profils ASAP :
✅ 1 stagiaire chargé(e) de projet #evenementiel http://bit.ly/stage110bis #stage
✅ 1 office manager / médiateur
Portail de la Fonction Publique | Page offre - Sg lab 110 bis office manager-médiateur h-f,...
Ce site propose des offres d'emplois publiées par les employeurs des Fonctions Publiques d'Etat, Territoriale et Hospitalière.
"
166 vues - 1 - 0 - 1 abonné
Un des premiers prototypes inscrit au Labfab de l’Université Rennes 1 est l'Open Source Vehicle de Rennes (OSV Rennes). C’est un projet d’innovation collaborative qui a pour but de concevoir des prototypes de véhicules et ses services associés, comme solutions à certaines problématiques de mobilité au sein du territoire rennais.
Le CampOSV 2016 a été boot de camp a été réalisé les jours 27, 28 et 29 Avril 2016 comme un événement de structuration du projet.
Catégorie People et blogs 0 commentaire
Yoann Duriaux a lancé cette pétition il y a 6 ans - Fermée, avait 337 signataires
le Tiers-Lieu est avant tout un projet politique.
Il est ici question de conscience stratégique. L’amélioration des conditions de vie des citoyens et le dépassement de crises économiques et écologiques majeures ne procède pas uniquement par la mise en place d’un artefact de plus dans la course à l’innovation. Au-delà des modes, des actions dispersés et des controverses techniques et terminologiques, l’enjeu du Tiers-Lieu est de reconsidérer la manière dont se pense la création de valeurs. Comment ces valeurs se créent et ce qu’elles apportent en terme d'intérêt général.
L’important n’est pas uniquement de savoir s’il y a émergence mais si ce qui émerge est bon pour nous.
lire le manifeste en ligne http://movilab.org/index.php?title=Le_manifeste_des_Tiers_Lieux
Commentaires
Nadine Bahajjaj·il y a 6 ans
ça porte beaucoup du valeur
Marie-Laure Cuvelier·il y a 6 ans
Recréer, en mieux, les 200 000 cafés, lieux de lien social, qui ont fermé ces 20 dernières années...
La consommation de films pornographiques n’a jamais été aussi importante qu’à l’heure d’Internet. L’industrie du X a su exploiter au tournant des années 2000 les opportunités offertes par le web pour diffuser ses produits auprès d’un public toujours plus large. Cette intégration des outils numériques n’est pas anodine, elle dévoile une faculté d’adaptation propre à cette sulfureuse industrie. Depuis sa naissance, cette dernière fait preuve d’avant-gardisme en matière de renouvellement des procédés techniques. Elle fut régulièrement à l’origine de grappes d’innovation qui orientèrent des pans entiers de l’économie. Professeurs de management spécialisés sur les questions d’innovations, Sébastien Liarte et Hélène Delacour nous dévoilent ici la face cachée d’une industrie taboue.
Publié dans la revue des affaires n°6 https://www.vapress.fr/shop/La-Revue-des-Affaires-N-6_p15.html
...
Cette technologie de rupture est à trouver dans la « fertilité des convergences » dixit Daniel Lincot. L’Hétérojonction, car c’est d’elle qu’il s’agit, est née de l’association du silicium amorphe des couches minces utilisé pour passiver les défauts de surface du cristallin. Ces cellules tandem pourraient atteindre des rendements de 30% d’ici à quelques années. « Aujourd’hui, de nombreuses solutions émergentes naissent d’association et de rapprochement de technologies éclectiques. Des mondes, des communautés qui s’ignoraient se parlent et font fructifier ensemble leur savoir faire. Les cellules PV à pérovskites sont par exemple nées de la rencontre entre l’imprimerie et la chimie. Il existe 23 catégories différentes de techno et donc un large foisonnement possible. Là où le rendement théorique du silicium seul plafonne à 29%, ces nouvelles combinaisons ouvrent les champs des possibles de rendement à 40 ou même plus de 50% » poursuit Daniel Lincot.
« Une gigafactory à technologie hétérojonction dans deux ans en France »
... la France est plutôt bien positionnée avec l’INES et son allié industriel Photowatt qui porte ses efforts spécifiquement sur sa technologie d’hétérojonction Monolike assisté par l’équipementier grenoblois ECM Greentech.
... La première ligne de 200 MW de capacité en hétérojonction a été installée par la société italienne 3Sun à Catane via un investissement de 50 millions d’euros. Mais il ne faut pas s’arrêter là. Il y a même un caractère d’urgence. Nous disposons d’une vraie avance à l’échelle de quelques années. Nous devons la mettre à profit pour aller vite. Il nous suffit aujourd’hui d’appuyer sur le bouton pour viser dans deux ans un premier step, une gigafactory à technologie hétérojonction pour 200 millions d’euros en France.
...
ACCOMPAGNER LE DÉVELOPPEMENT DE PROJETS
POUR UNE DÉMOCRATIE OUVERTE
Nous accompagnons les citoyens à développer des projets au service d'une démocratie plus ouverte :
Civic Tech - Education Populaire - Community Organizing - Media participatif - Artivisme
Gouvernance partagée - Lobby Citoyen - Tiers-lieux - Oasis - Pédagogie coopérative
Transformation des organisations - Pouvoir d'agir - Éducation à la citoyenneté - ...
Nous encourageons la participation citoyenne, la transparence, la coopération et l'intelligence collective
pour transformer nos institutions et nos organisations collectives.
Système D est un programme de l'association Démocratie Ouverte.
Démocratie Ouverte a retweeté
Aurore Bimont @AuroreBimont 4 juin
Ravie de participer au lancement d'un cycle de codev entre dirigeants de structures de l'accompagnement à l'innovation sociale animé par l'@avise_org avec @antropiaessec @LaRucheDev @AshokaFrance @InterMade13 @AtisInnovation @PremiereBrique et La Machinerie
1 réponse 4 Retweets 10 j'aime
Un site participatif, lieu de partage et d’échange autour des initiatives et des innovations pédagogiques dans l’enseignement supérieur francophone.
Mentions légales
Site édité par L’Institut Mines-Télécom.
Publication animée par : Michel Briand, Télécom Bretagne ; André Guyomar ; Gilles Jacovetti, ingénieur pédagogique, Telecom Bretagne
Conception et développement
Réalisation technique et gestion de projet : Bruno Bergot, Eliaz web
Le site web fonctionne avec SPIP.
Hébergé par OVH
Licence : CC by-sa
Résumés
Français
English
Cet article rend compte d’une innovation pédagogique menée dans une école d’ingénieurs par une association indépendante : l’atelier matières à construire - amàco. Le projet visait à modifier les conceptions et les pratiques dans le domaine de la construction durable et le défi consistait à intégrer, dans l’ingénierie pédagogique, les principes d’une philosophie de la matière qui invite à faire corps avec la matière. Après trois années d’une expérimentation pédagogique avec la matière, dans le cadre d’un soutien financier à l’innovation, une démarche d’investigation, basée sur la théorie ancrée, a été entreprise pour observer, d’une part, les effets sur l’expérience formative des étudiants et le développement de leurs compétences professionnelles et, d’autre part, les modifications des pratiques d’enseignement des enseignants impliqués dans le projet. L’analyse montre que les changements les plus apparents concernent les enseignants qui transforment radicalement leur enseignement au-delà de l’expérience. Les effets sur le développement professionnel des étudiants sont plus difficiles à saisir bien qu’il y ait de bonnes indications qu’ils entrent dans le monde professionnel avec une vision accordant plus de place aux enjeux de la construction durable et au renouvellement du contact entre l’homme et son environnement.
Haut de page
Entrées d’index
Mots-clés :innovation pédagogique, philosophie de la matière, construction durable, théorie ancrée, pratiques pédagogiques innovantes, développement professionnel
...
5.1 Plus qu’une collaboration, un partenariat placé sous le signe de la co-création
...
Référence électronique
Marion M. Bisiaux, Laetitia Fontaine et Nicole Rege Colet, « Enseigner la sortie de cadre pour changer les habitudes », Revue internationale de pédagogie de l’enseignement supérieur [En ligne], 35(1) | 2019, mis en ligne le 17 mai 2019, consulté le 21 mai 2019. URL : http://journals.openedition.org/ripes/2037
Haut de page
Auteurs
Marion M. Bisiaux
Atelier matières à construire amàco, c/o Les Grands Ateliers, Villefontaine, France.
Laetitia Fontaine
Atelier matières à construire amàco, c/o Les Grands Ateliers, Villefontaine, France.
CRAterre AEetCC ENSAG UGA, Grenoble, France.
Nicole Rege Colet
Yggdrasil Living Wholeness, Gudhjem, Danemark.
« L’intelligence artificielle en marche pour foncer dans le mur »
...
Invité par l’association Ecoter (pas pour écologie, mais pour « économie et territoire »), le lobby des milieux d’affaires tarnais, Villani vient défendre l’IA ce jeudi 4 avril 2019 à l’Ecole des Mines d’Albi. Nous qui préférons les enfants intelligents aux machines soi-disant intelligentes, nous nous rassemblons à Albi pour alerter sur les nuisances de l’IA et du monde qui va avec.
...
Face à la crise sociale et écologique, nul besoin d’intelligence artificielle, mais d’intelligence humaine. Non à la start-up nation !
Des gilets jaunes du Tarn et des membres du collectif Ecran Total contre l’informatisation et la gestion
[1] Lire son petit livre à rebours des idées reçues : David Noble, Le progrès sans le peuple, 2016.
Clés : Positions Cybernétique
66 vues - 0 - 0
Plastronique compétences connectées
Ajoutée le 13 mars 2019
Témoignage de Lucie étudiante CPE Lyon filière chimie et génie des procédés qui a fait partie de la promotion 2018-2019 du parcours Chef de projet plastronique, formation conjointe INSA Lyon CPE Lyon.
Catégorie People et blogs 0 commentaire
=>
https://twitter.com/JulienDelalande/status/1108077229928574978
"
il y a 7 minutes Julien Delalande a retweeté CPE Lyon
/#Plastiques #Plasturgie sous l'#Anthropocène?
=>#Biologie #LowTech #ZéroFossile
.#RetourDexpérience/#Risques, #ingénieurBISOUNOURS?
.#ChefDeProjet #Plastronique @insadelyon @FondUnivLyon @amerle69 @UniversiteLyon @AllizePlast @ACSIEL_Alliance #Chimie #novation #pluridisciplinarité
Julien Delalande ajouté, CPE Lyon @CPELyon
Retours d’expériences de la première promo « Chef de projet .#plastronique » @insadelyon @CPELyon 2018-2019, avec @FondUnivLyon @amerle69 @UniversiteLyon, @AllizePlast, …
0 réponse 0 Retweet 0 j'aime
"
Un « principe d’innovation » porté par l’industrie chimique pourrait entrer dans le droit européen
En apparence anodin, le concept a été imaginé pour neutraliser le principe de précaution par un think tank issu de la pétrochimie et du tabac.
Bilan de la cyberaction :
3850 participants
Le « principe d’innovation » entre dans la loi européenne
Ou comment agir avec plaisir dans l’incertain et le complexe …
Mes cours commencent souvent par ce rappel : la mobilité est la rencontre à un instant donné pour une personne de quatre domaines : les infrastructures (un chemin ou une route), les énergies, les véhicules (son corps ou un vélo) et les informations. Chaque domaine appelle des industries spécifiques, des modèles d’affaires, des temporalités, des cultures différentes. Les innovations principales ne sont d’ailleurs plus dans ces domaines mais aux interfaces.
...
Je n’ai étudié que très récemment le sujet de l’effectuation. Il ne s’agit pas d’une méthode mais plutôt d’une posture. Chaque jour, cette « façon de penser et d’agir » apparaît particulièrement adaptée dans un monde Volatil, Incertain, Complexe et Ambigu.
...
La FabMob, une machine à produire des communs
La Fabrique des Mobilités, s’appuie sur ce large réseau d’acteurs et ces connaissances. Son but est d’apporter de nouvelles ressources directement exploitables aux entrepreneurs.
...
La FabMob est, elle même, produite pour être répliquée par un maximum de monde, elle n’utilise que des outils open source et ne nécessite pas de gros moyens financiers. La FabMob Québec, les actions en Afrique confirment cette capacité. Un réseau mondial de Fabrique pourrait se constituer pour enrichir rapidement l’écosystème de ressources ouvertes et utiles aux entrepreneurs. Ce réseau sera un catalyseur des démarches effectuales de nombreux entrepreneurs, les aidant à se lancer et à capitaliser pour les prochains. Et la dynamique est bouclée puisque plus il y aura d’entrepreneurs utilisant les ressources ouvertes, plus elles vont s’améliorer par leur contribution et plus elles seront attractives.
...
En intégrant la pensée effectuale, il devient délicat de continuer à agir dans des démarches opposées dites causales, surtout dans des domaines complexes. En plaçant les entrepreneurs dans des situations principalement causales comme les appels à projets, pour résoudre des problèmes complexes avec de nombreuses rétroactions, nous réduisons grandement les chances de succès sans produire ni connaissance ni ressource utile pour les suivants. Il est urgent d’enseigner l’effectuation et pour ceux qui la pratiquent d’en montrer de façon explicite toutes les vertues.
...
3ème but : celui de devenir un tiers de confiance reconnu et utile à l’écosystème pour équilibrer les tensions entre les forces du marché et l’intérêt collectif, entre les acteurs privés et les collectivités, entre les plateformes et le citoyen.
...
Gabriel Plassat
Ingénieur, Connecteur - http://gabrielplassat.fr
Clés : effectuation FabMob VICA
Le Mouton Numérique
Vidéos & podcasts
[Vidéo] Comment l’Afrique questionne-t-elle « notre » innovation ?
janvier 14, 2019 2 comments
L’innovation est-elle inscrite dans les gènes de la technologie ? Suit-elle un schéma orienté, allant du plus vers le moins de technique ? Du local au global ? Du lent au rapide ? Le dernier débat du Mouton Numérique s’est donné pout thème « Comment l’Afrique questionne-t-elle « notre » innovation ? », l’occasion de repenser nos conceptions de ce qu’est le progrès, sans romantiser sa critique. Un débat (passionnant), avec Sinatou Saka (Journaliste spécialisée – Chef de projet éditorial chez RFI et France 24) et Sénamé Koffi Agbodjinou (Architecte, anthropologue, fondateur du WoeLab).
L’Afrique est un continent regroupant plus d’1,2 milliards d’habitant.e.s vivant dans 54 pays et parlant plus de 2000 langues. C’est à cette échelle qu’une pensée critique émerge, à rebours du « tout disruptif » à l’occidental qui cannibalise les réflexions sur la technologie. Décolonisation des imaginaires et des espaces numériques, proposition de « modernités alternatives », mise en avant d’une « innovation organique »… nombreuses sont les réflexions qui percutent et stimulent celles que nous portons sur la technologie. En s’appuyant sur des traditions philosophiques séculaires autant que sur des expérimentations concrètes, les manières dont l’innovation se déploie sur le continent africain permettrait peut-être de questionner le sens même de ce que veut dire innover ?
Les intervenants :
► Sinatou Saka (Journaliste spécialisée – Chef de projet éditorial chez RFI et France 24)
► Sénamé Koffi Agbodjinou (Architecte, anthropologue, fondateur du WoeLab). Un débat porté par Anne-Charlotte Oriol, membre du Mouton Numérique.
Un événement en partenariat avec FGO Barbara, France Culture Conférences, et Socialter
Envoyé spécial Compte certifié @EnvoyeSpecial 10 janv.
A Limoges, le docteur Rouchaud a mis au point un bouton poussoir qui géocalise le médecin agressé et alerte le commissariat et le Samu. #PatientViolent #EnvoyeSpecial
1:14
4 réponses 41 Retweets 53 j'aime
PARIS. 14 novembre 2018. Le SFIC a organisé une conférence de presse sur le thème "Objectif très bas carbone" dont la note de synthèse vous est communiquée ci-dessous.
...
Réchauffement climatique et croissance démographique se trouvent au cœur d’enjeux incontournables pour nos sociétés et la planète. Face à ses défis, le ciment reste un matériau incontournable pour répondre, notamment, aux besoins de logements et d’infrastructure.
...
Côté innovation : le CementLab
https://cementlab.infociments.fr/
...
Côté recherche : les nouveaux ciments et les ciments alternatifs
...
L’empreinte environnementale des ciments est directement proportionnelle à leur teneur en «clinker», le principe actif nécessaire à la résistance mécanique du matériau et donc à la solidité et à la durabilité des constructions, mais aussi principale source d’émission de CO2. Si la quantité de « clinker » a déjà été réduite grâce à la substitution par les sous-produits, des ciments avec de nouvelles compositions à basse empreinte carbone, avec de nouveaux ajouts, sont en cours de normalisation et seront bientôt sur le marché : d’ici 18 mois, les CEM II/C-M (M pour mélange) et les CEM VI et d’ici 24 à 36 mois, les LC3 (Limestone calcined clay cement)
Ces ciments permettront de réduire les émissions de CO2 de 50% comparé à un CEM I (le ciment pur, sans ajout) et de 35% comparé à la moyenne actuelle de tous les ciments
Au-delà, des recherches sont actuellement menées pour développer de nouveaux clinkers, se caractérisant par une température de formation plus basse, et permettant une baisse de l’empreinte environnementale de l’ordre de 30%.
...
réaliste d’imaginer fabriquer demain du ciment uniquement à partir de matières existantes valorisables. La cimenterie du futur permettre de recycler des déchets, comme ceux issus des bétons de déconstruction, qui parfaitement triés, viendront en complément de la matière première principale qu'est le calcaire.
...
Le béton, puits de carbone naturel
le CO2 présent dans l’atmosphère pénètre naturellement le béton à sa surface ; il s’agit de la carbonatation du béton https://www.infociments.fr/glossaire/carbonatation . Les cimentiers sont mobilisés pour industrialiser ce phénomène : c’est le projet Fastcarb !
https://fastcarb.fr/
Des projets pour capter le C02 dans le process
Capter le CO2 pour le réutiliser est un besoin actuel et primordial et c’est l’un des défis de la cimenterie du futur. En Europe, plusieurs technologies sont en cours d’expérimentation, dont parmi les plus prometteuses :
Oxyfuel : concentrer le CO2 en utilisant une combustion à l’oxygène
Leilac : séparer le CO2 dans l'étape de précalcination
Calcium Looping Cleanker : utiliser la chaux pour piéger et transporter le CO2
...des ciments à l’empreinte carbone nulle... objectif ambitieux mais réaliste.
Contact presse : Monet Communication – Tel. 01 47 05 09 08
Christelle de Montbel, cmontbel@monetcom.com / Pascale Pradère, ppradere@monetcom.com
Connu /
https://twitter.com/GwendolineStoc3/status/1083988587316760576
"
Gwendoline Stocker @GwendolineStoc3 16 hil y a 16 heures
https://www.change.org/p/les-ciments-de-demain-plaidoyer-d-int%C3%A9r%C3%AAt-g%C3%A9n%C3%A9ral-dans-le-cadre-de-l-urgence-climatique … #LaffaireDuSiecle #GiletsJaunes
0 réponse 0 Retweet 0 j'aime
"
ndlr :
- de surprenantes fôtes d'orthografe...
- clinker : traduction ? ACT : https://www.infociments.fr/glossaire donne
."« Clinkerisation »
Ensemble des réactions physico-chimiques à hautes températures conduisant à la formation du clinker. Il s'agit des réactions de déshydratation et deshydrolylation (150-800°C) puis de décarbonatation (950-1100°C) des minéraux constitutifs du cru de cimenterie. Il s'ensuit une période de réactions en phase solide avec la formation du C2S et des aluminates (C3A+C4AF) et enfin une fusion partielle avec apparition du C4AF + C3A liquide, ce qui permet la formation du C3S et aboutir à la formation des cinq phases hydrauliques constituant le clinker: C3S, C32S, C3A, C4AF et CaO résiduel après refroidissement." - où sont les preuves de ces intéressantes affirmations ? => des experts indépendants ? ACT
. https://www.infociments.fr/recherche#?q=empreinte%20carbone -> " 04/06/2019 Les nouveaux ciments bas carbone bientôt sur le marché" = ENCORE À L'ÉTAT DE PROMESSE ?!" - comment éviter l'effet rebond ? ACT
- l'heure n'est-elle pas à une approche fonctionnelle holistique de notre société ? Aux ciments alternatifs, les alternatives au ciment ? ACT
->
posté en commentaire, PUBLIÉ ? Je ne sais pas. Mais au 2/4/2020, cet article a disparu :-(
Origines du projet
En 2014, à l’initiative de la 27e Région, est né Superpublic. Conçu comme le point de rencontre de la communauté pionnière en matière d’innovation publique, ce lieu visait à développer de nouvelles formes d’innovation dans le secteur public en favorisant les croisements et les rencontres entre disciplines, compétences, structures publiques et privées actrices de la transformation des politiques publiques. Les rencontres entre cette communauté et d’autres, et son ouverture à des pratiques différentes (civic tech, participation citoyenne, urbanisme participatif,...) ont conduit à l’émergence du projet des Halles Civiques. Ce projet s’est concrétisé en 2018 par l’ouverture de la Halle Belleville, avec le soutien de la Ville de Paris.
Membres des Halles civiques
Les Halles civiques sont une association autogérée par les membres du collectif. Aujourd’hui, les Halles civiques est un collectif sans salarié : les structures participent à la gestion du lieu de manière bénévole, ou en étant indemnisée lorsqu’elles prennent en charge des fonctions supports indispensables au bon fonctionnement (réservation de lieux, gestion).
Co-initiateurs du projet. Ils ont porté le projet à ses débuts, sont membres et résidents.
Voxe
.#politiques-publiques #experimentation #civictech #démocratie, #démocratiecitoyenne #participation
Kawaa
La 27e Région
Démocratie Ouverte
Institut de la Concertation et de la Participation Citoyenne
Master Ingénierie de la concertation de l’Université Paris-I Panthéon-Sorbonne
Débatlab
Esopa Productions
Compagnie Un pas de côté
Indivisible
Les Beaux Jours
Coop Cité
L'accélérateur de la mobilisation
Agence Phare
Les résidents et coworkers. Ils travaillent à la Halle Belleville ou la Halle Superpublic et sont membres du collectif.
D21
Oyena consulting
Partie Prenante
Vraiment Vraiment
Direction interministérielle de la transformation publique (DITP)
Institut de la Recherche en Gouvernance
Fondation internet nouvelle génération
GIS Démocratie et Participation
Empreintes citoyennes
Les voies de la démocratie
Echo
MONONO | Territoires en Récits
Wink Design
Espaces compris
...
Avec le soutien de la Ville de Paris
En 2017, le collectif a gagné un appel à projet de la Ville de paris mettant à disposition un lieu qui est la Maison de l’air à Belleville, Paris 20e. Il a gagné le droit d’occuper temporairement le bâtiment de la maison de l’air (Halle Belleville) pendant 1 an. Il a bénéficié de 50 000 euros pour mettre au norme et aménager les 650m2 mis à disposition. La ville de Paris bénéficie d’un espace au sein de la Halle Belleville.
Nous contacter
→ mail : info@hallesciviques.org
→ locations d’espaces : location@hallesciviques.org
Venir nous voir
→ Superpublic, ouvert de 9h à 18h
4 rue de la Vacquerie
75011 Paris
→ La Halle Belleville, ouvert de 10h à 18h
27 rue Piat
75020 Paris
Manifestations
L’ADEME organise
Détails de la manifestation Quand : Du 24 au 25 octobre 2018
Où : Hôtel de Région - 1 esplanade François Mitterrand - Lyon
Public : Entreprises de tous secteurs et de toutes tailles (dirigeant, responsable marketing, achat, production, qualité, environnement, design, chefs de produits, BE conception…), experts, bureaux d’études, consultants, centres de relais, réseaux d’entreprises, agences de communication, grandes écoles, recherche et innovation…
Tarif : Adhérents du Pôle éco-conception : Journée du 25 octobre : 80 euros, Soirée du 24 octobre + journée du 25 octobre : 120 euros Non adhérent du Pôle éco-conception : Journée du 25 octobre : 130 €, Soirée du 24 octobre + journée du 25 octobre : 180 euros
Organisateur(s) : Co-organisé par le Pôle Eco-conception et l’ADEME (nationale et DR AURA), avec le soutien de la région Auvergne-Rhône-Alpes
Voir le programme
En savoir plus
Augmentez votre performance, créez de la valeur, éco-concevez
Co-organisé par l’ADEME et le Pôle national Eco-conception, avec le soutien de la région AURA, le Colloque national de l’éco-conception est le rendez-vous français incontournable pour les entreprises de toutes tailles, les dirigeants, les professionnels du marketing, des achats, de la qualité, de la production, de l’environnement, de la recherche et du développement, du design, les responsables de collectivité, les centres relais, les bureaux d’études, consultants, réseaux d’entreprises, agences de communications, grandes écoles, designers etc.
L’événement attire environ 300 entreprises, experts et partenaires autour de l'innovation par la pensée en cycle de vie dans un contexte international et convivial (environ 50% entreprises –plutôt PME et consultants- et Clusters, Réseaux, institutions).
Le programme 2018 sera articulé autour de tables rondes, remises de prix, vitrines de produits et services éco-conçus, exposants (stands) et interventions courtes (pitchs) des participants qui souhaitent prendre la parole. Cette année le thème principal est l’éco-innovation : de la définition de la stratégie d’éco-innovation à la valorisation de l’offre, en passant par l’élaboration du business modèle et la mise en œuvre (clés de réussite, retours d’expérience…).
L'Ademe interviendra à :
9h00 à la table ronde : L'éco-innovation, clé de la performance des organisations
11h30 à la table ronde : En route vers des projets d'éco-innovation
Contact
Fabienne BENECH
Coordinatrice technique
fabienne.benech@ademe.fr
ndlr :
- éco- = écologie ? soit innovation écologique ?
- faire offre de service ACT