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L’état d’avancement du Plan de Transformation de l’Economie Française (PTEF) du Shift Project a été publié et présenté au public le jeudi 16 juillet lors d’un webinaire.
Nous mettons dès maintenant à votre disposition la vingtaine de fiches qui composent l’État d’avancement du Plan de transformation de l’économie française (PTEF). Chacune peut se lire séparément. Ensemble, elles donnent un bon aperçu de l’avancement de notre travail depuis son lancement, et une vision globale, systémique de l’économie française. Ce premier jalon du travail annoncé le 6 mai 2020 a pu être initié grâce au succès de sa campagne de financement participatif – merci aux plus de 3700 donateurs ! (https://bit.ly/3fEPKZI)
Après une introduction de Jean-Marc Jancovici (Président du Shift) et un point d'étape général par Nicolas Raillard (méthodologiste en chef du projet), les chefs de secteurs présentent successivement les avancées dans leur secteur (Industrie, Numérique, Mobilité longue distance, Culture, Logement, Energie, Administration publique, Fret, Automobile, Chantier Emploi, Macroéconomie et impacts, Chantier Résilience...). Mélanie Cosnier, membre de la Convention citoyenne pour le climat, a réagi à ces travaux.
👉 Retrouvez le rapport complet et les fiches sectorielles : https://bit.ly/3jdJ07q
👉 Lien vers le programme complet du webinaire et les supports de présentation : https://bit.ly/3fPKFxy
47 commentaires
Esther FR il y a 1 mois
Je n'ai pas trop envie d'en rajouter sur la forme, car ce que fait le shift project est passionnant. J'ai avalé sans problème les cours des mines de JMJ. La longueur de la vidéo ne me gène donc pas.
En revanche, ça me semble plus une vidéo de travail "brute" entre les différents spécialistes qu'un contenu à destination de la population générale, voire même pour un public très averti. A minima, couper les moments sans info. Je mesure le travail accompli et la volonté de mettre en avant tous ceux qui ont bossé dur, et vraiment, je ne remets pas ça en cause. En s’accrochant bien, on apprend beaucoup, mais c'est difficile à suivre, et du coup encore plus compliqué de donner son avis sur les différents sujets.
Il faut avouer que les conditions du webinaire, avec des passages son inaudibles ne facilitent pas les choses.
Mais peut-être serait-il possible d'ajouter parmi vos spécialistes un conseiller en com pour le rendu final ? histoire de ne pas endormir même les plus accros à votre travail. Bubbly Bull, vous ne voulez pas leur donner un coup de main ?!
Je me suis quand même accrochée et j'ai été très intéressée par le sujet culture, qui est rarement abordé.
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Bubbly Bull / il y a 1 mois (modifié)
Comme je suis un ancien spécialiste com‘, je vais vous faire un retour de com‘ (sur la forme donc, pas sur le fond).
Surtout ne le prenez pas mal, car ce n‘est pas une critique sur le travail effectué ni sur vos personnes.
Je comprends bien que c‘est un effort collectif mais malheureusement, si vous voulez emporter l‘adhésion et ré-enchanter les gens il faut parler d‘une seule voix et il me semble que Jean-Marc Jancovici, avec sa gouaille naturelle, sa vision d‘ensemble et sa notoriété serait un bien meilleur porte-parole pour le projet qu’un kaléidoscope de visages inconnus qui ne font que lire les slides...
Qu‘on le veuille ou non, il est votre champion, le visage du projet et son meilleur ambassadeur. Sa capacité à rendre les choses digestes est sans égal et il serait vraiment terriblement dommageable que vous ne lui laissiez pas le micro sous prétexte que c‘est un travail collectif. Il faudrait donc trouver un autre format de présentation où JMJ tient le crachoir, pour le bien du projet.
Quant à la présentation elle-même, elle est malheureusement rébarbative et très très longue. Trop longue pour Youtube...
Sans compter les problèmes techniques qui ne font pas super super pro.
Bref, c‘est un bel effort mais ça reste très largement inaudible et pas assez „sexy“ pour intéresser les jeunes, qui devraient être votre cœur de cible, au moins sur cette plateforme mais aussi plus généralement, car c‘est bien de leur avenir dont il s‘agit.
Avec toute mon amitié et ma solicitude, et malgré la critique (que j‘espère constructive) : bravo à tous pour ce début de travail !
Ndlr :
- terminer le dépouillement ACT
- accompagnement est cité dans quasiment tous les secteurs...
- très gros travail effectué, ouvert, mérite d'être valorisé et soumis à confrontations pour donner encore pluis d'ampleur ACT
Carte de la consommation électrique et des émissions de CO2 en temps réel, en europe
Le gouvernement indonésien poursuit un projet insensé qui pourrait avoir des conséquences pour tous les habitants de la planète : convertir les tourbières de Bornéo en immenses rizières. Une coalition de près de 200 organisations indonésiennes dit NON à ce plan. Soutenez-la avec votre signature.
Appel
Au Président Joko Widodo, au Ministre de l'environnement et des forêts Siti Nurbaya Bakar, au Gouverneur du Kalimantan central Sugianto Sabran, au Chef du district de Pulang Pisau Eddy Pratowo, au directeur de l'Agence de la tourbe Nazir Foead
“Arrêtez le projet Cetak Sawah / Food Estate, dont la poursuite signifierait une nouvelle catastrophe environnementale et climatique.”
Avec Food Estate, le président Joko Widodo et son gouvernement projettent l’installation de 300 000 hectares de rizières à Bornéo afin d’assurer la sécurité alimentaire de la population. Le nom originel du projet « Cetak Sawah » était bien plus explicite : littéralement, « imposer les rizières ». Mais cela aura un prix, car certaines des plantations seront développées sur des tourbières, dont l’assèchement et la dégradation des sols provoquent émissions permanentes de gaz à effet de serre ainsi que de nombreux conflits.
L’une des zones visées est située dans le Kalimantan central, province où le gouvernement du dictateur Suharto avait fait déboiser 1,4 million d’hectares de forêts tourbeuses dans les années 1990. L’objectif annoncé était le même qu’aujourd’hui : la sécurité alimentaire grâce à la culture industrielle à grande échelle du riz.
Les forêts de tourbières d’Indonésie sont essentielles à la protection du climat mondial. La tourbe stocke 20 fois plus de carbone que les sols minéraux. La destruction des tourbières représente entre 13 et 40 % des émissions mondiales annuelles de gaz à effet de serre.
Une coalition regroupant près de 200 organisations indonésiennes s’élève contre ce nouveau plan insensé. Le gouvernement indonésien n’a-t-il donc rien appris de ses erreurs passées ? Où est la volonté politique de prendre enfin au sérieux la restauration des tourbières ? Et pourquoi le gouvernement considère-t-il l’agriculture industrielle comme la solution au lieu de promouvoir une utilisation diversifiée des terres agricoles par des petits exploitants ?
Les organisations indonésiennes ont besoin du soutien de la communauté internationale. Soutenez leur revendication :
« Nous rejetons les plantations de riz sur les sols tourbeux du Kalimantan central et des autres régions d’Indonésie ! »
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Planète Climat
Cette hausse, qui mène la planète vers un fort réchauffement, est majoritairement due aux énergies fossiles, à l’agriculture et aux déchets. L’Europe est la seule région qui parvient à diminuer ses émissions.
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les émissions du deuxième gaz à effet de serre en termes d’abondance ont augmenté de 9 % entre la période de référence 2000-2006 et 2017, pour atteindre les niveaux les plus élevés jamais enregistrés, selon le deuxième bilan mondial du méthane publié mercredi 15 juillet par près de 90 scientifiques de plus de quinze pays, réunis dans le consortium Global Carbon Project (GCP). De quoi miner les objectifs de l’accord de Paris et conduire la planète vers un fort réchauffement – entre 3 °C et 4 °C d’ici la fin du siècle.
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le méthane est responsable de 23 % du réchauffement depuis l’ère préindustrielle. De fait, s’il est moins abondant et perdure moins longtemps dans l’atmosphère (autour de neuf ans), son potentiel de réchauffement est bien plus élevé : vingt-huit fois plus sur un horizon de cent ans et 86 fois plus sur vingt ans.
Selon les calculs du GCP, publiés dans les revues Environmental Research Letters et Earth System Science Data, les émissions de méthane se sont élevées à près de 600 millions de tonnes en 2017, soit 50 millions de plus que durant la période 2000-2006, au cours de laquelle les concentrations de CH4 étaient stables dans l’atmosphère.
Conséquence : les concentrations de méthane augmentent depuis 2007, avec une forte accélération à partir de 2014 et des records de croissance annuelle en 2018 et en 2019. Finalement, la concentration de CH4 atmosphérique a plus que doublé depuis l’ère préindustrielle, passant de 730 parties par milliard (ppb) en 1750 à 1 875 ppb en 2019, un taux inégalé depuis au moins 800 000 ans.
Afrique, Asie du Sud et Chine en tête
« Cette hausse est majoritairement due à l’augmentation des émissions anthropiques (imputables à l’homme), avec une répartition équitable entre le secteur des énergies fossiles et le secteur de l’agriculture et des déchets », détaille Marielle Saunois, enseignante-chercheuse au Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement et coordinatrice de l’étude.
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le méthane est responsable de 23 % du réchauffement depuis l’ère préindustrielle. De fait, s’il est moins abondant et perdure moins longtemps dans l’atmosphère (autour de neuf ans), son potentiel de réchauffement est bien plus élevé : vingt-huit fois plus sur un horizon de cent ans et 86 fois plus sur vingt ans.
Selon les calculs du GCP, publiés dans les revues Environmental Research Letters et Earth System Science Data, les émissions de méthane se sont élevées à près de 600 millions de tonnes en 2017, soit 50 millions de plus que durant la période 2000-2006, au cours de laquelle les concentrations de CH4 étaient stables dans l’atmosphère.
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Lire aussi La mystérieuse et inquiétante flambée des émissions de méthane https://www.lemonde.fr/planete/article/2019/05/30/la-mysterieuse-et-inquietante-flambee-des-emissions-de-methane_5469407_3244.html
Connu / https://twitter.com/ClemSenechal/status/1283324403049271299
"
Clément Sénéchal @ClemSenechal · 15 juil.
Les émissions mondiales de méthane ont atteint les niveaux les plus élevés jamais enregistrés. Son potentiel en terme de réchauffement de l'atmosphère est 86 fois plus élevé que celui du CO2, sur 20 ans. - 0 - 9 - 9
"
Détenue à parts égales par Faurecia et Michelin, Symbio, dont l’ambition est de devenir un leader mondial de la mobilité hydrogène, conçoit, produit et commercialise des systèmes hydrogène pour véhicules légers et commerciaux, bus et camions, ainsi que pour divers autres formats de véhicules électriques. L’entreprise revendique une expertise unique : les véhicules qu’elle a équipés ont déjà parcouru plus de trois millions de kilomètres. Elle travaille par ailleurs depuis plus de dix ans sur la technologie hydrogène et son intégration dans les véhicules. C’est cette expertise que Symbio met aujourd’hui à la disposition des constructeurs du monde entier au travers de sa gamme de StackPack® – des systèmes hydrogène pré-validés et pré-intégrés. ... participe ainsi à l’accélération du déploiement de la mobilité hydrogène, par nature zéro-émission et peu contraignante en termes de temps de recharge et d’autonomie pour les utilisateurs finaux.
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Les systèmes génériques développés par l’entreprise – de 5 à 20kW pour les véhicules utilitaires par exemple, et de 80kW à 300kW pour les bus, camions…
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Symbio coordonne le consortium « Mobilité Hydrogène France », qui rassemble de nombreuses entreprises au sein de l’Association Française de l’Hydrogène et des Piles à Combustible (AFHYPAC). L’entreprise est également soutenue, au niveau européen, par le Fuel Cells and Hydrogen Joint Undertaking (FCH JU).
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Vidéo Fabio Ferrari explique Symbio https://www.youtube.com/watch?v=qoe33dBHX9A
Historique : - Fév 2010 création de Symbio / contrat de licence avec Liten CEA tech ... - Fév 2019 devient une filiale de Michelin - nov 2019 Symbio devient une co-entreprise avec Faurecia
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Connue / https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?5RTX_Q
Ndlr : escroquerie du "par nature zéro-émission" si l'hydrogène n'est pas issu d'ENR
jeudi 14 mai, à Schiphol ... Des militants de Greenpeace ont circulé à vélo sur les pistes de l’aéroport « pour demander des conditions environnementales au sauvetage des compagnies aériennes ».
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Cette action a particulièrement ciblé Air France - KLM, comme l’explique Greenpeace Pays-Bas :
KLM émet plus de CO2 que la plus grande centrale au charbon des Pays-Bas. C’est pourquoi nous demandons au gouvernement de fixer trois conditions importantes pour le soutien du gouvernement à KLM : un plafond de CO2 en baisse, moins de vols et le remplacement des vols courts-courriers par des trains. »
Quant à la possibilité de mener des actions de désobéissance en pleine pandémie, Greenpeace Pays-Bas s’est également expliqué : Nous restons à un mètre et demi de distance les uns des autres et il n’y a pas plus de militants présents que nécessaire pour que l’action réussisse (...) Il est important que nous agissions dès maintenant. Si nous restons silencieux, cet argent de nos impôts permettra aux grands pollueurs de s’envoler. Continuer comme avant n’est pas une option. »
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Lire aussi : Les faramineuses dépenses de l’État pour soutenir l’avion https://reporterre.net/Les-faramineuses-depenses-de-l-Etat-pour-soutenir-l-avion
i à https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?v0KX-g
3 minutes
Rubriques : Économie - Énergie dans les transports - Énergies fossiles - Gaz à effet de serre - Gouvernance - Mobilité - NTIC - RSE - Santé
Photo TVDC 2009_RS 003 Aérogare 2, aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, Val-d’Oise
Le transport aérien, un des secteurs d’activité les plus émetteurs de gaz à effet de serre, se prend de plein fouet la pandémie actuelle de coronavirus qui a réduit comme jamais auparavant son activité. L’impact du covid-19 sur l’économie conduit les États à élaborer de vastes plans de relance. Une coalition de 250 ONG alerte sur le fait de rester vigilant quant à leur contenu, notamment en ce qui concerne l’aviation. Agathe Bounfour, responsable Transports du Réseau Action Climat, explique pourquoi un éventuel plan de soutien au secteur aérien ne doit pas l’exempter d’engagements en faveur du climat et appelle les citoyens désireux de soutenir cette idée à signer la pétition Non au sauvetage inconditionnel du secteur aérien !
...
pour réduire l’impact du secteur, il faudra voler extrêmement moins. Dans tous les cas, il faudra une décroissance du secteur aérien pour limiter le réchauffement climatique à 1,5 degrés Celsius.
Propos recueillis par Julien Leprovost
Le site de Notre choix https://www.notrechoix.org/
La pétition Non au sauvetage inconditionnel du secteur aérien !
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Selon un rapport de BloombergNEF, la baisse des prix de l’éolien et de l’énergie solaire vont favoriser la montée en puissance de l’hydrogène vert. Et le déploiement de cet hydrogène pourrait contribuer à faire baisser de 34% les émissions de CO2. Le rapport estime qu’il pourrait être utilisé dans des secteurs très dépendants des produits fossiles comme la production d’acier, le transport lourd, la navigation maritime et la production de ciment.
Bloomberg entrevoit un prix au kg compris entre 0,8 et 1,6 $ avant 2050, ce qui le rendrait compétitif face au gaz naturel dans des pays comme l’Allemagne, le Brésil, la Chine et l’Inde.
Toutefois, pour être déployé massivement, l’hydrogène vert nécessite un soutien clair des gouvernements et l’application de règles strictes concernant la neutralité carbone.
L’année 2020 a débuté sur les chapeaux de roues. Du côté climatique, l’Australie a ouvert les feux. Bien que les énergies fossiles génèrent la quasi-totalité du CO2, les douze prochains mois devraient battre tous les records de consommation de pétrole, de gaz et de charbon.
Dans l’univers gazier, la Russie devrait tenir la vedette. Avec un accord de cinq ans fraîchement paraphé avec l’Ukraine, Gazprom pourra de nouveau livrer son gaz à l’Europe via la route de Kiev.
... Si le gaz naturel est sous les feux de la rampe pour ses émissions de méthane et de CO2, sa reconversion en plastique ouvre de nouveaux débouchés. Les prévisions tablent sur un doublement de la production mondiale de plastique dans les années à venir, notamment pour assouvir les besoins des Coca-Cola, Pepsico et autres Nestlé. ... la prédominance du président américain est à relativiser. En effet, la puissance des managers de fonds d’investissement et particulièrement des deux mastodontes BlackRock et Vanguard dépasse largement celle du locataire de la Maison-Blanche. Sur les 18 membres du conseil d’administration de BlackRock, six baignent dans l’or noir. Même si les pertes pétrolières de la firme se montent à plus de 90 milliards de dollars, toute l’industrie redoute un arrêt des investissements qui conduirait à une perte systémique de 2400 milliards de dollars d’actifs et sans compter le pétrole non exploité qui ferait grimper le potentiel manque à gagner à plus de 20 000 milliards de dollars.
On comprend ainsi mieux l’engrenage.
L’Iran et les Etats-Unis sur le podium
De plus, au niveau des pays importateurs, pratiquement rien n’est entrepris pour faire plier la courbe de la consommation. En 2020, le pétrole porte à merveille son habit estampillé «too big to fail». ...
Planter 2 milliards d’arbres en 10 ans, c’est la solution que promet Justin Trudeau pour compenser les émissions massives de gaz à effet de serre du Canada. Nous sommes allés sur le terrain pour voir si des plantations créées expressément pour séquestrer le CO2 remplissaient leurs promesses. Les terrains rasés et clairsemés que nous avons trouvés soulèvent de nombreux doutes sur l’efficacité de ces initiatives vertes.
Une enquête de Tristan Péloquin et de Martin Tremblay
*Connu / https://mastodon.social/@Snoro/102966760679894557
Réduire « enfin » les émissions de CO2 des voitures nécessite de réorienter le marché vers des voitures plus légères, fabriquées avec de l’électricité décarbonée, et de mettre en place un plan industriel assurant à l’Europe son autonomie dans la fabrication des voitures électriques et de leurs batteries.
Rapport : https://www.strategie.gouv.fr/sites/strategie.gouv.fr/files/atoms/files/fs-na78-2019-emissions-voitures-meilhan-20juin-bat.pdf
dont "/ve limiter les externalités environnementales liées en particulier à leur production ex en Pologne"
Mots clés : émissions de gaz à effet de serre, constructeur automobile, voiture électrique, bonus-malus, empreinte carbone
<-
https://www.youtube.com/watch?v=MV_tWp3RIY4
•23 oct. 2019 / The Shift Project
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Nicolas Meilhan, conseiller scientifique transports et énergie pour France Stratégie, présente sa note "Comment faire enfin baisser les émissions de CO2 des voitures ? à https://www.strategie.gouv.fr/publications/faire-enfin-baisser-emissions-de-co2-voitures
Lien vers le support de présentation : https://bit.ly/2Pd8Fk6 dont
"1. La réduction des émissions de CO2 du secteur automobile : un
échec européen ... intégrer dans le bonus-malus une composante poids afin de décourager l’achat de voitures pesant plus d’1,4t ... 3 des 4 résistances à l'avancement (roulement, inertie et potentielle). ... normer le contenu carbone de l’électricité utilisée
pour fabriquer les voitures à faibles émissions et leurs batteries"
Catégorie Science et technologie 52 commentaires
Ndlr : 1,4t, n'est-ce pas déjà bien trop élevé ? Privilégier l'électrique sans garantie qu'elle soit décarbonée sur tout le cycle de vie du véhicule, n'est-ce pas, en france, justifier le nucléaire et démontrer la stratégie nucléariste du shift project ? ACT
Mardi 22 octobre, des riverains, des Gilets jaunes et des écologistes ont perturbé l’inauguration de l’entrepôt Amazon de Brétigny-sur-Orge par le secrétaire d’État chargé du Numérique Cédric O. Amazon a déjà été la cible de 20 blocages des Gilets jaunes et du mouvement climat au cours des huit derniers mois.
Ils lui ont remis une lettre ouverte dénonçant le soutien du gouvernement à Amazon, « alors que la multinationale est responsable de destructions d’emplois, d’augmentation des émissions de gaz à effet de serre, de pratiques opaques et d’évasion fiscale », expliquent les opposants. Ces derniers demandent l’adoption d’un moratoire sur les entrepôts du e-commerce et les zones commerciales en périphérie dans le cadre de la Loi économie circulaire, débattue à l’Assemblée en novembre.
Source : Les Amis de la Terre / Action non-violente Cop21 / Le collectif Ma Zone https://docs.google.com/document/d/16aD_ep8LKIB19qe2O_mLeb11dJeH6N1MXWwp64C5_i0/edit#heading=h.9g8k7uji3jb4
Lire aussi : L’empire d’Amazon s’étend en France : l’enquête de Reporterre https://reporterre.net/L-empire-d-Amazon-s-etend-en-France-l-enquete-de-Reporterre
Désolé les enfants, j’ai entravé votre droit à un air pur, à une planète en bonne santé et à une vie digne, parce que vraiment, il me fallait la plus grosse. Oui, la plus grosse voiture. Plus grosse que celle du voisin.
Pas terrible comme excuse, non ? Et pourtant, c’est ce qu’une grande majorité d’entre nous pourrait avoir à avouer à ses enfants dans les années à venir.
...
Dans la grande majorité des cas, un SUV pèse plus de 1,5 tonnes (et jusqu’à 2,5 tonnes pour le Porsche Cayenne), contre environ 1,3 tonnes pour des berlines familiales de type VW Golf VI (jusqu’en 2018). [1] [2] De surcroît, les SUV étant hauts et massifs, ils ne sont pas du tout aérodynamiques. Deux paramètres qui entrainent une surconsommation par rapport à une voiture plus légère et mieux profilée.
Qui dit surconsommation de carburant dit surémission de gaz à effet de serre. D’après l’ICCT [1], en 2017 les SUV émettaient en moyenne 130gCO2/km (les voitures sportives et de luxe : 165gCO2/km !), contre environ 110gCO2/km pour les plus petites voitures. Et encore selon le protocole NEDC désormais relégué aux oubliettes car pas du tout représentatif des conditions réelles d’utilisation : rajoutez entre 25 et 40% à ces chiffres pour retrouver vos petits.
Vendredi 27 septembre 2019
13h00 à 13h45
Le succès des SUVs combiné au désamour grandissant pour le diesel a fait repartir à la hausse les émissions de CO2 des voitures neuves depuis deux ans : avec plus de 120 grammes de CO2 par km, elles dépassent aujourd’hui le seuil maximum fixé par la Commission européenne pour l’année 2021. L’objectif de 95 grammes par km pour 95 % de voitures vendues l’an prochain semble désormais hors de portée.
Si la nécessité d’électrifier le parc automobile ne fait plus de doute aujourd'hui, le gain environnemental d’une telle conversion dépend de la taille (du poids) des voitures : qu’elle soit électrique ou thermique, une voiture consomme d’autant plus d’énergie qu’elle est lourde. Aller vers des voitures plus légères est donc un préalable nécessaire. Mais comment y parvenir ?
France Stratégie s’est penchée sur les incitations qui permettraient de faire « enfin » baisser les émissions de CO2 des voitures, comme la mise en place d’un bonus-malus indexé sur le poids et sur l’utilisation en mode électrique du véhicule.
Le 27 septembre, de 13 h à 13 h 45, Bérengère Mesqui et Nicolas Meilhan vous présenteront leurs travaux et débattront, avec vous, de leurs propositions.
Sur le même sujet, consultez la note d'analyse Comment faire enfin baisser les émissions de CO2 des voitures https://www.strategie.gouv.fr/publications/faire-enfin-baisser-emissions-de-co2-voitures et son infographie https://www.strategie.gouv.fr/infographies/faire-baisser-emissions-de-co2-consommation-voitures.
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Offre automobile française : Jean-Marc Jancovici et Alain Grandjean, associés fondateurs de Carbone 4, audition à l'assemblée nationale le 26 janvier 2016.
Lien original :
http://videos.assemblee-nationale.fr/video.3573591_56a78f26cdccf
Catégorie Actualités et politique 266 commentaires
Transcription : ... rapporteure Delphine Batho, /accords de Paris ... si je veux pas plus de deux degrés, j'ai le droit à 3 000 milliards de tonnes de CO2 entre 1850 et 2100. Ne pas émettre plus que la moitié de ce que nous avons déjà émis. Si je suis un peu communiste, les émissions d'un français sont à diviser par cinq. Explosion du charbon dans la production électrique 1800 GW installés dans le monde. 21% des ém. Les transports 13%. La route en fait les 3/4. L'europe est déjà en contrainte d'approvisionnement pétrolier. Le ralentissement de la production de pétrole a déclenché la crise économique de 2008 et pas le contraire. ... Règle cardinale maintenant : faire MIEUX avec BEAUCOUP MOINS. La technologie ne règlera pas tout. Vient plus se rajouter que se substituer=>fiscalité, réglementation, obligation, interdiction. Les ingénieurs ne sauveront pas le monde. Sans croissance, il va falloir CHOISIR, les partager avec la population.
Solutions : - la voiture à 2l/100km => baisser la masse à 500kg et la puissance des véhicules (110/120km/h, moteur de 30cv). Faire de la politique industrielle intégrée sur des marchés protégés. la suite à 34:30. Une fois que vous avez baissé les consommations à 2l/100km, c'est plus facile à substituer par du méthane, électricité, ou ce que vous voulez que quand elles sont à 6l (3xmoins d'énergie à substituer).
2è chose à encourager : ex Madrid bus périurbains a le meilleur taux d'utilisation des transports en commun d'europe. Le bus a une boucle de ramassage à 20 ou 30 km du périphérique, ensuite il fait un trajet d'une seule traite jusqu'à la station de métro la plus externe avec gare multimodale.
Calcul Carbone 4 : les investissements du grand paris 40 milliards + facteur pi -> transfert modal à peu près nul !
AG : ... la taxe carbone est un des meilleurs outils pour déplacer les véhicules vers du bas carbone. ... on ne s'occupe pas assez des véhicules utilitaires ... /vélo électrique risques d'accidents=>orga la sécurité ... les 2roues très émetteurs de ges et pollutions ; bus, camions au gaz compliqué en fr pb d'infrastructure ; le ferroviaire ; ...
JMJ 1:30:17 le dialogue vrai sujet que l'état retrouve une position crédible dans sa capacité à faire cadre de moyen et de long terme qui crée une confiance partagée avec les acteurs qu'il a en face de lui. Et je suis au regret de dire que aujourd'hui ça n'existe pas. C'est un sujet majeur de préoccupations pour le monde politique. ... faire un premier tri dans les investissements par le litre de pétrole évité, la tonne de co2 évitée, est très robuste. ...
Mes chers amis et collègues,
En tant que membre de notre département de stratégie des risques, au sein de l'équipe de validation de modèle de trading algorithmique, je vous écris parce qu'il est de plus en plus évident que nous sommes confrontés à des risques dévastateurs dans les années à venir, sans aucune atténuation ou anticipation adéquate par le secteur financier dans son ensemble, et donc nos industries modernes.
...
Des années après la création tant attendue de telles initiatives vertes, pourquoi les gouverneurs de la Banque d’Angleterre et de la Banque de France devraient-ils encore nous avertir en Avril 2019, que : « le système financier mondial fait face à la menace existentielle du changement climatique et doit prendre des mesures urgentes pour se réformer [...] doit être au cœur de la lutte contre le changement climatique (...] doit placer la barre très haut pour éviter la catastrophe " ?
Les superviseurs nous ont récemment incités à intégrer le changement climatique dans notre gouvernance et analyses de gestion des risques [40], comme l'a récemment réaffirmé William Nordhaus, co-lauréat du prix Nobel 2018 en Economie
« pour avoir intégré le changement climatique dans l'analyse
macroéconomique à long terme » [51], ce qui est une révolution conceptuelle au regard d'objectifs financiers aux horizons plus courts. Des années après que le Task Force on Climate-related Financial Disclosures (TCFD) ait suggéré aux banques de suivre l’empreinte carbone de leurs investissements, afin de mieux gérer la réduction méthodique des émissions de gaz à effet de serre (GES), rien n'a été fait pour limiter nos appétits conflictuels de croissance.
Les risques évoqués sont connus depuis longtemps mais malgré de récents résultats prometteurs, nous refusons toujours
de prendre nos responsabilités et de collectivement questionner notre raison d'être. ... Des années après la création tant attendue de telles initiatives vertes, pourquoi les gouverneurs de la Banque d’Angleterre et de la Banque de France devraient-ils encore nous avertir en Avril 2019, que : « le système financier mondial fait face à la menace existentielle du changement climatique et doit prendre des mesures urgentes pour se
réformer [...] doit être au cœur de la lutte contre le changement climatique (...] doit placer la barre très haut pour éviter la catastrophe " ?
Les superviseurs nous ont récemment incités à intégrer le changement climatique dans notre gouvernance et analyses de gestion des risques [40], comme l'a récemment réaffirmé William Nordhaus, co-lauréat du prix Nobel 2018 en Economie
« pour avoir intégré le changement climatique dans l'analyse
macroéconomique à long terme » [51], ce qui est une révolution conceptuelle au regard d'objectifs financiers aux
horizons plus courts. Des années après que le Task Force on Climate-related Financial Disclosures (TCFD) ait suggéré
aux banques de suivre l’empreinte carbone de leurs investissements, afin de mieux gérer la réduction méthodique des émissions de gaz à effet de serre (GES), rien n'a été fait pour limiter nos appétits conflictuels de croissance.
Les risques évoqués sont connus depuis longtemps mais malgré de récents résultats prometteurs, nous refusons toujours
de prendre nos responsabilités et de collectivement questionner notre raison d'être. ... Le découplage de la croissance économique et de la pression sur l’environnement est aujourd’hui impossible, quels que soient les efforts déployés récemment dans le domaine des énergies renouvelables: au niveau mondial 2 % se sont
rajoutés, non pas substitués, aux énergies fossiles, leur Energie Produite sur Energie Investie (EROEI) ou empreintes carbone complète pour la construction ou l’entretien ne sont jamais mesurées. Le sujet de recherche est unanimement considérée comme « inexploré ». Compte tenu de l'état de l’art actuel sur le découplage, d'une part, et la réduction drastique de la consommation de combustibles fossiles nécessaire pour respecter les accords de Paris, de l’autre, la communauté scientifique internationale a conçu des trajectoires d'émissions globales drastiques, ainsi que plusieurs ensembles de recommendations à suivre collectivement pour les années à venir.
...
un seul et unique objectif à mettre au coeur de nos innovations:
les activités humaines doivent être neutres en carbone d'ici 2050, ce qui est absolument certain d’affecter la croissance économique mondiale, et donc notre utilité tel que nous l'avons toujours conçu. L'objectif intermédiaire pour maximiser nos chances d'atteindre 1,5°C consiste à réduire de 40 à 50% nos émissions mondiales d'ici 2030. Par conséquent, nous devons laisser dans le sol environ les deux tiers des réserves connues de combustibles fossiles pour atteindre nos objectifs climatiques mondiaux, soit moins de 20 ans de consommation au rythme actuel.
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PERSPECTIVE NEUROPSYCHOLOGIQUE
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Selon Sébastien Bohler, docteur en neurosciences :
« Cette incohérence de l'habitude face à l'évidence vient de la
structure profonde de notre cerveau. L'une des structures enfouies dans notre cerveau s'appelle le striatum. Il nous
envoie de la dopamine, donc de la récompense, ou du plaisir, lorsque nous accomplissons des tâches simples : manger,
avoir des relations sexuelles, un statut social élevé, avoir de la reconnaissance (domination), avoir autant d'informations
que possible sur notre environnement, et minimiser ses efforts (chercher le plus de confort possible).
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Nous devons passer d'une civilisation technologique à une civilisation de la conscience. Car la civilisation de la conscience peut se retourner contre elle-même, et considérer des chemins qui n'ont jamais été imaginés. »
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l'humanité aurait besoin de 1,7 planètes...
explique dans cette vidéo réalisée par Konbini, ce qu’est la pollution numérique. Selon cet ingénieur et essayiste français, elle correspond à l’ensemble des pollutions liées à la possession d’un système numérique. Aujourd’hui, les émissions de gaz à effet de serre résultant de cette pollution, sont comparables à celles émises par l’ensemble des camions qui circulent dans le monde entier. Pour les réduire, il est préférable de se limiter à un seul écran, ou encore, de diminuer sa consommation internet, de régler la résolution au niveau le plus bas possible
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Pourquoi le charbon est l'ennemi numéro 1 du climat et le plus grand danger pour l'humanité ?
Pour les sources de la vidéo : http://osonscauser.com/charbon-lennemi-n1-climat/
Il est peu cher, il est la 2ème source d'énergie dans le monde, mais il tue chaque année des centaines de milliers de personnes et est la première cause du réchauffement climatique, avec 34% du C02 à lui tout seul : un tiers !
Dans cette vidéo on voit qui utilise du charbon, pourquoi, et comment le remplacer. Et on découvre au passage le concept d'émissions importées.
Catégorie Actualités et politique 519 commentaires
Transcription :
... osonscomprendre.com ? ... ACT
Selon les données du GIEC, au-delà de 500 ppm équivalent CO2, la concentration atmosphérique de gaz à effet de serre fait fondre, comme neige au soleil, les chances de limiter le réchauffement à +2°C depuis l’époque préindustrielle.
Alors que le nouveau record de concentration atmosphérique journalière de dioxyde de carbone a dépassé la barre des 415 parties par million le 15 mai, à la station de référence de Mauna Loa, à Hawaï, selon la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), et que les 410 ppm de CO2 sont franchis en tendance corrigée des variations saisonnières, c’est la barre des 500 ppm équivalent CO2 que nous touchons maintenant si l’on prend également en compte les émissions de méthane (CH4), de protoxyde d’azote (N2O) et autres halocarbures.
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La capacité des gaz à effet de serre à réchauffer l’atmosphère s’est aggravée de 43% en moins de 30 ans
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Une tendance toujours à la hausse exponentielle
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en France, le premier rapport du Haut Conseil pour le Climat https://www.hautconseilclimat.fr/wp-content/uploads/2019/06/hcc_rapport_annuel_2019.pdf, avec un ton certes feutré, parle lui-même de politiques de ruptures. Et des ruptures, c’est également ce que la Terre peut imposer, entre autres sous formes de crises, par exemple quand son pétrole -sang de nos sociétés basées sur des déplacements faciles et permanents, et également source du réchauffement planétaire- va connaître sa grande déplétion, inéluctable https://dr-petrole-mr-carbone.com/pic-petrolier-ca-se-precise/. C’est également ce que la Terre peut imposer avec des sécheresses, des précipitations, des inondations ou encore des tempêtes qui possèdent un point en commun: leur violence s’accroît https://dr-petrole-mr-carbone.com/vers-le-chaos-climatique/.
« Si l’on veut être sérieux avec les objectifs de transition énergétique, il est indispensable de prendre en compte l’impact du numérique, qui est en croissance exponentielle. Cette analyse montre que c’est possible. »
Matthieu Auzanneau, Directeur général, The Shift Project
« Les opportunités du numérique étant précieuses, mieux les calibrer est essentiel pour en préserver l’utile. Être ‘sobre’ à l’échelle de notre société, c’est donc réinventer nos usages pour qu’ils soient compatibles avec les contraintes climatiques.
C’est un défi stimulant, et ce rapport m’a permis de commencer à le mesurer. »
Maxime Efoui-Hess, auteur du rapport, The Shift Project
Le numérique émet aujourd’hui 4 % des gaz à effet de serre du monde, et sa consommation énergétique s’accroît de 9 % par an.
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La sobriété numérique consiste à prioriser l’allocation 2019-01 des ressources en fonction des usages, afin de se conformer aux limites planétaires, tout en préservant les apports sociétaux les plus précieux des technologies numériques. Cela nécessite d’interroger la pertinence de nos usages du numérique – ce que nous faisons pour la vidéo dans ce nouveau rapport « Climat : l’insoutenable usage de la vidéo en ligne – Un cas pratique pour la sobriété numérique » (2019).
Rapport complet https://theshiftproject.org/wp-content/uploads/2019/07/2019-01.pdf
Résumé aux décideurs https://theshiftproject.org/wp-content/uploads/2019/07/R%C3%A9sum%C3%A9-aux-d%C3%A9cideurs_FR_Linsoutenable-usage-de-la-vid%C3%A9o-en-ligne.pdf
Dossier de presse https://theshiftproject.org/wp-content/uploads/2019/07/Dossier-de-presse_Linsoutenable-usage-de-la-vid%C3%A9o.pdf
La vidéo pédagogique
« Cette vidéo réchauffe le climat : merci de la regarder »
Le guide
pour réduire le poids des vidéos en 5 minutes
L’extension de navigateur
qui rend visible l’invisible impact environnemental du net
https://www.youtube.com/watch?v=JJn6pja_l8s
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Cette vidéo réchauffe le climat : merci de la regarder
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The Shift Project
Ajoutée le 1 juil. 2019
Comme Julia, sachez que travailler sur la réduction de votre empreinte climatique, c'est aussi penser aux habitudes et à la consommation numériques. Les smartphones, les centres de données et les réseaux ont besoin d'énergie et de ressources précieuses pour être produits et fonctionner. Consommer de l'énergie, produire de l'électricité, exploiter des ressources minières, etc, toutes ces activités entraînent des émissions de gaz à effet de serre. C'est pourquoi, octet par octet de données, à chaque seconde d'une vidéo, un peu plus de dioxyde de carbone est libéré dans l'atmosphère. C'est invisible pour vous maintenant, mais pas pour notre climat, dont les conséquences globales sont déjà visibles.
NOTRE RAPPORT SUR L'IMPACT ENVIRONNEMENTAL DE LA VIDÉO EN LIGNE
Pour en savoir plus sur ce que YouTube, Netflix et la pornographie ont à voir avec le changement climatique : « Climat : l’insoutenable usage de la vidéo en ligne – Un cas pratique pour la sobriété numérique » : https://wp.me/p9jPKD-3lL
À PROPOS DE NOUS
The Shift Project est une organisation à but non lucratif qui travaille pour une économie décarbonisée : https://www.theshiftproject.org
Cette vidéo a été réalisée en partenariat avec Science Explainers, qui offre aux chercheurs des outils de marketing numérique : https://www.scienceexplainers.com
Catégorie
Science et technologie
4 commentaires
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PaulB
PaulB
il y a 15 heures
A quand un navigateur ou un module qui reduit la definition des images et des videos pour limiter le traffic ?
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Mr Sandourc
Mr Sandourc
il y a 45 minutes (modifié)
Bonjour, sauriez vous évaluer le rapport entre flux et stockage des vidéos : une heure de vidéo demande autant de stockage qu'une autre (à qualité égale) mais certaines vidéos sont plus vues, et font donc intervenir plus de flux, que d'autres. Ainsi à partir de quel nombre de vues sur une vidéo sa part de flux dépasse-t-elle sa part de stockage.
La plateforme de streaming Twitch supprime de ces serveurs les rediffusions des lives après 2 mois sans que cela gêne réellement l'utilisation.
Un contrôle de YouTube et Cie pourrait permettre d'envisager la même méthode, par exemple en réduisant la qualité de certaines vidéos après un certain temps, et selon la catégorie dans laquelle elle se trouve. (Musique, gaming, société, science et technologie, etc)
Ahgrooo Ditleloup
Ahgrooo Ditleloup
il y a 1 semaine
C'est combien de CO2 un équipe de poulet qui s'amuse a gazer des gens convaincu par votre vidéo en sitting sur un pont?
Motiok nianiak
Motiok nianiak
il y a 1 semaine
Très intéressant, ça serait bien aussi que les industries du multimédia valorise leurs énergies fatales comme les data-center qui rejettent en grande majorité leurs calories à l'extérieur au lieu de chauffer les locaux des bâtiments, les serres, piscines municipales de proximité... par exemple
Le gaz est pas encore assez cher !
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