Peter Fairley
is a contributing editor at MIT Technology Review who sees smarter energy use as the key to stopping climate change. He has tracked emerging energy technologies for over a decade at publications including Discover, Spectrum, and Nature. He spends a third of his time reporting from Paris and has also worked from the field in Asia, Latin America, and Africa. Between 2001 and 2013 Fairley served as a board member and officer of the Society of Environmental Journalists.
Once nuclear’s strongest booster, China is growing wary about its cosMost beautiful wedding photos taken at a nuclear power plant” might just be the strangest competition ever. But by inviting couples to celebrate their nuptials at the Daya Bay plant in Shenzhen and post the pictures online, China General Nuclear Power (CGN), the country’s largest nuclear power operator, got lots of favorable publicity.t and safety.
A year later, the honeymoon is over.
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Tagged : China, nuclear, nuclear energy, Beijing, China General Nuclear Power, China National Nuclear Corp., Fukushima, nuclear reactor, coal, Hualong One
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https://twitter.com/hervelc/status/1072874398145765376
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Hervé Le Crosnier @hervelc 10 hil y a 10 heures
Nucléaire - voici une bonne nouvelle : la Chine est en voie d'abandonner le truc. https://www.technologyreview.com/s/612564/chinas-losing-its-taste-for-nuclear-power-thats-bad-news/ … Quelqu'un pour prévenir @EDFofficiel et @EmmanuelMacron ?
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La fabrication de ciment est l’une des activités industrielles les plus émettrices de gaz à effet de serre (GES) dans le monde. L’énergie nécessaire au procédé représente environ 40% des émissions, mais 60 % provient du calcaire lui-même, qui libère du carbone sous forme de CO2 lors qu’il se transforme en ciment. Ce texte présente les trois avenues envisagées pour réduire les émissions des cimenteries : réduction des pertes de chaleur, carburants alternatifs et modifications à la composition du ciment.
Ce texte a été rédigé dans le cadre d’une recherche plus vaste menée en collaboration avec la Chaire de gestion du secteur de l’énergie de HEC Montréal, pour le compte du gouvernement du Québec. C’est pourquoi il utilise des références de type universitaire. La bibliographie se trouve à la fin.
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ndlr :
- les progres sont possibles, mais limités et très lents, donc la meilleure solution n'est-elle pas de réduire massivement notre consommation de ciment ? en le remplaçant pas du bois comme le suggère le commentaire de Thomas Tours à 02/12/2018 à 16:45
*Qui sommes-nous ?
... a été créé par :
François Mulet (Maraîcher, membre fondateur de Maraîchage Sol Vivant)
Konrad Schreiber (Agronome, IAD, La Vache Heureuse)
Vincent Levavasseur (Maraîcher & président de Maraîchage Sol Vivant Normandie)
Son but est d’aider à former le plus possible d’agriculteurs dans leur transition agroécologique vers les sols vivants et fertiles.
L’équipe
François
Président
est un des membres fondateurs du réseau Maraîchage Sol Vivant au sein duquel il a participé au développement des techniques de sol vivant adaptées au maraîchage. Il est aussi président de la société Ver de Terre Production et expert du projet Pour Une Agriculture du Vivant. Il accompagne de nombreux agriculteurs dans le développement de leurs projets.
Vincent
Co-directeur
Maraîcher dans l’Orne, Président de Maraîchage Sol Vivant Normandie. Vincent accompagne l’équipe dans la production de formation et le développement d’outils informatiques pour faciliter la diffusion des savoirs. Il anime également des formations à destination des maraîchers.
Konrad
Agronome, Institut de l’agriculture Durable, La Vache Heureuse
Luis
Communication
Amandine
Production
est chargée de mission à Ver de Terre Production. Elle s’occupe plus particulièrement du suivi des formations digitales, et des formations concernant les microorganismes (bactéries, mycorhizes…), le sol, les plantes (indicatrices)…. Elle est également responsable de la coordination pour les évènements de type colloque et rencontres.
Simon
Production
chargé de mission et illustrateur de l’entreprise, en charge des formations dans les domaines de l’agroforesterie, de la viticulture et de l’arboriculture. Il fait également partie de l’équipe production et participe à l’élaboration des contenus pour les formation digitales ainsi qu’aux recherches sur des sujets d’agronomie innovants.
Sibylle
Production
Après avoir découvert le réseau Maraîchage Sol Vivant durant sa césure et suite à une première expérience en Argentine, elle rejoint l’équipe de Ver de Terre Production début 2018. Elle est en charge de l’organisation des formations en grandes cultures et élevage ruminant. Au sein de l’équipe production, elle participe à l’élaboration de contenus de formation digitale et aux recherches sur des sujets d’agronomie innovants.
Alexandre
Production
est chargé de mission chez Ver de terre Production. Il est responsable de l’organisation et de la coordination des formations sur la thématique du maraîchage. Il fait également partie de l’équipe production et participe à l’élaboration des contenus pour les formation digitales ainsi qu’aux recherches sur des sujets d’agronomie innovants.
Dylan
Tournage / montage
est le responsable vidéo de Ver de Terre Production. Il s’occupe de la gestion de la chaîne YouTube, des nombreux tournages à planifier et à superviser, des directs et du montage vidéo.
Eponine
Informatique
Martin
Rencontre 2019
Ayant découvert le sol vivant lors d’un stage sur une ferme du réseau MSV, je me suis dès lors passionné d’agriculture de conservation et de semis direct. Mon passage avec chez céréaliers de l’APAD nord-est en tant que stagiaire-animateur de réseau m’a conforté mon objectif de devenir agriculteur un jour. Actuellement étudiant ingénieur agronome en césure chez ver de terre production, j’ai pour rôles la captation vidéo et le montage, ainsi que la co-organisation de la première édition des Rencontres Internationales du Vivant.
Pauline
Rencontres 2019
Intéressé par la botanique dès le début de mes études supérieures, je me suis tournée vers des études d’ingénieur agronome. Très vite, il m’est apparu que le maraîchage me passionnait. Cette orientation s’est retrouvée renforcée lors de mon passage dans diverses fermes du réseau MSV au sein desquelles j’ai pu me former aux techniques de sol vivant. Etant actuellement en césure chez ver de terre production, mes missions consistent à être camérawoman-monteuse et de co-organisatrice des Rencontres Internationales de l’Agriculture Du Vivant.
Ver de terre production
13, chemin des Peltier
27160 BRETEUIL-SUR-ITON
ndlr :
- coïncidence que la gilet jaune passée à F5 ce di soir politique https://my.framasoft.org/u/ind1ju/?iSMUxA
se nommait Ingrid Levavasseur ? je parierais sur la sœur vu comme ils se ressemblent... (annecdotique)
Développement durable
Le Mali est en passe de devenir le premier pays au monde à produire de l’électricité à partir de l’hydrogène naturel. Un permis d’exploitation vient d’être accordé à une unité pilote.
L'unité pilote fournit depuis 2013 au village de Bourakebougou de l'hydrogène pur à 98%. © maliweb.net
ÉNERGIE. Au salon Hyvolution qui s'est tenu les 4 et 5 février au Parc Floral à Paris, dédié à l'hydrogène énergétique, un projet malien d'exploitation de l'hydrogène naturel a suscité beaucoup d'intérêt. Ce pays, qui a lancé une unité pilote en 2013, vient en effet d'accorder le premier permis d'exploitation pour cette filière dite "décarbonée". Autrement dit, sans production de CO2. Or aujourd'hui, l'hydrogène est produit par des méthodes de chimie lourde (électrolyse de l'eau ou extraction à partir d'hydrocarbures fossiles) induisant une empreinte carbone importante. Tous les espoirs sont désormais permis depuis que deux géologues français, Alain Prinzhofer et Eric Deville, ont découvert des sources naturelles d'hydrogène, démontrant ainsi que ce gaz peut être libéré en continu dans la croûte terrestre et remonter en surface. Or ces sources se trouvent dans de nombreux points du globe. Un scénario longtemps considéré comme impossible, que Sciences et Avenir avait présenté dès 2013 et que le Mali commence à concrétiser.
Rencontre avec l'homme d'affaires Aliou Boubacar Diallo, président de la société Petroma, spécialisée dans la recherche du pétrole et du gaz au Mali
Sciences et Avenir : En quoi consiste l'unité pilote qui fonctionne au Mali depuis 2013 ?
Aliou Boubacar Diallo : Il s'agit du seul exemple au monde de l'utilisation d'une source naturelle d'hydrogène pour produire de l'électricité. Au village de Bourakebougou, à soixante kilomètres au nord ouest de Bamako, son exploitation permet d'éclairer la place du village, les lieux de culte, ainsi que les habitations d'une centaine de famille.
Comment avez-vous eu l'idée de rechercher de l'hydrogène dans cette zone ?
Nous ne l'avons pas cherché, mais l'avons trouvé par le plus grand des hasards ! Le forage était destiné à la recherche de l'eau. Mais à notre grande surprise, c'est de l'hydrogène pur à 98% qui en est sorti. Cette région est un bassin sédimentaire avec une couche de grès très poreux, épaisse de 1600 mètres, visiblement riche en gaz. Nous avons aussitôt décidé d'utiliser cet hydrogène pour alimenter un groupe électrogène et produire du courant. Depuis trois ans, la source est continue et le débit du gaz qui sort du puits n'a pas faibli. Nous n'avons donc pas besoin de stocker ce gaz, juste d'en capter le flux, ce qui facilite son utilisation.
Petroma vient d'obtenir un permis d'exploitation et un permis environnemental. Quels sont vos projets ?
Nous avons déterminé une zone de 43 000 Km2 à explorer et déjà mené des campagnes sismiques à haute résolution qui indiquent une grande richesse en hydrogène. Seize sondages doivent maintenant être effectués dont six à travers toute la couche de grès. Parallèlement, nous sommes à la recherche d'investisseurs publics et privés. Le Mali ambitionne de construire la plus grande centrale électrique à hydrogène naturel, afin d'exporter de l'électricité vers les pays voisins. Nous avons tout à y gagner : de l'électricité à bas coût, aucune émission de CO2 et des emplois à venir.
.#Mali #Électricité #Hydrogène
WECF, réseau d’une centaine d’organisations d’Europe et d’Asie centrale, fait entendre la voix des femmes et ses projets apportent des solutions sûres et écologiques à des problèmes locaux dans les domaines suivants : assainissement, énergie, environnement, santé, production alimentaire et substances toxiques. Ses plaidoyers sont portés auprès des décideurs politiques sur le plan national, européen, international et auprès de l’ONU.
Source : https://reseauactionclimat.org/association/associations-membres/?association=wecf
WECF France
Cité de la Solidarité Internationale
13 Avenue Emile Zola 74100 Annemasse Tel: +33-450-83 48 10 Website: www.wecf.eu/francais Email: wecf.france@wecf.eu
Contactez WECF International http://www.wecf.eu/english/contact/index.php
Anne Barre, Fondatrice et Présidente d'honneur WECF France Email : anne.barre@wecf.eu
Malika Berkaine, Chargée de mission Administration & Communication WECF France/Administrative Assistant and Communication Mail : wecf.france@wecf.eu
Emilie Delbays-Atgé, Responsable pédagogique formation et sensibilisation en santé environnementale WECF France/Health and Environm Email : emilie.delbays@projetnesting.fr
Anne Gomel, Responsable Formations WECF France /Health and Environment Training Officer Email : anne.gomel@wecf.eu
Veronique Moreira, Présidente WECF France / Chair WECF France Email : veronique.moreira@wecf.eu
Florence Rosset, Directrice/ Director WECF France Email : florence.rosset@wecf.eu
Elisabeth Ruffinengo, Health and Environment Advocacy Manager/Responsable plaidoyer WECF France Email : elisabeth.ruffinengo@wecf.eu
Pour changer le système et construire un monde meilleur, il faut commencer par se transformer soi-même
351 #Bioethique #Développement Durable #Ecologie #Économie circulaire #ethique
Une économie durable ne signifie pas grand chose si nous sommes toujours animés d'un désir de consommation incessante et embourbés dans le malheur et l'aliénation.
Par Navi Radjou
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Pour transformer notre nature intérieure, il ne suffit pas de changer notre état d'esprit; nous devons changer notre conscience. Nous devons sortir de notre mode d'existence inconscient et devenir plus conscients de la façon dont nous produisons, consommons, travaillons, et vivons. Alors seulement, nous serons capables de construire collectivement ce que j'appelle une bioéconomie consciente.
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Pour devenir conscients, nous devons débloquer nos quatre chakras supérieurs, afin que nous puissions puiser dans les énergies constructives de compassion, d'ingéniosité, de sagesse et d'unité (« je suis un(e) avec tout le monde et la nature ») pour transcender notre instinct de survie et les désirs égoïstes et co-créer avec les autres une bioéconomie inclusive, saine et bienveillante.
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Nous devons réaliser consciemment que nous sommes la nature et que la nature est nous. Notre perspective et nos actions doivent incarner cette conscience intégrale que la nature et nous sommes essentiellement Un.
En particulier, les sociétés axées sur le profit, qui entretiennent depuis longtemps une relation antagoniste “business vs. nature” (l'entreprise contre la nature) avec l’environnement, doivent apprendre à penser, sentir et agir comme la nature. Les entreprises doivent évoluer vers ce que j'appelle « business as nature » (l’entreprise comme la nature).
Plus précisément, les entreprises doivent désapprendre leurs instincts égoïstes et compétitifs et faire preuve de générosité et de coopération, deux qualités inspirantes que Suzanne Simard, professeure d'écologie forestière à l'Université de la Colombie-Britannique, a découvertes dans la nature.
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Cet article a originellement été publié sur Fast Company. ... Navi Radjou est co-auteur de L’Innovation Frugale : Comment Faire Mieux Avec Moins et Donner Du Sens A L’Intelligence : Comment Les Leaders Eclairés Réconcilient Business Et Sagesse, tous deux publiés par Diateino. Il va auto-publier son prochain livre, La Société Consciente, en 2019.
Organisme : ADEME
Description : novembre 2017 - 2 p.
Type de contenu : Projet Lauréat IA
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https://www.ademe.fr/sites/default/files/assets/documents/cibv_vf.pdf
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Le projet CIBV (Carbon Ingen’R Bugeat ViaM) propose de réaliser la première unité
préindustrielle en Europe de production de pellets torréfiés à partir de biomasse. La
torréfaction est un traitement thermique qui vise à éliminer l'eau et permet de détruire la
structure fibreuse de la biomasse avec un rendement énergétique élevé (90%). A
l'heure de la transition énergétique et d’une montée en puissance des énergies
renouvelables, le bois
- énergie est en train de s'imposer comme l'une des alternatives
aux énergies fossiles. Le pellet torréfié permet une rupture technologique majeure dans
la filière du combustible bois - énergie grâce à de multiples avantages.
Objectifs
Les principaux objectifs techniques et scientifiques sont la production d'un combustible : - Biosourcé à densité énergétique élevée, proche de celle du charbon ;
- Utilisable dans les installations thermiques sans aménagement spécifique ;
- Facilement stockable et transportable.
Le projet CIBV s'inscrit également dans les objectifs environnementaux tels que : - La conception d'un processus industriel et d'un aménagement de site
responsables ; - La gestion forestière dynamique.
Le plan d’approvisionnement du projet est de 113 000 tonnes / an.
Déroulement
Les principales phases du projet sont : - Les études de développement et l’élaboration des dossiers règlementaires ;
- La consultation des fournisseurs et des entreprises ;
- L’acquisition et la préparation du site ;
- L'extraction et la transport de la biomasse brute ;
- les équipements de préparation de la biomasse (broyage, criblage, séchage) ;
- la transformation de la biomasse (torréfaction et pelletisation) ;
- La manutention et le transport ferroviaire
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Energie
Eau, Littoral, Adaptation, Climat, Adaptation, Inondations
New York, menacée par la montée des eaux
Climate Central
Le réchauffement menace aussi la production d’électricité mondiale, révèle un rapport publié mardi 19 juin par 4 associations, dont le C40 Cities Climate Leadership Group. D’ici à 2050, 270 centrales électriques, produisant un total de 183.000 mégawatts (MW), pourraient avoir les pieds dans l’eau.
C’est un avenir sombre qu'entrevoient le C40[i], le Global Covenant of Mayors for Climate & Energy, l’Urban Climate Change Research Network (UCCRN) et Acclimatise dans leur rapport, intitulé «The future we don’t want», qui dresse la situation guettant les grandes villes mondiales face au réchauffement.
Les auteurs du rapport prennent comme hypothèse la plus pessimiste, mais actuellement la plus probable, celle d’émissions de gaz à effet de serre toujours aussi élevées, selon l’un des scénarios RCP8.5 du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec).
1,6 milliard de Terriens sous régime caniculaire
Selon les calculs des auteurs, le réchauffement frappera la population urbaine de bien des manières: vagues de chaleur meurtrières (qui affecteront régulièrement 1,6 milliard de personnes en 2050, contre 200 millions actuellement), difficultés d’accès à l’eau potable, insécurité alimentaire. Quant à la hausse du niveau de la mer, elle devrait menacer 570 villes de plus de 100.000 habitants en 2050, pour une population estimée à plus de 800 millions de personnes.
230 grandes villes en précarité énergétique
Le rapport se penche également sur une menace encore peu étudiée, celle d’une fragilisation de la production d'électricité du fait de la hausse du niveau de la mer. Les chercheurs ont identifié 270 centrales à travers le monde particulièrement exposées à ce risque: situées à moins de 5 kilomètres de la côte, elles sont implantées sur des terrains ne dépassant pas 5 mètres au-dessus du niveau de la mer.
Conséquence: 230 grandes villes, habitées par un total de 450 millions de personnes, seraient ainsi confrontées à de fréquentes coupures. Parmi les grandes villes les plus menacées, le rapport évoque Londres, New York, Shanghai, Bombay, Calcutta et Madras.
Une menace politique et économique
«Si la production énergétique fait défaut, les villes auront du mal à assurer l’accès à l’eau potable et à l’alimentation, le transport, le traitement des déchets, le fonctionnement du système de santé et le réseau de communications. Cela peut avoir des effets en cascade sur l’économie, avec de rapides conséquences au niveau politique, des entreprises et de la population locale», préviennent les auteurs.
[i] Le C40 Cities Climate Leadership Group est une association de lutte contre le réchauffement climatique, regroupant 81 grandes villes mondiales. Depuis 2016, elle est présidée par la maire de Paris, Anne Hidalgo.
Connu /
https://twitter.com/BlaLormeteau/status/1010116290965655552
(A. Méjean et O. Ploux, Equipe Métabolisme secondaire des cyanobactéries »)
Ce projet (responsable scientifique A. Méjean) fait partie du programme interdisciplinaire SPC « Les énergies de demain » coordonné par H. Peerhossaini et s’achève à la fin de l’année 2017. Il intègre des chercheurs de trois laboratoires : le LIED (UMR 8236), le laboratoire APC (UMR 7164) et le laboratoire MSC (UMR 7057).
Les cyanobactéries sont des organismes photosynthétiques apparus sur Terre il y a 3.5 milliards d’années ayant développés une extraordinaire diversité. Ces microorganismes puisent leur propre source d’énergie dans la lumière et le CO2 et produisent de très nombreux métabolites secondaires dont certains possèdent une haute valeur ajoutée.
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Si cette production ne dépend ni du genre de cyanobactérie, ni de l’origine géographique de l’organisme ou de la voie de biosynthèse utilisée, elle reste modeste (0.2-0.3 g alcane/alcène pour 100 g de matière sèche) et n’a pas pu être optimisée dans différentes conditions de culture malgré de nombreux efforts des différentes équipes investies dans ces recherches.
Une des raisons de cette production relativement modeste pourrait tenir au rôle de ces alcanes/alcènes à longue chaîne dans la composition des membranes photosynthétiques des cyanobactéries (thylacoïdes). En effet, la production excessive d’alcanes à longues chaînes déstabiliserait les membranes en modifiant leur fluidité et entamerait la capacité photosynthétique de l’organisme et donc sa survie.
ndlr : est-ce considéré comme une énergie renouvelable ? y a-t-il une suite à ce programme ? ACT
Une première centrale de production industrielle d’hydrogène en service à Grenoble
VINCENT CHARBONNIER Auvergne-Rhône-Alpes , L'Usine de l'Energie , Engie , Investissements industriels
3,2 millions d'euros ont été investis dans la création d’une centrale de production industrielle d’hydrogène à Grenoble (Isère). Elle fournira 150 000 m3 d’hydrogène à terme pour le CEA et alimentera des véhicules.
*Ndlr: produit à partir de quelle source ? ENR ou énergie fossile (gaz ou pétrole) ? ACT
Myrtille Delamarche DOM - TOM , L'Usine de l'Energie , Energies renouvelables , Photovoltaïque
Bonne nouvelle Hydrogène de France (HDF Energy) a annoncé le 28 mai un projet de centrale solaire couplée à une unité de stockage à l’hydrogène d’une capacité plus importante que la batterie géante de Tesla en Australie. Elle sera installée en Guyane, à Mana près de Saint Laurent du Maroni.
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Avec sa future Centrale électrique de l’Ouest guyanais (CEOG), prévue pour 2020, HDF Energy sort le stockage hydrogène de la R&D pour l'industrialiser. Accompagné par des investisseurs privés, le groupe français veut investir 90 millions d’euros dans une centrale solaire d'une capacité de 55 MW en pointe, dont l’intermittence sera presque effacée par une unité de stockage de 140 MWh, plus que la batterie géante construite par Tesla en Australie (129 MWh) suite à un pari d’Elon Musk pris sur Twitter.
Cette unité de stockage fonctionnera à base d’hydrogène mais sera "couplée à un étage de batteries lithium-ion pour augmenter la disponibilité de l’énergie", précise Sylvain Charrier, directeur du développement Outre-mer d’HDF. Ce projet est développé sur un procédé Renewstable de HDF Energy. Consommant de l’eau et du soleil, la centrale ne rejettera que de l’oxygène et de la vapeur d’eau.
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Aujourd’hui, la capacité du parc électrique guyanais est de 286 MW pour une production moyenne de 910 GWh. La programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) actuelle prévoit pour 2023 une production de 1375 GWh, répartie entre 1075 GWh d’énergies renouvelables et 300 GWh de thermique (fuel), qui représente aujourd'hui près de 45% du mix énergétique guyanais. Avec 10 MW en en heures de pointe (50 GWh par an) d’énergie verte, la CEOG réalise seule la moitié de l’objectif assigné à l’ouest guyanais de développer 20MW. Objectif qui devrait être revu à la hausse (à 40 ou 45 MW) pour intégrer les nouveaux besoins, notamment ceux de Montagne d'Or (20 MW en continu). Et HDF ne compte pas s’arrêter là : "nous avons d’autres projets en Guyane", confirme Sylvain Charrier. D'autres projets sont portés par des concurrents de HDF pour des unités additionnelles de production dans la région.
"Ce projet ne répond pas à nos besoins, mais il y en a d'autres en cours. Cela démontre comment des projets industriels comme le nôtre créent des emplois induits. L'ouverture d'un corridor avec une ligne à haute tension et une route élargie financée par Montagne d'Or entre Saint Laurent du Maroni et le site va créer des opportunités de développement économique qui créeront des besoins énergétiques", relève Pierre Paris, président de la Compagnie Montagne d'Or.
Créé en décembre 2012 par Immosun Solutions, bureau d’études spécialisé dans les énergies renouvelables, HDF Energy construit son usine de piles à combustible près de Bordeaux. Elle devrait êre opérationnelle en 2019.
2 commentaires
30/05/2018 - 22h25 - JO
tesla a fai sa ferme de panneaux et stockage en moins de 100 jours sinon il l offrait... donc dire "le Français HDF Energy plus fort que Tesla en Australie" il faudrait qu il est finit avant le 15 aout 2018 et a priori pas avant 2019 donc nul.. zero... out HDF Energy ..., tesla winner
04/06/2018 - 05h41 - Dimitri
Incroyable niveau de grammaire, JO. Donc si le titre de cet article est un peu trompeur, cela signifie que la société HDF est nulle ? Cerveau... Au fait, vous faites quoi dans la vie ? Vous créez des emplois ? Vous construisez des centrales énergétiques ? Que faites vous pour vous octroyer le droit d'insulter une entreprise qui jusqu'à présent, n'offre pas vraiment le flanc aux critiques ?
26/06/2018 - 06h34 - Bolo
Ah...cette implantation prévoit seulement de déboiser 200ha de foret amazonienne qui jouxtent un village amérindien, rien de grave n'est ce pas...
Ndlr : le pj montagne d'or ayant été arrêté, quid de ce pj qui a tout d'un GPII ? ACT
Énergie Partagée essaime, accompagne et finance des projets citoyens de production d’énergie renouvelable. Pour accomplir ces missions, le mouvement s’organise en deux structures complémentaires : une association de promotion et d’animation et un outil d’investissement citoyen.
Équipe :
Fabienne Balland Responsable administrative et financière
Olivier Berland Animateur Région Île-de-France
Fabien Brosset Responsable administratif et financier
Erwan Boumard Directeur général
Arno Foulon Animateur Région Provence-Alpes-Côte-d’Azur
Sylvain Guineberteau Animateur Région Centre-Val-de-Loire
Florence Martin Directrice administrative et financière
Marc Mossalgue Communication
Jean-Éric Paraïso Juriste Doctorant CIFRE
Justine Peullemeulle Animation et administration
Xavier Rabilloud Communication
https://twitter.com/pointlocalfr/status/884763029753274368
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Solenn Vaillant a retweeté
🥕 Point Local 🥕 @pointlocalfr 10 hil y a 10 heures 11/7/2017
Tu connais un producteur #bio #local ou #zérodéchet près de chez toi ? Partage nous l'info qu'on le référence ! :-)
https://www.pointlocal.fr/trouver-commercant-pres-de-chez-soi
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